Tag: Calin Popescu Tariceanu

  • Laura Codruta Kovesi voted for the position of European chief prosecutor

    Laura Codruta Kovesi voted for the position of European chief prosecutor

    The former head of the National
    Anticorruption Directorate, Laura Codruta Kovesi, has received the backing of
    the Council of the European Union in her race for the position of European
    chief prosecutor. On Thursday the Committee of Representatives of European
    Union Member States gave Kovesi 17 of the 22 votes in favor. The European
    Public Prosecutor’s Office (EPPO) will be founded next year and start its
    activity in 2021. According to European law, the European prosecutor is jointly
    appointed by Parliament and the Council for a one-time seven-year term in
    office. Pundits say Kovesi is almost sure to take over, as the European
    Parliament has expressed its support for the Romanian candidate both in the
    previous and in the current tenure. Having spearheaded the fight against
    corruption for years, but also believed to have instrumented an abusive
    prosecution system, Kovesi has often been labeled as Romania’s most powerful
    woman.

    Shortly before being sacked last year in June, following a
    Constitutional Court ruling, Kovesi admitted during a debate venued at the UN
    headquarters in New York, that Romania’s greatest challenge remains the
    preservation of the independence of judges and prosecutors. There have
    been repeated attempts at modifying anticorruption legislation to limit the
    legislative instruments used by anticorruption prosecutors or to decriminalize
    certain offences. There have been cases where requests to lift the immunity of
    politicians charged with corruption were turned down. The whole justice system
    has seen attacks by means of fake news or public statements aimed at weakening
    public credibility in the system, Kovesi said, claiming the
    Social-Democratic Party and the Alliance of Liberals and Democrats in power
    have tried to rein in the fight against corruption and subordinate magistrates.
    Beyond controversies, the facts speak volumes. In the last five years with
    Kovesi at its helm, the Directorate has prosecuted 14 ministers and former
    ministers and 53 MPs. Of these, 27 were handed final sentences. During the same
    period, the Directorate seized over 2.3 million dollars in assets.

    The recently
    appointed pro-European Prime Minister in the Republic of Moldova, Maia Sandu,
    has offered Laura Codruta Kovesi the leadership of the Anti-graft Prosecutor’s
    Office in Moldova. Conversely, the political class in Bucharest has had
    contrasting reactions to Thursday’s vote. Social-Democrat Prime Minister
    Viorica Dancila and the leader of the Alliance of Liberals and Democrats, Calin
    Popescu-Tariceanu have overtly expressed their discontent and reiterated
    criticism against Kovesi. President Klaus Iohannis and the National Liberal
    Party and Save Romania Union in opposition have hailed Thursday’s vote, which
    some say they tried to take credit for. According to Mrs. Kovesi, the vote is
    also the result of the civic actions and street protests staged by ordinary
    citizens, who have constantly supported her ever since she was sacked from the
    helm of the Directorate, believing, as she often said, that corruption can be
    defeated, never give up!


    (Translated by V. Palcu)

  • La semaine du 9 au 14 septembre

    La semaine du 9 au 14 septembre

    Scène politique mouvementée en Roumanie


    La décision de l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE) de quitter la coalition gouvernementale de Bucarest a fortement secoué la scène politique roumaine. Les divergences manifestes entre la première ministre et le chef de l’Etat sur la composition du Cabinet sont devenues encore plus fortes, suite à la démission des ministres libéraux-démocrates.


    Mercredi, la première ministre sociale-démocrate Viorica Dăncilă a remis au président Klaus Iohannis une proposition de remaniement où elle proposait pour les portefeuilles vacants d’autres libéraux-démocrates. Les candidats sont tous des députés qui affirment vouloir continuer le projet politique mis en œuvre avec le PSD, en 2016, lorsque les élections les avaient portés au pouvoir.


    Le chef de l’Etat a refusé net la proposition, qu’il a qualifiée d’« indéniablement inconstitutionnelle ». M. Iohannis a de nouveau demandé à Mme Dăncilă de chercher le vote de confiance du Parlement, en raison de la modification de la structure politique au pouvoir. La première ministre Viorica Dăncilă a répliqué en affirmant qu’elle n’avait pas peur d’aller présenter son équipe aux élus, comme l’accuse le président Iohannis. Elle a aussi contre-attaqué en reprochant au président de mettre à mal les efforts du gouvernement de fonctionner normalement. Le leader libéral-démocrate Călin Popescu Tăriceanu accuse Mme Dăncilă d’ignorer les dispositions constitutionnelles et de vouloir éviter, par tous les moyens le vote du Parlement.



    Dispositions relatives au vote par correspondance


    Les Roumains établis à l’étranger ont jusqu’au 15 septembre pour choisir leur modalité de vote pour les élections présidentielles de novembre, en s’inscrivant sur le site votstrainatate.ro. La nouvelle date butoir a été prolongée jeudi par décret gouvernemental d’urgence, à la sollicitation de l’Autorité électorale permanente. Le dernier jour pour l’inscription était initialement le 11 septembre. La Poste roumaine transmettra aux électeurs tout le matériel nécessaire — enveloppes, bulletins de vote, timbres et autocollants avec la mention « VOTÉ » – pour les deux scrutins, mais aussi des instructions sur le processus de vote.


    Les électeurs dont la résidence principale ou secondaire est à l’étranger auront à disposition trois options pour envoyer l’enveloppe contenant leur vote : soit l’envoyer par la poste vers la Roumanie, soit l’envoyer par courrier ou la déposer personnellement au siège de la mission diplomatique ou de l’office consulaire du pays où ils se trouvent. Plus de 71.000 Roumains s’étaient inscrits sur la plate-forme en ligne avant l’échéance initiale, le 11 septembre.



    Visite en Italie de la ministre Natalia Intotero


    La ministre pour les Roumains du monde, Natalia Intotero, qui effectue une visite de travail en Italie, du 10 au 18 septembre, rencontre les représentants de la communauté roumaine de ce pays, pour discuter notamment des modalités d’exercer le droit de vote à la présidentielle de novembre prochain.


    Les discussions portent également sur le renforcement de l’unité du milieu associatif, sur les actions à mener afin de préserver et de développer l’identité linguistique, spirituelle et culturelle des Roumains de l’étranger, sur le suivi des projets financés par le ministère de tutelle. A cela s’ajoutent la question du trafic d’être humains et les problèmes auxquels sont confrontés les Roumains qui vivent dans ce pays.


    La communauté roumaine d’Italie, la plus grande de l’étranger, dénombre près de 1 million 200 mille membres, selon les données rendues publiques par l’Institut national de la statistique.



    Rovana Plumb, la nomination de la Roumanie pour les fonctions de commissaire européen


    La sociale-démocrate Rovana Plumb, proposée par la Roumanie au poste de commissaire européen, prendra en charge le portefeuille des Transports. C’est qu’a annoncé la présidente élue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui a fait connaître la composition de la nouvelle équipe de l’Exécutif communautaire.


    Après les auditions dans les Commissions spécialisées du Parlement européen et après avoir reçu le feu vert du Législatif communautaire, le Conseil européen nommera officiellement la nouvelle Commission. Membre du PSD depuis 25 ans, Rovana Plumb a été membre du Parlement de Bucarest et assumé la direction des Ministères de lEnvironnement, du Travail et des Fonds européens.



    Le Festival international de musique George Enescu bat son plein


    Organisée du 31 août au 22 septembre, la 24ème édition du Festival international George Enescu se déroule dans 11 villes roumaines et 5 autres pays — la France, l’Allemagne, l’Italie, le Canada, et la République de Moldova, avec pour thème « Le monde en harmonie ». Le directeur artistique du festival est cette année aussi le chef d’orchestre russe Vladimir Jurowski.


