Les 20 et 21 octobre 2017, le Centre de recherches francophones CEREFREA Villa Noël de Bucarest a accueilli un colloque international et respectivement un séminaire régional, tous les deux consacrés aux « violences faites aux femmes dans les PECO (Pays de l’Europe centrale et orientale). Tolérance zéro ». Organisés en partenariat avec, entre autres, la Faculté de sciences politiques et la Faculté de journalisme et communication de l’Université de Bucarest, le Centre féministe FILIA et l’Université Lumière Lyon2, avec le soutien de l’OIF et de l’AUF, les deux réunions ont rassemblé des universitaires, des journalistes, des représentants du monde associatif et du monde politique, qui ont échangé sur une thématique dont l’actualité est, malheureusement, indéniable. Simona Necula, secrétaire générale du CEREFREA Villa Noël, a fait le point des débats sur Radio Roumanie Internationale.
Tag: violences
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A la Une de la presse roumaine – 02.10.2017
Les journaux publient notamment les réactions des Roumains d’Espagne et de Catalogne mais passent en revue aussi les autres mouvements indépendantistes d’Europe et leur conséquences sur l’unité du bloc communautaire. Entre temps, l’agence européenne du médicament basée à Londres doit déménager après le Brexit. Bucarest, avec ses atouts et défauts s’est également inscrit dans cette compétition.
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Personnes accusées dans le dossier de la descente des mineurs sur Bucarest en juin 1990
14 personnes ont été déférées à la Justice dans le dossier de la descente des mineurs sur Bucarest du 13 au 15 juin 1990, une série d’évènements violents déroulés six mois après la chute du communisme en Roumanie. Des noms qui avaient dominé la scène politique pendant la première décennie après la dictature comparaîtront devant la Haute Cour de cassation et de justice : l’ancien président de gauche Ion Iliescu, l’ancien premier ministre Petre Roman, l’ancien vice premier ministre Gelu Voican Voiculescu, l’ancien leader syndical des mineurs du bassin carbonifère de la Vallée du Jiu (centre-ouest), transformés en personnage collectif de cette histoire sinistre.
Les événements ont eu lieu moins d’un mois après les élections qui avaient validé par le vote le régime Ion Iliescu. Parce qu’il n’avait pas réussi à prouver son adhésion à la démocratie, à l’Etat de droit et à l’économie de marché, ses contestataires les plus radicaux sont restés dans la rue même après la manifestation-marathon Place de l’Université, lieu symbolique de la lutte pour la démocratie. Ion Iliescu a invoqué une tentative de putsch d’extrême droite et a demandé à la population de défendre les institutions démocratiques.
Des milliers de mineurs ont alors investi Bucarest, ont attaqué l’Université, les sièges des partis d’opposition et les rédactions de certains journaux indépendants. Marian Lazăr, procureur militaire: « Ces événements ont fait suite aux actes de diversion et de manipulation de l’opinion publique par les autorités étatiques, représentées par les mis en examen, qui ont été présentés de manière distordue et ont plaidé en faveur de l’idée d’être déterminés par une soi-disant rébellion de type légionnaire. Les manifestants qui exprimaient des opinions politiques ont été présentés comme des personnes ayant des occupations criminelles, des éléments extrémistes, réactionnaires, étant désignés par le président élu de la Roumanie comme étant des « voyous ». Ceux qui ont été trouvés Place de l’Université ainsi que d’autres considérés comme ayant trait aux manifestations ont été emmenés de force dans des casernes du ministère de l’Intérieur, dans des locaux totalement impropres à la détention de personnes, étant privés de liberté de manière illégale. La privation de liberté sans formes légales a duré jusqu’au 21 juin 1990 au plus tard ».
