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  • A la une de la presse roumaine 04/09/2018

    A la une de la presse roumaine 04/09/2018

    A une époque où la peste porcine fait ravage en Roumanie, Adevarul essaie d’inviter au calme et dévoile sept théories de la conspiration véhiculées dernièrement sur Internet. Pendant ce temps, les usines Ford menacent de supprimer une vingtaine de milliers d’emplois. Du coup, on ne saurait se déclarer surpris que plus de 200.000 Roumains ont quitté le pays, rien qu’en 2017. C’est comme si des villes telles Ploiesti, Oradea ou Brăila se seraient vidées d’un trait de leurs habitants, s’inquiète Jurnalul.

  • A la Une de la presse roumaine 24.05.2018

    A la Une de la presse roumaine 24.05.2018

    Bonne nouvelle ! Ford produira une nouvelle automobile à Craiova, fait savoir la presse du jour. Par ailleurs, « les Roumains font à nouveau confiance à l’UE », alors que selon un rapport de l’organisation Sauvez les enfants, 26% des enfants des communes rurales roumaines quittent l’école, à la différence de 6% dans les grandes villes. Et ce n’est pas le seul moyen de perdre des gens éduqués : la Roumanie perd annuellement 140.000 personnes, « un désastre que personne ne tente d’arrêter ».

  • 23.05.2018 (mise à jour)

    23.05.2018 (mise à jour)

    Economie – Le ministère roumain des Affaires étrangères a annoncé avoir pris acte des recommandations de la Commission européenne publiées dans le Rapport par pays dans le cadre du mécanisme du Semestre européen 2018. La diplomatie de Bucarest précise qu’elle coordonnera l’élaboration de la position nationale, et ce pour assurer une participation aussi large que possible. Bucarest envisage de prendre une part active à l’élaboration et à l’adoption des recommandations par le Conseil de l’UE. Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest remarque que la Roumanie fait partie des Etats qui n’enregistrent pas des déséquilibres macroéconomiques. La diminution récente des contributions au deuxième pilier des retraites fait baisser à court terme la pression sur la capacité du gouvernement de maintenir les équilibres au niveau macroéconomique. Malgré tout, cette diminution des contributions destinées au volet privé des retraites pourrait affecter les marchés de capitaux, selon la CE. Ces contributions sont passées 5,1% à 3,75% à compter de l’année en cours, même si, selon la législation antérieure, cette contribution aurait dû croître jusqu’à 6% du salaire brut.


    Convergence – Selon le Rapport de convergence pour lannée 2018 publié ce mercredi par la Commission européenne, la Roumanie ne remplirait à lheure actuelle quune seule des quatre conditions nécessaires à son intégration dans lespace monétaire européen, plus précisément celle relative aux finances publiques. En effet, Bucarest ne satisfait pas aux critères de convergences relatifs à la stabilité des prix, au taux de change et aux taux des prêts à long terme. Qui plus est, sa législation na pas été entièrement harmonisée avec le Traité sur le fonctionnement de lUE. Par ailleurs, tous les sept pays candidats à ladhésion à lespace monétaire européen unique respectent le critère concernant la gestion des finances publiques, alors quaucun des sept ne respecte lensemble des conditionnalités. En mars dernier, le gouvernement roumain a décidé de constituer une commission nationale spécialement chargée du plan visant ladoption de la monnaie unique. Selon les analystes, ladhésion de la Roumanie ne serait pas envisageable avant 2022.



    Conseil de sécurité – Lors d’un débat portant sur « La protection des civils dans les conflits armés » organisé par la présidence polonaise du Conseil de Sécurité de l’ONU, l’ambassadeur roumain à l’ONU, Ion Jinga, a souligné la contribution de Bucarest aux opérations de maintien de la paix et à la protection des civils en temps de conflit armé. Et le diplomate roumain de mettre en lumière le rôle majeur de la coopération internationale, du respect des droits de l’homme et du droit international humanitaire dans la prévention des conflits. A l’heure actuelle, un millier de Roumains- militaires, observateurs et conseillers participent, dans le monde, à des missions internationales. Sur ce total, 700 contribuent sous l’égide de l’OTAN, aux missions d’Afghanistan, Kossovo et Bosnie- Herzégovine.

