Tag: Bruxelles

  • 22.03.2021

    22.03.2021

    Covid-19 – Aujourd’hui, la Roumanie
    rapporte 3.743 nouvelles infections au SARS-CoV-2 dépistées en 24 heures, sur
    plus de 13.000 tests effectués, auxquelles s’ajoutent 60 nouveaux décès des
    suites de la maladie Covid-19. Sur l’année écoulée depuis le premier cas
    de contamination au SARS-CoV-2 identifié en Roumanie, le pays a enregistré 900.858 personnes infectées par le nouveau coronavirus, dont 808.754 ont guéri et 22.268 ont perdu la vie. Par ailleurs,un
    nouveau lot de plus de 345.000 doses du vaccin Pfizer-BioNTech arrive aujourd’hui un Roumanie, par avion, Bucarest,
    Cluj-Napoca (centre-ouest) et Timişoara (ouest). Jusqu’à présent, plus de 1,7
    millions Roumains ont reçu au moins une première injection du vaccin de Pfizer-BioNTech pour la plupart, mais
    aussi des vaccins de Moderna et d’AstraZeneca.

    Restrictions – Un nombre croissant de grandes villes de Roumanie
    passent au scénario rouge des restrictions liées à la pandémie de Covid-19. Ainsi,
    par exemple, à Bacău et Galaţi (est), et à Brăila (sud-est) le taux d’incidence
    a dépassé 3 trois infections pour mille habitants sur les 14 derniers jours, des
    restrictions étant mises en place à partir d’aujourd’hui. Les salles de cinéma
    et de théâtre ferment leurs portes, les événements privés sont interdits aussi
    bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Dans la ville de Timişoara et dans les
    communes de sa proche banlieue, les restrictions en vigueur ont été prolongées
    de trois jours, en raison de l’engorgement des hôpitaux du département de
    Timiş, dont Timişoara est le chef-lieu. Bucarest
    aussi affiche un taux de contamination à la hausse depuis quelques semaines, s’élevant
    à plus de 5 cas de Covid-19 pour mille habitants. Si le taux atteint 6 pour mille habitants, la
    capitale roumaine pourrait introduire le confinement.




    Pandémie – Selon le commissaire européen en charge du marché
    intérieur, Thierry Breton, l’Europe pourrait atteindre l’immunité
    collective vers la mi-juillet. En attendant, le nombre des contaminations est à
    la hausse et de plus en plus d’Etats envisagent de maintenir les restrictions
    en place. Sur cette toile de fond, des milliers de gens ont manifesté contre
    les restrictions aux Pays-Bas, au Royaume Uni, en Allemagne, Autriche, Suisse, Pologne,
    Serbie, Bulgarie et Roumanie. Les autorités allemandes envisagent de prolonger
    les restrictions actuelles durant tout le mois d’avril. La France doit faire
    face à un nouveau pic d’hospitalisations en soin intensifs. Les autorités
    grecques ont décidé de doter la population de tests de dépistage individuels de
    l’infection au coronavirus et contemplent l’idée de réquisitionner les médecins
    du secteur privé, afin de réduire la pression sur le système de santé public.
    En Bulgarie, les établissements scolaires, les restaurants, les grandes
    surfaces et les gymnases ferment leurs portes à partir d’aujourd’hui. Aux
    Etats-Unis, la ville de Miami Beach a décrété le couvre-feu à partir de 20:00,
    essayant de maîtriser ainsi les touristes qui se rendent à la plage sans
    respecter les mesures barrières. L’Inde réintroduit le confinement au niveau
    local, les Philippines ferment les lieux de culte et les spectateurs étrangers
    n’assisteront pas aux JO de Tokyo.












    Politique étrangère – Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, participe à la
    réunion des ministres des affaires étrangères des Etats membres de l’Union
    européenne, qui a lieu à Bruxelles, aujourd’hui. A l’agenda de la réunion, entre
    autres, la relation entre l’UE et la
    Turquie, ainsi que le Voisinage oriental de l’Union, dans la perspective du
    prochain Conseil européen, prévu les 25 et 26 mars. Selon un communiqué
    de presse du ministère roumain des affaires étrangères, le ministre Bogdan
    Aurescu réitère les appels de la Roumanie à maintenir ouverts tous les canaux
    de communication avec Ankara, partenaire stratégique de l’Union et de la
    Roumanie, afin d’assurer la stabilité et la sécurité en Méditerranée orientale.
    Le chef de la diplomatie roumaine déclare aussi que la détente déterminée par
    les signaux positifs envoyés dernièrement par la Turquie devrait servir à
    consolider ces évolutions.


    OTAN – « Sea
    Shield 21 » le plus grand et le plus complexe exercice multinational de
    l’OTAN que les Forces navales roumaines organisent en 2021 en Mer Noire se poursuit jusqu’au 29
    mars. Y participent lus de 2.400 militaires de huit Etats, 18
    bâtiments de guerre et 10 aéronefs.Conformément
    au ministère roumain de la défense, les activités d’instruction sont
    coordonnées par la Marine militaire roumaine, alors que les forces
    participantes proviennent de Bulgarie, Grèce, Pays-Bas, Pologne, Roumanie,
    Espagne, Etats Unis et Turquie. L’exercice inclut toutes les étapes d’une
    opération militaire navale de l’OTAN de réponse à une crise géopolitique dans
    la région. La
    première édition de « Sea Shield » s’est déroulée en 2015 et depuis
    ses scénarios ont été adaptés pour répondre de manière rapide et efficace à
    l’entier spectre de menaces à l’adresse de la sécurité maritime et à la
    stabilité régionale.


    Cinéma – Les films roumains « Tipografic
    Majuscul/Uppercase Print », du réalisateur Radu Jude, et « Acasă, My
    Home », de Radu Ciorniciuc, ont été récompensés au Festival international
    du film de Sofia. A cette 25-e édition du festival, « Tipografic Majuscul »
    a décroché le Prix de l’Union des critiques de cinéma bulgares, tandis que « Acasă,
    My Home » s’est vu attribuer le prix du meilleur documentaire. La
    coproduction « Quo vadis, Aida? » de la réalisatrice Jasmila Zbanic a
    été déclarée le meilleur film de la région des Balkans. Le film est la
    proposition de la Bosnie-Herzégovine aux Oscars de cette année.








    Tennis – Pas de changement dans le
    classement des 30 meilleures joueuses de tennis du monde, rendu public aujourd’hui.
    Le podium est occupé, dans l’ordre, par l’Australienne Ashleigh Barty, suivie
    par la Japonaise Naomi Osaka et la Roumaine Simona Halep. Trois autres joueuses
    de Roumanie figurent au Top 100, Patricia Ţig à la 63-e place, Sorana Cîrstea à
    la 66-e et Irina Begu 74-e, tandis qu’Ana Bogdan a chuté à la 102-e place.
    Jaqueline Cristian a réussi à faire un saut de 20 places grâce à sa présence
    dans les quarts de finale du tournoi de Saint-Pétersbourg, et occupe actuellement
    la 140-e position mondiale, la meilleure de sa carrière. Au double, Raluca
    Olaru a monté sept marches et se trouve actuellement à la 41-e place, suite au
    titre gagné à Saint-Pétersbourg, Monica Niculescu est 52-e, tandis qu’Andreea
    Mitu est descendue à la 92-e.


    Météo – Une alerte au mauvais temps et au froid est actuellement en vigueur en Roumanie jusqu’à mardi matin. Il pleut, mais il
    y a aussi de la giboulée et de la neige qui tombent sur le sud et le sud-est.
    Il neige aussi sur les Carpates du Sud et de Courbure. Les températures sont
    inférieures de 10° aux normales de saison. Bucarest trembloter à midi à
    seulement 2°.

  • 14.03.2021 (mise à jour)

    14.03.2021 (mise à jour)

    Pandémie – Le
    premier ministre roumain Florin Cîţu a demandé, dimanche, que de nouveaux établissements
    hospitaliers se joignent à ceux déjà impliqués dans la lutte contre la pandémie
    de COVID-19. Il a également insisté sur l’augmentation à 1.600 du nombre de
    lits de soins intensifs, sur la bonne gestion des stocks de médicaments et sur
    la continuation soutenue de la campagne de vaccination. Dans un message posté
    sur les réseaux sociaux, le premier ministre Florin Cîţu a fait savoir qu’il
    avait été présent à une réunion du Centre national de direction et de
    coordination de l’intervention, pour s’assurer que les malades et le personnel
    soignant auront à leur disposition tout ce qu’il leur faut pour surmonter la
    3-e vague de la pandémie. Le chef du gouvernement a précisé que la Roumanie n’était
    pas, pour l’instant, confrontée à une multiplication accélérée des cas d’infection,
    mais que les autorités se préparaient, par précaution, à faire face à un nombre
    accru de contaminations.Dimanche, la Roumanie a
    rapporté près de 4.400 nouveaux cas de COVID-19, dépistés sur plus de 20.500
    tests effectués à l’échelle nationale, ainsi que 44 décès. Plus de 1.200
    malades graves sont hospitalisés en réanimation-soins intensifs. L’état d’alerte
    sanitaire, introduit en Roumanie en raison de la pandémie de Covid-19, est à
    nouveau prolongé de 30 jours à partir du
    14 mars. Toutes les restrictions déjà appliquées sont maintenues et le couvre-feu
    est allongé d’une heure, pour couvrir le créneau horaire 22h-5h. Par ailleurs,
    la campagne nationale d’immunisation contre le SARS-CoV-2 continue. La
    troisième étape, destinée à l’ensemble de la population, sera lancée lundi. Des
    listes d’attente pour la prise de rendez-vous seront mises à la disposition des
    gens également à partir de lundi.

