Tag: Baia Mare

  • 25.11.2023 (mise à jour)

    25.11.2023 (mise à jour)

    Céréales – La Roumanie a assumé un rôle particulièrement important dans le transit des céréales ukrainiennes vers les marchés internationaux et elle est toujours solidaire avec l’Ukraine, a déclaré samedi le premier ministre roumain, Marcel Ciolacu, dans une intervention enligne au Sommet de Kiev relatif à la sécurité alimentaire mondiale. Plus de 60% du total des exportations ukrainiennes de produits agricoles sont passées par les corridors de transport de Roumanie, a dit le chef du gouvernement de Bucarest. Il a ajouté que durant la période qui suit, les autorités de Bucarest visaient à augmenter la capacité de transport avec le soutien direct des partenaires internationaux et de l’Union Européenne. M Ciolacu a condamné les attaques illégales et injustifiées de la Russie en Ukraine, qui constituent des crimes de guerre, ainsi que les bombardements russes à proximité avec la frontière avec la Roumanie qui touchent l’infrastructure nécessaire au transport des céréales sur les marchés internationaux.

    Baia Mare – Le maire de la ville de Baia Mare, dans le nord-ouest, Cătălin Cherecheș, s’est enfui vendredi de Roumanie quelques heures avant d’être condamné à cinq ans de prison ferme pour corruption, ont annoncé ce samedi la Police roumaine aux frontières. Celui-ci aurait traversé la frontière en tant que passager dans un taxi et aurait utilisé les documents d’identité d’un membre de sa famille qui lui ressemblait physiquement. L’agent de la police aux frontières qui a vérifié ses documents est actuellement poursuivi.

    Corruption – En Roumanie, la commission
    juridique du Sénat doit répondre jusqu’à mercredi à la demande de la Direction
    nationale anticorruption visant le déclenchement des poursuites pénales dans le
    cas de l’ex premier ministre, actuellement sénateur libéral, Florin Cîţu. Il est accusé d’abus de fonction, dans le dossier de l’achat des vaccins anti-covid durant la pandémie. Les leaders du PSD et du PNL (qui constituent l’alliance gouvernementale) ont fait savoir que les parlementaires de leurs partis voteraient en faveur de la levée de l’immunité de Florin Cîţu. Les anciens ministres de la Santé de l’Union Sauvez la Roumanie (USR) – de Vlad Voiculescu et Ioana Mihaila sont accusés d’abus de fonction dans le même dossier, mais c’est au président Klaus Iohannis de donner son accord en faveur de la levée de leur immunité. Selon les procureurs, les trois responsables auraient décidé de l’achat de de 52 millions de doses de vaccins de plus que le nécessaire réel, provoquant ainsi un préjudice à l’Etat de plus d’un milliard d’euros.

    Gaudeamus – Malgré une météo particulièrement mauvaise, les passionnés de la lecture ont été nombreux à visiter ce samedi le Salon du livre Gaudeamus Radio România. Dans le pavillon central du centre d’exposition Romexpo de Bucarest, le public a été attiré par l’offre éditoriale, par les rabais considérables mais aussi par les principaux événements au programme du jour. Le pavillon de la Radio publique roumaine a accueilli par exemple un atelier de BD, déroulé en présence de l’écrivaine Ana Blandiana et le lancement de deux livres pour enfants. Egalement au sujet des lancements de livre, aujourd’hui la journaliste de RRI Monica Ghita -Stoica a lancé son volume « Il était une fois à la radio (1928-1938) ». Le livre vise les étudiants et les spécialistes philologues, aux journalistes, aux sociologues ainsi qu’au grand public qui souhaite découvrir quelle était la place de la Roumanie dans le secteur de la communication radiophonique internationale de 1928 à 1938. La 30e édition du Salon international du livre Gaudeamus Radio Roumanie, le plus vieil événement de ce genre du pays fermera ses portes dimanche.

    Environnement – L’Etat roumain propose le financement le plus important de l’Union européenne pour l’achat de voitures électriques et hybrides, a déclaré vendredi le secrétaire d’Etat du ministère de l’environnement, des eaux et des forêts, Bogdan Balanişcu. Il s’agit de tickets de valeur qui pourraient dépasser les 10 000 euros, pour un citoyen roumain qui souhaite s’acheter une voiture électrique. Le programme vise à faire sortir des routes quelque 250 mille voitures anciennes, afin de réduire la pollution que ces vieilles voitures créent, a expliqué le dignitaire. Selon les derniers chiffres envoyés par le ministère de l’Intérieur, quelque 8 000 véhicules à zéro émission de carbone ont été immatriculés en Roumanie durant le premier semestre de l’année 2023.

    Météo – La
    météo s’est dégradée dramatiquement ce weekend à travers le pays. Jusqu’à
    dimanche les températures ne dépasseront plus les 10 degrés. Des pluies et des
    chutes de neige sont attendues sur toutes les régions, y compris à Bucarest.
    D’ailleurs les météorologues ont émis deux alertes l’une code orange et l’autre
    code jaune valable le long de ce weekend sur le nord, mais aussi sur le sud-est
    des régions où des tempêtes de neige sont attendues. 5 degrés sous la pluie en ce moment à
    Bucarest.