    Justice – La procureure en chef du Parquet national anticorruption (la DNA), Laura Codruţa Kövesi, a affirmé, dans un discours prononcé au siège des Nations Unies à New York, que le plus grand défi pour la Roumanie, c’était de préserver l’indépendance des juges et des procureurs. Des tentatives répétées de modifier la législation anticorruption afin de limiter les instruments législatifs utilisés par les procureurs ou pour ne plus incriminer certains faits ont été constatées. Des cas où la levée de l’immunité des politiciens accusés d’infractions de corruption ont existé – a dit Mme Kövesi dans son discours prononcé à l’occasion d’un débat marquant le 15e anniversaire depuis l’adoption de la Convention des Nations Unies contre la corruption.


    Transporteurs – Bucarest accueille mercredi et jeudi les travaux du Comité exécutif de la Fédération européenne des Transporteurs, EFT ciblés sur les problèmes actuels auxquels se heurtent actuellement les transports maritimes, routiers, navals, ferroviaires et aériens. Dirigés par Frank Moreels, président de la Fédération et par Eduardo Chagas, secrétaire général EFT, les débats se déroulent en présence de plusieurs responsables roumains parmi lesquels les présidents des deux chambres du Parlement, Liviu Dragnea et Calin Popescu Tariceanu et le ministre des Transports, Lucian Sova. Cest pour la première fois que lEFT organise son comité exécutif ailleurs quà Bruxelles.


    Délinquance – 714 incidents de nature pénale ayant pour auteur ou victime des citoyens étrangers ont été enregistrés à Bucarest l’année précédente, selon une étude sociologique intitulée « Etranger en Roumanie », et réalisée par le Service Analyse et prévention de la criminalité de la Police locale de Bucarest. 511 étrangers, dont 400 hommes, sont ainsi tombés victimes de divers types d’infractions, 130 dans la zone centrale de la ville, le plus souvent dans les restaus et les bars, sous l’influence de l’alcool. En outre, 86 citoyens étrangers ont été mis sous accusation pour avoir passé illégalement la frontière d’Etat.



    Criminalité – 14 personnes ont été retenues en Espagne et 5 en Roumanie dans le cadre d’une opération antifraude coordonnée par Europol et Eurojust. Le groupe criminel était dirigé depuis les deux pays mentionnés et agissait en Allemagne, République tchèque, Hongrie, Italie et Pologne. Les préjudices causés s’élèvent à au moins 8 millions d’euros. Les criminels ont réussi à tromper des hôpitaux, des mairies et de nombreuses sociétés commerciales en devenant les bénéficiaires directs de transferts d’argent dans des comptes faux. Selon la correspondante de Radio Roumanie à Madrid, les autorités espagnoles ont précisé que les investigations se poursuivaient et que le préjudice pourrait être encore plus élevé.

    Météo – Il fera vraiment beau en Roumanie les prochaines 24 heures, et les températures ne cesseront pas de grimper. Ce n’est que dans les régions de l’ouest de la Roumanie et dans les Carpates qu’un risque de pluies subsiste. Les minimales seront de 7 à 17°C, alors que les maximales iront de 24 à 31° C, en fonction des régions.

  • 23.05.2018

    23.05.2018

    Accident – Neuf Roumains- 7 hommes et deux femmes- ont perdu leur vie après que le minibus à bord duquel ils voyageaient ait percuté un poids lourd sur une autoroute en Hongrie. Le minibus venant de Slovénie roulait à vitesse excessive sur le contresens dans une tentative de doubler une autre voiture quand il est entré en collision avec le camion. Une équipe consulaire de l’ambassade roumaine à Budapest s’est déplacée toute de suite sur les lieux de l’accident. Selon un communiqué du Ministère roumain des Affaires Etrangères de Bucarest, l’ambassade roumaine à Budapest est en contact permanent avec les autorités locales et avec les familles des victimes.

