Category: RRI Alternatives

  • “Kundera, Ecrire, quelle drôle d’idée” de Florence Noiville, traduit en roumain par Florica Courriol

    “Kundera, Ecrire, quelle drôle d’idée” de Florence Noiville, traduit en roumain par Florica Courriol

    Lancée dans le cadre de l’édition 2024 de la Foire du livre Bookfest, déroulée du 29 mai au 2 juin dernier, la traduction du français en roumain de l’ouvrage de Florence Noiville « Kundera, Ecrire, quelle drôle d’idée » par Florica Courriol, pour les éditions roumaines Curtea Veche, a éveillé l’intérêt aussi bien de la presse que des lecteurs. Connue comme écrivaine, journaliste littéraire et auteure de biographie, Florence Noiville a été présente à la Foire Bookfest, accompagnée par la traductrice littéraire Florica Courriol. J’invite les deux à nous parler de ce bel ouvrage paru chez Gallimard, en 2023 et qui rend hommage à Milan Kundera, l’une des plus grandes plumes de notre époque. Dans une ambiance de foire électrisante, Florence Noiville et Florica Courriol témoignent au micro de RRI.

  • Première édition du festival Amzei Block Party de Bucarest

    Première édition du festival Amzei Block Party de Bucarest

    Comment se réapproprier l’espace ? Comment faire communauté et redonner un nouveau souffle à son quartier ? Voilà ce que proposait l’association Arcen qui a récemment organisé la première édition du festival « Amzei Block Party – Réimaginer Bucarest ». L’objectif ? réinvestir sa rue et son quartier, le temps d’un week-end, pour transformer un lieu de passage en lieu de rencontre.

    Pour ce faire, ARCEN a mobilisé de nombreux acteurs et partenaires locaux, afin de rendre piétonne une partie des rues Cristian Tell et Biserica Amzei, en plein cœur de la capitale roumaine. Ce carrefour au pied de l’Ambassade française et de la désormais emblématique Mita Biciclista, habituellement envahi par les voitures, s’est mu en terrain de jeu pour les enfants et en lieu de sociabilisassions pour les adultes. Atelier, jeux, ou simples moments de détente, les Bucarestois ont pu réinvestir ce petit coin urbain autour de la « Table infinie » conçue à cette occasion par l’architecte français Olivier Vadrot.

  • Les contes bougons, de Stéphane Ilinski, traduit en roumain par Felicia Mihali

    Les contes bougons, de Stéphane Ilinski, traduit en roumain par Felicia Mihali

    Stéphane Ilinski, auteur des Contes bougons, paru en français chez les Editions Hashtag est venu en Roumanie pour participer à la Foire du livre Bookfest, de Bucarest. Il n’est pas venu en simple spectateur, même s’il se dit attiré par la poésie des grands classiques roumains, mais pour lancer la traduction en roumain de son recueil, chez les Editions Vremea. Davantage sur son parcours littéraire, sur les sujets qui lui tiennent au cœur, sur ses sources d’inspiration, mais aussi sur sa relation avec la Roumanie, dans l’entretien que Stéphane Ilinski a eu sur les ondes de RRI.

  • Sites roumains au patrimoine mondial de l’UNESCO

    Sites roumains au patrimoine mondial de l’UNESCO

    Le patrimoine mondial de l’UNESCO comprend un ensemble de biens culturels et naturels considérés comme ayant une valeur universelle exceptionnelle pour l’héritage commun de l’humanité. Nous allons dans ce contexte découvrir 5 merveilles de la Roumanie. Au micro de RRI : Daniella Mwolbonne et Valentina Beleavski

     

  • Le Festival international de littérature d’Odessa accueilli par Bucarest

    Le Festival international de littérature d’Odessa accueilli par Bucarest

    Dans le contexte de la guerre en Ukraine, la IXème édition du Festival international de littérature d’Odessa aura lieu à Bucarest, du 22 au 25 février. Accueillie par l’Institut Goethe de la capitale roumaine et déroulée sous l’ombrelle d’EUNIC Roumanie, le réseau des instituts culturels nationaux de l’Union européenne, l’édition 2024 se veut, par la programmation qu’elle propose, à la hauteur de notre soutien à l’Ukraine. Pour plus de détails sur les journées du festival, j’ai invité au micro M. Joachim Umlauf, directeur de l’Institut Goethe de Bucarest.

