Tag: FMI

  • Zona euro evită la limită recesiunea

    Zona euro evită la limită recesiunea

    Rezultatele anunțate de Eurostat, deşi nu sunt finale, depășesc așteptările analiștilor, care anticipau o scădere de 0,1 la sută a Produsului Intern Brut din zona euro în ultimele trei luni din 2023 și intrarea într-o recesiune tehnică, definită prin două trimestre consecutive de declin.

    Pe parcursul întregului an trecut, cele 20 de țări ale zonei euro au avut o creștere economică de 0,5 la sută comparativ cu 2022, conform datelor biroului european de statistică. Această creștere este ușor sub estimarea de 0,6 la sută, făcută în noiembrie de Comisia Europeană.

    Unele state au avut performanțe mai bune. De exemplu, Spania a beneficiat de un impuls din turism și a înregistrat o creștere de 2,5 la sută anul trecut, în timp ce Franța a avut o creștere de 0,9 procente, depășind media zonei euro.

    Pe de altă parte, Germania, cea mai mare economie din zona euro, dar şi din întreaga Uniune, a consemnat o scădere de 0,3 la sută, afectată de criza din sectorul industrial, agravată de costurile ridicate ale energiei.

    Peste două săptămâni, Comisia Europeană va publica noile sale previziuni legate de creșterea economică pentru acest an. Estimările de până acum indică un avans de 1,2 procente pentru zona euro, dar comisarul european pentru afaceri economice, Paolo Gentiloni, a avertizat că tensiunile geopolitice din Orientul Mijlociu sporesc riscul unei revizuiri în scădere a acestei perspective.

    De altfel, Fondul Monetar Internaţional se aşteaptă ca în acest an creşterea economică în zona euro să nu depăşească un procent, iar unul din motive ar fi Germania, în cazul căreia progresul ar urma să fie de doar 0,5 la sută.

    În faţa acestor provocări şi din dorinţa ca Uniunea Europeană să rămână una dintre cele mai deschise și mai atractive destinații pentru afaceri și investiții, Comisia Europeană a prezentat recent mai multe propuneri de consolidare a securității economice.

    Executivul comunitar vrea o îmbunătățire a examinării investițiilor străine în Uniune pentru a preveni orice risc.

    Comisia vrea totodată o abordare mai coordonată a exporturilor de produse cu dublă utilizare – adică bunuri care pot fi utilizate atât în scopuri civile, cât și militare (cum ar fi produsele electronice avansate) – pentru a garanta că nu ajung în mâinile cui nu trebuie.


  • 29.01.2024 (mise à jour)

    29.01.2024 (mise à jour)

    Parlement
    – Coup d’envoi, cette semaine, de la première session ordinaire du Parlement de
    Bucarest placée sous les auspices des quatre scrutins électoraux prévus en
    2024: les élections européennes, celles locales, présidentielles et
    parlementaires. Le Sénat est censé examiner les décrets d’urgence visant des
    mesures pour les agriculteurs et les routiers qui ont protesté ces dernières
    semaines à travers le pays. Pour sa part, la Chambre des Députés doit se
    pencher sur plusieurs documents qui attendent son vote, dont des projets qui
    visent les jeux de hasard et la lutte contre les drogues. Ces projets portent sur
    l’élaboration d’un registre des trafiquants, sur la création de plusieurs
    centres régionaux d’aide et de soutien à la désintoxication, ainsi que sur la
    mise en place de la loi dite du « 2 Mai » prévoyant des peines de prison
    ferme pour les trafiquants de drogue et 10 ans de prison ferme pour le trafic
    de substances psychoactives. D’autres actes normatifs visent la suppression
    pour une période de dix ans du permis de conduire dans le cas des chauffeurs
    dépistés sous l’emprise de l’alcool et des drogues.


    Hamas
    – Le ministère roumain des Affaires Etrangères a transmis lundi avoir pris note
    avec un maximum d’inquiétude des récentes accusations concernant l’implication
    présumée de plusieurs membres de l’Office de secours et de travaux des Nations
    unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, UNRWA, dans les
    attaques terroristes perpétrées par le Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023.
    Selon la diplomatie de Bucarest, de telles accusations doivent faire l’objet
    d’une enquête approfondie immédiate menée par l’ONU. Par ailleurs, le Ministère roumain précise
    que d’ici la fin de l’enquête, il supprime ses contributions financières bénévoles
    à l’Office. « Les nécessités des civils palestiniens représentent une
    priorité pour la Roumanie » transmet la diplomatie roumaine. Celle-ci rappelle
    que Bucarest a condamné fermement les attaques du Hamas contre Israël. Dans
    l’attente des résultats d’une enquête, plusieurs pays tels les Etats-Unis, le
    Canada, le Royaume Uni, l’Italie, l’Allemagne ont suspendu leurs financements
    futurs vers l’office de l’ONU.








    Chômage – En Roumanie, le taux du chômage est passé de 2,93% à la
    fin de 2022 à 2,81% fin 2023. Selon l’Agence nationale pour l’occupation de la
    main d’œuvre, fin décembre dernier, la Roumanie recensait 235.636 chômeurs dont
    68.000 issus du milieu urbain et plus de 167.000 issus de la campagne. Sur
    l’ensemble des sans-emploi roumains, la plupart sont âgés de 40 à 49 ans, n’ont
    pas de diplôme d’études ou ont une éducation précaire. 32,87% des chômeurs
    roumains ont terminé le collège et 4,55% ont des études universitaires.


    FMI -
    Une nouvelle mission du Fonds Monétaire International dirigée par Jan Kees
    Martijn se trouve à Bucarest pour évaluer la situation et les perspectives de
    l’économie roumaine. Cette mission s’inscrit dans le calendrier des évaluations
    périodiques que le Fonds fait en Roumanie. Pour 2024, le FMI table sur une
    croissance de l’économie roumaine de 2,3 % et sur un déficit budgétaire de 6 %
    du PIB. En même temps, l’institution recommande aux autorités de Bucarest de
    mettre en place des réformes supplémentaires, notamment dans le domaine des
    taxes. Pour rappel, l’automne dernier, les experts du FMI ont conseillé aux
    responsables de Bucarest de supprimer les exemptions de taxes et autres
    privilèges similaires, de rendre plus efficace la TVA, de mettre en place un
    nouvel impôt sur la propriété et d’encourager une utilisation plus efficace de
    l’énergie. De même, le FMI propose à Bucarest d’encourager la transition vers
    une économie neutre en émissions de carbone. Notons qu’à présent la Roumanie ne
    déroule pas d’accord de financement avec le FMI.































    Tennis – La Polonaise, Iga Swiatek, qui s’est arrêtée au troisième
    tour de l’Open australien, se classe au sommet du classement des meilleures
    joueuses de tennis du monde, rendu public lundi. Trois Roumaines figurent parmi
    les cent meilleures joueuses de tennis au monde. Sorana Cîrstea est en 25ème
    position, Ana Bogdan, 66ème et Jacqueline Cristian, en 89ème
    place. Dans le concours de double dames, Monica Niculescu se trouve en 39ème
    position et Gabriela Ruse, en 69ème.



















    Météo – Mardi, il fera froid en Roumanie,
    notamment, dans le centre et le nord-ouest. Les températures iront de -12 à 1
    degrés et elles pourront chuter jusqu’à -22 degrés dans les dépressions. A
    Bucarest, nous auront à midi 6 degrés tout au plus et un ciel plutôt bleu.

  • Les recommandations du FMI pour la Roumanie

    Les recommandations du FMI pour la Roumanie

    Le paquet de mesures fiscales que le Gouvernement de
    Bucarest souhaite mettre en place représente un pas en avant, il renforce les
    politiques de plusieurs domaines, mais des corrections sont toujours
    nécessaires – voilà les conclusions de la mission du Fonds monétaire
    international après sa visite régulière d’évaluation en Roumanie, achevée ce
    mercredi. Les experts du FMI tablent sur une croissance économique de 2,3 %
    pour la Roumanie cette année, ainsi que sur un déficit budgétaire de 6 % du PIB.
    Ainsi recommandent-ils aux autorités de Bucarest de mettre en place des
    reformes supplémentaires, à hauteur de 2 % du PIB. Pour ce faire, selon les
    représentants du FMI, les mesures principales à envisager par les autorités de
    Bucarest sont : éliminer les exemptions d’impôt, les privilèges et les
    lacunes existants, rendre la TVA encore plus efficace, avoir un impôt reformé
    sur la propriété et se servir de politiques fiscale pour promouvoir l’utilisation
    efficace de l’énergie, et aussi, plus généralement, encourager la transition
    vers une économie avec des émissions neutres en carbone.


    Selon les experts du FMI, augmenter la prédictibilité des
    dépenses liée aux pensions de retraite et aux salaires – tout cela est
    bénéfique, mais la décision du Gouvernement de contrôler les prix des aliments
    n’est pas une bonne stratégie pour faire baisser leurs coûts.


