Tag: festival

  • A la Une de la presse roumaine du 04.09.2013

    A la Une de la presse roumaine du 04.09.2013

    Parmi les sujets abordés par la presse écrite de Bucarest, trois font le tour de toutes les éditions : la tragédie de l’enfant tué par des chiens errant sur un terrain vague de la capitale roumaine, les protestations de rue contre le projet de l’exploitation minière de Rosia Montana et le Festival internationale de musique « George Enescu ».


  • L’invitée du jour – Chris Simion, fondatrice du Festival de Théâtre Indépendant Undercloud

    L’invitée du jour – Chris Simion, fondatrice du Festival de Théâtre Indépendant Undercloud

    L’écrivaine et metteuse en scène Chris Simion, originaire du Pays de Maramureş, dans le nord-ouest de la Roumanie, est également connue comme fondatrice de la troupe de théâtre D’AYA. Et c’est encore elle l’initiatrice et la directrice du Festival de Théâtre Indépendant Undercloud.



    Invitée au micro de RRI, elle nous a tout d’abord expliqué le concept d’Undercloud : « C’est la somme des spectacles de théâtre indépendant de chaque saison théâtrale que nous jugeons nécessaires, vivants, c’est de la qualité, du dévouement, de l’innovation réunis en un seul espace. Cela fait plusieurs années que nous organisons ce festival au Musée du Paysan Roumain. Deux semaines durant, nous essayons de créer non pas un mouvement culturel, mais un certain état d’esprit lié à la culture. Nos spectacles se jouent uniquement en roumain, mais là j’ai ma théorie à moi, en tant que spectatrice de représentations théâtrales en langues étrangères. C’est qu’un bon spectacle parvient à dépasser les frontières de la parole. Et comme l’émotion passe au-delà de la scène, on arrive à délaisser la trame en faveur de l’état d’esprit que vous procure un bon spectacle ».



    Comment l’idée est-elle née? « Par nécessité. La nécessité d’épauler le mouvement du théâtre indépendant, toujours plus fort, la nécessité de nous réunir, en compétition, sur la même scène, la nécessité d’être présents en été, lorsque pour les autres théâtres la saison est fermée, bref le besoin de théâtre authentique. Nous montons des spectacles de théâtre — danse, basés sur le mouvement, mais aussi des spectacles-lecture. Il y a eu également les spectacles primés lors du gala de l’Union théâtrale, ensuite un spectacle de théâtre acrobatique, intitulé l’Homme – Mouette, le premier en son genre jamais donné en Roumanie, d’après une formule adoptée par le Cirque du Soleil. Nous avons donc eu pas mal de nouveautés par rapport à l’année dernière ».



    Le mouvement du théâtre indépendant a gagné, ces derniers temps, en ampleur et n’a cessé d’améliorer sa qualité, affirme Chris Simion : « On a même assisté à l’essor d’un marché des espaces alternatifs, non conventionnels et fort variés, depuis les halles industrielles jusqu’aux appartements, où l’on donne des spectacles comme en France ou au Royaume-Uni, par exemple. Bien de ces productions théâtrales, d’une réelle qualité, commencent à rivaliser avec les représentations des théâtres institutionnels. C’est vrai que l’offre d’un théâtre indépendant ne saurait être tout aussi riche que celle de ces derniers, en raison bien sûr des budgets différents dont ils disposent. Voilà pourquoi les spectacles indépendants sont, dans la plupart des cas, plus simples, en ce sens qu’ils misent sur le jeu des comédiens et sur le canevas de la pièce, plutôt que sur des décors opulents et des costumes éblouissants. Entre temps, ce mouvement grandit et produit des spectacles vivants, qui attirent l’attention sur des questions d’une grande actualité ».



    Chris Simion est montée sur les planches il y a 15 ans, lorsqu’elle étudiait la théâtrologie. Elle a également fait des études de mise en scène. En fait, comment a-t-elle découvert le théâtre? « Dans mon cas, ce fut par hasard. Je n’ai pas été de ces enfants emmenés très tôt au théâtre pas les parents. C’est donc moi-même qui en ai fait la découverte lorsque j’ai décidé de franchir le seuil du Théâtre national. Je suis tombée sur une répétition de la pièce «Le nom de la rose». Une sorte de magie s’étant alors produite entre la scène et moi, je me suis tout à coup ravisée sur mes projets d’avenir. A cette époque-là j’étais en terminale et j’envisageais de faire des études de psychologie. C’est ainsi que j’ai changé de cap trois mois seulement avant la fin du lycée ». (trad.: Mariana Tudose)

  • Festivalul Pro Etnica de la Sighişoara

    Festivalul Pro Etnica de la Sighişoara

    La Sighisoara, in centrul Romaniei, sa incheiat, duminica, Festivalul Intercultural Proetnica 2013. Manifestarea este considerata drept cea mai importanta reuniune anuala a grupurilor etnofolclorice din Romania.



    Pentru patru zile, orasul Sighisoara a fost capitala multiculturalismului din Romania. Aici, a avut loc, de vineri pana duminica, cea de a unsprezecea editie a Festivalului Intercultural Proetnica 2013, considerat drept cea mai importanta reuniune anuala a grupurilor etnofolclorice din Romania. Pe scena au urcat reprezentanti ai douazeci de minoritati nationale care, prin cantec si dans, au dovedit grija pentru mostenirea culturala specifica etniilor. Pe langa programul artistic, Proetnica 2013 a oferit o sectiune de comunicari si dezbateri stiintifice pe teme istorice si contemporane precum si un original targ al breslelor unde mestesugari din randurile minoritatilor etnoculturale au expus produse traditionale.



