Tag: Dan Sova

  • Nachrichten 25.11.2015

    Nachrichten 25.11.2015

    Bukarest: Răzvan Ioan Sava ist der neue Interim-Bürgermeister Bukarests. Sava wurde von den liberalen Berater der Staatsverwaltung für das Amt des Interim-Bürgermeisters vorgeschlagen. Răzvan Ioan Sava erhielt 34 Stimmen, gegen ihn gab es 11 Stimmen. Der Bürgermeister setzt sich zum Ziel, eine moderne Stadtverwaltung aufzubauen, die den Bedürfnissen der Bukarester entgegenkommen soll. Das Amt wurde bislang von Ştefănel Dan Marin bekleidet, der Generalrat hat ihn am Dienstag auf Initiative der Liberalen abgewählt. Marin wird vorgeworfen, er habe im Dauerstreit mit dem städtischen Wärmelieferant Radet keine Lösung gefunden und die Einführung des Gratis-Nahverkehrs nichtin Gang gesetzt.



    Bukarest: Dutzende Bukarester Kinos, Theater, Restaurants und Bars haben ihre Tätigkeit aufgehoben, nachdem Staatschef Klaus Iohannis letzte Woche das Gesetz promulgiert hat, das jegliche öffentliche Veranstaltungen in Gebäuden untersagt, die bei Erdbeben hoch einsturtzgefährdet sind. Rund 670 Gebäude haben, laut dem Bürgermeisteramt der Hauptstadt, eine stark erodierte Statik, besonders nach dem großen Erdbeben von 1977 von 7,2 auf der Richter Skala, das den Tod von 1.600 Menschen verusachte. Das Gesetz wurde ungefähr drei Wochen nach der Tragödie im Bukarester Colectiv Club promulgiert, infolge deren 60 Menschen ihr Leben verloren haben und die für heftige Debatten über die Sicherheit an öffentlichen Plätzen gesorgt hat.



    Bukarest: Der rumänische Ministerpräsdient Dacian Cioloş hat am Mittwoch in einer Regierungssitzung erklärt, er möchte sich vergewissern, dass die Personen, die an der Führung des Inspektorats für Notsituationen der Hauptstadt Bukarest und des Landkreises Ilfov waren und ihrer Ämter enthoben sind, nicht mehr ins System zurück kehren können. Die Leiter der besagten Anstalt wurden fast einen Monat nach der Tragödie im Colectiv Club ihrer Ämter enthoben. Überprüfungen zeigten, dass die Vertreter des besagten Inspektorats keine Kontrollen im Club durchgeführt haben, obwohl bekannt gewesen ist, dass ein öffentliches Ereignis mit großer Beteiligung veranstaltet werden soll. Wir erinnern daran, dass ein unter nicht entsprechenden Bedingungen organisiertes Rockkonzert tragisch beendet wurde, nachdem die Schalldämmung Feuer gefangen hat. Das Feuer weitete sich dann rasch von der Schalldämmung auf einem Mast bis auf die Decke des Clubs. Hunderte Menschen – fünfmal soviel wie die höchstzulässige Gästezahl des Clubs – wurden unter den fallenden brennenden Materialstücken aus der Decke gefangen.



    Chişinău: 21 Menschen – 18 Afghanen und drei moldauische Staatsbürger – sind am Dienstag, nach einer Notlandung eines Hubschraubers im Norden Afghanistans, von Talibanen gefangen genommen worden. Dies gab am Mittwoch die Regierung in Chişinău bekannt. Laut derselben Quelle wurden zwei der Afghanen und ein Moldawier getötet. Der interimistische Premierminister Gheorghe Brega erklärte, dass die moldauische Regierung die Unterstützung der amerikanischen und der rumänischen Botschaften in Afghanistan gefordert hat, um die Gefangenen zu befreien. Der Hubschrauber, der einer moldauischen Privatgesellschaft gehörte, befand sich in einer humanitären Mission in Afghanistan unter der Schirmherrschaft der UNO.



    Bukarest: Die Nationale Antikorruptionsbehörde hat am Mittwoch die Einleitung der Strafverfolgung gegen den Senator der Sozial-Demokratischen Partei Dan Şova in einer neuen Akte veranlasst. Diesmal wird er der Beihilfe zum Amtsmissbrauch verdächtigt. Laut den Ermittlern habe Şova im Zeitraum 2006-2008 dem Heiz-Kraftwerk im südrumänischen Govora einen Schaden von über 1 Million Euro verursacht. Am Dienstag hatten die Senatoren des Rechtsausschusses den Antrag der Antikorruptionsbehörde bezüglich der Festnahme und der Untersuchungshaft von Dan Şova in einer anderen Akte, bezogen auf den Zeitraum 2011-2014, genehmigt. Şova, ehemaliger Transportminister im Kabinett von Victor Ponta, soll 100 Tausend Euro Schmiergeld gefordert und erhalten haben, um den Abschluss eines Vertrages desselben Heiz-Kraftwerkes Govora mit einer Rechtskanzlei zu vermitteln. Die Endabstimmung im Senatsplenum soll am 2. Dezember stattfinden.



    Bukarest: Der rumänische Präsident Klaus Iohannis hat das Gesetz promulgiert, wodurch die Gehälter der Angestellten im Gesundheitssystem ab dem 1.Oktober um 25% wachsen. Außerdem steigen die Gehälter der anderen öffentlichen Bediensteten ab dem 1. Dezember um 10%. Ministerpräsident Dacian Cioloş erklärte, dass diese Gehaltserhöhungen von einem Investitionspaket begleitet werden müssen.

  • 25.11.2015 (mise à jour)

    25.11.2015 (mise à jour)

    Corruption – La Direction Nationale Anticorruption a disposé mercredi que des poursuites pénales soient engagées à l’encontre du sénateur social démocrate Dan Sova dans un nouveau dossier dans lequel celui – ci est soupçonné de complicité d’abus de fonction. Selon les procureurs, entre 2006 et 2008, Dan Sova aurait causé un préjudice de plus d’un million d’euros à la Centrale thermique de Govora (située dans le sud de la Roumanie). Mardi, les sénateurs de la commission juridique ont donné leur avis favorable à la demande du parquet anticorruption portant sur l’interpellation et la mise en détention provisoire de Dan Sova dans un autre dossier visant la période entre 2011 et 2014. Ancien ministre des Transports, Dan Sova aurait demandé et reçu des pots-de-vin de 100.000 euros pour garantir la conclusion d’un contrat entre la Centrale thermique de Govora et un cabinet d’avocats. Le vote final au plénum du Sénat aura lieu le 2 décembre.

    Maire – Bucarest a un nouveau maire général par intérim. Proposé par les conseillers généraux du camps des libéraux, Răzvan Ioan Sava affirme souhaiter construire une administration moderne au service des Bucarestois. Son prédécesseur, toujours maire par intérim, a été destitué par le Conseil Général de la Municipalité à l’initiative des mêmes conseillers libéraux. Parmi les raisons invoquées mentionnons entre autre l’absence d’un budget pour la Régie autonome de distribution de l’énergie thermique et l’absence d’une solution au problème des frais gratuits pour le transport en commun.

    Citoyenneté – Les ressortissants étrangers qui ont contribué de manière significative à faire la promotion de la culture, de la science, de la civilisation et de la spiritualité roumaines, ainsi que ceux qui aident à promouvoir la Roumanie par leurs performances sportives, peuvent obtenir, sur demande, la citoyenneté roumaine. La Chambre des Députés de Bucarest a adopté mercredi le projet de loi qui simplifie les procédures visant à accorder la citoyenneté roumaine pour certaines catégories de personnes. Le document donne également la possibilité d’obtenir à nouveau la citoyenneté roumaine aux personnes qui ont perdu cette qualité pour des raisons qui ne peuvent pas leur être imputées.