    Energie – Le ministre roumain de
    l’Energie Virgil Popescu se rendra à
    Bruxelles, en début de semaine pour discuter avec les responsables européens de
    la restructuration du Complexe énergétique Oltenia, un des principaux producteurs
    d’électricité de Roumanie. En décembre dernier, l’Etat roumain avait notifié la
    Commission européenne sur le plan de restructuration de la société, y compris
    avec des aides publiques. Le 5 février, la Commission a annoncé l’ouverture
    d’une enquête approfondie afin de déterminer si les mesures d’aide en faveur du
    Complexe énergétique Oltenia respecteraient les règles de l’UE. La société a
    besoin de l’aval de l’exécutif européen avant la fin avril, pour pouvoir
    bénéficier de l’aide de l’Etat roumain et régler ainsi, sans pénalités, les
    certificats d’émission de CO2 pour 2020.


    Motion – Une
    nouvelle motion contre un ministre du Cabinet Cîţu, déposée par l’opposition
    sociale-démocrate de Bucarest, sera à l’agenda des sénateurs, la semaine
    prochaine. La motion contre le ministre de l’économie, Claudiu Năsui, insiste
    sur le manque de mesures favorables aux entrepreneurs et sur la mise en vente
    de paquets d’actions des compagnies d’Etat qui enregistrent du profit. Le
    ministre Claudiu Năsui affirme, quant à lui, que la motion n’a pas de rapport
    avec la liste des contrats signés par son ministère. Il ajoute qu’il n’a pas l’intention
    d’arrêter de prendre des décisions en toute transparence. Le Parlement devra
    aussi se réunir en séance plénière pour ratifier la décision concernant le
    système de ressources propres de l’Union européenne. Pour l’instant, le pouvoir
    et l’opposition ne sont pas arrivés à un accord sur ce sujet, le Parti
    social-démocrate mettant comme condition à son soutien l’examen, par les élus,
    des mesures du Plan national de redressement et de résilience.

    Transport naval – Les marchandises
    chargées et déchargées dans les ports de Roumanie ouverts aux navires maritimes
    ont totalisé 47,22 millions de tonnes l’année dernière, en baisse de 11,1% par
    rapport à 2019, indique l’Institut national de la statistique. Les ports avec l’activité
    la plus intense en 2020 sont: Constanţa – 83,5%, Midia – 9,6% et Galaţi – 5,1%,
    tous les trois dans le sud-est du pays. Les quantités de marchandises chargées
    et déchargées les plus importantes étaient en provenance et à destination de la
    Russie et de la Turquie. Parmi les Etats membres de l’Union européenne, l’Espagne
    et la Grèce ont enregistré les plus quantités de marchandises transportées les
    plus élevées. Pour ce qui est des voies navigables intérieures, les
    statistiques font état de 30,5 millions de tonnes transportées, soit une baisse
    de 8,2%.




    Météo – Les
    météorologues de Roumanie annoncent quatre jours de mauvais temps sur la
    quasi-totalité du territoire national. Une première vigilance jaune est entrée en
    vigueur dimanche après-midi et concerne, jusqu’à demain après-midi, les régions
    de montagne et l’ouest du pays, où l’on attend des pluies fortes et d’importantes
    chutes de neige. Une seconde vigilance jaune est annoncé de lundi midi et jusqu’à
    mercredi soir, pour le reste du pays. La neige tombera sur les montagnes et le
    centre du pays, des pluies et des chutes de neige abondantes sont attendues
    dans l’est, des pluies fortes dans le sud- et le sud-est. Lundi, les maximales
    de l’air se situeront entre 4° et 17°.

  • 14.03.2021

    14.03.2021

    Covid-19 – L’état d’alerte
    sanitaire, introduite en Roumanie en raison de la pandémie de Covid-19, est à
    nouveau prolongée de 30 jours à partir d’aujourd’hui. Les mesures adoptées par
    le gouvernement de Bucarest, cette semaine, pour endiguer la propagation du coronavirus,
    sont entrées en vigueur à minuit. Toutes les restrictions déjà appliquées sont
    maintenues et le couvre-feu est allongé d’une heure, pour couvrir le créneau
    horaire 22h-5h. Tous les établissements de l’industrie de l’hospitalité
    fonctionnent à 70% de leur capacité d’accueil. Par ailleurs, la campagne
    nationale d’immunisation contre le SARS-CoV-2 continue, quelque 50.000
    personnes se sont fait vacciner ces dernières 24 heures. La troisième étape de
    cette campagne, destinée à l’ensemble de la population, sera lancée lundi. Des
    listes d’attente pour la prise de rendez-vous seront mises à la disposition des
    gens également à partir de lundi. Dimanche, la Roumanie a rapporté près de 4.400
    nouveaux cas de COVID-19, dépistés sur plus de 20.500 tests effectués à l’échelle
    nationale, ainsi que 44 décès. Plus de 1.200 malades graves sont hospitalisés
    en réanimation-soins intensifs.
















    Dans le monde, le bilan de la
    pandémie a dépassé 120 millions d’infections et 2,6 millions de morts,
    indiquent les experts de l’Université de médecine « Johns Hopkins »
    des Etats-Unis. Les pays les plus touchés sont les USA, avec 30 millions de
    personnes infectées et 546.000 décès, et le Brésil, avec environ 11 millions et
    demi de malades et 277.000 morts. En Europe, le Royaume Uni déplore plus de 125.000
    décès, l’Italie – quelque 102.000, et la France – plus de 90.000. La situation
    est grave aussi en République de Moldova, où le Conseil suprême de sécurité et
    la présidente Maia Sandu ont recommandé au gouvernement de décréter l’état d’urgence,
    sur fond de multiplication alarmante du nombre d’infections. Le dernier rapport
    en date fait état de plus 1.800 nouveaux cas de Covid-19, sur 5.000 tests
    effectués.




    Energie – Le ministre roumain de
    l’Energie Virgil Popescu se rendra à
    Bruxelles, en début de semaine pour discuter avec les responsables européens de
    la restructuration du Complexe énergétique Oltenia, un des principaux producteurs
    d’électricité de Roumanie. En décembre dernier, l’Etat roumain avait notifié la
    Commission européenne sur le plan de restructuration de la société, y compris
    avec des aides publiques. Le 5 février, la Commission a annoncé l’ouverture
    d’une enquête approfondie afin de déterminer si les mesures d’aide en faveur du
    Complexe énergétique Oltenia respecteraient les règles de l’UE. La société a
    besoin de l’aval de l’exécutif européen avant la fin avril, pour pouvoir
    bénéficier de l’aide de l’Etat roumain et régler ainsi, sans pénalités, les
    certificats d’émission de CO2 pour 2020.


    Marchandises – Les marchandises
    chargées et déchargées dans les ports de Roumanie ouverts aux navires maritimes
    ont totalisé 47,22 millions de tonnes l’année dernière, en baisse de 11,1% par
    rapport à 2019, indique l’Institut national de la statistique. Les ports avec l’activité
    la plus intense en 2020 sont: Constanţa – 83,5%, Midia – 9,6% et Galaţi – 5,1%,
    tous les trois dans le sud-est du pays. Les quantités de marchandises chargées
    et déchargées les plus importantes étaient en provenance et à destination de la
    Russie et de la Turquie. Parmi les Etats membres de l’Union européenne, l’Espagne
    et la Grèce ont enregistré les plus quantités de marchandises transportées les
    plus élevées. Pour ce qui est des voies navigables intérieures, les
    statistiques font état de 30,5 millions de tonnes transportées, soit une baisse
    de 8,2%.


    Migrants illégaux – Les
    policiers aux frontières roumains, à Arad (ouest), ont dépisté quatorze personnes
    de nationalité afghane et pakistanaise, cachées à l’intérieur de trois
    poids-lourds conduits par deux citoyens turcs et un bulgare. Les personnes en
    questions cherchaient à franchir illégalement la frontière en Hongrie. Une
    enquête a été ouverte, afin de décider des mesures à appliquer dans ce cas.

    Elections – Des élections régionales ont lieu aujourd’hui en Allemagne, dans le Baden-Württemberg et le Rheinland-Pfalz. C’est le premier scrutin sur les sept prévus cette année. Le rendez-vous électoral est vu comme un test avant les élections générales de septembre prochain. La chancelière Angela Merkel démissionnera en septembre, après 16 ans passés à la tête du gouvernement fédéral.

    Météo – Les
    météorologues de Roumanie annoncent quatre jours de mauvais temps sur la
    quasi-totalité du territoire national. Une première vigilance jaune entre en
    vigueur cet après-midi et concerne, jusqu’à demain après-midi, les régions de
    montagne et l’ouest du pays, où l’on attend des pluies fortes et d’importantes
    chutes de neige. Une seconde vigilance jaune est annoncé de lundi midi et jusqu’à
    mercredi soir, pour le reste du pays. La neige tombera sur les montagnes et le
    centre du pays, des pluies et des chutes de neige abondantes sont attendues
    dans l’est, des pluies fortes dans le sud- et le sud-est. Aujourd’hui, les
    maximales de l’air vont de 7° à 18°. Il y avait 9° et du soleil à Bucarest, à
    midi.


  • MȚR – Oglinzile lui Brâncuși

    MȚR – Oglinzile lui Brâncuși

    Pe
    19 februarie s-a sărbătorit Ziua Brâncuși, dedicată marelui sculptor modern
    român Constantin Brâncuşi, născut la Hobița, județul Gorj, considerat internațional ca fiind părintele sculpturii contemporane.
    Domnișoara Pogany, Rugăciune, Măiastra sau Ansamblul sculptural de la Târgu Jiu
    cu celebrele Coloana Infinitului (Coloana fără Sfârşit), Masa Tăcerii și Poarta
    Sărutului sunt doar câteva dintre operele rămase moștenire după dispariția
    sculptorului în 1957, la Paris, patrimoniului cultural al lumii. Despre
    Brâncuși, de la a cărui naştere s-au împlinit 145 de ani, cuvintele nu se vor
    opri niciodată, la fel și expozițiile sau instalațiile care îi prezintă și
    studiază lucrările. O astfel de expoziție multimedia, Mirrors of Brâncuși, a
    fost găzduită de Muzeul Național al Țăranului Român. Despre expoziție, Virgil
    Nițulescu, managerul Muzeului, ne-a declarat:


    Expoziția pe care mie îmi place s-o denumesc, Oglinzile lui
    Brâncuși sau Oglinzi despre Brâncuși, nici nu știu cum să traduc mai bine
    titlul – pentru că, de fapt, titlul original al expoziției este în engleză,
    Mirrors of Brâncuși, s-a născut de fapt atunci când România a început
    demersurile sale pentru participarea la marele eveniment cultural de la
    Bruxelles și din Belgia, care s-a numit Europalia, și la care țara noastră a
    participat în perioada 2019-2020 cu un succes deosebit, mai ales prin expoziția
    Sublimarea formei curatoriată de marele nostru expert în domeniul acesta
    special, Brâncuși, doamna Doina Lemny, de la Muzeul de Artă Modernă din Paris.

