Tag: energie

  • 15.10. 2013 (mise à jour)

    15.10. 2013 (mise à jour)

    Financement — La Commission européenne a repris ce mardi les paiements envers la Roumanie suspendus jusqu’il y a une semaine. Ceux-ci sont destinés aux projets financés par le biais du Programme opérationnel sectoriel «Croissance de la compétitivité». L’annonce a été faite mardi à Bruxelles par Shirin Wheeler, la porte-parole du commissaire européen chargé de la politique régionale, Johannes Hahn. Elle a précisé qu’il s’agit de 196 millions d’euros, dont le paiement avait été bloqué en décembre 2012. Cet argent ira notamment aux projets en vue dans les domaines de l’énergie et de la recherche, ainsi qu’aux PME.



    Privatisation – La vente de la compagnie ferroviaire roumaine de fret CFR Marfa, à capital d’Etat, reprendra à zéro après que la Commission de privatisation et le Groupe ferroviaire roumain, ayant remporté l’appel d’offre initial, ne sont pas arrivés à un accord visant le transfert des actions vers cette société privée. Considérée comme un objectif stratégique du Cabinet de Bucarest, la privatisation de CFR Marfa compte parmi les principaux engagements assumés par le gouvernement devant les experts du FMI et de l’UE, dans les deux accords de précaution conclus en 2011 et 2013. Toutefois, le processus a été en passe d’échouer à maintes reprises vu le faible intérêt des investisseurs et les contestations formulées par les très peu nombreux participants à l’appel d’offres à l’égard de la procédure.



    Négociations – Le ministre roumain de la Santé, Eugen Nicolaescu, s’est dit surpris par les protestations des personnels médicaux, tandis que syndicats et autorités négocient la nouvelle loi des salaires du secteur. Il n’y a aucun conflit entre les parties, a estimé le responsable. Depuis lundi, la plupart des salariés du système sont en grève japonaise pour affirmer leur mécontentement à l’égard des réformes proposées par le ministère. Ils exigent qu’au moins 6% du PIB soient alloués à la santé, ainsi que l’élaboration d’une loi leur garantissant l’indépendance professionnelle. Les personnels médicaux roumains menacent de faire la grève générale en novembre, si aucun accord n’est trouvé.



    Nomination – L’économiste Andrei Gerea, 45 ans, chef de file des députés du Parti national libéral (numéro deux de l’Union sociale-libérale, la coalition au pouvoir en Roumanie) a été désigné pour prendre le portefeuille de l’Economie. Il devrait ainsi remplacer son collègue Varujan Vosganian, qui a démissionné de son poste après que le Parquet près la Haute Cour de cassation et de justice a demandé à la chambre haute du Parlement de Bucarest son feu vert pour déclencher des poursuites pénales à son encontre. Varujan Vosganian est accusé de complot et sape de l’économie nationale. L’intérim au ministère de l’Economie est assuré par le titulaire des Finances, Daniel Chitoiu.



    Energie – Plusieurs projets énergétiques impliquant la Roumanie figurent sur une liste de la Commission européenne comportant près de 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Oettinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années. Il s’agit, entre autres, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie.



    Séisme – La Roumanie est le pays de l’UE le plus exposé aux séismes, les experts évaluant à 4 milliards 400 millions d’euros les dommages maximaux estimés pour un tremblement de terre puissant, a fait savoir Nicoleta Neagu-Rosca, directrice générale de PAID, le consortium de compagnies autorisées à délivrer des assurances couvrant les risques de catastrophes naturelles. Ces évaluations prennent en compte un séisme comparable à celui de mars 1977, à savoir supérieur à 7 sur l’échelle de Richter. Considérée comme la plus importante de l’histoire récente de la Roumanie, cette secousse a fait plus de 1500 morts, la plupart des Bucarestois, les dégâts se montant à quelque deux milliards et demi de dollars.



    Film — Poursuite à Sibiu (au centre de la Roumanie) du Festival du film documentaire Astra. Au programme de ce mardi, la première de la production « Le Combinat » (The Unit), en présence de l’auteure, Maria- Cătălina Andrieş. La projection de Drill Baby Dril, de Lech Kowalski, a été suivie par une session de questions–réponses avec la participation du réalisateur. La présente édition du festival enregistre un record d’inscriptions: 1350 films de plus de 70 pays des 6 continents et des centaines d’auteurs et des professionnels du domaine.

  • 15.10.2013

    15.10.2013

    Séisme – La Roumanie est le pays de l’UE le plus exposé aux séismes, les experts évaluant à 4 milliards 400 millions d’euros les dommages maximaux estimés pour un tremblement de terre puissant, a fait savoir Nicoleta Neagu-Rosca, directrice générale de PAID, le consortium de compagnies autorisées à délivrer des assurances couvrant les risques de catastrophes naturelles. Ces évaluations prennent en compte un séisme comparable à celui de mars 1977, à savoir supérieur à 7 sur l’échelle de Richter. Considérée comme la plus importante de l’histoire récente de la Roumanie, cette secousse a fait plus de 1500 morts, la plupart des Bucarestois, les dégâts se montant à quelque deux milliards et demi de dollars.



    Privatisation – La vente de la compagnie ferroviaire roumaine de fret CFR Marfa, à capital d’Etat, reprendra à zéro après que la Commission de privatisation et le Groupe ferroviaire roumain, ayant remporté l’appel d’offre initial, ne sont pas arrivés à un accord visant le transfert des actions vers cette société privée. Considérée comme un objectif stratégique du Cabinet de Bucarest, la privatisation de CFR Marfa compte parmi les principaux engagements assumés par le gouvernement devant les experts du FMI et de l’UE, dans les deux accords de précaution conclus en 2011 et 2013. Toutefois, le processus a été en passe d’échouer à maintes reprises vu le faible intérêt des investisseurs et les contestations formulées par les très peu nombreux participants à l’appel d’offres à l’égard de la procédure.



    Energie – Plusieurs projets énergétiques impliquant la Roumanie figurent sur une liste de la Commission européenne comportant près de 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Oettinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années. Il s’agit, entre autres, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie.



    Négociations – Le ministre roumain de la Santé, Eugen Nicolaescu, s’est dit surpris par les protestations des personnels médicaux, tandis que syndicats et autorités négocient la nouvelle loi des salaires du secteur. Il n’y a aucun conflit entre les parties, a estimé le responsable. Depuis lundi, la plupart des salariés du système sont en grève japonaise pour affirmer leur mécontentement à l’égard des réformes proposées par le ministère. Ils exigent qu’au moins 6% du PIB soient alloués à la santé, ainsi que l’élaboration d’une loi leur garantissant l’indépendance professionnelle. Les personnels médicaux roumains menacent de faire la grève générale en novembre, si aucun accord n’est trouvé.