    Salaires – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a promulgué la loi au terme de laquelle les revenus du personnel de la Santé se sont majorés de 25% depuis le 1 octobre, tandis que les autres salariés du système public se verront accroître les salaires de 10% à partir du 1 décembre. Le premier ministre Dacian Ciolos a déclaré que toutes ces mesures devront s’accompagner d’un paquet d’investissements.

    ISU – Le premier ministre roumain, Dacian Ciolos, a déclaré ce mercredi, en réunion gouvernementale, qu’il souhaite avoir la certitude que l’ancienne direction de l’Inspection pour les Situations d’Urgence (ISU) de Bucarest-Ilfov, suspendue de ses fonctions, sera démise et ne pourra plus jamais réintégrer le système. Un mois après l’incendie du club Colectiv, les chefs de l’ISU Bucarest- Ilfov, ont été suspendus de leurs fonctions. Une expertise a mis en évidence le fait que ceux-ci n’avaientt fait aucun contrôle dans ce club malgré le concert qui allait y être organisé, ce dont la direction était mise au courant. Rappelons-le, l’incendie s’est déclaré au moment où un pilier a pris feu, les flammes se propageant extrêmement vite au plafond. Des centaines de personnes – beaucoup plus que la capacité légale de la boîte de nuit – étaient venues ce soir-là assister au concert.

    Fermeture – Des dizaines de cinématographes, théâtres, restaurants et bistrots de Bucarest ont suspendu leur activité après la promulgation, la semaine dernière, par le chef de l’Etat, d’une loi interdisant toute activité destinée au grand public dans des locaux à risque sismique élevé. Quelque 670 édifices ont la structure fragilisée après la grande secousse de 1977, de magnitude 7,2 sur l’échelle ouverte de Richter et qui a fait 1600 morts. La présente loi a été promulguée trois semaines après l’incendie qui s’est déclaré dans une boîte de nuit de Bucarest, suite auquel 60 personnes ont perdu la vie et des dizaines d’autres sont toujours hospitalisées. La tragédie a suscité de nombreuses discussions au sujet des mesures de sécurité dans les lieux publics.

    Pauvreté – Selon Eurostat, 26 millions d’enfants étaient exposés à un risque de pauvreté et d’exclusion sociale en 2014, soit 27,7 % des citoyens européens de moins de 18 ans. Sur ce total, la plupart se trouvent en Roumanie (51% des enfants), en Hongrie (41,4%) et en Bulgarie (45,2%). Par ailleurs, de plus en plus d’enfants seraient aussi confrontés à un risque de malnutrition. Selon UNICEF, le pourcentage d’enfants qui ne peuvent pas se permettre de manger de la viande ou du poisson tous les deux jours a doublé en Estonie, en Grèce et en Italie depuis 2008. Les enfants qui vivent au sein de familles monoparentales, en particulier avec une mère seule, sont de manière générale davantage confrontés à la pauvreté.

    Talibans – Vingt-et-une personnes dont 18 Afghans et trois citoyens moldaves ont été capturés par les talibans mardi après l’atterrissage en urgence de leur hélicoptère dans le nord de l’Afghanistan, a-t-on appris auprès du gouvernement de Chisinau. Selon cette même source, deux des Afghans et un Moldave ont été tués. Le premier ministre par intérim, Gheorghe Brega, a déclaré que son gouvernement avait demandé l’aide des ambassades américaine et roumaine à Kaboul pour essayer de libérer tous les otages. L’hélicoptère qui appartenait à une société privée moldave,effectuait une mission humanitaire sous l’égide de l’ONU.

    Météo – Les météorologues annoncent jeudi des précipitations sur la plupart du territoire de la Roumanie ainsi que de la neige et de la giboulée notamment en Moldavie (est) et en Transylvanie (centre). Les pluies s’installeront sur le sud et le sud-est. Les températures maximales iront de -1 à 14 degrés.

  • November 25, 2015 UPDATE

    November 25, 2015 UPDATE

    DECISION – The Prime Minister of Romania, Dacian Cioloş, said in the government meeting on Wednesday that he wants to make sure that the chiefs of the Bucharest-Ilfov Inspectorate for Emergency Situations who had been suspended would be dismissed and would no longer be able to get back in the system. The leaders of the Bucharest-Ilfov Inspectorate were suspended nearly a month after the Colectiv nightclub tragedy. Investigations revealed that the relevant authorities had not conducted inspections at the nightclub, although the heavily attended event had been announced publicly. We remind you that a rock concert ended tragically when the soundproofing material on a support pillar caught fire, spreading quickly over the entire ceiling. Hundreds of people, 5 times more than the club was allowed to host, were caught under the burning pieces falling from the ceiling.



    MAYOR – Razvan Ioan Sava is the new interim mayor of Bucharest, after getting 34 votes in favour in 11 against. Proposed by the Liberals in the city council, Sava wants a modern administration that should support the citizens of Bucharest. Stefanel Dan Marin was sacked followed a vote of the General Council on Tuesday. Marin was also accused of failing to fund the RADET heating utility and to solve the difficulties facing the public transport utility.



    ATTACK – The Islamic State on Wednesday claimed responsibility over the jihadist attack on Tuesday in Tunis, which killed 13 people. The suicide bomber who blew up a presidential guard bus has been identified as Abu Abdallah Tounsi. The attacker wearing an explosive belt climbed onto the bus and blew himself up. Some 10 kilos of Semtex were used in the blast.



    TURKEY – Turkish Prime Minister Ahmet Davutoglu on Wednesday said Turkey had no intention of escalating tensions with neighbouring and friendly Russia, after Turkish air forces shot down a Russian fighter jet on the Turkish-Syrian border. According to the Turkish official, Ankara maintains all communication channels with Russia open. While Turkey claims the Russian jet had violated Turkeys airspace, Russian president Vladimir Putin says it was an act of backstabbing by terrorist supporters. The US and NATO have expressed solidarity with Turkey, calling on both sides to refrain from escalating the conflict.



    CORRUPTION – The National Anti-Corruption Directorate in Bucharest on Wednesday ordered the prosecution of the Social Democratic Senator Dan Sova in a new case, in which he is suspected of being accessory to abuse of office. According to investigators, in 2006-2008 Şova apparently caused the Govora Thermal Power Complex to incur losses of over 1 million euros. On Tuesday, the Senates Judicial Committee approved Dan Sovas arrest and pre-trial detention in a separate case, concerning the period 2011-2014. Şova, a former minister for transportation in Victor Pontas Cabinet, reportedly claimed and received 100,000 euros in bribes to ensure the same Govora power plant signed a contract with a particular law firm.



    EU BUDGET – The European Parliament on Wednesday passed the EU budget for 2016. Next years budget is set at 155 billion euros in commitments and 144 billion in payments. SMEs, students programmes and the Horizon 2020 research projects will get the most funding. As regards refugees and the migration issue, the Parliament will make sure all available resources in the current EU financial framework would be supplemented. The EU thus hopes to cope with the current refugee crisis, which needs to be tackled both in Member States and in countries close to conflict areas.



    SALARY RISE – The President of Romania, Klaus Iohannis, has signed into law a bill that raises the salaries of public healthcare personnel by 25% as of October 1, and the wages of other public sector employees by 10% as of December 1. PM Dacian Ciolos says these increases must be accompanied by an investment programme.