  • Sports Flash

    Sports Flash


    Romanian football side Farul Constanta has qualified for the playoffs of the European football competition Conference League after a victory against the Estonian champions Flora Tallinn. On Wednesday, the team coached by the former Romanian football legend Gheorghe Hagi secured a 2-0 win in the away match against Tallinn. Rivaldinho put Farul in the lead in the fourth minute and Constantin Badescu added the victory goal in the 18th minute. Farul also won the first match at home 3-0 and will next take on the side, which loses the game pitching the Azerbaijani eleven Qarabag and the Finns from HJK Helsinki in the third preliminary round of the second continental competition Europa League.


    Qarabag won the first match 2-1. To qualify for the final tournament of a European competition would be a first for Farul. Also in the third preliminary round of Europa Conference League in Kazakhstan, local side Aktobe will be playing Romanian side Sepsi Sfantu Gheorghe and in Denmark, the local team Nordsjaelland will be up against the Romanian eleven FCSB.


    Romanian tennis player Sorana Cirstea on Wednesday left the WTA 1000 tournament in Cincinnati, a tournament with roughly 2,800,000 dollars in prize money. She was defeated in the competitions second round, 2-6, 6-3, 7-5 by eighth seeded Maria Sakkari of Greece. Sorana started off on the right foot and scored 4-0 in the first set, which she eventually won 6-2. However, Sakkari made a good comeback in the second set, which she won 6-3. In the decisive set, at five-all, the Greek challenger managed to make the difference with a break. Soranas qualification for the second round in Cincinnati brought her a check of 17,930 dollars and 60 WTA points.


    The technical board of Romanias national rugby side has set the lineup, which will represent the country at the World Cup in France. The teams skipper is Cristi Chirica, a player, who also led the Romanian fifteen in their game against the Tonga kingdom in a match held in Bucharest in November 2021. Chirica was also one of the main scorers of the Romanian fifteen in this years edition of Rugby Europe Championships with 5 tries. According to Agerpres news agency, out of the 33 players summoned, 9 are playing in France and 24 in Romania. 8 of them come from Steaua Bucharest, 6 from CSM Stiinta Baia Mare, five from Dinamo Bucharest and five from SCM USV Timisoara.


    On Saturday, the Romanian fifteen will be taking on Italy in their last test match ahead the World Cup. On September 9th, in the World Cup in France, the Romanian side will be playing Ireland in Bordeaux. Eight days later they will be up against defending champions South Africa and on September 8th against Scotland. They will play their last game in the world Cup against Tonga on October 8th.


    (bill)


  • De nouvelles courses aériennes pour la saison estivale.

    De nouvelles courses aériennes pour la saison estivale.

    Plusieurs
    aéroports de Roumanie ont annoncé de nouvelles courses aériennes pour cet été.
    C’est le cas de l’aéroport international Mihail Kogalniceanu, de Constanta, desservi
    par la compagnie aérienne roumaine, AirConnect. Les vols opérés sont à
    destination de Timisoara, et Cluj et ils seront en place les jeudis et les
    dimanches d’ici au 17 septembre. A partir du 24 juillet, la même compagnie
    déménagera de l’aéroport Bucarest Băneasa – Aurel Vlaicu à celui d’Henri
    Coanda, ce qui permettra aux voyageurs de bénéficier d’un terminal moderne, à
    quelques minutes de la capitale roumaine. AirConnect a sur la carte de ses
    itinéraires des destinations internationales, telles Budapest, mais surtout des
    destinations internes comme par exemples, Baia Mare – nord, Sibiu – centre,
    Suceava – nord, Târgu Mureș – centre).


    A partir du mois
    de septembre, la compagnie low-cost Wizz Air réintroduit deux vols à
    destination d’Antalya depuis les aéroports de Bucarest et de Cluj. Les courses
    au départ de l’aéroport international Henri Coanda, près de la capitale, auront
    lieu chaque lundi et vendredi à partir du 1 septembre et celles au départ de
    Cluj sont prévues deux fois par semaine, jeudi et dimanche, à commencer par le
    3 septembre.


    Parmi les
    aéroports de Roumanie, celui d’Otopeni est le plus fréquenté, avec 72,5% du
    total des voyageurs roumains. Il est suivi par celui de Iasi, plus de 8% et
    Cluj, presque 8%. Il s’agit en fait des trois aéroports internationaux les plus
    importants de Roumanie. La liste se complète par les aéroports de Suceava,
    Craiova, Bacău, Sibiu, Oradea, Baia Mare, Constanţa, Târgu Mureș et Satu Mare,
    beaucoup moins fréquentés que les trois autres. En revanche, la situation peut
    changer, puisque le nombre des Roumains qui optent pour des aéroports de
    petites dimensions est à la hausse. Les principales destinations des voyageurs
    qui préfèrent les aéroports moins fréquentés sont les villes à recenser
    d’importantes communautés de ressortissants roumains, à savoir Londres, Rome,
    Milan, Bruxelles, Paris, Dublin, Venise, Francfort.



