Tag: energie

  • 14.11.2022

    14.11.2022

    Inflation – La Banque nationale de Roumanie a majoré à 16,3% ses prévisions sur l’inflation pour la fin de cette année et s’attend à une inflation de 11,2% pour la fin de l’année prochaine selon les chiffres présentés lundi par le gouverneur Mugur Isărescu. La Banque centrale roumaine estimait en août le taux d’inflation à 13,9% pour la fin de cette année et à 7,5% en 2023. Dans un communiqué de presse paru la semaine dernière, la Banque nationale de Roumanie avait indiqué que le taux annuel d’inflation devrait continuer à croître modérément jusqu’à la fin de l’année avant d’entamer une trajectoire descendante jusqu’à atteindre un niveau à un chiffre au premier trimestre 2024.

    Aurescu – Le ministre roumain des AE, Bogdan Aurescu, a annoncé lundi qu’il demanderait l’introduction d’un point séparé à l’agenda du Conseil des Affaires Etrangères le mois prochain d’analyser la situation en République de Moldova. Le chef de la diplomatie roumaine a réitéré dans une déclaration de presse avant la réunion du Conseil aujourd’hui à Bruxelles, le soutien pour la République de Moldova qui est très touchée par les vulnérabilités qui visent la sécurité su système énergétique. M Aurescu a salué la récente annonce de la présidente de la Commission européenne sur le soutien financier de 250 millions d’euros pour la sécurité énergétique de la République de Moldova. Au sommaire des débats se trouvent l’agression russe en Ukraine avec la participation par vidéoconférence du ministre ukrainien des affaires étrangères ainsi que l’évolution de la situation dans l’ouest des Balkans, au Liban et en Iran.

    Energie – Coup d’envoi aujourd’hui dans la Chambre des Députés de Bucarest des débats sur le décret d’urgence 119 qui vise le plafonnement des tarifs énergétiques. Le gouvernement souhaite maintenir le plafonnement des prix de l’électricité pour une période plus longue de temps, jusqu’en 2025 et c’est pourquoi il a adopté un nouveau décret d’urgence qui décide d’un mécanisme visant l’achat centralisé de l’électricité à quelque 90 euros par mégawatt heure. Ce document complète le décret d’urgence qui existe déjà sur la table des élus nationaux et il permettra la préservation des trois types de prix pour les ménages – quelque 14 centimes d’euros pour des consommations de moins de 100 kilowatts, 16 centimes pour des consommations de moins de 255 kilowatts et quelque 26 centimes pour toute consommation supérieure à 255 kilowatts. Ce qui plus est, le texte législatif permettra à garder des seuls pour les PMEs de 20 centimes d’euros et un prix un peu plus élevé de quelque 30 centimes pour les grands consommateurs industriels. L’opposition a critiqué le nouveau décret d’urgence affirmant qu’en principe celui-ci devrait encourager les investissements dans la production et l’économie tout en respectant les règles de l’économie de marché. Les modifications que les députés devraient introduire au décret d’urgence qui établit les tarifs et les plafonnements de consommation devraient entrer en vigueur ce 1er janvier.

    Explosion – Les autorités turques ont arrêté une vingtaine de personnes, dont une femme
    soupçonnée d’avoir déposé la bombe qui a fait au moins six morts dimanche a
    Istanbul, et accusé le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) d’être
    responsable du carnage. L’attentat, commis sur l’artère commerçante d’Istiklal,
    n’a pas été revendiqué. Il a fait six morts et 81 blessés dont la moitié
    restait hospitalisés lundi. Parmi les victimes, toutes Turques, figurent une
    fille de 9 ans tuée avec son père et une adolescente de 15 ans, morte avec sa
    mère. A Bucarest, tant le président Klaus Iohannis que le premier ministre
    Nicolae Ciuca ont transmis des messages condoléances au peuple turc pour les
    pertes souffertes. Enfin, la Turquie rejette les condoléances des
    Etats-Unis qui soutiennent les terroristes kurdes de Kobané, a
    indiqué lundi le ministre turc de l’Intérieur Süleyman Soylu, au lendemain d’un
    attentat qui a fait six morts a Istanbul.

    Météo – Les températures ont enfin baissé en Roumanie, mais elles sont toujours supérieures aux moyennes pluriannuelles surtout sur l’ouest. Le ciel est couvert sur les régions basses et sur l’est et le sud-est, où le brouillard sera également présent. Ciel variable sur le reste du territoire. Les maximas iront de 6 à 16 degrés. A Bucarest les maximas iront de 11 à 13 degrés.

  • Le forum de Paris sur la paix

    Le forum de Paris sur la paix

    « Il est important de souligner que l’invasion russe en Ukraine a agi comme un accélérateur d’un processus destructif qui rend encore plus claire le fait que l’utilisation de l’énergie et des aliments ou bien de la propagande comme un arme, devrait être contrecarré par un effort international coordonné » affirme le chef de l’Etat roumain Klaus Iohannis, qui a participé au traditionnel Forum pour la paix à Paris.

    L’agenda de l’édition de cette année a été évidemment dominé par les crises multiples que l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes le 24 février a générées. Pour
    le président Iohannis, les soi-disant Couloirs de la solidarité devraient ne
    devraient plus être une solution temporaire, grâce d’un pont à long terme entre
    l’Union Européenne et l’Ukraine et la République de Moldova, dans la
    perspective de leur prochaine adhésion. C’est pourquoi, précise-t-il, Bucarest a soutenu l’initiative de l’élargissement du réseau transeuropéen de Transport et le financement des projets qui améliorent les connexions de transport avec les deux républiques ex-soviétiques, voisines avec la Roumanie et les candidates à l’admission à l’Union. Les ports roumains de Galati (au Danube) et Constanta (à la mer Noire) sont prêts à jouer un rôle plus important en ce sens, ajoute M Iohannis. Il a rappellé que jeudi la Roumanie et l’Ukraine ont inauguré un nouveau poste-frontière, le premier à être ouvert par ce dernier avec un Etat membre de l’UE, depuis le début du conflit.


    « Je suis sur que les mesures que la Roumanie a adoptées permettant le transit de plus de 6,5 millions de tonnes de céréales d’Ukraine – une contribution essentielle à la sécurité alimentaire mondiale. Ce n’est que le début d’un longt voyage » – a complété le président roumain. Le voisin de l’Ukraine le plus petit et le plus vulnérable, la République de Moldova a besoin de 1,1 milliards d’euros supplémentaires afin de couvrir les couts énergétiques de cet hiver, a déclaré le chef de la diplomatie de Chisinau, Nicu Popescu. « Notre situation est très, très difficile » a affirmé M Popescu également au Forum pour la paix à Paris. La République de Moldova « est menacée militairement aussi que sur le plan énergétique et économique. » a-t-il ajouté alors que les livraisons de gaz russe ont été sévèrement réduites, tout comme les livraisons d’électricité de l’Ukraine voisine, à cause des frappes russes contre l’infrastructure énergétique ukrainienne.