    Sighisoara a fost locul ideal pentru pentru acest eveniment. Vechea cetate saseasca medievala Sighisoara, ridicata` in secolul al XIIII lea – azi, in patrimoniul UNESCO construita pentru aparare si monoculturalism a devenit, in timpul manifestarii Proetnica, o agora a dialogului intercultural, de impacare si de respect reciproc. Ideea este subliniata si de Irina Cajal, subsecretar de Stat in Ministerul Culturii: “Cred ca este extraordinar faptul ca putem, in aceste momente, cand se intampla ce se intampla in Siria si cand se intampla ce se intampla in lume atat de grav, sa avem o oaza de pace. La Sighisoara, suntem alaturi de atatia oameni binevoitori, care vor sa arate ce este cultura romaneasca si ce este cultura romaneasca alaturi de alte minoritati; ei ne mai arata ce legatura este intre toate culturile acestor minoritati cu care traim an de an, zi de zi si ceas de ceas si cata diversitate exista, in acelasi timp.”



    Potrivit ultimului recensamant, principalele minoritati nationale din Romania sunt maghiarii (6,5% din totalul populatiei stabile) si romii (3,2%). Alte etnii cu mai mult de 20.000 de reprezentanti sunt ucrainenii, germanii, turcii, ruşii lipoveni şi tatarii.



    In Romania, 18 minoritati au câte un deputat din oficiu, in Parlamentul bicameral de la Bucuresti iar partidul maghiarilor UDMR detine, in urma alegerilor, 27 de mandate de deputat si 12 mandate de senator.



    Cu 88,6% romanii reprezinta partea cea mai numeroasa a populatiei, factor care da, de altfel, caracterul national si unitar al statului, inscris in Constitutie. Recenta propunere a reprezentantilor etniei maghiare de a elimina sisintagma “stat national” n-a primit sustinerea necesara pentru a fi inscrisa intr-un proiect de modificare a Legii Fundamentale.

  • 30.08.2013

    30.08.2013

    Syrie – Le régime de Damas est illégitime et criminel, a déclaré ce vendredi le premier ministre roumain, Victor Ponta. Et lui de préciser que son gouvernement présentera bientôt une position officielle sur la situation en Syrie, après consultations avec les partenaires internationaux. Néanmoins, a ajouté M. Ponta, toute décision importante de la Roumanie sur ce dossier devra avoir l’aval du Conseil suprême de défense et du Parlement. Par ailleurs, le MAE de Bucarest réitère ses recommandations aux ressortissants roumains qui se trouvent encore en Syrie de quitter ce pays au plus vite. Les seules routes d’évacuation sont terrestres, par le Liban, la Jordanie et la Turquie. Entre 12 mille et 14 mille Roumains se trouvent actuellement en Syrie.



    Régionalisation – La réorganisation administrative et territoriale et la décentralisation de la Roumanie sont essentielles pour la modernisation du pays, a déclaré le premier ministre roumain, Victor Ponta, ce vendredi. Selon lui, le processus de décentralisation et de redécoupage des régions est le plus important projet politique, gouvernemental et parlementaire, de la rentrée. La configuration des régions administratives sur le terrain ne doit attendre son officialisation par la Constitution. Et cela pour que les régions nouvellement dessinées puissent être prises en compte dans le futur cadre financier pluriannuel de l’UE pour la période 2014-2020, a dit le chef du cabinet de Bucarest, laissant entendre que cela suppose de nouvelles stratégies au niveau local. Une concentration excessive des pouvoirs à Bucarest alourdit les processus, estime Victor Ponta ; voilà pourquoi autant les régions se verront attribuer plus d’attributions et de ressources, autant les choses iront dans la bonne direction, a-t-il encore indiqué.



    Visa – Quatre anciens ambassadeurs des Etats-Unis à Bucarest ont demandé au Congrès américain d’alléger les conditions du programme Visa Waiver, afin de permettre aux ressortissants bulgares, croates, polonais et roumains de voyager sans visa, pour 90 jours, dans ce pays. La démarche des quatre diplomates intervient sur la toile de fond des débats au Congrès sur la réforme de la législation de l’immigration. Le programme Visa Waiver doit être nécessairement modernisé, estiment-ils, car « le manque d’action met à l’épreuve les relations des Etats-Unis avec leurs alliés et porte atteinte à l’état de l’économie américaine », peut-on lire dans le document qu’ils signent conjointement.



    Accident – Une équipe médicale roumaine s’est rendue d’urgence en Hongrie voisine, à bord d’une aéronef militaire ; elle participera aux actions de secours mises en place suite à un accident de la route produit vendredi à 25 km de la capitale hongroise Budapest. Un minibus transportant des Roumains a été impliqué dans un carambolage, 3 passagers sont décédés et 18 autres blessés.



    Pro Etnica – Plus de 800 membres des différentes communautés ethniques de Roumanie arpenteront, jusqu’à dimanche, les ruelles de Sighisoara (centre). La seule cité médiévale encore habitée dans le sud-est de l’Europe accueille la 11e édition du Festival « Pro Etnica », événement ciblé sur le dialogue interculturel et la découverte des coutumes, des traditions et de l’histoire des minorités nationales. Les vacanciers et les habitants de la ville sont invités à des spectacles, conférences, débats et ateliers sur des thématiques diverses, mais aussi à une foire de produits traditionnels.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, tête de série numéro 21 WTA, s’est qualifiée au troisième tour de l’US Open, quatrième levée du Grand Chelem de tennis, disputée à New York. Après seulement 59 minutes, elle a vaincu la Croate Donna Vekic, numéro 65 mondial (6-2, 6-1). Les joueuses qualifiées au troisième tour de l’US Open touchent chacune 93 mille dollars.



    Football – Dans la phase des groupes de la Ligue Europa, l’équipe vice-championne de Roumanie, Pandurii Tg-Jiu, se retrouve dans la même poule que Fiorentina (Italie), Dnepr Dnepropetrovsk (Ukraine) et Pacos Ferreira (Portugal). Dans la Ligue des champions, Steaua Bucarest fait partie du groupe qui rassemble aussi les clubs Chelsea, Schalke 04 et FC Bâle.