    Atunci s-a născut și ideea aducerii lui Brâncuși, cumva, pe calea unor mijloace
    de expunere mai la îndemâna tinerilor de astăzi, prin instalații multimedia, la
    o capacitate de înțelegere a mesajului marelui nostru sculptor potrivită, aș
    spune, cu așteptările unui public cosmopolit, și în general foarte tânăr, așa
    cum este publicul din Bruxelles, practic capitala Uniunii Europene. Acest
    proiect a fost ulterior prezentat Ministerului Culturii pentru finanțare în
    cadrul unui program RO-cultura, cu sprijin obținut prin granturile oferite de
    Spațiul Economic European Norvegia-Islanda-Liechtenstein, celebrele, ca să spun
    așa, fonduri norvegiene, și a obținut finanțarea necesară și un parteneriat
    chiar cu o organizație din Norvegia, Muzeul Național al Țăranului Român fiind
    primul muzeu din România, prima instituție din România care găzduiește această
    expoziție.


    Abordând
    noi tehnologii și reinterpretând opere cunoscute și mai puțin cunoscute ale
    artistului, expoziția a oferit o prezentare dinamică a unor întâmplări din
    viața lui Brâncuşi, relațiile sale cu alți artiști din vremea lui, precum și
    trăsături de caracter despre care se vorbește prea puțin. Organizatorii au
    declarat că speră că, la finalul experienței, vizitatorul va fi reușit să
    capteze informația, dar și noi concepte despre sculptor. Proiectul a pornit de
    la o cercetare făcută pe un grup de oameni de vârste și ocupații diferite, dar
    care a avut aceleași concluzii – ceea ce mentalul colectiv și-a însușit despre
    Brâncuși e diferit față de ceea ce a vrut în esență să transmită artistul.

    Pentru a schimba direcția, creatorii proiectului au mers pe ideea de
    interactivitate și de implicare a tehnologiei în procesul de creație. Expoziția
    a dispus de o scenografie amplă, în care vizitatorul a putut experimenta cum e
    să fii parte dintr-o operă a lui Brâncuși, a putut să se oglindească la propriu
    într-o interpretare a unui modul în mărime naturală al Coloanei fără Sfârșit și
    a putut viziona un scurt film dedicat vieții inventatorului sculpturii moderne,
    cu informații concise, alese cu grijă.


    Ca să gândim acest proiect, am mers pe un fir
    logic în care am pus cap la cap conceptele cu opera Brâncuși și nevoile
    publicului, felul în care acesta interacționează cu o informație și cum o
    asimilează el. Am ajuns astfel la Mirrors of Brâncuși, un proiect-oglindă, în
    care oamenii nu doar că sunt puși față în față cu creația lui Brâncuși, dar
    sunt invitați să se pună în locul unor opere ale artistului, ajungându-se
    astfel la o analiză a propriilor emoții și sentimente dintr-o postură nouă,
    declara curatorul expoziției, Silvana Dulamă-Popa.


    Managerul
    Muzeul Național al Țăranului Român, Virgil Nițulescu, ne-a împărtășit câteva
    gânduri despre posibila interacțiune a publicului mai mult sau mai puțin avizat
    cu opera lui Constantin Brâncuși:


    Este o expoziție nu cu opere ale lui Brâncuși, pentru că ele
    sunt atât de rare în România încât, practic, nu pot fi itinerate, ele nu se
    află decât la Muzeul Național de Artă al României și la Muzeul de Artă al
    Olteniei din Craiova, dar putem, prin intermediul acestei expoziții, să facem o
    incursiune în universul brâncușian, încercând să înțelegem opera lui, sigur,
    fără o abordare foarte savantă a acesteia, este vorba despre o expoziție care
    se adresează, cum am spus, unui public poate mai puțin pregătit pentru o
    înțelegere superioară a rădăcinilor operei lui Brâncuși, cel care a fost numit
    critici inventatorul sculpturii moderne.

    Este vorba despre o punere în
    context a operei lui Brâncuși, pentru, n-aș spune doar pentru România, ci
    pentru lumea de astăzi din 2021. Și eu unul sunt foarte bucuros că și prin
    această expoziție se fac eforturi ca opera genialului sculptor Constantin
    Brâncuși să fie adusă mai aproape de publicul obișnuit, de cel care nu intră
    neapărat foarte des în muzee, dar care s-ar putea să fie interesat de niște
    evenimente culturale care încearcă să aducă o lumină contemporană asupra unei
    opere deja clasicizate.

  • 12.02.2021 (mise à jour)

    12.02.2021 (mise à jour)

    Budget – Le projet de budget d’État de la Roumanie
    pour 2021 est mis en débat sur le site du ministère des Finances. Le budget table
    sur un déficit de 7,16% du PIB et sur une croissance économique de 4,3%. Il
    gèle toute majoration salariale dans le secteur public, suspend la distribution
    des chèques-vacances et remplace la gratuité des transports pour les étudiants
    par une réduction de seulement 50% sur le prix des billets de train. Enfin, en
    échange des heures supplémentaires effectuées, les salariés de la fonction
    publique bénéficieront uniquement des heures de repos. Selon le projet du
    budget, les investissements sont estimés à 5,5% du PIB, plus élevés que l’année
    dernière. Tant l’opposition de gauche que les organisations syndicales et
    patronales critiquent les mesures d’austérité décidées par le gouvernement de
    l’Alliance Parti national libéral-Union Sauvez la Roumanie-Union démocrate magyare de Roumanie.

    Etat d’alerte – La
    Roumanie maintient l’état d’alerte sanitaire pour 30 jours, sur toile de fond de la pandémie de
    coronavirus. Plusieurs restrictions restent en vigueur afin de limiter la
    propagation du virus. Parmi elles : le port obligatoire du masque de protection
    dans les espaces publics, des conditions spéciales pour organiser des
    manifestations sportives et culturelles ainsi que pour l’activité dans l’industrie
    de l’hôtellerie-restauration. Les rassemblements publics sont interdits, et le
    couvre-feu reste en place entre 23 h et 5 h du matin, à quelques exceptions près.
    Les normes varient en fonction du taux d’incidence des cas de maladie,
    confirmés dans chaque localité.

    Coronavirus en Roumanie -
    La campagne de vaccination contre la Covid-19 se poursuit en Roumanie, plus d’un
    million de doses ayant été administrées jusqu’à présent. La majorité des
    personnes ont reçu le vaccin Pfizer/BioNTech, mais les vaccins Moderna et
    AstraZeneca sont également utilisés. Par ailleurs, 2.550 nouvelles infections
    ont été dépistées vendredi, dont une grande partie à Bucarest. Depuis le début
    de la pandémie, le bilan est plus de 757.000 infections au SARS-Cov-2 et de
    plus de 19.200 décès. Par ailleurs, la Roumanie a réintroduit la quarantaine
    obligatoire pour les personnes qui arrivent de 66 pays considérés comme ayant
    un risque épidémiologique élevé. Cette restriction ne concerne pas les
    personnes qui ont guéri de la Covid-19 au cours des trois mois précédant le
    voyage ou qui ont reçu les deux doses de vaccin contre la maladie.

    Visite – En visite à Bruxelles, le premier ministre roumain, Florin Cîţu, a eu
    un entretien, vendredi, avec la présidente de la Commission européenne, Ursula
    von der Leyen. L’échange a porté sur des sujets tels la gestion de la pandémie
    de COVID-19, le processus de reprise économique, le changement climatique et la
    transition numérique. Le chef du gouvernement de Bucarest a présenté
    l’évolution de la campagne de vaccination nationale, la Roumanie étant un des
    Etats membres de l’Union européenne à enregistrer les taux d’immunisation de la
    population les plus élevés. A son tour, la présidente de la CE a remercié la
    Roumanie d’avoir donné quelque 200.000 doses de vaccin à la République de
    Moldova voisine. Par ailleurs, le premier ministre roumain, Florin Cîţu, a mentionné
    le fait que, pour la Roumanie, la mise en œuvre des recommandations de la CE,
    en vue de la levée du Mécanisme de coopération et de vérification, était une
    priorité. Il a aussi rappelé que l’adhésion à l’espace Schengen de libre circulation
    était un objectif majeur du pays. Pour rappel, le MCV a été introduit le 1-er janvier 2007, au
    moment de l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’UE. Quant à
    l’adhésion à l’espace Schengen, celle-ci avait été prévue pour le mois de mars 2011, mais elle a été reportée à plusieurs
    reprises à cause de l’opposition exprimée par certains Etats membres, qui ont
    évoqué l’absence de réformes en matière de justice. Ces deux sujets ont également été abordés lors de la
    rencontre du premier ministre Florin Cîţu et le président du Conseil européen, Charles Michel,
    celui-ci exprimant son soutien aux efforts faits par la Roumanie dans les deux
    dossiers.