    CAPTURE – 21 people, of whom 18 Afghans and 3 Moldovan citizens, were captured by a Taliban group on Tuesday, after the emergency landing of a helicopter in the north of Afghanistan, the Republic of Moldovas government announced on Wednesday. According to the same source, two Afghans and a Moldovan have been killed. The interim PM, Gheorghe Brega, said the Moldovan authorities requested support from the US and Romanian embassies in Afghanistan, in order to have the hostages released. The helicopter, owned by a private Moldovan company, was on a humanitarian mission in Afghanistan, under the UN aegis.



    SHUTDOWN – Scores of cinema and theatre halls, restaurants and bars in Bucharest have been shut after last week the head of state Klaus Iohannis signed a law banning public activities from buildings with high vulnerability in case of earthquakes. Around 670 buildings, according to the Bucharest City Hall, have a heavily damaged structure, especially after the 7.2 earthquake of 1977, which killed nearly 1,600 people. The law was promulgated 3 weeks after the tragedy in Colectiv nightclub in Bucharest, in which 60 people died so far and which sparked heated debates concerning public building safety.



    CITIZENSHIP – Foreign nationals whove had a major contribution to promoting Romanian culture, science and civilization as well as those who contribute to promoting Romanias image through sports achievements may obtain the Romanian citizenship upon filing a special request. The Chamber of Deputies, the decision-making body in this case, adopted a bill on Wednesday, simplifying procedures for granting the Romanian citizenship to certain categories of people. The document also allows people whove lost the Romanian citizenship due through no fault of their own to regain it.


    (translated by V. Palcu)

  • November 25, 2015

    November 25, 2015

    The President of Romania, Klaus Iohannis, has signed into law a bill that raises the salaries of public healthcare personnel by 25% as of October 1, and the wages of other public sector employees by 10% as of December 1. PM Dacian Ciolos says these increases must be accompanied by an investment programme.



    The PM of Romania, Dacian Cioloş, said in the government meeting today that he wants to make sure that the chiefs of the Bucharest-Ilfov Inspectorate for Emergency Situations who had been suspended would be dismissed and would no longer be able to get back in the system. The leaders of the Bucharest-Ilfov Inspectorate were suspended nearly a month after the Colectiv nightclub tragedy. Investigations revealed that the relevant authorities had not conducted inspections at the nightclub, although the heavily attended event had been announced publicly. We remind you that a rock concert ended tragically when the soundproofing material on a support pillar caught fire, which quickly spread over the entire ceiling. Hundreds of people, 5 times more than the club was allowed to host, were caught under the burning pieces falling from the ceiling.




    Scores of cinema and theatre halls, restaurants and bars in Bucharest have been shut after last week the head of state Klaus Iohannis signed a law banning public activities from buildings with high vulnerability in case of earthquakes. Around 670 buildings, according to the Bucharest City Hall, have a heavily damaged structure, especially after the 7.2 earthquake in 1977, which killed nearly 1,600 people. The law was promulgated 3 weeks after the tragedy in Colectiv nightclub in Bucharest, in which 60 people died so far and which sparked heated debates concerning public building safety.



    The National Anti-Corruption Directorate in Bucharest has today ordered the prosecution of the Social Democratic Senator Dan Sova in a new case, in which he is suspected of being accessory to abuse of office. According to investigators, in 2006-2008 Sova apparently caused the Govora Thermal Power Complex to incur losses of over 1 million euros. On Tuesday, the Senates Judicial Committee approved Dan Sovas arrest and pre-trial detention in a separate case, concerning the period 2011-2014. Sova, a former minister for transportation in Victor Pontas Cabinet, reportedly claimed and received 100,000 euros in bribes to ensure the same Govora power plant signed a contract with a particular law firm.



    21 people, of whom 18 Afghans and 3 Moldovan citizens, were captured by a Taliban group on Tuesday, after the emergency landing of a helicopter in the north of Afghanistan, the Republic of Moldovas government announced today. According to the same source, two Afghans and a Moldovan have been killed. The interim PM, Gheorghe Brega, said the Moldovan authorities requested support from the US and Romanian embassies in Afghanistan, in order to have the hostages released. The helicopter, owned by a private Moldovan company, was on a humanitarian mission in Afghanistan, under the UN aegis.



    President Barack Obama expressed US and NATO support for Turkeys right to defend its sovereignty, reads a news release issued by the White House. The American and Turkish presidents discussed over the telephone about the incident involving a Russian warplane downed yesterday by the Turkish Air Forces. Whereas Ankara claims to have defeated its territory, after the plane entered Turkeys air space, the Russian President Vladimir Putin labels the incident as a stab in the back by the supporters of terrorism. Kremlin warned that its relations with Turkey would be affected and that it would take concrete steps. In an emergency meeting in Brussels, NATO expressed its solidarity with Turkey and called on the parties to refrain from escalating the conflict.



    The President of France, François Hollande, is scheduled to have a meeting in Paris today with the German Chancellor Angela Merkel, as part of Paris efforts to rally international support in a coalition able to fight the IS terrorist group. Yesterday in Washington, François Hollande agreed with President Barack Obama to intensify air strikes in Syria and Iraq against the Jihadist group. On Monday, the head of the French State discussed the same issue with the British PM David Cameron. Hollandes diplomatic efforts to rally support against terrorism will continue tomorrow in Moscow, where the French President is to meet his Russian counterpart, Vladimir Putin.

  • Cine va vota moţiunea de cenzură?

    Cine va vota moţiunea de cenzură?

    Miercuri,
    moţiunea de cenzură a fost citită în plenul reunit al Legislativului, prilej
    pentru iniţiatorii liberali să-şi reitereze convingerea că acuzaţiile
    procurorilor DNA – fals în înscrisuri, complicitate la evaziune fiscală şi
    spălare de bani – nu-i mai permit lui Victor Ponta să semneze acte normative
    sau să gireze bugetul ţării.

    În orice ţară din Uniunea Europeană, premierul
    şi-ar fi dat demisia în momentul următor începerii urmăririi penale, adică acum
    mai bine de trei luni de zile
    – a afirmat liderul deputaţilor PNL, Eugen
    Nicolăescu, amintind că partidul său n-a încetat să ceară plecarea lui Ponta de
    pe 5 iunie, când DNA a lansat public acuzaţiile la adresa acestuia.

    Tot
    miercuri, înaintea plecării la Bruxelles, preşedintele Klaus Iohannis a apreciat
    că aprobarea moţiunii de cenzură ar fi ‘un lucru bun’.

    Alături de fostul său
    coleg de facultate, ulterior partener de afaceri şi subaltern în partid şi
    guvern, senatorul PSD Dan Şova, Ponta e acuzat de implicarea în ilegalităţile prin care statul a fost prejudiciat cu peste 16
    milioane de euro la companiile energetice de la Rovinari şi Turceni.

    Convinşi că greutatea dosarului penal trebuie
    să prevaleze asupra loialităţilor politice,
    liberalii solicită şi partidelor din arcul guvernamental să se alăture
    moţiunii, care va fi dezbătută şi votată marţi, 29 septembrie. Pentru a fi
    adoptat de Parlament, documentul are nevoie de votul favorabil exprimat de cel
    puţin 276 de senatori şi deputaţi, adică jumătate plus unu din numărul total al aleşilor. Or, înainte
    de a fi depusă, moţiunea a fost semnată de doar 180 de parlamentari,
    majoritatea covârşitoare deputaţi şi senatori PNL, secondaţi de câţiva
    neafiliaţi sau membri ai grupului democrat şi popular.