    Quant aux prix des billets au départ des aéroports de
    Roumanie, sachez que les tarifs les plus chers sont ceux pratiqués par
    l’aéroport de Cluj. Au pôle opposé, on trouve l’aéroport Henri Coanda
    d’Otopeni. Le fait qu’un aéroport plus petit pratique des tarifs plus élevés
    s’explique par le principe de l’offre et de la demande. Les aéroports moins
    fréquentés n’arrivent pas à générer un trafic suffisamment grand pour remplir
    les avions ou attirer les compagnies low-cost.

  • Tudor Suciu din Regatul Unit al Marii Britanii şi Irlandei de Nord

    Tudor Suciu din Regatul Unit al Marii Britanii şi Irlandei de Nord

    Băimăreanul Tudor Suciu din Regatul Unit al Marii Britanii şi Irlandei de Nord, fost medaliat cu aur, argint şi bronz la diferite ediţii ale Olimpiadei Internaţionale de Astronomie şi Astrofizică, absolvent de geofizică al University College London, doctorand în Applied Artificial Intelligence for Environmental Risks (inteligenţă artificială aplicată pentru diminuarea riscurilor de mediu) la Universitatea Cambridge.



  • Anamaria Cristina Pop din Belgia

    Anamaria Cristina Pop din Belgia

    Maramureşeanca Anamaria Cristina Pop din Belgia, absolventă de litere a Universității de Nord din Baia Mare, cu studii în resurse umane și management la Bruxelles, autoarea volumului de versuri «Dincolo de cuvinte», jurnalistă la revista online Timpul din Belgia, coordonatoarea şcolii parohiale de la Parohia Sfinţii Apostoli din Zeebrugge, Belgia.



  • Chipuri și cămeși

    Chipuri și cămeși

    O
    expoziție inițiatică a spațiului rural tradițional maramureșean adusă la
    București de specialiștii Muzeului Județean de Etnografie Baia Mare. Cu: Virgil Ștefan Nitulescu, managerul Muzeului Național al Țăranului Român și
    Gabriel Motica, artist fotograf.


  • Easter in Maramureș

    Easter in Maramureș

    One of the traditional Easter destinations in Romania is the region of Maramureș, in the north, where customs and traditions are well preserved. The tourist offer of Maramureș is comprehensive and addresses both those who want an active holiday and those interested just in relaxation. In addition, the local craftspeople organize shows in which they display their talent.



    Our guide today is Dan Carpov, a promoter of Maramureș region: “In Maramureș, Easter is a time of joy, when people are happy to observe the region’s ancient traditions and customs. They wear traditional costumes, dance and prepare delicious dishes. The Easter traditions of the region are famous even abroad. The people of Maramureș value humaneness, family, and respect for the others. Easter is a good period for tourism, and those who want to visit Maramureș will find many locations worth a visit as well as many attractive programs. One such program is called ‘Easter in Maramureș’ which is also a unique event. It is organized in Sighetu Marmației on the occasion of the Easter holiday, Easter being the biggest Christian holiday, and also an opportunity for the people of Maramureș to live moments of holy joy within their community and together with tourists. ‘Easter in Maramureș’ wants to promote the traditional village of Maramureș, with all its charm: music, traditional dress, crafts and food. And everything takes place in an authentic location: the Maramureș Village Museum in Sighetu Marmației.”



    You may wonder what a trip to Maramureș during the Easter holiday would look like. Here is Dan Carpov, a promoter of Maramureș with details: “I would start the trip in the city of Baia Mare, a gateway to Maramureș. Another gate to the region is Sighetu Marmației, the other important city of Maramureș county. I would make a daily schedule and start with Maundy Thursday, when tourists are supposed to attend the religious service in church, where the people of Maramureș usually give food and clothes to those in need, in memory of the souls of their dear ones that have passed away. Friday is a sad day in the Orthodox calendar, and Christians fast and pray, and go to church to attend a special service, dressed in their traditional attire, which is an occasion for tourists to admire the beauty of the Maramureș folk costumes. On Saturday the general atmosphere is getting more optimistic. People make the last preparations for the Easter celebrations and the housewives are giving the final touch to the special Easter dishes and prepare for the Easter Day. On Sunday, families meet for the Easter festive meal, and a special tradition on this day is the painted-egg knocking. All guesthouses in the region offer Easter packages, in which tradition comes first.”



    For the more active tourists, Maramureș offers lots of possibilities from the picturesque hiking trails to the region’s lakes and rivers, just good for a bath in summer. Dan Carpov, is back with details: “The warm weather is just setting in, and we are already nostalgic about the ski slopes with a lot of snow, which were the delight of tourists in winter: the new Olympic slope from Borșa, the Șuior, Cavnic, and Izvoare resorts. All these slopes live up to European standards. Cyclists can enjoy wonderful routes, away from the traffic. The bicycle routes were recently refurbished and marked in cooperation with the Maramureș County Mountain Rescue Service. Preparations are being made for the mountain running, bike triathlon, and swimming competitions for the coming season, and in some areas of Maramureș people can also practice paragliding, another fashionable sport at present.”