    Pour rappel, le nouveau paquet de mesures fiscales
    récemment adopté à Bucarest étend la base d’imposition et augmente les revenus,
    tout en supprimant les exemptions d’impôt pour les employés de l’agriculture, du
    BTP, du traitement des aliments et des TIC. Qui plus est, le nombre de produits
    bénéficiant d’un niveau réduit de la TVA a été limité.


    Selon les calculs des experts financiers internationaux, le
    déficit budgétaire de la Roumanie se situera autour des 5 % du PIB en 2024.
    Pourtant, ils ajoutent que des corrections seront nécessaires, pour faire
    baisser le déficit en dessous des 3 % du PIB, comme convenu avec la Commission
    Européenne.


    En même temps, selon le chef de la mission du FMI, Jan
    Kees Martijn, le paquet de mesures fiscales des autorités de Bucarest sera
    difficile à appliquer durant une année électorale, telle que 2024. Et d’ajouter
    que les taxes appliquées aux banques ont mis un fardeau supplémentaire sur les
    entreprises, ce qui pourrait affecter leurs performances financières.


    Aux mesures déjà mentionnées, les représentants du FMI en
    ajoutent d’autres : améliorer l’administration ainsi que bien planifier et
    communiquer clairement la politique fiscale, afin que tant les entreprises, que
    la population aient de la prédictibilité. S’y ajoute la nécessité de faire de
    nouveaux investissements et des allocations budgétaires supplémentaires dans
    les domaines de l’éducation et de la santé, de sorte que ces deux domaines s’élèvent
    au niveau de l’Union européenne.


    Par ailleurs, au cours de sa dernière journée à Bucarest,
    la mission du FMI a rencontré le premier ministre Marcel Ciolacu. Selon
    celui-ci, le Gouvernement tient déjà compte des recommandations du FMI, qui
    sont similaires à celles formulées par
    la Banque mondiale et la Commission européenne. Et lui d’ajouter qu’à l’heure
    où l’on parle, l’Exécutif œuvre pour réduire les dépenses budgétaires et
    surtout pour lutter contre l’évasion fiscale. D’ailleurs, la loi pour laquelle
    le Gouvernement a engagé sa responsabilité crée le cadre général de la réforme
    fiscale envisagée par l’Exécutif.



    Enfin,
    Marcel Ciolacu compte sur le fait que la Roumanie aura cette année une des
    croissances économiques les plus élevées de l’UE et que les mesures adoptées
    aideront à surmonter la situation difficile de cette dernière période.

  • Misiunea FMI în România

    Misiunea FMI în România

    Pachetul de măsuri fiscale pe care Guvernul de la București vrea să îl pună în practică este un pas înainte, îmbunătăţeşte politicile în anumite zone, dar mai trebuie făcute nişte ajustări – consideră delegaţia Fondului Monetar Internaţional la finalul misiunii periodice de evaluare încheiată miercuri.



    Experţii FMI estimează o creştere economică de 2,3% pentru România în acest an şi un deficit bugetar de 6% din PIB şi recomandă autorităţilor de la Bucureşti reforme adiţionale care să reprezinte 2% din PIB. În acest sens, FMI consideră că principalele măsuri la care autorităţile de la Bucureşti ar trebui să se gândească sunt: eliminarea scutirilor, privilegiilor şi lacunelor rămase, o nouă eficientizare a TVA, implementarea unui impozit reformat pe proprietate şi utilizarea politicii fiscale pentru a promova utilizarea eficientă a energiei şi, mai larg, încurajarea tranziţiei la o economie cu emisii neutre de carbon.



    În opinia experților, creşterea predictibilităţii cheltuielilor cu pensiile şi cu salariile este binevenită, dar decizia Guvernului de a controla preţurile la alimente nu este o strategie bună pentru scăderea preţurilor.



    Noul pachet fiscal adoptat recent lărgeşte baza de impozitare şi îmbunătăţeşte veniturile prin eliminarea scutirilor pentru angajaţii din agricultură, construcţii, procesarea alimentelor şi IT, precum şi limitarea numărului de bunuri care beneficiază de o cotă redusă de TVA. Calculele făcute, spun experții, arată că va rezulta un deficit bugetar de 5% din PIB în 2024, însă, adaugă ei, va fi nevoie de noi ajustări pentru că, aşa cum s-a convenit cu Comisia Europeană, acesta trebuie să scadă sub 3%.



    În același timp, șeful misiunii FMI, Jan Kees Martijn, a atras atenția că pachetul de măsuri fiscale al autorităților de la București va fi dificil de aplicat într-un an electoral, aşa cum este cel viitor. Jan Kees Martijn mai crede că taxele aplicate băncilor au pus o povară suplimentară pe companii şi ar putea să afecteze performanţele lor financiare.



    Pe lângă măsurile menționate anterior, FMI mai menționează îmbunătăţirea administraţiei și buna planificare a politicii fiscale, care să fie şi clar comunicată, astfel încât să ofere predictibilitate atât companiilor, cât şi populaţiei. Este nevoie, mai spun reprezentanţii instituţiei financiare internaţionale, şi de noi investiţii şi alocări bugetare suplimentare în educaţie şi sănătate pentru ca acestea să ajungă la nivelul UE.



    În ultima zi la Bucureşti, delegaţia instituției financiare internaționale s-a întâlnit cu premierul Marcel Ciolacu. Acesta a precizat că recomandările FMI, care sunt cam aceleași cu cele ale Băncii Mondiale şi cu cele ale Comisiei Europene, sunt, deja, luate în considerare. În acest moment, Executivul se concentrează pe reducerea cheltuielilor bugetare şi mai ales pe combaterea evaziunii fiscale, iar legea pentru care şi-a angajat răspunderea creează cadrul general pentru reforma fiscală pe care o doreşte Guvernul, a spus premierul.



    Marcel Ciolacu estimează că România va avea una dintre mai mari creşteri economice dintre statele membre în acest an şi că măsurile pe care le promovează vor duce la depăşirea situaţiei dificile din ultima perioadă.






  • 04.10.2023 (mise à jour)

    04.10.2023 (mise à jour)

    Visite
    – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, entame vendredi une visite de
    quatre jours au Portugal, à l’invitation de son homologue, Marcelo Rebelo de
    Sousa. Selon l’administration présidentielle, Iohannis participera vendredi, en
    qualité d’invité spécial, à la réunion anniversaire du Groupe Arraiolos, à
    Porto. La réunion réunira 16 chefs d’État de l’UE et abordera des sujets tels
    que la guerre en Ukraine. Dans son allocution, Klaus Iohannis se penchera sur
    les défis auxquels l’Europe se confronte dernièrement, dans le contexte de
    l’invasion russe en Ukraine et sur l’aide pluridimensionnelle dont Kiev a
    besoin. Samedi, le président roumain sera reçu par son homologue portugais, à
    Lisbonne.




























    Kossovo -
    La Roumanie déploiera un bataillon supplémentaire d’infanterie au Kossovo. La
    décision survient à une décision du Conseil de l’Atlantique nord de renforcer
    sa présence militaire dans la région. A l’heure où l’on parle, presque 250
    soldats roumains sont déployés en Bosnie et Herzégovine et 80 au Kossovo.
    Mardi, à l’occasion du Forum pour la sécurité de Varsovie, le ministre roumain
    de la Défense, Angel Tîlvar, a affirmé que la Roumanie continuait à contribuer
    à la stabilité et la sécurité dans la région. Les tensions au Kossovo ont escaladé
    après qu’un policier kosovar albanais a été tué et un autre blessé dans une
    embuscade menée par un commando serbe lourdement armé.


    FMI
    – Le FMI prévoit pour cette année une croissance économique de 2,3% pour la
    Roumanie et un déficit budgétaire de 6% du PIB. Lors d’une conférence de presse
    soutenue à l’issue des discussions avec les membres du gouvernement roumain, le
    responsable de la mission du FMI pour la Roumanie, Jan kees Martijn, a précisé
    que même si le paquet fiscal adopté récemment par l’Exécutif de Bucarest était
    un pas dans la bonne direction, d’autres mesures s’avèrent nécessaires.
    « Une hausse des revenus de plus de 2% du PIB sera nécessaire dans les
    deux années à venir » a-t-il souligné. Selon le FMI, l’économie roumaine
    atteindra à moyen terme un potentiel de croissance de 3 à 3,25% au fur et à
    mesure que la consommation et les investissements réalisés via le Plan national
    de relance et de résilience restent puissants. Le Fonds a également prédit une
    baisse de l’inflation de 7 à 4% d’ici la fin de l’année prochaine. A son tour,
    le premier ministre roumain, Marcel Ciolacu a déclaré que son cabinet était entièrement
    motivé à soutenir la croissance économique, à diminuer les dépenses publiques
    et à lutter contre l’évasion fiscale. Et lui de préciser que la délégation du
    FMI a apprécié l’image dont jouit l’économie roumaine qui est à la hausse et
    dont le rôle régional est de plus en plus important.