4 personnes sont mortes, tuées par balle, près de 1400 ont subi des lésions physiques ou psychiques, et 1250 ont été privées de liberté pour des raisons politiques, selon les procureurs. L’enquête a repris début 2015, après que la Cour européenne des droits de l’homme a obligé les autorités roumaines à identifier les responsables. Le dossier initial avait traîné presque deux décennies et il a été fermé en 2009 sans coupables. Tous ceux qui sont maintenant dans le box des accusés – à commencer par l’ancien président Ion Iliescu – ont soutenu, pendant toutes ces années, qu’ils n’étaient pas responsables pour les événements de juin 1990.
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La Roumanie, entre la violence et la justice
Le taux de violence au sein de la société roumaine a connu une croissance alarmante cette dernière décennie, apprend-on du dernier bilan du Parquet Général. Ainsi, le nombre des Roumains déférés à la justice pour avoir agressé, voire tué des membres de leurs familles a-t-il augmenté de plus de 300%. En 2016, par exemple, 34 enfants ont été tués par leurs parents et 22 parents ont été tués par leurs enfants.
Par ailleurs, ces 10 dernières années le nombre des personnes déférées à la justice pour des faits de corruption a triplé, fait savoir le même rapport. Pour sa part, le procureur général de la Roumanie, Augustin Lazar, affirme qu’au niveau opérationnel, on constate la reprise et l’avancée des poursuites pénales dans les grands dossiers. De même, l’activité judiciaire se remarque par un volume, une efficacité et une qualité considérables, malgré l’instabilité législative, causée par les décisions de la Cour Constitutionnelle qui ont imposé en permanence des modifications aux codes pénal et de procédure pénale.
Augustin Lazar précise : « Au cours de 2016, 63.722 personnes physiques inculpées ont été envoyées devant la justice, soit 8,2% de plus par rapport à 2015 ».
Le procureur général de la Roumanie a également précisé que, sur l’ensemble des dossiers solutionnés autrement que par le biais de la justice, le taux des solutions de cessation des poursuites pénales avait baissé de 5% par rapport à l’année précédente. En revanche, pour la période 2007 – 2016, on a constaté une croissance continue de la moyenne des personnes physiques déférées à la justice sur 100.000 habitants, à l’exception d’une chute en 2014. Pour ce qui est des personnes acquittées définitivement en 2016, leur nombre a baissé de manière significative par rapport à 2015 et même par rapport à 2013 : 809 cas en ont été recensés. Toujours l’année dernière, le Parquet Général a solutionné plus de 300 dossiers portant sur des conflits d’intérêts, un délit contre lequel il faudrait lutter d’une manière plus efficace, estime Augustin Lazar.
Participant à la présentation du bilan du Parquet Général, le président roumain Klaus Iohannis a affirmé que les derniers rapports du Mécanisme de Coopération et de Vérification avaient constamment fait état des progrès de la Roumanie dans le domaine de la justice, tout en demandant que ce soit un processus durable. Le chef de l’Etat a encore précisé que les tentatives de revenir aux situations antérieures, la mise en doute de l’autorité des juges ou de l’indépendance des magistrats ne faisaient que ralentir ce progrès et affecter directement la Roumanie.
Klaus Iohannis : « Une démocratie consolidée et un Etat de droit véritable ne peuvent pas être imaginés en l’absence d’un système judiciaire indépendant et immun aux facteurs de pression politique.»
Les Roumains souhaitent vivre dans un pays libéré de corruption, un pays qui où la loi est mise au premier plan et non pas les abus, a martelé le président roumain, tout en précisant qu’il attendait la finalisation des enquêtes sur les événements de décembre 1989 et sur les descentes des mineurs sur Bucarest dans les années ’90, connues sous le nom de « minériades ». (Trad. Valentina Beleavski)
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A la une de la presse roumaine – 26.11.2015
Aujourd’hui la
presse roumaine abonde en sujets sociaux et économiques des plus divers :
les violences faites aux femmes de Roumanie, la loi qui interdit de fumer dans
les espaces publics, la loi qui permet aux Roumains de céder leur logement à la
banque s’ils ne sont plus capables de payer leurs mensualités. Toutefois les
Roumains préfèrent toujours être propriétaires de leurs logements, constate
l’Eurostat. Enfin, le sujet des défrichements illégaux revient dans
l’actualité.