    În UDMR, a doua
    formaţiune, ca pondere, din opoziţie, opţiunea majoritară este aceea de a
    susţine moţiunea, spune liderul formaţiunii, Kelemen Hunor.

    Rămân, astfel,
    câteva zeci bune de voturi pe care opoziţia ar trebui să le smulgă din băncile
    arcului guvernamental. Or, prin vocea preşedintele său interimar, Liviu
    Dragnea, PSD face zid în jurul fostului său lider, căruia îi atribuie o
    guvernare de ”de succes”.

    Purtătorul de cuvânt al partidului, Gabriela Firea,
    spune că situaţia premierului Ponta nu s-a schimbat cu nimic, pentru că, până
    la pronunţarea definitivă a unei instanţe, este nevinovat.

    Partenerii-juniori
    ai social-democraţilor anunţă şi ei că rămân fideli coaliţiei tripartite.
    Condusă de vicepremierul şi ministrul de Interne Gabriel Oprea, UNPR a anunţat
    că s-a decis să nu voteze moţiunea, iar liderul ALDE, preşedintele Senatului,
    Călin Popescu-Tăriceanu, crede că dosarul Ponta e relevant pentru folosirea
    Justiţiei ca ‘armă politică’, pentru preluarea puterii prin eliminarea
    adversarilor. Astfel încât chiar comentatorii care, altminteri, consideră că
    România pierde în fiecare zi în care e condusă de un premier acuzat de corupţie
    cred că moţiunea de cenzură are şanse minime şi riscă să rămână un simplu
    exerciţiu platonic.

  • Premierul Ponta, confruntat cu o moţiune de cenzură

    Premierul Ponta, confruntat cu o moţiune de cenzură

    Cel dintâi prim-ministru al României post-comuniste urmărit penal în timpul mandatului, Victor Ponta a respins atât acuzaţiile procurorilor, cât şi cererile preşedintelui Klaus Iohannis şi opoziţiei liberale de a demisiona. Astfel că acesteia din urmă nu i-a rămas decât recursul la o nouă moţiune de cenzură împotriva Executivului. Semnat de 180 de parlamentari – liberali, independenţi şi din grupul democrat şi popular –, documentul afirmă că Ponta nu mai poate conduce Guvernul, după ce a fost trimis în judecată de DNA pentru fapte de corupţie.



    Fals în înscrisuri sub semnatură privată, complicitate la evaziune fiscală şi spălare de bani sunt capetele de acuzare la adresa lui, reţinute de procurori într-un dosar privind încheierea unor contracte de asistenţă juridică la companiile energetice Turceni şi Rovinari (sud). În acelasi dosar, fostul ministru al Transporturilor în cabinetul Ponta, senatorul PSD Dan Şova, e urmărit penal pentru complicitate la abuz în serviciu, fiindcă ar fi încasat sute de mii de euro pentru înţelegeri prin care statul a fost prejudiciat cu peste 16 milioane de euro.



    Parlamentarii de la putere, spun iniţiatorii moţiunii, trebuie să aleagă între interesele cetăţenilor şi cele ale premierului. Liderul grupului PNL din Camera Deputaţilor, Eugen Nicolăescu: Este foarte greu ca un asemenea premier să reprezinte o ţară ca România. Este foarte greu ca un asemenea premier să mai discute, cu vreo posibilitate de a reuşi să facă ceva pentru ţara noastră. Dacă acest premier va mai fi în fruntea României, România poate fi considerată o ţară care ocroteşte corupţia.”



    După ce cabinetele conduse, în ultimii trei ani şi jumătate, de Ponta au trecut cu brio teste similare, liberalii cred că această moţiune de cenzură este prima care are şanse reale să treacă şi, de aceea, în perioada următoare vor negocia cu toate partidele parlamentare, pentru a-şi asigura cele 276 de voturi — jumătate plus unu din totalul aleşilor – de care e nevoie pentru debarcarea Guvernului.



    Dacă, extrem de probabil, deputaţii şi senatorii UDMR (în opoziţie) vor vota documentul, nimic nu-i îndreptăţeşte, încă, pe iniţiatori să conteze pe defecţiuni în arcul guvernamental PSD-UNPR-ALDE. Până acum, coaliţia a funcţionat fără sincope, iar luni, unul câte unul, liderii acesteia şi-au înnnoit angajamentele de loialitate faţă de premier. Cumva reconfortat de declaraţiile lor, Ponta afirmă că: Trebuie să ne continuăm guvernarea, pentru că este o guvernare bună. Nici măcar cei de la PNL nu spun că guvernarea nu este bună, au ei o problemă cu mine, dar toată lumea este de acord că, din punct de vedere economic şi social, ne facem treaba şi mergem mai departe.”



    Până la dezbaterea şi votul asupra moţiunii mai e o săptămână şi doar o lovitură de teatru, spun comentatorii, ar putea fisura majoritatea care-l susţine pe premier. Tot ei notează, însă, că scena politică de la Bucureşti adoră loviturile de teatru.

  • Premierul român, trimis în judecată

    Premierul român, trimis în judecată

    O premieră, deopotrivă judiciară şi politică, s-a înregistrat,
    joi, la Bucureşti. Social-democratul Victor Ponta a devenit cel dintâi
    prim-ministru al României post-comuniste timis în judecată, pentru fapte de
    corupţie, în timpul exercitării mandatului. Fost coleg de facultate, fost
    asociat în afaceri şi fost subaltern în partid şi Guvern al premierului,
    senatorul PSD Dan Şova îi va ţine companie lui Ponta şi în instanţă. În dosarul de corupţie de la companiile energetice Turceni şi Rovinari,
    privind încheierea unor contracte de asistenţă juridică, procurorii
    DNA au anunţat,
    încă de pe 5 iunie, că Ponta este urmărit penal pentru fals în
    înscrisuri sub semnătură privată, complicitate la evaziune fiscală şi spălare
    de bani, fapte pe care le-ar fi comis pe când era avocat. Şova, la rându-i,
    e învinuit de complicitate la abuz în serviciu. El este acuzat că ar fi încasat
    sute de mii de euro pentru înţelegeri prin care statul a fost prejudiciat cu
    peste 16 milioane de euro. În plan juridic, procesul îşi va urma cursul şi,
    spun experţii, o sentinţă poate fi aşteptată cel mai devreme la jumătatea
    anului viitor.

    Pe scena politică, în schimb, reacţiile au fost imediate. Opoziţia liberală a
    cerut, din nou, demisia urgentă a premierului.
    În plus, copreşedintele PNL, Alina Gorghiu, le-a solicitat liderilor
    politici ai coaliţiei guvernamentale, preşedintele interimar al PSD, Liviu
    Dragnea, şi şeful UNPR, Gabriel Oprea, să precizeze public dacă îl mai susţin
    pe Victor Ponta în funcţia de premier.

    Şi preşedintele Klaus Iohannis a
    avertizat, din nou, că imaginea României are foarte mult de suferit de pe urma
    problemelor penale ale lui Ponta şi a repetat că singura soluţie este demisia
    acestuia din fruntea Guvernului.

    Într-o postare pe internet, forma lui
    predilectă de comunicare în ultimele luni, premierul a calificat întregul dosar
    Turceni drept obsesia unui procuror total neprofesionist în a se afirma
    în carieră inventând şi imaginând fapte şi situaţii neadevărate din urmă cu
    zece ani şi şi-a reiterat refuzul de a pleca. Vădit stânjenit, succesorul
    său la şefia social-democraţilor, Liviu Dragnea, s-a mulţumit să anunţe că o
    decizie ar putea fi adoptată în zilele următoare.