  • Chien Noir

    Chien Noir

    En ce début d’année 2024, le chanteur de variété française Chien Noir, effectue une tournée musicale internationale qui comprend plusieurs dates en Roumanie. L’artiste effectue des concerts dans le cadre de la promotion de son album « Apollo », sorti en octobre dernier, l’occasion de découvrir un tout nouveau pays, et de se confronter aux nombreux défis que ce type de tournée implique. « Défendre son projet à l’étranger » ; « se mettre en difficulté » ou encore « vaincre la barrière de langue », le chanteur s’est livré sur les raisons qui l’ont motivé à venir en Roumanie, et son rapport à la scène internationale lors de son passage à Bucarest. Un reportage signé Alan Le Cunff, pour RRI.




  • Le cimetière des héros, d’Adrian Lesenciuc

    Le cimetière des héros, d’Adrian Lesenciuc

    Considéré comme un véritable roman kafkaïen de la littérature roumaine, « Le cimetière des héros » d’Adrian Lesenciuc est paru fin janvier dernier chez les Editions Bleu et Jaune, dans la collection Fictions Europe et avec le soutien d’Europe creative. Sa traduction du roumain en français porte la signature de Iulia Badea Guéritée et Raymond Clarinard. Publié en Roumanie par les Editions Libris, le roman est le premier titre que ces maisons d’édition roumaines lancent en Europe et notamment, en France. Pour plus de détails sur cette histoire placée dans l’Etat imaginaire du Bhéristan, nous avons invité au micro l’écrivain Adrian Lesenciun et la traductrice, Iulia Badea Guéritée.

  • La fresque du climat à Kyralina

    La fresque du climat à Kyralina

    En 2024, la librairie française de Bucarest Kyralina décide de s’engager pour le climat. Tous les derniers samedi du mois, l’établissement tient des ateliers de sensibilisation à l’écologie ouverts à tous, en collaboration avec l’association Climato Sfera. Le dispositif a été officiellement lancé ce samedi 27 janvier par la réalisation d’une Fresque du Climat collaborative. Pour davantage de détails sur cet événement, Alan Le Cunff s’est entretenu avec les différents acteurs de l’événement. Voici son reportage pour RRI.

  • « Monica Lovinescu – la voix qu’on nous a donnée »

    « Monica Lovinescu – la voix qu’on nous a donnée »

    L’ancienne résistante et journaliste roumaine Monica
    Lovinescu est mise à l’honneur dans une exposition éponyme à la casa Mița Biciclista de Bucarest. En se basant sur des archives de
    l’ancien régime communiste et des documents personnels, cette exposition nous
    présente la vie de celle qui incarnait la voix de Radio Europa Liberă des
    années 1960 jusqu’à la chute du régime en 1989. Un récit qui surpasse les
    frontières radiophoniques, et livre l’histoire d’une femme engagée pour son
    pays et la lutte pour la liberté.




    Fille du célèbre écrivain roumain,
    Eugen Lovinescu, Monica Lovinescu était promise à un grand destin. Etudiante
    parisienne, metteuse en scène puis résistante et journaliste notable, sa vie
    fut aussi riche que mouvementée. Ennemie officielle du gouvernement roumain,
    mais secrètement écoutée et adulée par la population, Monica Lovinescu a
    contribué à diffuser l’information au sein d’un pays où la liberté d’expression
    était confisquée. De 1961 jusqu’à la chute du régime dictatorial en 1989, la
    journaliste a permis à ses compatriotes de se tenir informés de l’état du monde
    au-delà du rideau de fer depuis son appartement parisien.