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21.02.2014 (mise à jour)
Accord – Le Ministère Roumain des Affaires étrangères (MAE) a salué vendredi la signature de l’accord pour la solution de la crise en Ukraine. MAE de Bucarest apprécie que la Roumanie, en sa qualité d’Etat membre de l’UE, continuera de s’impliquer activement dans le processus de faciliter la solution intégrale de la crise tout en exprimant sa conviction que l’implémentation durable et constante de cette attitude peut assurer la stabilité et la prospérité au peuple ukrainien. A la lumière des événements tragiques des derniers jours, les parties impliquées dans l’actuelle crise doivent déployer tous leurs efforts pour éviter à l’avenir l’escalade des violences sans justification qui affectent profondément le peuple ukrainien — dit-on encore dans le communiqué de la diplomatie roumaine.
Visite – Les premiers ministres roumain et de la République de Moldova (ex-soviétique, majoritairement roumanophone), Victor Ponta et respectivement Iurie Leancà ont signé vendredi à Kichinev deux accords: dans le domaine de l’éducation et des situations d’urgence médicale. A l’occasion de cette visite le premier ministre Ponta a réitéré l’idée que la Roumanie continue de soutenir sans réserves le processus de rapprochement de la République de Moldova de l’UE initié par la coalition pro-européenne qui est au pouvoir à Kichinev. L’officiel roumain a continué pour dire que le Gouvernement de Bucarest est préparé à offrir son expérience aux autorités moldaves en matière d’accession des fonds européens. L’agenda du premier ministre Ponta a aussi compris des rencontres avec le chef de l‘Etat, Nicolae Timofti et avec le président du parlement de Kichinev, Igor Corman.
Justice – Les procureurs roumains anti-corruption ont annoncé vendredi avoir entamé la poursuite pénale contre Dan Radu Rusanu, président de l’Autorité de Surveillance Fiscale (ASF) pour constitution et appui d’un groupe infractionel ainsi que pour abus en service. Rusanu aurait exercé des pressions sur plusieurs société d’assurances et aurait fait des démarches pour adopter un arrêt d’urgence par la Gouvernement qui offre un caractère de norme et obligatoire à ses propres intérêts et de groupe. Dans ce dossier on examine aussi plusieurs hommes d’affaires roumains.
Tennis – Suite à son succès la semaine dernière qu tournoi de Doha, la joueuse roumaine de tennis Simona Halep est devenue la 12e joueuse de l’histoire du tennis féminin à remporter sept finales consécutives du circuit WTA. A 22 ans, Simona Halep fait partie de l’élite du tennis mondial féminin et à partir de lundi elle occupera la 7e place au classement WTA.
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21.02.2014
Réaction – Le ministre roumain des affaires étrangères Titus Corlatean, a fermement condamné les violences qui ont fait des victimes en Ukraine voisine. M Corlatean a souligné que c’était au pouvoir politique ukrainien de se délimiter des actions perpétrées par des groupes radicaux. Pour la Roumanie la stabilité de l’Ukraine est essentielle, vu que le pays voisin est habité par un demi-million de personnes d’origine roumaine, a souligné le chef de la diplomatie roumaine. Par ailleurs, le ministère roumain des affaires étrangères recommande fermement aux ressortissants roumains d’éviter les déplacements sur le territoire ukrainien s’ils ne sont pas absolument nécessaires. Les citoyens roumains confrontés à des situations délicates peuvent demander l’appui de l’ambassade de Roumanie à Kiev ou des consulats de Cernauti, (ouest) et d’Odessa (sud). Le ministère roumain des affaires étrangères a annoncé qu’il n’envisageait pas un retrait du personnel diplomatique roumain de Kiev et que l’ambassade, y compris la section consulaire déroule, ses activités « en conditions quasi-normales ». A Bucarest, des participants à la révolution anticommuniste roumaine de 1989 ont participé à une manif de solidarité avec les protestataires pro-européens de Kiev.