    En effet, la République de Moldova dépend entièrement de ces deux sources d’énergie. « La situation se compliquera davantage cet hiver, mais nous allons continuer à la gérer » – affirme M Popescu, qui a rappelé aussi que la République de Moldova avait reçu quelque 80 000 réfugiés ukrainiens. Jeudi également, la présidente de la Commission européenne, Ursula von des Leyen s’est rendue à Chisinau pour annoncer que la République de Molodova recevrait 250 millions d’euros depuis Bruxelles, pour résister à la crise énergétique. L’argent provient d’un paquet d’appui supplémentaire et seront délivrés à compter du 1er janvier 2023. Plus de 90% du nécessaire d’énergie de la République de Moldova est importé de Roumanie. (Bogdan Matei)

  • Friedensforum in Paris

    Friedensforum in Paris


    Die russische Invasion in der Ukraine spielte in der Destabilisierung der Region eine entscheidende Rolle. Dies zeigt, weshalb der Einsatz von Energie und Nahrungsmitteln als Waffe oder der Einsatz von Propaganda durch eine koordinierte internationale Anstrengung begegnet werden muss“, sagte der rumänische Staatschef Klaus Iohannis auf dem Friedensforum in Paris. Die Tagesordnung der diesjährigen Sitzung wurde natürlich von den zahlreichen Krisen beherrscht, die durch den Einmarsch russischer Truppen in die Ukraine am 24. Februar ausgelöst wurden. Der Präsident glaubt, dass die sogenannten Solidaritätskorridore“ zu einer dauerhaften Verbindung zwischen der EU und der Ukraine sowie der Moldau ausgebaut werden sollten, um diese beiden Länder auf den Beitritt vorzubereiten. Deswegen unterstützte und finanzierte Bukarest Projekte zur Verbesserung der Verkehrsverbindungen mit den beiden ehemaligen Sowjetrepubliken, die Nachbarländer Rumäniens und Kandidaten für die EU-Mitgliedschaft sind, und unterstützte den Ausbau des transeuropäischen Verkehrsnetzes (TEN-V). Die rumänischen Häfen Galati an der Donau und Constanța am Schwarzen Meer können hier eine grö‎ßere Rolle spielen — so Iohannis weiter. Er erinnerte an die Inbetriebnahme einer neuen Grenzkontrollstelle zwischen der Ukraine und Rumänien am Donnerstag. Es war die erste mit einem EU-Land seit Beginn des Konflikts. Ich bin stolz auf die Ma‎ßnahmen Rumäniens, die es ermöglicht haben, mehr als 6,5 Millionen Tonnen Getreide aus der Ukraine durchzulassen, was einen wichtigen Beitrag zur weltweiten Ernährungssicherheit darstellt. Dies ist erst der Anfang einer langen Reise“, fügte der Präsident hinzu.




    Die Republik Moldau, das kleinere und schwächere Nachbarland der Ukraine, benötigt zusätzliche 1,1 Milliarden Euro, um die Energiekosten diesen Winter zu decken, wie der Leiter der Diplomatie in Chisinau, Nicu Popescu, mitteilt. Unsere Lage ist prekär“, sagte Popescu auf dem Pariser Friedensforum. Er fügte hinzu, dass die Republik sowohl militärisch als auch energetisch und wirtschaftlich bedroht sei. Die russischen Gaslieferungen haben sich stark verringert und die Republik Moldau erhielt nach den russischen Angriffen auf die Energieinfrastruktur in der Ukraine keinen Strom mehr aus dem Nachbarland. Die Lage wird im Winter noch schwieriger, aber wir werden sie weiterhin bewältigen“, sagte der Au‎ßenminister, der auch daran erinnerte, dass die Moldau rund 80.000 Geflüchtete aufgenommen hat.




    Am Donnerstag hatte auch die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula von der Leyen, in Chisinau angekündigt, dass die Moldau 250 Millionen Euro aus Brüssel erhalten werde, um die Energiekrise zu lösen. Das Geld ist Teil eines zusätzlichen Unterstützungspakets, das ab dem 1. Januar 2023 ausgezahlt werden soll. Die Republik importiert zurzeit über 90 Prozent ihres Energiebedarfs aus Rumänien.

  • La semaine du 7 au 13 novembre 2022

    La semaine du 7 au 13 novembre 2022

    Le président Klaus Iohannis en Egypte

    La Roumanie bénéficiera d’un prêt de quelque 3 milliards de dollars pour la construction des 3e et 4e unités de la Centrale nucléaire de Cernavoda, dans le sud-est du pays. Présent cette semaine en Egypte à Charm El-Cheik à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, le président roumain Klaus Iohannis a participé à la cérémonie de présentation des lettres d’intention sur le prêt accordé par la banque américaine Exim Bank. Dans ce contexte le chef de l’Etat roumain a exprimé son appui à la poursuite des démarches communes roumano-américains de promotion de la sécurité énergétique, parallèlement avec la réalisation des objectifs en matière de changements climatique, le développement des sources renouvelables et de l’énergie nucléaire étant des éléments-clé dans la réalisation avec succès de la transition verte. D’ailleurs, à la conférence de l’ONU sur les changements climatiques, le président Iohannis a affirmé que les autorités de Bcuarest soutenaient pleinement le rôle de leader assumé par l’Union européenne dans ses efforts de limiter les changements climatiques. « Nous devons assurer une transition climatique ordonné avec des bénéfices multiples, des investissements dans la recherche, le développement, l’innovation, le développement de l’économie verte et la création de nouveaux emplois », a précisé Klaus Iohannis.

    Les lois de la Justice conformes à la Loi Fondamentale.

    La Cour constitutionnelle de Roumanie a rejeté mercredi les saisines déposées par les partis parlementaires d’opposition, l’USR et l’AUR, ainsi que par le défenseur des Droits aux trois lois gérant la Justice, récemment adoptées par le Parlement. Il s’agit de la loi sur le statut des juges et des procureurs, de la loi de l’organisation judiciaires et de la loi du Conseil supérieur de ma magistrature. Dans un message posté sur les réseaux sociaux, la présidente par intérim du Sénat, la libérale Alina Gorghiu, estime que la décision de la Cour est « correcte et normale », rappelant aussi le principal objectif de la Roumanie en la matière : lever le Mécanisme de coopération et de vérification (MCV) par lequel Bruxelles surveille le fonctionnement de l’Etat de droit en Roumanie dès l’adhésion du pays au sein de l’UE, en 2007. C’est de la levée du MCV que dépend aussi l’admission de la Roumanie à l’espace de libre circulation Schengen. L’opposition a demandé pourtant au président Klaus Iohannis de ne pas promulguer les lois de la Justice, même si elles ont été déclarées constitutionnelles et d’attendre l’avis de la Commission de Venise.

    La majoration du taux directeur

    Mardi, la Banque Nationale de Roumanie (BNR) a pris plusieurs décisions importantes. La première : majorer de nouveau le taux directeur, de 6,25 à 6,75 % par an. S’y ajoute la majoration du taux d’intérêt pour l’octroi des crédits et pour les dépôts. La Banque Centrale veux aussi garder le contrôle sur les liquidités sur le marché monétaire et de maintenir le niveau actuel des mensualités des réserves minimes obligatoires pour les passifs en monnaie nationale (leu) et en devises pour les institutions opérant des crédits. En début d’année, le taux directeur était de 2 % par an en Roumanie. Son augmentation s’explique par la hausse de l’inflation causée par la croissance des prix de l’électricité et des aliments. Qui plus est, les experts financiers s’attendent à ce que l’inflation monte encore avant la fin de cette année, pour entrer sur une pente descendante graduelle. On attend une inflation de 10 % à peine au premier semestre 2024.

    Accord sur les tarifs de l’énergie

    Attendue aussi bien par les consommateurs domestiques que par les compagnies, une solution pour amortir les prix élevés de l’énergie a été convenue mercredi au sein de la coalition gouvernementale formée du PNL (Parti National Libéral), du PSD (Parti Social-Démocrate) et de l’UDMR (Union Démocrate Magyare de Roumanie), et ce après des semaines de discussions. Les nouvelles dispositions s’appliqueront à partir de l’année prochaine et impacteront ceux qui ont une consommation supérieure à 255 kWh, actuellement contraints de payer des factures exorbitantes.Par conséquent, à compter du 1er janvier prochain, le prix de l’électricité sera maintenu à 0,68 lei pour les foyers qui consomment jusqu’à 100 kW, à 0,80 lei pour une consommation entre 100 et 255 kW et à 1 leu pour les PME. La nouveauté de ce mécanisme est aussi la garantie d’un tarif fixe de 1,3 lei pour les grands consommateurs. De même les foyers qui dépassent les 255 kW bénéficieront du même tarif de 1,3 lei pour la consommation supplémentaire. De plus, les petites et moyennes entreprises, les l’industrie alimentaire et pharmaceutique, ainsi que les lieux de culte paieront 1 leu par kWh (environ 20 centimes d’euro). En ce qui concerne le prix du gaz naturel, il reste inchangé – 31 bani (environ 6 centimes d’euro) le kWh pour les clients domestiques et 37 bani (environ 7 centimes d’euro) pour les sociétés.