  • La 21e édition du Festival international de musique George Enescu

    La 21e édition du Festival international de musique George Enescu

    La magie existe. Les organisateurs d’un des plus importants événements culturels de l’année en Roumanie — le Festival international de musique « George Enescu » — sont unanimes à l’affirmer. La 21-e édition de ce régal musical attendu avec impatience par les mélomanes est accueillie par la capitale, Bucarest et par d’autres grandes villes du pays, entre le 1er et le 28 septembre.



    De grandes personnalités de la musique monteront sur scène cette année, dont le pianiste et chef d’orchestre Daniel Barenboim et la pianiste Yuja Wang, ainsi que quelques-uns des meilleurs orchestres du monde: la Staatskapelle de Berlin, le célèbre Royal Concertgebouw d’Amsterdam ou Pittsburgh Symphony Orchestra.



    Récitals, spectacles d’opéra et de ballet, concerts, conférences, ateliers de composition, un symposium de musicologie, des concerts en plein air, accueillis par la Place du festival à Bucarest — voilà autant d’événements à l’agenda de cette édition, fortement médiatisée. La Radio publique roumaine transmettra en direct plus de 10 mille minutes de musique en direct et d’interviews avec les musiciens. Les 20, 21 et 22 septembre, Radio Roumanie organise également des soirées destinées au public du festival.



    La pianiste roumaine Alexandra Dariescu compte parmi les invités de cet important événement musical. Agée de 27 ans seulement, Alexandra Dariescu est la première pianiste de Roumanie à être montée sur la scène du Royal Albert Hall de Londres, pour un concert qu’elle a donné cet été en compagnie de l’Orchestre philharmonique royal. Des membres de la famille royale roumaine y ont été présents. Considérée comme une étoile en devenir par le BBC Music Magazine, Alexandra Dariescu a fait ses débuts au Carnegie Hall de New York.



    La ville de Brasov accueille le concert d’un des ensembles britanniques de musique de chambre les plus réputés : The Schubert Ensemble, dont les membres sont des admirateurs déclarés du musicien roumain George Enescu, auquel ce festival est consacré.



    Il convient de souligner également la présence, dans le cadre du festival « George Enescu », d’un des meilleurs pianistes du moment, Murray Perahia, détenteur de deux prix Grammy et qui se trouve à l’apogée d’une brillante carrière artistique. Murray Perahia donnera un récital le 28 septembre, à l’Athénée roumain de Bucarest.



    Le même soir est prévu un autre événement exceptionnel : le concert du Royal Philharmonic Orchestra de Londres, sous la baguette du réputé chef d’orchestre roumain Cristian Mandeal, qui doit clore cette 21e édition du festival. Un festival qui honore la mémoire d’un des plus grands musiciens roumains — sinon le plus grand: George Enescu — violoniste, pianiste, compositeur, chef d’orchestre et pédagogue, dont le nom est prononcé avec vénération partout dans le monde. (trad. : Dominique)

  • 29.08.2013

    29.08.2013

    Recommandation – Le ministère roumain des Affaires étrangères conseille aux ressortissants roumains de Syrie de quitter le pays au plus vite. Les uniques routes d’évacuation des citoyens roumains sont terrestres, vers les pays voisins – le Liban, la Jordanie et la Turquie -, font savoir les autorités de Bucarest. Les ressortissants roumains se trouvant en Syrie sont conseillés de contacter l’Ambassade de Roumanie à Damas, via téléphone, fax et Internet, afin d’enregistrer leur présence dans le pays et de transmettre aux autorités roumaines leurs coordonnés au cas où ils demanderaient l’assistance consulaire de l’Etat roumain. Le numéro de téléphone +40.21.319.21.37 a été mis à la disposition des ressortissants roumains affectés par la situation en Syrie.



    Visite – La xénophobie et le racisme refont surface en Europe, a déclaré jeudi le président de la Roumanie, Traian Basescu, à l’issue de sa visite de deux jours en Slovaquie. Il a participé à une cérémonie de dépôt de gerbes de fleurs au cimetière militaire roumain de Zvolen, où sont enterrés 10 mille soldats roumains, ainsi qu’au monument du Musée de libération de la Slovaquie. Lors de son entretien avec le président slovaque, Ivan Gasparovic, Traian Basescu a souligné que les deux pays avaient adapté aux normes européennes la législation concernant les minorités nationales. La visite du président roumain en Slovaquie a eu lieu dans le contexte du 69e anniversaire de la libération de ce pays du fascisme, moment historique auquel l’armée roumaine avait apporté une contribution décisive.



    Projet- Le cabinet de Bucarest a approuvé le projet de loi portant sur l’exploitation de l’or à Rosia Montana. Le document aux termes duquel le projet est déclaré projet d’utilité publique devra également obtenir l’aval du législatif de Bucarest. Selon ce nouveau document la participation de l’Etat roumain au capital de la société roumano-canadienne qui exploitera la mine a été majorée de 20 à 25%. Les redevances perçues par l’Etat ont également été majorées de 4 à 6%. Ce projet est contesté par les Ongs environnementalistes et par les archéologues, selon lesquels le développement de la mine d’or détruira le charme pittoresque de la région et les galeries creusées à l’époque romaine.



    Cinéma — Deux créations cinématographiques roumaines fort appréciées seront projetées dans le cadre du Festival International de Haïfa (en Israël), qui se tiendra du 19 au 28 septembre, a fait savoir jeudi l’Institut Culturel Roumain. Il s’agit des longs-métrages “La position de l’enfant”, du réalisateur Càlin Peter Netzer, et “Des escargots et des hommes”, par Tudor Giurgiu. “La position de l’enfant” est la proposition de la Roumanie aux Oscars 2014, dans la catégorie “meilleur film en langue étrangère”. Le film “Des escargots et des hommes” a décroché plusieurs prix lors de différents festivals internationaux, dont celui de Varsovie, en Pologne et de Valladolid, en Espagne.



    Foot – Dans la Ligue Europa, les trois clubs roumains Petrolul Ploiesti, Astra Giurgiu et Pandurii Tg-Jiu jouent aujourd’hui les matchs de qualification pour la phase des poules de la compétition contre le Swansea City (du Pays des Galles), le Maccabi Haifa (d’Israël) et le Braga (du Portugal).

