Category: QSL

  • Septembre 2021

    Septembre 2021

    C’est l’endroit idéal pour sentir l’énergie de la ville, vivre la joie des rencontres et sentir le frémissement des passants. Un véritable spectacle urbain, avec pour décor une collection de sept styles architecturaux des plus captivants : baroque, classique, éclectique, historique, Sécession, romantique et néo roumain.



    La Piaţa Unirii, connue aussi sous le nom de Piaţa Mică (la Petite Place), date du XVIIIe siècle, quand elle était le cœur du quartier dit de la Ville nouvelle. Le premier bâtiment que l’on y a fait construire fut la Maison Serföyö, en 1714, sur l’emplacement où existe de nos jours le Palais de l’Aigle noir. Avec seulement quelques pièces, la Maison Serföyö s’est transformée en une auberge, très connue à l’époque, appelée « L’Aigle ». À compter de 1753, la place a connu plusieurs transformations. Elle a accueilli des édifices impressionnants renvoyant à différents styles architecturaux et s’est vu doter de l’éclairage public et des premiers tramways reliant le centre-ville à la Gare du Nord et à la partie ouest de la ville.



    Sur l’ensemble des transformations qui ont contribué à l’image actuelle de la Place de l’Union, les plus importantes sont intervenues au moment de l’essor industriel, au moment du passage d’un siècle à l’autre. Malgré la diversité des activités qui s’y sont déroulées à travers les époques et malgré les multiples changements de nom connus : la Petite Place, la Place Saint Ladislas, la Place Ferdinand, la Place Malinovski ou la Place de la Victoire et enfin la Place de l’Union, cet endroit représente le centre culturel et historique de la ville, un lieu de promenade privilégié où chaque visiteur doit se rendre lors d’un séjour à Oradea.



    Des dizaines de milliers de touristes sont attirés par les édifices historiques qui bordent cette place : l’Hôtel de Ville d’Oradea (1901-1903), le Palais de l’Évêché gréco-catholique (1903-1905), le Palais de l’Aigle noir (1907-1908) ou encore le Palais Moskovitz Adolf et fils (1904-1905) auxquels s’ajoutent de nombreux restaurants et cafés qui animent cette place.

  • Août 2021

    Août 2021

    Le plus grand #Aquapark de louest de la Roumanie ! Quelle que soit la saison, le complexe Nymphaea est lendroit où vous profitez de moments de détente grâce à des massages de relaxation, des soins de beauté et des loisirs pour les petits et les grands. Cest lendroit idéal pour se détendre dans un sauna où une piscine ou en mettant à profit les terrains de sport multifonctions.



    Doté de piscines extérieures, idéales en été, mais aussi de piscines intérieures, parfaites pour la saison froide, Nymphaea est le mélange parfait entre amusement et détente. Alors que les piscines à vagues et les toboggans font la joie des plus petits, les services de SPA rendent cette expérience plus relaxante pour les parents qui ont le choix entre saunas, hammams, piscines à eau thermale, jacuzzis, traitements aquatiques et chambres de massage.

  • Juillet 2021

    Juillet 2021

    Il s’agit de l’un des
    festivals médiévaux les plus importants de Roumanie, organisé chaque année, au
    mois de juillet, dans la forteresse d’Oradea. Le festival ressuscite des coutumes
    et des traditions de jadis, faisant revivre des chevaliers et des personnages
    du Moyen Âge. Ceux-ci emmènent les visiteurs dans un voyage dans le passé grâce
    aussi bien à l’ambiance médiévale qu’à la reconstitution des batailles
    historiques et tournois full contact, à participation internationale. A
    l’agenda du festival figurent toute sorte d’activités interactives et des
    loisirs pour tous les âges : musique et danses médiévales, ateliers de
    maîtres artisans, jeux médiévaux pour les enfants, jongleurs de feu ou
    dompteurs d’animaux sauvages. Les événements prévus au programme occupent
    quasiment tout le périmètre de la cité bastionnaire d’Oradea, y compris le
    fossé se trouvant de l’autre côté des murs d’enceinte et où les camps médiévaux
    s’étendent sur des milliers de mètres carrés, pour la plus grande joie des
    touristes. Cette année, le festival n’aura pas lieu, malheuereusement, mais sur
    son site on annoncé une nouvelle manifestations l’année prochaine, alors vous
    avez suffisamment de temps pour préparer un séjour en Roumanie pendant ce
    festival.