    CSAT
    – Le président roumain a convoqué une réunion du Conseil suprême de défense du
    pays le 12 octobre, au Palais présidentiel de Cotroceni. Les discussions
    porteront notamment sur la consommation des drogues parmi les jeunes et les
    élèves roumains, ce qui représente un risque majeur à la sécurité individuelle
    et nationale, selon l’administration présidentielle. Un autre sujet à l’agenda
    des pourparlers sera la sécurité dans la région de la mer Noire dans le
    contexte de l’agression russe en Ukraine et les conséquences pour la Roumanie.
    Le Conseil suprême de défense de la Roumanie examinera aussi les capacités
    militaires dont l’armée devra se doter
    dans les dix ans à venir, tout comme d’autres thèmes d’actualité visant la
    sécurité nationale.




    Consultations -
    Le président roumain, Klaus Iohannis, a participé à une conférence téléphonique
    avec le chef de l’administration américaine, Joe Biden et avec plusieurs
    dirigeants de pays alliés des États-Unis, dans le contexte des récentes
    évolutions en Ukraine, notamment des attaques russes contre l’infrastructure
    civile proches des frontières roumaines. Le président roumain a appelé la
    Russie à arrêter ses frappes contre les ports ukrainiens du Danube et a plaidé
    pour le renforcement de la posture de dissuasion et de défense sur le flanc est
    et dans la région de la mer Noire. Le leader de Bucarest a plaidé pour des
    capacités accrues de détection des drones et pour le renforcement de la défense
    aérienne. Le leader de la Maison Blanche a réitéré l’appui de son pays à la
    sécurité en Roumanie et dans les autres pays alliés du flanc Est de l’OTAN. A
    titre d’exemple, il a rappelé le récent déploiement en Roumanie des avions de
    combat F-16.

    Protestations – Des avocats de
    Bucarest et de plusieurs régions de Roumanie ont participé mercredi, à un
    mouvement de protestation organisé par l’Union nationale des Barreaux de
    Roumanie. Une heure durant, les protestataires ont refusé d’entrer dans les
    salles d’audience des tribunaux pour attirer l’attention sur les problèmes auxquels
    se confronte la justice roumaine. Ils ont dénoncé plusieurs aspects
    inquiétants, tels des centaines de milliers de lei à récupérer représentant les
    honoraires des avocats d’office.






















    Santé
    – Plus de 16 millions de personnes cotisent à la Sécurité sociale en Roumanie,
    mais seulement la moitié d’entre elles contribuent au Fonds national unique des
    assurances maladie. Le reste sont des catégories exonérées telles les enfants
    de moins de 18 ans scolarisés, les étudiants, les apprentis, les doctorants ou
    encore les jeunes de moins de 26 ans issus des foyers. Les mêmes facilités sont
    accordées aux déportés, aux vétérans de guerre, aux invalides ou aux veuves des
    anciens combattants. Les personnes handicapées, les malades chroniques, les
    femmes enceintes, les femmes qui viennent d’accoucher et les retraités sont
    également exonérés.









    Météo
    – En Roumanie, les températures dépasseront la moyenne saisonnière dans les 24
    prochaines heures. Le ciel sera variable, légèrement couvert et des pluies
    éparses toucheront les régions de montagne, tout comme celles centrales et
    orientales. Les températures iront jeudi de 19 à 27 degrés.













  • Retrospectiva săptămânii 24.09 – 30.09.2023

    Retrospectiva săptămânii 24.09 – 30.09.2023

    Noile măsuri fiscale, asumate de
    Executiv, în parlament


    Guvernul
    de coaliție PSD-PNL de la București şi-a asumat, marţi, răspunderea în
    Parlament pentru o reformă fiscal-bugetară profundă, una din cele mai ample din
    ultimii ani. Pachetul de măsuri include, între altele, păstrarea unei taxe mici
    pe valoare adăugată la alimente, medicamente şi lemne de foc sau creşterea salariului
    minim brut de la 3000 lei (600 euro) la 3.300 lei (660 euro), în paralel cu o
    taxare suplimentară a profitului băncilor sau a companiilor mari. Totodată, vor
    fi confiscate bunurile provenite din activităţi ilicite, iar sumele care nu pot
    fi justificate vor fi impozitate cu 70%. Conform noilor măsuri, cei care lucreaza în IT şi au salarii
    mai mari de 10.000 de lei (cca. 2000 euro) vor plăti impozit, iar bugetarii care au salarii mai mari de 8.000 de
    lei (cca.1600 euro) net nu vor mai primi vouchere de vacanţă şi nici
    indemnizaţie pentru hrană. O taxă specială vor plăti persoanele care deţin case
    mai scumpe de 500.000 de euro, dar cu condiţia să nu plătească rate la bancă. Reforma
    mai prevede un impozit minim pe cifra de afaceri, diminuarea funcţiilor de
    conducere din sistemul bugetar sau plafonarea unor sporuri. Consiliul Economic şi Social, organism independent, a avertizat că acoperirea
    deficitului bugetar prin măsuri de creştere a poverii fiscale pentru mediul
    economic privat ar putea avea efecte contrare.Din opoziție, nemulțumite, USR
    și Forța Dreptei, o disidență liberală, au decis să reclame măsurile la Curtea
    Constituțională.



    Șeful Senatului de la București,
    Nicolae Ciucă, în Irlanda


    Preşedintele Senatului de la București, Nicolae Ciucă, a declarat, în cadrul Conferinţei Europene a preşedinţilor de parlamente din statele membre ale Consiliului Europei, care a avut loc la Dublin, că populismul afectează democraţia şi pune în pericol drepturile civile ale tuturor. În opinia sa, în contextul războiului la graniţă, rolul parlamentelor naţionale în reconstrucţia Ucrainei şi provocările la adresa democraţiei reprezentative în vremuri instabile sunt subiecte de mare interes pentru România, ca ţară membră UE şi NATO. România va continua să fie alături de Ucraina în procesul de reconstrucţie a ţării, proces care trebuie să meargă în acelaşi pas cu reformele de consolidare a drepturilor şi libertăţilor civile, a mai spus Nicolae Ciucă. Printre temele discutate s-au numărat consecinţele războiului de agresiune al Rusiei împotriva Ucrainei şi rolul Parlamentelor naţionale în reconstrucţia acestei țări, provocările la adresa democraţiei în vremuri instabile sau egalitatea şi diversitatea în reprezentarea publică.


    Coordonare
    pe fondul atacurilor ruseşti la Dunăre


    România, care împarte cu
    Ucraina circa 650 de kilometri de frontieră, se consultă permanent cu aliaţii din NATO asupra
    evoluţiilor de la graniţă, după descoperirea mai multor fragmente de drone,
    foarte probabil ruseşti, pe teritoriul românesc, în Delta Dunării. Un
    astfel de incident a avut loc la începutul acestei săptămâni, pe malul
    ucrainean al Dunării, în zona localităţii Orlovka, unde drone au căzut în
    apropierea unui bac cu români ce pleca spre Isaccea.

    După acest nou episod, Statul Major al Apărării a organizat, în
    sistem videoconferinţă, o întâlnire cu reprezentanţi ai autorităţilor publice
    locale din judeţele Brăila, Constanţa, Galaţi şi Tulcea, toate de la Dunăre.
    Agenda a cuprins prezentarea situaţiei de securitate, a procesului de
    comunicare publică a armatei, subiecte din tematica pregătirii populaţiei, economiei
    şi teritoriului pentru apărare, respectiv responsabilităţile legale ce revin
    diferitelor instituţii din sistemul naţional de Apărare.

    Pe de altă parte,
    Ministerul Apărării a cerut, oficial, aprobarea Parlamentului pentru
    începerea în acest an a programului de cumpărare a 32 de avioane militare F-35
    din Statele Unite, care să contribuie la dezvoltarea şi menţinerea unor
    capabilităţi de apărare robuste şi reziliente. Suma care trebuie plătită este
    una record pentru Armata română – 6,5
    miliarde de dolari și va fi folosită pentru achiziţia de aeronave, motoare,
    suport logistic, servicii de instruire a piloţilor şi a personalului şi
    simulatoare de zbor. Anul trecut, România a decis să achiziţioneze 32 de
    avioane de luptă de tip F-16, second-hand, din Norvegia, pentru a le adăuga la
    cele 17 aeronave cumpărate din Portugalia în 2016. România şi-a majorat
    cheltuielile pentru apărare de la 2 la 2,5% din PIB anul acesta.



    Experții
    FMI, din nou în România


    O echipă a FMI se află la Bucureşti pentru
    analiza anuală a economiei româneşti. Experţii internaţionali vor discuta, până
    pe 4 octombrie, despre politicile economice şi ultimele evoluţii în
    domeniu, cu reprezentanţi ai Ministerului Finanţelor, ai Băncii Naţionale şi ai
    altor agenţii guvernamentale. Echipa FMI se va întâlni şi cu reprezentanţi ai
    sectorului privat şi ai organizaţiilor neguvernamentale. Pe de altă parte, Banca Europeană pentru Reconstrucţie şi
    Dezvoltare (BERD) a înrăutăţit estimările privind evoluţia economiei româneşti,
    potrivit ultimului raport. Astfel, PIB-ul României ar urma să
    înregistreze un avans de 1,8% în acest an, după ce prognoza din mai indica o
    expansiune de 2,5% în 2023. Creşterea ar urma să accelereze la 3,2% anul
    viitor. Deficitul fiscal ar putea ajunge la 7%
    din PIB în 2023, mai ridicat decât nivelul prevăzut de 4,4%, se mai arată în
    raport.


