Category: Paroles Jeunes

  • « Découvrir le patrimoine culturel et naturel à travers les 5 sens »

    « Découvrir le patrimoine culturel et naturel à travers les 5 sens »

    Est-il
    il possible de découvrir le patrimoine culturel et naturel d’une
    région utilisant le milieu virtuel ? Depuis plus d’une année
    déjà la réponse est certainement oui. Si les cours et les
    évaluations se déroulent dans le milieu virtuel, il était tout à
    fait normal de voir aussi les programmes d’échanges estudiantins
    migrer dans vers les plateformes de visioconférence, en attendant le
    retour à la normale et aux activités en présentiel. Mais peut-on
    impliquer aussi les sens dans cette découverte ? Les élèves
    du lycée « Voltaire »de Craiova ont essayé de le faire
    dans le cadre d’un projet Erasmus déroulé par cette institution
    d’enseignement d’élite du sud de le Roumanie. Détails dans un
    interview avec Loredana Popi la proviseure du Lycée « Voltaire ».

  • Le festival des festivals

    Le festival des festivals

    Aujourd’hui nous voyageons à Arad dans l’ouest de la Roumanie où se trouve l’Association Roumaine pour la Défense et l’Illustration de la Langue Française Amifran. Elle organise chaque année depuis 1993 un Festival International de Théâtre Francophone pour les Jeunes. L’Association AMIFRAN fait partie (depuis 1995) du Réseau International de Théâtre Jeune en Français Langue Etrangère, Réseau devenu, en 2002, l’Association Internationale ArtDraLa (dont AMIFRAN est un des membres fondateurs). Cette année Amifran participe du 12 au 15 avril au 26e « Festival des Festivals », qui réunit cette année des représentants de six pays : Canada, Italie, France, République de Moldova, Russie et Roumanie.



  • Mieux comprendre les ados d’aujourd’hui

    Mieux comprendre les ados d’aujourd’hui

    Aujourd’hui nous nous tourons vers les adolescents d’aujourd’hui, dans
    une tentative de mieux les comprendre. Tout d’abord, nous feuilletons un roman
    sur les ados qui explique pourquoi la technologie est une partie intégrante
    indéniable de leur vie. Ensuite nous allons découvrir un projet qui invite les
    jeunes justement à oublier un peu l’univers virtuel dans lequel ils passent une
    bonne partie de leur vie et à redécouvrir la nature.

    Les jeunes
    d’aujourd’hui passent trop de temps sur les réseaux sociaux, tout le monde
    l’affirme. Mais pouvons-nous vraiment nier leur accès à la technologie ?
    Mieux vaut comprendre et accepter que les ados d’aujourd’hui ont une jeunesse
    différente de la nôtre, estime l’écrivain roumain Dan Lungu, qui est aussi père
    d’un garçon pré-adolescent.

    « Vloggueur à 13 ans » – ainsi s’intitule le livre le plus récent écrit par Dan Lungu, écrivain prolifique et très apprécié, dont les ouvrages ont été portés à l’écran, mis enscène et traduits dans une quinzaine de langues, sans plus parler des différents prix dont ils ont été récompensés. Cette fois-ci, Dan Lungu a trouvé son inspiration dans la vie de son fils pré-adolescent, Filip. Il a toujours été proche de son fils et suivi de près son évolution, la racontant dans ces textes. « Vloggeur à 13 ans » est un roman ciblé sur la technologie numérique qui a accaparé l’enfance et l’adolescence de nos jours. Les jeunes ne peuvent plus s’en séparer, constate l’écrivain Dan Lungu au micro de notre collègue Christine Lescu.

    Quoi de mieux
    pour cette période durant laquelle les élèves et lycéens déroulent des cours à
    distance que de participer à des programmes éducatifs pas comme les autres au
    milieu de la nature, parmi des arbres et des plantes en toute sorte ?
    C’est justement ce genre de programme qu’a déroulé cet automne la Fondation Pro
    Patrimonio par le biais d’un deuxième atelier d’un projet appelé « L’école
    de paysage, art et son à la Maison George Enescu », déroulé à Mihaileni,
    comté de Botosani, dans le nord de la Roumanie. Qui ont été les enfants à y
    avoir participé et qu’est-ce qu’ils y ont découvert ? Réponse, avec
    Andreea Machidon, coordinatrice du programme d’éducation par le patrimoine de
    la fondation ProPatrimonio, au micro de Christine Lecu.