    Maramureș is famous for its centuries-old wooden churches which visitors should not miss, although it’s hard to see them all in one single visit. Dan Carpov has more: “I would recommend the ‘Circuit of the wooden churches in Maramureș’. It is a very dear project that has been recently included in a European circuit which comprises all these impressive places of worship. The circuit presents 16 wooden churches that spread on an area of ​​about 300 km. Obviously, we do not recommend a quick visit, but it is important to know that, of all these churches, eight are included on the UNESCO heritage list. Every wooden church is waiting for tourists to discover its secrets.”



    The region of Maramureș also boasts an authentic tradition of woodcarving, and those who visit the area will have the chance to admire the famous wooden gates, houses, and churches as well as other wooden objects, used for decoration or in the households. Dan Carpov is back at the microphone with more: “Pottery is another traditional craft in the region of Maramureș, just like traditional dress making. Many hardworking women process materials in spectacular ways, and they make traditional costumes from scratch. We are not talking only about traditional shirts and dresses made with ancient techniques, we refer to the whole folk costume. These costumes are always in high demand, because they are worn both by the artists of the region and by ordinary people when they participate in various events such as weddings and baptisms.”



    That is why Maramureș is such a popular destination during the Easter holiday. So, don’t waste any more time, contact your tour operator in advance and book a trip for next year’s Easter celebrations in Maramureș county, Romania. (LS)

  • Im Kampf gegen Covid-19 Infektionen: Lokale Quarantäne nicht ausgeschlossen

    Im Kampf gegen Covid-19 Infektionen: Lokale Quarantäne nicht ausgeschlossen

    Seit dem Ausbruch der Coronavirus-Pandemie hat die Angst vor diesem Virus alarmierend zugenommen, da es sich recht schnell verbreitet. Wissenschaftler rennen gegen die Zeit, um einen Impfstoff zu finden, der die Menschen vor dem Virus schützt. Unterdessen ergreifen die staatlichen Behörden Ma‎ßnahmen, um die Ausbreitung der Infektion so weit wie möglich einzudämmen. Viele Länder haben wieder neue Restriktionen eingeführt, da die Zahl der mit SARS-CoV-2 infizierten Menschen wieder zu wachsen begonnen hat und Experten glauben, dass die zweite Welle der Pandemie schwerer sein könnte als die erste. In Rumänien führen mehr Ortschaften einen Lockdown ein, um die gro‎ße Zahl der COVID-19-Fälle bewältigen zu können. Am Mittwoch wurde die Stadt Baia Mare im Nordwesten des Landes für 14 Tage komplett abgeriegelt. Auf der Hälfte des rumänischen Territoriums wurden in den letzten 2 Wochen mehr als 3 Fälle von Coronavirus-Infektionen pro eintausend Einwohner verzeichnet.



    Die höchste Infektionsrate wurde aus dem Landkreis Sibiu (im Zentrum des Landes) gemeldet, der mehr als 7 Fälle pro tausend Einwohner meldet, während die Stadt Sibiu (Hermannstadt) 11 Fälle pro tausend Einwohner überschritten hat. Nach Angaben der Behörden in der siebenbürgischen Stadt ist die Abriegelung eine der Optionen, und Experten des öffentlichen Gesundheitswesens werden die besten Wege finden, mit dieser unglücklichen Situation umzugehen. Am Freitag findet eine neue Sitzung des Komitees für Notsituationen im Landkreis Sibiu statt, an der auch der Leiter der Abteilung für Notsituationen, Raed Arafat, teilnehmen wird.



    Sie werden darüber entscheiden, ob in Sibiu und in drei weiteren Ortschaften eine lokale Abriegelung eingeführt wird oder nicht. Im Landkreis Sibiu gibt es eine gro‎ße Anzahl von COVID-19-Fällen, die Krankenhäuser sind überfüllt, während die Intensivstationen voll sind und keine freien Betten zur Verfügung stehen. Der Anstieg der Zahl der COVID-19-Fälle erhöht den Druck auf das medizinische Personal, das sein Leben riskiert, um die mit SARS-CoV-2 infizierten Patienten zu retten. Seit dem Auftauchen des neuen Coronavirus in Rumänien sind viele Ärzte, Krankenschwestern, Sanitäter und Pfleger positiv auf das neue Coronavirus getestet worden, einige von ihnen sind gestorben.






  • Big cities in lockdown

    Big cities in lockdown

    After months of stress and restrictions, the new coronavirus continues to wreak havoc around the world, turning everything upside down and strongly impacting people’s lives. Protective masks, physical distancing, stricter hygiene rules, restricted travel alongside the acceleration of the digitalization process or the implementation of teleworking systems are some of the effects of the pandemic. Since the onset of the new coronavirus pandemic, fear of this virus has been alarmingly growing, given that it spreads quite fast. Scientists are racing against the clock to find a vaccine to protect the people against the new danger.



    Meanwhile, state authorities are taking measures to curb, as much as possible, the spread of the infection. Many countries have again instated new restrictions, given that the number of people infected with SARS-CoV-2 has started to grow again, and experts believe that the second wave of the pandemic might be more severe than the first. In Romania, more and more localities are asking for a lockdown, so as to be able to deal with the big number of COVID-19 cases.