    Social-democraţii nu pot
    rămâne într-un guvern în care premierul nu este stabilit de PSD, spune Dragnea,
    iar în acest moment nu există nicio
    garanţie că, după eventuala plecare a lui Ponta, preşedintele Iohannis va
    desemna tot din rândurile lor un candidat la funcţia de prim-ministru.
    Partener-junior al PSD în Guvern şi personaj tot mai influent politic după
    învinuirea penală a lui Ponta, liderul UNPR, vicepremierul Gabriel Oprea, a
    afirmat că ar putea fi un bun prim-ministru, dar şi-a reiterat loialitatea faţă
    de şeful Guvernului. Tonul comentariilor din presa de la Bucureşti oscilează
    între compătimire şi sarcasm.

    Lovit zdravăn de DNA prin trimiterea în
    judecată, Victor Ponta e un premier în agonie – scrie unul dintre cei mai
    influenţi editorialişti. Or, adaugă el,România
    are nevoie de un premier care să se bucure de deplina putere a prerogativelor sale.

  • Nachrichten 17.09.2015

    Nachrichten 17.09.2015

    Bukarest: Die Situation wird sehr problematisch für den Premier, die rumänische Exekutive und die regierende sozial-demokratische Partei und schade sehr stark dem Image des Landes, hat am Donnerstag Präsident Klaus Iohannis erklärt, nachdem die Antikorruptionsbehörde DNA den Premier Victor Ponta angeklagt hatte. Der Staatschef und Politiker aus den Oppositionsparteien haben den Premierminister zum Rücktritt aufgefordert. Die Antikorruptionsstaatsanwaltschaft (DNA) hatte seit Anfang Juni gegen Ponta ermittelt. Dem Premierminister werden Aktenfälschung, Beihilfe zur Steuerhinterziehung und Geldwäsche im Zusammenhang mit Rechtsberatungsverträgen vorgeworfen, die er von 2007 bis 2008 als Anwalt im Rahmen seiner Zusammenarbeit mit der Anwaltskanzlei seines Parteifreundes und ehemaligen Verkehrsministers Dan Şova abwickelte. Dabei ging es um Rechtsberatung der staatlichen Energiekombinate Turceni und Rovinari. Şova wird infolgedessen Beihilfe zum Amtsmissbrauch und eine Steuerhinterziehung von 16 Millionen Euro zur Last gebracht. Victor Ponta hat die Anklagen der Staatsanwälte und den vom Staatschef Iohannis verlangten Rücktritt abgestritten .



    Bukarest: Die Position der Bukarester Regierung angesichts der Behandlung der Flüchtlinge von den ungarischen Behörden sei im vollen Einklang mit der Stellung der Europäischen Union, so einer Mitteilung Bukarests. Die Initiative, einen Zaun zwischen Ungarn und seinen Nachbarn zu bauen widerspreche den europäischen Richtlinien und die rumänische Regierung betrachte die Einhaltung dieser Normen und der Menschenrechte als grundsätzlich, heißt es anschließend aus Bukarest. Rumänien könnte eine Alternativroute für Flüchtlinge werden, nachdem die serbisch-ungarische Grenze abgeriegelt wurde. Tausende von Migranten trafen Studen später an der Grenze Serbiens zu Kroatien ein und wollen jetzt über Kroatien in Richtung Westen weiterziehen. Der EU-Ratspräsident Donald Tusk hat infolgedessen einen Sondergipfel angekündigt. Die Staats-und Regierungschefs kommen am 23. September, am Vortag eines EU-Innengipfels zu einem Sondertreffen zur Flüchtlingskrise zusammen.



    Bukarest: Rumänien muss bis 2023 über 4,8 Milliarden Euro eines Darlehensabkommens vorbeugender Art an seine internationalen Kreditgeber zurückzahlen, kündigt das Finanzministerium an. Die Schulden an IWF wurden bereits ausgeglichen und Bukarest muss der besagte Betrag an die Weltbank und die Europäische Kommission zurückzahlen. 2009 hatten die rumänischen Behörden ein Darlehensabkommen vorbeugender Art mit der Weltbank und der Europäischen Kommission abgeschlossen. Das Abkommen erstreckte sich über 24 Monate. 12,95 Miliarden Euro erhielt Bukarest von IWF als Teil einer Kredithilfe die sich insgesamt auf 19,95 Milliarden Euro beziffert und mit dem IWF, der Europäischen Union und der Weltbank vereinbart wurde. Der Premier Victor Ponta hatte neulich angekündigt, dass der rumänische Staat derzeit keine weitere Kredithilfen von seinen internationalen Kreditgebern brauche. In einer stürmischen Zeit für die Region und Europa seien doch die Darlehensabkommen mit den besagten Finanzinsititionen eine gute Sache, fügte Ponta hinzu.



    Bukarest: Der neue US-Botschafter in Rumänien Hans G. Klemm hat am Donnerstag im Beisein des US-Außenministers John Kerry den Eid abgelegt. Der Rumänischen Botschaft zufolge habe Kerry Rumänien als vertrauensvoller Partner seines Landes bezeichnet und hob die besodbnere Beziehung zwischen den beiden Staaten und die bilaterale Zusammenarbeit für die Verstärkung der Stabilität auf internationaler und regioneller Ebene hervor. Der US-Außenminister hat die Anstrengungen Rumäniens für die Bekämpfung der Korruption begrüßt und sagte, dass Bukarest in diesem Sinne als Beispiel dienen könnte. Hans G. Klemm erklärte, er werde der Entwicklung der wirtschaftlichen Beziehungen zwischen Rumäniens und den USA mehr Aufmerksamkeit schenken und fügte hinzu, er werde die Unterstützung im Bereich Korruptionsbekämpfung als erste Priorität setzen.

  • 17.09.2015 (mise à jour)

    17.09.2015 (mise à jour)

    CSAT – A loccasion du prochain Conseil européen Justice et Affaires Intérieures au sujet de la migration, le ministre roumain de lIntérieur, Gabriel Oprea, aura un mandat similaire à celui quil sest vu confier lors de la récente réunion de lundi, a déclaré jeudi le chef de lEtat roumain, Klaus Iohannis, à lissue du Conseil suprême de défense du pays. La Roumanie est solidaire avec les autres pays européens touchés par la crise des réfugiés, mais elle ne peut pas considérer les quotas obligatoires comme une solution. Iohannis a réitéré lengagement pris par Bucarest daccueillir 1785 migrants, bien que le chiffre souhaité par Bruxelles soit trois fois plus grand. Si la Commission Européenne oblige la Roumanie à accepter plus de personnes quelle ne le souhaite, le Conseil suprême de défense du pays a véhiculé la possibilité de recourir à des fonds européens pour élargir ses capacités daccueil. Par ailleurs, le Conseil suprême de défense du pays a examiné le plan de mise en oeuvre des stratégies nationales de défense du pays, la présence roumaine au sein de lOTAN et au sein des forces onusiennes de maintien de la paix.