  • Le salon virtuel des études en France

    Le salon virtuel des études en France

    Par le biais de cet événement, les organisateurs se proposent d’informer les élèves sur les opportunités d’étude en France, mais aussi des formations universitaires francophones en Roumanie. Le salon est formé d’une série de webinaires réunissant des représentants d’universités de France et de Roumanie, mais aussi d’anciens et d’actuels étudiants qui partageront aux jeunes leurs expériences internationales. Le programme du salon couvre un ample éventail de filières et de formations offertes par toute une série d’établissements de France et non seulement.



  • Le forum “Jeunes au XXIe siècle”

    Le forum “Jeunes au XXIe siècle”

    Du 19 au 21 février, l’Ambassade de
    France de Roumanie et l’Institut Français de Roumanie invitent les jeunes
    roumains à s’exprimer. C’est la 2e édition du Forum « Jeunes au
    XXIe siècle », consacrée à l’implication civique des nouvelles
    générations. Quel sort pour le bénévolat par temps de pandémie ? Comment
    les jeunes peuvent-ils influencer les décisions publiques ? Comment mettre
    sur pied un projet ou financer son ONG ? Autant de questions et bien
    d’autres auxquelles on tentera de répondre. Pour nous en parler, nous avons
    invité au micro de RRI Anabella Costache, chargée de mission
    culture/partenariats entreprises à l’Institut Français de Timisoara.

  • Jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui

    Jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui

    Aujourd’hui
    nous parlons des jeunes roumains d’hier et d’aujourd’hui. Nous commencerons par
    le présent et nous allons faire la connaissance d’une jeune femme qui est en
    train de faire un stage au sein du Parlement européen. Ensuite, nous découvrirons
    une exposition consacrée aux adolescents roumains qui ont perdu la vie dans la
    révolution anticommuniste de décembre 1989. Clin d’œil sur le passé et l’avenir
    de la jeunesse roumaine.

    Simina Tulbure
    est une jeune femme très ambitieuse et très impliquée dans l’espace civique. Elle
    est née dans le nord extrême de la Roumanie, à Baia Mare, et a fait ses études
    universitaires en Grande Bretagne, une expérience qui l’a aidée à consolider
    son parcours professionnel depuis ses années d’études universitaire.

    Au micro
    de notre collègue Monica Chiorpec Simina Tulbure raconte son expérience au Parlement Européen.

    Et maintenant,
    clin d’œil sur le passé. Cette liberté d’options et de mouvement dont parlait
    notre interlocutrice antérieure, n’existait pas il y a une trentaine d’années
    et elle n’aurait pas été possible sans le sacrifice des jeunes qui ont lutté pour
    la chute du communisme en décembre 1989. C’est
    justement pour leur rendre hommage que le Musée national d’histoire de la
    Roumanie a organisé fin décembre 2020 une petite exposition très spéciale et très
    émouvante intitulée « Diana, l’héroïne de la Salle Dalles ». Il faut préciser que la Salle Dalles était jadis une
    librairie et une salle d’exposition au centre – ville de Bucarest, Place de l’Université,
    au Km zéro de la capitale, l’endroit emblématique de la révolution anticommuniste
    roumaine. Voyons maintenant qui est cette héroïne de la Salle Dalles et
    pourquoi une exposition lui a été consacrée.

    Au micro de notre collègue Ion
    Puican, Cristina Păiuşan Nuică, chercheuse au Musée national d’histoire de la
    Roumanie.

  • Changer les mentalités

    Changer les mentalités

    Aujourd’hui
    il est question de voir comment on peut changer les mentalités parmi les nouvelles
    générations. Tout d’abord, nous donnons la parole au nouveau président de la Ligue
    des étudiants roumains de l’étranger qui se donne pour principale mission de persuader
    ses collègues de rentrer au pays à la fin des études. Ensuite nous parlons écologie
    avec la fondatrice d’une association qui tente d’éduquer les enfants roumains
    dans l’esprit d’une vie soutenable, moins polluante et plus proche de la nature.

    Le nombre des jeunes roumains qui optent
    pour une formation universitaire à l’étranger ne cesse de croître. Entre les
    années 2000 et 2016, le chiffre a doublé constate le site éducationnel edupedu.ro,
    en passant de 12.500 à près de 34.500. En même temps, le nombre des étudiants de
    Roumanie connaît une tendance inverse, ayant diminué à moitié entre 2009 et
    2016, soit de 900.000 à un peu plus de 405.000 étudiants. 2020 n’a pas fait exception
    à la règle. Selon le site sarte-up.ro près de 37.000 jeunes roumains étudiaient
    dans des universités à l’étranger en 2020, dont la plupart se trouvaient en
    Grande Bretagne.