    Son œuvre continue de vivre au XXIème
    siècle et a récemment reçu un second souffle. Depuis novembre 2023, la vie
    méconnue et mouvementée de Monica Lovinescu est dévoilée dans une exposition
    éponyme à la Mița Biciclista de Bucarest. Plus
    de 30 ans après la fermeture d’Europa Liberă, la voix iconique de la radio est
    rattachée pour la première fois à une personne physique, dont on découvre
    l’histoire au fil des pièces que l’on traverse. Cette exposition se
    présente comme un double récit qui mêle des éléments personnels de la vie de
    Monica Lovinescu à des éléments de contexte historique. La visite est
    agrémentée de reconstitutions d’époques, comme un appartement roumain des
    années 50, et un autre des années 80. On retrouve également des extraits
    audiovisuels d’époque, ainsi que des courriers personnels privés hérités de
    Monica Lovinescu elle-même. Enfin, on retrouve des documents déclassifiés de
    l’ancienne milice roumaine, la Securitate, tels que des photos de filage et des
    transcriptions téléphoniques.


    Cette œuvre participe à un travail de
    mémoire important pour la Roumanie. Pour la Mița Biciclista, il s’agit de la deuxième exposition accueillie depuis sa
    réhabilitation en centre privé en 2022. En attendant de trouver un repreneur
    pour l’exposition, la mémoire de la journaliste continuera au moins de vivre au
    travers d’une statue érigée en son honneur en décembre dernier, dans le
    quartier Cotroceni de Bucarest. Initialement prévue jusqu’au 30 décembre
    l’exposition a été prolongée jusqu’au 4 février, victime de son succès.



    Alan
    Le Cunff est allé à la rencontre de Sabine Schneider, membre de l’association
    ARCEN et coordinatrice de l’exposition. Voici son reportage, pour Radio
    Roumanie Internationale.

  • Paris-Odessa, un voyage en photos

    Paris-Odessa, un voyage en photos

    Jusqu’au 17 février, l’institut Goethe
    de Bucarest accueille le dernier projet de l’artiste française Géraldine Cario,
    en collaboration avec l’Institut français. La double exposition contemporaine « Paris-Odessa
    voyage en clair-obscur », et « mots tombés au champ d’honneur – Les
    routes de l’exil…et du retour », est ouverte et gratuite au public, dans
    le pavillon de l’institut allemand, sur les heures d’ouvertures. De France jusqu’en
    Ukraine, en passant par l’Allemagne et la Roumanie, Géraldine Cario a poursuivi
    les noms de lieux entendus dans son enfance. Situé dans une pièce tamisée de
    l’institut Goethe de Bucarest, l’exposition est un témoignage de ce voyage
    initiatique réalisé en 2011 en plein cœur de l’Europe. En mêlant poésie,
    photographies et témoignages, la visite se fait le témoin du passé familial
    riche et complexe de l’artiste, et dans le même temps invite les spectateurs à
    redécouvrir le vieux continent et son histoire. Un reportage par Alan Le Cunff.



  • Edition 2024 du Winter Romania Historic Rally

    Edition 2024 du Winter Romania Historic Rally

    Du 19 au 21 janvier, les Carpates roumaines se transforment en terrain de rallye géant à l’occasion du Winter Romania Historic Rally. Pour la 8ème édition de la course, près de 400 km de route ont été fermées au public autour de Comandău, en Transylvanie. La compétition est ouverte à tous les amateurs de pilotage extrême et promet un spectacle unique sur les sentiers enneigés et verglacés de ce début de saison. L’événement est gratuit et accessible au public.

    Le Winter Romania Historic Rally est une compétition officielle et reconnue par la fédération roumaine de sports automobiles. Depuis ses débuts, ce spectacle a lieu en plein centre de la Roumanie, un choix technique et personnel de l’organisation, qui partage un attachement particulier à la région.

    Chaque année depuis 2017, l’événement rameute des dizaines d’équipages et des centaines de spectateurs passionnés dans les moyens plateaux de Transylvanie. L’hébergement et le transport vers l’événement ne sont pas pris en compte pour les spectateurs, mais des tronçons entiers sont aménagés spécialement profiter du spectacle. Dans l’ADN de la compétition, on retrouve la conduite sur sols glissants et l’utilisation exclusive de voitures anciennes, immatriculées avant 1995. Cette année, les organisateurs attendent 23 équipages, venus principalement de France et de Belgique mais également de Roumanie.

    Pour davantage de détails sur cet événement, Alan Le Cunff s’est entretenu avec Paul Lacombe, ancien pilote de rallye et co-organisateur de l’événement. Voici son reportage pour RRI.