    Diplomatie – Le ministre roumain des affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a
    salué l’adoption, vendredi, de la Déclaration des Etats membres du Conseil des
    gouverneurs de la Communauté des démocraties sur la situation au Myanmar. La
    Roumanie assure ma présidence de la Communauté des démocraties entre septembre 2019
    et septembre 2021. La déclaration, appuyée par la Roumanie et d’autres Etats,
    dont les Etats-Unis, le Canada, le Royaume Uni, la Finlande et la Norvège,
    exprime l’inquiétude profonde à l’égard de la situation au Myanmar, où
    « le gouvernement démocratiquement élu a été chassé par les
    militaires », le 1-er février. Le document appelle les chefs
    militaires à respecter les normes démocratiques et l’Etat de droit, et demande
    l’installation du Parlement légitimement élu, la remise en liberté des
    personnes injustement arrêtées et le respect de la liberté d’expression.




    Cinéma – La coproduction
    internationale « Bad luck banging or loony porn », signée par le
    réalisateur roumain Radu Jude, fait partie des films en compétition officielle
    à la 71-e édition du Festival international du film de Berlin. Au total, 15 films,
    provenant de 16 pays, dont deux premiers longs-métrages, sont en lice pour les
    trophées l’Ours d’Or et les Ours d’Argent. La réalisatrice roumaine Adina
    Pintilie, dont le film « Touch Me Not » avait remporté l’Ours d’Or en
    2018, fait partie du jury de la Berlinale de cette année. La pandémie de coronavirus
    a d’ailleurs mis son empreinte sur l’édition actuelle, obligeant les
    organisateurs à mettre en page deux étapes: une compétition en ligne et
    l’attribution des prix du 1-er au 5 mars, et des projections ouvertes au public
    du 9 au 20 juin.



    Météo – Une alerte jaune au grand froid est en vigueur sur
    l’ensemble du territoire de la Roumanie, jusqu’à lundi matin. Les températures
    se situeront entre -18° et -8°, notamment dans la partie est de la Transylvanie.
    Dans les prochaines 24 heures, le ciel sera plutôt couvert, quelques flocons de
    neige pourront se poser localement dans la moitié nord du pays et dans les
    régions de montagne. Samedi en milieu de journée, le thermomètre
    affichera des températures entre -11° et 0°.

  • 11.02.2021 (mise à jour)

    11.02.2021 (mise à jour)

    Covid-19 – En Roumanie, le Comité national pour les situations d’urgence a proposé une nouvelle prolongation de 30 jours de l’état d’alerte sanitaire, à partir du 12 février, et le maintien des restrictions en vigueur, ainsi que la prise en compte des foyers de Covid-19 dans le calcul du taux d’incidence. Jeudi, 2.644 nouveaux cas d’infection au SARS-CoV-2 ont été recensés à l’échelle nationale, ce qui fait monter le bilan général à plus de 755.000 cas positifs. Le nombre des décès est de 19.200, tandis que 958 malades graves sont hospitalisés en soins intensifs. Jeudi encore, la Roumanie a franchi le seuil d’un million de doses de vaccin anticovid administrées depuis de début de la campagne de vaccination, le 27 décembre dernier. Plus de 330.000 personnes ont déjà reçu leur seconde dose du sérum. La plupart des Roumains se sont fait immuniser jusqu’ici par le vaccin Pfizer/BioNTech, mais les vaccins Moderna et AstraZeneca sont également administrés.

    Visite – Le premier ministre roumain Florin Cîţu effectue une visite de deux jours à Bruxelles. Jeudi il a rencontré le président du PE, David Sassoli, et les leaders des groupes politiques du Législatif communautaire. L’occasion pour le premier ministre roumain de souligner l’importance d’une coopération étroite au niveau européen en vue de la gestion de la pandémie et de ses conséquences, lit-on dans un communiqué de l’Exécutif de Bucarest. Florin Cîţu a également mentionné l’importance des campagnes de vaccination dans le Etats membres et plaidé pour un Marché interne fonctionnel ainsi que pour le maintien de l’espace de libre circulation. Il a remercié le PE pour son soutien de l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen, un soutien reconfirmé à cette même occasion par David Sassoli. Sur le plan économique, le chef du gouvernement de Bucarest a mis en lumière l’importance de la mise en œuvre des nouveaux instruments financiers afin d’assurer une croissance économique robuste. Par ailleurs, il mentionné que la République de Moldova voisine comptait parmi les priorités de son cabinet, notamment pour ce qui est de la gestion de la pandémie, pour son processus de réforme démocratique et pro-européenne. A son tour, le président du PE a félicité Bucarest pour l’aide accordée à Chisinau, y compris en faisant don de quelque 200.000 doses de vaccin anticovid.

    Ecoles – La
    situation après la reprise des cours en présentiel a été analysée ce jeudi par
    le président Klaus Iohannis et le ministre de l’Education Sorin Cîmpeanu.
    « La situation est bonne », a déclaré le chef de l’Etat à l’issue des
    discussions. Il a toutefois averti que la pandémie n’était pas finie, bien que
    la Roumanie traverse en ce moment une période de plateau. Il faut continuer de
    respecter les restrictions, a-t-il ajouté, exhortant les Roumains à se faire
    vacciner. Le président et le ministre ont également parlé du financement de
    l’Education nationale par les fonds le Bucarest recevra grâce au Facilité pour la reprise et la résilience,
    estimant que cet argent pourrait aider à opérer un changement radical dans les
    écoles roumaines. Il permettra d’investir dans la numérisation, dans la
    modernisation des établissements scolaires et dans l’introduction du concept
    d’écoles « vertes ».


    Economie – La Commission européenne s’attend à ce
    que la Roumanie enregistre une croissance économique de 3,8% en 2021 et de 4%
    en 2022, selon ses prévisions économiques d’hiver rendues publiques ce jeudi.
    La consommation privée devrait revenir en force dans la seconde moitié de
    l’année, sur toile de fond de la vaccination anticovid, estime la Commission.
    Par ailleurs, à Bucarest, l’Institut national de la Statistique a fait savoir
    qu’en décembre dernier,
    le salaire moyen net a été de 3.620 de lei (environ 740 euros) en Roumanie,
    soit une hausse de plus de 200 lei (quelque 41 euros) par rapport au mois
    antérieur. Les majorations les plus importantes ont été enregistrées dans l’industrie
    pétrolière, tandis que le secteur de l’hôtellerie-restauration affiche les chiffres
    les plus faibles, constate l’Institut. Dans le secteur public, le salaire moyen
    net a augmenté dans la santé, l’assistance sociale et l’administration. L’évolution
    a été décroissante dans l’éducation nationale. Selon l’INS, la hausse générale
    s’explique par les primes et les bonus accordés à la fin de l’année dans la
    plupart des secteurs économiques.


    Incendie -
    Deux autres victimes de l’incendie déclarée le 29 janvier dernier à l’Institut
    national de maladies infectieuses Matei Bals de Bucarest, sont décédées, a fait
    savoir jeudi le ministère roumain de la Santé. Cela porte le bilan des 17 morts. Plusieurs salons ont entièrement
    brûlé dans cet incendie et l’ensemble du bâtiment a été affecté par la fumée.
    Le pavillon concerné accueillait une centaine de patients. Vendredi, le
    Parquet près du Tribunal de Bucarest a finalisé l’enquête sur place. La
    procédure visant à établir l’identité des victimes décédées a aussi été
    finalisée. Jusqu’ici 33 personnes ont été auditionnées – personnel médical,
    personnel administratif, agents de police ayant participé à l’intervention
    initiale, proches des victimes. Pour rappel, une tragédie similaire a eu lieu
    en novembre dernier à l’hôpital des urgences de Piatra Neamt (nord-est), un
    incendie dans lequel 10 personnes sont décédées sur place.






    Météo – Plusieurs alertes jaunes aux chutes des températures,
    vent fort, tempêtes de neige et verglas entrent en vigueur en Roumanie jusqu’à lundi matin. Le grand froid s’installe, dans la nuit de jeudi à vendredi, d’abord
    dans l’ouest, le nord, le nord-est et le centre du pays. Dans les 24
    prochaines heures les maxima ne dépasseront pas les 2 degrés.

  • 11.02.2021

    11.02.2021

    Budget – Le projet de
    loi de finances 2021 de la Roumanie devrait être rendu public aujourd’hui. Selon le premier
    ministre,Florin Cîţu, l’Exécutif table sur une croissance de 4,3% et
    sur un déficit d’environ 7% du PIB. L’accroissement des investissements, la
    réduction des dépenses et l’élimination du gaspillage de l’argent public, le
    gel des retraites pour cette année, la suppression des chèques-vacances, la diminution
    des subventions pour le transport gratuit et l’élimination de certains
    suppléments de salaire sont quelques-unes des mesures que la Roumanie devrait prendre
    pour cibler la relance de son économie, après la crise provoquée par la pandémie,
    a encore souligné le chef du gouvernement. L’opposition sociale-démocrate a annoncé son intention de déposer au
    Parlement des amendements concernant tous les chapitres de la construction
    budgétaire. Le Parti social-démocrate qualifie le projet gouvernemental de budget d’austérité,
    manquant de vision et de solutions pour résoudre les problèmes. Pendant ce
    temps, les syndicats multiplient leurs mouvements revendicatifs. Les
    représentants de la confédération Cartel Alfa manifesteront aujourd’hui
    devant les sièges du gouvernement et de plusieurs ministères. D’autres actions
    sont également annoncées à Bucarest par la Fédération syndicale Sanitas.
    Les syndicats protesteront aussi devant les préfectures départementales du
    pays, contre certaines mesures envisagées par le gouvernement.










    Visite – Le premier ministre roumain, Florin Cîţu, commence aujourd’hui une visite de deux
    jours à Bruxelles, où il aura des rencontres avec plusieurs dirigeants
    européens dont le président du Conseil européen, Charles Michel, et la cheffe
    de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Les entretiens porteront sur
    la manière dont la Roumanie envisage d’utiliser l’argent qui lui sera alloué
    via la Facilité pour la reprise et la résilience, adoptée, mercredi, par le
    Parlement européen. Le premier ministre roumain présentera aussi aux leaders
    européens le plan de son gouvernement pour réduire les dépenses injustifiées et
    relancer l’économie du pays. Aujourd’hui, M. Cîţu rencontre le président du Parlement européen,
    David Sassoli, et les vice-présidents de la Commission européenne, Frans
    Timmermans et Margrethe Vestager. Il aura aussi des entretiens avec les leaders
    des principaux groupes politiques du Parlement, avec la commissaire aux
    transports, Adina Vălean, et avec le secrétaire général adjoint de l’OTAN,
    Mircea Geoană.