    De l’électricité roumaine pour la République de Moldova

    L’Union européenne offrira à la République de Moldova un soutien de 250 millions d’euros pour dépasser la crise énergétique, dont 50 million pour la compensation des factures. C’est ce qu’a annoncé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui s’est rendue jeudi à Chişinău, pour montrer son appui à la petite république ex-soviétique fortement frappée par les conséquences de la guerre initiée par la Russie en Ukraine. L’Etat à majorité roumanophone est confronté à une crise énergétique sans précédent après la décision du géant gazier russe Gazprom de réduire considérablement ses livraisons de gaz. La République de Moldova est également dépourvue de l’électricité qu’elle achetait à l’Ukraine et à la région séparatiste russophone de Transnistrie. C’est pourquoi à l’heure actuelle plus de 90% de sa consommation énergétique est importée de Roumanie. Aux dires du ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu, la Roumanie a aidé la République de Moldova en y fournissant du mazout et du bois de chauffage. En effet, le gouvernement roumain a approuvé la livraison de 130 000 mètre cubes de bois de chauffage à la demande de Chisinau.

    Un nouveau poste-frontière ouvert entre la Roumanie et l’Ukraine

    Le quatrième poste frontalier entre la Roumanie et l’Ukraine a été inauguré jeudi en présence du premier ministre roumain Nicolae Ciucă et de son homologue ukrainien Denîs Smîhal. Le nouveau poste frontière de Vicovu de Sus (en Roumanie) – Krasnoilsk (en Ukraine) facilitera le trafic des personnes et des marchandises entre les deux Etats a déclaré le premier ministre roumain Nicolae Ciucă. Ce nouveau poste-frontière est le premier à être inauguré entre les deux pays depuis 1999 et le premier ouvert entre l’Ukraine et un Etat membre de l’UE depuis le début de la guerre en février dernier.

  • Analize economice

    Analize economice

    Frecventă în ultimele luni la nivelul multor
    economii ale lumii, majorarea dobânzii de referință este cel mai important
    instrument de politică monetară prin care Banca Centrală poate contracara
    inflația, ajunsă în acest an la valori cu două cifre. În România, unde acest
    indicator a urcat în jurul valorii de 16 procente, specialiştii Băncii
    Naționale spun că rata anuală a inflaţiei va continua probabil să mai crească
    spre finalul anului, dar într-un ritm vizibil încetinit, cauzele fiind legate
    de scumpiri mai mari anticipate a fi consemnate, în perioada următoare, la
    gazele naturale şi energia electrică, la alimente, pe fondul războiului din
    Ucraina şi al sancţiunilor asociate, dar şi al secetei prelungite şi extinse la
    nivel european din această vară.

    Asistăm la o perioadă fără precedent în care
    s-au suprapus mai multe crize, între care cele mai importante sunt criza
    energetică şi cea a preţurilor, spune consultantul de strategie de la BNR,
    Adrian Vasilescu. Inflaţia actuală se alimentează din propriul trecut, explică
    el – la produse precum combustibili, ţigări, energie electrică, gaze şi energie
    termică, datele care încarcă substanţial preţurile vin din urmă. Și dă și un
    exemplu – în septembrie, deşi preţurile la combustibili, gaze sau energie au
    stagnat comparativ cu luna anterioară, alimentele s-au scumpit tocmai pentru că
    au fost influenţate de evoluţia costurilor mari din lunile anterioare. După cum
    arată cifrele acum, urmează o continuare a creşterii preţurilor, dar cu paşi
    din ce în ce mai mici, estimeză expertul Băncii Naţionale. Trend pe care îl
    anticipează și analistul financiar Adrian Codirlaşu, vicepreşedintele CFA România,
    potrivit căruia, cel mai probabil inflaţia va reveni sub 10% în România abia la
    finele anului viitor:

    Ne putem
    aştepta în continuare la o presiune pe partea de inflaţie, însă marea
    majoritate a mişcării inflaţiei deja a fost făcută. Următoarele creşteri vor fi
    destul de reduse, în sensul de un sfert sau jumătate de punct procentual.
    Pentru anul viitor inflaţia probabil va începe să se reducă gradual în prima
    parte a anului viitor şi mai puternic în a doua parte şi e posibil să terminăm
    anul 2023 cu inflaţia exprimată într-o singură cifră, undeva în jur de 9%.

    Contextul impredictibil pe care îl traversăm face ca prognozele privind
    evoluţia inflaţiei să stea sub semnul incertitudinii, explică Adrian Codirlaşu.
    Situaţia globală este extrem de volatilă, evenimentele sunt în desfăşurare,
    sunt într-o extrem de mare rapiditate şi pot apărea tot felul de situaţii
    neplăcute care să ducă în sus inflaţia, mai spune Adrian Codirlașu.


    În jurul
    încertitudinii se construiesc, de altfel, estimările tuturor specialiștilor.
    Experţii băncii centrale atrag atenția că escaladarea războiului din Ucraina şi
    sancţiunile tot mai severe asociate generează incertitudini şi riscuri
    considerabile la adresa perspectivei activităţii economice şi, implicit, a
    evoluţiei pe termen mediu a inflaţiei. Toate acestea, spun ei, prin efectele
    posibil mai mari exercitate pe multiple căi asupra puterii de cumpărare şi
    asupra încrederii consumatorilor, precum şi asupra activităţii, profiturilor şi
    planurilor de investiţii ale firmelor. BNR apreciază că, în contextul actual,
    combinaţia echilibrată de politici macroeconomice şi implementarea de reforme
    structurale, inclusiv prin utilizarea fondurilor europene care să stimuleze
    potenţialul de creştere pe termen lung sunt esenţiale pentru menţinerea
    stabilităţii macroeconomice şi întărirea capacităţii economiei româneşti de a
    face faţă unor evoluţii nefavorabile. Datele mai relevă că, în România, consumul dă semne clare de încetinire – o veste nu tocmai
    bună având în vedere faptul că economia locală îşi bazează încă, într-o măsură
    destul de mare, creşterea pe evoluţia acestui indicator. Iar specialiștii cred
    că următoarele luni vor aduce o reducere şi mai mare a ritmului de creştere a
    consumului.


    Această tendinţă va continua şi în perioada următoare, având în
    vedere că urmează iarna ce implică şi costuri mai mari la utilităţi, a declarat
    la Radio România, analistul economic Constantin Rudniţchi explică faptul că a: E foarte posibil ca în
    următoarea perioadă creşterea economică să nu se poată baza pe consum, aşa cum
    a făcut-o în alţi ani, pentru că e un trimestru destul de complicat pentru
    economie şi pentru consumatori. Inflaţia îşi arată deja forţa şi sigur că
    există o scădere a nivelului de trai, a puterii de cumpărare, ori acest lucru
    se va vedea cu siguranţă şi în ritmul consumului. De altfel, întreaga economie
    românească este într-un tip de impas, l-aş numi, în sensul că şi creşterea
    economică va încetini, o arată deja datele din trimestrul doi faţă de
    trimestrul unu. Producţia industrială a scăzut faţă de anul trecut, comenzile
    noi din industrie sunt mai mici, deficitul de balanţă comercială a crescut, iar
    dinamica exporturilor este mai redusă decât cea a importurilor.


    La Washington, un raport al Băncii
    Mondiale consemnează încetinirea abruptă a creşterii economice mondiale şi
    îngrijorările legate de o recesiune globală, care îşi pun amprenta asupra
    preţurilor materiilor prime. În document se arată că, pe măsură ce încetinirea
    creşterii globale se intensifică, se preconizează că preţurile materiilor prime
    vor scădea în următorii doi ani, dar vor rămâne considerabil peste media din
    ultimii cinci ani. Astfel, preţurile energiei se anticipează că se vor reduce
    cu 11% în 2023 şi cu 12 procente în 2024. De asemenea, preţurile produselor
    agricole şi ale metalelor vor scădea cu cinci, respectiv, 15% anul viitor,
    înainte de a se stabiliza în 2024.