  • 25.09.2023 (mise à jour)

    25.09.2023 (mise à jour)

    Fiscalité
    Le gouvernement de Bucarest a adopté le projet de loi visant les nouvelles
    mesures fiscales censées majorer les recettes gouvernementales et réduire les
    dépenses budgétaires. Le premier ministre Marcel Ciolacu a précisé que la
    Roumanie ne se permettait plus des facilités et des privilèges de 75 milliards
    de lei et une évasion fiscale de 150 milliards de lei par an. Parmi les
    nouvelles mesures, notons celle qui oblige tous les salariés à contribuer à la
    Sécurité sociale, y compris ceux travaillant dans le BTT et l’Agriculture. Par
    ailleurs, les informaticiens qui gagnent plus de 10.000 lei par mois seront
    censés de payer un impôt et les fonctionnaires publiques dont les salaires
    dépassent les 8000 lei ne se verront plus accorder des chèques-vacances. La loi
    ne prévoit pas des changements majeurs de la TVA. Elle sera envoyée au
    Parlement pour que les groupes politiques puissent déposer des amendements. Par
    la suite, elle retournera sur la table de l’Exécutif qui votera la forme
    finale. Le Comité économique et social a donné un avis défavorable au projet
    qu’il considère néfaste pour l’économie.


    FMI
    – Une équipe du Fond monétaire international (FMI) commence à
    Bucarest, l’examen annuel de l’économie roumaine. D’ici le 4 octobre, les
    experts internationaux doivent évaluer les politiques économiques et les
    évolutions les plus récentes dans le domaine, dans la cadre de plusieurs
    réunions avec les représentants du ministère des Finances, de la Banque
    centrale et d’autres agences gouvernementales. L’équipe du FMI rencontrera
    aussi des représentants du secteur privé et des organisations
    non-gouvernementales. De telles consultations se déroulent périodiquement avec
    tous les Etats membres, afin de présenter une série de recommandations visant à
    assurer la stabilité et une évolution positive de l’économie, a fait savoir le
    FMI.


    Sondages
    – La majorité des Roumains affirme que la Roumanie se dirige dans une mauvaise
    direction, selon une enquête du Centre de sociologie urbaine et régionale -
    CURS. 69% des personnes interviewées l’affirment, alors que seulement 22% sont
    d’avis que l’Etat est inscrit plutôt sur la bonne voie. Ce qui plus est, 41%
    des personnes questionnées affirment que leur situation empirera dans l’année à
    venir, 38% s’attendent à ce que leur niveau de vie reste inchangé et 18%
    croient qu’il sera meilleur. Conformément au sondage CURS, les principaux
    problèmes auxquels se confrontent les Roumains sont l’inflation, la flambée des
    prix, les salaires trop bas, le niveau de vie en berne et la corruption. Dans
    un classement des institutions en fonction du degré de confiance, les pompiers
    restent en première place avec 73% des voix, suivis par l’armée avec 68% et par
    l’Eglise avec un taux de confiance de 63%. Si dimanche prochain des élections
    parlementaires étaient organisées, 50% des personnes questionnées voteraient
    pour les partis actuellement au pouvoir, le PSD et le PNL.


















    Géorgie
    – Le président du Sénat de Roumanie, Nicolae Ciuca a rencontré lundi le président
    du parlement géorgien, Shalva Papuashvili, en visite officielle à Bucarest. L’occasion
    pour Nicolae Ciuca de réitérer le soutien accordé par la Roumanie à l’agenda
    européen de la Géorgie et au renforcement des relations bilatérales. Le
    président du Parlement géorgien a rencontré aussi le président par intérim de
    la Chambre des députés, Alfred-Robert Simonis. En juin 2022, l’UE a refusé
    d’accorder à la Géorgie le statut de candidat à l’intégration qu’il a accordé
    en échange à l’Ukraine et à la République de Moldova. L’UE s’attend à ce que la
    Géorgie mette en place une réforme de la Justice, du système électoral, de la
    liberté de la presse et de la lutte contre les oligarques. Début mars, des
    dizaines de milliers de personnes ont protesté dans la capitale géorgienne,
    accusant le gouvernement de s’être éloigné des aspirations pro-occidentales.










    Enescu
    – Le rideau est tombé dimanche soir sur la 26ème édition du Festival
    international de musique George Enescu. En clôture du festival le public réuni
    à la Salle du Palais de Bucarest, a pu
    applaudir l’orchestre royal Concertgebouw d’Amsterdam, tout comme les chœurs
    académique et d’enfants de la Radio roumaine. Un mois durant, le Festival
    George Enescu a proposé aux mélomanes une quarantaine d’orchestres de 16 pays
    et plus de 3 500 musiciens renommés du monde entier. Ce festival, un des plus
    importants au monde, sera suivi par le concours des jeunes talents Remember
    Enescu qui débute lundi, à Timisoara.


    Paris
    – Dans la Coupe du monde de rugby qui se déroule en France, l’Ecosse a battu
    les Tonga dans le cadre de la poule B. Avec 5 points obtenus en deux matchs,
    l’Ecosse est en troisième position, derrière l’Irlande et l’Afrique du sud, les
    deux grandes favorites. Les Tonga arrivent quatrième, juste avant la Roumanie
    qui est 5e dans sa poule. La Roumanie s’est inclinée devant l’Irlande
    et l’Afrique du sud, championne mondiale en titre. Son troisième match, la
    Roumanie le jouera contre l’Ecosse, samedi à Lille.

  • 18.09.2023 (mise à jour)

    18.09.2023 (mise à jour)

    ONU
    – Le président roumain Klaus Iohannis se trouve à la tête de la délégation roumaine qui participe à la
    78e session de l’Assemblée générale de l’Organisation des nations
    unies, l’ONU, qui se déroule à New York, du 18 au 22 septembre. Le thème de la
    session de cette année est « Restaurer la confiance et raviver la solidarité
    mondiale : accélérer l’action sur le Programme 2030 et ses objectifs de
    développement durable en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de
    la durabilité pour tous ». Mercredi, devant l’Assemblée générale réunie en
    séances plénière, Klaus Iohannis présentera les points de vue de Bucarest sur
    des thèmes d’actualité mondiale avec un accent particulier sur les priorités de
    la diplomatie roumaine et sur la contribution de la Roumanie aux objectifs à
    l’agenda de l’ONU. Dans ses allocutions, le chef de l’Etat réitérera le soutien
    ferme de la Roumanie au multilatéralisme efficace, au respect du droit
    international et de l’ordre international au sein duquel ONU joue un rôle central.
    Le président Iohannis présentera aussi le point de vue de Bucarest sur les
    crises actuelles auxquelles se confronte la communauté internationale. Toujours
    à l’agenda de la visite : la participation au sommet consacré aux
    objectifs de développement durable et au débat organisé par l’Université
    Columbia, de New York, dans le cadre du forum des leaders mondiaux et qui porte
    sur « la perspective de la Roumanie sur la guerre contre l’Ukraine et
    l’impact de celle-ci sur la sécurité en mer Noire. »






    Drones
    – En Roumanie, le nombre de localités dont les habitants reçoivent des messages
    d’alerte sur le risque de chute de drone russe a doublé dernièrement. Selon les
    données rendues publiques lundi par l’Inspection pour les situations d’urgence
    du Delta du Danube, les habitants des 16 localités du département de Tulcea ont
    reçu dernièrement de tels messages sur leurs téléphones portables. Le dernier
    date de dimanche soir quand plusieurs drones russes qui se dirigeaient vers
    l’Ukraine ont été détectés. Le gouverneur de la région d’Odessa, Oleh Kiper, a
    annoncé que le district d’Ismail où se trouve le port homonyme utilisé pour les
    exportations de céréales a été la cible d’une nouvelle attaque de drones. Onze
    drones ont été détruits, a-t-il ajouté, sans donner des détails supplémentaires
    sur les dégâts produits à l’infrastructure portuaire.












    FMI
    – Une équipe du Fonds monétaire international se rendra la semaine prochaine à
    Bucarest pour l’examen annuel de l’économie roumaine. Les experts du FMI examineront
    avec les autorités roumaines les politiques fiscales et les évolutions les plus
    récentes dans l’économie et auront des rencontres avec des responsables du
    domaine. Des consultations similaires se déroulent périodiquement avec tous les
    Etats membres du FMI.


