Tag: étudiants

  • 01.10.2013 (mise à jour)

    01.10.2013 (mise à jour)

    Intempéries – La capitale roumaine, Bucarest, et huit autres départements du sud de la Roumanie ont été placés jusqu’à mercredi en vigilance orange contre des pluies abondantes et du vent fort. L’alerte jaune est valable dans 13 autres départements du pays. Rues et maisons submergées par les eaux, arbres arrachés par le vent et localités privées d’électricité, c’est le premier bilan des intempéries. Dans la capitale, les transports publics ont été perturbés. En montagne, le trafic routier se déroule avec difficulté en raison de chutes de neige. La vigilance orange contre les inondations concerne de nombreuses rivières roumaines, dont plusieurs situées dans le sud-est du pays, risquent de déborder. Sur la côte roumaine de la mer Noire, tous les ports ont été fermés en raison du vent très fort.



    Accises – La Banque Centrale Européenne a annoncé mardi le taux de change de l’euro par rapport à la monnaie roumaine, le leu, en fonction duquel les accises seront calculées en 2014. Le taux de référence sera de 4,44 lei pour un euro, en baisse de 1,6% par rapport à celui de l’année dernière. Les grandes catégories de produits soumis à accises sont les carburants, l’électricité, le tabac et l’alcool.



    Stratégie – Réunion du Conseil suprême de défense du pays, formé par le président de la République, le premier ministre et les principaux responsables de la sécurité nationale. A l’agenda, la stratégie de l’industrie nationale de sécurité et le projet de loi relatif à la constitution de réserves de pétrole et de produits pétroliers, ainsi que d’autres sujets relatifs à la sécurité nationale. La Roumanie table sur l’exploitation du gaz de la Mer Noire, dans d’autres périmètres que ceux exploités à l’heure actuelle par OMV Petrom et Exxon, a déclaré mardi le ministre chargé de l’énergie, Constantin Nita. OMV Petrom, qui fait partie du groupe autrichien OMV et la compagnie américaine Exxon ont annoncé avoir découvert des réserves de gaz en Mer Noire allant entre 42 et 84 milliards de mètres cubes. Précisions qu’en moyenne la Roumanie brûle environ 14 milliards de mètres cubes de gaz par an.



    Etudiants – Mardi, cétait la rentrée pour près de 450.000 étudiants roumains. Sur ce, environ 340 mille suivent les cours des universités publiques. Le premier ministre roumain Victor Ponta a déclaré que son gouvernement continuait d’appuyer le système universitaire. Même si l’enseignement roumain est toujours confronté à différentes pénuries, certaines évolutions positives sont de plus en plus visibles a également avoué le chef du cabinet de Bucarest. Le gouvernement a réussi à faire progresser le taux d’absorption des fonds structurels, grâce auxquels il peut appuyer l’enseignement supérieur, vu que les allocations budgétaires demeurent insuffisantes, a finalement ajouté Victor Ponta.

  • Michel Beine (Belgique) – les coûts des fournitures pour un étudiant

    Michel Beine (Belgique) – les coûts des fournitures pour un étudiant


    La rentrée à l’université dépend beaucoup du profil de la faculté suivie. D’abord, il faut voir si les études sont payantes ou pas. Admettons qu’elles sont payantes. Vu l’autonomie universitaire, les tarifs ne sont pas identiques pour les mêmes études dans deux centres universitaires différents.






    Ainsi, étudier la Chirurgie dentaire est moins cher à l’Université de médecine et de pharmacie de Timişoara (près de 1000 euros) qu’à celle de Bucarest (1500 euros). La médecine est en fait une faculté qui est loin d’être bon marché, c’est peut-être même la plus chère en Roumanie. Compter d’abord le prix de l’équipement : blouse blanche obligatoire pour pouvoir participer aux cours — environ 10 euros.






    Les livres sont, bien entendu, payants. Un atlas d’anatomie coûte près d’une centaine d’euros. A cela s’ajoute le prix de différents autres livres ; certains professeurs qui en ont écrit les ont postés sur Internet, mais ce ne sont pas les plus nombreux… Les cahiers et instruments pour écrire ne coûtent pas beaucoup, mais comme partout, cela dépend de la marque choisie. Au moins 150 euros la rentrée, sans compter les vêtements et chaussures. Il y a ensuite le Bal des bleus… (Ligia Mihaiescu)