  • 10.11.2022

    10.11.2022

    Ukraine – La Roumanie nous soutient très activement dans la lutte contre l’agresseur, la Roumanie soutient l’idée de la constitution d’un tribunal international et nous soutient le long de notre parcours vers l’avenir – a déclaré jeudi le premier ministre ukrainien, Denys Shmyhal, à l’ouverture d’un nouveau point de passage à la frontière et d’un bureau de douane au niveau de Vicovu de Jos côté roumain et Krasnoilsk côté ukrainien. « C’est par ces poste-frontières que nos citoyens rentrent à la maison et c’est par ces mêmes postes-frontière que les aident humanitaires de grandes dimensions passent depuis les pays de l’UE », a-t-il ajouté. Il a annoncé que les deux côtés préparaient l’organisation de sept autres postes-frontière entre les deux pays. « Durant ces moments à part auxquels est confrontée l’Ukraine, des moments tragiques, dus au déclenchement de l’agression de la Fédération de Russie, nous devons faire preuve de solidarité et d’unité – a déclaré à son tour, Nicolae Ciuca. Selon lui, la mobilité des personnes et des biens à l’heure actuelle a une importance vitale pour l’Ukraine, vu que l’agression illégale, préméditée et non-provoquée de la Fédération de Russie produit des effets et des conséquences désastreuses pour les citoyens ukrainiens et pour le gouvernement de Kiev. Selon le porte parole du gouvernement roumain, le point de passage frontalier entre Vicovu de Sus et Krasnoilsk est le premier ouvert entre l’Ukraine et un pays membre de l’Union européenne depuis le déclenchement de l’agression russe. Ce point de passage qui sera ouvert de manière permanente est destiné tant à la circulation internationale des personnes, piétonnière ou routière, qu’aux échanges de marchandises.

    Kiev – Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a réagit avec prudence à l’annonce concernant le retrait de l’armée russe de la ville de Kherson, située dans le sud du pays. L’ennemi ne fait pas preuve de bonne volonté, nous devons tout gagner, a-t-il déclaré dans son message quotidien aux ukrainiens. Cependant, les experts internationaux voient dans cette décision de Moscou un de ses échecs les plus importants depuis le début de l’invasion. Le ministre russe de la défense, Serghei Şoigu, a ordonné, mercredi, aux troupes russes qui occupaient la province de Kherson de se retirer sur la rive ouest du fleuve Dniepr. Cette décision fait suite aux attaques ukrainiennes menées dans les environs de Kherson, la capitale homonyme de la province, seule ville importante que les russes ont réussi à occuper depuis le début de l’invasion en février. La région de Kherson est en outre une des quatre régions dont l’annexion a été annoncée par le président russe Vladimir Poutine.Energie – La coalition gouvernementale à Bucarest est tombée d’accord sur un accord concernant le plafonnement et la compensation des prix de l’énergie à compter de l’année prochaine. Cette résolution était attendue depuis plusieurs semaines. Les ménages paieront 68 centimes de lei le kWh jusqu’à 100 kWh par mois. Entre 100 et 250 kWh par mois, le prix du kWh sera de 80 centimes de lei. Et désormais le prix est également fixé pour la consommation dépassant les 250 kWh mensuels, il sera de 1.3 lei le kWh. Ces prix valent également pour les grandes entreprises. Par contre les petites et moyennes entreprises, l’industrie alimentaire et pharmaceutique, les services communautaires et les lieux de culte paieront 1 leu le kWh. L’exécutif doit émettre une nouvelle ordonnance d’urgence, qui s’appliquera dès le début de l’année prochaine. Plus de détails après les infos.

    Skopje – La sélection nationale de handball de Roumanie s’est qualifiée mercredi dans la soirée dans les groupes principaux du championnat d’Europe – EHF EURO 2022, après la victoire contre la Macédoine du Nord sur le score de 31 à 23, dans le Groupe C. Après deux défaites contre les Pays-Bas (28 à 29) et la France (21 à 35), les joueuses roumaines ont réussi à se qualifier dans la phase suivante de la compétition par une victoire obtenue surtout dans la seconde partie de la rencontre. Le championnat d’Europe – EHF Euro 2022 se déroule du 4 au 20 novembre en Slovénie, Macédoine du Nord et au Monténégro. La Roumanie a participé à toutes les éditions de cette compétition à l’exception de celle de 2006 pour décrocher la médaille de bronze en 2010.

    Justice – La Cour constitutionnelle de Roumanie a rejeté, mercredi, les recours déposés par les formations parlementaires d’opposition USR et AUR et ainsi que par le défenseur des droits, contre les trois lois sur la Justice récemment adoptées par le Parlement. Elles sont donc en passe d’être promulguées par le chef de l’Etat. La présidente par intérim du Sénat, la libérale Alina Gorghiu, a déclaré que la décision de la Cour constitutionnelle était fondée en droit et naturelle. Elle a rappelé que l’objectif de la Roumanie était la sortie du mécanisme de coopération et de vérification (MCV) et l’adhésion à l’espace Schengen. Plus de détails après le journal.

    République de Moldova – La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est attendue aujourd’hui à Chisinau en République de Moldova pour une visite de soutien à ce pays majoritairement roumanophone qui fait partie des plus durement touchés par les conséquences de la guerre menés par la Russie en Ukraine. Demain Chisinau recevra également la visite de la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, qui rencontrera la présidente, Maia Sandu et s’adressera au parlement moldave. Récemment, Ursula von der Leyen a promis de renforcer son soutien envers la République de Moldova afin que cette dernière puisse couvrir ses besoins en gaz et électricité. En effet, Chisinau est confronté à une crise énergétique sans précédent après que le géant russe Gazprom a réduit considérablement ses livraisons. Le pays a été brusquement privé de l’électricité qu’il achetait en Ukraine et dans la région séparatiste russophone de Transnistrie, de sorte que désormais plus de 90% de ses besoins en énergie est importé de Roumanie.

    Météo – Temps particulièrement doux pour cette période de l’année en Roumanie. Ciel variable, couvert sur le nord-ouest où des pluies isolées sont attendues. Les maxima vont de 11 à 20 degrés.17 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Nouvelles réglementations du secteur énergétique

    Nouvelles réglementations du secteur énergétique

    Sujet particulièrement important cette année, le secteur énergétique a été au cœur de débats acharnés mardi dans la Chambre des Députés, qui a été chambre décisionnelle dans le cas de deux textes législatifs. L’un vise la fermeture et la conservation de certaines centrales thermiques qui utilisent le charbon alors que l’autre concerne la vente envers la société Nuclearelectrica du stock historique de concentré d’uranium constitué durant la période 2009 – 2011. Le plan d’élimination progressive du charbon du mix énergétique national jusqu’en 2032, un repère du Plan national de relance et de résilience a provoqué de vifs débats, au bout desquels tous les amendements de l’opposition ont été rejetés.

    L’Union Sauvez la Roumanie a accusé la coalition majoritaire réunissant le PNL, le PSD et l’UDMR de fermer les mines roumaines en pleine crise énergétique, sans les remplacer par d’autres capacités de production de l’électricité. L’USR a rappelé que des fonds européens de 1,4 milliards d’euros étaient disponibles à ce sujet, des fonds que le gouvernement roumain devrait attirer. L’Alliance pour l’Union des Roumains a également souligné qu’il fallait préserver une variante soutenable des exploitations minières jusqu’à ce qu’une autre solution soit identifiée.