    Schengen
    – L’opposition de l’Autriche à l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen
    n’est pas dirigée contre Bucarest mais contre un système qui ne fonctionne
    plus – a récemment affirmé la ministre
    autrichienne des Affaires européennes, Karoline Edtstadler. Cette réaction
    intervient alors que le premier ministre roumain, Marcel Ciolacu avait
    déclaré dans une interview pour la publication Der Standard que la Roumanie
    attaquerait l’Autriche à la Cour européenne de Justice pour réclamer des
    dédommagements si elle continuait à s’opposer à l’intégration roumaine. Marcel
    Ciolacu a également dit que l’Espagne, en tant que présidente du Conseil de
    l’UE soutenait l’adhésion de la Roumanie à l’espace Schengen et que ce sujet
    figurerait à nouveau à l’ordre du jour – soit en octobre, soit début décembre -
    de la réunion des ministres de l’Intérieur de l’UE. La Roumanie et la Bulgarie
    ont accompli tous les critères d’adhésion et doivent adhérer à la zone de libre
    circulation européenne « sans aucun
    autre ajournement », a lancé la semaine dernière la présidente de la
    Commission européenne Ursula von der Leyen, dans le cadre de son discours sur
    l’état de l’UE, le dernier avant les élections européennes de juin 2024.
















    Motion
    – Les députés de Bucarest ont débattu lundi de la motion simple initiée par
    l’Union Sauvez la Roumanie et par la Force de la Droite contre le ministre
    social-démocrate de la Santé, Alexandru Rafila. C’est la première démarche de
    ce genre déposée durant l’actuelle session parlementaire. Les initiateurs de la
    motion reprochent à Alexandru Rafila la manière dont il a mis en place les
    réformes et les investissements dans le domaine de la Santé, dans le cadre du
    plan national de relance et de résilience. Ils affirment que le ministre serait
    responsable entre autres du retard enregistré dans l’implémentation des normes
    de la Stratégie nationale de lutte contre les cancers. Alexandru Rafila, a rejeté les accusations et
    qualifié la démarche de l’opposition de démagogique. La motion sera soumise au
    vote dans les jours à venir.

    Aides – Deux avions C-130 des Forces aériennes roumaines
    ont transporté lundi, dans la ville de Benghazi, la deuxième tranche d’aides
    humanitaires que la Roumanie offre à titre gracieux, à la Lybie en proie à des
    inondations catastrophiques. Bucarest a prévu six courses aériennes sur cette
    route afin de transporter 55 tonnes de vivres et des abris. L’UE est prête à
    débloquer plus de 5 millions d’euros à la Lybie où plus de 11.000 personnes
    sont mortes et 10.000 disparues dans les inondations et les crues provoquées
    par la tempête Daniel.

    Météo
    – Mardi, le temps sera plutôt pluvieux, notamment dans l’ouest, le nord-ouest
    et le nord-est. Dans le reste du territoire, le ciel reste variable et des
    pluies éparses peuvent faire leur apparition. Les températures maximales iront
    de 19 à 29 degrés. A Bucarest, nous aurons 27 degrés mardi, à midi.

  • Tunisia şi UE semnează un acord pentru limitarea fluxului de migranţi

    Tunisia şi UE semnează un acord pentru limitarea fluxului de migranţi

    Preşedintele tunisian Kais Saied şi preşedinta Comisiei Europene Ursula von der Leyen au semnat un acord de parteneriat strategic care ar urma să ajute la combaterea traficului de fiinţe umane şi la dezvoltarea economică a ţării africane. Alături de şefa Executivului de la Bruxelles, prim-miniştrii olandez Mark Rutte şi italian Giorgia Meloni au făcut parte din delegaţia Uniunii Europene care s-a deplasat în Tunisia, în contextul în care numărul migranţilor proveniţi din această ţară a crescut dramatic în ultimele luni.

    Textul conţine acorduri pentru combaterea modelului de afaceri al contrabandiştilor şi traficanţilor de fiinţe umane, întărind controlul la frontieră şi ameliorând înregistrarea şi returnarea – a precizat, într-o postare pe Twitter, premierul olandez Mark Rutte. Potrivit acestuia, toate sunt măsuri esenţiale pentru stimularea eforturilor de a opri migraţia ilegală. Preşedinta Comisiei Europene Ursula von der Leyen a salutat documentul menit să ducă la investiţii pentru o prosperitate împărtăşită. Prim-ministrul italian Giorgia Meloni a apreciat că este vorba despre o nouă etapă importantă pentru a trata criza migraţiei într-un mod integrat.

    În plus, Giorgia Meloni l-a invitat pe preşedintele tunisian Kais Saied să participe duminică, la Roma, la un summit privind migraţia. Conform Giorgiei Meloni, parteneriatul între Tunisia şi Uniunea Europeană poate fi considerat ca un model pentru stabilirea de noi relaţii cu Africa de Nord.

    Documentul prevede un ajutor de 105 milioane de euro pentru a lupta împotriva imigraţiei ilegale şi un ajutor bugetar de 150 de milioane de euro, în condiţiile în care Tunisia este sufocată de o datorie de 80% din PIB-ul său şi duce lipsă de lichidităţi. Cu prilejul primei sale vizite, luna trecută, troica europeană a anunţat o asistenţă macrofinanciară de 900 de milioane de euro, care ar putea fi furnizată Tunisiei sub forma unui împrumut în anii care urmează. Ursula von der Leyen a dat asigurări că Bruxelles-ul este gata să ofere această asistenţă imediat ce condiţiile vor fi îndeplinite. Acest ajutor al Uniunii Europene este condiţionat de un acord între Tunisia şi Fondul Monetar Internaţional pentru un nou credit – un dosar care este în impas de luni de zile.


  • 295 de milioane EUR: Consiliul aproape dublează asistența financiară acordată de UE Rep. Moldova

    295 de milioane EUR: Consiliul aproape dublează asistența financiară acordată de UE Rep. Moldova

    Statele membre ale Uniunii Europene au decis, chiar înaintea summitului Comunității Politice Europene de la Chișinău, să sporească de aproape de două ori valoarea asistenței macrofinanciare pentru Republica Moldova, pe care au convenit să o acorde cu un an în urmă.

    Astfel, suma a fost majorată cu 145 de milioane EUR, ceea ce înseamnă că o sumă totală de 295 de milioane EUR va fi disponibilă pentru Republica Moldova.

    Asistența macrofinanciară are scopul de a sprijini stabilizarea economică și agenda reformelor structurale din Republica Moldova, completând resursele puse la dispoziție în cadrul acordului financiar cu FMI.

    Cea mai mai mare parte din sumă va fi acordată sub formă de împrumuturi, iar restul, sub formă de granturi.

    Asistența contribuie la acoperirea nevoilor Republicii Moldova, așa cum au fost identificate în programul FMI.

    Războiul Rusiei cu Ucraina are efecte negative considerabile asupra economiei Republicii Moldova.

    În actualele circumstanțe excepționale, majorarea este considerată a fi un răspuns adecvat la solicitarea Republicii Moldova de sprijin pentru stabilizarea sa economică, împreună cu programul FMI.

    De altfel, ieri, la summitul Comunităţii Politice Europene de la Chișinău, la care au participat 50 de şefi de stat şi de guvern, inclusiv preşedintele României, Klaus Iohannis, principalul mesaj a fost unul de susţinere a Republicii Moldova pe drumul său european.

    În mesajul său, președinta Comisiei Europene Ursula von der Leyen a declarat: Este minunat să mă reîntorc la Chişinău, când Moldova este, în această săptămână, un hub politic european. Mesajul meu pentru poporul Moldovei este că suntem alături de voi şi vă susţinem fiecare pas pe drumul european. Şi astăzi am venit cu un nou pachet de sprijin, cu cinci componente foarte concrete, a spus Ursula Von der Leyen.

    Pachetul de sprijin va merge către domenii precum securitate, energie, comunicații sau investiții.


  • La semaine du 10 au 16 avril 2023

    La semaine du 10 au 16 avril 2023




    Le CSAT se réunit à Bucarest


    La
    Roumanie achètera des avions de combat de dernière génération, F-35. C’est ce
    que le Conseil suprême de défense du pays a décidé après avoir examiné les
    risques de la situation de sécurité dans la région de la Mer Noire. Ces avions
    sont équipés d’une large gamme de capteurs avancés, ayant la capacité
    d’échanger des informations cryptées en temps réel aussi bien avec les
    plates-formes aériennes qu’avec les systèmes de défense au sol. Annoncée l’année
    dernière par le chef de l’Etat roumain, l’intention de doter l’armée roumaine d’avions
    de combat F-35 fait partie du plan de modernisation de l’aviation roumaine. La
    réunion du CSAT a également porté sur la situation de sécurité dans la région
    de la Mer Noire, dans le contexte de l’agression russe en Ukraine. Les membres
    du Conseil sont tombés d’accord que le principal repère d’action reste celui de
    la sécurité nationale. La Roumanie doit continuer à fournir de l’aide aux
    partenaires vulnérables de la région. Il s’agit, tout d’abord, de la République
    de Moldova. Après l’Ukraine, c’est le pays le plus exposé aux agressions et
    russes et en proie à des tentatives déstabilisatrices d’une intensité sans
    précédent.