    OTAN – Lors des discussions au sommet avec des responsables du Pentagone, le conseiller présidentiel chargé de la Politique étrangère, Bogdan Aurescu, a plaidé en faveur d’un d’intérêt accru porté à la région de la Mer Noire à l’occasion du futur sommet de l’OTAN, prévu à Bruxelles, peut-on lire dans un communiqué de l’ambassade roumaine à Washington. Pour la prochaine réunion de l’Alliance, Bucarest s’est fixé comme objectifs un plus de cohérence entre les différents pays du flanc oriental de l’OTAN, le renforcement de la stabilité dans les relations que la Roumanie a avec les partenaires des régions orientales et méridionales de l’Alliance et un rôle encore plus solide de l’OTAN dans la lutte contre le terrorisme. Le responsable roumain a eu une série d’entrevues avec Robert S. Karem, assistant au secrétaire de la Défense chargé des Relations internationales de sécurité et avec Thomas Goffus, adjoint au secrétaire de la Défense chargé des Politiques européennes et de l’OTAN. Pour sa part, la partie américaine a salué le programme roumain de modernisation de ses capacités militaires. L’occasion pour Bogdan Aurescu de rappeler qu’en 2017, la Roumanie a augmenté de 45% ses dépenses militaires ce qui la situe première parmi les pays membres de l’Alliance dans un classement des majorations des budgets de la défense.


    Conseil de sécurité – Lors d’un débat sur « La protection des civils dans les conflits armés » organisé par la présidence polonaise du Conseil de l’ONU, l’ambassadeur roumain à l’ONU, Ion Jinga, a souligné la contribution de Bucarest aux opérations de maintien de la paix et à la protection des civils en temps de conflit armé. Et le diplomate roumain de mettre en lumière le rôle majeur de la coopération internationale, du respect des droits de l’homme et du droit international humanitaire dans la prévention des conflits. A l’heure actuelle, un millier de Roumains- militaires, observateurs et conseillers participent, dans le monde, à des missions internationales. Sur ce total, 700 contribuent sous l’égide de l’OTAN, aux missions d’Afghanistan, Kossovo et Bosnie- Herzégovine.

    Transporteurs – Bucarest accueille mercredi et jeudi les travaux du Comité exécutif de la Fédération européenne des Transporteurs, EFT ciblés sur les problèmes actuels auxquels se heurtent actuellement les transports maritimes, routiers, navals, ferroviaires et aériens. Dirigés par Frank Moreels, président de la Fédération et par Eduardo Chagas, secrétaire général EFT, les débats se déroulent en présence de plusieurs responsables roumains parmi lesquels les présidents des deux chambres du Parlement, Liviu Dragnea et Calin Popescu Tariceanu et le ministre des Transports, Lucian Sova. C’est pour la première fois que l’EFT organise son comité exécutif ailleurs qu’à Bruxelles.

    Ford – Le constructeur automobile Ford produira un nouveau modèle de voiture dans ses usines de Craiova, dans le sud de la Roumanie ce qui entraînera la création de quelque 1500 emplois. Fabriqué en même temps que l’actuelle génération de petits SUV, le nouveau modèle coûtera la compagnie presque 200 millions d’euros d’investissements. Les représentants Ford continuent à appeler le gouvernement de Bucarest à améliorer l’infrastructure routière en Roumanie. Presque 4400 salariés travaillent actuellement aux usines Ford de Craiova.

    Eurostat – 27 millions de salaries européens, de 15 à 64 ans- soit 14,3% du total des salariés de l’UE, travaillaient en 2017 en contrat à durée déterminée, selon les données publiées ce mercredi par Eurostat. La Roumanie où seulement 1,2% des salariés étaient en CDD, était en dernière position dans le classement européen. D’autres pays où les CDD se font plutôt rares sont la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie. Au pôle opposé, on retrouve l’Espagne et la Pologne où l’année dernière, un sur 4 salariés travaillaient en CDD.