    En échange, les élus de la coalition majoritaire ont précisé que l’adoption du projet législatif dépendait l’absorption des fonds prévus dans le Plan nationale de relance et de résilience et a assuré que l’accent était mis sur la prolongation du délai de fermeture des mines et sur leur remplacement par des sources d’énergie verte. Suite aux négociations entre l’actuel gouvernement avec la Commission, toutes ces mines ne fermeront plus durant la période 2023 – 2024, mais en 2026, 2030 et certaines seront mises en conservation en 2032, a affirmé le social-démocrate Alfred Simonis. Le projet législatif a finalement été adopté par les députés et sera promulgué par le président Klaus Iohannis. Les débats ont été tendus aussi au sujet du deuxième projet législatif, relatif au concentré d’uranium.

    Depuis l’année dernière, l’administrateur du stock, la Compagnie nationale de l’Uranium fait l’objet d’une procédure de liquidation et la dernière exploitation d’uranium de Roumanie a été fermée. Le leader de l’AUR, George Simion a déclaré que : « L’objectif a été la fermeture de la mine de Crucea. Les gens qui y travaillaient sont partis cueillir des asperges en Allemagne et nous votons des lois dans les commissions spécialisées, dans les plénums des deux Chambres parce qu’elles constituent des repères du Plan national de relance et de résilience, impossibles à franchir et qui nous sont nuisibles », a déclaré George Simion. En échange, le député libéral Dumitru Mărculescu a explique que : « Les mesures proposées contribuent tant au fonctionnement dans des conditions normales de la centrale nucléaire de Cernavoda qu’à la réduction des efforts financiers de l’Etat roumain d’assurer la sécurité et les conditions de stockage du concentré technique d’uranium suite à la liquidation de la Compagnie nationale de l’Uranium », a déclaré le député libéral. Ce projet aussi a reçu le vote de Chambre inférieure du Législatif roumain et sera promulgué par le chef de l’Etat. (Corina Cristea)

  • CE aprobă o schemă daneză de 1,34 miliarde pentru a sprijini companiile mari consumatoare de energie

    CE aprobă o schemă daneză de 1,34 miliarde pentru a sprijini companiile mari consumatoare de energie

    Schema de ajutor propusă de Danemarca a fost aprobată, în contextul în care Comisia Europeană admite că economia Uniunii se confruntă cu o perturbare economică gravă, iar companiile mari consumatoare de energie au nevoie de sprijin pe fondul crizei energetice generate de războiul declanşat de Rusia împotriva Ucrainei.

    În cadrul acestei măsuri, care va fi administrată de Autoritatea Daneză pentru Afaceri, ajutorul va lua forma unor împrumuturi cu dobânzi subvenţionate. Măsura va fi deschisă întreprinderilor mici şi mijlocii cu consum mare de energie, dar şi companiilor din marile sectoare economice. Instituţiile de credit şi financiare nu vor putea accesa acest ajutor.

    Scadenţa împrumuturilor nu va depăşi şase ani; ratele reduse ale dobânzii respectă nivelurile minime stabilite în Cadrul temporar de criză; suma individuală a împrumutului per IMM şi companie mare va acoperi nevoile de lichiditate pentru cele 12 luni, respectiv, 6 luni de la acordarea ajutorului; sprijinul va fi acordat cel târziu pe 31 decembrie 2023.

    Cadrul temporar pentru ajutoare de stat în perioadă de criză prevede: sume limitate de ajutor, sub orice formă, pentru companiile afectate de criza actuală sau de sancţiuni şi contrasancţiuni ulterioare, până la valoarea majorată de 250.000 de euro, respectiv 300.000 de euro în sectoarele agriculturii, pescuitului şi acvaculturii şi până la 2 milioane de euro în toate celelalte sectoare; sprijin de lichiditate sub formă de garanţii de stat şi împrumuturi subvenţionate; ajutor pentru compensarea preţurilor ridicate la energie; scheme de investiţii în energie regenerabilă, inclusiv hidrogen, biogaz şi biometan din surse regenerabile; măsuri care facilitează decarbonizarea proceselor industriale.

    Pentru a accelera şi mai mult diversificarea aprovizionării cu energie, statele membre pot sprijini investiţiile pentru eliminarea treptată a combustibililor fosili, în special prin electrificare, eficienţă energetică şi trecerea la utilizarea hidrogenului pentru a produce electricitate.


  • REPowerEU:  3 miliarde euro pentru proiecte în domeniul tehnologiilor curate

    REPowerEU: 3 miliarde euro pentru proiecte în domeniul tehnologiilor curate

    Comisia Europeană a lansat o nouă cerere de propuneri de proiecte de anvergură în cadrul Fondului european pentru inovare. Cu un buget în valoare de 3 miliarde de euro, această cerere de proiecte are ca scop găsirea și implementarea unor soluții industriale pentru decarbonizarea Europei. Cu un accent special pe prioritățile Planului REPowerEU, apelul va oferi sprijin suplimentar pentru a pune capăt dependenței UE de combustibilii fosili ruși.

    Banii vor merge pe proiecte care vizează decarbonizarea generală, adică proiecte inovatoare în domeniul energiei din surse regenerabile, al stocării energiei sau al captării, utilizării și stocării carbonului, precum și al produselor care le înlocuiesc pe cele cu emisii mari de carbon (în special carburanții pentru transport cu emisii reduse de carbon, inclusiv pentru transportul maritim și aerian).

    Alte proiecte finanțate se referă la Electrificarea inovatoare în industrie și hidrogenul. Este vorba despre înlocuirea utilizării combustibililor fosili în industrie, precum și producția de hidrogen din surse regenerabile sau utilizarea hidrogenului în industrie.

    0,7 miliarde de euro vor merge către Producția de tehnologii curate în domeniul producției de componente, dar și de echipamente finale, pentru energia din surse regenerabile, pentru stocarea energiei și pentru pompele de căldură.

    Mai există proiecte pilot de dimensiuni medii care vizează decarbonizarea profundă în toate sectoarele eligibile ale fondului.

    Proiectele vor fi verificate de către evaluatori independenți în funcție de nivelul de inovare, de potențialul lor de a evita emisiile de gaze cu efect de seră, de potențialul de extindere și de eficiența costurilor.

    Proiectele promițătoare care nu sunt suficient de mature pentru a beneficia de o subvenție se pot califica pentru asistență în scopul dezvoltării din partea Băncii Europene de Investiții.

    Așadar până pe 16 martie anul viitor, sesiunea de finanțare este deschisă pentru proiecte situate în statele membre ale UE, Islanda și Norvegia. Proiectele se pot depune prin intermediul portalului de finanțare și licitații al UE, unde sunt disponibile mai multe detalii cu privire la întreaga procedură.


  • 07.11.2022

    07.11.2022

    Agence nationale à l’Intégrité – L’Agence nationale à l’intégrité a constaté un état d’incompatibilité de l’édile du 1er arrondissement de la Capitale Clotilde Armand. Selon un communiqué diffusé aujourd’hui par l’ANI, l’élue locale est accusée d’avoir transgressé la loi puisqu’elle s’est nommée elle-même manager d’un projet financé par l’Union européenne suite auquel elle a obtenu des intérêts matériels. L’institution précise aussi avoir saisi le Parquet au sujet de l’existence d’indices relatifs à des infractions d’abus de fonction pour aider certaines personnes. Ce qui plus est l’ANI a saisi aussi le préfet de la Capitale. Citoyen français, né en 1973, Clotilde Armand s’est établie à Bucarest en 1999, après son mariage avec un citoyen roumain. Elle compte parmi les fondateurs en 2015 de l’actuel parti de l’USR, actuellement en opposition, dans le cadre duquel elle a été élue en 2020 maire de l’arrondissement le plus riche de Bucarest. D’autres cas d’incompatibilité annoncés également aujourd’hui par l’ANI visent des maires, des vice-maires ou des conseillers locaux de différentes villes roumaines, ainsi qu’un conseiller local du 3e arrondissement de Bucarest.