    Rien qu’à Bucarest plus 2500 artistes du monde entier doivent donner 84 récitals et concerts. Le festival comporte 5 grandes sections : « Grands orchestres du monde », « Les concerts de minuit », « Récitals et concerts de chambre », « Musique du 21e siècle », « Mozart Week in Residence » (La semaine Mozart en résidence) et « Le forum international des compositeurs ». S’y ajoutent des conférences, des lancements de disques et de livres. Radio Roumanie est coproducteur de l’événement, depuis sa toute première édition, en 1958.

  • Klaus Iohannis lehnt erneut  Dancilas Minister-Vorschläge ab

    Klaus Iohannis lehnt erneut Dancilas Minister-Vorschläge ab

    Der Versuch der Premierministerin Viorica Dăncilă, PSD-Chefin, die Regierungsformel in Bukarest durch die Nominierung von ALDE-Vertretern zu ergänzen, ist gescheitert. Staatspräsident Klaus Iohannis hat den Vorschlag der Premierministerin zurückgewiesen und sagte, er lehne diesen ganz klar ab, weil er verfassungswidrig sei. Iohannis forderte Dăncilă auf, die Exekutive durch die Abstimmung im Parlament zu validieren, weil sich die politische Regierungsstruktur geändert habe.



    Der Chef der Liberaldemokraten Călin Popescu Tăriceanu sagte über die von Viorica Dancila nominierten Personen, die meinen, dass sie das im Jahre 2016 zusammen mit den Sozialdemokraten gestartetes Projekt fortsetzen zu wollen, dass sie nicht mehr Mitglieder der ALDE sein müssten. Das gleiche gilt für Teodor Meleşcanu, der zum Senatsvoorsitzenden gewählt wurde. Dieser sagte, er sei weiterhin Mitglied der ALDE und werde vor Gericht seinen Parteiausschluss, der von Tariceanu bekanntgegeben wurde, anfechten. Die politischen Beobachter meinen, es gehe um einen Versuch, die PSD-Regierung, die jetzt über die Minderheit verfügt, zu retten. Călin Popescu-Tăriceanu sagte, die Kooptierung von ALDE Mitgliedern in die Regierung, sowie die Unterstützung für Meleşcanu, den zweiten Platz im Staat zu belegen, seien verfassungswidrig. Er beschuldigt Viorica Dăncilă der Verletzung der Verfassung. Sie handle gegen den Beschluss der Liberaldemokraten, die Regierung zu verlassen, indem sie versuche, einer Abstimmung im Parlament zu entgehen. Die Premierministerin muss dem Parlament ein Vertrauensvotum fordern, so Călin Popescu -Tăriceanu.



    Andererseits gibt es unterschiedliche Meinungen in der ALDE. Einige Stimmen äußern sich für die Organisierung einer Tagung, um die Richtung der Partei festzulegen. Der Vorsitzende der Union Rettet Rumänien Dan Barna hat ebenfalls die Premierministerin Dăncilă aufgefordert, sich an das Parlament zu richten und machte einen Appell an die Oppositionsparteien, den Pakt für vorverlegte Wahlen zu unterzeichnen. Laut Barna könnten vorverlegte Wahlen in rund 6 Monaten organisiert werden. Der Chef der Nationalliberalen Ludovic Orban hat erklärt, die Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă verletze durch die Ablehnung der Abstimmung im Parlament das Grundgesetz. Die amtierende Regierung in Bukarest sei illegal, so Ludovic Orban.

  • Dispute politice la Bucureşti (versiune nouă)

    Dispute politice la Bucureşti (versiune nouă)

    Încercarea premierului Viorica Dăncilă, lider al PSD, de a completa formula guvernamentală de la Bucureşti prin nominalizarea unor reprezentanţi ai ALDE, fostul partener de coaliţie, pentru portofoliile rămase vacante în urma retragerii acestei formaţiuni de la guvernare, luna trecută, a eşuat. Preşedintele Klaus Iohannis a respins propunerea — O refuz clar! Este cras neconstituţională!” – a declarat şeful statului, cerându-i Vioricăi Dăncilă, din nou, să valideze executivul prin vot în Parlament, întrucât, a reamintit şeful statului, s-a schimbat structura politică aflată la guvernare.



    Despre cei nominalizaţi de Viorica Dăncilă, care declară că vor să continue proiectul început în 2016 alături de social-democraţi, liderul liberal-democrat Călin Popescu Tăriceanu spune că nu mai au ce să caute în ALDE. La fel şi Teodor Meleşcanu, ales recent în funcţia de preşedinte al Senatului, lăsată liberă de Călin Popescu Tăriceanu. Liderul Camerei Superioare a Parlamentului spune, însă, că se consideră în continuare membru ALDE şi a anunţat că va contesta în instanţă excluderea sa din partid, anunţată de Tăriceanu.



    Observatorii scenei politice cred că mutarea surprinzătoare a unui fruntaş ALDE ca şef al Senatului are ca unică raţiune încercarea disperată de a salva Guvernul minoritar PSD. Cooptarea de membri ALDE în Executiv, ca şi sprijinul acordat lui Meleşcanu pentru a obţine a doua poziţie în stat, sunt neconstituţionale, afirmă liderul formaţiunii, Călin Popescu-Tăriceanu. El o acuză pe Viorica Dăncilă că a încălcat prevederile constituţionale şi nu respectă decizia liberal-democraţilor de a ieşi de la guvernare, încercând tot felul de manevre pentru a evita un vot în Parlament. Premierul trebuie să vină în Parlament să ceară votul de încredere al aleşilor, spune Călin Popescu -Tăriceanu. Pe de altă parte, în ALDE părerile sunt împărţite, tot mai multe voci pronunţându-se pentru convocarea unui Congres la care să se stabilească direcţia în care merge partidul.



    Preşedintele USR, de opoziţie, Dan Barna, a somat-o, la rândul său, pe dna Dăncilă să vină în Parlament şi a făcut apel la partidele de opoziţie să semneze pactul pentru anticipate. Potrivit lui Barna, alegerile înainte de termen ar putea fi organizate, respectând paşii procedurali, peste circa 6 luni.



    De asemenea, liderul PNL, Ludovic Orban, a declarat că premierul Viorica Dăncilă încalcă legea fundamentală prin refuzul de a se prezenta în Parlament pentru a cere votul asupra remanierii Guvernului şi a opinat că actualul executiv se află în ilegalitate.

  • Dispute politice la Bucureşti

    Dispute politice la Bucureşti

    Premierul
    şi liderul PSD Viorica Dăncilă a nominalizat trei reprezentanţi ai ALDE, fostul
    partener de coaliţie, pentru portofoliile rămase vacante în urma retragerii acestei
    formaţiuni de la guvernare, luna trecută. Cei trei sunt Graţiela Gavrilescu la
    Ministerul Mediului, Ion Cupă la Ministerul Energiei şi Alexandru Băişanu -
    ministru pentru Relaţia cu Parlamentul. Potrivit doamnei Dăncilă, nominalizaţii
    – toţi deputaţi – vor să continue proiectul început în 2016 alături de
    social-democraţi, unul care ar avea – spune ea – şi susţinerea altor membri
    ALDE.