    Nomination – L’économiste Andrei Gerea, 45 ans, chef de file des députés du Parti national libéral (numéro deux de l’Union sociale-libérale, la coalition au pouvoir en Roumanie) a été désigné pour prendre le portefeuille de l’Economie. Il devrait ainsi remplacer son collègue Varujan Vosganian, qui a démissionné de son poste après que le Parquet près la Haute Cour de cassation et de justice a demandé à la chambre haute du Parlement de Bucarest son feu vert pour déclencher des poursuites pénales à son encontre. Varujan Vosganian est accusé de complot et sape de l’économie nationale. L’intérim au ministère de l’Economie est assuré par le titulaire des Finances, Daniel Chitoiu.



    Football – La sélection nationale roumaine de football rencontre aujourd’hui, à Bucarest, l’équipe estonienne, dans son dernier match du Groupe D de la zone Europe des qualifications pour le Mondial, prévu l’année prochaine au Brésil. Avec ses 13 points, la Roumanie occupe la troisième place dans cette poule, à égalité avec la Turquie, qui jouit toutefois d’un meilleur nombre de but marqués, et loin derrière les Pays-Bas, tête de groupe, déjà qualifiés. Pour occuper la deuxième place et accéder au barrage de qualification, les Roumains doivent avoir raison des Estoniens ou encore d’un match égal ou d’une défaite de la Turquie dans son match avec les Pays-Bas. Si les Turcs remportent le match, la Roumanie doit vaincre l’Estonie avec un score de six buts plus grand que celui de la Turquie.

  • Comisia Europeană – proiecte energetice prioritare

    Comisia Europeană – proiecte energetice prioritare

    După ce a finanţat masiv studii de fezabilitate în domeniu, UE trece la etapa următoare, care implică punerea în aplicare în exerciţiul financiar 2014-2020 a mai multor proiecte în domeniul energetic. În total, în următorii şapte ani, Comisia Europeană pune la bătaie în acest scop, prin mecanismul Conectarea Europei, în jur de 5,5 miliarde de euro sub formă de finanţări efective, credite sau garanţii bancare.



    Bruxelles-ul a precizat că, pe lângă numeroase proiecte care au legătură cu energia electrică, de la depozitare la transport din marile parcuri eoliene, se vor investi bani şi în proiecte transfrontaliere care au legătură cu rezervele de gaz. Dar şi în transportul acestei resurse între state, obiectivul fiind acela de a reduce vulnerabilitatea Uniunii Europene.



    La începutul săptămânii, Comisia Europeană a analizat şi adoptat lista proiectelor de interes comun în materie de infrastructură energetică. Potrivit Bruxelles-ului, acestea au un puternic specific transfrontalier şi beneficiază de o serie de facilităţi care să le permită materializarea cât mai rapidă. Este vorba de proceduri de autorizare mult simplificate, o singură autoritate în fiecare într-un stat membru urmând să aibă competenţe şi să se ocupe de toate demersurile necesare.



    Totodată, Comisia anunţă că îşi propune ca procedura de planificare şi, apoi, autorizare să nu depăşească patru ani. În domeniul gazelor naturale, Bucureştiul este implicat în proiectele de pe coridorul sudic, unde este prevăzută construirea unei conducte de peste 1300 km între Bulgaria şi Austria, care traversează România şi Ungaria, precum şi o conductă submarină între Georgia şi România, proiect cunoscut sub numele de White Stream.



    De asemenea, pe coridorul Estic este prevăzută construcţia de rezervoare de stocare de gaze în România şi interconectarea portului românesc la Marea Neagră Constanţa, unde se va construi şi un terminal pentru gaz lichefiat de Ungaria prin Arad (vestul României), aşa numitul proiect AGRI (Azerbaijan-Georgia-Romania Interconnector). România se regăseşte şi în proiectele de interconexiuni nord-sud de energie electrică unde pe lista de proiecte figurează linii de înaltă tensiune de câteva sute de km între Varna (Bulgaria) şi Stupina şi între Reşiţa şi Pancevo (Serbia), precum şi legăturile lor din patru judeţe româneşti.



    Comisia Europeană a anunţat că va monitoriza îndeaproape punerea în aplicare a măsurilor de acordare a autorizaţiilor şi execuţia proiectelor. Lista proiectelor de interes comun va fi actualizată la fiecare doi ani, pentru a include noile proiecte necesare şi a le elimina pe cele învechite.


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  • 14.10.2013 (mise à jour)

    14.10.2013 (mise à jour)

    Energie – La Commission européenne a publié lundi la liste des quelque 250 projets prioritaires pour l’infrastructure de transport énergétique transeuropéenne pour la période 2014-2020. Selon le commissaire européen chargé de l’énergie, Günther Ottinger, la Commission devrait allouer près de six milliards à leur mise en œuvre dans les sept prochaines années ; l’argent sera disponible sous la forme de subventions effectives, prêts ou garanties bancaires. La Roumanie est impliquée dans plusieurs de ces projets. Il s’agit notamment de l’Interconnexion Azerbaïdjan-Géorgie-Roumanie visant l’acheminement du gaz azerbaïdjanais en Europe, du projet de gazoduc reliant la Bulgarie à l’Autriche via la Roumanie et la Hongrie, ainsi que du projet White Stream de construction d’une pipeline sous-marine entre la Roumanie et la Géorgie. D’autres projets impliquant la Roumanie, concernent l’amélioration des capacités de transport de l’électricité depuis et en Bulgarie et en Serbie.



    Fraude – Le nombre des fraudes aux fonds européens s’est triplé en 2012 par rapport à 2010, la plupart des malversations étant recensées dans le secteur privé, apprend-on d’une étude de la Société académique de Roumanie, publié lundi. Selon le texte, 60 cas d’escroquerie impliquant des compagnies privées ont été révélés par les enquêteurs, contre une trentaine seulement engageant des autorités publiques. L’étude fait également le compte-rendu des méthodes pour frauder les fonds européens ; parmi elles — les faux documents et déclarations, la tromperie, le changement de la destination de l’argent. Le rapport de la Société académique de Roumanie utilise des données fournies par le Département de lutte anti-fraude et par le Parquet anticorruption de Roumanie.



    Savoir-faire – Le manque de savoir-faire technique ou décisionnel est un des principaux obstacles auquel se heurtent les Roumains et les Bulgares dans la préparation de projets éligibles pour les subventions de l’UE, peut-on lire dans un rapport de la Banque européenne pour les investissements, la Banque mondiale, et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Le document remarque également les retards et les tergiversations administratifs répétés, intervenus dans le processus de validation des projets. Notons que le taux d’absorption des fonds communautaires était de 23,7% en septembre dernier, selon les chiffres du ministère des Fonds européens de Bucarest.