    Diplomatie – Le ministère des affaires étrangères réfute les assertions du président russe, Vladimir Poutine selon lesquelles la Roumanie aurait des prétentions territoriales sur l’Ukraine. Selon un communiqué diplomatique, Bucarest a rappelé son soutien ferme à l’indépendance, à la souveraineté, et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine dans ses frontières actuelles internationalement reconnues, soutien que la Roumanie a manifesté à de multiples reprises dans le passé. Dans son discours, Vladimir Putin a évoqué des territoires arrachés par l’Ukraine depuis la Hongrie, la Roumanie et la Pologne.

    Energie – La Roumanie assure déjà plus de 90% de l’énergie dont a besoin la République de Moldova, a déclaré le ministre roumain des AE, Bogdan Aurescu, dans une interview télévisée. Selon lui, la République de Moldova se trouve en une situation énergétique très compliquée, étant à 100% dépendante des ressources extérieures tant pour ce qui est du gaz que de l’électricité. Il a affirmé que la Roumanie avait aidé la République de Moldova en lui fournissant du mazout et du bois de chauffage. Les autorités de Bucarest appellent la communauté internationale à accorder à la République de Moldova des aides visant à l’aider à acheter de l’énergie sur le marché libre.

    Handball – La sélection nationale féminine de handball de Roumanie doit affronter ce soir à Skopje en Macédoine du Nord, la sélection de la France, la championne du monde en titre, dans son deuxième match du Groupe C du Championnat d’Europe. La Roumanie a perdu le match contre les Pays-Bas 28 à 29, et la France a disposé sur le score de 24 à 14 de la Macédoine du nord. Le dernier match dans le groupe C de la Roumanie est celui contre la Macédoine. Les trois premières équipes de chaque groupe participeront à la phase suivante du tournoi final.

    Météo – Malgré une baisse des températures, la météo est toujours douce en Roumanie, notamment sur le sud. Le ciel est couvert sur l’ouest et le nord-ouest, mais aussi sur le centre et le nord ou des pluies sont signalées. Les températures vont de 13 à 19 degrés. 14 degrés à Bucarest.

  • De l’électricité pour la République de Moldova

    De l’électricité pour la République de Moldova

    Si l’Ukraine est la victime directe du néo impérialisme russe imaginé par le président russe Vladimir Poutine et manifesté par une agression illégale et injustifiée, la République de Moldova en est une victime collatérale. Le petit Etat à population majoritairement roumaine situé entre l’Ukraine et la Roumanie souffre déjà des conséquences dramatiques de la crise énergétique que la guerre dans son voisinage a porté au paroxysme et de la position ferme de condamner l’invasion adoptée par l’administration pro-européenne à Chisinau. Le mois dernier la compagnie qui fournit de l’électricité aux régions centrales et du sud de la République de Moldova a averti ses clients de se préparer à des coupures de courant durant la prochaine saison hivernale, à cause de l’intensification de la crise énergétique.

    Auparavant, la présidente Maia Sandu avait déclaré que les habitants de la République devraient continuer à faire des économies d’électricité à cause de la majoration des tarifs et de l’amplification de la crise. Dans un récent discours prononcé devant le Parlement de Bucarest, Maia Sandu affirmait d’ailleurs que son pays risquait de se retrouver sans gaz, ni électricité cet hiver à cause du conflit. « Après le bombardement par la Russie des réseaux ukrainiens le géant russe Gazprom a réduit à moitié le volume du gaz délivré à la République de Moldova et l’approvisionnement en énergie sur la riche gauche du Dniestr pour le mois prochain est désormais incertain. Assurer l’électricité au pays est un défi quotidien », avouait Maia Sandu.

    Se rendant compte de la situation compliquée dans laquelle se trouvait la petite ex-république soviétique après les attaques russes contre l’infrastructure énergétique ukrainienne, la Roumanie a commencé à fournir de l’électricité et des gaz naturels en régime d’urgence. Actuellement, Bucarest assure plus de 90% de la consommation d’électricité de Chisinau a dit le ministre des AE, Bogdan Aurescu : « La situation est grave puisqu’à présent, la République de Moldova se trouve en une situation énergétique très compliquée, étant à 100% dépendante des ressources extérieures tant pour ce qui est du gaz que de l’électricité », a souligné le chef de la diplomatie roumaine. Il a affirmé que la Roumanie avait aidé la République de Moldova en lui fournissant du mazout et du bois de chauffage.

    Le gouvernement roumain a approuvé 130 000 mètres cubes de bois de chauffage à la demande de Chisinau. Vu que l’appui accordé à l’Ukraine pour contrecarrer l’agression de la Russie signifie en fait un soutien concret à la sécurité et la prospérité de la Roumanie et de ses citoyens, en égale mesure, l’appui à la République de Moldova, un Etat très vulnérable aux effets de cette agression est en fin de compte un point en plus à la sécurité de la Roumanie a expliqué le ministre Aurescu. Selon lui, les autorités de Bucarest continueront à appeler la communauté internationale à accorder à la République de Moldova des aides pour qu’elle puisse acheter de l’énergie sur le marché libre.

    A Bruxelles, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis à la République de Moldova de l’appui supplémentaire afin de couvrir ses besoins immédiats de gaz naturel et d’électricité.

  • La semaine du 31 octobre au 6 novembre 2022

    La semaine du 31 octobre au 6 novembre 2022


    Un nouveau ministre de la Défense,
    en Roumanie



    Le social-démocrate AngelTîlvăr a été nommé à la tête du Ministère roumain de la Défense,
    après la démission, la semaine dernière, de Vasile Dîncu. Dans une déclaration
    à la presse, le nouveau responsable du gouvernement de Bucarest a affirmé que
    ses priorités étaient en rapport avec l’invasion injuste de la Fédération de
    Russie en Ukraine et avec la présence des soldats roumains sur les différents
    théâtres d’opérations extérieures. Jeudi, le ministre roumain a reçu la visite
    du ministre français des armées, Sébastien Lecornu. Ensemble, ils se sont
    rendus à Cincu pour inaugurer le siège du Collective Defence Battle Group, dont
    la France est la nation-cadre. L’occasion pour visiter aussi le Centre national
    de formation intégrée Getica. Sébastien
    Lecornu s’est entretenu aussi avec le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis et
    avec le premier ministre roumain, Nicolae Ciuca, au sujet du partenariat
    stratégique bilatéral, avec un accent particulier sur la sécurité dans la
    région de la Mer Noire. L’occasion pour M. Iohannis de remercier la France pour
    ses efforts de rendre opérationnel le Groupement tactique de l’OTAN, basé en
    Roumanie, créé dans le cadre de la force de dissuasion et de défense collective
    sur le Flanc Est de l’Alliance. Pour sa part, le responsable de Paris a
    félicité les militaires roumains pour leur professionnalisme et pour
    l’excellente coopération pendant les missions communes. La France a décidé en
    octobre d’envoyer des convois militaires en Roumanie dont une partie est déjà
    arrivée.



    La République de Moldavie reçoit le soutien de la Roumanie



    La cheffe de la République de Moldavie, Maia
    Sandu, a visité mardi Bucarest, pour demander le soutien des autorités
    roumaines. A la tête d’un pays si proche de la guerre en Ukraine et si
    dépendant des importations d’électricité de Roumanie, Maia Sandu a rencontré
    son homologue roumain, Klaus Iohannis et son premier ministre, Nicolae Ciuca,
    pour leur remercier des livraisons vers la Moldavie, d’électricité, de gaz, de
    mazout et de bois de chauffage. Les deux chefs d’Etat ont examiné aussi le
    stade des projets bilatéraux d’interconnexion énergétique. Bucarest continuera
    à appuyer la République de Moldavie impactée aussi bien par la crise
    énergétique que par celle des réfugiés ukrainiens, a fait savoir Klaus
    Iohannis.

    A son tour, Maia Sandu s’est penchée sur les difficultés auxquelles
    son pays se confronte:


    Je
    sais à quel point il est difficile d’offrir son aide quand on se confronte à
    ses propres difficultés. Mais, de nos jours, la situation s’avère vraiment
    dramatique et voilà pourquoi, nous avons besoin les uns des autres. La guerre
    nous a plongés dans une crise énergétique majeure et nous risquons de rester en
    hiver, sans gaz ou électricité.



