Tag: Eurostat

  • Nachrichten 18.02.2014

    Nachrichten 18.02.2014

    BUKAREST: Aufgrund der Spannungen innerhalb der Regierungskoalition ist das Führungsgremium der Nationalliberalen Partei am Dienstagabend zu einer Krisensitzung zusammengekommen. Das Treffen findet vor dem Hintergrund der Diskussionen zwischen den zwei Co-Vorsitzenden der Koalition, dem Liberalen Crin Antonescu und dem Chef der Sozialdemokraten, Victor Ponta, über die neue Struktur des Regierungskabinetts statt. Die Liberalen sind nicht einverstanden, ein neues Amt eines zusätzlichen Vizeministerpräsidenten für die mitregierende Konservative Partei einzuführen. Die Spannungen innerhalb der Regierungskoalition entfachten nach der Entscheidung der National-Liberalen Partei, vier liberale Minister aus ihren Ämtern zu entlassen und neue Minister zu ernennen. Ferner hatte die National-Liberale Partei beschlossen, sich allein an der Wahl für das Europäische Parlament zu beteiligen, während die Sozial-Demokratische Partei an der Europa-Wahl auf einer gemeinsamen Liste zusammen mit den kleineren Regierungspartnern, der Konservativen Partei und der Nationalen Union für den Fortschritt Rumäniens im Rahmen einer neugegründeten Sozialdemokratischen Union (USD) teilnimmt.



    BRÜSSEL: Rumänien zählt zu den EU-Staaten mit der geringsten Energie-Abhängigkeit. Laut Angaben des Europäischen Statistik-Amtes Eurostat, würden nur 22,7% des internen Energiebedarfs durch Importe gedeckt. In dieser Hinsicht stünden lediglich Estland und Dänemark besser da. Dänemark sei 2012 ohnehin der einzige Netto-Energieexporteur der Union gewesen, hie‎ß es. Am Ende der Energieabhängigkeits-Rangliste befinden sich Malta, Luxemburg und Zypern. Ferner sei der Energiekonsum in 24 Mitgliedsstaaten, einschlie‎ßlich Rumänien, ab 2006 ständig gesunken.



    BUKAREST: Das Rumänische Au‎ßenministerium hat keine offiziellen Bestätigungen hinsichtlich der Anwesenheit rumänischer Bürger an Bord des entführten äthiopischen Flugzeugs erhalten, hie‎ß es in einer am Dienstag veröffentlichten Mitteilung. Die Reaktion des Rumänischen Au‎ßenministeriums kommt nachdem ein hoher äthiopischer Amtsträger erklärt hatte, dass in dem betreffenden Flugzeug, sich auch Rumänen befinden. Der Entführer, der äthiopische Kopilot, verlangte politisches Asyl in der Schweiz, wurde aber in Genf verhaftet.

  • Le tourisme en tant qu’affaire

    Le tourisme en tant qu’affaire


    Selon l’Institut National des Statistiques, les arrivées et les nuits passés dans des unités touristiques de Roumanie ont augmenté de 3,5%, respectivement de 1,1%. Ainsi, les arrivées ont totalisé 7,91 millions et les nuitées –19,3 millions. Les arrivées des touristes roumains ont représenté 78,3% du total, un poids proche de celui de 2012. Quant aux arrivées des touristes étrangers dans les structures d’accueil touristique, le poids le plus important a été tenu par ceux d’Europe, respectivement 80 ;5% du total des touristes étrangers, de ceux-ci venaient des pays de l’Union Européenne.



    Sur le total des touristes étrangers de 1,71 millions, les plus nombreux venaient d’Allemagne, presque 230 milliers, plus de 180 milliers d’Italie et presque 120 milliers de France. Les arrivées dans des hôtels ont détenu un poids de 74,4% du total dans les structures d’hébergement. Les arrivées des viseurs étrangers en Roumanie enregistrées aux points de passe-frontière ont excédé les 8,01 millions, en croissance de 1% par rapport à 2012.



    Selon les chiffres EUROSTAT, le tourisme roumain est loin derrière celui des Etats voisins, les citoyens étrangers passant l’année dernière dans notre pays seulement 3,5 millions de nuitées, de 5,1% davantage qu’en 2012 ? ce qui veut dire quatre fois moins que les résultats de Hongrie ou de Bulgarie.



    Le même Institut National des Statistiques annonce que la plupart des étrangers qui se rendent en Roumanie ne sont pas intéressées par le tourisme mais s’installent à Bucarest ou dan,s les chefs lieux de départements pour affaires ou pour visiter leurs parents ou amis. Un quart, seulement, des étrangers qui visitent la Roumanie préfèrent la mer, la montagne, le delta du Danube, les stations balnéaires ou les circuits touristiques.



    Voici les déclarations de Radu Filipescu, président de l’Autorité Nationale pour le Tourisme devant le micro de Radio Roumanie à Madrid pendant le déroulement dans la deuxième moitié du mois de janvier de la Foire de tourisme de la capitale espagnole: « Nous ne nous contentons pas d’être connus seulement pour Dracula ou pour d’autres circuits. Nous voulons être connus pour ce que la Roumanie a à offrir et c’est la raison pour laquelle nous voulons mettre l’accent sur le côté culturel, sur le tourisme rural et authentique en premier lieu, car ce sont exactement les valeurs que nous promouvons à l’heure actuelle. La Roumanie peut, également, se mettre en évidence par sa gastronomie et je peux certifier que beaucoup de touristes qui s’étaient rendus en Roumanie disaient que notre pays est un paradis des gourmands et des gourmets. Le problème est q’il faut promouvoir ces aspects beaucoup davantage. Il faut développer toute une série de segments des produits touristiques quoi commencent à se développer à l’échelon mondial, le tourisme d’affaires, le tourisme de croisières, par exemple le long du Danube, qui commence à attirer davantage de touristes ; mais il faut faire attention à la manière de les promouvoir. »