    Bruxelles – Le
    Parlement européen a approuvé, mercredi, la Facilité pour la reprise et la
    résilience, mise au point pour aider les Etats membres à combattre les effets
    économiques et sociaux de la pandémie de Covid-19. C’est le volet le plus
    important de l’Instrument européen de relance « Next Generation EU »,
    qui mettra à disposition 672,5 milliards d’euros sous forme de prêts et de subventions.
    La tranche allouée à la Roumanie est de 30,44 milliards d’euros. Selon le
    ministre roumain des finances, Alexandru Nazare, les autorités de Bucarest sont
    en contact avec la Commission européenne pour finaliser le Plan national de
    relance et de résilience, sur lequel repose l’allocation des fonds.


    Covid-19 – En Roumanie, le Comité national pour les situations d’urgence
    a proposé une nouvelle prolongation de 30 jours de l’état d’alerte sanitaire, à
    partir du 12 février, et le maintien des restrictions en vigueur, ainsi que la prise en compte des foyers
    de Covid-19 dans le calcul du taux d’incidence. Jeudi, 2.644 nouveaux
    cas d’infection au SARS-CoV-2 ont été recensés à l’échelle nationale, ce qui
    fait monter le bilan général à plus de 755.000 cas positifs. Le nombre des
    décès est de 19.200, tandis que 958 malades graves sont hospitalisés en soins
    intensifs. Par ailleurs, la campagne de vaccination, débuté le 27 décembre
    dernier, continue. Jusqu’à présent, plus de 671.000 personnes se sont fait immuniser, la
    plupart par le vaccin Pfizer/BioNTech, mais
    les vaccins Moderna et AstraZeneca sont également administrés.




    En Europe, la campagne de vaccination
    rencontre des difficultés à cause des retards de livraison des doses de vaccin.
    C’est ce qui a poussé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der
    Leyen, à déclarer que l’Union européenne a doit s’impliquer davantage et
    encourager la production de vaccins. Les 27 ont administré au moins une dose à
    seulement 4% du total de la population, par rapport à 70% en Israël, 19% au
    Royaume Uni et 13% aux Etats-Unis, écrit le quotidien britannique The
    Guardian.














    Statistiques -
    En décembre 2020, le salaire moyen net a été de 3.620 de lei (environ 740 euros) en Roumanie, une
    hausse de plus de 200 lei (quelque 41 euros) par rapport au mois antérieur. Selon
    les données rendues publiques par l’Institut national de la statistique, les
    majorations les plus importantes ont été enregistrées dans l’industrie
    pétrolière, tandis que le secteur de l’hôtellerie-restauration affiche les plus
    faibles. Dans le secteur public, le salaire moyen net a augmenté dans la santé,
    l’assistance sociale et l’administration. L’évolution a été décroissante dans l’éducation
    nationale. Selon l’INS, la hausse générale s’explique par les primes et les bonus
    accordés à la fin de l’année dans la plupart des secteurs économiques.




    Tennis – En tennis, à l’Open d’Australie, le duo
    roumano-brésilien Horia Tecău / Marcelo Melo, tête-de-série
    n° 7, s’est qualifié jeudi au deuxième tour de la compétition de double
    messieurs. Jeudi également, les joueuses de tennis roumaines Simona Halep, Irina Begu et Mihaela Buzărnescu ont
    été éliminées du tournoi féminin de double de l’Australian Open, après
    les défaites subies au premier tour, aux côtés de leurs partenaires de jeu respectives.
    Au simple dames, les seules Roumaines encore présentes sur le tableau principal
    sont Simona
    Halep (2 WTA) et Sorana Cîrstea (68
    WTA). Vendredi, au troisième tour, Simona Halep affrontera la joueuse
    russe Veronika Kudermetova (36 WTA), tandis que Sorana Cârstea essaiera de s’imposer devant la Tchèque Marketa Vondrousova (20 WTA).

    Météo – Plusieurs alertes jaunes aux chutes des températures,
    vent fort, tempêtes de neige et verglas entrent en vigueur en Roumanie jusqu’à lundi matin. Le grand froid s’installera, cette nuit, d’abord dans l’ouest, le nord,
    le nord-est et le centre du pays. Pour l’instant, les températures se
    situent entre 1 et 16°, avec 13° à Bucarest, à midi.

  • Jurnal românesc – 11.02.2021

    Jurnal românesc – 11.02.2021

    Europarlamentarul
    Carmen Avram a cerut Executivului Comunitar să intervină pentru a opri
    discriminarea românilor din Ucraina prin limitarea dreptului la învăţământ în
    limba maternă.
    Eurodeputatul a spus că noua lege a învăţământului adoptată de
    Rada Supremă de la Kiev încalcă inclusiv Articolul 22 din Constituţia
    Ucrainei şi că, începând din 2023, actul normativ va face ca minoritatea
    română, care numără aproape o jumătate de milion de oameni, să nu le mai poată
    transmite limba şi cultura generaţiilor viitoare. Carmen
    Avram a apreciat că situaţia este inacceptabilă şi nu corespunde cu valorile şi
    principiile europene. Accesul la educaţie trebuie garantat de orice stat
    care îşi doreşte o apropiere de Uniunea Europeană şi orice măsură care are ca
    efect asimilarea unei minorităţi trebuie condamnată,
    a declarat aceasta.

    O poziţie similară a avut şi europarlamentarul Eugen Tomac. Acesta a solicitat
    ca Executivul de la Bruxelles să creeze un mecanism de monitorizare a situației
    minorităților naționale din Ucraina. El a declarat că, sub pretextul combaterii
    rusificării, Kiev-ul aplică o serie de măsuri discriminatorii la adresa altor
    comunități etnice. Românii sunt cea mai numeroasă comunitate minoritară
    din Ucraina, după cea rusă și prin urmare, dreptul la educație, exprimare și
    reprezentare trebuie garantat de un stat considerat partener al Uniunii
    Europene,
    a spus eurodeputatul. Eugen Tomac a precizat că va cere
    inclusiv condiționarea acordării fondurilor europene de respectarea
    standardelor și legislației comunitare privind minoritățile naționale.




    România
    va oferi Republicii Moldova un nou lot de ajutor umanitar de urgență, cu titlu
    gratuit, care să susţină efortul de combatere a pandemiei de COVID-19, a anunţat
    şeful executivului de la Bucureşti, Florin Cîţu
    . Acesta a explicat că, în primă
    fază, vor fi donate echipamente de protecţie medicală în valoare de circa 11
    milioane de lei, ce vor include 1,5 milioane de măşti chirurgicale, 100.000 de
    măşti standard FFP3, 100.000 de combinezoane şi 100.000 de mănuşi nesterile.
    Premierul român a precizat că materialele vor ajunge în stânga Prutului în
    intervalul 11 – 13 februarie şi vor fi transportate de opt reprezentanţi ai
    Inspectoratului General pentru Situaţii de Urgenţă.

    Preşedintele Republicii
    Moldova, Maia Sandu, a transmis un mesaj de mulţumire administraţiei de la
    Bucureşti. România este prima țară din UE care a reacționat imediat la
    solicitarea noastră de ajutor în lupta cu pandemia,
    a declarat Maia Sandu. Ea
    a arătat că, în urma discuţiilor pe care le-a purtat cu preşedintele şi
    prim-ministrul României, precum şi cu înalți oficiali de la Bruxelles, a fost
    posibilă reactivarea Mecanismului european de protecție civilă, prin care
    țările Uniunii Europene pot ajuta Republica Moldova cu donații. România va mai
    trimite în Republica Moldova 200.000 de doze vaccin pe care preşedintele Klaus
    Iohannis le-a promis cu ocazia vizitei pe care a efectuat-o la Chişinău, în
    decembrie 2020. Anul acesta, Bucureştiul a mai oferit o tonă de medicamente şi
    echipamente, a căror valoare depăşeşte 650.000 de lei, iar în mai 2020, a
    trimis peste Prut 20 de camioane cu echipamente sanitare a căror valoare a fost
    estimată la 16,5 milioane de lei.




    Ministerul
    Culturii a anunţat că, prin intermediul Muzeului Naţional de Istorie a
    României, va sprijini organizarea Programului de diplomaţie publică şi
    culturală dedicat, anul acesta, aniversării a 140 de ani de relaţii diplomatice
    între România şi Spania. Va fi o bună ocazie pentru promovarea şi întărirea
    legăturii diasporei române din Spania cu valorile culturii noastre naţionale,
    dar în acelaşi timp vom aduce în atenţia publicului nostru elemente din cultura
    spaniolă,
    a declarat ministrul de resort Bogdan Gheorghiu. Cea mai
    importantă manifestare va fi expoziţia Dacia – ultima frontieră a
    romanităţii, care va avea loc la Muzeul Naţional de Arheologie din
    Madrid. Deocamdată, calendarul mai include un istoric al prezenţei culturii
    române la Madrid, expunerea instalaţiei Fiesta, realizată de
    arhitecţii Attila Kim şi Bogdan Ciocodeică, concerte, un moment aniversar
    George Enescu şi expoziţia Memorialului Victimelor Comunismului. Ministerul
    Culturii a precizat că programul acţiunilor şi evenimentelor este stabilit de
    Ministerul Afacerilor Externe, prin Ambasada României la Madrid, care va
    coordona manifestările.




    Catedra
    de Filologie Română și Clasică din cadrul Universității Yurii
    Fedkovici din Cernăuţi îi invită la studii pe tinerii români din regiune
    și alte localități din Ucraina, transmite Agenţia BucPress. Catedra a anunţat
    că programele de învățământ sunt structurate pentru a pregăti profesori de
    limba și literatura română, editori, redactori, jurnaliști în presa scrisă şi
    audiovizuală, translatori, funcționari
    culturali și sociali. Între 8 şi 10 locuri la buget sunt disponibile pentru
    programul de studii Limba şi literatura română. Detalii se găsesc
    pe site-ul instituţiei de învăţământ precum şi prin intermediul adresei de
    email catedrarom@gmail.com.