    Depuis Chisinau, le vice premier ministre,Iurie Ţurcanu, s’est montré
    reconnaissant envers la Roumanie pour ses livraisons de bois, gaz et
    électricité’. Je tiens à rermercier de tout coeur la Roumanie pour l’appui
    offert dans le contexte si difficile auquel mon pays se confronte, a-t-il dit.


    Le Plan national de lutte contre le cancer



    La Fédération des Associations des personnes
    souffrant du cancer salue la promulgation par le chef de l’Etat, Klaus
    Iohannis, du Plan National de Prévention
    et de Lutte contre le Cancer, qu’elle considère comme une journée historique et
    une chance de plus à la vie. Lors d’une cérémonie mercredi, le président roumain qui est d’ailleurs
    l’initiateur du projet, a affirmé que la Roumanie devrait identifier les
    solutions censées permettre l’accès de la population à des soins
    adéquats.

    Klaus Iohannis:


    « L’état
    de santé d’une nation est un vecteur indéniable de progrès. Voilà pourquoi, on
    doit mettre en place des politiques publiques solides
    ».


    Selon
    l’acte normatif, tous les citoyens de la Roumanie auront le droit garanti par
    l’Etat aux services de nature médicale, sociale et de soutien psychologique.
    Une telle loi est censée faire baisser de 15% le taux de mortalité dans le rang
    des patients oncologiques, grâce à des programmes nationaux de prévention, au
    remboursement des tests génétiques et à la modernisation des centres de soin.

    Le professeur docteur, Patriciu Achimaş-Cadariu, chargé de la dimension
    scientifique du Plan, insiste sur les aspects à prendre en considération dans
    la prise en charge des personnes malades du cancer :


    « Il
    est important de bénéficier d’une commission pluridisciplinaire qui réunisse un
    généticien médical et un psychologue spécialisé en psycho-oncologie. Après, ce
    qui compte c’est l’acte chirurgical, la prise en charge systémique, l’accès à
    la radiothérapie et surtout les temps d’attente».



    Cette semaine encore, le gouvernement de Bucarest
    a décidé qu’à partir du mois prochain, de nouveaux médicaments à l’intention
    des malades cancéreux seront entièrement remboursés.



    Un séisme en Roumanie



    Un séisme de magnitude 5,4 sur l’échelle ouverte
    de Richter s’est produit jeudi matin dans le département de Buzau, dans le
    sud-est de la Roumanie. Le séisme, le plus puissant de ces deux dernières
    années et demie, a été ressenti dans plusieurs villes y compris à Bucarest,
    mais aucun appel au numéro d’urgences 112 n’a été enregistré.

    Le porte-parole
    de l’Inspection générale roumaine des Situations d’Urgence, Adrian Marin, a
    fait quelques précisions :


    « Des
    informations concernant la conduite à adopter avant, pendant et après un
    tremblement de terre sont à lire sur la plateforme nationale
    « fiipregatit.ro », « soitprêt.ro », sur l’application de
    la Direction des situations d’urgence DSU, à télécharger sur les Smartphones ou
    sur le site de la campagne « nutremurlacutremur.ro »,
    « letremblementnemefaitpastrembler ».



    Par ailleurs, il est important de préciser que le
    système national d’alerte, RO-ALERT ne transmet pas de notification avant qu’un
    séisme ne se produise.


    Un séisme plus puissant, d’une magnitude de 5,8
    sur l’échelle ouverte de Richter a eu lieu en octobre 2018 dans le département
    de Buzau. (Trad. Ioana Stancescu)







  • Retrospectiva săptămânii 30.10 – 05.11.2022

    Retrospectiva săptămânii 30.10 – 05.11.2022

    Noul ministru al Apărării şi-a început activitatea


    Social-democratul Angel Tîlvăr a fost desemnat ministru al Apărării în România de conducerea PSD (la coguvernare), după ce portofoliul a rămas vacant săptămâna trecută, în urma demisiei lui Vasile Dîncu. Angel Tîlvăr a declarat că priorităţile mandatului său sunt legate de invazia nejustificată a Rusiei în Ucraina şi de militarii români care sunt prezenţi în diferite teatre de operaţiuni externe. Despre situaţia de securitate la graniţă, Angel Tîlvăr a discutat deja cu ministrul Forţelor Armate Franceze, Sebastien Lecornu, aflat joi la Bucureşti, în contextul în care Franţa conduce grupul de luptă al NATO în România. Ei au inaugurat, la Cincu, sediul Collective Defence Battle Group şi au vizitat facilităţile Centrului Naţional de Instruire Întrunită ‘Getica’.


    Ministrul francez a discutat, de asemenea, cu preşedintele Klaus Iohannis şi cu premierul Nicolae Ciucă despre parteneriatul strategic bilateral, cu accent pe componenta de apărare şi situaţia de securitate din regiunea Mării Negre. Șeful statului a mulţumit Franţei pentru eforturile de constituire şi operaţionalizare a Grupului de Luptă NATO din România, ca parte a angajamentului aliat de întărire a posturii de apărare şi descurajare a Alianţei pe Flancul Estic. La rândul său, Sebastien Lecornu a apreciat profesionalismul militarilor români şi cooperarea foarte bună in timpul executării misiunilor şi activităţilor de instruire desfăşurate în context aliat sau bilateral. Amintim, că luna trecută, Franța a decis să trimită trupe şi echipamente performante suplimentare în România, iar o parte dintre ele au ajuns deja în ţară.



    Republica Moldova primeşte ajutor din partea României


    Cu preşedintele şi cu premierul s-a întâlnit, marţi, la Bucureşti, şi preşedinta Republicii Moldova, Maia Sandu, pentru a cere ajutor autorităților române. Cu războiul la graniţe în pragul iernii și în contextul în care Chişinăul se bazează tot mai mult pe importul de energie electrică din România, aceasta a mulțumit pentru facilitarea furnizării de electricitate, gaze naturale, păcură şi lemne de foc pentru cetăţenii moldoveni. Autorităţile române au dat asigurări că vor continua să sprijine statul vecin în contextul crizei energiei și a gazelor naturale și să ajute Chişinăul în ceea ce priveşte gestionarea refugiaţilor ucraineni, având în vedere că Republica Moldova este statul cel mai afectat de migraţia cetăţenilor din Ucraina.


    Despre situaţia grea din punct de vedere al alimentării cu energie în statul vecin, Maia Sandu a declarat: TRACK Ştiu cât de greu e să oferi ajutor atunci când e greu şi în casa ta, dar astăzi trăim vremuri cu adevărat dramatice şi decisive şi avem nevoie unii de alţii. Din cauza războiului trecem printr-o criză energetică majoră şi riscăm să rămânem fără gaze şi electricitate în această iarnă. De la Chişinău, şi viceprim-ministrul Iurie Ţurcanu a transmis recunoştinţă României pentru sprijinul acordat ‘cu lemne, gaze naturale şi electricitate’. ‘Vă mulţumesc în mod deosebit pentru tot sprijinul pe care România ni-l acordă în aceste clipe, în aceste zile grele pentru ţară – a declarat Iurie Ţurcanu.



    Plan naţional anticancer


    Federaţia Asociaţiilor Bolnavilor de Cancer apreciază ziua în care Planul Naţional de Prevenire şi Combatere a Cancerului a fost promulgat drept una istorică pentru România şi o şansă în plus la viaţă pentru pacienţii cu cancer. Şeful statului, cel căruia îi aparține inițiativa, a subliniat, miercuri, la ceremonia pentru promulgarea Legii privind aprobarea Planului, că trebuie identificate soluţiile pentru a permite accesul larg al populaţiei la opţiuni terapeutice adecvate. Klaus Iohannis: TRACKStarea de sănătate a unei naţiuni este un vector indiscutabil pentru progres şi, din această perspectivă, se impune ca politicile publice în acest domeniu să fie bine fundamentate.