    Environnement – Les Etats membres de lUE ont accepté lundi de différer un vote sur la réduction des rejets de CO2 des voitures a 95 grammes par kilomètre en 2020 pour tenter de trouver un accord satisfaisant pour lAllemagne, informe l’AFP. La demande présentée par lAllemagne prévoyait de permettre aux constructeurs de ne réaliser que 80% de lobjectif de réduction en 2020 et darriver par étapes a 100% en 2024. Dans le même temps, les ministres de l’environnement des 28, dont la Roumaine Rovana Plumb, se sont penchés sur les modifications à apporter au règlement du transfert des déchets.

  • 26.08.2013

    26.08.2013

    Egypte – Le ministère roumain des affaires étrangères recommande à ses ressortissants d’éviter les déplacements en Egypte avant le rétablissement de la sécurité dans ce pays. Plusieurs régions d’Egypte sont toujours en état d’urgence, où le couvre-feu est également instauré. La situation demeure tendue dix jours après l’intervention de l’armée contre les manifestants islamistes qui réclamaient la réinstallation du président déchu Mohamed Morsi. Plus d’un millier de personnes ont péri dans les affrontements de ces derniers jours



    Transports – En Roumanie, la juriste Ramona Manescu, 41 ans, députée européenne depuis 2007, est la nouvelle ministre des Transports. Elle est membre du PNL depuis 1990. Les fonctions de ministre des Transports sont vacantes depuis juillet dernier, lorsque le libéral Relu Fenechiu a démissionné après avoir été condamné à une peine de prison ferme pour abus de fonctions. L’intérim a été assuré par le premier ministre social démocrate Victor Ponta.



    Visite – Le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta, entame une visite de deux jours en République de Moldova, où il s’entretiendra avec son homologue moldave, Iurie Leanca. Il doit participer à l’inauguration des travaux du gazoduc Iasi — Ungheni et au Forum de l’Eurorégion Siret-Prut-Dniestr, événement auquel sera présent aussi le commissaire européen à l’énergie, Gunther Oettinger. Les ministres qui accompagnent Victor Ponta dans cette visite aborderont avec leurs homologues de Chisinau des sujets relevant des domaines de l’énergie, de l’éducation ou de la santé. Parmi eux, l’interconnexion des réseaux énergétiques des deux pays, les bourses d’études accordées par la Roumanie aux jeunes moldaves, la mise en place des services mobiles d’urgence en République de Moldova sur le modèle du SMURD roumain.



    Négociations – Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, fera, mardi, une visite officielle à Kiev, accompagné par une délégation gouvernementale. Le but de la visite, c’est la reprise des négociations avec la partie ukrainienne afin de récupérer les dépenses faites par la Roumanie lors de sa participation à la construction du Combinat minier d’amélioration des minerais acides de Krivoï Rog. Le montant est estimé à 1 milliard de dollars. La construction de l’usine de Krivoï Rog a commencé en 1983, du temps de l’Union soviétique, avec l’ancienne RDA, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie et la Roumanie. En 1990, les travaux, réalisés à 70%, ont été arrêtés, et l’investissement est en conservation depuis 1998, dans l’attente de trouver une solution.



    Baccalauréat – En Roumanie, plus de 55 mille candidats à la deuxième session du baccalauréat ont passé ce lundi la première épreuve écrite de cet examen, celle de langue et de littérature roumaines. La session d’été du bac a été émaillée par un grave incident, à savoir la fraude découverte dans un lycée de Bucarest, dont la proviseure a d’ailleurs été arrêtée. Selon les données fournies par le Ministère de l’Education, le taux de réussite à la session juin-juillet du bac a été de 55%.



    Poésie – L’écrivain roumain Mircea Cartarescu est le gagnant du Grand prix de poésie au Festival littéraire international qui a ouvert ses portes lundi en Serbie, à Novi Sad. Selon les déclarations du directeur du festival, la distinction n’est pas attribuée seulement à un écrivain d’exception, mais aussi à une culture vitale, qui s’est réaffirmée en dépit de toutes les difficultés. La Roumanie est représentée au festival de Novi Sad par six poètes et une anthologie de poésie contemporaine.



    Cinéma – La Roumanie participe jusqu’au 31 août au Festival du Film de Douarnenez en France avec une série de productions cinématographiques déjà primées lors de grandes compétitions. Parmi ces films, “La position de l’enfant”, du réalisateur Calin Peter Netzer, qui a remporté L’Ours d’or à la Berlinale de cette année. Ce même film est la proposition de la Roumanie aux Oscars 2014, dans la catégorie meilleur film en langue étrangère”. Un autre film roumain participant au festival de Douarnenez est “Au delà des collines”, de Cristian Mungiu, prix du meilleur scénario et de la meilleure interprétation féminine au festival de Cannes en 2012.

  • 23.08.2013

    23.08.2013

    Energie – Le ministère roumain de l’Economie a transmis à la Commission européenne une pré-notification concernant les modifications apportées à la législation dans le domaine des énergies renouvelables, mais n’a reçu aucune demande de Bruxelles relative à une plainte des investisseurs. Le gouvernement de Bucarest a décidé de reporter à mars 2017 la délivrance de certificats verts pour les centrales hydroélectriques et solaires, et à janvier 2018 pour les centrales éoliennes. La décision a mécontenté le géant énergétique CEZ, le plus gros investisseur dans le domaine des énergies renouvelables de Roumanie, qui a affirmé avoir adressé une plainte à la Commission suite à cette mesure prise par Bucarest, vu qu’elle pourrait lui causer un maque à gagner supérieur à 66 millions d’euros par an. Le groupe tchèque est entré sur le marché roumain en 2005, et y a investi plus d’un milliard d’euros.



    UNICEF — Les représentants du gouvernement roumain et de l’UNICEF ont signé vendredi à Bucarest le Plan d’action du programme de l’Agence humanitaire des Nations Unies en Roumanie pour la période 2013-2017. Le document en question concerne les enfants vulnérables vivant au sein des communautés isolées des zones rurales et urbaines très pauvres. En outre, le programme prévoit pour la première fois l’appui direct par l’UNICEF au processus de planification et de mise en place des fonds européens par la Roumanie, dans le but de réduire les iniquités par rapport aux autres pays de l’UE.