    As of Wednesday, the city of Baia Mare (northwest) was placed in total lockdown for 14 days, the situation being serious in many other cities. Half of Romania’s territory has exceeded 3 cases of coronavirus contamination per one thousand inhabitants in the past 2 weeks. The highest infection rate has been reported in Sibiu county (center) which reports more than 7 cases per one thousand inhabitants while the city of Sibiu has exceeded 11 cases per thousand. According to the Sibiu authorities, lockdown is one of the options and public health experts are going to find the best ways to manage this unhappy situation. Friday will see a new meeting of the Sibiu County Committee for Emergency Situations which will also be attended by the head of the Department for Emergency Situations Raed Arafat. They are going to decide whether zonal lockdown will be instated or not in Sibiu and another 3 localities. In Sibiu country there is a great number of COVID-19 cases, hospitals are overcrowded while ICUs are packed with no free beds.



    The surge in the number of COVID-19 cases puts increased pressure on the medical staff, who put their lives at risk to save the patients infected with SARS-CoV-2. Since the emergence of the new coronavirus in Romania, many doctors, nurses, ambulance workers and orderlies have tested positive for the new coronavirus, and some of them have unfortunately died. (tr. L. Simion)

  • De grandes villes placées en confinement

    De grandes villes placées en confinement

    Au bout de plusieurs mois de stress et de restrictions, le nouveau coronavirus continue à bloquer la planète entière, en bouleversant notre vie à tous. Le port obligatoire du masque, la distanciation sociale, les mesures d’hygiène beaucoup plus strictes, les restrictions de voyage, l’accélération de la numérisation ou encore le télétravail figurent parmi les conséquences les plus importantes de la pandémie. Une fois déclenchée, elle a semé la panique qui prend des proportions alarmantes face à la vitesse à laquelle le virus se propage. Les scientifiques se sont engagés dans une véritable course contre la montre afin d’obtenir un vaccin capable de protéger le monde de ce nouveau danger. En attendant, les autorités mettent en place toute sorte de restrictions censées limiter, autant que possible, la hausse du nombre des cas de contamination.

    De nombreux pays ont décidé de se reconfiner partiellement ou entièrement, après que les experts eurent affirmé que cette deuxième vague pandémique risque d’être plus sévère que celle du printemps dernier. La Roumanie n’y fait pas exception, surtout que chaque jour, le pays enregistre de nouveaux records négatifs de cas de contamination et de décès. A compter de mercredi, la ville de Baia Mare, dans le nord-ouest, a décidé de se confiner par zones deux semaines durant, après une recrudescence de nouveaux cas.

    D’ailleurs, presque la moitié du territoire de la Roumanie a dépassé un taux de contamination de trois cas pour mille habitants ces deux dernières semaines. La situation la plus grave est à retrouver dans le département de Sibiu, au centre du pays, où le taux d’infection se monte à sept cas pour mille habitants, voire même 11 cas pour mille habitants dans la ville de Sibiu, chef-lieu du département. Du coup, les spécialistes sur place évoquent le scénario d’un reconfinement obligatoire de la population locale pour deux semaines. Une nouvelle réunion du Comité départemental pour les situations d’urgence de Sibiu est prévue vendredi, en présence du secrétaire d’Etat Raed Arafat, afin de décider si le confinement sera oui ou non mis en place sur Sibiu et dans trois autres localités du département.

    A l’heure où l’on parle, les habitants de ce comté ont pris d’assaut les hôpitaux dont les unités de soins intensifs affichent complet. La recrudescence des cas de Covid-19 met une pression énorme sur le personnel sanitaire. Depuis le début de la pandémie, le nombre de médecins, d’infirmiers ou d’ambulanciers dépistés positifs est à la hausse, tout comme celui des décès parmi le personnel soignant, malheureusement. (trad. Ioana Stancescu)

  • Sportivul săptămânii – Handbalista Eliza Buceschi

    Sportivul săptămânii – Handbalista Eliza Buceschi

    Campionatul European de handbal feminin a intrat în ultima
    săptămână. Au mai rămas puţine jocuri de disputat în faza grupelor principale
    şi, miercuri, vom afla cine va compune careul de aşi. Ştim deja prima
    semifinalistă – Rusia, care a câştigat deja grupa întâi principală, înaintea
    ultimei etape. În grupa a doua principală, România păstrează şanse bune de a se
    situa pe unul dintre primele două locuri şi de a ajunge în semifinale, deşi a
    pierdut primul joc din faza principală a competiţiei, în faţa Olandei, cu 24 la 29. Echipa naţională a României a fost de
    nerecunoscut, în condiţiile în care, în faza grupelor, câştigase clar în faţa
    Cehiei, Germaniei şi Norvegiei.


    În jocul cu Olanda,
    pentru formaţia română, cele mai multe goluri, opt, au fost marcate de Eliza
    Buceschi. Ea s-a dovedit cea mai constantă jucătoare a Naţionalei României la
    Europene, marcând, în patru jocuri, 32 de goluri. Pentru prezenţa solidă în
    cadrul echipei, Radio România Internaţional a desemnat-o Sportivul Săptămânii.