  • Discuții în coaliție despre buget

    Discuții în coaliție despre buget

    Nevoit să se încadreze
    într-un deficit bugetar de 7% din PIB, agreat cu Bruxellesul, guvernul de la
    București lucrează la definitivarea bugetului de stat pe 2021. Discuțiile au
    fost intensificate în ultima perioadă pentru că obiectivul este ca documentul
    să intre în dezbaterea legislativului la începutul lunii viitoare, odată cu
    începerea sesiunii parlamentare. Rămâne de văzut, însă, în ce măsură acest
    lucru va fi posibil în condițiile în care, pe fondul unor cheltuieli majore
    impuse de contextul pandemic, împărțirea banilor – nu foarte mulți – este
    dificilă.

    Premierul liberal Florin Cîţu le-a cerut membrilor cabinetului de
    coaliţie o listă cu principalele proiecte pentru fiecare minister în parte în
    vederea alocării eficiente a banilor și spune că speră ca, în urma discuţiilor
    cu principalii ordonatori de credite, să se ajungă la un buget echilibrat, care
    să susţină creşterea economică. Cu certitudine, investiţiile şi sănătatea vor
    avea prioritate la finanţare, spune șeful Executivului, amintind că se are în
    vedere şi modificarea legilor salarizării personalului angajat în sectorul de
    stat, respectiv a pensiilor.

    Florin Cîţu: La Legea pensiilor este vorba de contributivitate şi ăsta este
    principiul de la care pornim. La Legea salarizării este vorba de a introduce
    mai multe eficienţă în administraţia publică. Aici e vorba şi de a lega
    veniturile de performanţă. Pe lângă faptul că vrem să avem o ierarhizare clară,
    dar trebuie să introducem nişte indicatori de performanţă care să fie conectaţi
    la aceste venituri.

    Potrivit legislaţiei actuale, creşterea pensiilor în
    acest an presupune un efort financiar de 8 miliarde de lei (circa 1,6 miliarde
    de euro), iar o reformă a sistemului de pensii, dorită de premier, cere timp şi
    nu va produce efecte asupra bugetului pentru 2021. Bugetul României este sub o
    presiune foarte mare în momentul de faţă din cauza necesităţii de a respecta
    deficitul agreat cu Comisia Europeană – spune și liderul USR PLUS,
    vicepremierul Dan Barna: Vom
    vedea care va fi forma finală şi cum vom reuşi să ne încadrăm în deficitul pe
    care România îl are agreat cu Comisia Europeană. Și, din această perspectivă, vom vedea
    ce şi dacă vor fi amendamente la nivelul Parlamentului din partea grupurilor
    noastre parlamentare.

    Bugetul de stat pe acest an trebuie să
    fie echilibrat, ţintit spre dezvoltare, investiţii şi locuri de muncă, afirmă
    şi liderul UDMR, vicepremierul Kelemen Hunor: Trebuie să folosim banii pentru dezvoltare şi din PNDR (n.red -Programul
    Național de Dezvoltare Rurală) foarte,
    foarte eficient, şi din programele operaţionale, şi din POIM (n.red-Programul
    Operațional Infrastructura Mare),
    fiindcă, de la bugetul national, pentru investiţii poate în acest an vor fi mai
    puţini bani decât doreşte fiecare om, decât doreşte fiecare autoritate locală.

    Din opoziţie, PSD a pregătit un buget alternativ, pentru a demonstra, spun
    social-democrații, că ar fi bani pentru a ajuta masiv economia și pentru a mări,
    totodată, veniturile românilor.

  • Şefa LSRS Belgia, despre viaţa studenţească din inima Europei

    Şefa LSRS Belgia, despre viaţa studenţească din inima Europei

    Daiana Vasiu-Velcherean are 23 de ani şi conduce filiala Belgia a Ligii Studenţilor Români din Străinătate. Este din Deva şi a ajuns în Belgia vârsta de 16 ani, împreună cu mama sa. Primul contact cu societatea belgiană l-a avut în orăşelul La Louvière, unde a locuit timp de doi ani, perioadă în care a absolvit liceul şi învăţat limba franceză.



    Nu pot să spun că nu a fost dificil, pentru că a fost. Fiind un orăşel mic am avut parte şi de multe instanţe de xenofobie, dar faptul că am învăţat franceza atât de repede m-a ajutat să mă integrez mai repede.”



    De cinci ani locuieşte în capitala informală a Europei, unde a obţinut licenţa în literatură şi lingvistică în limbile engleză, germană şi japoneză la Universitatea Liberă din Bruxelles. În prezent urmează cursurile de master în comunicare şi relaţii internaţionale la aceeaşi instituţie de învăţământ superior. Este membru al Ligii Studenţilor Români din Străinătate de aproape trei ani, iar de un an a preluat frâiele filialei Belgia. Împreună cu cei 24 de membri, Daiana a pus în scenă câteva proiecte destinate studenţilor români de acolo, dar şi promovării tradiţilor româneşti.



    Facem multe proiecte de tip workshop, numele unui asemenea proiect fiind LSRS Skills. Am avut două ediţii înainte să lovească pandemia şi de atunci încă încercăm să ne reprofilăm în online. La prima ediţie a fost vorba despre CV, despre scrisoarea de intenţie şi despre interviu, deci cum ne pregătim pentru viaşa profesională în calitate de studenţi. Am avut profesionişti care au venit să ne vorbească, să ne explice şi apoi, în a doua parte a evenimentului, să ne corecteze CV-urile şi scrisorile de intenţie şi să ne pregăteascp rapid pentru un posibil interviu. Ideea a fost să pregătim uşor, uşor studenţii pentru ce urmează după facultate. A doua ediţie a evenimentului a avut ca temă leadership-ul, cum abordăm această temă a leadership-ului, ce fel de calităţi are un lider şi aşa mai departe. În ultimii trei ani, de 1 martie şi de 1 decembrie a făcut evenimente la care am avut momente artistice, diverse activităţi ca să celebrăm Ziua Naţională sau Mărţişorul. Ultimul eveniment pe care l-am făcut anul acesta a fost chiar Mărţişorul şi am făcut mărţişoare din materiale sustenabile, am prezentat tradiţia Mărţişorului şi, de data aceasta, a fost un eveniment deschis tuturor nu doar românilor, ca să promovăm puţin tradiţia Mărţişorului şi sustenabilitatea. Pe lângă acestea avem şi evenimente puţin mai informale, precum Meet the students. În fiecare lună ne întâlneam la un restaurant din bruxelles şi la acest eveniment veneau studenţii din comunitatea românească, povesteam, ne cunoşteam, era un eveniment informal de networking pentru studenţi.”



    Odată cu apariţia noului coronavirus şi a impunerii de restricţii menite să reducă rata de infectare, LSRS Belgia, la fel ca celelalte filiale ale Ligii, a fost nevoită să-şi reducă activităţile şi să le tranfere, pe cât posibil, în online. Deşi spune că nu a fost uşor, Daiana a reuşit organizarea câtorva evenimente.



    Ne-am îndreptat activitatea către echipă şi, la început, am făcut foarte multe proiecte interne ca să ne consolidăm puţin echipa şi să nu pierdem contactul unii cu alţii, pentru că este foarte greu pe timp de pandemie. Am început să facem diverse proiecte în online, precum conferinţe sau seminarii. De exemplu, în octombrie am avut un eveniment care se numeşte Women in diplomacy cu doamna Ambasadoare la Uniunea Europeană Luminiţa Odobescu, unde ne-a vorbit despre experienţa sa ca femeie în domeniul diplomaţiei şi ne-a dat câteva sfaturi, deci am încercat să adaptăm evenimentele deja existente în format online.”



    Daiana Vasiu-Velcherean este de părere că nu există un loc de muncă ideal, ci mai de grabă aspecte ale anumitor job-uri care sunt ideale. Spune că este în căutarea acelei actvităţi care să-i odfere motivaţia de a se trezi dimineaţa cu gândul că poate face o diferenţă. La întrebarea dacă intenţionează să se întoarcă în România şi să profeseze, a oferit un răspuns categoric.



    Da. Deşi am remarcat că din ce în ce mai puţine persoane au acelaşi răspuns ca mine, eu mi-aş dori foarte mult să mă întorc în România. Îmi dau seama că am învăţat foarte multe lucruri aici care ar putea fi de folos în România şi care ar putea schimba anumite mentalităţi. Mă gândesc din ce în ce mai serios că, dacă opportunitatea se iveşte, să mă mut înapoi şi să văd dacă pot, şi sper să pot, să construiesc ceva frumos acolo pentru că îmi spun că dacă am reuşit în Belgia, într-o ţară străină care m-a acceptat şi m-a adoptat, reuşesc şi în ţara mea.”





  • Dosarul Băneasa, la final

    Dosarul Băneasa, la final

    Cândva cap de afiş al actualităţii româneşti, combatarea marii
    corupţii şi-a pierdut mult din turaţie în ultimii ani. Percepută de mulţi drept
    vârful de lance al acesteia, fosta şefă a Direcţiei Naţionale Anticorupţie,
    Laura Codruţa Kovesi, a fost revocată de preşedintele Klaus Iohannis, la
    presiunea fostei guvernări de stânga, şi acum conduce, de la Bruxelles, nou
    creatul Parchet European antifraudă.


    Cupolă a instituţiilor de forţă ale
    statului şi condus tot de preşedinte, Consiliul Suprem de Apărare a Ţării a
    exclus, din ultima strategie naţională de securitate, corupţia din categoria
    ameninţărilor la adresa statului. Totuşi, din când în când, dosare răsunătoare
    mai ajung la final, iar instanţele condamnă nume sonore din politică,
    mass-media sau mediul românesc de afaceri. Joi, a venit sentinţa şi în cazul
    retrocedării ilegale a fostei ferme regale Băneasa şi a pădurii Snagov, ambele
    din apropierea Bucureştiului, cu un prejudiciu calculat la peste 140 de
    milioane de euro.