    Une fois atteint le rêve d’être admis dans
    une université à l’étranger, les jeunes roumains ont plein de défis à relever. Pour
    certains d’entre eux il est difficile de lier des amitiés tout de suite. D’autres
    ont des barrières linguistiques à surmonter. D’autres encore doivent s’habituer
    à des mentalités différentes ou encore à la nourriture de l’étranger. S’y ajoutent
    les soucis financiers, côté loyer, dépenses quotidiennes etc. Passer du jour au
    lendemain d’une vie confortable dans le foyer parental à une vie indépendante
    dans un pays inconnu n’est pas chose facile non plus. Sans plus parler de la
    manière dont on étudie en Roumanie au lycée et le style d’enseigner et d’apprendre,
    à l’université, à l’étranger.


    Tout cela peut rendre difficile la vie d’un
    étudiant roumain à l’étranger. Heureusement, ils sont de plus en plus nombreux.
    Cela fait qu’une véritable communauté d’étudiants roumains s’est cristallisée
    au fil des années dans leurs pays d’accueil. Pour leur venir en aide, la Ligue
    des étudiants roumains de l’étranger a une mission très importante. Son nouveau
    président, est un jeune homme de 22 ans, ancien étudiant en Grande Bretagne. Il
    s’appelle Robert Stredie et il est notre premier invité d’aujourd’hui. Une interview réalisée par Sorin Titus Iordan.

    Notre 2e
    sujet du jour est le recyclage. Et pour cause, visée depuis des années par des
    procédures d’infraction à la légilsationn européenne pour les carences côté collecte et recyclage des
    déchets, la Roumanie a besoin paraît-il non seulement d’une implication plus
    efficace des autorités, mais aussi d’une meilleure éducation dans ce domaine.
    Et où mieux commencer que dans les rangs des jeunes ? C’est justement ce
    que ce propose l’association Guerrilla Verde (La guérilla verte) : familiariser
    le jeune public à la soutenabilité écologique. Elle le fait par le biais d’un
    projet déroulé dans les écoles de Roumanie. Davantage de détails avec Nicoleta Talpeș,
    la fondatrice de l’association. Une interview réalisée par Christine Lescu.

  • Etudier en France

    Etudier en France

    Aujourd’hui nous parlons jeunesse et mobilité. Dans un contexte mondial
    marqué par la crise sanitaire et le ralentissement de la mobilité étudiante, la
    France réaffirme son ambition d’accueillir des étudiants internationaux. Campus
    France, l’opérateur pour la mobilité étudiante, a lancé en Roumanie un appel à
    candidatures national. D’ici le 1er mars 2021, étudiants et chercheurs roumains
    peuvent déposer leur dossier de candidature pour s’inscrire dans une université
    française ou bien pour bénéficier des
    bourses offertes par le gouvernement français. Une véritable opportunité de
    formation et de spécialisation dans une multitude de domaines au sein des
    écoles les plus prestigieuses de France. Pour nous en parler, nous avons invité au micro de RRI Andreea Palcu, la Coordinatrice
    Campus France Roumanie, et Kévin Breuil, responsable de mission pour la coopération universitaire à Institut français de Roumanie.

  • Un novembre numérique et francophone pour les enfants

    Un novembre numérique et francophone pour les enfants

    Bonjour à toutes et à tous !
    Pandémie oblige, les activités culturelles se déroulent en ligne ce jours-ci
    partout dans le monde. Les activités des antennes de l’Institut Français de
    Roumanie n’y font pas exception. Aujourd’hui je vous propose de découvrir quelques
    surprises réservées aux enfants de Timisoara sous le titre Novembre numérique,
    avec mon invitée, Teodora Achim, chargée de communication et marketing à
    l’Institut Français de Timisoara.

  • La caravane des études en France

    La caravane des études en France

    Aujourd’hui nous parlons études en France pour les jeunes roumains. La Caravane des études en France parcourt la
    Roumanie pour présenter aux lycéens roumains les différentes opportunités de
    poursuivre leur formation universitaire en France. Les étudiants sont invités
    eux aussi pour découvrir leurs options d’études supérieures et les profs de
    français aussi. Cette année, pandémie oblige, la Caravane voyage … en
    ligne. Au programme : conférences nationales, sessions de conseil
    individuel et concours hebdomadaires dotés de prix.

    La Caravane des études en France est un projet lancé par Campus France. Quel est le concept de
    cette initiative ? Quelles offres pour cette édition ? Quelles
    procédures pour pouvoir étudier en France ? Réponse avec Andreea Palcu, Coordinatrice
    de Campus France Roumanie et responsable de l’Espace Campus France Bucarest.