    Qu-est ce qui manquait jusqu’à présent ? « Mon opinion est que cette périodicité manquait. Nous ne faisions pas assez attention au moment de démarrage d’une telle campagne de la continuer, de lui assurer une certaine périodicité dans la promotion ce qui a engendré des syncopes dans la communication et dans la promotion, la Roumanie étant absente dans certaines zones, ce qui veut dire maintenant fournir des efforts supplémentaires. C’est pour cette raison que notre campagne de promotion vise une combinaison de marketing sur les marchés prioritaires via des campagnes TV, de campagnes indoor, de campagnes en ligne et, de toute évidence, la présence dans les foires et, ce que nous voulons beaucoup et que nous avons réalisé déjà en 2013, le développement accéléré des info-trips et des méthodes de e-learning qui nous aident à entrer en contact direct avec les employés des agences de tourisme de nos marchés traditionnels et, donc, automatiquement, d’Espagne, et développer autant que possible la partie info-trips à l’adresse des journalistes et des leaders d’opinion des marchés respectifs. »



    La Roumanie va inaugurer cette année trois bureaux de promotion touristique à Tokyo, Tel Aviv et Bruxelles et va renoncer à son activité de Paris. » – a déclaré pour l’agence MEDIAFAX Maria Grapini, ministre délégué aux PME, milieu d’affaires et tourisme. Le bureau du Japon sera inauguré avant le mois de septembre, celui d’Israël au printemps et, toujours pendant la première de l’année on va fermer le bureau de Paris et on va en inaugurer un autre à Bruxelles pour couvrir l’activité de France, de Belgique et du Pays bas.



    La Roumanie détient des bureaux de promotion touristique à Nez York, Berlin, Londres, Rome, Madrid, Moscou, Vienne et Varsovie. Pour ce qui est du tourisme pour les Roumains, voici les propos de la présidente de la Fédération des Associations de Promotion Touristique de Roumanie, Corina Martin: « 2014 commence à se présenter bien. Nous avons mené un premier test en novembre dernier, lors de la Foire de Tourisme de Roumanie quand nous avons lancé en première les vacances d’inscriptions anticipées LITTORAL 2014. Il est vrai, le littoral se maintient en tête des destinations de tourisme en Roumanie, du point de vue de l’attitude et mental car, voilà, nous réussissons à lancer déjà en novembre des tarifs, des prix et des offres très avantageux. 40% à 50% , cela veut dire un discount consistent , surtout que nous envisageons des vacances aux mois de juillet et d’août lorsque les tarifs sont, d’habitude, les plus élevées, compte tenu de la pleine saison estivale. Les Roumains commencent à acheter leur vacance intelligemment, ils commencent à apprécier les avantages des réservations anticipées. En même temps, notre offre spéciale demeure pour toute destination. La Fédération des Associations de Promotion Touristique de Roumanie de concert avec les agences de tourisme ANAT envisagent également les offres bien connues « Littoral pour tous », « Vacances à la montagne », « Vacances au village » et « Une semaine de récupération balnéaire » des périodes es saison creuse, programmes qui sont déjà habituels pour les touristes roumains et dont les prix sont effectivement les meilleurs de l’année. Ces programmes ne sont disponibles, comme on le sait, que dans les agences de tourisme ANAT. »



    L’Autorité Nationale pour le Tourisme a annoncé qu’en 2013, égalent, le nombre des agences de tourisme de Roumanie a augmenté de 17% jusqu’à 3320 en dépit de la fermeture de presque 100 sociétés du domaine. L’industrie de l’hospitalité représente un peu plus que 2% du PIB, presque la moitié de la moyenne au niveau de l’Union Européenne. Les restaurants représentent à peu près 40% du chiffre d’affaires du secteur et emploie 43% de la main d’œuvre.



    Les hôtels occupent la seconde place avec leur 31% de chiffre d’affaires de l’industrie de l’hospitalité. On pourrait y ajouter que le budget moyen que les Roumains sont disposés à allouer pour des vacances dans leur pays se situe entre 200 et 500 euros tandis que pour des vacances à l’étranger , de 500 à 700 euros….(trad. : Costin Grigore)

  • Die rumänische Wirtschaft in 2014

    Die rumänische Wirtschaft in 2014

    In den ersten neun Monaten des Jahres 2013 hat Rumänien ein Wirtschaftswachstum von 2,7 % verzeichnet. Die Regierung in Bukarest prognostozierte ein jährliches Wachstum von 2,2 %. Laut dem europäischen Statistikamt Eurostat registrierte die rumänische Wirtschaft im 3. Quartal das grö‎ßte Wirtschaftswachstum in der EU, sowohl gegenüber den vorigen drei Monaten als auch gegenüber der Vorjahresperiode. Die rumänische Wirtschaft wuchs im 3. Quartal um 1,6 %, die litauische um 1,2 %, die britische und ungarische um 0,8 %. Das höhere Wirtschaftswachstum, der Konsolidierungskurs, die kleinste Inflationsrate nach 1989, das Haushaltsdefizit von etwa 2 % vom Bruttoinlandsprodukt und das Rekordhoch der Exporte, der Industrieproduktion und der landwirtschaftlichen Produktion deuten darauf hin, dass in Rumänien ein neuer Wirtschafts-Zyklus begonnen hat.