    Dacia – La marque roumaine Dacia, appartenant au groupe français Renault, connaît la hausse des ventes la plus forte en Europe, en dépit de la crise, lit-on dans le Financial Times. Selon la publication britannique, le principal atout des modèles Dacia, c’est le prix. Au Royaume Uni, par exemple, un SUV Dacia Duster coûte 9.000 ­£, soit près de 4.000 de moins que les marques concurrentes. Renault a informé que sa marque roumaine avait rapporté 24% des ventes du groupe en Europe, les six premiers mois de l’année en cours. En Roumanie, la capacité de production est de 350.000 véhicules par an, et l’automobile portant le numéro 5 millions serra fabriquée début 2014. L’activité des usines Dacia a généré, en 2012, 7,7% des exportations de la Roumanie. Cette performance classe Dacia première parmi les compagnies exportatrices du pays.



    Monument – Un monument à la mémoire des victimes des déportations staliniennes a été inauguré à Chisinau, capitale de la République de Moldova. Selon les documents, dans les années ’40 et ’50, plus de 60.000 personnes ont été déportées, à plusieurs reprises, en Sibérie et au Kazakhstan. Cette campagne a visé les Roumains de Bessarabie, appellation historique de la République de Moldova, après son occupation par l’Union soviétique. L’événement a une charge symbolique importante, vu qu’en République de Moldova, même après la proclamation de son indépendance en 1991, certaines forces ont tenté de nier les crimes perpétrés par le régime soviétique.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Simona Halep, 21 ans, s’est qualifiée dans les demies de finale du tournoi de New Haven (USA), doté de prix de 690.000 $, après avoir vaincu en quarts de finale, la Russe Ekaterina Makarova, numéro 26 mondial WTA. Simona, numéro 23 mondial, s’est assuré un chèque de 33.000 $ et 200 points WTA. Dans l’avant-dernier acte de la compétition, elle aura pour adversaire la gagnante du match entre la Danoise Caroline Wozniacki (8e dans la hiérarchie mondiale) et l’Américaine Sloane Stephens (17e WTA). Simona Halep est en excellente forme, avec trois tournois du circuit mondial gagnés cette année.



    Football – Toutes les trois équipes roumaines qui ont joué jeudi le match aller du barrage de qualification dans les poules de la Ligue Europa ont perdu. Astra Giurgiu a cédé en déplacement, 2-0, face aux Israéliens de Maccabi Haïfa, Pandurii Târgu Jiu s’est inclinée 1-0 à domicile devant les Portugais de Sporting Braga, alors que Petrolul Ploiesti a essuyé une défaite en déplacement, devant Swansea City (Pays de Galles), par 5-1. Dans le barrage pour la qualification dans les groupes de la Ligue des champions, la championne de Roumanie, Steaua Bucarest, a fait match égal (1 partout), mercredi, à domicile, contre la championne de Pologne, Legia Varsovie. Les matchs retour auront lieu la semaine prochaine.

  • 22.08.2013

    22.08.2013

    Egypte – Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlatean, a souligné, dans une conversation téléphonique avec son homologue égyptien, Nabil Fahmy, que la seule option réelle pour solutionner la crise, c’est de lancer le processus de réconciliation nationale et d’inviter toutes les forces politiques d’Egypte au dialogue. La discussion a été occasionnée par la réunion extraordinaire du Conseil Affaires étrangères des Etats de l’UE qui a eu lieu à Bruxelles le 21 août, consacrée aux récénts événements d’Egypte. D’autre part, l’ancien président égyptien Hosni Moubarak a été transféré jeudi de la prison à un hôpital militaire du Caire où il recevra des soins de santé, qprès qu’un tribunal eut décidé de sa mise en liberté conditionnelle. Hosni Moubarak, 85 ans, à la santé fragile, doit être jugé en appel pour crimes perpétrés durant la répression de la révolte de 2011 et en première instance pour deux affaires de corruption.



    Défense – Le terrorisme et la guerre cybernétique sont les dangers les plus importants qui menacent l’humanité, et l’OTAN et l’UE doivent prendre des mesures pour se créer des systèmes de défense, a déclaré le ministre roumain de la Défense, Mircea Dusa, pour l’agence de presse Agerpres. Il a expliqué que, sur le fond de la crise économique de ces derniers temps, chaque pays a réduit ses budgets pour la défense et que chaque Etat et organisme — qu’il s’agisse de l’OTAN ou de l’UE — tente de repenser ses capacités militaires. Dusa a annoncé qu’en décembre, au Conseil européen, l’Union doit définir clairement ses capacités militaires pour la période à venir.



    Coopération – Le chef de la diplomatie de Bucarest, Titus Corlăţean, a annoncé jeudi qu’une réunion commune des gouvernements roumain et bulgare serait organisée l’automne prochain à Sofia. Il a fait cette déclaration à l’issue de sa rencontre avec son homologue bulgare Kristian Vigenin qui fait jeudi et vendredi une visite en Roumanie. Titus Corlăţean a mentionné l’importance de développer des projets transfrontaliers tels que la construction d’autres ponts sur le Danube, en dehors des deux déjà existants, mais aussi les échanges commerciaux, qui ont dépassé les 3 milliards d’euros en 2012. Les deux ministres ont exprimé leur confiance qu’une décision sera prise au Conseil JAI avant la fin de l’année, au sujet de l’admission des deux Etats dans l’espace Schengen en deux étapes. La première serait celle des postes frontière sur les aéroports. En mars dernier, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Finlande se sont opposés à l’accession de la Roumanie et de la Bulgarie à Schengen, invoquant l’insuffisance des réformes en matière de justice.



    Energie – Le géant énergétique CEZ, le plus gros investisseur dans le secteur des énergies renouvelables de Roumanie, a déposé une plainte auprès la Commission européenne, contre la décision des autorités de Bucarest de reporter la délivrance d’un certain nombre de certificats verts ; la compagnie tchèque craint des pertes estimées jusqu’à 66 millions d’euros par an à cause de cette mesure, informe l’agence Reuters. Le tchèque CEZ, exploitant, en Roumanie, de la plus grande ferme éolienne terrestre d’Europe, affirme que la modification à effet rétroactif des règles du jeu est contraire aux principes de base de l’UE. Le gouvernement de Bucarest a décidé, en juin dernier, de reporter à mars 2017, la délivrance de certificats verts pour les centrales hydroélectriques et solaires, et à janvier 2018 pour centrales éoliennes. En attendant, la valeur de ces certificats pourrait baisser, tandis que la Roumanie pourrait continuer à modifier le régime de soutien.



    Tennis – La joueuse de tennis roumaine Simona Halep, numéro 23 mondial WTA, s’est qualifiée dans les quarts de finale du tournoi de New Haven (USA), après avoir vaincu la numéro 20, l’espagnole Carla Suarez Navarro. En quarts de finale, l’adversaire de Simona Halep sera la joueuse russe Ekaterina Makarova (Rusia). La Roumaine traverse actuellement une période faste, avec trois tournois gagnés cette année.