  • Le Festival “Dilema Veche”

    Le Festival “Dilema Veche”

    Il existe un endroit en Roumanie où chacun peut livrer son dilemme… Si on peut le tirer au clair – tant mieux, sinon, on a au moins passé un moment plus qu’agréable dans la meilleure des compagnies. Cet endroit est la ville transylvaine de Alba Iulia, qui accueille, à compter du 30 août, le Festival “Dilema Veche” (Lancien dilemme), organisé par la publication homonyme. Explications avec Matei Martin, journaliste à Radio Roumanie Culture et à lhebdomadaire “Dilema Veche”, espace de débat phare dans le paysage culturel roumain.


  • Echipa Radio România este gata de Festival!

    Echipa Radio România este gata de Festival!


    Radio România este singura instituţie media care transmite în direct, dar şi înregistrează, peste 95% din Festivalul Internaţional George Enescu” pe frecvenţele Radio România Cultural şi Radio România Muzical şi online pe www.radioromaniacultural.ro şi www.romania-muzical.ro!





    63 de transmisiuni live vor fi realizate simultan de Radio România Muzical şi Radio România Cultural de la Ateneu, Sala Mare a Palatului, Sala Radio, Sala Mică a Palatului. Dintre acestea, 59 sunt oferite partenerilor din Uniunea Europeană de Radio (EBU), 33 fiind transmise în direct de aceştia.



    Radio România înregistrează 74 de concerte şi recitaluri care vor fi arhivate în Fonoteca instituţiei.



    Transmisiunile directe însumează peste 10.000 de minute de muzică, interviuri cu interpreţii, interviuri realizate în direct cu personalităţile aflate în sălile de concert!


    În fiecare zi, între 1 şi 29 septembrie, Radio România Actualităţi sintetizează informaţiile la nivel naţional în 4 radioprograme.


    Radio România va reflecta nu mai puţin de 115 manifestări: concerte, recitaluri, spectacole de operă şi balet, conferinţe, workshopuri de compoziţie, conferinţe de presă, simpozionul de muzicologie, concerte în ţară şi Piaţa Festivalului.



    Vor fi realizate peste 100 de interviuri în limbile engleză, franceză, germană, italiană şi rusă cu dirijorii, soliştii şi compozitorii prezenţi în festival.


    Cele 15 zile de concerte din Piaţa Festivalului vor fi oglindite prin tot atâtea reportaje. O atenţie specială va fi acordată zilelor de 20-22 septembrie, când Radio România organizează seri tematice pentru publicul festivalului.


    29 de Agende vor cuantifica reperele stricte ale actualităţii culturale prin cronici, interviuri şi opinii realizate de reporterii Radio România, prezenţi la toate manifestările festivalului.





    Serviciul Comunicare SRR

  • 26.08.2013

    26.08.2013

    Egypte – Le ministère roumain des affaires étrangères recommande à ses ressortissants d’éviter les déplacements en Egypte avant le rétablissement de la sécurité dans ce pays. Plusieurs régions d’Egypte sont toujours en état d’urgence, où le couvre-feu est également instauré. La situation demeure tendue dix jours après l’intervention de l’armée contre les manifestants islamistes qui réclamaient la réinstallation du président déchu Mohamed Morsi. Plus d’un millier de personnes ont péri dans les affrontements de ces derniers jours



    Transports – En Roumanie, la juriste Ramona Manescu, 41 ans, députée européenne depuis 2007, est la nouvelle ministre des Transports. Elle est membre du PNL depuis 1990. Les fonctions de ministre des Transports sont vacantes depuis juillet dernier, lorsque le libéral Relu Fenechiu a démissionné après avoir été condamné à une peine de prison ferme pour abus de fonctions. L’intérim a été assuré par le premier ministre social démocrate Victor Ponta.



    Visite – Le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta, entame une visite de deux jours en République de Moldova, où il s’entretiendra avec son homologue moldave, Iurie Leanca. Il doit participer à l’inauguration des travaux du gazoduc Iasi — Ungheni et au Forum de l’Eurorégion Siret-Prut-Dniestr, événement auquel sera présent aussi le commissaire européen à l’énergie, Gunther Oettinger. Les ministres qui accompagnent Victor Ponta dans cette visite aborderont avec leurs homologues de Chisinau des sujets relevant des domaines de l’énergie, de l’éducation ou de la santé. Parmi eux, l’interconnexion des réseaux énergétiques des deux pays, les bourses d’études accordées par la Roumanie aux jeunes moldaves, la mise en place des services mobiles d’urgence en République de Moldova sur le modèle du SMURD roumain.



    Négociations – Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, fera, mardi, une visite officielle à Kiev, accompagné par une délégation gouvernementale. Le but de la visite, c’est la reprise des négociations avec la partie ukrainienne afin de récupérer les dépenses faites par la Roumanie lors de sa participation à la construction du Combinat minier d’amélioration des minerais acides de Krivoï Rog. Le montant est estimé à 1 milliard de dollars. La construction de l’usine de Krivoï Rog a commencé en 1983, du temps de l’Union soviétique, avec l’ancienne RDA, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie et la Roumanie. En 1990, les travaux, réalisés à 70%, ont été arrêtés, et l’investissement est en conservation depuis 1998, dans l’attente de trouver une solution.



    Baccalauréat – En Roumanie, plus de 55 mille candidats à la deuxième session du baccalauréat ont passé ce lundi la première épreuve écrite de cet examen, celle de langue et de littérature roumaines. La session d’été du bac a été émaillée par un grave incident, à savoir la fraude découverte dans un lycée de Bucarest, dont la proviseure a d’ailleurs été arrêtée. Selon les données fournies par le Ministère de l’Education, le taux de réussite à la session juin-juillet du bac a été de 55%.