    Corruption – La situation savère de plus en plus problématique pour le premier ministre, son cabinet et le PSD, tandis que limage de la Roumanie a beaucoup à souffrir- a déclaré jeudi le chef de lEtat, Klaus Iohannis, après que le premier ministre social-démocrate Victor Ponta a été traduit en justice. Klaus Iohannis, tout comme des responsables des partis dopposition ont demandé la démission de Ponta. Celui-ci et un autre membre du PSD, le sénateur Dan Sova sont accusé de corruption. Le 5 juin, les procureurs ont annoncé que M Ponta était poursuivi pour faux en écriture sous seing privé, complicité dévasion fiscale et blanchiment dargent dans le dossier de corruption visant des contrats dassistance juridique avec les compagnies énergétiques Turceni et Rovinari, dans le sud. Les procureurs ont également constaté la nécessité de continuer la poursuite pénale à lencontre de Victor Ponta pour un conflit dintérêt, relatif à ses fonctions de premier ministre. Dans le même dossier, lex-ministre des Transports du cabinet Ponta, le sénateur Dan Sova est poursuivi pour complicité dabus de fonctions. Il est accusé davoir reçu plusieurs centaines de milliers deuros pour faciliter des contrats ayant généré un manque à gagner de plus de 16 millions deuros à lEtat roumain. Premier chef du cabinet de Bucarest à faire lobjet dune enquête pénale durant le mandat, Victor Ponta a rejeté les accusations des procureurs, ainsi que les demandes de démissionner formulées par le président Klaus Iohannis et lopposition libérale.



    Migration – La position adoptée par le gouvernement de Bucarest au sujet du traitement décidé par la Hongrie voisine pour les réfugiés est conforme aux positions exprimées par les Etats et les institutions européennes, tout comme par dautres organismes internationaux- peut-on lire dans un communiqué rendu public jeudi. Le gouvernement roumain a critiqué la décision de Budapest de dresser des barrières aux frontières avec ses voisins pour stopper la vague des réfugiés et a affirmé quelle contrevenait aux normes européennes. Les autorités roumaines considèrent fondamentaux les droits de lhomme et le respect de toutes ces normes. Pour linstant, les réfugiés du Moyen Orient et dAfrique qui souhaitent arriver en Occident ne passent pas par la Roumanie. Mais, après la décision de Budapest de mettre en place une barrière à sa frontière serbe, la Roumanie pourrait devenir un pays de transit. Les migrants ont commencé à affluer en Croatie au cours des dernières 24 heures, après la fermeture par la Hongrie de sa frontière. A Bruxelles, le président du Conseil européen, Donald Tusk a annoncé convoquer un sommet extraordinaire des chefs dEtat et de gouvernement, le mercredi, 23 septembre à la demande de lAllemagne et de lAutriche. La réunion est prévue à la veille dune nouvelle réunion des ministres de lIntérieur de lUE.



    Météo – Durant les 24 prochaines heures, les météorologues sattendent à ce que les températures grimpent pour atteindre des maxima de 37 degrés. Dans louest du pays, lindice de température et dhumidité se situera autour du seuil critique de 80 unités. Le ciel sera variable dans louest du pays, avec de belles éclaircies dans le reste du territoire.



  • Liviu Dragnea ist neuer Interimspräsident der Sozialdemokratischen Partei

    Liviu Dragnea ist neuer Interimspräsident der Sozialdemokratischen Partei

    Liviu Dragnea wird die Leitung der Sozialdemokratischen Partei (PSD) bis zum nächsten Kongress der wichtigsten Partei der Regierungskoalition innehaben, der im November stattfinden soll. Der unter Strafverfolgung stehende Ministerpräsident Victor Ponta hatte vor kurzem den Parteivorsitz niedergelegt, einen Rücktritt als Regierungschef lehnte er dennoch ab. Zuvor hatte die Nationale Antikorruptionsbehörde DNA bekanntgegeben, sie ermittele gegen den Premier wegen mutma‎ßlicher Urkundenfälschung, Beihilfe zur Steuerhinterziehung und Geldwäsche. Als Rechtsanwalt soll Ponta die Straftaten in Zusammenhang mit einem weiteren Fall begangen haben, bei dem gegen seinen Parteikollegen, den ehemaligen Transportminister in seinem Kabinett Dan Şova ermittelt wird.



    Am Mittwoch beschloss der Vorstand der grö‎ßten Partei der Regierungskoalition, dass Liviu Dragnea in den nächsten Monaten als Interimspräsident fungieren soll. Seine Mitbewerberin, die Arbeitsministerin Rovana Plumb soll das Amt des Nationalratspräsidenten der Partei auch weiterhin bekleiden. Der neue Interimspräsident bekräftigte, die regierende Partei sei stark, befinde sich auf dem richtigen Kurs und werde, zusammen mit ihren Regierungspartnern, der Nationalen Union zum Fortschritt Rumäniens (UNPR), geleitet von Gabriel Oprea und mit der neulich gegründeten Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) auch weiterhin die Regierung unterstützen.



    Liviu Dragnea: Gabriel Oprea hat mir nach dem letzten Beschluss unseres Vorstands die volle Unterstützung seiner Partei zugesichert und ich sichere ihm meinerseits zu, dass wir uns auch künftig eine aufrichtige Zusammenarbeit wünschen. Der Allianz der Demokraten und Liberalen möchte ich ebenfalls mitteilen, dass die sozialdemokratische Partei auch weiterhin ein aufrichtiger und treuer Partner bleiben wird und dass wir meiner Ansicht nach, zusammen als Regierungsparteien, den wirtschaftlichen Aufschwung des Landes beibehalten werden.”



    Mit der Ernennung von Liviu Dragnea als Interimspräsident der Sozialdemokraten gewinne die Partei deutlich an Stabilität, sagte der Vorsitzende der Union zum Fortschritt Rumäniens, Gabriel Oprea. Oprea bekräftigte auch in einer Pressemitteilung die Unterstützung seiner Partei für den Premier Victor Ponta sowie für den Präsidenten Klaus Iohannis. Der Co-Präsident der Allianz der Liberalen und Demokraten, Daniel Constantin, betonte seinerseits, dass die Partnerschaft seiner Partei mit den Sozialdemokraten weiter gehe.



    Die Co-Präsidentin der Liberalen aus der Opposition Alina Gorghiu ist hingegen der Ansicht, dass die Sozialdemokratische Partei trotz solcher Aussagen eigentlich von internen Konflikten erschüttert sei: Ich glaube nicht, dass sich die Lager bald aussöhnen werden. Alle streben an die Parteispitze, und das Land zu regieren, wird somit zu einer nebensächlichen Angelegenheit. Die inneren Streitirgkeiten sind ein deutliches Zeichen der Instabilität.” Alina Gorghiu sagte ferner, die aktuelle Situation in der Sozialdemokratischen Partei werde sich negativ auf die Stabilität der Regierung auswirken und forderte infolgedessen die Sozialdemokraten auf, einen neuen Premier zu ernennen.

  • Ministerpräsident Victor Ponta legt Parteivorsitz nieder

    Ministerpräsident Victor Ponta legt Parteivorsitz nieder

    Der sozialdemokratische Ministerpräsident Victor Ponta hat am Sonntag nach knapp sechs Jahren den Vorsitz seiner Partei vorläufig niedergelegt. Der korruptionsverdächtige Premier gab auf seiner Facebook-Seite bekannt, er wollte innerhalb der sozialdemokratischen Partei PSD keine Funktion mehr bekleiden, bis seine Unschuld bewiesen werde. Die Nationale Antikorruptionsbehörde DNA verdächtigt Ponta der Urkundenfälschung, Beihilfe zur Steuerhinterziehung und Geldwäsche, sowie Interessenkonflikte bei der Ausübung seines Amts als Regierungschef.



    Als Rechtsanwalt soll Ponta die Straftaten in Zusammenhang mit einem weiteren Fall begangen haben, bei dem gegen seinen Parteikollegen, den Senatoren Dan Şova ermittelt wird. Er sei allerdings nicht das einzige Mitglied der sozialdemokratischen Partei, das auf seine Funktion in der Partei verzichtet und mit diesem Schritt möchte er Schaden von seiner Partei abwenden, fügt Ponta hinzu. Es handelt sich allerdings um seinen ersten Schritt zurück nachdem der Premier die Stichwahl um das Präsidentenamt verlor.