    Eliza s-a născut la întâi august 1993, la Baia Mare. Este
    fiica antrenorului Costică Buceschi, alături de care şi-a facut intrarea în
    handbalul de înalt nivel. La nici 19 ani, pe când evolua la Handbal Club
    Municipal Baia Mare, devenea, în sezonul 2011-2012, una dintre cele mai
    eficiente marcatoare ale campionatului României. Avea 100 de goluri înscrise
    doar în prima parte a competiţiei, respectiv până în februarie 2012, când a
    fost nevoită să suporte o operaţie la mâna dreaptă, fapt în urma căruia a ratat
    restul sezonului.


    De la Baia Mare, Eliza a trecut, o vreme, sub formă de
    împrumut, la Oltchim Râmnicu Vâlcea. A jucat apoi peste hotare, la Thüringer,
    în Germania, şi la Midtjylland, în Danemarca. În 2016 s-a întors în România, la
    Dunărea Brăila, iar anul trecut s-a mutat la Corona Braşov. Din 2011 a fost
    cooptată şi în lotul primei reprezentative de senioare a României, cu care, în
    2015, a câştigat o medalie de bronz, în Danemarca, la Campionatul Mondial.

  • Noi legături aeriene cu România

    Noi legături aeriene cu România

    Compania nationala TAROM a
    reluat din această lună
    cursele directe București-Baia Mare întrerupte în urma cu 3 ani odată cu
    închiderea Aeroportului Maramureș pentru modernizare. Zborurile vor fi
    efectuate pentru început de două ori pe săptămână.


    Operatorul aerian TAROM pregătește
    si inaugurarea zborurilor directe către Odesa în Ucraina, Tbilisi în Georgia și
    Baku în Azerbaidjan. Toate aceste destinații vor fi operate cu zboruri de
    noapte menite să asigure pasagerilor din aceste regiuni conectarea la toată
    rețeaua de zboruri TAROM din București. Astfel zborurile spre Odesa si Tbilisi
    vor fi operate, începând din septembrie, de 3, respectiv 2 ori pe săptămână,
    iar zborurile spre Baku vor fi adăugate în rețeaua TAROM de la finalul lui
    octombrie, de asemenea de 2 ori pe săptămână.


    Compania Ryanair a anunțat introducerea unei noi rute din octombrie 2018
    din București. Este vorba despre o nouă destinație către Pescara, în Italia. Orașul de la Marea
    Adriatică va fi legat de București prin două zboruri pe săptămână, în zilele de
    marți și sâmbătă. Primul zbor va debuta în 30 octombrie 2018 iar biletele deja
    au fost puse în vânzare.


    Compania
    aeriană low-cost Ryanair a anunțat şi deschiderea unui baze operaționale pe
    Aeroportul Amman din Iordania. Printre zborurile pe care le va oferi de la
    această bază aeriană se numără și un zbor pe ruta București – Amman, plănuit spre
    a fi lansat cu ocazia orarului de iarnă. Zborurile pe relația București – Amman
    (Iordania) vor debuta la sfârșitul lunii octombrie 2018 și vor avea o frecvență
    de două ori pe săptămână.In prezent, singura companie aeriană care asigură
    zboruri pe această rută este TAROM, care oferă 3 zboruri săptămânale către
    orașul din Orientul Mijlociu.


    Si transportatorul aerian maghiar Wizz Air a anunțat lansarea unui nou zbor
    direct cu plecare de pe Aeroportul Craiova (sudul României). Astfel, începând
    din iarnă, compania low-cost va lega capitala Olteniei cu aeroportul Bruxelles
    Charleroi. Noua cursă va fi operată de două ori pe săptămână, marțea și
    sâmbăta, începând cu data de 15 decembrie.

  • Le travail avec les jeunes en Roumanie

    Le travail avec les jeunes en Roumanie

    « Nous avons besoin d’un plus grand nombre de conseillers en insertion sociale et professionnelle pour aider les jeunes des communautés à mettre en valeur leur potentiel, à s’intégrer à la société, à interagir avec d’autres jeunes, à mieux se connaître. J’ai constaté que bien souvent, les jeunes ne savent pas très bien ce qu’ils peuvent faire dans la société, à quelles institutions ou ONGs ils peuvent s’adresser pour faire un travail gratifiant pour eux-mêmes et s’épanouir » – affirme Mihai Dragoş, président du Conseil de la Jeunesse de Roumanie. Très peu de jeunes ont entendu parler des conseillers en insertion sociale et professionnelle, une occupation réglementée et intégrée à la Liste des métiers et professions de Roumanie à peine en 2012.

