Tag: Crimée

  • A la Une de la presse roumaine du 19.03.2014

    A la Une de la presse roumaine du 19.03.2014

    La presse roumaine du jour se penche presque exclusivement sur lannexion de la Crimée par la Fédération russe. Les journaux abondent en commentaires sur la nouvelle donne géopolitique et sinterrogent également sur lavenir de la République de Moldova et des pays du voisinage…


  • 18.03.2014

    18.03.2014

    Ukraine – Le président russe Vladimir Poutine a informé officiellement le Parlement et le gouvernement russes de la demande de la Crimée de faire partie de la Russie, première étape législative nécessaire pour pouvoir incorporer la péninsule dans la Fédération russe, a annoncé mardi le Kremlin cité par l’AFP. Lundi, le leader du Kremlin a signé un décret reconnaissant l’indépendance de la péninsule séparatiste ukrainienne, malgré le fait que l’Occident n’accepte pas les résultats du référendum de ce dimanche, le considérant comme illégal. L’UE et les Etats-Unis ont adopté des sanctions contre certains officiels russes et ukrainiens considérés comme responsables du rattachement de la Crimée à la Russie. Bruxelles a annoncé des restrictions de voyage au sein de l’UE et le gel des biens détenus dans l’espace communautaire par 21 personnes, alors que Washington a pris des mesures similaires contre 11 personnes. A leur tour, le Canada et le Japon ont introduit des sanctions contre la Russie. Pour sa part, le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean, a réitéré lundi à Bruxelles, lors de la réunion des ministres des Affaire étrangères, que Bucarest soutenait la souveraineté, l’indépendance et l’intégrité territoriale de l’Ukraine à l’intérieur des frontières reconnues au niveau international.



    Transnistrie — Ce serait une erreur si Moscou acceptait la demande de la Transnistrie de se rattacher à la Fédération Russe, a affirmé aujourd’hui le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, qui a qualifié ces actions de contreproductives. Il a réagi ainsi à la démarche du chef du Parlement de Tiraspol, Mihail Burlà, qui a envoyé une lettre en ce sens à Serghei Naraski, chef de la Douma d’Etat (Chambre basse du Parlement russe). Notons que la Transnistrie est sortie de facto en 1992 de sous le contrôle de Chisinau, au bout d’un conflit qui a fait des centaines de morts et qui a été tranché par l’intervention de l’armée russe du côté des séparatistes. Par ailleurs, Nicolae Timofti a réaffirmé la position de Chisinau qui ne reconnaît pas le résultat du référendum de Crimée. Le président moldave a fait savoir qu’il examinerait la situation géopolitique de la région, mercredi, à Iasi, avec son homologue roumain Traian Basescu.



    Bouclier — Le système de défense antimissile en Roumanie deviendra opérationnel en 2015, au délai fixé. Dans une déclaration à la radio publique roumaine, Richard Lehner, le porte-parole de l’Agence américaine de défense antimissile, a précisé que le système Aegis, qui sera installé à Deveselu, dans le sud de la Roumanie, sera soumis prochainement à plusieurs essais censés prouver sa capacité d’action en mer et sur la terre ferme. La Cour des Comptes des Etats-Unis avait fait savoir, la semaine dernière, que pour des raisons techniques, la mise en place d’éléments du bouclier antimissile en Roumanie et en Pologne pourrait enregistrer des retards.



    Extrémisme — 4 ressortissants hongrois, dont deux membres du parti d’extrême droit Jobbik, soupçonnés d’activités de nature nationaliste — extrémiste, sont interdits d’entrée sur le territoire roumain pendant une année. Le Ministère roumain de l’Intérieur vise également d’autres personnes qui déroulent de manière systématique en Roumanie des actions contrevenant aux normes communautaires et à la législation nationale en la matière.