    Viorica Dăncilă: Este important să continuăm guvernarea
    pentru a oferi stabilitate, să ne mobilizăm pentru consolidarea imaginii
    României în plan extern, mai ales în acest moment, când trebuie să susţinem
    reprezentantul nostru pentru Comisia Europeană. Pornind de la interesele
    României, pornind de la interesele românilor, am luat decizia de a nominaliza
    reprezentanţi ai ALDE pentru cele trei portofolii vacante
    . Mutarea
    vine după surprinzătoarea alegere a unui fruntaş ALDE, Teodor Meleşcanu, în
    funcţia de preşedinte al Senatului, lăsată liberă de liderul liberal-democrat Călin
    Popescu-Tăriceanu, şi are ca unică raţiune, cred observatorii scenei politice, încercarea
    disperată de a salva guvernul minoritar PSD. Cooptarea de membri ALDE în
    executiv, ca şi sprijinul acordat lui Meleşcanu pentru a obţine a doua poziţie
    în stat, sunt neconstituţionale, afirmă liderul formaţiunii, Călin
    Popescu-Tăriceanu. El atrage atenţia că nominalizaţii şi-au pierdut calitatea
    de membri ALDE, deci structura Guvernului s-a schimbat, situaţie în care premierul
    trebuie să vină în Parlament să ceară votul de încredere al aleşilor.

    Călin
    Popescu-Tăriceanu denunţă manevrele la care recurge şefa guvernului: Cei
    care încearcă acest demers, îl fac ca persoană individuală, nu îl fac în
    calitate de membri ALDE. Asta trebuie să ştie şi doamna Dăncilă şi ei. Doamna
    Dăncilă încearcă din răsputeri tot felul de formule care sunt de lumea a treia,
    ca să evite acest vot în Parlament. Doamna Dăncilă a încălcat prevederile
    constituţionale şi nu respectă decizia pe care noi am luat-o de a ieşi de la
    guvernare.

    Preşedintele USR, de opoziţie, Dan Barna, a somat-o pe dna
    Dăncilă să vină în Parlament şi a făcut apel la partidele de opoziţie să
    semneze pactul pentru anticipate. Potrivit lui Barna, alegerile înainte de
    termen ar putea fi organizate, respectând paşii procedurali, peste circa 6
    luni. La rândul său, liderul PNL, Ludovic Orban, a declarat că premierul
    Viorica Dăncilă încalcă legea fundamentală prin refuzul de a se prezenta în
    Parlament pentru a cere votul asupra remanierii Guvernului şi a opinat că
    actualul executiv se află în ilegalitate.

  • Un nou preşedinte al Senatului

    Un nou preşedinte al Senatului

    ALDE
    a ieşit din coaliţia guvernamentală cu PSD şi a renunţat la şefia Senatului,
    dar aceasta rămâne la liberali-democraţi, paradoxal, în ciuda opoziţiei lor. Membru
    ALDE, dar susţinut de PSD, Teodor Meleşcanu a devenit numărul doi în statul
    român, reuşind să se impună în faţa liberalei Alina Gorghiu, după contre dure
    între Putere şi Opoziţie. Liderul ALDE, Călin Popescu-Tăriceanu, a anunţat,
    deja, că va contesta la Curtea Constituţională alegerea lui Meleşcanu. În
    schimb, premierul şi liderul PSD Viorica Dăncilă l-a felicitat pe fostul
    ministru de externe şi a apreciat că, prin sprijinul acordat acestuia, social-democraţii
    au reconfirmat buna-credinţă şi asumarea programului de guvernare cu care s-a
    pornit în 2016.

    Teodor Meleşcanu a promis că va fi un preşedinte echilibrat al
    Senatului: Vârsta, experienţa şi integritatea mea le pun în slujba Parlamentului,
    obiectivul meu fiind recăpătarea respectului şi încrederii cetăţenilor în
    această instituţie. În diferitele funcţii pe care le-am avut în decursul
    timpului, şi care nu au fost puţine, am avut privilegiul să lucrez cu tot
    spectrul politic românesc în ultimii 30 de ani. Este o experienţă pe care o pun
    necondiţionat la dispoziţia poporului român. De altfel, în toată activitatea
    mea politică am servit ţara mea, poporul meu, şi niciodată interesele politicienilor
    momentului. Înainte de a fi membru de partid sunt român
    . În vârstă de
    78 de ani, Meleşcanu a lucrat, aşa cum spune, cu tot spectrul politic. E o
    formulare edulcorată pentru ceea ce comentatorii autohtoni numesc tranşant
    traseism politic. A fost social-democrat şi dizident social-democrat, a trecut
    la liberali şi a cârmit, apoi, spre dizidenţa liberală ALDE pentru ca, acum, să
    se pună în serviciul PSD. În calitate de ministru de Externe, numele său e
    legat de organizarea defectuoasă – unii spun dezastruoasă – a votului din
    diaspora la alegerile prezidenţiale din 2014 şi, anul acesta, la
    europarlamentare. Şi atunci şi acum, mii de români au stat ore întregi la cozi
    interminabile pentru a vota, iar unii nici măcar nu au reuşit să-şi exercite
    acest drept fundamental.

    Teodor Meleşcanu poate fi, însă, util guvernului
    minoritar PSD prin parlamentarii pe care i-ar putea aduce de partea
    executivului la votul de încredere prevăzut săptămâna viitoare. Este ceea ce a
    acuzat contracandidata perdantă a actualului şef al Senatului. Alina Gorghiu: Este
    un gest sfidător şi mă miră, pentru că prima sfidare, în afară de electorat,
    este la adresa celor din PSD. Aveţi în PSD propuneri civilizate, aveţi în PSD
    oameni care ar fi putut oricând să ocupe acea poziţie. Evident că pentru
    dumneavoastră primează trocurile şi cumpărarea de voturi şi nimic altceva
    .
    Alina Gorghiu a salutat, pe de altă parte, faptul că la alegerile pentru şefia
    Senatului, partidele de opoziţie au dat dovadă de coeziune şi au făcut un prim
    pas pentru succesul moţiunii de cenzură.

  • Troubles politiques à Bucarest

    Troubles politiques à Bucarest

    A Bucarest, la première journée de la session
    parlementaire ordinaire d’automne a été marquée par la démission du leader de
    l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE), Călin Popescu Tăriceanu, de la
    direction du Sénat. L’ancien partenaire au gouvernement du Parti
    social-démocrate (PSD) avait déjà annoncé sa démission la semaine dernière, en même
    temps que sa décision de quitter la coalition au pouvoir.

    Călin Popescu
    Tăriceanu a estimé qu’il a été correct, équilibré et neutre en tant que chef du
    Sénat, mais qu’il ne pouvait pas garder la fonction. Călin Popescu Tăriceanu :
    « J’ai pris ces fonctions comme représentant
    d’une alliance politique et il me semble normal de les quitter maintenant que
    l’alliance en question a cessé d’exister. »


    Néanmoins, et de manière surprenante, il se
    peut qu’ALDE garde la tête du Sénat par le vice-président du parti, Teodor Meleşcanu, courtisé par
    le PSD lui-même. Viorica Dăncilă, cheffe de file des sociaux-démocrates et
    première ministre, explique : « C’est
    ALDE qui avait cette fonction et nous avons voulu montrer que nous sommes
    corrects jusqu’au bout. J’ai aussi discuté avec mes collègues lors de la
    réunion avec le président de la Chambre des députés et il y a eu un vote au
    Sénat. »


    Teodor Meleşcanu considère que son
    élection comme président du Sénat serait bénéfique à ALDE. Teodor Meleşcanu : « Cette position est une garantie du
    fait qu’ALDE ne sera pas soumise à une quelconque pression. Au contraire, elle
    offrira à mes collègues une perspective d’avenir. »