    Planul prevede dreptul garantat al cetăţenilor României la servicii de natură medicală, socială şi de susţinere psihologică. Aplicarea sa ar urma să ducă la reducerea mortalităţii prin cancer cu 15%, prin introducerea de programe de diagnosticare precoce la nivel naţional, decontarea testărilor genetice şi dotarea centrelor de tratament. Coordonatorul ştiinţific al Planului, profesor doctor Patriciu Achimaş-Cadariu, a punctat aspectele care trebuie avute în vedere în tratarea pacienţilor oncologici: TRACK “Contează să avem o comisie multidisciplinară în care să fie un genetician medical şi un psiholog clinician specializat pe oncologie. Şi mai departe, sigur, contează şi chirurgia, contează şi tratamentul sistemic, şi accesul la radioterapie şi contează şi timpul până când avem acces la paleaţie. Tot în această săptămână, guvernul de la Bucureşti a decis că de luna viitoare medicamente noi pentru tratarea pacienţilor cu afecţiuni oncologice vor intra pe lista moleculelor gratuite şi compensate.



    Cutremur în România


    Un cutremur cu magnitudinea 5,4 pe scara Richter s-a produs joi dimineață, în județul Buzău (sud-estul României), în zona seismică Vrancea. Seismul – cel mai puternic din ultimii doi ani și jumătate – s-a simțit puternic și în București. Autorităţile au anunţat că nimeni nu a fost rănit în urma cutremurului, nu au fost apeluri la 112 şi nici nu s-au raportat pagube materiale.


    Purtătorul de cuvânt al IGSU, Adrian Marin, a făcut câteva precizări: “Informaţii despre măsurile şi modul de comportare înainte, în timpul şi după producerea unui seism pot fi regăsite pe platforma naţională de pregătire ‘fiipregătit.ro’, pe aplicaţia de mobil DSU sau pe site-ul campaniei ‘nutremurlacutremur.ro’. Totodată, important de precizat este şi faptul că, în cazul seismelor, sistemul RO-ALERT nu va difuza notificări anterior declanşării acestora. Un cutremur mai mare, cu magnitudinea 5,8 pe Richter, a avut loc în octombrie 2018, în judeţul Buzău.





  • UE – o nouă campanie de sprijin pentru Ucraina

    UE – o nouă campanie de sprijin pentru Ucraina

    Comisarul pentru energie, Kadri Simson, a vizitat Ucraina acum două zile pentru a discuta cu președintele Volodimir Zelenski, și cu partenerii internaționali despre sprijinul concret și imediat pentru sectorul energetic în dificultate.

    Liderul de la Kiev a informat oficialii europeni cu privire la consecințele terorismului energetic al Rusiei, care a afectat deja grav aproximativ 40% din întreaga infrastructură energetică a Ucrainei, în special centralele termice, de cogenerare și hidroelectrice. El a reamintit că, după aderarea Ucrainei la rețeaua electrică europeană, țara sa a început să exporte energie electrică în Europa, însă procesul a fost suspendat din cauza loviturilor cu rachete și drone kamikaze ale Federației Ruse. Volodimir Zelenski a vorbit în detaliu şi despre nevoile Ucrainei în ceea ce privește refacerea infrastructurii energetice și a solicitat Comisiei să joace un rol de coordonare în atragerea de asistență din partea statelor membre ale Uniunii.

    Comisarul european a precizat că, împreună cu statele membre și cu companii private, UE a livrat Ucrainei echipamente energetice de urgență în valoare de milioane de euro, dar nivelul de sprijin trebuie să fie intensificat, având în vedere escaladarea atacurilor Rusiei. În zilele următoare, Comisia, Ministerul Energiei din Ucraina și Comunitatea Energiei vor lansa o campanie dedicată pentru a mobiliza și mai mult sprijin din partea sectorului privat. Comisarul a mai anunțat că au fost alocate 13 milioane de euro pentru restaurarea laboratoarelor deteriorate de ocupanții ruși de la situl nuclear de la Chornobîl și că UE intenționează să canalizeze prin intermediul Agenției Internaționale pentru Energie Atomică încă 3,5 milioane de euro ca sprijin pentru Ucraina în acest sector.

    Pe lângă consolidarea în continuare a sancțiunilor energetice împotriva Federației Ruse, președintele Ucrainei a solicitat introducerea unor plafoane de preț pentru gazul rusesc, precum și limitarea furnizării de gaz lichefiat rusesc către țările Uniunii în cadrul următorului pachet de sancțiuni, care trebuie aprobat cât mai curând posibil.


  • La Roumanie épaule la République de Moldavie

    La Roumanie épaule la République de Moldavie

    A la tête d’un pays si
    proche de la guerre en Ukraine et si dépendant des importations d’électricité
    de Roumanie, la cheffe de l’Etat moldave, Maia Sandu, s’est déplacée mardi, à
    Bucarest, pour demander aux autorités roumaines de continuer à soutenir
    Chisinau. Celles-ci l’ont assurée quand à l’appui que la Roumanie offrira à son
    voisin moldave afin qu’il surmonte la crise énergétique, mais aussi celle
    provoquée par les réfugiés ukrainiens. Lors des consultations politiques avec
    son homologue roumain, Klaus Iohannis, Maia Sandu a remercié la Roumanie pour
    les mesures adoptées, au terme desquelles, le pays livrera plus facilement à la
    Moldavie, de l’électricité, des gaz natures, du mazout et du bois de chauffage.
    Les deux chefs d’Etat ont examiné aussi le stade des projets bilatéraux d’interconnexion
    énergétique. L’occasion pour Iohannis de faire part du soutien de la Roumanie
    aux démarches déployées par les autorités moldaves pour moderniser le système
    énergétique du pays, selon les normes imposées par l’UE. Bucarest continuera à
    appuyer la République de Moldavie dans ses efforts de rejoindre la communauté
    européenne.


    La situation sécuritaire
    et la coopération énergétique régionale ont dominé les pourparlers que Maia
    Sandu a eus avec le chef du gouvernement roumain, Nicolae Ciuca. La présidente
    moldave a remercié la Roumanie pour sa réaction immédiate de soutien face au
    défit d’électricité auquel se confronte son pays. En fait, Bucarest a commencé à fournir de l’énergie électrique
    et des gaz naturels à son voisin moldave, après la suspension par l’Ukraine de
    ses exportations énergétiques suite aux dégâts subis par ses centrales.


    Maia Sandu a invoqué le
    sujet de l’approvisionnement énergétique de son pays dans un discours prononcé
    à Bucarest, lors d’une conférence internationale sur l’égalité des genres.


    « Je sais à quel
    point il est difficile d’offrir son aide quand on se confronte à ses propres
    difficultés. Mais, de nos jours, la situation s’avère vraiment dramatique et
    voilà pourquoi, nous avons besoin les uns des autres. La guerre nous a plongés
    dans une crise énergétique majeure et nous risquons de rester en hiver, sans
    gaz ou électricité. Les consommateurs
    moldaves sont obligés à payer des tarifs de gaz six fois plus élevés que
    l’année dernière et deux fois plus chers que ceux de Roumanie. La situation
    s’avère tout aussi dramatique en ce qui concerne l’électricité. Après les
    bombardements perpétrés par la Fédération de Russie contre les réseaux
    ukrainiens, Gazprom a réduit de 50% le volume de gaz destiné à la République de
    Moldavie. Entre temps, l’incertitude plane sur l’approvisionnement en
    électricité sur la rive gauche du Dniester, pour le mois de décembre. Assurer
    au pays son nécessaire énergétique est devenu un défi à relever chaque jour»



    La Roumanie n’est pas l’unique
    pays à soutenir la République de Moldavie. A l’issue d’une réunion du Conseil
    nordique déroulée mardi, à Helsinki, la Norvège, le plus grand fournisseur de
    gaz naturel en Europe, la Finlande, la Suède et l’Islande se sont engagés à
    aider l’Ukraine et la République de Moldavie à se doter de leur nécessaire
    énergétique pour cet hiver.