    Poésie – L’écrivain roumain Mircea Cartarescu est le gagnant du Grand prix de poésie au Festival littéraire international qui a ouvert ses portes lundi en Serbie, à Novi Sad. Selon les déclarations du directeur du festival, la distinction n’est pas attribuée seulement à un écrivain d’exception, mais aussi à une culture vitale, qui s’est réaffirmée en dépit de toutes les difficultés. La Roumanie est représentée au festival de Novi Sad par six poètes et une anthologie de poésie contemporaine.



    Cinéma – La Roumanie participe jusqu’au 31 août au Festival du Film de Douarnenez en France avec une série de productions cinématographiques déjà primées lors de grandes compétitions. Parmi ces films, “La position de l’enfant”, du réalisateur Calin Peter Netzer, qui a remporté L’Ours d’or à la Berlinale de cette année. Ce même film est la proposition de la Roumanie aux Oscars 2014, dans la catégorie meilleur film en langue étrangère”. Un autre film roumain participant au festival de Douarnenez est “Au delà des collines”, de Cristian Mungiu, prix du meilleur scénario et de la meilleure interprétation féminine au festival de Cannes en 2012.

  • The 48 Hour Film Project

    The 48 Hour Film Project

    La ville de Brasov (centre) a accueilli une compétition cinématographique insolite, qui fait rêver et qui a sans doute suscité des vocations et changé quelques destins ; une compétition de talent et de rapidité passionnante… Le Festival de Cannes en point de mire — l’objectif était suffisamment séduisant pour attirer les Roumains créatifs dans une compétition originale. C’est vrai aussi que le défi était sur mesure — réaliser un film en 48 heures. Les explications de Alina Floroi, membre de léquipe organisatrice de la version roumaine du festival « The 48 Hour Film Project ».


  • Orchestrele şi Corurile Radio România, la Festivalul Enescu 2013

    Orchestrele şi Corurile Radio România, la Festivalul Enescu 2013

    Orchestrele şi Corurile Radio România revin în faţa melomanilor punctând o frumoasă participare la cea mai importantă manifestare culturală românească: Festivalul Internaţional “George Enescu”, ediţia XXI. Principalul moment prezentat de Orchestrele şi Corurile Radio România îl constituie concertul de la Sala Mare a Palatului desfăşurat vineri, 20 septembrie, ora 19:30. Un prilej deosebit, deoarece patru dintre formaţiile instituţiei – Orchestra Naţională Radio, Orchestra de Cameră Radio, Corul Academic Radio şi Corul de Copii Radio. Acestea vor fi reunite sub bagheta dirijorului britanic James Judd.



    De asemenea, Orchestrele şi Corurile Radio România vor oferi în Piaţa Festivalului (Piaţa George Enescu) trei seri consecutive de sărbătoare a muzicii. Vineri, 20 septembrie, ora 20:00, sunteţi aşteptaţi la Seara Radio România Muzical: Jazz, swing & more cu grupul vocal Jazzappella. Sâmbătă, 21 septembrie, ora 20:00, Radio România Cultural să vă invită la o seară specială: Ce ştia satul”, scenariu de Mihai Lungeanu după piesa cu acleaşi nume a Ion Valjan. Cea de-a treia seară în Piaţa Festivalului – duminică, 22 septembrie, ora 20:00 – vă propune o întâlnire cu Big Band-ul Radio împreună cu solista Luiza Zan.



    Sâmbătă, 14 septembrie, ora 19:30, la Sala Mare a Palatului, Corul Academic Radio va interpreta o lucrare enesciană (Simfonia cu cor nr. 3 în Do Major op. 21) alături de prestigioasa orchestră London Symphony Orchestra, şi sub bagheta dirijorului rus Vladimir Jurovsky. Corul Academic Radio va reveni la Sala Palatului chiar la evenimentul de închidere a Festivalului Enescu, sâmbătă, 28 septembrie, ora 19:30, de această dată însoţit şi de Corul de Copii Radio, condus de Voicu Popescu. Corurile vor susţine concertul alături de o altă celebra orchestră londoneză: Royal Philharmonic Orchestra şi mezzosoprana britanică Jennifer Johnston.



    Radio România Cultural şi Radio România Muzical vor transmite live evenimentele din cadrul festivalului la nivel naţional on air şi online pe www.radioromaniacultural.ro şi www.romania-muzical.ro. Biletele pentru Festivalul Enescu pot fi achiziţionate online, prin eventim.ro, sau de la punctele de vânzare ale Eventim şi din librăriile Humanitas şi Cărtureşti. La evenimentele în aer liber, din Piaţa Festivalului, accesul este liber.

  • Le festival eurorégional de théâtre de Timişoara

    Le festival eurorégional de théâtre de Timişoara

    A la fin du mois de mai, les habitants de la ville Timişoara, dans l’ouest de la Roumanie, ont eu droit à un véritable régal théâtral. Le Théâtre magyar d’Etat “Csiky Gergely” a organisé une nouvelle édition du festival eurorégional de théâtre — TESZT, qui a également marqué le 60e anniversaire de cet établissement culturel.



    Dès sa première édition, qui s’est déroulée en 2007, le festival s’est proposé de mettre en valeur le multiculturalisme de l’eurorégion DKMT (Danube-Criş-Mureş-Tisa) et de renforcer les liens entre les institutions théâtrales de celle-ci. C’est ce qui lui confère d’ailleurs un caractère unique en Roumanie.



    Balazs Attila, le directeur du festival, nous a parlé de la ligne directrice de cet événement : « Ce sont les courants identifiés chaque année qui définissent la ligne directrice du festival. A cela s’ajoutent d’autres spectacles et des programmes annexes. Cette année, nous avons monté un spectacle intitulé Temps de paix”, mis en scène par Hajdu Szabolcs. Ce dernier est très connu en Roumanie, notamment comme cinéaste. C’est lui qui a réalisé par exemple « La Bibliothèque de Pascal », avec, dans les rôles principaux, Răzvan Vasilescu et Oana Pellea. Ce film a été d’ailleurs la nomination de la Hongrie pour lOscar du meilleur film étranger. Pour en revenir à notre spectacle de théâtre, disons que Hajdu Szabolcs en a également signé le script et a figuré dans la distribution de la pièce. Nous avons aussi accueilli un spectacle de Novi Sad, mis en scène par Kokan Mladenovic, qui a réécrit le deuxième acte de Opéra ultime”, des « Noces de Figaro ». Un autre spectacle du Théâtre national de Novi Sad où la présence du metteur en scène se fait sentir est La Mouette”. Dans ce spectacle qui dure 6 heures, le thème de la pièce tchékovienne s’épanouit dans plusieurs directions ».