    A quoi ressemble l’expérience d’une université française pour un
    étudiant roumain ? Témoignage d’Andreea Nistor, qui a bénéficié d’une bourse d’études en France
    et qui est collaboratrice de l’Institut Français de Bucarest.

  • Amifran : lycéens, théâtre et francophonie

    Amifran : lycéens, théâtre et francophonie

    Cela fait 28 ans déjà que les jeunes dArad rendent hommage à la francophonie par le théâtre. Linitiative lancée au début des années 90 par un prof de français passionné de théâtre est devenue de nos jours un festival international de théâtre en français pour les lycéens : AMIFRAN. 2020 est une année plutôt spéciale, on le sait déjà, mais AMIFRAN ne baisse pas les bras, comme chaque octobre depuis 28 ans, les élèves roumains francophones sont au rendez-vous, cette fois-ci sur Internet : ils ont filmé leurs pièces de théâtre en français et ils les ont postées sur Facebook et ils en discutent dans le cadre de débats et dateliers. Pour nous parler dAMIFRAN 2020 nous avons invité au micron son papa, son créateur et le mentor de nombreuses générations de lycéens francophones, Florin Didilescu.



    Pour voir les lycéens roumains dans les spectacles et les débats de cette édition, entrez sur:


    https://www.facebook.com/amifran




  • Idées créatives

    Idées créatives

    Aujourd’hui nous parlons
    jeunesse et créativité. Nous découvrons tout d’abord un projet censé stimuler l’imagination
    des enfants du milieu rural dans des ateliers de création de contes de fées.
    Puis nous parlerons d’un élève très créatif qui souhaite révolutionner l’alimentation
    dans les lycées roumains.

    L’Association des
    écrivains de livres jeunesse « De Basm » (« De conte de fées »)
    a récemment clôturé un projet mené en août dernier, deux semaines durant, à
    travers les départements de Buzau et de Teleorman. Il s’agit de « La
    caravane des contes de fées » qui a campé dans les villages de Viperesti
    et de Costesti pour inviter les enfants sur place à des ateliers de lecture et d’écriture
    créative animés par les écrivaines Adina Rosetti, Victoria Pătrașcu, Laura
    Grunberg, Carmen Tiderle et Iulia Iordan.

    Passons maintenant à
    notre deuxième invité. Stefan Petrea a 19 ans, il est passionné d’informatique
    et il vit à Iasi, dans l’est de la Roumanie. Bien qu’il soit encore au lycée,
    il a déjà fondé deux affaires dans sa ville natale. Sa passion pour l’entrepreneuriat,
    il l’a découverte dans sa 2e année de lycée. Une de ses idées est
    révolutionnaire : il a imaginé un distributeur de … déjeuners pour les
    élèves.

  • Jeunesse et film documentaire

    Jeunesse et film documentaire

    Aujourd’hui nous parlons jeunesse
    et film documentaire. Le village de Slon, au département de Prahova, est déjà
    célèbre pour les résidences artistiques qu’il accueille. De jeunes artistes de
    l’audio-visuel s’y rendent pendant l’été pour travailler et pour échanger.
    Cette année, ce fut une résidence plutôt spéciale, car déroulée dans le
    contexte de la pandémie, avec ses normes et ses limites. Nous avons invité au
    micro de RRI, Ana Taran, une jeune artiste de 28 ans passionnée de film
    documentaire. Elle nous raconte son expérience artistique et humaine, telle
    qu’elle l’a vécue, 3 semaines durant, dans le village de Slon.

  • Colonies de vacances par temps de pandémie

    Colonies de vacances par temps de pandémie

    Pour les enfants et les
    jeunes, l’été rime avec les colonies de vacances. Voyages en montagne ou à la
    mer, découverte, randonnées en nature, programmes inédits, amitiés, bref -expériences
    inoubliables. Mais en 2020 cet univers a connu un changement radical à cause de
    la pandémie de coronavirus. Comment se déroulent les colonies de vacances cette
    année?


  • Quelle est la place de l’éducation sexuelle dans l’école roumaine?

    Quelle est la place de l’éducation sexuelle dans l’école roumaine?

    LESC na pas sa place dans les écoles roumaines, en raison notamment de la position extrêmement intransigeante à ce sujet de lEglise orthodoxe roumaine selon laquelle de telles classes seraient « un attentat à linnocence des enfants ». Et pourtant, on parle dun pays où en 2018, les statistiques faisaient état de presque 19000 adolescentes de moins de moins de 19 ans devenues mères. Pourquoi léducation sexuelle pose-t-elle autant de problèmes aux Roumains et quel impact pourrait-elle avoir sur les enfants, voilà des aspects que Ioana Stancescu de RRI a evoqué avec la psychologue Raluca Petru.