    Foot – L’équipe de football championne de Roumanie, Steaua Bucarest, a fait match égal (1 partout) hier soir, à domicile, contre la championne de Pologne, Legia Varsovie, dans l’étape éliminatoire de la Ligue des champions. Le match retour sera disputé mardi prochain à Varsovie. Aujourd’hui, trois autres équipes roumaines – Astra Giurgiu, Pandurii Târgu Jiu et Petrolul Ploiesti — joueront dans la manche aller de l’étape éliminatoire de la League Europa. Leurs adversaires sont, respectivement, Maccabi Haïfa (Israël), Sporting Braga (Portugal) et Swansea City (Pays de Galles).

  • Est-il nécessaire de développer le programme nucléaire en Roumanie?

    Est-il nécessaire de développer le programme nucléaire en Roumanie?

    Le rapport annuel du Conseil Global de l’Energie éolienne concernant l’évolution de cette industrie place la Roumanie en 10e position parmi les marchés spécialisés de l’UE. La plupart des parcs éoliens se trouvent en Dobroudja, région dans le sud-est de la Roumanie, à des altitudes de 100 mètres environ où la vitesse moyenne du vent est de 7,2 m/seconde. La région est plate et faiblement peuplée et donc idéale pour la mise en place des parcs éoliens, peut-on lire dans le document, selon lequel cette industrie s’est beaucoup développée en Roumanie, ces trois dernières années. N’empêche, l’énergie éolienne ne représente que 5% de la production énergétique nationale. La Roumanie continue d’utiliser notamment des combustibles fossiles, 50%, de l’énergie hydroélectrique (25%) et de l’énergie nucléaire (20%).



    Bien qu’elle ne laissent pas de côté le développement des sources d’énergie alternative, les autorités de Bucarest concentrent leurs efforts sur le développement de l’énergie nucléaire. 440 réacteurs nucléaires sont recensés à travers le monde, 60 autres sont en train d’être construits et près de 80 devraient être érigés à l’avenir. Présent à un symposium sur ce thème, organisé à Bucarest par l’Agence Nucléaire pour les Déchets radioactifs, le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, a expliqué pourquoi la Roumanie avait besoin d’élargir son programme nucléaire. Et ce bien que, à présent, la consommation énergétique soit en baisse au niveau national. Varujan Vosganian: « L’économie roumaine aura une évolution qui exigera une hausse de la consommation dans la période à venir, vu que le système énergétique doit tenir compte de la stratégie énergétique, de celle de ré industrialisation ainsi que de la stratégie visant la croissance de la compétitivité. Dans ce contexte, développer la production d’énergie électrique nucléaire serait une démarche appropriée».



    Pour ce faire, la Roumanie cherche à présent des investisseurs pour les réacteurs III et IV de la Centrale nucléaire de Cernavoda. Datant du début des années ’80, le plan initial de la centrale, la seule dans la région à utiliser la technologie canadienne du type CANDU, prévoyait la construction de 5 unités. A présent seules les unités I et II, datant de respectivement 1996 et 2007, sont en usage. Par ailleurs, Bucarest a renoncé à son intention de construire à l’avenir une nouvelle centrale nucléaire au centre du pays. De l’avis des experts, poursuivre le développement du programme visant la production d’énergie nucléaire est essentiel pour la Roumanie. Et ce parce que les centrales thermoélectriques actuelles, dont les coûts de production sont assez bas, ne pourront plus fonctionner en l’absence d’une retechnologisation majeure.



    Varujan Vosganian s’attarde sur le développement du programme de production de l’énergie atomique et électrique : « Bien qu’elle fasse partie de l’UE, la Roumanie doit se considérer, compte tenu du flux d’investissements, du commerce international et de la stratégie énergétique, partie intégrante du monde entier. Or, dans ce contexte, je dois préciser que les programmes nucléaires à caractère pacifique sont en plein essor. Donc pourquoi ne pas s’impliquer ? L’énergie nucléaire assure notre indépendance énergétique, il s’agit d’une énergie relativement bon marché. En plus, la Roumanie dispose de la main d’œuvre nécessaire, des technologies avancées ce qui nous permettraient de contrecarrer à moyen terme l’épuisement d’autres ressources. A l’heure où l’on parle, on n’a pas de dimension concrète vis-à-vis des perspectives du programmes nucléaire ».



    La question de l’énergie nucléaire est un thème constant de débat tant en Europe qu’ailleurs dans le monde, surtout depuis l’accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima, suite au tremblement de terre et du tsunami de 2011. Des pays tels comme l’Allemagne ou l’Italie souhaitent renoncer à ces centrales, alors que certains autres Etats européens continuent d’investir massivement dans ce secteur. Teodor Chirica, représentant du Forum Atomique Roumain : « La Finlande, la France et la Slovaquie ont mis en place des projets nucléaires. La Grande Bretagne reste un promoteur et innovateur en matière de recherche de nouveaux instruments de financement des projets nucléaires et des projets non carbone, en général. S’y ajoute la Pologne, qui nourrit de grosses ambitions dans le secteur du nucléaire pour des raisons relevant surtout de la sécurité énergétique. Dans le processus de développement du domaine, on constate les difficultés financières qui grèvent les grands projets énergétiques, nucléaires compris, difficultés accentuées par la crise financière mondiale ».



    De l’avis de Teodor Chirică, la Roumanie devrait se joindre aux 13 Etats de l’UE intéressés à poursuivre le développement des programmes de production d’énergie nucléaire et à établir des positions communes qui soient soumises par la suite aux autorités de Bruxelles. (trad. : Alexandra Pop, Ioana Stancescu)

  • Nouvelles privatisations dans le secteur énergétique

    Nouvelles privatisations dans le secteur énergétique

    Fin juillet, les autorités de Bucarest ont convenu avec le FMI d’un nouvel accord de type préventif sur 2 ans, sur une ligne de crédit de 4 milliards d’euros. L’accord doit être examiné par la direction de l’institution financière internationale cet automne.



    Une variante de la lettre d’intention que le gouvernement de Bucarest doit envoyer à Washington circule déjà dans la presse roumaine. Elle comporte tous les éléments sur lesquels les parties sont tombées d’accord : nouvelles promesses, mais aussi anciennes promesses non honorées, privatisations et cotations en bourse.



    Pour résumer en peu de mots le contenu de cette lettre, disons que le gouvernement de Bucarest pourrait majorer l’impôt sur la propriété pour les personnes physiques possédant un appartement qu’ils utilisent à des fins commerciaux. Le gouvernement s’engage également à : modifier le Code de l’insolvabilité et le Code civil, réorganiser l’Agence nationale d’administration fiscale (ANAF), accélérer la réforme du système sanitaire, continuer le processus de libéralisation des prix de l’énergie et du gaz, coter en bouse les paquets minoritaires des compagnies d’Etat et réaliser certaines privatisations. Il s’agit entre autres de la compagnie de fret ferroviaire « CFR Marfă », dont le cabinet de Bucarest s’engage à vendre le paquet majoritaire d’actions.