    Coopération — Le premier ministre roumain Victor Ponta a entamé ce mardi une visite à Athènes, en Grèce, pays qui assure la présidence tournante de l’UE au premier semestre 2014. Les pourparlers ont porté sur la coopération bilatérale et l’identification de nouveaux projets communs dans les domaines économique, social, touristique, culturel et de l’éducation. Après l’entretien avec son homologue grec, Antonio Samaras, le premier ministre roumain a déclaré que la Roumanie et la Grèce resteraient alliées dans les projets régionaux et européens, des projets qui bénéficient de toute leur confiance. Victor Ponta a par ailleurs souligné que les deux pays soutenaient également toutes les décisions prises aux niveaux européen et transatlantique qui assurent le développement démocratique et l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Dans l’après-midi, Victor Ponta se rendra à Tirana, en Albanie, pour des pourparlers au plus haut niveau.



    Financement — Le ministre roumain des fonds européens, Eugen Teodorovici, entame aujourd’hui une visite de trois jours à Bruxelles, où il doit s’entretenir avec les représentants de la Commission européenne chargés des politiques régionales, de l’emploi, des affaires sociales et de l’inclusion. A l’agenda des discussions figurent notamment l’accord de partenariat 2014-2020, la réforme du système de gestion et une meilleure absorption des fonds européens. En 2013, Bucarest a redoublé d’effort pour rattraper le retard pris dans l’absorption de l’argent communautaire. Le taux d’absorption se monte à présent à 33,5%, chiffre quatre fois supérieur à celui de mai 2012.



    Automobiles — Les ventes à bas prix d’automobiles Dacia, produites en Roumanie, ont augmenté de 34% en février dernier. C’est la hausse la plus importante enregistrée sur le marché européen. Selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles, les immatriculations de voitures neuves dans lUnion européenne ont connu en février leur sixième mois consécutif de hausse, progressant de 8% sur un an, mais elles sont restées à un niveau historiquement bas. Près de 862 mille véhicules ont été vendus le mois dernier dans lUE. Parmi les principaux marchés, seule la France sest inscrite en recul.

  • 17.03.2014

    17.03.2014

    Crimée — La Roumanie juge illégal le soi-disant référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie et ne reconnaîtra pas les résultats de cette consultation populaire. C’est ce qu’a déclaré le chef de l’Etat roumain, Traian Basescu, dans un communiqué remis à la presse. Et lui d’ajouter qu’un scrutin organisé sous la menace d’une offensive militaire ne pourrait jamais répondre aux normes propres à un processus démocratique susceptible d’être reconnu par la communauté internationale.




    Survol — Un avion des forces aériennes roumaines, sans armes à bord, participe à compter de ce lundi jusqu’au 21 mars à des vols de surveillance du territoire de l’Ukraine dans le cadre du traité international « Ciel ouvert ». L’événement qui réunit 34 pays, dont les Etats-Unis et la Russie, prévoit le survol réciproque des territoires des pays signataires dans les zones fixées d’un commun accord. L’année dernière, des inspecteurs russes ont effectué des vols de surveillance au-dessus de la Roumanie et de la Hongrie, afin d’accroître la transparence et la confiance entre les Etats signataires dans le domaine des activités militaires et du contrôle des armements.





    Coopération — Le premier ministre roumain, Victor Ponta, fera mardi une visite de travail en Grèce et une autre, officielle, en Albanie. A Athènes, le premier ministre roumain aura des entretiens avec son homologue grec, Antonis Samaras et sera reçu par le chef de l’Etat, Karolos Papoulias. Les pourparlers porteront sur la coopération bilatérale et l’identification de nouveaux projets communs dans les domaines économique, social, touristique, culturel et de l’éducation. Les discussions seront également dominées par des sujets figurant sur l’agenda semestrielle de la présidence tournante de l’UE assumée actuellement par la Grèce. Par ailleurs, à Tirana, Victor Ponta sera reçu par le président albanais, Bujar Nishani et aura des entretiens avec son homologue, Edi Rama et avec le président du Parlement, Ilir Meta. En visite en Albanie, Ponta participera au forum économique roumano – albanais.