    La sécurité dans la région de la Mer Noire


    Bucarest redevient la capitale
    internationale de la diplomatie, a déclaré le ministre roumain des Affaires
    Etrangères, Bogdan Aurescu, en rappelant que la ville roumaine accueillera la
    première Conférence internationale sur la sécurité dans la région de la mer
    Noire, patronnée par la Plateforme internationale de Crimée et une nouvelle
    trilatérale Roumanie – République de Moldova – Ukraine. Par ailleurs, M.
    Aurescu a condamné encore une fois la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine.
    Organisée par les Ministères roumain et ukrainien des Affaires Etrangères et de
    la Défense, en partenariat avec le Centre ukrainienpour les stratégies de défense, la conférence
    est le premier événement d’une telle ampleur consacré à la région de la mer
    Noire. Quant à la Trilatérale Roumanie-Ukraine-Moldavie, les débats ont visé la
    sécurité dans la région, les pressions exercées par Moscou à Chisinau, l’appui
    de l’OTAN et de l’UE à la République de Moldova.


    La sécurité dans la région
    de la mer Noire a dominé aussi la visite en Roumanie du président du Comité
    militaire de l’OTAN, l’amiral Rob Bauer. Les pourparlers que celui-ci a eus avec
    le chef de la diplomatie roumaine ont porté sur les préparatifs en vue du
    sommet de l’Alliance, de Vilnius, en juillet et sur la mise en place des
    décisions adoptées lors de la réunion des alliés de Madrid. En visite à
    Bucarest, Rob Bauer a rencontré aussi le ministre roumain de la Défense, Angel
    Tâlvar et le chef de l’Etat-major, le général Daniel Petrescu. L’amiral
    américain a rendu visite aux commandements alliés déployés à Bucarest et à
    Sibiu, au groupement de combat de Cincu et aux soldats se trouvant sur la base
    aérienne de Mihail Kogalniceanu.



    Le commissaire européen chargé du Marché Intérieur,
    Thierry Breton, en visite en Roumanie


    Le
    commissaire européen chargé du Marché intérieur, Thierry Breton, a visité cette
    semaine la Roumanie. Lors des pourparlers avec le chef du gouvernement de
    Bucarest, Nicolae Ciuca, le responsable de Bruxelles a examiné les efforts de
    Bucarest de contribuer au renforcement des capacités européennes de défense et
    le soutien accordé à Kiev et à Chisinau. Thierry Breton a salué la décision de
    Bucarest de majorer de 2 à 2,5% du PIB le budget alloué à la défense. Accompagné
    par le ministre roumain de l’Economie, Florin Spataru, le responsable européen
    a visité deux usines d’armes et d’armements. « La Roumanie, a-t-il dit,
    compte parmi les onze pays où existent des usines identifiées par la Commission européenne comme
    étant capables de majorer leurs capacités de production d’armement » Pour
    sa part, le responsable roumain de l’Economie, a rappelé le soutien européen
    que l’industrie roumaine nécessite pour pouvoir contribuer aux efforts de
    reconstruction de l’Ukraine.



    Le FMI a révisé à la baisse
    ses prévisions de croissance de l’économie roumaine


    Le FMI a réduit ses
    prévisions de croissance de l’économie roumaine de plus de 3% à 2,4%. Selon les
    nouvelles estimations rendues publiques mardi, en 2024, la Roumanie devrait
    enregistrer une croissance économique de 3,7%. Quant à l’inflation, le FMI
    s’attend à ce que le taux d’inflation baisse cette année de 13,8% à 10,5%. Le
    rythme de la croissance des prix ne ralentira qu’en 2024 quand elle se situera
    en dessous de 6%.



    Les Pâques orthodoxes


    Les chrétiens orthodoxes et
    les Grecs catholiques du monde, y compris de Roumanie, pays majoritairement
    orthodoxe, ont marqué cette semaine la Semaine Sainte, dernière semaine avant
    Pâques. Des offices religieux ont eu lieu chaque soir dans les églises pour
    rappeler aux fidèles les derniers moments de la vie de Jésus Christ. Des pèlerinages
    ont eu lieu à Jérusalem, Nazareth et Bethleem, a fait savoir le correspondant
    Radio Roumanie en Israël. Une enquête sur la manière dont les Roumains fêtent
    Pâques menée par Reveal Marketing Research a montré que la plupart des
    Roumains, soit 71%, célébreront Pâques en famille. Seuls les jeunes âgés
    de 18 à 24 ans préféreront fêter Pâques avec des amis. Quant à l’intérêt porté
    aux traditions, 78% des Roumains affirment se rendre à minuit, à la messe
    de Pâques et 45% observent une période de carême.


    64% des sondés envisagent d’offrir
    des petits cadeaux le jour de Pâques, un pourcentage en baisse par rapport à
    2019 quand 8 Roumains sur 10 ont acheté des cadeaux à leurs proches.







  • 15.04.2023 (mise à jour)

    15.04.2023 (mise à jour)

    Pâques – Les chrétiens orthodoxes et les grec-
    catholiques célèbrent le 16 avril le dimanche de Pâques, la plus grande fête de
    la chrétienté. Le nom de Pâques tire sa source du mot Pesah, qui en hébreux
    signifie passage. « Que les fêtes pascales nous inspirent et qu’elles nous
    rendent encore plus empathiques envers nos semblables touchés par la guerre et
    les catastrophes » a transmis le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis,
    dans un message.




















    Sécurité – Plus
    de 24.000 policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers sont mobilisés ces jours-ci
    pour veiller à la sécurité des Roumains durant les fêtes pascales. On s’attend
    à ce que le trafic routier soit bien chargé et que quelque 800.000 fidèles se
    rendent à la messe de samedi, à minuit. La Gendarmerie a mis en place des
    dispositifs de maintien de l’ordre. Chaque jour, plus de 2700 policiers seront
    présents aux événements religieux et artistiques organisés durant cette période
    pour veiller à la sécurité publique.


    Visite – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, fera
    du 18 au 26 avril des visites au Brésil, au Chili et en Argentine pour une
    redynamisation des relations bilatérales. Les visites sont censées lancer de
    nouvelles opportunités de collaboration dans différents domaines, tels économie,
    commerce, recherche, protection de l’environnement, changements climatiques,
    agriculture, éducation, culture et protection civile.






















    Culture – A l’occasion de la Journée mondiale de l’art,
    le ministre roumain de la Culture, Lucian Romascanu, a affirmé que l’art reste
    une expression de la liberté individuelle et il a appelé les Roumains à
    respecter les artistes. Considérée comme une célébration internationale des
    beaux-arts, la Journée mondiale de l’art a été déclarée par l’Association
    internationale de l’art en 2012, lors de
    la XVIIème Assemblée générale de Guadalajara, au Mexique. Elle est célébrée
    chaque année, le 15 avril, date de la naissance de Leonard de Vinci.


    FMI – L’économie européenne s’est débrouillée d’une
    manière raisonnable ces dernières semaines, mais elle se confronte actuellement
    à un ralentissement de son rythme de croissance et donc, à des multiples
    risques, avertit le FMI. Le taux de l’inflation reste élevé et il dépasse le
    seuil de 10% dans la plupart des pays émergeants et dans certains pays avancés.
    Une baisse de l’inflation pourrait survenir suite à la diminution des tarifs
    énergétiques et à l’amélioration de la situation des chaînes
    d’approvisionnement. Le FMI prédit pour les économies avancées un taux moyen d’inflation
    de 5,6% d’ici la fin de l’année et un taux de 11,7% pour les économies
    émergentes. Selon les prévisions, en Roumanie, l’inflation poursuivra sa
    tendance à la baisse. La BNR rappelle que le taux annuel de l’inflation s’est
    réduit de 16,37% en décembre 2022 à 15,52% en février dernier.




    Notation – L’agence de notation internationale Fitch
    Ratings a confirmé vendredi la note BBB – de la capitale roumaine, Bucarest, pour
    ses émissions souveraines de long-terme en devises et en monnaie locale et a
    amélioré la perspective de négative à stable. Le mois dernier, l’agence a
    réitéré la note de BBB – F3 de la Roumanie pour sa dette publique en devises et
    en monnaie locale et a révisé la perspective de négative à stable. Par
    ailleurs, Fitch a révisé le profil de crédit de Bucarest de BBB plus à A, après
    que le profil de risque ait passé «d’un niveau moyen réduit » à « un
    niveau moyen ». La capitale roumaine est responsable de plus de 30% de
    l’économie roumaine et le niveau du patrimoine moyen des Bucarestois est quatre
    fois supérieur à la moyenne nationale. Les dépenses en capital de la ville
    pourraient augmenter entre 2023 et 2025, ce qui entraînerait un déficit moyen
    de 3% sur la totalité des revenus, apprécie Fitch.


    Météo – Les 24 prochaines heures, les températures seront
    aux alentours de la moyenne saisonnière, sauf dans le sud et le sud-ouest où il
    fera plus doux que la normale. Le ciel sera partiellement couvert et des pluies
    tomberont sur le sud, le sud-ouest et le centre du pays. Des précipitations
    mixtes sont signalées à plus de 1800 mètres d’altitude. Les températures iront
    dimanche du 13 au 22 degrés.