    Ein Faktor, der zu diesem Wirtschaftswachstum beigetragen hat, ist das Abkommen mit dem IWF. Das zweite Abkommen vorbeugender Art in Höhe von 3,5 Milliarden Euro wurde für zwei Jahre abgeschlossen. Das ist ingesamt das dritte Abkommen Rumäniens mit dem IWF. Das erste wurde 2009 unterzeichnet, das zweite 2011.



    Die bessere Wirtschaftslage beeinflusste auch die Inflationsrate. Das Ziel der rumänischen Notenbank lag bei 2,5 %. Das wäre die kleinste Inflationsrate nach der Wende.



    Der Star der rumänischen Wirtschaft war jedoch die Landwirtschaft. Die Wetterbedingungen waren schlecht, die Behörden haben allerdings in Bewässerungsanlagen investiert. Die landwirtschaftliche Produktion war um 50 % grö‎ßer als 2012 und erreichte in 2013 22 Millionen Tonnen. Eine weitere wichtige und erwartete Ma‎ßnahme war die Herabsetzung der Mehrwertsteuer für Brot von 24 % auf 9 %. In diesem Sektor verzeichnete man eine Steuerhinterziehung von 70 %.



    Auch die europäischen Fonds haben zum Wachstum beigetragen. Bis November 2013 hatte Rumänien 27 % der zugewiesenen Fonds abgeschöpft. Rumänien nimmt jedoch in diesem Bereich weiter den letzten Platz in der EU ein. 2013 war ein gutes Jahr auch für die rumänische Währung, für den Leu. Wirtschaftsanalysten meinen, der Wechselkurs der rumänischen Währung gegenüber dem Euro könnte in 2014 schwanken. 2014 ist ein Wahljahr und das könnte politische Instabilität mit sich bringen.

  • 04.12.2013 (mise à jour)

    04.12.2013 (mise à jour)

    Croissance – La Roumanie a connu la croissance économique la plus importante de l’UE au 3e trimestre de 2013, tant par rapport aux 3 mois précédents que par rapport à la période juillet-septembre 2012, selon la seconde estimation publiée mercredi par l’Office européen de statistique Eurostat. Grâce à une croissance trimestrielle de 1,6%, la Roumanie est leader dans l’Union, suivie par la Lettonie (1,2%), le Royaume Uni et la Hongrie (les deux avec 0,8%), et la Pologne (0,6%). Selon l’Eurostat, de juillet à septembre 2013, l’expansion de l’économie de la zone euro a ralenti à 0,1%, après une avancée de 0,3% au trimestre précédent, et l’UE a connu une croissance de 0,2%, après celle de 0,4% enregistrée au 2e trimestre de l’année en cours.



    Environnement – La ministre roumaine de l’Environnement, Rovana Plumb, et le secrétaire d’Etat britannique à l’Energie et aux Changements climatiques, Edward Davey, ont signé mercredi, à Londres, une déclaration commune roumano-britannique portant sur la « croissance verte ». La Roumanie et le Royaume Uni s’engagent ainsi à lancer un dialogue pour une économie à faibles émissions de carbone. Les deux pays réaffirment leur engagement de limiter la hausse de la température moyenne globale à moins de 2° Celsius par la réduction, jusqu’en 2050, des émissions de gaz à effet de serre de 80 à 95% par rapport au niveau de 1990.



    Diplomatie – Le nouvel ambassadeur de Roumanie aux Etats Unis, Iulian Buga, a présenté ses lettres de créance au président Barack Obama, lors d’une cérémonie qui a eu lieu à la Maison Blanche. Au sujet de son mandat, il a insisté sur l’élargissement et la consolidation des échanges commerciaux et des relations économiques bilatérales. Iulian Buga a également souligné les attentes naturelles des Roumains en matière d’accès aux Etats Unis et d’inclusion de la Roumanie dans le programme Visa Waiver le plus tôt possible.



    Ukraine – Les ministres des Affaires étrangères des Etats de l’OTAN ont décidé de participer à la réunion de l’OSCE en Europe prévue jeudi à Kiev, pour passer un message concordant, dans le contexte où l’Ukraine est présidente en exercice de l’organisation. La déclaration a été faite par le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean, présent mercredi à Bruxelles, à la réunion ministérielle du Conseil de l’Atlantique Nord. Il a affirmé, d’autre part, que la Roumanie avait réitéré son engagement ferme de conférer de la substance au principe de la politique des portes ouvertes et qu’elle continuera d’accorder tout son appui aux quatre pays aspirants à l’admission à l’Alliance — Géorgie, Monténégro, Macédoine et Bosnie-Herzégovine.



    Association – Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a salué, mercredi, à Chişinău, la signature par la République de Moldova, à Vilnius, de l’Accord d’association à l’UE. Il a mentionné que le rapprochement de la communauté européenne accroîtrait les investissements et la confiance des institutions financières. L’officiel américain, qui a rencontré le premier ministre Iurie Leancă, a précisé que, jusqu’à présent, les Etats Unis avaient accordé à la République de Moldova de l’assistance financière de 1,1 milliards de $ et que cette assistance se poursuivrait. A son tour, Iurie Leancă a assuré que la République de Moldova continuerait son rapprochement de l’UE ainsi que la démocratisation du pays. John Kerry est le deuxième haut official américain à visiter ce pays, après le vice président Joe Biden, en mars 2011.