    Sur la scène politique roumaine, tout a un
    prix et tout se négocie. La tranquillité d’ALDE pourrait être obtenue en
    échange du soutien politique accordé au gouvernement minoritaire du PSD, menacé
    à être renversé par motion de censure. Le principal parti d’opposition, le
    Parti national libéral (PNL), a annoncé qu’il négociera avec tous les partis, à
    l’exception du PSD, pour augmenter les chances d’adoption de la motion. Le
    président du PNL, Ludovic Orban : « Le début de la session parlementaire marquera
    aussi le lancement de négociations avec l’ensemble des formations politiques et
    des groupes représentés au Parlement de la Roumanie, excepté, bien évidemment,
    les groupes du Parti social-démocrate. En ce qui nous concerne, le texte de la
    motion de censure, élaboré par le Parti national libéral, fera l’objet de
    pourparlers avec tous les groupes parlementaires. Il ne faut pas oublier qu’il
    s’agit de six autres formations ou groupes parlementaires qui doivent s’associer
    avec le Parti national libéral dans cette démarche visant à écarter ce
    gouvernement du pouvoir. »


    Toujours dans
    l’opposition, l’Alliance formée par l’Union Sauvez la Roumanie (USR) et le
    Parti de la liberté, de l’union et de la solidarité (PLUS) continue de
    solliciter la tenue d’élections anticipées, comme condition à son association à
    un nouvel exécutif. Le leader d’USR, Dan Barna, a affirmé que c’était là
    l’unique modalité de constituer une nouvelle majorité parlementaire qui puisse
    promouvoir les réformes dont le pays a besoin. Dacian Cioloş, le leader de PLUS,
    a souligné de son côté la nécessité d’un cabinet de transition qui gère les
    affaires nationales jusqu’aux éventuelles élections anticipées. On ne saurait
    exclure de cette bien compliquée équation parlementaire Pro România, parti formé de dissidents du PSD et dirigé par l’ex-premier ministre Victor Ponta, le
    Parti du mouvement populaire, l’Union démocratique des Magyars de Roumanie ou
    encore les députés des minorités nationales. Par tradition, ces derniers donnent
    leurs votes au gouvernement. (Trad. Elena Diaconu et Mariana Tudose)

  • Frământări politice la Bucureşti

    Frământări politice la Bucureşti

    La Bucureşti, prima zi a sesiunii parlamentare ordinare a consemnat demisia din fruntea Senatului României a liderului ALDE, Călin Popescu Tăriceanu. Una anunţată de fostul partener al PSD în coaliţia de guvernământ, odată cu decizia părăsirii acesteia. Călin Popescu-Tăriceanu a spus că a fost corect, echilibrat şi echidistant ca şef al Senatului, dar că nu mai putea continua: Am ajuns în această funcţie din partea unei alianţe politice şi mi se pare firesc să mă despart de această funcţie odată ce respectiva alianţă şi-a încheiat existenţa”.



    Surprinzător, însă, ALDE ar putea păstra conducerea Senatului, prin vicepreşedintele formaţiunii, Teodor Meleşcanu, ofertat de însuşi PSD. Liderul social-democrat, prim ministrul Viorica Dăncilă a explicat: Locul a fost al ALDE şi noi am vrut să arătăm că suntem corecţi până la capăt. Am discutat cu colegii mei şi la întâlnirea pe care am avut-o cu preşedintele Camerei Deputaţilor şi a fost un vot la Senat”.



    Teodor Meleşcanu consideră că alegerea sa în fruntea Senatului ar fi benefică ALDE. Teodor Meleşcanu: Această poziţie de preşedinte este o garanţie a faptului că ALDE nu va fi supus unor presiuni de un fel sau altul şi, dimpotrivă, va oferi şi colegilor mei o perspectivă pentru viitor”.



    În politica românească, totul are un preţ şi se negociază. Iar liniştea ALDE ar putea fi obţinută în schimbul sprijinului politic acordat guvernului minoritar PSD, ameninţat să fie dat jos prin moţiune de cenzură. Principalul partid de opoziţie, PNL, a anunţat că va negocia cu toate partidele, în afară de PSD, pentru a maximiza şansele ca moţiunea de cenzură să fie adoptată.



    Preşedintele PNL, Ludovic Orban: Odată cu debutul sesiunii parlamentare vor începe negocierile cu toate formaţiunile politice şi cu toate grupurile parlamentare reprezentate în Parlamentul României, sigur cu excepţia grupurilor PSD. În ceea ce ne priveşte, textul moţiunii de cenzură elaborat de Partidul Naţional Liberal va fi obiectul negocierii cu toate grupurile parlamentare. Gândiţi-vă că este vorba de şase alte formaţiuni sau grupuri parlamentare care trebuie să se asocieze Partidului Naţional Liberal în acest demers de dărâmare a guvernului”.



    Tot din opoziţie, Alianţa USR-PLUS solicită în continuare alegeri anticipate, ca o condiţie pentru a se alătura unui nou executiv. Liderul USR, Dan Barna, a afirmat că doar astfel se poate constitui o nouă majoritate parlamentară, care să promoveze reformele de care România are nevoie. Partenerul lui, liderul PLUS, Dacian Cioloş, a susţinut necesitatea unui guvern de tranziţie până la eventuale alegeri anticipate. Din foarte complicata ecuaţie parlamentară nu pot fi excluse Pro România, formaţiunea desprinsă din PSD şi condusă de fostul premier Victor Ponta, PMP, UDMR sau deputaţii minorităţilor naţionale. Aceştia din urmă, votează, tradiţional, cu guvernul.

  • 02.09.2019 (mise à jour)

    02.09.2019 (mise à jour)

    Politique – Le Parlement de la Roumanie a entamé lundi sa 2e session ordinaire de cette année, après que l’Alliance des libéraux et des démocrates, ALDE, a quitté la coalition au pouvoir. Le leader ALDE, Calin Popescu Tariceanu, a démissionné de la direction du Sénat, comme il l’avait déjà annoncé la semaine dernière. Le nouveau président du Sénat sera élu mercredi prochain. En attendant, la direction par intérim du Sénat sera assuré par le vice président social-démocrate Serban Valeca. Pour sa part, la première ministre et cheffe du PSD,Viorica Dancila, a déclaré que son parti restait au pouvoir et que son cabinet n’avait pas l’intention de démissionner, malgré les instances de l’opposition qui menace de déposer une motion de censure contre le gouvernement. Une fois que le PSD a perdu la majorité, le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a demandé au gouvernement social-démocrate d’obtenir une nouvelle confirmation de la part du Parlement. Il a aussi rejeté toutes les propositions de remaniement transmises par la première ministre et il va se prononcer sur les propositions de ministres par intérim.



    Chômage – Le taux de chômage affiché par la Roumanie fin juillet a été de 3,01%, en baisse de 0,49 % par rapport à la même période de l’année dernière et en hausse de 0,06 points de pourcentages par rapport au mois de juin, apprend-on auprès de l’Agence nationale pour l’occupation de la Main d’oeuvre. La légère poussée du taux de chômage s’explique par une hausse des demandes d’enregistrement formulées en juillet par tous les jeunes ayant fini le lycée. Du coup, le nombre de chômeurs s’est monté en juillet à 262044 dont la plupart sont issus du milieu rural.