  • Retrospectiva săptămânii  09.04 – 15.04 2023

    Retrospectiva săptămânii 09.04 – 15.04 2023

    Reuniune CSAT la București


    România va cumpăra avioane de luptă de ultimă
    generaţie, F-35. Decizia a fost luată în Consiliul Suprem de Apărare a Ţării,
    care a analizat riscurile de securitate din regiunea Mării Negre. Aceste
    avioane americane de ultimă generaţie sunt dotate cu o gamă largă de senzori
    avansaţi, pot schimba informaţii criptate în timp real, atât cu platforme
    aeriene, cât şi cu sisteme de apărare cu baza la sol. Intenţia achiziţionării
    avioanelor de vânătoare F-35 fusese anunţată de anul trecut de către
    preşedintele Klaus Iohannis, ca parte a procesului de modernizare a forţelor
    armate aeriene. Agenda reuniunii CSAT s-a concentrat şi pe situaţia de securitate
    din regiunea Mării Negre, în contextul agresiunii Rusiei împotriva Ucrainei.
    Membrii Consiliului au
    stabilit că reperul fundamental de acţiune rămâne cel al asigurării securităţii
    naţionale. Ei au decis că România trebuie să asigure, în continuare, sprijinul
    necesar pentru partenerii vulnerabili din regiune. Este vorba, în primul rând,
    despre Republica Moldova (ex-sovietică, majoritar românofonă). După Ucraina, acest
    stat este cel mai expus agresiunilor şi presiunilor ruseşti, fiind ţinta unor
    acţiuni hibride de destabilizare de o intensitate şi o complexitate fără
    precedent.



    Securitatea în zona Mării Negre, în atenție la
    București


    Ministrul român de Externe, Bogdan Aurescu, a declarat, joi, că Bucureştiul devine, din nou,
    capitala internaţională a diplomaţiei prin organizarea primei Conferinţe
    privind securitatea Mării Negre sub egida Platformei Internaţionale Crimeea şi
    a unei noi reuniuni a Trilateralei România – Republica Moldova – Ucraina. Totodată,
    șeful diplomaţiei române a reiterat condamnarea războiului dus de Federaţia
    Rusă în Ucraina. Organizată de Ministerul de Externe şi cel al Apărării din
    România, împreună cu Ministerul Afacerilor Externe şi Ministerul Apărării din
    Ucraina, în parteneriat cu Centrul pentru Strategii de Apărare al Ucrainei,
    conferinţa este primul eveniment de asemenea amploare dedicat Mării Negre
    co-organizat de cele două ţări, sub egida Platformei Internaţionale Crimeea. În
    ceea ce privește agenda Trilateralei România – Ucraina – Republica Moldova,
    dezbaterile au vizat situaţia de securitate din regiune, presiunile exercitate
    de Rusia împotriva Republicii Moldova, sprijinul NATO şi al UE pentru Ucraina
    şi Republica Moldova. Tot pentru convorbiri consacrate situaţiei de
    securitate din regiunea Mării Negre s-a aflat în România, de luni până vineri,
    și preşedintele Comitetului Militar al NATO, amiralul Rob Bauer. El a discutat cu ministrul
    de externe, Bogdan Aurescu, despre pregătirea summit-ului de la Vilnius din
    luna iulie şi implementarea deciziilor reuniunii aliate de la Madrid, iar la
    sediul MApN a avut convorbiri cu ministrul apărării, Angel Tîlvăr, şi cu şeful
    Statului Major, generalul Daniel Petrescu. În programul din România al
    preşedintelui Comitetului Militar al NATO au fost incluse vizite la comandamentele
    aliate dislocate în Bucureşti şi Sibiu (centru), la grupul de luptă NATO dispus în zona Cincu (centru) şi în Baza
    Aeriană Mihail Kogălniceanu (sud-est).



    Comisarul european pentru Piaţa Internă,
    Thierry Breton, în România


    Comisarul european pentru Piaţa Internă,
    Thierry Breton, a făcut, în
    această săptămână, o vizită în România. El s-a întâlnit cu premierul Nicolae
    Ciucă, cu care a discutat despre rolul României în consolidarea capacităţii de
    apărare europene şi despre sprijinul pentru Ucraina şi Republica Moldova. Comisarul
    Thierry Breton a salutat
    alocarea de către România a 2,5% din PIB pentru apărare, mai ales în actualul
    context de securitate. De asemenea, oficialul european a vizitat, împreună
    cu ministrul Economiei, Florin Spătaru, două fabrici de echipamente militare.
    România se numără printre cele 11 ţări identificate de Comisia Europeană în
    care există companii din industria de apărare ce şi-ar putea majora capacitatea
    de producţie pentru a sprijini Ucrainaˮ, a declarat comisarul european pentru Piaţa
    Internă, Thierry Breton. La
    rândul său, ministrul Economiei, Florin Spătaru, a afirmat că s-a vorbit despre
    sprijinul european pe care industria românească îl poate obţine, în aşa fel
    încât să poată contribui la efortul de reconstrucţie a Ucrainei.


    FMI a redus prognoza de creştere a economiei
    româneşti


    Fondul Monetar Internaţional a redus prognoza de
    creştere a economiei româneşti, în acest an, de la puţin peste trei procente,
    cât estima în toamnă, la 2,4%. Conform noilor calcule ale instituției
    financiare, date publicităţii marți, la anul, creşterea ar urma să fie de 3,7%.
    În ceea ce priveşte inflaţia, FMI se aşteaptă ca România să înregistreze, în
    acest an, un nivel de 10,5%, după 13,8 anul trecut. Ritmul de creştere a
    preţurilor va încetini semnificativ abia în 2024, când ar urma să se situeze
    sub pragul de 6%.



    Ultimele pregătiri de Paște


    Pentru creștinii ortodocși, majoritari în România,
    și cei greco-catolici, luni, a început Săptămâna Patimilor, care este și ultima
    săptămână a Postului Paștelui. În biserici, s-au ținut slujbe prin care s-a făcut
    pomenirea ultimelor zile ale lui Hristos pe pământ, înainte de Răstignirea și
    Învierea Lui, iar pelerini şi grupuri organizate din România au ajuns la locurile
    sfinte din Ierusalim, Nazareth şi Betleem pentru slujba din Noaptea de Înviere.
    Pe de altă parte, un studiu realizat de Reveal Marketing Research şi-a propus
    să afle mai multe detalii despre cum se pregătesc românii în aşteptarea
    sărbătorilor de Paşte. 71% dintre aceștia urmează să îşi petreacă Paştele în
    familie, cu partenera sau partenerul de viaţă. Petrecerea sărbătorii împreună
    cu grupul de prieteni este menţionată într-o mai mare măsură de tineri cu
    vârste cuprinse între 18-24 ani. În ceea ce priveşte interesul pentru tradiţii
    şi obiceiuri de Paşte, 78% dintre respondenți intenţionează să meargă la slujba
    de Înviere, iar 45% obişnuiesc să postească. În toiul pregătirilor de Paşte,
    64% dintre români intenţionează să cumpere cadouri celor dragi,
    înregistrându-se o descreştere semnificativă faţă de anul 2019, când 8 din 10
    şi-au manifestat această dorinţă.

  • 11.04.2023 (mise à jour)

    11.04.2023 (mise à jour)

    Défense -
    La Roumanie achètera des avions multi-rôle furtifs F35 de dernière génération,
    ont décidé les participants à la réunion du Conseil suprême de défense de la
    Roumanie. « La mise en place de capacités opérationnelles de défense
    aérienne robustes, crédibles, interopérables, flexibles et efficaces, destinées
    aussi bien à la mise en œuvre des engagements au sein de l’OTAN et de l’UE qu’au
    besoin de dissuader une éventuelle agression, constituent la condition
    essentielle pour réaliser les objectifs de la politique de défense de la
    Roumanie » lit-on dans un communiqué, rendu public à l’issue de la réunion
    ce mardi du Conseil suprême de défense de la Roumanie.










    Amiral – Le ministre roumain de la défense, Angel Tîlvăr, et le chef de l’Etat major
    de la défense, le général Daniel Petrescu rencontreront mercredi à Bucarest le
    président du Comité militaire de l’OTAN, l’amiral Robert Bauer, dans le cadre
    de la visite que celui-ci fait du 11 au 14 avril en Roumanie. Selon un
    communiqué du ministère de la défense de la Roumanie, les pourparlers
    viseront la situation sécuritaire dans
    la région de la mer Noire, la dynamique de l’implémentation des mesures alliées
    de dissuasion et de défense de l’espace euro-atlantique, les opérations et les
    missions de l’OTAN, ainsi que les événements majeurs d’instruction de cette
    année. La semaine dernière, l’adjoint au secrétaire général de l’OTAN, Mircea
    Geoana s’est également rendu en Roumanie pour visiter la Brigade multinationale
    sud-est de Craiova.














    Commissaire
    – Le commissaire européen chargé du Marché intérieur, Thierry Breton, visite
    mercredi la Roumanie pour des pourparlers avec le premier ministre roumain,
    Nicolae Ciuca et le président de la Chambre des députés, Marcel Ciolacu. Une
    fois sur Bucarest, il visitera aux côtés du ministre roumain de la Recherche,
    l’Innovation et la Numérisation, Sebastian Burduja, le futur siège du Centre
    européen de compétences en matière de cybersécurité. Mercredi, Thierry Breton,
    accompagné par le ministre roumain de l’Economie, Florin Spătaru, fera une
    visite dans deux fabriques importantes de matériel de défense.