    Visas – Le président du Sénat de Bucarest, Crin Antonescu, a assuré, mercredi, que la Roumanie serait le premier Etat qui lèverait les restrictions de visa pour les ressortissants moldaves dès lors que l’UE prendra cette décision. A l’issue de sa rencontre avec le chef du législatif, Igor Corman, Crin Antonescu a affirmé que la Roumanie ferait tous les efforts pour que l’intégration de la République de Moldova dans l’UE soit aussi rapide que possible. En visite officielle de deux jours dans ce pays, l’officiel roumain doit rencontrer le président Nicolae Timofti et le premier ministre Iurie Leancă. Crin Antonescu visitera également Radio Chişinău, projet spécial de Radio Roumanie, qui fête en décembre ses 2 années d’existence. La visite de l’officiel roumain s’inscrit parmi les démarches entreprises par la Roumanie afin de soutenir le parcours européen de Chisinau.



  • Nachrichten 14.11.2013

    Nachrichten 14.11.2013

    BUKAREST: Das Bukarester Verfassungsgericht hat am Donnerstag die Beschwerde des Staatspräsidenten Traian Basescu betreffend die Änderung des Referendumsgesetzes mit der Senkung der Beteiligungsschwelle auf 30% der auf den Listen eingetragenen Wähler abgelehnt. Die Entscheidung des Verfassungsgerichts ist endgültig und in der Regel obligatorisch. Das Referendumsgesetz soll nun vom Staatschef promulgiert werden. Ende Mai hatte die Abgeordnetenkammer als Entscheidungsgremium den Gesetzentwurf über die Senkung der Beteiligungssschwelle am Referendum von 50% auf 30% angenommen. Der rumänische Staatschef sagte, der Gesetzentwurf enhalte Vorschriften, welche einige in der Verfassung verankerte Grundsätze betreffend die Ausübung der Souveranität des Volkes verletzen. Die 50% Schwelle für die Gültigkeit eines Referendums sorgte für einen politischen Disput im Sommer 2012, anlä‎ßlich des Referendums zur Suspendierung des Staatspräsidenten. Das Referendum wurde damals wegen unausreichender Beteiligung für nicht gültig erklärt, obwohl die überwiegende Mehrheit der Bürger, die zu den Urnen gekommen waren, für die Suspendierung des Staatspräsidenten abgestimmt hatten.



    BUKAREST: Das rumänische Regierungskabinett hat am Donnerstag den Haushaltsentwurf für 2014 angenommen. Die mitte-rechts orientierte Exekutive hatte als wichtigste makroökonomische Indikatoren für nächstes Jahr ein eingeschätztes Wirtschaftswachstum von 2,2%, eine Inflation von 2,2% und eine Investitionsstruktur von 6% des Bruttoinlandsproduktes vorgeschlagen. Bedeutende Haushaltserhöhungen erhalten unter anderen die Ministerien für Gesundheit, Regionalentwicklung und Öffentliche Verwaltung, Finanzen und Landwirtschaft. Gekürzt werden die Budgets des Kulturministeriums, Wirtschaftsministeriums, Au‎ßenministeriums und Justizministeriums. Ebenfalls am Donnerstag hat das Bukarester Regierungskabinett das umstrittenene Gesetzentwurf über Dezentralisierung angenommen. Nächste Woche wird die rumänische Regierung die Verantwortung für das Dezentralisierungsgesetz übernehmen.



    BUKAREST: Die Angestellten vom rumänischen Gesundheitssystem werden am 25. November einen Warnstreik und am 28. November einen Generalstreik antreten – so die Gewerkschaften aus diesem Sektor. Die Regierung hat keine Lösungen gefunden, was zu Unzufriedenheiten führte. Die Angestellten fordern den Rucktritt des Gesundheitsministers Eugen Nicolaescu, die Zuweisung von 6% des BIP für das Gesundheitssystem, ein neues Entlohnungsgesetz, spezifisch für diesen Bereich und bessere Arbeitsbedingungen. In den letzten Wochen organisierten die Gewerkschaften vom Gesundheitssystem mehrere Protestdemonstrationen und Mahnwachen vor dem Sitz der Regierung und des Gesundheitsministeriums.



    BUKAREST: Der rumänische Au‎ßenminister, Titus Corlatean, unternimmt am Freitag einen Arbeitsbesuch in Athen, auf Einladung seines griechischen Amtskollegen, Evangelos Venizelos. Am 1. Januar 2014 übernimmt Griechenland die turnusmä‎ßige EU-Ratspräsidentschaft. Ebenfalls ab Januar 2014 übernimmt Rumänien für ein Jahr die Präsidentschaft des Südosteuropäischen Kooperationsprozesses (SEECP). In Athen werden der rumänische und der griechische Au‎ßenminister den Stand der bilateralen Kooperation untersuchen und neue Kooperationsprojekte identifizieren, vor allem in den Bereichen Wirtschaft, Investitionen, Energie, Transport und Infrastruktur, regionale Entwicklung, Tourismus und Kultur.



    BRÜSSEL: Rumänien erreichte im 3. Quartal dieses Jahres das grö‎ßte Wirtschaftswachstum in der Europäischen Union – um 1,6% höher als im 2. Quartal 2013 und um 4,1% höher als im 3. Quartal 2012. Dies gab am Donnerstag das Europäische Statistikamt EUROSTAT bekannt. Die Behörden in Bukarest schätzen einen Wirtschaftsanstieg von 2,2% sowohl für 2013 als auch für 2014. Die Vertreter des IWFs erklärten nach den Gesprächen mit den rumänischen Behörden, der reale Anstieg des BIPs sei dank der guten landwirtschaftlichen Produktion und der positiven Entwicklung der Exporte konsolidiert worden.

  • Nachrichten 13.11.2013

    Nachrichten 13.11.2013

    BRÜSSEL: Rumänien belegt den 2. Platz in der EU beim Zuwachs der Industrieproduktion in September, steht in den Angaben, die am Mittwoch vom Europäischen Statistikamt EUROSTAT veröffentlicht wurden. September 2013 sei die Industrieproduktion in vergleich zu August in 12 Mitgliedsstaten gesunken und in 13 Mitgliedsstaaten gestiegen, so EUROSTAT. Die grö‎ßte Steigerung der Industrieproduktion gab es in Irland (2,9%), Rumänien (2,4%), Ungarn und Polen, und die bededeutendsten Senkungen gab es in Portual, Luxemburg, Kroatien und Tschechien.