    Tourisme — Plus de 1,7 millions de citoyens étrangers ont utilisé, en 2013, l’infrastructure touristique de Roumanie, en déboursant, au total, 1,1 milliards d’euros, relève l’Institut National de la Statistique en ce lundi. Sur le total des touristes étrangers, 58% sont venus en Roumanie pour des affaires ou pour participer à des congrès, conférences, salons ou expositions, tandis que 42% s’y sont rendus en visites privées. En plus, presque 75% des touristes étrangers à avoir visité la Roumanie en 2013 se sont déplacés en avion, selon l’INS.




    Festival — Bucarest accueille une semaine durant le Festival du film documentaire One World Roumanie, consacré aux droits de l’homme. Au menu: 50 films inscrits dans 5 sections, un atelier de film documentaire, des projections pour les lycéens, des spectacles de théâtre, un circuit touristique et des débats. Les cinq sections du festival sont 25 ans après”; Les rebelles sans cause”, L’Etat déformé”, La clinique des médias” et L’amour est un des droits de l’homme”. Initié en première, il y a 7 ans, par le Centre Tchèque de Bucarest et inspiré du festival tchèque homonyme, l’événement cinématographique de Roumanie est consacré à la mémoire de Vaclav Havel, dramaturge, homme politique et grand défenseur des droits de l’homme.




    Tennis — La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, occupe à partir d’aujourd’hui la 5ème position au classement WTA, le meilleur score jamais obtenu par une Roumaine dans la hiérarchie mondiale féminine. Halep, qui a grimpé de deux places lors de la demi-finale du tournoi Indian Wells de la semaine dernière, a rejoint ses compatriotes Irina Sparlea et Virginia Ruzici au top des dix meilleures joueuses de tennis du monde. Rien qu’en 2013, Simona Halep a remporté sept tournois de tennis au total. A part Halep, trois autres Roumaines figurent actuellement au top des 100 meilleures joueuses de tennis du monde. Il s’agit de Sorana Carstea (26ème place), Alexandra Cadantu (62ème place) et Monica Niculescu (70ème place).


  • Réactions vis-à-vis de la situation en Crimée

    Réactions vis-à-vis de la situation en Crimée

    Aux côtés de la Pologne, de la Slovaquie et de la Hongrie, la Roumanie est un des pays membres de l’OTAN et de l’UE qui est voisine directe de l’Ukraine. La frontière commune excède les 600 kilomètres. Plus que cela, dans l’ouest de l’Ukraine, concentrés, en général, le long de cette frontière, il y a plus de 400 000 ethniques roumains. Autant de raisons pour lesquelles Bucarest a des préoccupations légitimes vis-à-vis de la situation de l’Etat voisin en faveur de la souveraineté et de l’intégrité territoriale duquel il s’est constamment prononcé.



    Le président Traian Bàsescu a déclaré que la Roumanie estimait que le référendum en Crimée est illégal et qu’elle n’allait pas reconnaître ses résultats. Le chef de l’Etat roumain estime qu’un scrutin organisé sous la menace de l’occupation militaire ne saurait pas réunir les normes d’un processus démocratique qui puisse le faire reconnaître et légitimer par la communauté internationale. Traian Bàsescu demande à la Russie d’agir dans sa relation avec l’Ukraine conformément à la Charte de l’ONU et aux principes de droit international et montre que la Roumanie appuie la solution de la crise par voie diplomatique.



    A son tour, le ministre roumain des Affaires Etrangères, Titus Corlàtean, salue ce qu’il appelle l’attitude positive de l’OTAN dans l’approche de la crise en Ukraine par l’envoi d’avions de reconnaissance au-dessus de la Pologne et de la Roumanie pour surveiller la crise. « La mesure adoptée par le Conseil Nord Atlantique vise à prévenir les tensions à l’échelon régional et à garantir la sécurité des Etats membres. » – a déclaré Corlàtean.