    Seine Niederlage erklärten damals Politikexperten dadurch, dass seine Regierung Auslandsrumänen daran gehindert hatte, von ihrem Stimmrecht Gebrauch zu machen und sahen seine Position an der Spitze der Partei infolgedessen geschwächt. Neulich wurde der Sozial-Demokrate zum ersten amtierenden Premierminister Rumäniens gegen den die Staatsanwahltschaft ein Strafverfahren eingeleitet hat. Staatschef Klaus Iohannis und die rechtsorientierte Opposition haben den Premier mehrmals zum Rüktritt aufgefordert, um weiteren Imageschaden des Landes in seinem verschärften Kampf gegen Korruption abzuwenden.



    Ponta lehnte dennoch den Rücktritt ab und betonte mehrmals seine Unschuld. Genau an dem Tag, als ihn die Antikorruptionsbehörde zu Anhörungen vorgeladen hatte, hatte sich der Premier bekanntlich in einer Privatklinik in der Türkei einer Knieoperation unterzogen. Dadurch verlor der Regierungschef in den Augen der Öffentlichkeit mehr an Glaubwürdigkeit. Die Liberalen aus der Opposition forderten den Rücktritt des Premiers auch nachdem er den Vorsitz seiner Partei niederlegte.



    “Victor Ponta ist dessen bewußt, dass sein Verbleib im Amt des Parteivorsitzenden einen deutlichen Imageschaden seiner Partei zufügt, er versteht dennoch nicht, dass die Schäden viel größer für seine Regierung und für Rumänien sind, sagte die Co-Präsidentin der liberalen Partei Alina Gorghiu. Selbst wenn er den Parteivorsitz niederlegte, schließen Politikexperten nicht aus, dass der Premier innerhalb seines Kabinetts immer mehr an Autorität verliert.

  • Rumäniens Premier verweigert Rücktritt

    Rumäniens Premier verweigert Rücktritt

    Gegen den rumänischen Ministerpräsidenten Victor Ponta wird wegen Geldwäsche und Beteiligung an Steuerhinterziehung in seiner Zeit als Anwalt 2007 strafrechtlich ermittelt. Dem Premierminister wird zudem Fälschung von Urkunden mit seiner Privatunterschrift zur Last gebracht. Die Nationale Antikorruptionsbehörde DNA hat zudem beim Parlament wegen Interessenkonflikten den Antrag auf strafrechtliche Ermittlung gegen Ponta gestellt. Ponta soll im Korruptionsverfahren seines Parteifreundes und ehemaligen Transportministers Dan Şova verwickelt sein.



    Der Regierungschef wird damit zum prominentesten Korruptionsverdächtigen Rumäniens. Nach der Einleitung des Strafverfahrens hat Staatschef Klaus Iohannis den Rücktritt des Premierministers gefordert: Es handelt sich meiner Ansicht nach um eine unmögliche Situation für Rumänien, da dem Premierminister Straftaten vorgeworfen werden. Das Schlimmste was heute noch in Rumänien vorkommen kann ist eine politische Krise, sagte Iohannis.



    Auf seiner Facebook-Seite postete der Premierminister seine Reaktion: Er werde nicht zurücktreten, weil er vom Parlament ernannt wurde und ihn alleine das Parlament absetzen dürfe. Vielmehr, sagte er in Richtung seiner internationalen Partner und der ausländischen Presse, sei das von der DNA gegen ihn eingeleitete Strafverfahren ein politisch motivierter Angriff, der seine aktuelle Regierung stürzen solle. Victor Ponta erfreut sich zudem der Unterstützung seiner Regierungspartner.



    Der Beschluß des Premierministers, den Rücktritt zu verweigern, stelle die Glaubwürdigkeit Rumäniens infrage, löse die schlimmste politische Krise im postkommunistischen Rumänien aus und unterminiere die Glaubwürdigkeit der Bukarester Regierung gegenüber Brüssel, erwidert die wichtigste Oppositionspartei, die national-liberale PNL. Die Co-Vorsitzende der Liberalen, Alina Gorghiu gab allen Abgeordneten aus der Regierungskoalition bekannt, sie könnten der aktuellen politischen Krise einen Schlusspunkt setzen, wenn sie dem Misstrauensantrag zustimmen, den die national-liberale Partei PNL gegen die Regierung eingebracht hatte.



    Im besagten Misstrauensantrag wirft die Opposition dem Kabinett von Victor Ponta vor, es habe voriges Jahr seine Macht ausgenutzt, indem es das grundlegende Wahlrecht der Auslandsrumänen blockiert habe. Vielmehr verweigere die Regierung derzeit die Organisierung von Teil, – Lokal, – und Parlamentswahlen, infolge dessen die offen gebliebenen Plätze in der Legislative und in den Lokalbehörden besetzt werden könnten. Die sozialdemokratische Partei schließt sich den Koalitionspartnern an und zeigt sich fest entschlossen, dass ihr Anführer eine legitime Regierung leite. Der Rücktritt des Premierministers sei weder gesetzlich noch verfassungsgemäß gerechtfertigt, so die Sozialdemokraten.



  • Prime Minister Ponta between Motion and Justice

    Prime Minister Ponta between Motion and Justice

    Suspected of corruption, the
    Social Democrat Prime Minister Victor Ponta is in the middle of a row currently
    making headlines in international media. Accused of forgery in deeds by private
    signature, accessory to recurrent tax evasion and money laundering, crimes he
    allegedly committed a few years ago, when he was a lawyer, Victor Ponta was
    indicted by the National Anticorruption Directorate.






    Moreover, the anticorruption
    prosecutors called on the Chamber of Deputies to endorse the start of the
    prosecution of the head of government, deputy Victor Ponta, for alleged
    conflict of interests. The charges are related to the case involving Social
    Democrat senator Dan Sova, a former minister of transport, appointed by the
    current prime minister, as the law firms owned by the two signed the contracts
    for which Victor Ponta is already being prosecuted.






    Against this background,
    president Klaus Iohannis has called on the Prime Minister to resign. In my
    opinion, this is an impossible situation for Romania: its Prime Minister
    charged with criminal offences. The worst for Romania would now be a
    political crisis The Prime Minister responded on Facebook, saying that he
    will not resign, because he has been appointed by Romania’s Parliament,
    therefore only Parliament can dismiss him.






    Moreover, in a notification sent
    to the foreign partners and media, Ponta claims the case built against him by
    the anticorruption prosecutors is purely political and aimed at bringing down
    the government. According to the main opposition party in Romania, the National
    Liberal Party, the Prime Minister’s decision not to resign is marring the
    country’s credibility and has triggered the most serious political crisis in
    Romania’s post-communist history, undermining the credibility of the Romanian
    government in the eyes of EU structures.




    The liberal co-president, Alina
    Gorghiu, has sent a message to all the MPs in the ruling coalition saying they
    can put an end to the current political crisis by voting on the no confidence
    motion filed by the National Liberal party against the government at the end of
    last week. In the motion, the government is accused of excess of power by
    blocking, last year, the Romanians’ constitutional right to vote, both in the
    country and abroad.






    The document stresses the fact
    that Victor Ponta wanted to become president by deliberately sabotaging the
    Romanians living abroad, and he now refuses partial, local and parliamentary
    elections, which would occupy the vacancies in both parliament and the local
    administration, for various reasons. Together with its partners in the
    governing coalition, the Social Democratic Party believes that its leader is
    the head of a legitimate government and there is no legal and constitutional
    reason that would justify his resignation.