    BUKAREST: Tausende Studenten haben am Mittwoch erneut gegen die Position der Regierenden gegenüber der Ausbildung protestiert. Die protestierenden Stundenten fordern, dass 6% des BIP für Ausbildung zugewiesen werden. Weitere Forderungen der Studenten sind die Erhöung der Subvention für Stundenteheime und für Kantinen um 30% und die Erhöhung des Stipendienfonds. Der delegierte Minister für Universitärstudien Mihnea Costoiu versicherte die Studenten, dass die von ihm geführte Institution alle Bemühungen unternimmt, um deren Situation zu verbessern und um den Zugang zu einem hochqualitativen Bildungssystem, innerhalb der Haushaltseinschränkungen, mit der sich Rumänien konfrontiert, zu gewährleisten.



    BUKAREST: Der rumänische Staatspräsident Traian Basescu hat erklärt, neben den nationalen Ma‎ßnahmen zur Bekämpfung der Jugendarbeitslosigkeit sei es besonders wichtig, dass ein europäisches Signal zur Unterstützung der Freizügigkeit der Arbeitnehmer gegeben wird, so dass die jungen Leute Ausbildungs- und Einstellungsmöglichkeiten erhalten. Bukarest unterstütze die Bedeutung der Abschaffung der existierenden Hindernisse im Bereich Freizügigkeit der Arbeitskräfte und die Vermeidung der Gerüchte, die Unsicherheit betreffend die Freizügigkeit der Arbeitnehmer in der EU hervorrufen, sagte noch Präsident Basescu, der am Dienstag in Paris an einem Gipfeltreffen zum Thema Arbeitsplätze für junge Arbeitnehmer teilgenommen hat.



    BUKAREST: Das rumänische Regierungskabinett hat am Mittwoch den Haushaltsentwurf für 2014 besprochen. Am Donnerstag soll der Gesetzeentwurf angenommen werden. Grundlage der Gespräche waren die bereits eingereichten Vorschläge betreffend die makroökonomischen Indikatoren fur nächstes Jahr — nämlich ein eingeschätztes Wirtschaftswachstum von 2,2%, eine Inflation von 2,2% und eine Investitionsstruktur von 6% des Bruttoinlandsproduktes. Die regierende Sozial-Liberale Union diskutiert die Endvariante des Gesetzentwurfs über Dezentralisierung. Die Regierung wird die Verantwortung für das Dezentralisierungsgesetz übernehmen.

  • 05.08.2013

    05.08.2013

    Privatisation – La responsabilité de la privatisation de la compagnie de fret ferroviaire CFR Marfa incombe au Gouvernement et non pas au Conseil Suprême de Défense du Pays. C’est ce qu’a déclaré lors d’une conférence de presse, lundi, le président roumain, Traian Basescu. Il a également mis en garde contre le fait que si les procédures de privatisation n’étaient pas achevées, le gouvernement risquerait de devoir payer des dommages intérêts envers le gagnant de l’appel d’offres. Rappelons qu’à la demande de l’Exécutif le Conseil Suprême de Défense du Pays avait discuté vendredi de la privatisation, toujours pas finalisée, de ladite société, contrôlée entièrement par l’Etat. L’appel d’offres organisé en juin dernier pour le rachat du paquet majoritaire d’actions avait été remporté par une compagnie autochtone, qui s’est engagée à payer environ 200 millions d’euros pour 51% des actions. Comme le ministre des transports Relu Fenechiu a démissionné et que l’intérim est assuré par le premier ministre Victor Ponta, la privatisation de la compagnie CFR Marfa est devenue la pomme de discorde entre le président de la République et le chef du cabinet.



    Finances – La Banque centrale de Roumanie (BNR) a annoncé sa décision de réduire, à compter du mardi 6 août, son taux directeur de 0,5 points à 4,5%, sur fond de ralentissement de linflation. La BNR avait déjà réduit de 0,25% son taux directeur en juillet, après lavoir maintenu inchangé à 5,25% depuis mars 2012. La banque centrale de Roumanie a également décidé de maintenir au niveau actuel, soit 20%, les taux des réserves minimes obligatoires des institutions de crédit applicables aux passifs en lei et en devises.



    Gaz – Le chargé d’affaires du Kazakhstan à Bucarest, Talgat Kaliyev, considère que la proposition du gouvernement d’Astana de livrer des gaz naturels à la Roumanie par une extension du gazoduc South Stream, qui passe par la Bulgarie, est réaliste et profitable. Selon diplomate mentionné, la position géostratégique de la Roumanie et sa qualité d’Etat membre de l’UE sont des facteurs clé dans la stratégie par laquelle le Kazakhstan envisage d’élargir et de consolider sa position sur le marché européen de l’énergie. Astana fait cette proposition quelques mois après le coup de grâce porté par l’Azerbaïdjan au projet du gazoduc Nabucco, dans lequel le gazier roumain Transgaz avait investi plusieurs dizaines de millions d’euros ; au début de cette année, Baku avait décidé d’utiliser un autre gazoduc, qui traverse la Grèce et l’Albanie, pour livrer son gaz à l’Italie. Concurrent de South Stream, le projet Nabucco était soutenu par la Russie.