  • Mai 2021

    Mai 2021

    Inauguré en 2018 à
    l’intérieur de la synagogue orthodoxe Aachvas Rein, le musée est l’expression
    claire de la riche présence des Juifs à Oradea.


    Les visiteurs y
    peuvent découvrir l’histoire de la petite Éva Heyman, âgée de 13 ans qui, tout
    comme Anne Franck, a laissé derrière elle un journal écrit durant ses années
    passées dans le ghetto d’Oradea avant d’être déportée à Auschwitz, devenant
    victime de l’Holocauste.


    Des personnalités
    telles Éva Heyman ou Tereza Mózes – survivante de l’Holocauste -, ont marqué
    fortement l’ambiance créée dans le Musée d’histoire des Juifs d’Oradea. Des
    biographies, des journaux ou d’autres objets personnels y sont également
    exposés.

  • Avril 2021

    Avril 2021

    Cette maison est un des joyaux d’architecture les plus
    précieux de la ville d’Oradea, construite en style Art nouveau (Sécession).
    Suite à une ample rénovation, la Maison Darvas-La Roche accueille maintenant le
    dernier musée en date de la ville : le Musée Art nouveau. L’exposition est
    consacrée aux intérieurs Belle Époque de la ville et reconstitue l’ambiance
    bourgeoise d’Oradea. Ce bâtiment élégant, unique par sa beauté et sa modernité,
    peut se mesurer aux créations les plus originales de l’architecture européenne
    du début du XXe siècle. La Maison Darvas-La Roche a été construite
    entre 1909 et 1912 par les frères Vágó László et József. Une attraction
    particulière de cet édifice, ce sont les vitraux qui décorent les façades et les
    pièces principales, avec des éléments représentatifs pour le monde des plantes
    et des animaux. Le visage féminin qui figure dans les médaillons des vitraux
    confère à leur composition un charme à part.

  • Mars 2021

    Mars 2021

    L’histoire
    de « L’Aigle noir » est liée à une nouvelle vision de développement
    urbanistique de la ville, privilégiant la réorganisation de la Piaţa Mică
    (Piaţa Sf. Ladislau) (la Petite Place ou Place Saint Ladislas), de nos jours
    Piaţa Unirii (Place de l’Union). A l’endroit où le bâtiment se trouve à
    présent, juste au coin est de la Place principale, à l’angle de la rue
    Independenţei et de la Piaţa Unirii (à l’époque, la rue Kossuth et Piaţa Mică),
    il y avait en 1714 un bâtiment avec rez-de-chaussée. C’était l’auberge «
    l’Aigle » ou « la Brasserie de la ville ». C’est là que la plupart des
    événements publics importants d’Oradea étaient organisés jadis : bals,
    réunions, spectacles de théâtre ou événements politiques. Imaginé comme un
    véritable symbole d’une vie citadine moderne et sophistiquée, le palais
    abritait jadis un hôtel, deux salles de cinéma, plusieurs salles de bal, un
    casino, des cafés, des magasins et une banque.

    Le passage en forme d’Y est
    prévu de trois entrées qui permettent l’accès dans un intérieur couvert d’un
    toit en verre selon le modèle des Galeries Victor Emmanuel de Milan. La Galerie
    ou le Passage comme l’appellent les habitants de la ville rassemble la plus
    grande concentration de bars, cafés et bistros d’Oradea dont il est le centre
    de détente le plus important. D’une élégance remarquable, le complexe
    architectural impressionne par ses formes, ses couleurs soigneusement choisies
    et ses décorations. Les deux grands vitraux qui surplombent les entrées et qui
    représentent un aigle en vol ont été exécutés en 1909 dans l’atelier Neumann K.
    d’Oradea. Ils sont devenus un véritable symbole de la ville.