    Diaspora – Le Forum des Roumains de la diaspora aura lieu à Bucarest, du 4 au 8 septembre. Organisée par le ministère homonyme, le Forum espère déboucher sur la mise en place d’une plate-forme de débats au sujet des problèmes auxquels se confrontent les communautés roumaines de l’étranger. A l’agenda de l’événement figureront aussi des ateliers de travail sur l’identité culturelle et le droit à l’éducation des Roumains de la diaspora, sur les opportunités d’affaires qu’ils se voient offrir dans les pays d’accueil et sur leur insertion sociale et économique. A l’heure où l’on parle, le nombre de Roumains vivant en dehors des frontières roumaines s’élève à presque 10 millions de personnes. Sur ce total, plus de 4 millions sont représentés par les communautés historiques roumaines des pays voisins.

    Exercice – Quelque 300 marins militaires roumains et ukrainiens participeront à l’exercice bilatéral Riverine 2019 qui commencera mardi, sur les eaux du Danube, entre la ville ukrainienne d’Izmail et celle roumaine de Tulcea. Censé se dérouler jusqu’à 7 septembre, l’exercice se propose de renforcer la coopération transfrontalière roumano- ukrainienne sur le Danube à travers des exercices d’inspection et de contrôle, de remorquage et de différents entraînements censés vérifier la mise en place des procédures en cas de situation d’urgence. Selon le chef de l’Etat major des forces navales roumaines, la coopération roumano- ukrainienne dans le domaine naval s’est développée dernièrement aussi bien suite aux manœuvres communes, qu’aux partenariats éducationnels bilatéraux.

    Pont – Le Fonds européen pour le développement régional investira 363,3 millions d’euros dans la construction d’ici 2023 d’un pont sur le Danube à Braila, dans le sud-est de la Roumanie, informe le gouvernement roumain dans un communiqué de presse. Le projet prévoit également la construction d’une série de routes censées améliorer le transport entre la Mer Noire et le nord-est du pays. Le pont de Braila est censé faciliter les échanges entre la partie nord de la Roumanie, la ville de Tulcea, le Delta du Danube et le port de Constanta. Grâce aux relations entre la Roumanie et ses voisins moldave et ukrainien, le futur pont contribuera à renforcer les rapports entre l’UE et ses voisins, a tenu à préciser le commissaire à l’élargissement et à la politique européenne de voisinage, Johanned Hahn.

    Réfugié – Le Ministère des Affaires Etrangères de Bucarest essaie depuis 4 juin dernier de solutionner le cas d’un mineur roumain se trouvant dans un camp de réfugiés basé en Syrie. Selon un communiqué officiel, une cellule de crise interinstitutionnelle a été mise en place afin d’entreprendre des démarches auprès des autorités syriennes et irakiennes afin que l’enfant soit rapatrié en toute sécurité.

    Météo – Le temps se refroidira dans l’ouest et le nord de la Roumanie où les températures maximales approcheront la normale saisonnière. En revanche, la chaleur continuera à frappet le sud et le sud-est du territoire. Le ciel sera variable et partiellement nuageux et des pluies tomberont sur le nord, le nord-est et en altitutde. Le vent soufflera légèrement, plus fort sur l’ouest de la Roumanie. Les températures minimales iront de 7 à 22 degrés et celles maximales de 25 à 35 degrés.

  • La semaine du 26 août au 1er septembre

    La semaine du 26 août au 1er septembre

    Divorce au sein de la coalition au pouvoir


    Le cabinet de gauche de Bucarest est toujours plus fragile. L’Alliance des libéraux et des démocrates, partenaire junior dans la coalition au pouvoir, a décidé de rompre son alliance avec le Parti social-démocrate, de passer dans lopposition et de sassocier avec le parti Pro România, dissidence sociale-démocrate dirigée par lancien premier ministre Victor Ponta. Trois ministres libéraux-démocrates ont présenté leurs démissions. Il sagit de Graţiela Gavrilescu, en charge de lEnvironnement, de Viorel Ilie, titulaire du portefeuille de la relation avec le Parlement et dAnton Anton, ministre de lEnergie. Le leader de lALDE, Calin Popescu Tariceanu, a annoncé démissionner de la tête du Sénat. Seule la ministre des Affaires Etrangères, Ramona Manescu, membre de lALDE, restera en place, après avoir rejeté l’appel à la démission lancé par le chef de son parti, Calin Popescu Tariceanu.


    La première ministre, Viorica Dancila, a déclaré que, bien que minoritaire, le PSD resterait au pouvoir pour mettre en place le programme de gouvernance qui lui avait assuré la victoire lors des élections de 2016 et que les ministres sociaux-démocrates allaient assurer lintérim des postes devenus vacants. Adversaire de la gauche, le président Klaus Iohannis a sommé lactuel gouvernement, devenu minoritaire, dobtenir une nouvelle confirmation par le Parlement. Il a sollicité le lancement de procédures en ce sens et averti quil rejetait en totalité les propositions de remaniement avancées par la première ministre. La nouvelle « guerre des palais », comme lappelle la presse, samplifie à lapproche des élections présidentielles de novembre, pour lesquelles ont annoncé leur candidature tant le président sortant, soutenu par le PNL (dopposition), que la première ministre et cheffe de file des sociaux-démocrates.



    Les trous du budget


    Au bout des six premiers mois de lannée en cours, le déficit du budget général consolidé de la Roumanie, qui inclut aussi bien le budget de lEtat que les budgets destinés aux pensions de retraite et aux allocations chômage, se monte à 18 milliards de lei, soit léquivalent de près de 4 milliards deuros. Ce déficit, qui représente 1,76% du PIB, est un peu plus du double de celui enregistré sur la même période de 2018, dans le contexte où les frais de personnel ont augmenté de 21,5%. Selon les données publiées par le ministère des Finances su son site, les frais dinvestissements se sont élevés à 15 milliards de lei, soit 4,9 milliards de plus par rapport au même intervalle de temps de lan dernier.



    Les coordonnées majeures de la diplomatie roumaine


    Ladhésion à lespace Schengen et lintégration de la zone euro continuent dêtre des objectifs à remplir, a déclaré le président Klaus Iohannis devant les ambassadeurs et les consuls roumains présents à Bucarest à la réunion annuelle de la diplomatie roumaine. Le chef de lEtat a également souligné la nécessité de mettre à profit le capital confiance que Bucarest a accumulé pendant son mandat à la tête du Conseil de lUE. Se référant aux relations avec les Etats-Unis, le président roumain a précisé que le Partenariat stratégique représente un pilier essentiel de la politique étrangère de la Roumanie et que lenvergure des rapports bilatéraux a atteint un point maximal après les deux visites à la Maison Blanche, en 2017 et en août 2019. La relation avec la République de Moldova voisine reste elle aussi une priorité pour Bucarest, a ajouté le président Klaus Iohannis, qui a demandé aux diplomates roumains de continuer à œuvrer pour maximiser les avantages de laction pro-européenne menée à Chişinău. Les rapports roumano-français ont atteint un niveau supérieur, cette dernière année, tandis que la relation dynamique avec lAllemagne est soutenue par de forts liens économiques, sociaux et humains, a précisé le président roumain. Il a également mis en exergue la nécessité de mettre à jour et dapprofondir le partenariat stratégique avec le Royaume-Unis après le Brexit.



    Record à Bucarest


    Les fontaines urbaines situées Place Unirii, au cœur de la capitale roumaine, Bucarest, ont été reconnues, homologuées et cataloguées par World Record Academy comme étant «le plus long système de fontaines chorégraphiques synchronisées au monde ». La reconnaissance par lAcadémie des records mondiaux survient une année après le lancement de la « Symphonie de leau », show aquatique mêlant l’eau, la musique et la lumière, qui se tient chaque week-end au centre ville. Plus de 219.000 touristes et Bucarestois ont assisté aux 70 spectacles quon a dénombrés depuis lors.