    Dans une interview pour la presse internationale le chef de la diplomatie roumaine exprime son inquiétude à l’égard de l’escalade de l’intervention russe à la Mer Noire. Pour sa part, un des adjoints de Corlàtean, secrétaire d’Etat aux affaires stratégiques du Ministère roumain des AE, Bogdan Aurescu, affirme que les évolutions d’Ukraine représentent un signal sérieux et alarmant pour l’Europe et que le référendum de Crimée n’est ni légitime, ni légal. « La péninsule peut représenter encore un pas vers une nouvelle spirale expansionniste russe et la Roumanie, située à la frontière avec l’Ukraine, devient le dernier bouclier du bloc occidental » – disent les analystes cités par les médias.



    L’inquiétude la Roumanie est amplifiée, également, par l’existence, à seulement 100 kilomètres de sa frontière est, d’un autre foyer du séparatisme pro-russe, la Transdniestrie, dans l’est de la République de Moldova (majoritairement roumanophone), sortie depuis plus de deux décennies de sous le contrôle de Kichinev à la suite d’un conflit armé ayant fait des centaines de morts et tranché par l’intervention des troupes russes du côté des séparatistes.



    Pour les analystes, les analogies entre Crimée et Transdniestrie, entre celles-ci et les régions séparatistes géorgiennes d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud sont évidentes. Dans le contexte, le premier ministre roumain Victor Ponta affirme que l’Union Européenne, ses pays membres, doivent faire davantage pour la Georgie et pour la République de Moldova et valider l’option pro-occidentale des gouvernements et des peuples des deux Etats ex-soviétiques. (trad. Costin Grigore)


  • A la Une de la presse roumaine du 12.03.2014

    A la Une de la presse roumaine du 12.03.2014

    Les retombées politiques dune marche non-autorisée des Szeklers – un groupe ethnique de la minorité de souche hongroise de Roumanie -, de même que les propos de leurodéputé roumain dorigine magyare, Laszlo Tökes, qui compare les Szeklers aux Tatars de Crimée, font débat dans la presse écrite roumaine du jour…


  • 28.02.2014 (mise à jour)

    28.02.2014 (mise à jour)

    Ukraine – Le président roumain Traian Bàsescu s’est déclaré vendredi profondément inquiet par la situation en Crimée et par le mouvement séparatiste qui s’amplifie dans cette région autonome russophone dans le sud de l’Ukraine. Le chef de l’Etat a fait un appel à tous les acteurs internationaux de ne pas soutenir ou encourager le séparatisme puisque la statalité, la souveraineté , l’indépendance et l’intégrité territoriale de l’Ukraine sont des valeurs conformes au droit international publique que tous les Etats qui ont reconnu l’indépendance de l’Ukraine en 1991 doivent respecter. La Roumanie — dit encore le président roumain Traian Bàsescu dans ce communiqué — est ouverte pour répondre à toute demande du nouveau gouvernement installé à Kiev qui bénéficiera de tout l’appui pour stabiliser la reconstruction et la solution des problèmes graves avec lesquels ils se confrontent afin de liquider l’actuel vide de pouvoir. (trad. Costin Grigore)



    Retrait – Les Etats Unis ont inauguré vendredi en Roumanie une base qui sera utilisée pour le transit des militaires américains qui se retirent d’Afghanistan. Des dizaines de milliers de soldats, pour la plupart en route vers chez eux , aux Etats Unis, vont passer par la base aérienne de Mihail Kogàlniceanu, dans le sud-est du pays, à la Mer Noire. Selon le général de division américain, John O’Connor, si en 2010 le Koweït était le centre du poids du retrait d’Irak, en 2014 la Roumanie le sera pour l’Afghanistan. Cette année, la base de Mihail Kogàlniceanu sera transitée par 20 à 30 milliers de soldats, y compris avec l’armement et les automobiles lourds utilisés dans le théâtre d’opérations. (trad. Costin Grigore)



    Gouvernement – L’Union Démocratique des Magyars de Roumanie, d’opposition, examine l’offre du Parti Social Démocrate, premier parti au pouvoir, d’intégrer le futur gouvernement, dont feront partie les sociaux-démocrates et leurs alliés, le Parti Conservateur et l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie. Une décision en ce sens pourrait être prise lundi. Mardi, le 4 mars, le premier ministre social-démocrate, Victor Ponta, souhaite présenter au Parlement la nouvelle formule gouvernementale, qui poursuivra, selon lui, le programme de l’USL, gagnante des élections de 2012. Rappelons que le PNL, ancien deuxième parti de l’USL, s’est retiré du gouvernement, en début de semaine, en raison des divergences avec le PSD.