  • Février 2021

    Février 2021

    Œuvre de l’architecte viennois Franz Anton Hillebrandt, le palais a été construit en style baroque autrichien tardif et se voulait une copie de moindres dimensions du Palais du Belvédère de Vienne. En 1773, l’édifice a été affecté par un incendie, mais il est reconstruit à l’identique et finalisé en 1777.



    Dans l’espace devant le Palais et la Cathédrale catholique, un jardin à l’anglaise a été aménagé. C’est là que l’on retrouve deux œuvres d’art d’une grande valeur : la statue en bronze de l’évêque Szaniszló Ferenc (1850–1868), commandée par l’évêque Schlauch Lőrinc et placée du côté nord du lot, respectivement la statue monumentale de Saint Ladislas. Initialement, cette dernière avait été mise en place au centre-ville, en 1892, et replacée ultérieurement, après la Première Guerre mondiale, au centre de l’espace processionnel. Elle est, de nos jours encore, une des principales attractions touristiques de l’endroit.



    Derrière la façade ouest du Palais on retrouve un jardin dans le même style, aménagé par le terrassement d’une colline. Les trois ailes du Palais, disposées en U, délimitent une cour intérieure connue sous le nom de cour d’honneur, reliée aux terrasses inférieures par une rangée de sept marches.



    Devant l’aile sud du Palais on retrouve une composition géométrique réalisée avec des arbustes, cette fois-ci sous forme de lyre. Elle rappelle l’époque de gloire de la musique classique à Oradea, lorsque l’orchestre de la cathédrale, créé par l’évêque Adam Patachich, était dirigé par des personnalités telles Johann Michael Haydn ou Carl Ditters von Dittersdorf.

  • Juin 2021

    Juin 2021

    Ce bâtiment a été érigé de 1904 à 1905. Ce fut pour la première fois à Oradea qua été utilisée la technique de construction à base de plaques de béton armé du type Hennebique, la structure de résistance étant conçue par le professeur des universités et ingénieur Zielinsky Szilárd de Budapest. Le Palais est un nouvel exemple dappétit pour le style Sécession dorigine allemande de Rimanóczy, la Sécession munichoise ou le soi-disant Lilienstil.



    Le Palais est orné de riches décorations végétales et symboliques, dun glissement parfait des courbes et dune ferronnerie Sécession très bien travaillée. Les éléments dominants sont végétaux, notamment les fleurs aux tiges longues, courbes, que lon retrouve sur tous les éléments décorés. Au rez-de-chaussée, les ornements végétaux sont placés sous les fenêtres en baie, en console, autour des balcons aux grilles.

  • Janvier 2021

    Janvier 2021

    Par
    exemple, celle de janvier vous montre la
    forteresse d’Oradea -Un des monuments moyenâgeux les plus importants de
    Transylvanie ! Avec une histoire presque millénaire, la forteresse d’Oradea est
    une attraction touristique à ne pas manquer, pour l’expérience médiévale à part
    qu’elle propose. Son histoire, son architecture, les légendes au sujet de
    certains événements qui ont marqué son existence vous détermineront à passer là
    plusieurs heures. Dès ses débuts, la citadelle d’Oradea a été le noyau de la
    vie politique, militaire, administrative, juridique et religieuse, suite à la
    canonisation, en 1192, du fondateur de l’Évêché d’Oradea en tant que Saint
    Ladislas le Thaumaturge.








    À l’intérieur, il y avait une grande
    bibliothèque, avec des livres apportés d’Italie, un Literarum asylum, lieu de
    rencontre des grands savants humanistes de l’époque, une école capitulaire
    catholique où l’érudit humaniste Nicolaus Olahus a également étudié ainsi qu’un
    observatoire astronomique qui a fixé le méridien zéro des cartes à Oradea, pour
    plusieurs siècles. Ce méridien traversait l’enceinte de la forteresse ; c’est
    le physicien autrichien Georg von Peuerbach qui l’a localisé là, exhorté par
    l’évêque d’Oradea Ioan Viteaz de Zredna, un grand humaniste.