    Spécialiste des questions de jeunesse et manager de la compagnie « Schultz Consulting Roumanie », initiatrice du projet, Marius Donţu a fait partie de l’équipe qui a rédigé la fiche métier. Son but était de professionnaliser cette nouvelle profession, car – affirmait-t-il – « tout le monde s’occupait de la jeunesse et tous ceux qui le faisaient se déclaraient spécialistes de ce domaine ». Marius Donţu : « Au début, le nombre d’éléments occupationnels que nous avons établis était trop grand. Nous nous sommes dit que nous ne devions pas faire des conseillers en insertion sociale et professionnelle des surhommes et nous avons fait un tri, gardant quatre compétences spécifiques. La première est la capacité d’informer les jeunes – pour pouvoir les renseigner sur les différentes activités et bénéfices, sur leurs droits ou sur les opportunités qui peuvent se présenter. Deuxième compétence : établir les normes de développement personnel et professionnel, ce qui veut dire que cette personne doit parler aux jeunes et les aider à trouver leur voie professionnelle et personnelle. Troisième compétence : soutenir le processus d’éducation informelle parmi les jeunes – activités grâce auxquelles ils puissent apprendre à résoudre leurs problèmes, à prendre leurs propres décisions, à s’engager, à être actifs. Enfin, la quatrième compétence est le développement de la coopération au sein de la communauté, ce qui veut dire qu’à partir des problèmes qu’ils identifient dans les groupes des jeunes, les conseillers en insertion sociale et professionnelle doivent proposer différents types de services et d’interventions. »

    Le conseiller en insertion sociale et professionnelle peut être embauché par des ONGs menant des activités destinées aux jeunes. C’est la cas de l’Association « Curba de Cultură » créée à Izvoarele, dans le comté de Prahova, qui s’occupe strictement des jeunes du milieu rural. Cette association a embauché deux conseillers en insertion sociale et professionnelle. Quand il s’agit des principales difficultés auxquelles l’ONG est confrontée du point de vue législatif, son président, Cosmin Catană, préfère y voir des opportunités. « L’opportunité se présente de faire figurer le métier de conseiller en insertion sociale et professionnelle dans la Loi sur les jeunes. Un projet de loi a été élaboré qui définit entre autres l’activité des jeunes, le centre de jeunesse, le conseiller en insertion sociale et professionnelle. Nous avons ainsi l’occasion de clarifier un peu le contexte du travail avec les jeunes en Roumanie en 2018 et de le rapprocher des réalités d’autres Etats européens ayant une tradition en la matière.

    Bien qu’en Roumanie on fasse un travail de bonne qualité avec les jeunes, ici ce travail n’est pas socialement validé et très peu de gens savent en quoi il consiste. L’introduction de ces concepts au niveau législatif changerait beaucoup la donne. D’autant plus que la plupart des conseillers en insertion sociale et professionnelle, même ceux qui travaillent pour le ministère de la Jeunesse et du Sport, ont le statut de bénévoles. C’est pourquoi, aux termes du projet de loi qui doit être soumis au Parlement, les municipalités – notamment des grandes villes – et les Centres de jeunesse accrédités devront embaucher des conseillers. Les possibilités d’embauche accroîtront l’intérêt pour cette profession. Mihai Dragoş : « Malheureusement, même si cela arrive dans certaines localités, en général les municipalités ne disposent pas de conseillers rémunérés pour ce travail et n’organisent pas régulièrement des activités destinées aux jeunes. La ville de Baia Mare, capitale de la jeunesse de Roumanie à partir du 2 mai prochain, est un bon exemple. Par cette candidature, cette municipalité de l’extrême nord du pays s’est engagée à embaucher 10 conseillers en insertion sociale et professionnelle. Nous espérons que cela apportera des résultats importants dans les communautés pour lesquelles ces conseillers travailleront et que cet exemple sera suivi par d’autres municipalités. »

    La Roumanie a besoin de conseillers en insertion sociale et professionnelle, notamment en milieu rural, où vit 47% de la population du pays – avertit Cosmin Catană. « En milieu rural, pour la plupart des jeunes, les écoles se trouvent loin de leur maison, leurs activités se limitent à celles domestiques ou à celles des maisons de la culture et des centres culturels. Les jeunes n’ont pas l’opportunité de se rencontrer, de travailler ensemble et de se proposer de réaliser des choses ensemble; ils le feront petit à petit, guidés par des conseillers spécialisés. »

    Depuis sa réglementation en 2012, la profession de conseiller a gagné du terrain en Roumanie, notamment grâce aux ONGs. Marius Donţu explique : « Les ONGs accueillent des gens qui viennent pour une formation pour compléter ou améliorer leurs compétences. Et j’ai remarqué une chose qui m’a surpris et réjoui : parmi ces gens, il y a des parents – des avocats, des notaires, donc des personnes ayant un certain statut social – qui s’y rendent pour apprendre à communiquer de manière plus efficace avec leurs enfants arrivés à l’âge de l’adolescence. » (Trad. : Dominique)

  • Cea mai ieftină mașină electrică made în România va fi produsă în Maramureș

    Cea mai ieftină mașină electrică made în România va fi produsă în Maramureș

    Cea mai ieftină mașină electrică made in Romania va
    fi produsă în Maramureș. Automobilul GTG va fi de dimensiuni mici, destinat
    traficului în oraș și va atinge 55-60 de kilometri pe oră. Doi oameni de
    afaceri au obținut finanțare europeană pentru o linie de producție care va
    începe să funcționeze anul viitor la Baia Mare.