    Ces spectacles ont été des plus prisés du public, cette année, affirme le critique de théâtre Kolo Katalin : « J’ai beaucoup aimé le spectacle « La Mouette », du Théâtre national serbe de Novi Sad. Ce fut pour moi une expérience fort enrichissante. Malgré sa longue durée, à savoir 8 heures, ponctuées de pauses d’une trentaine de minutes, elle a eu l’air d’un atelier. J’ai également apprécié le spectacle des comédiens du Théâtre magyar de Novi Sad, Opéra ultime”. Il s’agit d’une satire, un mélange d’opéra et de prose, à savoir la pièce de Beaumarchais, Les Noces de Figaro” et l’opéra de Mozart. Enfin, mais non en dernier lieu, je mentionnerais la pièce « Le Gardénia » du Théâtre magyar ».



    « Le Gardénia » raconte l’histoire de famille de quatre femmes polonaises appartenant à autant de générations successives. Les rôles ont été interprétés par quatre comédiennes très aimées du public. Pour l’une d’entre elles, Tokai Andrea, ç’a été une véritable épreuve, puisqu’elle a endossé, un à un, plusieurs rôles : celui de fille, de bien aimée, d’épouse, de mère, de grand-mère et d’arrière-grand-mère : « Quand j’ai lu le texte pour la première fois, je l’ai trouvé fantastique. J’en suis tombée amoureuse — tout comme du personnage que je devais jouer. Evidemment, ce ne sont pas des héros, ce ne sont pas des personnages positifs. Tous les malheurs sont là: pauvreté, alcoolisme, femme abandonnée, femme trompée… Pourtant, il a une certaine profondeur, il a sa vie à lui, que les paroles ne peuvent pas exprimer. Il est différent. C’est peut-être aussi à cause du fait qu’il est écrit par une très jeune écrivaine. »



    Un autre spectacle, dont le message coïncidait avec celui du festival TESZT, a été « La ville des démons — Pass-port Subotica », mis en scène par Urban Andras au Théâtre « Kosztolanyi Dezsö » de Subotica. Le spectacle fait partie d’une trilogie qui pose le problème de la coexistence dans un espace multiculturel et de l’acceptation de l’autre.



    L’actrice Béres Marta explique : « Subotica est la ville que j’habite. Le spectacle aborde la problématique des lieux de coexistence multiculturels. La coexistence de plusieurs cultures apporte de bonnes choses, mais elle pose aussi certains problèmes. Ce spectacle n’offre pas de réponses, il interroge plutôt et parle de notre façon de vivre. A mon avis, les hommes politiques et les historiens présentent des aspects qui ne sont pas vraiment réels. C’est pourquoi ce spectacle utilise un langage ironique. Car on peut vivre dans un espace en proie à la guerre ou qui pose certains problèmes uniquement si on a le sens de l’humour. Je suis de nationalité hongroise, mais je suis née en Serbie — tout comme mon père et mon grand-père. Je sens donc que la Serbie est la terre à laquelle j’appartiens et j’aime habiter là, je ne veux pas aller m’installer ailleurs. Mon bien-aimé est Serbe et je pense que la meilleure solution est de vivre ensemble, d’essayer de préserver sa culture et de respecter celle des autres, de vivre avec les autres sans se perdre soi-même ».



    Les théâtres qui participent chaque année au Festival euro régional de théâtre Timisoara sont parvenus, avec le temps, à former une communauté. Le directeur du Festival, le comédien Balazs Attila, revient sur la mission du Festival: « Ce qui nous intéresse c’est dans quelle direction se dirige notre théâtre et qui sont nos partenaires dans ce voyage. On souhaite montrer au public de Timisoara que nous ne sommes ni seuls, ni sûrs — car l’art est fondé sur l’insécurité; si l’on est convaincu que tout est parfait, que vous êtes parfait, aller plus loin n’a plus aucun sens. C’est cette insécurité qui nous pousse à appeler ceux qui nous ressemblent à se réunir une semaine durant. Notre objectif est de serrer ces liens encore plus et d’aboutir à une communication beaucoup plus directe et plus prompte. On peut dire que ce n’est pas une nouveauté qu’un comédien joue dans un de ces théâtres, ce qui est réciproquement valable. Il en va de même pour les metteurs en scène. C’est là une réalité. Un de nos plans serait de réaliser un spectacle conjoint, une collaboration entre Timisoara, Subotica, Novi Sad, Szeged — coordonnée par un metteur en scène important. En unissant nos forces on pourrait créer un méga spectacle. Ce qui compte, c’est d’aboutir à un acte artistique qui repose sur une idée formulée ensemble. Quand on se rassemble, on se met à faire des plans d’avenir et beaucoup d’entre eux deviennent réalité. On n’est plus des étrangers. »

  • Festivalul Anonimul, ediţia a a X-a

    Festivalul Anonimul, ediţia a a X-a

    Festivalul international de film “Anonimul” care se desfasoara in localitatea Sfantu Gheorghe din Delta Dunarii, pana pe 18 august, a ajuns la a zecea editie. Sapte lungmetraje si patruzeci de filme scurte concureaza pentru trofeul care rasplateste cea mai buna productie cinematografica. In cei noua ani, festivalul s-a bucurat de participarea unor nume sonore, precum regizorii Peter Greenaway, Ken Loach, Nuri Bilge Ceylan, dar şi de producători care au obţinut Oscarul. Regizorul Istvan Szabo va fi invitatul de onoare al acestei editii si va primi trofeul Anonimul pentru întreaga sa carieră.