    Plusieurs
    têtes couronnées reposent dans la citadelle : Ladislas Ier de Hongrie, André II
    de Hongrie (1235, et dont la dépouille mortelle a été ultérieurement emmenée à
    l’abbaye d’Egres/Hégerieux (aujourd’hui Igriş), Étienne II de Hongrie, Ladislas
    IV le Couman (1290), la reine Béatrice, épouse de Charles Robert d’Anjou
    (1319), la reine Marie d’Anjou, épouse de Sigismond de Luxembourg (1396), le
    roi-empereur Sigismond de Luxembourg (1437, le seul empereur romain germanique
    dont la sépulture est située hors d’Allemagne). La forteresse d’Oradea
    accueille présentement certains des événements de la ville les plus importants,
    le Festival médiéval étant le plus représentatif. À l’occasion, la cité revient
    à la vie de manière spectaculaire. Voilà
    pour notre carte QSL de janvier.



  • Décembre 2020

    Décembre 2020

    Ses illustrateurs, tels qu’ils sont mentionnés sur le billet, sont D. Stoica et la société Bradbury, Wilkinson&Co. Sur le recto on a le portrait du roi Carol II, à gauche, et un paysage du Danube à droite. Sur le verso, on voit une reproduction du tableau intitulé « L’entrée de Michel Le Brave à Alba Iulia », le moment qui marque la première union des principautés roumaines, un épisode majeur de l’histoire de la Roumanie.

    Ainsi s’achève notre bref passage en revue de l’histoire de la numismatique roumaine. Ces QSL sont un témoignage de quelques-uns des premier billets et des premières monnaies ayant circulé en Roumanie à la fin du 19e et au début du 20e siècle.

  • Novembre 2020

    Novembre 2020

    Ce billet qui fait partie de l’émission de juin 1936 a été dessiné par les peintres Nicolae Grigorescu et Ary Murnu. Le filigrane représente l’effigie du roi Carol II, avec une couronne de laurier et de chêne. Sur le recto du billet on voit des paysannes et des enfants, symboles de travaux agricoles et domestiques. Sur le verso, il y a, à gauche, deux paysannes qui portent des bêches et, à droite, une autre paysanne en train de cueillir des fruits.

  • Octobre 2020

    Octobre 2020

    Lors de la réalisation de la stabilisation monétaire de 1929, les billets de 500 lei, de 2e type, lancés en 1925 étaient toujours utilisées. La première émission de ce billet a été réalisée par la Banque de France. Par la suite, c’est le Service de Fabrication des Billets de Bucarest qui s’en est chargé. Vu que l’industrie roumaine n’avait pas encore assimilé la technologie de la fabrication d’un papier spécial, de qualité, pour ces billets, le papier était toujours livré depuis la France. Clin d’œil maintenant sur ce billet de 1933 que vous avez sur la QSL d’octobre dernier. Son illustrateur, Clément – Serveau y est mentionné tant sur le recto que sur le verso. Dans un rectangle au décor végétal on peut voir une composition allégorique représentant des paysannes en costumes traditionnels, symbolisant les activités domestiques. Au centre, on voit le médaillon au filigrane de la Banque nationale de Roumanie (BNR). Sur le verso, dans un encadré aux motifs traditionnels roumains, on voit une allégorie des activité agricoles et industrielles : deux paysannes, à gauche, qui semblent rentrer après le travail de la terre, et des usines à droite, symbole de l’essor industriel de la Roumanie.

  • Septembre 2020

    Septembre 2020

    Le
    billet de 20 lei de 1896 a été émis par la Banque Nationale de Roumanie. Ses dimensions
    sont de 160 x 96 mm, alors que la couleur utilisée sur le recto et le verso est
    le bleu cobalt. Sur ce billet on voit une femme qui représente la Roumanie.
    Elle est entourée d’enfants et de symboles représentants la Science, le
    Commerce et l’Agriculture. Cette allégorie est sise sur un podium sur lequel il
    est écrit Romania. A gauche et à droite on voit la valeur du billet en chiffres,
    alors qu’au centre il est écrit « Doue deci lei », 20 lei. On peut
    lire également le nom de la Banque, la date de l’émission, le numéro de contrôle,
    la valeur et les signatures autorisées. Deux médaillons aux branches de laurier
    sont dessinés à droite et à gauche de l’allégorie mentionnée. La série et le
    numéro du billet sont marqués à l’encre noir dans les coins.