    Justice – La Haute Cour de Cassation et de Justice a reporté au 5 juin prochain le verdict dans le dossier connu sous le nom de « Gala de boxe Bute », dans lequel l’ancienne ministre Elena Udrea a été condamnée en première instance à six années de prison ferme, pour corruption et abus de biens sociaux. A l’époque, le tribunal a décidé également que Mme Udrea paie presque 3 millions d’euros de dédommagements. Lors de la dernière instance, le procureur anticorruption a réclamé un durcissement des peines infligées dans un premier temps à Mme Udrea et à l’ancien président de la Fédération roumaine de boxe, Rudel Obreja. Selon le Parquet national anti-corruption, Udrea aurait coordonné un système de corruption au moyen duquel certains de ses proches auraient reçu, avec son consentement, des pots-de-vin de la part de certaines sociétés commerciales, et cela pour s’assurer du paiement des services fournis à son ministère dans les termes contractuels. De l’avis des enquêteurs, les sommes d’argent seraient entrées soit dans les comptes personnels de Elena Udrea soit dans ceux de l’organisation bucarestoise du PDL englouti par la suite par le PNL ou dans ceux de Rudel Obreja.

    Météo – Il faut beau et doux en Roumanie. Le ciel est légèrement variable, plutôt couvert dans l’ouest, le nord-ouest et le centre du pays. Les maxima vont de 22 à 29 avec 25 degrés, à midi, dans la capitale.

  • Les relations roumano-américaines après 1945

    Les relations roumano-américaines après 1945

    Après 1945, la Roumanie et les Etats-Unis se sont retrouvés d’une part et d’autre du Rideau de fer, contre leur gré. Le sort de la guerre les avaient rangés dans des camps opposés, en dépit du fait que l’appui américain, à la fin de la Grande guerre, concrétisé dans l’énonciation des principes du président Wilson, avait été décisif dans la naissance de la Grande Roumanie. A cause de l’idéologie communiste, les rapports entre les deux pays ont traversé une période d’adversité, même s’ils n’avaient pas eu de divergences historiques. La création des deux blocs militaires opposés, à savoir l’OTAN et le Traité de Varsovie, a mené à la montée de la tension dans les relations bilatérales, notamment dans les années 1950, soit la période d’expansion du stalinisme en Europe centrale et de l’Est. Les autorités de Bucarest et de Washington ont pourtant espéré que leurs relations s’amélioreraient après 1953, lorsque Moscou allait changer de politique, suite à la mort de Staline.

    En 1954, le diplomate Anton Moisescu fut nommé ambassadeur de Roumanie aux Etats-Unis. Il racontait, en 1995, dans un entretien au Centre d’histoire orale de la Radiodiffusion roumaine, le contexte général dans lequel les deux pays tentaient de renouer leur dialogue. Je tiens à préciser qu’au moment de mon accréditation en tant que ministre plénipotentiaire, le climat politique international était assez chargé. Les rapports étaient assez tendus entre les deux grands pôles du pouvoir, à savoir l’OTAN et le Traité de Varsovie, avec pour représentants principaux les Etats-Unis et respectivement l’Union Soviétique. C’est ce qui explique la tâche extrêmement difficile des missions diplomatiques à Washington des pays du bloc socialiste. Les diplomates étaient soumis à des restrictions draconiennes. Par exemple, il leur était interdit de quitter la capitale sans l’autorisation spéciale délivrée par le Département d’Etat américain. Nous autres, diplomates roumains, nous pouvions nous rendre uniquement à New York et ce grâce au statut d’observateur à l’ONU, car la Roumanie n’y avait pas encore été admise comme membre à part entière.