    O problemă tot
    mai greu de gestionat pentru zonele urbane este traficul intens. Pe lîngă
    faptul că generează timp pierdut pentru șoferii care stau minute în șir blocați
    în aglomerație, numărul mare de mașini produce și foarte multă poluare. O
    soluție despre care se vorbește tot mai des în ultimii ani o reprezintă
    mașinile electrice. Prețul acestora este suficient de ridicat ca să nu fie
    accesibil pentru oricine. Doi oameni de afaceri din Transilvania vin însă cu o
    idee demnă de luat în calcul: vor produce cea mai ieftină mașină electrică din
    România. Prețul de pornire va începe de la 13.700 de euro, spune Gheorghe
    Mureșan
    , investitor din Baia Mare: Am început prin a asambla două prototipuri la Baia
    Mare, acum doi ani, pe care de atunci le folosim. Una este în Cluj, la
    asociatul meu, și cealaltă la Baia Mare. Am vrut să testăm conceptul, să vedem
    care sunt performanțele și limitările unui astfel de autovehicul, iar rezultatele
    sunt pozitive. În primăvara anului trecut am aplicat pentru un proiect
    european. Vom face o linie de asamblare la Baia Mare, urmînd să importăm
    componente și să le asamblăm aici. Spre bucuria noastră, am semnat contractul
    de finanțare și acum suntem în faza de achiziții publice.


    Valoarea
    proiectului de 1.5 milioane de euro, din care 76% fonduri europene
    nerambursabile. Linia de asamblare a mașinilor electrice va intra în funcțiune
    primăvara viitoare
    , și în prima fază se vor produce 10 mașini pe zi. 20 de
    angajați vor lucra pentru fabricarea acestora. Primele modele scoase pe piață
    vor avea două, respectiv patru locuri, iar Gheorghe Mureșan spune că în viitor
    dorește să facă la Baia Mare și un model de autoutilitară electrică pentru
    transport de marfă: Ne așteptăm să finalizăm investiția prin februarie -
    martie 2019, după care să producem în ritm de 10 mașini pe zi. Am în vedere și
    realizarea unui produs propriu, vrem să scoatem un vehicul utilitar proiectat
    și realizat în întregime de noi.


    Mașinile
    electrice produse la Baia Mare vor avea caroserie din PVC, iar autonomia bateriei
    este de o zi. Datorită dimensiunilor reduse, aceste automobile electrice sunt
    destinate traficului din oraș pentru că se pot descurca mai bine în
    aglomerație, se parchează ușor și nu poluează.




  • Sportivul săptămânii – Handbalista Eliza Buceschi

    Sportivul săptămânii – Handbalista Eliza Buceschi

    Echipa de handbal feminin a României este foarte aproape de
    a-şi asigura calificarea la Campionatul European programat, la sfârşitul
    anului, în Franţa. Tricolorele ocupă locul întâi în grupa a patra a
    preliminariilor, cu 6 puncte, la egalitate de puncte cu Austria, dar având un
    golaveraj mult mai bun. Pe locul 3 se află Rusia, cu 4 puncte, iar pe patru,
    Portugalia, fără niciun punct. Primele două clasate se califică la turneul
    final, alături de echipa cu cel mai bun punctaj de pe locul 3 din cele 7 grupe
    preliminare europene. România mai are de jucat cu Austria, pe 31 mai, în
    deplasare, şi cu Portugalia, pe 3 iunie, acasă.


    Duminică, echipa română a făcut un pas mare către calificare,
    trecând, la Cluj, de Rusia, campioana olimpică en titre, cu 26 la 25.
    Principala marcatoare a formaţiei tricolore a fost Eliza Buceschi, motiv pentru
    care Radio România Internaţional a desemnat-o Sportivul Săptămânii.


    Eliza s-a nǎscut la întâi august 1993, la Baia Mare. Este
    fiica antrenorului Costicǎ Buceschi, alături de care şi-a făcut intrarea în
    handbalul de înalt nivel. La nici 19 ani, pe când evolua la Handbal Club
    Municipal Baia Mare, devenea, în sezonul 2011-2012, una dintre cele mai
    eficiente marcatoare ale campionatului României. Avea 100 de goluri înscrise
    doar în prima parte a competiţiei, respectiv pâna în februarie 2012, când a
    fost nevoitǎ sǎ suporte o operaţie la mâna dreaptă, fapt în urma cǎruia a ratat
    restul sezonului.


    De la Baia Mare, Eliza a trecut, o vreme, sub formă de
    împrumut, la Oltchim Râmnicu Vâlcea. A jucat apoi peste hotare, la Thüringer,
    în Germania, şi la Midtjylland, în Danemarca. În 2016 s-a întors în România, la
    Dunărea Brăila, iar anul trecut s-a mutat la Corona Braşov.


    Din 2011 a fost cooptată şi în lotul primei reprezentative
    de senioare a României, cu care, în 2015, a câştigat o medalie de bronz, în
    Danemarca, la Campionatul Mondial.