    Sportifs roumains dans des compétitions continentales


    L’équipe féminine de Roumanie de volleyball sest qualifiée pour les huitièmes de finale du Championnat dEurope, qui se tiendront dimanche. Lors des cinq matches comptant pour le Groupe C, disputés à Budapest, en Hongrie, la Roumanie a vaincu les équipes du pays hôte et de lEstonie, mais elle sest inclinée devant les équipes néerlandaise, croate et azerbaidjanaise. La Roumanie participe au tournoi final de cette compétition après quatre ans dabsence. Son meilleur résultat au Championnat dEurope est le bronze décroché en 1963.


    Par ailleurs, le CFR Cluj, club de football champion de Roumanie, a perdu, sur le score de 0-1, les deux matches disputés contre léquipe tchèque Slavia Praga, dans le play-off de la Ligue des champions. Le CFR Cluj évoluera dans les groupes de la Ligue Europa, compétition dont le vice-champion FCSB a été éliminé, toujours en play-off, après la défaite essuyée face aux Portugais de Vitoria Guimarães.


  • Retrospectiva săptămânii 25.08 – 31.08. 2019

    Retrospectiva săptămânii 25.08 – 31.08. 2019

    Divorţ în coaliţie


    Cabinetul de stânga de la Bucureşti e
    tot mai fragil. Partener junior din coaliţia guvernamentală, ALDE a decis să-şi
    abandoneze aliatul, PSD, să treacă în opoziţie şi să se asocieze cu Pro
    România, dizidenţa social-democrată condusă de fostul premier Victor Ponta. Trei miniştri liberal-democraţi, Graţiela Gavrilescu, de la
    Mediu, Viorel Ilie, de la Relaţia cu Parlamentul, şi Anton Anton, de la
    Energie, şi-au prezentat demisiile, iar iderul formaţiunii, Călin
    Popescu-Tăriceanu, a anunţat că pleacă şi el de la şefia Senatului. Recent
    învestită, ministrul de Externe, Ramona Mănescu, a preferat să demisioneze din
    ALDE ca să-şi păstreze portofoliul. Premierul social-democrat Viorica Dăncilă a
    declarat că PSD, deşi minoritar în Parlament, rămâne la putere pentru a aplica,
    în continuare, programul de guvernare cu care a câştigat alegerile parlamentare
    in 2016 şi că miniştrii PSD preiau, interimar, portofoliile vacante. Adversar
    consecvent al stângii, preşedintele Klaus Iohannis a somat, însă, actualul
    Guvern, devenit minoritar, să obţină o nouă confirmare în Parlament. El a
    solicitat declanşarea procedurilor în acest sens şi a anunţat că respinge
    integral propunerile de remaniere pe care i le-a transmis premierul. Ceea ce
    presa numeşte noul război dintre palate e amplificat de apropierea alegerilor
    prezidenţiale din noiembrie, la care candidează atât actualul şef al statului,
    susţinut de PNL (în opoziţie), cât şi premierul, lider PSD.





    Găurile din buget


    Bugetul general consolidat
    al Romaniei, care include atât bugetul de stat, cât şi bugetele de pensii şi de
    şomaj, a încheiat primele şapte luni ale anului cu un deficit de 18 miliarde de
    lei, echivalentul a aproape patru miliarde de euro. Deficitul reprezintă 1,76%
    din produsul intern brut şi este cu 52% mai mare faţă de cel din aceeaşi
    perioadă a anului trecut, în condiţiile în care cheltuielile de personal au
    crescut cu 21,5 procente. Potrivit datelor publicate pe site-ul Ministerului de
    Finanţe, cheltuielile pentru investiţii au fost de 15 miliarde de lei, cu 4,9
    miliarde mai mult faţă de aceeaşi perioadă a anului precedent.





    Coordonatele majore ale diplomaţiei româneşti


    Aderarea la spaţiul Schengen şi la
    zona euro, atunci când toate condiţiile vor fi îndeplinite, rămân în continuare
    prioritare pentru România – le-a spus preşedintele Klaus Iohannis ambasadorilor
    şi consulilor români veniţi la Bucureşti, la reuniunea anuală a diplomaţiei
    române. Şeful statului subliniază că trebuie valorificat capitalul de încredere
    obţinut de România în cursul semestrului în care a asigurat Preşedinţia
    Consiliului Uniunii Europene. Parteneriatul Strategic cu Statele Unite, mai
    afirmă el, a devenit mai robust şi a dobândit mai multă substanţă şi
    durabilitate, după cele două vizite pe care le-a făcut la Casa Albă în doar doi
    ani. Şi relaţia cu Republica Moldova vecină (ex-sovietică, majoritar
    românofonă) rămâne o prioritate de prim rang pentru România, a spus
    preşedintele, care le-a cerut diplomaţilor români să acţioneze în continuare
    pentru a maximiza beneficiile acţiunii europene la Chişinău. Relaţia cu Franţa
    a atins în ultimul an un nou nivel, iar cea cu Germania este caracterizată de
    un dinamism susţinut de puternice legături economice, sociale şi umane – a
    adăugat şeful statului. El a subliniat că, după Brexit, va fi importantă
    actualizarea şi aprofundarea parteneriatului strategic cu Marea Britanie.



    Record la Bucureşti


    Fântânile urbane amplasate
    în Piaţa Unirii din centrul Bucureştilui au fost recunoscute, omologate şi
    catalogate drept ‘Cel mai lung şir de fântâni coregrafice sincronizate din
    lume’. Recunoaşterea din partea Academiei Recordurilor Mondiale survine la un
    an de la lansarea spectacolului de apă, muzică şi lumini ‘Simfonia Apei’, ce
    are loc în fiecare week-end în centrul Capitalei. Până în prezent, au avut loc
    70 de show-uri ‘Simfonia Apei’, la care au asistat aproape 220 de mii de
    turişti şi bucureşteni.





    Sportivi români în competiţii continentale


    Selecţionata României s-a calificat în optimile Campionatului
    European de volei feminin. Învingătoare în două din cele cinci jocuri
    susţinute, la Budapesta, în Ungaria vecină, în cadrul Grupei C – cu Estonia şi
    cu echipa ţării gazdă – şi învinse de Olanda, Croaţia şi Azerbaidjan, româncele au prins ultimul loc care duce în
    optimile programate duminică, 1 septembrie. România a revenit după patru ani la un turneu final european. Cel
    mai bun rezultat la Europene este medalia de bronz obţinută în 1963.
    La fotbal, campioana României, CFR Cluj
    (nord-vest), a pierdut cu 0-1 ambele manşe disputate cu formaţia cehă
    Slavia Praga în play-off-ul Ligii Campionilor. CFR va evolua în grupele Ligii
    Europa, competiţie din care, tot în play-off, a fost, în schimb, eliminată vicecampioana
    FCSB, după 0-0 acasă şi 0-1 în deplasare cu portughezii de la Vitoria Guimaraes.

  • ALDE părăseşte coaliţia guvernamentală

    ALDE părăseşte coaliţia guvernamentală


    ALDE a anunţat, luni, că iese din coaliţia guvernamentală cu PSD, intră în opoziţie şi este gata să voteze o eventuală moţiune depusă împotriva cabinetului condus de liderul social-democrat Viorica Dăncilă. Decizia survine în urma refuzului PSD de a accepta cererile ALDE de restructurare a executivului şi îmbunătăţire a programului de guvernare, a explicat liderul formaţiunii, Călin Popescu-Tăriceanu. Potrivit acestuia, ALDE nu mai poate gira construcţii bugetare defectuoase sau măsuri precum cele prevăzute în celebra ordonanţă care a suprataxat băncile, companiile din energie şi telecomunicaţii. De ce divorţul se produce abia acum?