Restructuration – Crin Antonescu, le coprésident libéral de l’Union sociale-libérale, l’alliance gouvernementale de Bucarest, a réaffirmé jeudi soir lors d’un débat télévisé que si lundi le premier ministre social-démocrate Victor Ponta refusait de confirmer la nomination des ministres du Parti national libéral et de soumettre au parlement un projet de restructuration du cabinet, les libéraux quitteraient le gouvernement et demanderaient la démission du premier ministre. Les dissensions entre le PSD et le PNL au sujet de la restructuration de l’exécutif durent depuis plus de deux semaines et menacent l’intégrité de l’Union sociale-libérale.
Visite – Le projets prioritaires de développement de la République de Moldova, son agenda d’intégration européenne et les relations bilatérales comptent parmi les principaux sujets des réunions à Chisinau du premier ministre roumain Victor Ponta avec plusieurs hauts-responsables moldaves. Le chef du cabinet de Bucarest participe également à l’inauguration d’un forum consacré à la participation conjointe aux programmes européens. M Ponta doit également rencontrer son homologue de la République de Moldova Iurie Leanca. Le premier ministre roumain a dit au président du parlement de Chisinau, Igor Corman que Bucarest était prêt à aider les autorités moldaves à accéder les fonds européens et à lui offrir des informations sur ce qu’est l’intégration européenne.
Tennis – Suite à son succès la semaine dernière qu tournoi de Doha, la joueuse roumaine de tennis Simona Halep est devenue la 12e joueuse de l’histoire du tennis féminin à remporter sept finales consécutives du circuit WTA. A 22 ans, Simona Halep fait partie de l’élite du tennis mondial féminin et à partir de lundi elle occupera la 7e place au classement WTA.
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20.02.2014 (mise à jour)
Violences – La Roumanie est solidaire avec toutes les décisions prises au niveau de l’UE et de l’OTAN sur la situation en Ukraine, a déclaré le premier ministre roumain, Victor Ponta. C’est d’ailleurs le message transmis à Bruxelles par le chef de la diplomatie roumaine, lors de la réunion extraordinaire des chefs des diplomaties des Etats membres de l’UE consacrée à la situation en Ukraine. La Roumanie a fermement condamné les violences dans ce pays, soldées par des dizaines de morts et des centaines de blessés. Le président roumain Traian Basescu a une fois de plus appelé son homologue ukrainien, Viktor Ianoukovitch à ne pas impliquer l’armée dans la répression des manifestations dans la rue. Il a aussi déclaré que la déstabilisation de l’Ukraine risquerait de toucher l’Europe tout entière et fait savoir que si besoin était, la Roumanie pourrait prendre en charge 3.500 réfugiés ukrainiens. Selon les analystes, les violences touchent aussi le milieu des affaires ukrainien, et les devises nationales de la région, dont celle de la Roumanie, le taux de change du leu par rapport à l’euro atteignant jeudi son niveau le plus bas de ces trois dernières semaines.
Défense – Le ministre roumain de la défense, Mircea Duşa, participe jusquà vendredi à Athènes, à la réunion informelle qui rassemble tous les responsables de la défense de l’UE. A l’agenda de la réunion figurent notamment le partenariat stratégique UE — ONU et les directions d’action de l’Agence Européenne de Défense, après le Conseil européen de décembre 2013. Quant aux discussions durant les sessions de travail, elles seront ciblées sur les opérations militaires en cours menées sous l’égide de la Politique commune de Sécurité et de Défense.
Spectacle – Plusieurs officiels de l’UE et députés européens, dont la Roumaine Renate Weber, sont montés mercredi soir, à Bruxelles sur les planches, aux côtés des comédiens pour jouer la pièce “Dis la vérité du pouvoir. Voix dans le noir”. Le scénario, écrit par l’Argentin Ariel Dorfmann, a pour point de départ les interviews réalisées par Kerry Kennedy, présidente du Centre Robert F. Kennedy pour la justice et les droits de l’homme. Elle a interviewé une cinquantaine de personnalités, dont Desmond Tutu, Dalai Lama ou l’Américain d’origine roumaine Elie Wiesel, survivant de l’Holocauste. Le spectacle mentionné, qui repose sur ces témoignages, a été dédié au respect des droits humains.