  • Premierul Ponta, între moţiune şi justiţie

    Premierul Ponta, între moţiune şi justiţie

    Suspectat de fapte de corupţie, premierul social-democrat Victor
    Ponta se află în centrul unui scandal care a readus România în prim-planul
    presei internaţionale. Acuzat de fals în înscrisuri sub semnatură privată,
    complicitate la evaziune fiscală în formă continuată şi spălare de bani – fapte
    care s-ar fi produs în urmă cu câţiva ani, când era avocat, Victor Ponta a fost
    pus sub urmărire penală de către DNA. Mai mult, procurorii anticorupţie au
    solicitat Camerei Deputaţilor să încuviinţeze începerea urmăririi penale faţă
    de şeful guvernului, deputatul Victor Ponta, pentru posibil conflict de
    interese.

    Infracţiunile ţin de dosarul senatorului PSD Dan Şova, fost ministru
    al Transporturilor, numit în această funcţie de actualul premier, în condiţiile
    în care între firmele de avocatură ale celor doi au fost încheiate contractele
    de care se leagă urmărirea penală deja începută împotriva lui Victor Ponta. Pe
    fondul situaţiei create, preşedintele Klaus Iohannis i-a cerut premierului
    demisia – După părerea mea, este o situaţie imposibilă pentru România ca
    prim ministrul să fie învinuit pentru fapte penale. Pentru România cel mai rău
    lucru care s-ar putea întâmpla acum este o criză politică. Răspunsul
    premierului a venit pe Facebook – nu va demisiona, pentru că, spune el, a fost
    numit în funcţie de parlamentul României şi doar parlamentul poate să îl
    demită.

    Mai mult, într-o informare pe care a transmis-o partenerilor externi şi
    presei străine, şeful guvernului susţine că dosarul întocmit de procurorii DNA
    a fost construit ca unul politic, menit să dea jos actualul guvern. Victor
    Ponta a obţinut, la cerere, şi sprijinul partenerilor la guvernare. Decizia
    premierului de a nu demisiona aruncă în aer credibilitatea ţării, generează cea
    mai gravă criză politică din istoria post-decembristă a României şi subminează
    credibilitatea guvernului de la Bucureşti în faţa structurilor UE, a venit
    replica principalului partid de opoziţie, PNL.

    Copreşedintele liberalilor,
    Alina Gorghiu, le-a transmis tuturor parlamentarilor din coaliţia aflată la
    guvernare că pot să pună punct actualei crize politice prin votarea moţiunii de
    cenzură depusă de PNL la sfârşitul săptămânii trecute împotriva guvernului. În
    moţiune, executivul este acuzat de exces de putere prin blocarea, anul trecut,
    a dreptului constituţional de vot pentru românii din ţară şi diaspora. În
    document se subliniază că Victor Ponta a dorit să ajungă preşedinte prin
    sabotarea deliberată a cetăţenilor români din diaspora, iar acum refuză
    organizarea de alegeri parţiale, locale şi parlamentare, prin care s-ar
    completa locurile din legislativ şi din administraţiile locale rămase vacante
    din diverse motive. Făcând front comun cu partenerii din coaliţia de guvernare,
    PSD consideră că liderul său conduce un guvern legitim şi nu există nici un
    motiv legal şi constituţional care să justifice demisia.

  • 07.06.2015

    07.06.2015

    Victor Ponta — Les leaders de la coalition au pouvoir en Roumanie se sont réunis, dimanche matin, dans le contexte des demandes adressées au premier ministre social-démocrate Victor Ponta de démissionner, vu que le Parquet national anticorruption a lancé les poursuites pénales. A l’issue de cette rencontre, le premier ministre a accordé une conférence de presse. Il a déclaré qu’il faisait confiance à la justice, qu’il se considérait innocent, que son accusation serait en rapport avec le remplacement du gouvernement et qu’il contesterait l’ordonnance du Parquet. Lundi, la Commission juridique de la Chambre des députés doit annoncer dans le calendrier des débats la demande des procureurs anticorruption d’approbation du lancement des poursuites pénales vis-à-vis du chef du gouvernement pour un possible conflit d’intérêts, fait commis pendant qu’il était premier ministre. Pour les autres infractions, qui auraient été perpétrées par Victor Ponta lorsqu’il était avocat, les procureurs du parquet anticorruption n’ont pas eu besoin de l’approbation du Parlement et ont déclenché les poursuites pénales. Il est accusé de faux en écritures sous seing privé, de complicité d’évasion fiscale de façon continue et de blanchiment d’argent. Les infractions relèvent du dossier du sénateur Dan Şova (PSD), ancien ministre des Transports du cabinet Ponta, accusé de corruption dans les complexes énergétiques de Turceni et de Rovinari (sud). De ces deux compagnies, le cabinet d’avocats de Şova aurait obtenu 3,45 millions de lei (environ 750.000 euros) indus, soit une prise illégale d’intérêts. C’était dans les années 2007-2008, et une partie de cet argent aurait été empoché par l’avocat Victor Ponta, qui avait conclu, toujours en 2007, une collaboration avec l’étude d’avocats de Dan Şova. La situation politique créée par l’affaire de corruption dans laquelle le premier ministre serait impliqué sera discutée lundi dans le cadre des consultations du président Klaus Iohannis avec les partis parlementaires. Le chef de l’Etat a demandé au premier ministre de démissionner, une demande que Victor Ponta a rejetée, soulignant que seul le Parlement était en mesure de le destituer.



    TIFF — Le Grand trophée du Festival International de Film Transilvania (TIFF) a été accordé au film argentin L’Incendie, réalisé par Juan Schnitman. Le prix de la meilleure réalisation a récompensé la coproduction bulgaro-grecque La Leçon, signée par Kristina Grozeva et Petar Vlachanov. Le gala de premières de TIFF a rendu hommage à une série de personnalités du cinéma modial et roumain. Ainsi, Nastassja Kinski a reçu le prix spécial pour sa contribution au développement du cinéma mondial. Le cinéaste roumain Marin Moraru s’est vu décerner le Prix d’excellence. Le festival de film le plus important de Roumanie a réuni des centaines de projections, concerts, conférences et ateliers, et 65.000 spectateurs.



    Handball — L’équipe nationale féminine de handball de la Roumanie a disposé, à Kraljevo, 32-26, de l’équipe représentative de la Serbie, vice-championne du monde, dans un match de barrage comptant pour la qualification au Championnat du monde 2015. Le match retour aura lieu dans une semaine, à Cluj-Napoca (centre-nord). Le Championnat du monde 2015 sera accueilli par le Danemark, en décembre. A l’EURO 2014, la Roumanie a occupé la 9e place, alors que la Serbie n’a pas réussi à franchir la première phase des poules et a terminé avant-dernière. La Roumanie est la seule équipe du handball féminin qui n’a raté aucun Championnat du monde.



    Escrime — L’escrimeuse roumaine Simona Pop a conquis la médaille de bronze à l’épreuve individuelle d’épée des Championnats européens de Montreux. La Roumaine a été dépassée dans les demi-finales par l’Italienne Rossella Fiamingo, tandis que la Russe Violetta Kolobova s’est adjugé la médaille d’or. Une autre Roumaine, Ana-Maria Brânză, s’est arrêtée dans les quarts de finale, s’inclinant devant la Hongroise Szasz Emese. Cinq autres sportifs roumains sont présents dans les épreuves de sabre dames et d’épée messieurs.