    Călin Popescu-Tăriceanu: “Am încercat vreme îndelungată să credităm această guvernare pentru că am considerat că este nevoie de o anumită stabilitate politică şi nu am obiceiul să fac opoziţie în cadrul guvernului. De aceea, cred că este mai corect astăzi să ne despărţim civilizat şi să urăm PSD-ului şi doamnei prim-ministru misiune cât mai uşoară în continuare”. După aproape trei ani de colaborare cu PSD, ALDE schimbă partenerul şi mizează pe o alianţă cu formaţiunea PRO România, creată de fostul premier şi lider social-democrat Victor Ponta. PSD rămâne singur în executiv şi este hotărât să aplice, în continuare, programul de guvernare. Anunţul a fost făcut de şefa partidului şi a guvernului, după o reuniune de urgenţă a conducerii formaţiunii.



    Viorica Dăncilă: “Colegii au susţinut că trebuie să continuăm guvernarea, avem responsabilitate faţă de cei care ne-au acordat votul în 2016, avem responsabilitate pentru implementarea programului de guvernare, o responsabilitate pe care ne-am asumat-o împreună cu ALDE, dar iată că trebuie să ducem mai departe aceste lucruri doar noi, cei din Partidul Social Democrat” . Opoziţia a eşuat, până acum, în tentativele sale repetate de a demite guvernul prin moţiune de cenzură. Ieşirea ALDE din coaliţie schimbă, însă, radical datele problemei, iar liderul PNL, Ludovic Orban, susţine ideea unei noi moţiuni de cenzură, în condiţiile în care PSD nu abandonează guvernarea, deşi a pierdut majoritatea. Orban a explicat că respingerea în parlament a unui cabinet restructurat nu înseamnă automat demiterea executivului.



    O moţiune de cenzură ar putea fi sprijinită de UDMR, ale cărei voturi ar fi decisive într-o eventuală confruntare parlamentară PSD – Opoziţie. Uniunea nu este de acord, însă, cu varianta anticipatelor, imposibilă legal – spune ea – cu mai puţin de 6 luni înainte de alegerile prezidenţiale, programate în noiembrie. Liderii formaţiunilor aliate USR şi PLUS, Dan Barna şi Dacian Cioloş, sunt adepţii convocării alegerilor anticipate, deoarece consideră că nu ar fi suficientă o schimbare a guvernului. Alegerile legislative la termen sunt prevăzute peste un an.


  • Jurnal românesc – 27.08.2019

    Jurnal românesc – 27.08.2019

    ALDE a decis să
    rupă coaliţia de guvernare cu PSD, va trece în opoziţie alături de Pro România,
    al fostului premier Victor Ponta, şi va vota o eventuală moţiune de cenzură
    împotriva cabinetului Dăncilă, a anunţat liderul formaţiunii, Călin-Popescu
    Tăriceanu. Acesta a declarat că îşi va depune demisia din funcţia de preşedinte
    al Senatului, va renunţa la candidatura la alegerile prezidenţiale din toamnă
    şi, în schimb, îl va susţine pe fostul europarlamentar Mircea Diaconu în cursa
    pentru fotoliul de la Cotroceni. Tăriceanu a explicat că principalul motiv
    pentru care a renunţat să mai guverneze alături de social-democraţi a fost
    lipsa consensului în coaliţie în ceea ce priveşte o restructurare a
    Executivului şi o îmbunătăţire a programului de guvernare. Prim-ministrul
    Viorica Dăncilă a declarat că nu înţelege decizia ALDE şi că guvernul pe care-l
    conduce va rămâne la Palatul Victoria şi după plecarea partenerilor de
    coaliţie. Opoziţia a cerut însă demisia imediată a guvernului şi chiar
    organizarea de alegeri anticipate. Şeful PNL, Ludovic Orban, a anunţat că
    liberalii vor depune o moţiune de cenzură şi că sunt pregătiţi să-şi asume
    guvernarea. La rândul său, liderul USR Dan Barna i-a cerut demisia premierului
    şi susţine ideea organizării alegerilor anticipate cât mai repede cu putinţă.




    Diplomaţia
    României, repere şi noi perspective este tema din acest an a Reuniunii
    Anuale a Diplomaţiei Române, care are loc până pe 29 august, la Bucureşti.
    Evenimentul, organizat de Ministerul Afacerilor Externe abordează teme precum
    viitorul UE şi al rolului său global, relaţiile transatlantice, relaţiile cu
    vecinătatea estică, afacerile europene sau pacea şi securitatea la nivel
    mondial. Ministrul de Externe, Ramona Mănescu, a declarat că România trebuie să
    aibă o voce mai clară, mai articulată şi mai puternică în cadrul NATO şi al UE,
    pentru o înţelegere coerentă a obiectivelor şi a ameninţărilor comune. Şefa
    diplomaţiei române a afirmat totodată că o altă dimensiune importantă a
    acţiunii diplomatice o constituie consolidarea relaţiei cu diaspora. Trebuie
    să cunoaştem comunitatea românească oriunde s-ar afla, să îi ascultăm nevoile
    şi ideile şi să o implicăm în activităţile noastre, pentru că această
    comunitate este o parte intrinsecă a României, a spus Mănescu. La rândul
    său, ministrul pentru afaceri europene, George Ciamba, a afirmat că, indiferent
    de scenariul procesului Brexit, apărarea drepturilor cetăţenilor români din
    Marea Britanie va rămâne în centrul obiectivelor autorităţilor de la Bucureşti.
    Invitaţi speciali la ediţia din acest an a Reuniunii Anuale a Diplomaţiei
    Române sunt, printre alţii, miniştrii de externe din Bulgaria şi Republica
    Moldova, şi secretarul de stat pentru afaceri europene din Croaţia.




    Republica
    Moldova sărbătorește 28 ani de la proclamarea independenţei, perioadă caracterizata
    prin frământări politice continue, politică externă oscilantă, sărăcie, o
    migraţie masivă şi printr-un conflict armat, în 1992, în Transnistria care
    continuă și astăzi să rămână o regiune necontrolată de către autorităţile
    centrale, transmite Radio Chişinău. Pe 27 august 1991 Parlamentul Republicii
    Moldova a votat declaraţia de independenţa faţă de URSS, în care fusese
    înglobată forţat în 1940. Ambasadorul României la Chişinău, Daniel Ioniță, a
    transmis un mesaj de felicitare cu acest prilej. Diplomatul îi urează Moldovei
    să-şi urmeze neabătută calea europeană şi dă asigurări că România îi va fi
    întotdeauna alături şi o va sprijini dezinteresat şi transpartinic.
    Şi ambasadorul Statelor Unite ale Americii la Chișinău, Dereck J. Hogan, a transmis
    un mesaj aniversar. El a afirmat că SUA vor continua să susțină Republica
    Moldova și cetățenii săi în procesul de construire a unei societăți mai
    prospere, democratice și afirmarea locului bine meritat în Europa. Aflat
    la Reuniunea Anuală a Diplomaţiei Române de la Bucureşti, ministrul de externe
    moldovean, Nicolae Popescu, a spus că speră să fie adoptată o nouă declaraţie
    privind cooperarea strategică Bucureşti – Chişinău pentru următorul deceniu în
    contextul în care România este cel mai mare partener comercial al
    Moldovei.