    Voici d’autres détails concernant notamment le secteur énergétique : prévues initialement pour cette année, les grandes cotations en bourse ont été reportées à l’automne 2014. C’est le cas, entre autres, de la compagnie Nuclearelectrica, productrice d’énergie électrique et thermique ainsi que de combustible nucléaire. Avant la fin septembre 2014, l’Etat, qui détient environ 90% des actions de cette compagnie, lancera un premier appel d’offres public pour 10% des actions. Pour la compagnie Romgaz — qui est le plus grand gazier de Roumanie, placé actuellement sous le contrôle du ministère de l’Economie, l’appel d’offres sera lancé fin octobre prochain.



    Avant l’été 2014, un appel d’offres public sera également lancé pour la privatisation de la société Electrica — une des plus importantes du domaine de l’approvisionnement en électricité et des services énergétiques de Roumanie. Reste à résoudre le problème de 5 des 6 sociétés régionales de maintenance de la compagnie. 3 d’entre elles, sinon toutes, devraient être séparées de la société Electrica et fermées. Quant à Hidroelectrica — qui occupe la 7e place parmi les 100 sociétés roumaines les plus profitables — une décision gouvernementale sera adoptée en vue de coter en bourse un paquet de10% des actions, le processus étant prévu fin juin 2014. (trad. : Dominique)

  • 06.08.2013

    06.08.2013

    Croissance – La Banque centrale de la Roumanie a amélioré sa prévision de croissance pour l’année en cours à plus de 2%, suite à l’évolution des exportations, de la production industrielle et à une bonne année agricole, a annoncé le gouverneur de la Banque nationale, Mugur Isărescu. D’autre part, entrée en vigueur de la décision de l’institution d’abaisser son taux directeur à 4,5% – le plus bas jusqu’à maintenant. Selon Mugur Isărescu, la décision a été prise afin de donner un coup de pouce au crédit. Le gouverneur a exprimé son espoir qu’à partir de septembre, la baisse du taux directeur soit perceptible dans les taux d’intérêt pratiqués par les banques pour le crédit.



    Salaire – En Roumanie, le salaire moyen net s’est chiffré, en juin dernier, à un peu plus de 1600 lei, l’équivalent de 360 euros, selon les données publiées par l’Institut national des statistiques. Les meilleurs revenus ont été constatés dans l’extraction du pétrole et du gaz — environ 900 euros, et les plus bas — dans le domaine de l’hôtellerie — restauration, 200 euros. Par rapport à juin 2012, le salaire moyen net a connu un bond de 3,5%.



    Sondage – Selon un sondage d’opinion rendu public aujourd’hui, 43% des Roumains sont favorables à l’indépendance énergétique du pays, même si cela peut entraîner certains risques pour l’environnement. Ils pensent que la baisse des prix et la création de nouveaux emplois compteraient parmi les effets positifs de l’indépendance énergétique. En échange, 36,5% des sujets questionnés préfèrent que la Roumanie ne soit pas indépendante du point de vue énergétique, si cela peut présenter des risques pour l’environnement.



    Justice – L’ancien député social-démocrate Gabriel Bivolaru, retenu par les procureurs roumains, a été placé en détention provisoire pour 29 jours. Il est accusé de vol de produits pétroliers, d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent. En 2004, Gabriel Bivolaru avait été condamné à 5 années de prison ferme pour avoir porté un préjudice de 50 millions d’euros à une banque. Il a bénéficié d’une libération conditionnelle pour bonne conduite en 2007, deux années plus tôt que prévu.



    Festival – Le nouveau long métrage du réalisateur roumain Corneliu Porumboiu Quand le soir tombe sur Bucarest ou Métabolisme” sera présenté en première mondiale à la 66ème édition du Festival de film de Locarno, en Suisse qui se déroulera du 7 au 17 août. Selon un communiqué de la CE, le film roumain figure parmi les 4 longs métrages dans la sélection officielle du festival ayant bénéficie d’un financement européen à travers le programme MEDIA. Parmi les nombreux invités de prestige, mentionnons Faye Dunaway, Jacqueline Bisset, Anna Karina, Douglas Trumbull, Werner Herzog et Otar Iosseliani.



    Football – La championne de Roumanie au football, Steaua Bucarest, joue ce soir à domicile contre Dinamo Tbilissi, dans le match retour du troisième tour préliminaire de la Ligue des champions. Dans le match aller, Steaua s’est imposé 2 à 0, et l’équipe a de grandes chances de se qualifier pour l’étape des éliminations directes, où elle devrait être tête de série. Dans l’autre compétition continentale, l’Europa League, trois autres représentantes de la Roumanie – Petrolul Ploieşti, Pandurii Tg. Jiu et Astra Giurgiu rencontreront Vitesse Arnhem (Pays-Bas), Hapoel Tel-Aviv (Israël), et respectivement AS Trencin (Slovaquie).

  • Rumänien und Spanien besprechen strategische Partnerschaft

    Rumänien und Spanien besprechen strategische Partnerschaft

    Rumänien und Spanien haben viele gemeinsame Projekte und wollen weitere Partnerschaften entwickeln, erklärte Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta nach dem Treffen in Madrid mit seinem spanischen Gegenüber Mariano Rajoy. Ponta und Rajoi haben in der spanischen Hauptstadt eine strategische Partnerschaft besprochen. Zur Sprache kam zudem die aktuelle Situation der rumänischen Gemenschaft in Spanien.



    Ein wichtiges Diskussionsthema war au‎ßerdem das Interesse der spanischen Unternehmen für die Abschöpfung von EU-Fördermitteln durch Rumänien im Rahmen von neuen Projekten im Infrastruktur-, Telekommunikations-, und Energiebereich. Auf der Pressekonferenz nach dem Treffen der beiden Minister fragte der Radio-Rumänien-Korrespondent den spanischen Regierungschef, ob sein Kabinett von Rumänien gefordert habe, den spanischen Unternehmen, die sich an öffentlichen Ausschreibungen beteiligen, Vorteile oder Garantien einzuräumen.



    Mariano Rajoy dazu: “Ich habe vom rumänischen Premierminister keine Garantien gefordert und zukünftig werde ich das auch nicht tun. Es gibt viele spanische Unternehmen, die im Infrastruktur -, Energie- und Bankenbereich gute Ergebnisse erzielen. Diese Unternehmen wollen in neue Projekte investieren. Sie wollen nicht nur Vorteile auf legalen Wegen erzielen, sondern auch ihren Beitrag zum Wohlstand der anderen, in diesem Fall des rumänischen Volkes bringen.”