    Commerce — Les données fournies ce lundi par Eurostat relèvent que la Roumanie occupe la troisième place dans l’UE pour ce qui est de la baisse du commerce de détail au mois de juin. La diminution la plus importante du volume des ventes du commerce de détail a été enregistrée en Espagne (moins 6,9%), en Slovénie (moins 3,6%) et en Roumanie (moins 3,1%). Au pôle opposé, des pays tels le Luxembourg, la Lituanie et la Pologne ont connu des croissances importantes de ce commerce, respectivement de 27,5%, 6,7% et 5,5%. Enfin, en juin 2013, par rapport à juin 2012, l’indice de ces ventes a diminué de 0,9% dans la zone euro et a crû de 0,1% dans lUE.



    Justice – Gabriel Bivolaru, ancien député social-démocrate pendant la législature 1996-2000, a été retenu par les procureurs roumains pour implication dans une affaire de vol de produits pétroliers, évasion fiscale et blanchiment d’argent. En mars 2004, Gabriel Bivolaru a été condamné à 5 ans de prison ferme pour avoir causé un préjudice bancaire de 50 millions d’euros, mais il a été libéré pour bonne conduite en 2007, deux ans avant le délai.



    Concours — La Roumanie a occupé la première place à l’édition 2013 de l’Olympiade internationale de géographie. Les élèves roumains de Bucarest, Galati, Iasi et Pitesti ont remporté trois médailles d’or et une d’argent. Le concours, qui a eu lieu du 30 juillet au 5 août à Kyoto, au Japon, a réuni des participants de 32 pays. Par ailleurs, à l’Olympiade Internationale d’Astronomie et d’Astrophysique, organisée en Grèce, les jeunes roumains ont décroché deux médaille d’or, deux d’argent et une de bronze.



    Festival – Dernier lever de rideau à Sibiu (centre de la Roumanie), pour la 38e édition du Festival International de Folklore Cântecele Muntilor — Les chants des montagnes. Plus de 800 artistes de Roumanie, Brésil, Mexique, Serbie, Bélarus, Monténégro et Allemagne ont donné, pendant six jours, des spectacles de musique et danse traditionnelles. A cela se sont ajoutés des expositions, des ateliers de musique et de danse, des soirées de gastronomie traditionnelle, des défilés de costumes, pour la plus grande joie d’une centaine de milliers de spectateurs.



    Culture – Mangalia, ville-port de la Roumanie à la Mer Noire, accueille, à partir de lundi, la Semaine de l’éducation, de la culture et de la spiritualité roumaines, partie du programme Diaspora Estival 2013. Cet événement, organisé par le Département pour les Roumains du monde, du Ministère des Affaires Etrangères de Bucarest, veut contribuer à la consolidation de l’identité nationale des Roumains qui vivent dans les pays voisins de la Roumanie. Des débats et des conférences sur la langue et la civilisation roumaines, sur l’histoire, la géographie, l’art et la littérature de la Roumanie sont à l’agenda de chaque jour de cette semaine. Les participants, professeurs et étudiants, sont originaires de communautés roumaines historiques de la République de Moldova, d’Ukraine, Serbie et Hongrie. Le ministre délégué aux Roumains du monde, Cristian David, a déclaré que les Roumains de l’étranger pouvaient être un vecteur de modernisation du pays par l’utilisation du capital humain et qu’il fallait les encourager à investir en Roumanie l’argent gagné en travaillant à l’extérieur des frontières nationales.



    Education – Des étudiants de 26 pays, dont l’Australie, le Danemark, l’Allemagne, la Grèce, la Hongrie, l’Italie, la Russie, l’Espagne, la Turquie, les USA et le UK, participeront à la 9e édition de l’Ecole internationale d’été – Bucharest Summer University, accueillie par la capitale de la Roumanie entre le 11 et le 25 août. L’école se propose d’élargir les perspectives de carrière des participants par des débats avec des représentants du milieu académique et de celui des affaires. Bucharest Summer University est devenue, avec le temps, un événement scientifique et culturel d’une grande qualité.




  • L’obésité infantile

    L’obésité infantile

    L’obésité, notamment l’obésité infantile, est désormais un problème majeur parmi la population de l’UE. Selon un communiqué de l’Eurostat rendu public en 2011, et ciblé sur la période 2008 — 2009, entre 8 et 25% des adultes européens étaient obèses. La plupart d’entre eux vivaient au Royaume Uni et à Malte.



    Pour sa part, la Roumanie elle possédait un des taux les plus réduits. 20% des enfants et adolescents d’Europe sont en surpoids et un tiers d’entre eux sont obèses, mettait en garde en 2007, l’Organisation mondiale de la santé. Entre temps, la situation a changé. Quelle est la réalité de l’obésité infantile aujourd’hui en Roumanie ? Selon une information véhiculée par la presse, la Roumanie occuperait actuellement la troisième place en Europe pour ce qui est de l’obésité infantile. Vu que la source des ces informations demeure inconnue, nous avons démarré notre propre enquête.



    Sachez d’abord que la Société roumaine d’endocrinologie et la clinique spécialisée de l’hôpital « Elias » de la capitale roumaine ont réalisé en mai 2011, une étude épidémiologique dans les établissements scolaires bucarestois. Le médecin endocrinologue Carmen Barbu explique les résultats de cette étude qui a inclus des élèves roumains âgés de 6 à 18 ans. Carmen Barbu : « J’ai appris que pour 32% de ces élèves le poids était un problème. En effet, 11,5% en étaient obèses, et le reste de 20,5% étaient en surpoids, une catégorie intermédiaire entre poids normal et obésité. Par rapport au reste du pays, Bucarest devrait occuper la première place au classement de l’obésité infantile. Une étude réalisée en 2009 dans la ville de Timisoara, dans le sud-ouest du pays sur une population urbaine composée d’élèves de collège et de lycée, révèle une prévalence de l’obésité inférieure à ce que nous avons trouvé à Bucarest. Elle se chiffrait à environ 1% alors que 10% des enfants étaient en surpoids. C’est une différence très importante par rapport à la capitale roumaine qui montre combien variées sont les conditions de vie et l’impacte différent que peut avoir l’environnement sur l’obésité des enfants ».