  • Le premier collectif budgétaire de 2019

    Le premier collectif budgétaire de 2019

    Le cabinet de Bucarest a adopté, lundi, le premier collectif budgétaire de 2019. Celui-ci prévoit une majoration des montants alloués aux ministères des Finances, de l’Environnement, du Travail et du Développement régional ainsi qu’au Service roumain de renseignement. En échange, les ministères des Transports, du Milieu d’affaires et de l’Education on vu diminuer leurs enveloppes financières. Le ministre des Finances, Eugen Teodorovici, a précisé que sur le premier trimestre de l’année en cours on a enregistré une croissance économique de 5% et que la cible de déficit budgétaire de 2,76% était respectée. “Le collectif budgétaire assure les montants nécessaires au paiement des retraites et des salaires ainsi qu’ au financement des projets d’investissements en cours et de ceux que nous espérons lancer vers la fin de l’année. Il ne s’agit pas de coupes dans les différents budgets, mais de l’ajustement à la baisse de certaines enveloppes surdimensionnées au moment de l’élaboration du budget 2019”.



    Le Parti national libéral, d’opposition, trouve que le collectif budgétaire repose sur des chiffres erronés. Voici ce que déclarait le chef de file des libéraux, Ludovic Orban:“ Cette construction budgétaire montre que l’Exécutif et la majorité parlementaire PSD-ALDE ont pratiquement gaspillé l’argent provenant des taxes et impôts, qu’ils ont fait des dépenses avec leur clientèle et avec toute sorte d’actions qui n’ont rien à voir avec les intérêts des citoyens. C’est ce qui soulève aujourd’hui un signe d’interrogation quant à l’existence des fonds nécessaires au fonctionnement des services publics pour les citoyens roumains.”



    Le PSD s’est attiré des critiques y compris de la part de son partenaire junior au sein de la coalition au pouvoir, à savoir l’Alliance des libéraux et des démocrates. Le geste de cette dernière n’est qu’apparemment surprenant. Il vient confirmer ce que beuacoup soupçonnaient déjà, depuis un certain temps. Il s’agit du fait que, dans la perpective de l’élection présidentielle de novembre prochain et des scrutins prévus pour 2020, les rapports – jusqu’ici cordiaux – entre le PSD et l’ALDE tendent à s’éroder lentement mais sûrement. L’ALDE a demandé – ni plus ni moins – un nouveau programme de gouvernance et un cabinet restructuré et compétent.



    A l’issue des discussions avec le leader des libéraux et des démocrates, Călin Popescu-Tăriceanu, la cheffe du PSD et du gouvernement de Bucarest, Viorica Dăncilă, avait fait savoir qu’il n’y aurait pas de restructuration, mais un remaniement. En ce qui concerne l’ajustement du programme de gouvernance, celui-ci pourrait être achevé avant le 1er septembre. Le PSD et l’ALDE continueront à gouverner ensemble, mais Viorica Dăncilă n’envisage pas de renoncer à sa candidature à la présidentielle, comme le lui avait suggéré Călin Popescu-Tăriceanu. Et ce parce qu’il souhaiterait être le candidat unique des deux formations politiques.



    Enfin, les sociaux-démocrates n’embrassent pas l’idée de coopter dans la gouvernance le parti PRO România, de Victor Ponta. L’ex-premier ministre avait fondé cette formation l’été dernier, aux côtés de parlementaires et de leaders locaux du PSD, parti dont il s’était pas séparé en mauvais termes.

  • 23.07.2019

    23.07.2019

    Viorica Dancila, die Vorsitzende der sozialdemokratischen Partei PSD, der wichtigsten Regierungspartei in Rumänien, ist am Dienstag in Bukarest zur Kandidatin für die Präsidentschaftswahlen im Herbst bestimmt worden. Auf dem Kongress der PSD, am 3. August soll diese Kandidatur bestätigt werden. Zuvor hat die Vorsitzende der Sozialdemokraten Gespräche mit Calin Popescu Tariceanu, dem Vorsitzenden ihres Koalitionspartners ALDE und mit Victor Ponta, dem Vorsitzenden der Partei Pro Rumänien, über die Unterstützung eines gemeinsamen Kandidaten der Linken im Präsidentschaftswahlkampf geführt. Diese Gespräche endeten in einer Sackgasse. Politische Beobachter schätzten, Dancila liegt in der Wählergunst auf dem 3. Platz, nach dem Amtsinhaber, Klaus Iohannis, der von den Liberalen unterstützt wird und dem Vorsitzenden der bürgerlichen Allianz USR-PLUS, Dan Barna.






    In Bukarest haben heute der Ungarnverband UDMR und die parlamentarische Gruppe der nationalen Minderheiten die vom rumänischen Präsidenten Klaus Iohannis vorgeschlagene nationale politische Vereinbarung zur Konsolidierung des europäischen Weges Rumäniens unterzeichnen. Am 13. Juni unterzeichneten das Staatsoberhaupt Rumäniens und die Vorsitzenden der liberalen Partei PNL, der bürgerlichen Allianz USR-PLUS, der PMP und der Pro Romania das Dokument. Die regierende PSD und ALDE haben sich geweigert, das Abkommen unter Begründung zu unterzeichnen: einige Vorschläge der beiden Parteien seien vom Präsidenten nicht akzeptiert worden.






    Der frühere britische Au‎ßenminister Boris Johnson wurde am Dienstag zum Vorsitzenden der regierenden konservativen Partei gewählt und wird anstelle von Theresa May Premierminister. Ihm unterlag den derzeitigen Chef der Londoner Diplomatie, Jeremy Hunt, nachdem Johnson 92.153 der rund 159.000 Stimmen der Parteimitglieder erhalten hat. Am Mittwoch wird Johnson nach einem Besuch bei Königin Elizabeth II. die Leitung der Regierung übernehmen. Sie ist es, die ihn offiziell zum Premierminister ernennt. Kurz nach der Bekanntgabe des Sieges versprach Johnson, den Brexit am 31. Oktober umzusetzen. Die Befürworter des Brexits befürchten eine neue Verschiebung.






    Rumänische Studenten haben zwei Silber- und drei Bronzemedaillen bei der 60. Internationalen Mathematik-Olympiade in Bath, Gro‎ßbritannien, vom 10. bis 22. Juli erhalten. Das teilte das rumänische Bildungsministerium mit. Dies ist der renommierteste Wettbewerb dieser Art und wurde 1959 auf Initiative der Rumänischen Gesellschaft für Mathematikwissenschaften ins Leben gerufen, wobei die erste Ausgabe im rumänischen Brasov stattfand. Damals nahmen sieben Ländern daran teil. In Rumänien wurde dieser Wettbewerb bisher sechsmal ausgetragen, zuletzt im vergangenen Jahr in der zentral rumänischen Gro‎ßstadt Cluj.






    Der rumänische Titelverteidiger CFR Cluj tritt am Mittwoch gegen Maccabi Tel Aviv in einem Spiel an, das für die zweite Vorrunde der Champions League zählt. Am Donnerstag spielen drei weitere rumänische Mannschaften in der Vorrunde der Europa League. Der rumänische Pokalsieger Viitorul Constanta trifft auf KAA Gent aus Belgien, der Vize-Meister FCSB auf den armenischen Alashkert FC und die CSU Craiova auf den ungarischen Honved Budapest. Die Rückspiele sind für nächste Woche geplant.




    In Rumänien wird das Wetter in den nächsten Tagen heiter und warm. Vereinzelt wird es noch im Gebirge, in der Landesmitte, im Süden und Osten des Landes regnen. Die THT leigen zwischen 24 und 30 Grad.