    Offiziellen Angaben zufolge lebt derzeit in Spanien eine Million Rumänen. Für die rumänischen Bürger sollen ab 1. Januar 2014 die letzten Schranken der Arbeitnehmerfreizügigkeit auf dem spanischen Arbeitsmarkt fallen. Rumänien habe diesbezüglich die volle Unterstützung der spanischen Regierung für seine in Spanien tätigen Bürger und ihre Familien bekommen, bekräftigte Premierminsiter Victor Ponta bei dem Treffen in Madrid. Zudem gab es in Spanien nie eine Diskriminierungspolitik gegen rumänische Bürger, wie in anderen Ländern, so Victor Ponta anschlie‎ßend.



    Ministerpräsident Ponta: “Meiner Ansicht nach ist es sehr wichtig, dass es in Spanien in dieser schweren Zeit der letzten anderthalb Jahre keine Diskriminierung der Rumänen gab. Spanien ist ein Vorbild für Integration und Gleichbehandlung. Ich finde besonders lobenswert, dass die beiden Regierungen durch eine enge Zusammenarbeit ein gemeinsames Projekt im Bildungsbereich angesto‎ßen haben. Es handelt sich um das wohlbekannte Programm, das die rumänische Sprache und Kultur in spanischen Schulen fördert. Die Bukarester Exekutive muss künftig in solche Projekte mehr investieren.”



    Ministerpräsident Victor Ponta ist in Madrid auch vom spanischen König Juan Carlos empfangen worden. Auf der Agenda des Spanienbesuches standen zudem Gespräche mit Vertertern der rumänischen Gemeinschaft in Madrid. Ponta kam au‎ßerdem mit dem Chef der Regionalexekutive der Gemeinde Madrid, Ignacio Gonzalez, zusammen, der beim Treffen mit dem rumänischen Ministerpräsidenten den wesentlichen Beitrag der rumänischen Arbeitnehmer zur Bewältigung der aktuellen Wirtschaftskrise in Spanien betonte.


  • Vers un partenariat stratégique roumano-espagnol

    Vers un partenariat stratégique roumano-espagnol

    La Roumanie et l’Espagne déroulent nombre de projets communs et souhaitent développer d’autres partenariats aussi — déclarait le Premier ministre roumain, Victor Ponta, à l’issue de sa rencontre à Madrid avec son homologue espagnol, Mariano Rajoy. Les deux hommes avaient auparavant évoqué la conclusion d’un partenariat stratégique entre les deux pays ainsi que la situation de la communauté roumaine d’Espagne. Et pas en dernier lieu, ils ont parlé de l’implication des sociétés espagnoles dans des projets d’infrastructure ou dans les secteurs énergétique et des télécommunications, projets qui améliorent le taux d’absorption des fonds structurels de la Roumanie.



    Lors d’une rencontre avec les journalistes, Radio Roumanie a demandé au chef du gouvernement espagnol s’il avait sollicité à la partie roumaine des facilités ou des garanties pour les compagnies ibériques participant aux appels d’offres. Mariano Rajoy : « Je n’ai pas demandé des garanties à votre premier ministre et d’ailleurs je ne dois pas le faire. Je lui ai tout simplement dit que nos sociétés sont compétitives dans des secteurs tels l’infrastructure, les chemins de fer, les autoroutes, l’énergie ou les banques. Nos compagnies souhaitent investir en Roumanie. Elles souhaitent naturellement obtenir du profit, mais elles entendent également contribuer à la richesse et à la prospérité de tous — dans ce cas, des Roumains tout particulièrement ».



    Selon les statistiques officielles, un million de Roumains environ vivent actuellement en Espagne. A compter du premier janvier 2014, le marché de l’emploi de ce pays sera complètement ouvert aux ressortissants roumains souhaitant y travailler. Le chef du gouvernement roumain, Victor Ponta, a d’ailleurs précisé que Madrid avait entièrement soutenu l’installation et l’intégration des immigrants roumains et de leurs familles. De plus, l’Espagne n’a jamais promu de politique ni toléré des discours discriminatoires, comme cela est arrivé dans d’autres pays européens, a indiqué Victor Ponta : « Le fait que depuis un an et demi, dans une période difficile, il n’ait jamais existé de discrimination à l’encontre des Roumains — c’est très important, à mon avis. L’Espagne est un modèle d’intégration et de traitement égal. Il faut mettre en avant les réalités positives — nous déroulons des programmes éducatifs spéciaux, de coopération intergouvernementale, tel ce projet visant l’enseignement de la langue et de la culture roumaines en Espagne. Cela ne dépend que du gouvernement roumain que d’investir davantage dans de tels programmes ».



    Avant d’être reçu par le roi Juan Carlos, le Premier ministre roumain a également rencontré les représentants de la communauté roumaine de la région madrilène. Le chef de l’exécutif régional, Ignacio Gonzalez, y était également présent — il a remercié, à l’occasion, la communauté roumaine de Madrid pour sa contribution à la sortie de crise de l’Espagne.

  • Roumanie – Moldova, relations fraternelles

    Roumanie – Moldova, relations fraternelles

    La visite du président Traian Bàsescu en République de Moldova a marqué une coïncidence : le 17 juillet, 577 ans s’accomplissaient depuis la première attestation documentaire de la capitale Kichinev qui, entre les deux guerres mondiales, était la deuxième ville de Roumanie. D’ailleurs, les discussions du président roumain avec son homologue moldave, Nicolae Timofti, avec le speaker du Parlement, Igor Coman, ainsi qu’avec le premier ministre Iurie Leancà, ont été placées sous le signe des relations fraternelles entre Moldova et la Roumanie, unies le long de l’histoire par leur communauté de langue et de nation.



    Ce fut la première visite à Kichinev de Traian Bàsescu après le remplacement du pouvoir des communistes en 2009, ce qui a contribué à la relance de la feuille de route de Moldova dans sa voie vers l’intégration européenne. Traian Bàsescu : « C’est une visite qui a lieu à un moment extrêmement important pour l’avenir de la République de Moldova qui se prépare pour le plus grand succès du processus déclenché il y a plusieurs années, celui du rapprochement et de la future intégration dans l’Union Européenne, notamment par les accords parafés d’association à l’UE et de libre échange. »



    La cérémonie aura lieu à Vilnius au mois de novembre. Le président roumain a souligné que la Roumanie continuera d’être « l’avocat sans réserves » de la Moldova dans son processus d’intégration européenne tout en respectant l’option de neutralité militaire de l’Etat voisin à la rivière de Prut. Et de mentionner que Moldova ne saurait pas achever les négociations d’adhésion intégrale avant de résoudre le problème du statut de la région séparatiste Transnistrie.