  • Francophonie, jeunesse et médias

    Francophonie, jeunesse et médias

    La
    radiodiffusion roumaine encourage souvent l’éducation aux médias par des
    projets déroulés en partenariat avec les facultés de journalisme et les lycées
    roumains. En voici un exemple. En novembre dernier, l’agence de presse de la
    radio publique roumaine, RADOR, a marqué une nouvelle collaboration avec la
    faculté de journalisme de Bucarest et l’Université de Tours, en France.

    Des
    étudiants français accompagnés de deux professeurs sont venus à Bucarest pour
    travailler aux côtés des étudiants roumains en journalisme au sein de la
    rédaction de RADOR afin de mettre sur pied plusieurs projets journalistiques
    estudiantins : un reportage sur la vie des jeunes roumains et un autre sur
    les réfugiés ukrainiens de Roumanie. S’y ajoutait une table ronde en langue
    française sur la thématique des fake news, organisée dans le cadre du prestigieux
    Salon du Livre Gaudeamus, un autre produit de Radio Roumanie.


    Pour
    nous parler de cette belle collaboration qui met à l’honneur la francophonie,
    les médias et la jeunesse nous avons invité dans le studio de RRI Laure Colmant
    et Laurent Bigot, les deux professeurs de l’Université de Tours qui ont
    accompagné les étudiants français à Bucarest. Ils sont au micro de Valentina Beleavski.

  • Canal France International, au service des médias.

    Canal France International, au service des médias.

    Optimiser les compétences et les offres de contenus des médias pour proposer une information vérifiée, fiable et plurielle. C’est le but de CFI – Canal France International – une agence qui accompagne partout dans le monde les journalistes et membres de la société civile, engagés en faveur de l’indépendance de l’information. L’agence soutient les médias et la société civile via des formations, du conseil stratégique, le partage d’expériences, de la mise en réseau et le financement de projets. Elle anime également une communauté internationale composée de médias indépendants, de blogueurs et blogueuses, d’activistes, d’influenceurs et influenceuses. Créé en 1989, CFI est un opérateur public financé principalement par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE) dans le cadre de la politique de développement solidaire de la France. Depuis 2017, est une filiale du groupe France Médias Monde (FMM), la société nationale de programmes en charge de l’audiovisuel extérieur de la France. Le groupe France Médias Monde réunit la chaîne d’information continue trilingue France 24, la radio mondiale (RFI) et la radio en langue arabe Monte Carlo Doualiya (MCD). A l’occasion de l’inauguration à Bucarest du pole régional « Europe centrale et orientale », Thierry Vallat, le Président directeur général de Canal France international a donné une interview à Eugen Cojocariu de RRI.



  • Radio France Internationale Roumanie lance la rédaction en langue ukrainienne

    Radio France Internationale Roumanie lance la rédaction en langue ukrainienne

    Pour France Médias Monde, l’Europe a acquis une nouvelle dimension. Ce 23 novembre, Radio France Internationale Roumanie a marqué le lancement de la rédaction en langue ukrainienne, un projet dans le cadre duquel l’antenne de Bucarest a joué un rôle crucial. La Capitale roumaine devient un centre régional particulièrement important pour le groupe France Média Monde, dont fait partie aussi RFI. Tout cela témoigne de l’engagement fort de la France dans la région de l’Europe centrale et de l’est. Marie – Christine Saragosse, la présidente et directrice générale de France Médias Monde s’est exprimée à cette occasion au micro d’Eugen Cojocariu.



  • L’écrivaine Maylis de Kerangal

    L’écrivaine Maylis de Kerangal

    Présente à l’édition 2023 du Festival international de
    littérature et de traduction littéraire FILIT, j’ai eu le plaisir et la chance
    de m’entretenir avec Maylis de Kerangal, de son roman « Réparer les
    vivants », paru en 2020 aux Editions Litera, dans la traduction de Laurențiu
    Malomfălean. C’est un titre qui en 2016, a figuré dans la première section du
    Man Booker International, un roman traduit en plus de 40 langues étrangères,
    une histoire qui a inspiré un film. J’espère que notre discussion sera
    suffisamment passionnante pour que vous ignoriez le fonds sonore dont on a
    bénéficié, malgré nous, au moment de l’entretien qui a eu lieu dans le hall de
    l’hôtel Unirea, de Iasi.