    Questions
    au gouvernement
    – Invité mardi au Parlement, « Aux questions au
    gouvernement », le ministre des Finances, Adrian Câciu, a assuré que les
    taxes n’augmenteront pas, que l’ajustement budgétaire se fera par une baisse
    des dépenses et que tous les contrats du Plan national de relance et de
    résilience seront menés à terme. Ce débat politique a été réclamé par l’Union
    sauvez la Roumanie, d’opposition, qui a affirmé que si la coalition au pouvoir
    souhaite diminuer les dépenses publiques, une idée serait de supprimer les
    régimes spéciaux de retraites, qui consomment plus d’argent d’un mois à
    l’autre.




















    FMI
    – Le FMI a réduit ses prévisions de croissance de l’économie roumaine de plus
    de 3% à 2,4%. Selon les nouvelles estimations rendues publiques mardi, la
    croissance économique devrait se monter à 3,7%. Quant à l’inflation, le FMI
    s’attend à ce que le taux d’inflation baisse cette année de 13,8% à 10,5%.
    Quant à la flambée des prix, celle-ci ne ralentira son rythme qu’en 2024 quand
    elle se situera en dessous de 6%.


    Timisoara – L’académicien français, Jean-Marie Lehn, 83 ans,
    lauréat en 1987, du Prix Nobel de Chimie, est devenu Docteur Honoris Causa de
    l’Université d’Ouest de Timisoara. L’occasion de rappeler que durant ses années
    de carrière, il a eu de nombreux collègues roumains dont le travail a contribué
    aux recherches en chimie menées aussi bien dans les universités roumaines, que
    mondiales. La remise de titre de Docteur honoris causa s’inscrit dans la série
    d’événements que l’Université d’Ouest de Timisoara organise dans le cadre de
    Smart Diaspora 2023 qui se déroule jusqu’au 13 avril, dans cette ville devenue
    capitale européenne de la culture en 2023.




















    Chișinău
    – La présidente de la République de Moldova, Maia Sandu, a appelé lundi ses
    compatriotes à participer à un rassemblement populaire prévu le 21 mai à Chisinau,
    pour démontrer leur soutien à l’adhésion européenne de leur pays. Elle a fait
    cet appel dans le contexte des tentatives de déstabilisation menée ces trois
    derniers mois par la Russie, dans cette petite république ex-soviétique.


    Education
    – Le ministère roumain de l’Education nationale et la Direction générale pour
    la protection de l’enfance préparent une procédure censée permettre la
    résolution rapide des cas de violence dans les écoles, de plus en plus
    nombreux, selon les autorités. La ministre Ligia Deca a précisé que les autorités
    examinent la possibilité de mettre en place des détecteurs de métaux à l’entrée
    des établissements scolaire. Et les syndicats de l’éducation souhaitent déposer
    au Parlement une initiative législative censée décourager la violence scolaire.
    La proposition intervient sur la toile de fond d’incidents graves qui ont
    récemment eu lieu dans les écoles de Roumanie ayant impliqué de l’agression
    physique et de l’humiliation envers des enseignants.
















    Météo
    – Temps morose en Roumanie avec des maxima allant de 9 à 19 degrés. Le ciel
    demeure couvert sur l’est et le sud-est et des pluies à verse et des orages
    sont attendus. Sur le relief, en haute montagne, des chutes de neige sont
    également possibles. Le vent est assez fort sur l’est, le sud-est et sur les
    Carpates méridionales et de courbure. Ciel couvert et des pluies à Bucarest
    alors que les maximas ne dépasseront plus les 16 degrés.

  • L’économie roumaine à l’heure du bilan

    L’économie roumaine à l’heure du bilan

    L’année 2023 a débuté plutôt
    sous de mauvais auspices. Les institutions financières internationales ont
    averti sur le risque de l’entrée en récession de plusieurs économies
    importantes. Même en l’absence de toute mauvaise surprise, la croissance
    mondiale devrait ralentir sérieusement cette année, à cause de l’effet conjugué
    de l’accroissement de principaux taux directeurs, censé empêcher l’envolée de
    l’inflation, la dégradation des conditions financières et les effets de la
    guerre en Ukraine. La Banque mondiale exige des mesures censées atténuer les
    risques induits par la baisse de l’activité économique et les charges de la
    dette auxquels sont confrontés les économies émergentes. Dans une récente
    interview passée sur la chaîne CBS, la directrice-générale du FMI, Kristalina
    Georgieva, affirme
    s’attendre à l’entrée en récession d’un tiers de l’économie globale et d’une
    croissance chinoise en berne, pour la première fois depuis 40 ans en-deçà de la
    moyenne globale, ce qui en dit long. Kristalina Georgieva :


    « Pour la majeure partie de l’économie globale,
    ce sera une année difficile, plus difficile que la précédente. Et cela parce
    que les trois principaux ensembles de l’économie mondiale, à savoir les
    Etats-Unis, l’UE et la Chine, ralentissent simultanément. Les Etats-Unis
    semblent les plus résilients du trio, et ils pourraient éviter la récession. L’on constate notamment la résilience de leur marché de
    travail. Mais cela fait que, à cause de cela, la Réserve fédérale est forcée de
    maintenir ses taux directeurs élevés sur le long terme, pour juguler
    l’inflation. L’UE a été quant à elle durement frappée par les conséquences de
    la guerre en Ukraine. La moitié des Etats européens entrera en récession.
    L’économie chinoise va poursuivre sa décélération, et il est à prévoir une
    année compliquée pour ce pays, ce qui ne manquera pas d’entraîner des
    conséquences au niveau global. Et puis, lorsque l’on regarde du côté des
    marchés émergents, la situation est encore pire. Ces Etats sont impactés par la
    hausse des taux directeurs et du dollar américain. Ces économies vont en
    souffrir.
    »


    Selon la cheffe du
    FMI, la croissance mondiale s’établira cette année à 2,7%, à rapporter à 3,2%
    de l’année précédente. Pour ce qui est de la Roumanie, les spécialistes
    tablent sur une croissance de 2,8% cette année, alors qu’en 2022, la croissance
    du PIB avait dépassé la barre des 5%. Invité sur les ondes de Radio Roumanie,
    l’économiste et professeur des universités Mircea Coşea explique


    « La croissance roumaine est fondée sur la
    dynamique du secteur des services, sur la consommation et, dans une moindre
    mesure, sur l’agriculture. Néanmoins, selon une étude récente de l’université
    Howard, la Roumanie serait 19e en termes de diversification et
    modernisation de l’économie. Mais ces résultats me semblent un peu trop
    optimistes. Il est difficile d’affirmer que la Roumanie fait partie du peloton
    des économies développées, alors que le pouvoir d’achat a baissé de manière constante
    tout au long de l’année précédente. Et puis, l’on doit selon moi affronter deux
    défis majeurs : le déficit de la balance courante et le déficit
    commercial. La réalité est que l’économie roumaine devrait se réformer
    rapidement, pour qu’elle s’avère capable d’affronter avec succès les défis de
    différentes natures qui secouent l’économie mondiale.
    »


    L’année 2023 verra l’apparition de nouveaux acteurs globaux, telle l’Inde,
    croit savoir le professeur Mircea Cosa. Par ailleurs, la balance semble incliner
    du côté des Etats-Unis, du moins pour l’instant, dans la guerre économique qui
    les opposent au géant asiatique, la Chine. Enfin, les Etats qui disposent de
    ressources naturelles semblent pouvoir tirer leur épingle du jeu, et pourront
    davantage profiter de l’actuel contexte économique. Et la Roumanie dans tout
    cela ? Mircea Cosa :


    « Chez nous, le volume des importations
    explose. La production interne, même dans des domaines où l’on devrait pouvoir
    performer, tel l’industrie alimentaire, marque le pas. L’Etat encourage peu les
    mesures de réforme et de restructuration qui devrait avoir lieu au sein du
    secteur privé de l’économie réelle. Les mesures fiscales prises, l’ensemble des
    taxes et les impôts, sont décourageants à cet égard. L’économie roumaine, exsangue,
    devrait malgré tout se retrouver face à deux défis de taille. Le premier c’est
    le défi externe. La croissance européenne est en berne, confrontée à des
    problèmes chroniques et, surtout, au déficit en termes d’énergie et de matières
    premières. Et puis, sur le plan interne, si la Roumanie prend certaines mesures
    sociales pour atténuer le choc de la crise, elle manque de vision, ce qui
    n’aide en rien le secteur privé, et n’aide pas à l’essor de l’économie
    réelle.
    »



    Durant les 11 premiers mois de
    l’année précédente, la Roumanie a enregistré un déficit record de sa balance
    commerciale, de plus de 31 milliards d’euros. Le commerce international de la
    Roumanie est centré sur l’UE, avec plus de 72% des exportations et à près de
    70% d’importations, mais dont l’état de santé laisse à désirer, ce qui ne
    manquera pas d’entraîner des conséquences négatives sur l’état de santé de
    l’économie roumaine.