    A son tour, le président Nicolae Timofti a remarqué l’intérêt de la partie roumaine vis-à-vis du développement des relations bilatérales : « J’ai remercié le président Bàsescu pour l’appui précieux et pour son implication personnelle dans les projets d’importance stratégique pour la république de Moldova, notamment : l’intégration européenne, la sécurité énergétique et la solution du conflit de Transnistrie. »



    A remarquer parmi les projets communs : le gazoduc transfrontalier Iasi-Ungheni, trois lignes de haute tension et deux ponts enjambant le Prut qui contribueront à la diversification des sources d’énergie et au rapprochement de Moldova de l’espace européen. Il faut rappeler les projets du domaine de l’éducation dont l’octroi, cette année, de 6000 bourses en Roumanie pour les élèves et étudiants moldaves, le don d’un million de livres en roumain pour les écoles et les bibliothèques de Moldova et la reprise de la diffusion de la chaîne publique roumaine de télévision sur le territoire de Moldova.

  • România-Moldova,  o relaţie matură şi concretă

    România-Moldova, o relaţie matură şi concretă

    Premierul Republicii Moldova, Iurie Leanca a facut, marti, o vizita-surpriza in Romania, prima de la numirea sa in functia de sef al guvernului de la Chisinau. El s-a intalnit, la Bucuresti, cu omologul roman, Victor Ponta, pe care l-a invitat sa asiste, la 27 august, când este sarbatorita independenta Republicii Moldova faţă de fosta URSS (in 1991), la începerea lucrărilor de construcţie a gazoductului Iaşi (Romania)-Ungheni (Republica Moldova). La eveniment ar urma să ia parte şi Guenther Oettinger, comisarul european pentru energie. Iurie Leanca : “Sunt convins ca discutiile pe care le-am avut ne vor permite ca pe 27 august, atunci cand vom sarbatori, la Chisinau, Ziua Independentei, impreuna cu domnul prim-ministru si in prezenta comisarului UE pentru energie, sa putem lansa constructia gazoductului Iasi – Ungheni”.



    In afara interconectarii energetice moldo-romane, care va oferi Republicii Moldova o alternativa la sursele de energie din spatiul CSI, cei doi demnitari au discutat şi despre refacerea unor poduri peste raul de frontiera Prut, poduri distruse în cel de-al doilea război mondial. Proiectele pe această temă ar putea fi analizate şi într-o viitoare şedinţă comună a guvernelor de la Bucureşti şi Chişinău.



    Perpetuind un deziderat al relatiilor bilaterale fratesti (Republica Moldova, cu o populatie din care 65% sunt etnici romani, reprezinta, oarecum, teritoriul provinciei istorice romanesti Basarabia), premierii Ponta si Leanca au convenit că relatia dintre Romania si Republica Moldova trebuie sa treaca de la stadiul declaratiilor frumoase, care nu au lipsit in ultimii 20 de ani, la lucruri concrete.



    Pe de alta parte, seful Executivului de la Bucuresti a reiterat sprijinul ferm al Romaniei pentru obiectivele de integrare europeana ale Republicii.Moldova. Victor Ponta: ”Summitul UE de la Vilnius, din aceasta toamna, va fi un moment extrem de important si sunt absolut convins ca pentru Republica Moldova deciziile adoptate acolo din partea UE vor fi deciziile cele mai bune. “



    La summitul din capitala Lituaniei, Republica Moldova aşteaptă parafarea acordului de acordului de asociere la UE şi discutarea noii etape privind liberalizarea regimului de vize cu Uniunea. Potrivit ambilor premieri, discutiile de la Bucuresti au fost pragmatice si au demonstrat existenta unor puncte de vedere comune care vor sta, in continuare, la baza relatiilor dintre cele doua state.

  • Vizita în China a premierului român

    Premierul român, Victor Ponta, a făcut o vizită oficială în China, ultima etapă a unui turneu asiatic menit să atragă cât mai multe investiţii în România. Scopul a fost atins, declară oficialul român, potrivit căruia reacţiile politice şi cele din zona economică au fost pozitive.



    La Beijing, oficialul român a propus preşedintelui chinez, Xi Junping şi premierului Li Keqiang, ca relaţia dintre România şi China să fie ridicată la nivel de parteneriat strategic, în contextul în care anul viitor vor fi marcaţi 65 de ani de relaţii diplomatice bilaterale. Parteneriatul strategic ar putea fi încheiat în mai multe domenii, pornind de la colaborarea politică, economică dar şi culturală, a precizat Victor Ponta. Înalţii responsabili chinezi au apreciat propunerea, care va fi introdusă în procedură de analiză, o etapă diplomatică standard pentru finalizare. Discuţiile dintre oficialii români şi chinezi s-au axat pe intensificarea cooperării economice a celor două ţări, în condiţiile în care China, a doua economie mondială, a anunţat pentru acest an investiţii record în Europa.



    China este pregătită să lucreze cu România pentru a extinde schimburile şi cooperarea în toate domeniile şi pentru a promova legăturile bilaterale la un nivel mai înalt, a apreciat preşedintele chinez.



    La rândul sau, Victor Ponta a spus că România este dispusă să fie cel mai bun partener de cooperare al Chinei în Europa. Şeful Executivului de la Bucureşti a pledat şi pentru un acces mai uşor pe piaţa Chinei a produselor agroalimentare din România. Alte proiecte de colaborare vizează domeniul energiei şi al tehnologiei în comunicaţii. Victor Ponta: În mod sigur, s-a convenit dezvoltarea prezenţei în România a marilor companii de telecomunicaţii Huawei şi ZTE şi transformarea României, practic, într-un centru european regional pentru aceste două mari companii. Putem avansa foarte mult cu investiţiile şi în zona de energie. E deja în derulare proiectul de 1 miliard de dolari de la Rovinari, investiţie chineză. De asemenea, a fost prezentat proiectul grupurilor 3 şi 4 ale centralei nucleare de la Cernavodă, iar dinspre partea română principala solicitare a fost urgentarea procedurilor de verificare pentru a deschide piaţa chineză pentru produsele agroalimentare, în special pentru cele din carne şi pentru vinurile româneşti.”



    Cele două companii de telecomunicaţii din China ar urma să investească în ţara noastră sute de milioane de euro, România urmând să devină, în perioada următoare, centru pentru toate afacerile acestora din Europa.



    Pe de altă parte, în iulie, reprezentanţii China Nuclear Electric — cea mai mare companie de energie din China – se vor afla în România pentru a studia implicarea în construcţia centralei nucleare de la Cernavodă, investiţia fiind estimată la câteva miliarde de euro.