    En milieu rural, l’incidence de l’obésité pourrait également être beaucoup plus réduite. Par conséquent, l’obésité est provoquée par un style de vie typique aux grandes agglomérations urbaines. Il existe dans certains cas une prédisposition génétique, stimulée par les conditions de vie. Mais, à l’heure actuelle, de nombreux enfants sont obèses ou en surpoids alors que leurs parents ne se confrontent pas à de tels problèmes. Les habitudes malsaines sont les principales causes de cette situation, affirme le médecin Carmen Barbu : « Nous avons identifié un comportement malsain très répandu à Bucarest : le fait que le dernier repas de la journée est en fait pris très tard dans la soirée. Plus de 90% des enfants ont avoué dîner après 22 heures et disposer à la maison de réserves de sucreries qu’ils pouvaient consommer à tout moment. Et il s’agit de produits à base de sucres concentrés et non pas faits maison. Par ailleurs, le questionnaire alimentaire révèle que les repas qu’ils prennent n’assurent pas toujours un équilibre entre protéines, glucides et autres. De plus, même si les éléments nutritifs de base n’étaient pas assurés, la réserve de sucre était assurée pour tout le monde. Plus de 90% des enfants ont affirmé manger devant la télé ou l’ordinateur. Et le dernier aspect que nous avons signalé a été l’absence de tout exercice physique. La vaste majorité des enfants roumains ne fait du sport que pendant les classes d’éducation physique. Même dans le cas de ceux qui font du sport à l’extérieur de l’école, la moyenne est d’une heure et demi par semaine ».



    Hormis les sucreries, les ingrédients spécifiques de la restauration rapide sont eux aussi dangereux pour la santé. Leur teneur en sel et en lipides est trop élevée; s’y ajoutent les additifs et les substances qui créent de la dépendance. Les enfants les consomment parce que c’est ce qu’ils voient à la maison et à l’école ou encore parce que les parents ne s’en préoccupent pas, estime le spécialiste en nutrition, Gheorghe Mencinicopschi: « Les parents et les grands-parents devraient se rendre compte qu’à ces âges tendres, soit 10 ou 11 ans, le cerveau d’un enfant n’est pas suffisamment développé pour faire la distinction entre les aliments, pour savoir ce qui est sain ou non. C’est à cet âge là que l’enfant apprend par imitation et de ce fait ce qu’il voit dans son milieu familial quand il s’agit de mode de vie mettra son empreinte sur son cerveau pour le reste de sa vie. Si ce qu’il apprend est erroné alors l’adolescent et puis l’adulte mènera un combat avec soi même, un combat qu’il perd dans la plupart des cas ».



    Parmi les maladies provoquées par les additifs figurent: l’hypertension artérielle, les affections cardiovasculaires, vasculaires cérébrales, le diabète de type 2, certaines formes de cancer, la goutte. De même, les garçons peuvent subir un processus de féminisation et avec le temps, l’obésité peut entraîner la baisse de la fertilité masculine, avec des conséquences sur les futures générations. Que faire donc pour empêcher que le phénomène ne gagne encore plus en ampleur. Gheorghe Mencinicopschi : « Cuisiner chez soi – bien que certains puissent trouver cette pratique désuète, elle constitue la première source de santé vu qu’elle permet de contrôler ce qu’on met dans un plat. De nos jours, on ne fait point attention à ce qu’on mange. Beaucoup d’entre nous n’ont même pas la curiosité de lire les étiquettes et trouvent toutes sortes d’excuses. Si on ne lit pas les étiquettes, on ne peut pas apprendre des choses simples, telles combien de sucre ou de sel nous avons ingurgité en une seule journée. Il est bien évident qu’une option encore plus saine est celle de choisir nous même les matières premières et de préparer les plats à la maison. Ou encore acheter des aliments bio si on se le permet ».



    Malheureusement, les aliments sains à 100% sont difficiles à trouver de nos jours, quand la pollution aux pesticides est très fréquente et les animaux sont nourris aux fourrages industriels. Toutefois, ce que l’on peut éviter c’est de consommer des aliments trop artificiels. (trad.: Alexandra Pop, Alex Diaconescu)

  • Hilfe gegen Schulabbruch in Rumänien

    Hilfe gegen Schulabbruch in Rumänien

    Es gibt viele Gründe, warum Kinder die Schule vor dem Ende der Ausbildungspflicht abbrechen. Meistens hat es mit der Armut und einem Milieu zu tun, das die Bildung überhaupt nicht schätzt. Viele Male haben die Eltern das notwendige Geld für Hefte und Schulbücher nicht, andere Male werden die Kinder von den Eltern nicht unterstützt, ihren gesellschaftlichen Aufstieg durch Bildung zu fördern.



    Laut dem europäischen Statistikamt Eurostat brechen EU-weit im Durchschnitt 12,8% der Schüler vorzeitig die Schule ab. 2011 waren es noch 13,5%. In Rumänien lag der Schulabbruch 2010 bei 18%, letztes Jahr sank er auf 17%.