    Publicul va avea ocazia să revadă, în prezenţa regizorului, filme importante semnate de el, precum “Mephisto” (premiul Oscar, 1982), sau “Colonelul Redl” (premiul juriului, la Cannes, 1985). Cel mai recent film al său, “The Door”, cu Helen Mirren în rolul principal, a fost prezentat în deschiderea Festivalului Anonimul- 2012. Organizatorii au programat, vineri, la Gala de deschidere, o peliculă care a surprins audienţa Berlinalei 2013, “The grandmaster” (Marele maestru”), în regia lui Wong Kar-wai iar pentru inchidere, debutul în lungmetraj al regizorului Valentin Hotea, filmul “Roxanne”.



    Prefatand editia a zecea a festivalului, directorul manifestarii, Miruna Berescu ne-a declarat: “Lucururile cele mai asteptate de noi, cred si de public, se leaga de venirea lui Isvan Szabo. Astept cu aceeasi nerabdare si filmul de deschidere, al lui Kar-wai care a deschis si festivalul de film de la Berlin, din iarna. As mai pomeni un film pe care noi il asteptam, care iarasi se poate vedea doar la festival, este vorba despre”Behind the Candelabra”, in regia lui Steven Soderbergh.”



    Singurul film românesc din competiţia de lungmetraj a festivalului este “Matei copil miner”, de Alexandra Gulea. Filmul regizoarei va fi proiectat în aceeaşi zi cu cel al tatălui său, regizorul Stere Gulea – “Sunt o babă comunistă”, cu Luminiţa Gheorghiu şi Ana Ularu în roluri principale. Ediţia a X-a a Festivalului Internaţional de Film Independent este organizată de Fundaţia Anonimul, cu sprijinul Centrului Naţional al Cinematografiei, Uniunii Cineaştilor din România, Consiliului Judeţean Tulcea, Institutului Cultural Român şi al Televiziunii Române. Proiectiile se vor desfasura atat in sala cat si in aer liber iar intrarea va fi gratuita. Pentru deplasarea la Sfantu Gheorghe, NAVROM a pus la dispozitie nave fluviale suplimentare cu plecare din Tulcea si Mahmudia.

  • Festival du Film d‘histoire de Rasnov

    Festival du Film d‘histoire de Rasnov

    Aujourd’hui comme hier, la cité médiévale de Rasnov séduit toute une pléiade de réalisateurs de films, tombés sous le charme de cette région qui mélange un air d’antan aux loisirs du temps présent. Parmi ceux-ci : le Festival du Film d‘histoire. Arrivé à sa 5ème édition, le festival fut créé en 2009 sur l’initiative de la Municipalité de Rasnov, en collaboration avec l’Institut européen des Itinéraires culturels et l’Association Mioritics. Cinq ans après son inauguration, le Festival qui se déroule chaque année début août est un véritable repère sur la carte culturelle estivale de Roumanie.



    Mihai Dragomir, organisateur de l’événement : « Le Festival du film d’histoire est petit à petit devenu beaucoup plus qu’un simple festival de cinématographie et cela, le public a pu le constater depuis la précédente édition. A partir de cette année, le programme est plus riche et nous avons trois sections majeures censées mettre en évidence les thèmes historiques choisis pour l’occasion. Il s’agit d’une première section consacrée aux films documentaires et de fiction. Nous avons ensuite des ateliers qui se dérouleront en présence des 17 invités d’honneur — professeurs, ambassadeurs ou d’autres personnalités contemporaines de certains moments historiques. Et finalement, nous avons mis sur pied la section- concerts. Nous aurons 11 événements spéciaux parmi lesquels notons le concert European Contemporany Orchestra qui figurera également à l’affiche du Festival George Enescu de Bucarest ».



    Trois grandes sections donc pour mettre en exergue les thèmes historiques choisis pour cette 5ème édition du Festival, à savoir : l’année 1968 avec le célèbre Printemps de Prague, la révolution culturelle française, l’assassinat de Martin Luther King et de Bobby Kennedy, les protestations contre la guerre du Vietnam, les grèves du Japon et d’Argentine, l’opposition de Ceausescu face aux actions de l’Union soviétique, la première Dacia produite aux usines de Pitesti. Toujours parmi les thèmes historiques figurant à l’affiche de l’édition 2013 du festival : les 50 années écoulées depuis l’assassinat de John F. Kennedy ; les légendes musicales des années 60 ou bien les 30 années écoulées depuis la mort du grand comédien roumain, Amza Pellea, célèbre notamment pour ses rôles dans les films historiques.



    Cette cinquième édition du Festival du film d’histoire signifie concrètement un véritable marathon cinématographique de 130 heures de projection. Repassons le micro à Mihai Dragomir : « Cet été, le public sera invité à suivre une très belle série de documentaires réalisés par History Channel aux Etats-Unis et portant sur les années ’60. Nous aurons également une projection en avant-première d’un documentaire présenté par Librafilm et intitulé « L’affaire Tanase. Jouer au chat tué » qui raconte la célèbre tentative d’assassinat de Paul Goma. D’autre part, nous aurons pas mal de films de fiction dont plusieurs présentés en avant – première comme c’est le cas de « The Sapphires », un long-métrage australien qui parle des années ’60. Toujours à l’affiche du festival : « Crossfire Hurricane » un film sorti en novembre dernier, en Grande Bretagne et qui retrace le parcours du groupe de rock The Rolling Stones. Ou bien des films sortis il y a un an ou deux tels « Condamné à vie », un long métrage tourné en Roumanie avec à l’affiche Gerard Dépardieu et Harvey Keitel et « Des escargots et des hommes » du Roumain Tudor Giurgiu et qui se penche sur les années ’90. Je voudrais profiter de l’occasion et remercier l’Ambassade de la République Tchèque en Roumanie qui a mis à notre disposition plusieurs films sur la ville de Prague, tout comme des documentaires sur les musiciens des années ’60 et je pense à Jimi Hendrix, The Doors ou Bob Dylan ».