    Fost şef de cabinet foarte influent al ex-premierului
    social-democrat Adrian Năstase, omul de afaceri Remus Truică a fost condamnat
    definitiv de Înalta Curte de Casaţie şi Justiţie la şapte ani de închisoare cu
    executare. Nepot direct, dintr-o căsătorie morganatică, al fostului rege Carol
    al II-lea, personajul monden cunoscut drept Prinţul Paul al României a primit
    trei ani şi patru luni de închisoare cu executare, iar controversatul jurnalist
    Dan Andronic trei ani de închisoare cu suspendare şi 60 de zile de muncă în
    folosul comunităţii. Au mai fost condamnaţi la patru ani de închisoare cu
    executare Apostol Muşat, fost primar al comunei Snagov, precum şi Nicolae Jecu,
    fost prefect al judeţului Ilfov, pe teritoriul cărora se află ferma şi
    pădurea.


    Vedeta acestui lot eterogen, Truică
    a fost trimis în judecată de DNA pentru constituire de grup infracţional organizat,
    trafic de influenţă, spălare de bani, complicitate la abuz în serviciu şi dare
    de mită, iar prinţul Paul pentru cumpărare de influenţă şi spălare de bani,
    ambele în formă continuată. Potrivit magistraţilor, sunt infracţiuni comise în
    perioada 2006 – 2013, în diferite forme de participare, în interesul obţinerii
    unor bunuri de o valoare deosebită, revendicate fără drept de prinţul Paul.


    Instanţa
    a mai decis confiscarea mai multor terenuri din Snagov de la Truică şi a peste
    5 milioane de euro de la prinţ. În plus, inculpaţii trebuie să plătească, în
    solidar, către regia pădurilor, Romsilva, peste un milion de euro cu titlu de
    despăgubiri civile materiale. Înalta Curte a admis şi acţiunea mai multor
    instituţii ale statului şi a dispus reintegrarea terenului de peste 170.000 de
    metri pătraţi în proprietatea publică a statului.

  • Accord européen sur les budgets

    Accord européen sur les budgets

    Réunis lors d’un sommet à Bruxelles, les leaders des Etats de l’Union européenne ont réussi à débloquer la situation relative à la mise en œuvre du budget de l’Union et au plan de relance post-COVID, auxquels la Hongrie et la Pologne avaient opposé leur veto. Non contents de la conditionnalité de l’accès aux fonds au respect de l’État de droit, les deux États avaient contesté l’introduction de ce mécanisme. L’impasse a été surmontée grâce à un compromis sur l’État de droit pour permettre la levée des vetos hongrois et polonais. Le mécanisme européen de conditionnalité, adopté à la majorité qualifiée suite à un accord entre le Parlement européen et la présidence allemande du Conseil de l’UE, a autorisé la suspension des fonds européens dans le cas d’un État membre si la Commission européenne estimait qu’il violait l’État de droit, pour autant que les États membres approuvent cette mesure contre ledit pays à la majorité qualifiée. Accusant que ce mécanisme n’était pas assorti de critères clairs et qu’il pouvait être utilisé comme un instrument politique arbitraire pour sanctionner les Etats qui mettent en œuvre des politiques non approuvées à Bruxelles, les gouvernements polonais et hongrois avaient opposé leur veto au budget pluriannuel de l’UE le 16 novembre.



    Le budget du bloc communautaire pour la période 2021-2027, d’un montant de 1 074 milliards d’euros, et le plan de relance post-Covid NextGenerationEU, de 750 milliards d’euros, avaient été adoptés en juillet dernier. Les États membres auront accès aux crédits et aux subventions du plan de relance. « Maintenant, nous pouvons commencer la mise en œuvre et reconstruire nos économies. Le plan de relance crucial stimulera la transition verte et numérique », a annoncé le président du Conseil européen, Charles Michel.



    Grâce à cet accord, la Roumanie obtiendra du budget commun 46,7 milliards d’euros pour différentes politiques – en matière d’agriculture, de cohésion ou de développement rural jusqu’à l’infrastructure et aux transports. En outre, 33,5 milliards de subventions et de crédits lui sont alloués à partir du Fonds de relance. Le président Klaus Iohannis a déclaré que la Roumanie était prête à utiliser ces fonds pour des réformes et des investissements dans des secteurs clés. Selon l’Union européenne, le budget à long terme et l’instrument NextGenerationEU, un plan temporaire destiné à stimuler la reprise, formeront le paquet de stimulants financé à partir du budget communautaire le plus important.



    Le nouveau budget est conçu pour renforcer les mécanismes de flexibilité afin de répondre à des imprévus. Le plan NextGenerationEU aidera à réparer les dommages économiques et sociaux immédiats causés par le virus SARS-CoV-2. Il est à espérer qu’après la pandémie de Covid-19, l’Europe soit plus verte, plus numérisée, plus résiliente et mieux préparée à relever les défis actuels et futurs.


    (Trad. : Ligia)



  • Jurnal românesc – 04.12.2020

    Jurnal românesc – 04.12.2020

    Românii cu drept de vot care au domiciliul sau reşedinţa în
    străinătate sunt aşteptaţi pe 5 şi 6 decembrie la urne pentru a-i alege pe cei
    2 senatori şi 4 deputaţi care îi vor reprezenta în Parlamentul de la Bucureşti.
    Procesul de vot se desfăşoară în 748 de secţii înfiinţate în 93 de ţări. Cele
    mai multe secţii sunt organizate în Spania – 140, în Italia – 137, Germania -
    61, Marea Britanie – 50, Franţa – 48, SUA – 36, Republica Moldova – 30, Belgia
    – 19, Austria – 17, Irlanda – 16, Olanda – 15, Grecia – 11, Danemarca şi
    Norvegia – câte 10, Portugalia – 9, Australia şi Noua Zeelandă – 7.

    Ministerul
    de Externe a lansat linia telefonică 004 021 431 20 65 la care se pot obţine
    informaţii utile privind organizarea şi desfăşurarea scrutinului legislativ.
    Totodată, Autoritatea Electorală Permanentă a transmis că a primit 14.572 de
    plicuri ce conţin buletinele de vot ale alegătorilor români din străinătate
    care şi-au exprimat opţiunea electorală prin corespondenţă. AEP le recomandă
    românilor, ca atunci când se prezintă la urne, să respecte măsurile de
    distanţare fizică şi de protecţie sanitară.




    Studenţii români din afara ţării care nu au documente emise de
    autorităţile străine pot vota la alegerile parlamentare pe baza documentelor
    emise de instituţiile de învăţământ,
    a anunţat reprezentantul cu însărcinări
    speciale pentru procese electorale din cadrul Ministerului de Externe, Iulian
    Ivan. Acesta a arătat că, pe site-ul mae.ro, este publicată lista documentelor
    emise de autorităţile străine care pot fi folosite pentru exercitarea dreptului
    de vot la scrutinul parlamentar. Iulian Ivan a reamintit că actele de
    identitate româneşti care au expirat în perioada 1 martie – 6 decembrie pot fi
    folosite pentru exercitarea dreptului de vot.

    De asemenea, documentele care
    atestă dreptul legal de şedere în străinătate necesare alegătorilor care au
    doar reşedinţa în străinătate pot fi folosite pentru exercitarea dreptului de
    vot dacă acestea au expirat în perioada 1 martie – 6 decembrie. Documentele
    eliberate de autorităţile străine pot fi prezentate la secţia de votare în
    original, în copie sau în format electronic. Reprezentantul MAE a precizat că,
    în ţările în care au fost impuse restricţii de circulaţie din cauza pandemiei
    de COVID-19, au fost întreprinse demersuri pentru ca alegătorii români să se
    poată deplasa la secţiile de votare pe baza unei declaraţii sau a unor dovezi
    specifice că vor participa la procesul electoral.




    Guvernul din Croaţia a introdus obligativitatea prezentării unui
    rezultat negativ al unui test PCR pentru cetăţenii străini care sosesc din
    state cu risc epidemiologic ridicat, inclusiv România.
    Noile măsuri, în vigoare
    până pe 15 decembrie, prevăd că testul pentru depistarea SARS-CoV2 trebuie
    făcut cu maximum 48 ore anterior intrării pe teritoriul croat însă oferă şi
    posibilitatea efectuării unei astfel de testări după intrarea în Croaţia, cu
    obligaţia de a intra în autoizolare până la primirea unui rezultat negativ. Lista unităţilor în care pot fi efectuate testele moleculare în Croaţia se
    găseşte pe pagina www.koronavirus.hr, iar costul procedurii medicale variază
    între 70 şi 200 de euro şi va fi suportat de către solicitant.

    Exceptaţi de
    aceste restricţii sunt angajaţii care prestează servicii esenţiale, lucrătorii
    transfrontalieri şi sezonieri, elevii, studenţii şi stagiarii transfrontalieri,
    personalul navigant şi transportatorii, personalul diplomatic şi al
    organizaţiilor internaţionale, militarii, poliţiştii şi personalul umanitar,
    cei care călătoresc pentru motive esenţiale legate de familie sau afaceri,
    jurnaliştii, oamenii aflaţi în tranzit, cu condiţia ca durata acestuia să nu
    depăşească 12 ore, şi pacienţii transportaţi pentru urgenţe. Românii care se
    confruntă cu o situaţie dificilă au la dispoziţie telefonul de urgenţă al
    misiunii diplomatice a României la Zabreg +38 598 414 341.