Tennis – La joueuse romaine de tennis Sorana Cîrstea, 27e mondiale, a raté la qualification dans les demi finales du tournoi de Dubaï, après s’est inclinée devant la Danoise Caroline Wozniacki, tête de série numéro 8. Suite à ce résultat, Soaran Cârstea recevra 34 mille 891 dollars et gagnera 100 points WTA.
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20.02.2014
Réunion – Le ministre roumain des affaires étrangères, Titus Corlăţean, participe aujourd’hui à Bruxelles à la réunion extraordinaires des chefs des diplomaties des Etats membres de l’UE consacrée à la situation en Ukraine. Selon un communiqué de la diplomatie de Bucarest, Titus Corlăţean va réaffirmer à Bruxelles la vive préoccupation de la Roumanie à l’égard des évolutions en Ukraine et condamner fermement les violences. Le ministère roumain des affaires étrangères a déjà recommandé à ses ressortissants voyageant en Ukraine d’éviter les lieux de manifestations et leur a déconseillé de participer à de telles actions. Mercredi, le président de la Roumanie, Traian Basescu, a déclaré que la déstabilisation de l’Ukraine risquerait de toucher l’Europe tout entière. Il a plaidé en faveur de l’application de sanctions individuelles contre les responsables du recours excessif à la force à Kiev. Il a également souligné que les sanctions économiques seraient inopportunes vu que l’Ukraine est déjà confrontée à une situation extrêmement difficile. Le chef de l’Etat roumain a également fait savoir que si besoin était, la Roumanie pourrait prendre en charge 3.500 réfugiés ukrainiens. Selon les analystes, les violences touchent aussi le milieu des affaires ukrainien, confronté à un retrait massif des investisseurs. Les devises nationales de la région, dont celle de la Roumanie, le leu, en ont elles aussi subi les conséquences, dans le sens d’une légère dépréciation par rapport à l’euro.
Défense – Le ministre roumain de la défense, Mircea Duşa, participe ces jeudi et vendredi à Athènes, à la réunion informelle qui rassemble tous les responsables de la défense de l’UE. A l’agenda de la réunion figurent notamment le partenariat stratégique UE — ONU et les directions d’action de l’Agence Européenne de Défense, après le Conseil européen de décembre 2013. Quant aux discussions durant les sessions de travail, elles seront ciblées sur les opérations militaires en cours menées sous l’égide de la Politique commune de Sécurité et de Défense.
Spectacle – Plusieurs officiels de l’UE et députés européens, dont la Roumaine Renate Weber, sont montés mercredi soir, à Bruxelles sur les planches, aux côtés des comédiens pour jouer la pièce “Dis la vérité du pouvoir. Voix dans le noir”. Le scénario, écrit par l’Argentin Ariel Dorfmann, a pour point de départ les interviews réalisées par Kerry Kennedy, présidente du Centre Robert F. Kennedy pour la justice et les droits de l’homme. Elle a interviewé une cinquantaine de personnalités, dont Desmond Tutu, Dalai Lama ou l’Américain d’origine roumaine Elie Wiesel, survivant de l’Holocauste. Le spectacle mentionné, qui repose sur ces témoignages, a été dédié au respect des droits humains.
Tennis – La joueuse romaine de tennis Sorana Cîrstea, 27e mondiale, rencontre ce jeudi la Danoise Caroline Wozniacki, 11e au classement WTA, dans les quarts de finale du tournoi de Dubaï. La Roumaine a vaincu mercredi, en trois sets (6-2, 5-7, 6-1), la favorite numéro 4, l’Italienne Sara Errani. Sorana Cirstea este la seule représentante de la Roumanie présente au tournoi de Dubaï, après l’abandon de Simona Halep, au premier tour, pour cause d’ennuis de santé.