    Sur
    le verso, on voit les mêmes inscriptions « Doue deci lei » et « Romania
    ». Tout comme sur les autres billets de l’époque, le texte sur les sanctions
    encourues par ceux qui tentent de falsifier l’argent ne manque pas. A droite et
    à gauche deux paysannes symbolisent l’agriculture et les activités domestiques,
    alors que deux hommes représentent l’industrie et la navigation. Dans la partie
    supérieure du billet on voit un aigle portant l’emblème de la Roumanie dans ses
    griffes. Enfin, la composition centrale représentant les deux hommes et les
    deux femmes est flanquée par des médaillons contenant l’un l’effigie de l’empereur
    Trajan, l’autre l’effigie de la Dacie. Voilà pour notre QSL du mois de septembre,
    le billet de 20 lei de 1896, une composition très complexe, tentant de réunir
    les principaux symboles de la Roumanie de l’époque. (Trad. Valentina Beleavski)



  • Août 2020

    Août 2020

    Le premier billet
    roumain de 20 lei était imprimé il y a plus de 13 décennies, le 19 janvier
    1881. En fait, cette date marque le jour où son impression a été approuvée lors
    de la séance du Conseil d’administration de la Banque Générale de la Roumanie.
    Ses dimensions sont de 160 x 98 mm. Les couleurs utilisées sur le recto et le verso
    sont le rouge et le brun. Sur le billet il est écrit à l’encre noir « Doue
    deci lei », on y voit le chiffre 20 aussi accompagné de l’inscription :
    « Emis en base d’un privilège spécial et couvert par un dépôt en numéraire à la
    Banque de l’Empire Allemand. Banque Générale Roumaine. Section d’émission ». Sous
    l’inscription, il y a les signatures Lehman et Petersen et la série du billet imprimée
    à l’encre rouge. Sur le verso, deux panneaux symétriques séparent le billet. Il
    y est écrit la valeur du billet en chiffres et en lettres ainsi qu’un texte
    présentant les sanctions encourues par ceux qui tentent de falsifier l’argent.
    Au centre, il y a deux médaillons avec les représentations de Mercure et de la
    déesse Cérès, sans oublier la mention du nom de la banque. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Juillet 2020

    Juillet 2020

    Une
    fois la Première Guerre Mondiale éclatée, sur toile de fond de l’inflation à la
    hausse, la circulation de la monnaie en métal a chuté dramatiquement surtout
    qu’il était impossible d’en produire à l’étranger. La solution : imprimer des
    billets pour remplacer les pièces de monnaie. Tous les billest de l’époque ont
    été imprimés par le Service géographique de l’Armée et ont eu pour élément
    commun le portrait du Roi Ferdinand. Ce furent les premiers billets à porter
    l’effigie d’un monarque.

    Pour ce qui est du billet de 50 bani, à retrouver sur
    notre carte QSL de juillet, ses dimensions sont de 45 x 57 mm. Sur le recto les
    couleurs utilisées sont le vert et l’ocre. Au centre du billet est placé le
    buste du roi Ferdinand Ier, orienté vers la gauche. Dans la partie supérieure
    du billet, dans un rectangle il est écrit România/Ministerul Finanțelor -
    Roumanie/ Le ministère des Finances. S’y ajoutent les signatures autorisées du
    Ministre des Finances, du directeur de la Comptabilité centrale de l’Etat et du
    Caissier général du Trésor Public.

    Sur le verso, on n’a utilisé qu’une seule
    couleur : le vert. Au centre l’on voit l’emblème de la Roumanie au-dessus de
    laquelle on a écrit la valeur du billet Bani Cincinzeci – 50 bani. Dans la
    partie inférieure, on peut lire un texte sur les sanctions contre ceux qui
    tentent de falsifier le billet et la mention Le Service Géographique de
    l’Armée. Voilà donc pour la QSL de juillet, qui vous montrera le billet de 50
    bani imprimé en 1917 pour remplacer la pièce de monnaie équivalente. A noter
    que le ban est la sous-division du leu. (Trad. Valentina Beleavski)