    A 6-a ediție a Festivalului EuRoFestCultura se desfăşoară în aceste
    zile online, cu sprijinul Ambasadei României în Belgia şi a reprezentanţei la
    Bruxelles a Institutului Cultural Român.
    În cadrul manifestării, la Consulatul
    României la Bruxelles are loc expozitia ART TOGETHER, care reunește 24 de
    artiști plastici români. EuRoFestCultura a inclus o serie de evenimente, precum
    concertul Omagiu lui Grigoraș Dinicu susţinut pe 1 decembrie de
    violonista Clara Cernat și pianistul Thierry Huillet, prezentarea filmelor
    Track one, White și The wrong day, în regia
    lui Dan Tudor, spectacolul Amadeus, realizat de opera Națională din Cluj şi
    prezentarea piesei de teatru Mic și-al dracu’… de Ion Pribeagu, o producție
    a Teatrului Evreiesc de Stat, cu Maia Morgenstern în rol principal.

    Festivalul
    continuă, pe 5 decembrie, cu spectacolul pentru copii Omul de zăpadă de Matei
    Vişniec, prezentat de Teatrul Țăndărică din București, şi se încheie pe 6
    decembrie cu piesa pentru copii Scufița Roșie, de asemenea produsă
    de cunoscutul teatru bucureştean, care împlineşte în aceste zile 75 de ani de
    existență.

  • În pregătire, o nouă rectificare bugetară

    În pregătire, o nouă rectificare bugetară

    Executivul de la București
    a pregătit o nouă rectificare bugetară, a treia din acest an, puternic
    influențată de contextul pandemic. Rectificarea este necesară, a explicat
    ministrul Finanţelor, Florin Cîțu, pentru ca sănătatea, asistenţa socială şi
    educaţia să aibă fondurile necesare funcţionării până la sfârşitul anului. De
    asemenea, vor fi direcționați bani pentru susţinerea în continuare a
    investiţiilor, precum și către Ministerul Agriculturii, pentru despăgubirea
    fermierilor ale căror culturi au fost afectate de secetă.


    Cifrele luate în
    calcul au în vedere un deficit în creştere – de 9,1% din PIB – pe fondul
    evoluţiei negative a economiei, influenţată de prelungirea crizei sanitare. În
    loc de o creştere economică de 4,2%, cât era prevăzută în buget la începutul anului,
    România se confruntă acum cu o contracţie egală, iar această scădere de
    aproximativ opt procente, care se regăseşte şi în deficit, este cauzată de
    scăderea veniturilor și de eşalonarea datoriilor pe care companiile le-au
    acumulat din martie până în octombrie, a explicat ministrul Cîţu. El a mai spus
    că la această rectificare se va suplimenta bugetul asigurărilor sociale pentru
    acoperirea recalculării de pensii şi finanţarea măsurilor de sprijin pentru
    companii, în contextul pandemiei.


    Anunţurile făcute de ministrul Florin Cîţu
    sunt completate de Comisia Naţională de Strategie şi Prognoză, care a revizuit
    în sens negativ estimările privind evoluţia economiei: o scădere a PIB-ului de
    4,2% în acest an, în timp ce inflaţia ar urma să ajungă la 2,2% la finalul anului.
    La Bruxelles, în prognozele sale de toamnă, Comisia Europeană estimează că
    deficitul României va trece de 10% din PIB în 2020 şi va continua să crească în
    anii următori. Executivul comunitar a cerut o analiză atentă a situaţiei
    economice din România, la fel cum a solicitat şi pentru alte 11 state membre
    unde a observat dezechilibre macroeconomice majore. Comisia consideră că
    deteriorarea perspectivelor economice şi introducerea măsurilor de urgenţă
    destinate combaterii pandemiei şi consecinţelor sale economice explică doar
    parţial preconizata creştere a deficitului în România, pentru că, potrivit
    Bruxellesului, elemente importante ale situaţiei fiscale care erau deja
    prezente înainte de izbucnirea pandemiei nu au fost modificate în acest an.


    Este
    vorba de creşteri semnificative ale pensiilor și alocațiilor pentru copii, fără
    suport financiar real, reducerea taxelor indirecte şi diminuarea contribuţiilor
    sociale pentru unele categorii de angajaţi. Executivul comunitar deplânge
    faptul că încercările guvernului de a limita impactul unora dintre aceste
    măsuri au fost respinse de Parlament. Comisia reaminteşte că, începând din
    aprilie 2020, România face obiectul procedurii de deficit excesiv, ca urmare a
    încălcării în 2019 a pragului privind deficitul. Totuşi, CE consideră că, având
    în vedere gradul ridicat de incertitudine care persistă în contextul pandemiei
    de coronavirus, în acest moment nu trebuie luată nicio decizie cu privire la
    aplicarea unor măsuri suplimentare în cadrul procedurii.

  • Jurnal românesc  – 16.10.2020

    Jurnal românesc – 16.10.2020

    România îşi doreşte un acord între Uniunea Europeană şi Regatul
    Unit, a declarat preşedintele Klaus Iohannis la Bruxelles, unde participă la
    reuniunea Consiliului European.
    (…) un acord, este necesar, este calea
    cea mai bună pentru a garanta un parteneriat solid între Uniunea Europeană şi
    Regatul Unit pentru mulţi ani de acum încolo şi este foarte important şi pentru
    cetăţenii noştri care trăiesc în Regatul Unit, dar şi pentru firmele noastre
    care fac afaceri cu Regatul Unit,
    a spus preşedintele.

    El a apreciat că
    negocierea acordului dintre Bruxelles şi Londra nu a făcut progrese suficiente
    şi a subliniat necesitatea accelerării procesului în condiţiile în care a mai
    rămas puţin timp până când perioada de tranziţie post-Brexit se va încheia.
    Marea Britanie a părăsit oficial Uniunea Europeană la 31 ianuarie, iar până la
    finele lui 2020 se află într-o perioadă de tranziţie.

    Londra a iniţiat,
    totodată, procedura EU Settlement Scheme prin care cetățenii europeni care
    doresc să continue să locuiască în Regat după 31 decembrie 2020 se
    înregistrează pentru a obţine statut de rezident. Peste 600.000 de români au
    transmis astfel de solicitări, până la 30 iunie, potrivit informaţiilor
    furnizate de Ministerul de Interne britanic.




    Circa 24.500 de români cu drept de vot din afara graniţelor s-au
    înscris pe portalul votstrainatate.ro pentru a vota prin corespondenţă la
    scrutinul legislativ programat în decembrie.
    Autoritatea Electorală Permanentă
    şi Ministerul de Externe le recomandă conaţionalilor din străinătate să opteze
    pentru această modalitate de vot. Cele două instituţii atrag atenţia că, din
    cauza evoluţiei ratei de infectări cu SARS-CoV2, există posibilitatea ca multe
    state, inclusiv din Europa, să interzică organizarea de secţii de votare pe
    teritoriile lor, scenariu în care votul prin corespondenţă rămâne singura
    opţiune valabilă de exprimare a voinţei electorale.

    Ministrul de Externe,
    Bogdan Aurescu, a declarat recent că o serie de ţări, între care Franţa,
    Italia, Germania, Marea Britanie şi Spania, şi-au dat acordul de principiu
    pentru organizarea de secţii de votare pe teritoriile lor, dar că, în funcţie
    de evoluţia pandemiei, acestea ar putea să revină asupra deciziilor. Românii
    din diaspora se mai pot înscrie pentru a putea vota prin corespondenţă până pe
    22 octombrie. Alegerile pentru Parlamentul României sunt programate să se
    desfăşoare în afara ţării pe parcursul a două zile, pe 5 şi 6 decembrie.




    România face parte din grupul de 17 ţări din Uniunea Europeană,
    inclusiv Marea Britanie, care au fost desemnate ca zone roşii pe harta
    europeană de risc epidemic pentru COVID-19, publicată pe 15 octombrie de
    Centrul european pentru prevenirea şi controlul bolilor.
    Conform documentului,
    doar Norvegia, Finlanda şi Grecia sunt în mare parte marcate în verde, în timp
    ce Italia, Cipru, Estonia, Lituania şi Letonia sunt în principal colorate în
    portocaliu. În schimb, Germania, Austria, Suedia, Danemarca şi Islanda nu au
    fost evaluate din cauza datelor insuficiente şi sunt prezentate în alb.

    Pentru
    desemnarea culorilor, instituţia europeană ia în calcul rata de noi cazuri la
    100.000 de locuitori în ultimele 14 zile, numărul de teste la 100.000 de
    locuitori efectuate în ultima săptămână şi rata testelor pozitive. Pentru a
    redobândi culoarea verde, o regiune trebuie să înregistreze mai puţin de 25 de
    cazuri noi la 100.000 de locuitori în ultimele două săptămâni şi un procent de
    teste pozitive mai mic de 4%. Centrul european pentru prevenirea şi controlul
    bolilor precizează că harta va fi actualizată în fiecare săptămână.





    Festivalul literar româno-britanic ROMANIA
    ROCKS, organizat de reprezentanţa Institutului Cultural Român la Londra,
    începe pe 17 octombrie cu prezentarea filmului documentar Distanţa dintre
    mine şi mine,
    regizat de Mona Nicoară și Dana Bunescu, după o idee de Ada
    Solomon. Proiecția va avea loc la sediul ICR Londra, în prezența unui public
    restrâns și care s-a înregistrat în prealabil. ROMANIA ROCKS reuneşte
    cunoscuţi autori britanici și români, precum Paul Bailey, AL Kennedy, Deborah
    Levy, David Mitchell, Ben Okri, Ian Rankin, Ana Blandiana, Magda Cârneci,
    Ruxandra Cesereanu, Eugen Chirovici, Ioana Pârvulescu sau Matei Vișniec.
    Programul festivalului cuprinde interviuri, lecturi și conversații din seria
    Rock Talks, un eveniment dedicat scriitorilor români stabiliți în
    Marea Britanie şi întâlniri cu autori britanici ce locuiesc în România. Manifestarea
    se va încheia pe 13 noiembrie cu un concert rock al trupei Publika. Toate
    momentele din cadrul festivalului vor fi filmate și vor putea fi accesate
    gratuit pe canalele de comunicare ale ICR și ale partenerului său European
    Literature Network.