    Visite – Le chef de l’exécutif de Bucarest, Victor Ponta, s’est entretenu ce vendredi à Rome avec son homologue italien, Matteo Renzi, sur la coopération politique et économique dans le cadre du partenariat stratégique. L’occasion aussi de faire le point sur des sujets d’actualité à l’agenda européen, avec un accent sur les priorités de la présidence italienne au deuxième semestre de l’année. La rencontre intervient trois jours après l’installation de Matteo Renzi à la tête de l’exécutif italien qui en est à sa première rencontre avec un homologue européen. Samedi, le premier ministre roumain sera reçu en audience privée par le Pape François. De même, Victor Ponta, qui est aussi président du Parti Social Démocrate, participe à Rome aux travaux du Congrès du Parti des Socialistes européens, qui doit aboutir à la désignation d’un candidat commun à la fonction de président de la Commission européenne.



    Syndicats – En Roumanie, le Bloc National Syndical (BNS) envisage d’organiser début mars des protestations dans la rue au niveau national. Il souhaite ainsi dénoncer les problèmes sérieux qui touchent des secteurs–clé de l’économie et que le gouvernement n’a pas voulu ou su résoudre. Le BNS réclame la finalisation des travaux de construction de l’autoroute Pitesti (sud) — Sibiu (centre). Laquelle s’avère essentielle pour les Usines Dacia Renault et Ford Craiova afin qu’elles puissent garder leur compétitivité sur le marché et assurer la stabilité de plus de 150 mille emplois. Les syndicalistes sont également mécontents de la gestion défectueuse de la Poste roumaine, de l’intention des autorités de privatiser l’Administration du Port de Constanta et du non-respect des engagements sur la modification de la législation sur l’emploi et les relations industrielles.



    Rapport – Abus de la police et de la gendarmerie contre des détenus et des Roms, conditions précaires dans les prisons, discriminations des Roms, des minorités sexuelles et des personnes atteintes du VIH – autant de problèmes majeurs de la Roumanie en matière de respect des droits de l’homme signalés dans le rapport sur 2013 du Département d’Etat américain. S’y ajoutent certaines déclarations antisémites, l’absence des mesures prises par les autorités en vue de la rétrocession des églises grecques-catholiques ainsi que les menaces à l’adresse des journalistes. Selon le rapport, la corruption institutionnelle a constitué en 2013 aussi un vrai problème en Roumanie, ayant touché tous les secteurs de la société. Par ailleurs, le Parquet national anti-corruption a annoncé que 2013 a été une année difficile pour l’institution qui s’est confrontée aussi bien à des modifications législatives et d’organisation qu’à une montée des pressions publiques et politiques sur les procureurs.



    Chômage – En janvier 2014, le taux de chômage en Roumanie a stagné par rapport à décembre dernier, à 7,3% mais augmenté de 0,2% par rapport à janvier 2013, a annoncé aujourd’hui l’Institut National de la Statistique. En janvier 2014, 730 mille personnes étaient au chômage. Le nombre des chômeurs âgés de 25 à 74 ans représente 73,6% du total des chômeurs.

  • A la Une de la presse roumaine du 28.02.2014

    A la Une de la presse roumaine du 28.02.2014

    Le Parquet roumain anticorruption a dressé jeudi son bilan 2013, en présence des médias et de hauts responsables politiques. Sur cette toile de fond, la presse bucarestoise publient les conclusions dun rapport sur les “Pratiques en matière de droits de lhomme” en Roumanie, élaboré par le Département dEtat américain. Dans le même temps, se penchent à nouveau sur la crise ukrainienne et sur les derniers développements en Crimée.