    Diese Daten widerspiegeln aber nicht das ganze Ausma‎ß des Phänomens in Rumänien. Hier gibt es andere Definitionen des Schulabbruchs und folglich andere Datenerfassungen. Die Definition der EU ist folgende: Die Schulabbruchs-Quote wird als Prozentsatz der Personen im Alter von 18 bis 24 Jahren ermittelt, die höchstens die Mittelschule abgeschlossen haben und nicht mehr im Bildungs- oder Berufsausbildungs-System registriert sind.“ Bogdan Georoceanu, Bildungsspezialist bei der Organisation World Vision“ in Rumänien, erläutert:



    Diese Definition wird durch unsere Bildungspraxis als vorzeitiger Schulabbruch hervorgehoben. Wenn wir in Rumänien von Schulabbruch sprechen, beziehen wird uns auf den Abbruch der pflichtigen Bildungsperiode. Die Zahlen betreffend den vorzeitigen Schulabbruch schauen in Rumänien viel schlechter aus als in den anderen EU-Ländern. Die Zahlen sind sehr unterschiedlich, es hängt davon ab, wer sie ausrechnet. Die UNICEF und das Institut für Bildungswissenschaften zählen nach, wieviele Kinder in einem bestimmten Jahr die Schule angefangen haben und berechnen den Anteil derer, die in acht Jahren die pflichtige Bildungsperiode schaffen. Das Bildungsministerium vermisst den Schulabbruch jährlich. Es zählt die Kinder am Anfang des Schuljahres und diejenigen, die das Jahr beenden. Der Unterschied wird als Schulabbruch gemeldet. Um von Schulabbruch sprechen zu können, muss ein Kind die Schule drei Jahre konsekutiv nicht besucht haben. Es gibt eine kritische Masse von Kindern, von denen wir noch nicht wissen, ob sie die Schule abgebrochen haben oder nicht. Die Lage ist sehr unsicher, weil wir den Begriff des Schulabbruch-Risikos nicht definiert haben.“



    Abgesehen von der Definition und der Vermessungmethode schauen wir uns die offiziellen Statistiken in Rumänien an. Bogdan Georoceanu von World Vision“:



    Laut dem Bericht über die Bildungssituation liegt der Schulabbruch in Rumänien, dem Bildungsministerium zufolge, bei 1,5% im Jahr. Auf dem Dorf steigt dieser Prozentsatz bis zu 1,7-2 %. Wenn wir von den Klassen 9 und 10 diskutieren, sieht es viel schlechter aus. In den armen und isolierten Gemeinden ist die Lage dramatisch.“



    In diesen armen und abgelegenen Gemeinden, die zum Gro‎ßteil auf dem Lande leben, aber auch am Rande von Gro‎ßstädten brechen viel mehr Kinder die Schule ab. Viele Schulen wurden geschlossen, der Zugang ist schwer, manchmal müssen die Kinder viele Kilometer zu Fu‎ß zurücklegen, um bis zur nächsten Schule in einem anderen Dorf zu gelangen. Manche Eltern halten ihre Kinder zu Hause zurück, um ihnen bei den Arbeiten zu helfen. Viele Eltern lassen ihre Kinder allein zurück und gehen ins Ausland arbeiten. Manche dieser Kinder verzichten auf die Schule. Sie werden nicht unterstützt. Um diesen zu helfen, implementiert Wolrd Vision“ seit ein paar Jahren das Programm Ich möchte die 9. Klasse besuchen“.



    Bis jetzt wurde 277 Kindern, die auf dem Land leben, geholfen, ihre Studien mittels Sponsoren fortzusetzen. Ema ist eine Schülerin, die unterstützt wurde. Sie ist in der 12. Klasse bei einem Lyzeum im Landkreis Ialomiţa. Sie wohnt zusammen mit ihren zwei Brüdern und ihren arbeitslosen Eltern in einer benachteiligten Gegend am Rande einer Stadt.



    Ich habe mittels Sozialarbeiter den Kontakt zu ‚World Vision‘ aufgenommen. Sie hatten uns gesagt, wir könnten ein Stipendium bekommen, weil wir gute Schulnoten hatten. Weil ich dieses Stipendium brauchte, wurde es mir beginnend mit der 10. Klasse, seit fast drei Jahren, angeboten. Ich bekomme 100 Lei (umgerechnet ca. 23 Euro) im Monat. Ich kann daraus Schulartikel Kleidung und, wenn nötig, auch Lebensmittel kaufen. Die Summe ist nicht sehr gro‎ß, aber ich freue mich, dass ich sie für meine Schulergebnisse bekomme.“



    Trotz der schweren materiellen Lage erklärt Ema, es habe bei ihr nie das Risiko gegeben, die Schule abzubrechen:



    Ich würde genauso gute Ergebnisse haben, denn ich kann unter jedwelchen Bedingungen lernen. Dank des Stipendiums habe ich viel bessere Lernbedingungen und kann mir Bücher kaufen. Aber ich bin sicher, meine Zensuren würden genauso gut auch ohne dieses Geld sein.“



    Die Sponsoren bleiben dem breiten Publikum unbekannt. Ema kennt sie jedoch.



    Nicht direkt, sondern mittels Briefen. Es ist eine sehr schöne Geste. Sie helfen uns nicht nur mit diesem monatlichen Stipendium, sondern auch mit Geschenken an Feiertagen. Wir haben keine Ansprüche, es ist ihre Initiative. Der Sponsor hat uns auch einen PC geschenkt. Unser Horizont wurde dadurch breiter. Andere Probleme? Was kann ich Ihnen sagen… es wurden Schulausflüge organisiert, an denen ich nicht teilnehmen konnte.“



    Einem Kind fällt es schwer, über seine Schwierigkeiten zu sprechen. Er trägt keine Schuld daran. Diesen Kindern muss man helfen, wenn die Familie nicht helfen kann.



    (Deutsch von Alex Grigorescu)



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