    Aujourd’hui comme hier, la cité médiévale de Rasnov séduit toute une pléiade de réalisateurs de films, tombés sous le charme de cette région qui mélange un air d’antan aux loisirs du temps présent. Parmi ceux-ci : le Festival du Film d‘histoire. Arrivé à sa 5ème édition, le festival fut créé en 2009 sur l’initiative de la Municipalité de Rasnov, en collaboration avec l’Institut européen des Itinéraires culturels et l’Association Mioritics. Cinq ans après son inauguration, le Festival qui se déroule chaque année début août est un véritable repère sur la carte culturelle estivale de Roumanie.



    Mihai Dragomir, organisateur de l’événement : « Le Festival du film d’histoire est petit à petit devenu beaucoup plus qu’un simple festival de cinématographie et cela, le public a pu le constater depuis la précédente édition. A partir de cette année, le programme est plus riche et nous avons trois sections majeures censées mettre en évidence les thèmes historiques choisis pour l’occasion. Il s’agit d’une première section consacrée aux films documentaires et de fiction. Nous avons ensuite des ateliers qui se dérouleront en présence des 17 invités d’honneur — professeurs, ambassadeurs ou d’autres personnalités contemporaines de certains moments historiques. Et finalement, nous avons mis sur pied la section- concerts. Nous aurons 11 événements spéciaux parmi lesquels notons le concert European Contemporany Orchestra qui figurera également à l’affiche du Festival George Enescu de Bucarest ».



    Trois grandes sections donc pour mettre en exergue les thèmes historiques choisis pour cette 5ème édition du Festival, à savoir : l’année 1968 avec le célèbre Printemps de Prague, la révolution culturelle française, l’assassinat de Martin Luther King et de Bobby Kennedy, les protestations contre la guerre du Vietnam, les grèves du Japon et d’Argentine, l’opposition de Ceausescu face aux actions de l’Union soviétique, la première Dacia produite aux usines de Pitesti. Toujours parmi les thèmes historiques figurant à l’affiche de l’édition 2013 du festival : les 50 années écoulées depuis l’assassinat de John F. Kennedy ; les légendes musicales des années 60 ou bien les 30 années écoulées depuis la mort du grand comédien roumain, Amza Pellea, célèbre notamment pour ses rôles dans les films historiques.



    Cette cinquième édition du Festival du film d’histoire signifie concrètement un véritable marathon cinématographique de 130 heures de projection. Repassons le micro à Mihai Dragomir : « Cet été, le public sera invité à suivre une très belle série de documentaires réalisés par History Channel aux Etats-Unis et portant sur les années ’60. Nous aurons également une projection en avant-première d’un documentaire présenté par Librafilm et intitulé « L’affaire Tanase. Jouer au chat tué » qui raconte la célèbre tentative d’assassinat de Paul Goma. D’autre part, nous aurons pas mal de films de fiction dont plusieurs présentés en avant – première comme c’est le cas de « The Sapphires », un long-métrage australien qui parle des années ’60. Toujours à l’affiche du festival : « Crossfire Hurricane » un film sorti en novembre dernier, en Grande Bretagne et qui retrace le parcours du groupe de rock The Rolling Stones. Ou bien des films sortis il y a un an ou deux tels « Condamné à vie », un long métrage tourné en Roumanie avec à l’affiche Gerard Dépardieu et Harvey Keitel et « Des escargots et des hommes » du Roumain Tudor Giurgiu et qui se penche sur les années ’90. Je voudrais profiter de l’occasion et remercier l’Ambassade de la République Tchèque en Roumanie qui a mis à notre disposition plusieurs films sur la ville de Prague, tout comme des documentaires sur les musiciens des années ’60 et je pense à Jimi Hendrix, The Doors ou Bob Dylan ».



    Parallèlement à la cinquième édition du Festival du Film d’histoire de Rasnov se déroule une foire du livre. A cette occasion, le public présent à Rasnov sera invité au lancement du volume « John F. Kennedy- Les énigmes d’un Héros » de Cris Matthews, un important journaliste et commentateur politique américain. Et les surprises ne s’arrêtent pas là puisque les passionnés de de films historiques se verront organiser à leur intention une très belle exposition de photos du comédien Amza Pellea. L’événement sera ouvert en plein air, dans la cour de la Cité. (trad.: Ioana Stancescu)

  • Orchestra Naţională Radio vă aşteaptă la „Bucharest Music Film Festival”

    Orchestra Naţională Radio vă aşteaptă la „Bucharest Music Film Festival”

    Orchestra Naţională Radio participă la cea de a opta ediţie a Bucharest Music Film Festival” care se va desfăşura între 21 şi 30 iunie, la Bucureşti. Astfel, sâmbătă, 22 iunie, de la 19.30, Orchestra Naţionala Radio şi dirijorul ei principal, Tiberiu Soare, va invită în piaţa George Enescu la o seară concepută în jurul unor frumoase fragmente din opere precum: La Traviata şi Forţa destinului — Verdi, Bărbierul din Sevilla — Rossini, La Bohème şi Turandot — Puccini, Nunta lui Figaro şi Don Giovanni — Mozart, Carmen — Bizet, Evgheni Oneghin — Ceaikovski ş.a. Alături de Orchestra Naţională Radio îi vor cânta tinerii solişti vocali Ana Maria Donose (soprană), Maria Jinga (mezzosoprană), Liviu Indricău (tenor) şi Daniel Pop (bariton).



    Miercuri, 26 iunie, de la 20.00, doi dintre cei mai activi muzicieni români, pianistul Horia Mihail şi violonistul Gabriel Croitoru – solişti ai Orchestrelor şi Corurilor Radio România, vă aşteaptă la un recital de muzică clasică care va include lucrări semnate de Haydn, Ravel, Dvořák şi alţii



    Bucharest Music Film Festival” este organizat de Primăria Municipiului Bucureşti prin ArCuB – Centrul de Proiecte Culturale. Intrarea la evenimente este gratuită.