    Les activités de la mission diplomatique roumaine aux Etats-Unis avaient un caractère très restreint, par comparaison avec la situation d’avant la guerre. La détente, soit le premier objectif poursuivi par les parties, allait venir surtout du côté des Américains. Anton Moisescu racontait que lors de la présentation des lettres de créance, il avait eu droit à un accueil très ouvert de la part du président Eisenhower.: Le corps diplomatique comportait 7 ou 8 personnes et leur épouses. Côté personnel militaire, il y avait un colonel, un commandant et un capitaine, accompagnée eux aussi par leurs épouses. Enfin, il y avait le personnel administratif, nécessaire à l’ambassade. Tous ces gens formaient une véritable famille. Nous partions en excursion et passions ensemble les week-ends. Lorsque j’ai présenté mes lettres de créance, j’ai été agréablement surpris par l’atmosphère générale et l’accueil par le président américain Dwight Eisenhower, ancien commandant suprême pendant le débarquement de Normandie et l’offensive des Alliés. Le président s’est montré fort aimable pendant notre discussion. Nous avons exprimé la volonté des deux pays de développer les relations bilatérales et de nous connaître mieux. Le président américain m’a encouragé à me rendre n’importe quand dans n’importe quel coin de son pays, ce qui contrevenait aux règles imposées à nos diplomates.

    Un autre objectif de l’ambassade roumaine à Washington a été celui de se rapprocher de la communauté roumaine vivant dans ce pays. La grande majorité des Roumains des Etats – Unis était anticommuniste et s’était montrée critique à l’égard du régime de Bucarest, soutenu par Moscou. Grâce à sa stratégie émotionnelle, l’ambassade a pourtant réussi à rapprocher certains de ces Roumains de la politique de Bucarest. Anton Moisescu:Nous avons cherché à établir des liens avec le plus grand nombre possible de Roumains qui vivaient aux Etats-Unis. Ceux avec la rédaction du journal Le Roumain américain se sont avérés les plus étroits. La rédaction était basée à Detroit, où habitaient beaucoup de Roumains. La plupart d’entre eux y avaient immigré avant la guerre et travaillé surtout aux usines Ford. Le rédacteur en chef du journal et sa conjointe nous ont invités, ma femme et moi, à leur rendre visite à Detroit, à l’occasion de la Journée de la femme. Là, nous avons rencontré quelque 250 personnes. C’étaient surtout des gens d’une certain âge, qui avaient quitté la Roumanie longtemps auparavant. Je leur ai présenté un film intitulé «La Roumanie en couleurs », comportant des aspects du folklore spécifique des régions du pays, telle la Transylvanie ou la Moldavie. Le film les a émus jusqu’aux larmes. Ce moment impressionnant nous a fortement liés. Après ça, j’ai rendu visite à quelques-uns d’entre eux et je suis allé dans la fabrique. Là, j’ai fait la connaissance des membres de l’Administration, qui m’ont permis d’assister au processus technologique. De retour dans le pays, j’ai partagé les impressions de cette expérience avec les spécialistes de nos usines automobiles.

    Ce n’est qu’après 1989 que les relations roumano-américaines sont véritablement revenues à la normale, au bout d’une évolution sinueuse, ayant connue des moments de coopération limitée et le retour des disputes, vers la fin des années 1980.

  • Relații româno-americane după 1945

    Relații româno-americane după 1945

    După 1945, România și SUA s-au găsit de-o parte și
    de alta a Cortinei de Fier, fără voia lor. Mersul războiului le aruncase în
    tabere opuse, cu toate că sprijinul SUA de la sfârșitul primului război
    mondial, prin enunțarea principiilor președintelui Wilson, fusese decisiv în
    formarea României Mari. Din cauza ideologiei comuniste România și SUA s-au
    aflat chiar în adversitate, deși cele două țări nu avuseseră nicio divergență istorică.
    Înființarea celor două blocuri militare opuse, NATO și Tratatul de la Varșovia,
    a dusa la o tensionare suplimentară a relațiilor bilaterale, mai ales în anii
    1950, anii stalinismului în expansiune în țările Europei Centrale și de Est.
    Însă autoritățile de la București și Washington au considerat ca după anul
    1953, când politica Moscovei se schimbă în urma morții lui Stalin, să-și
    îmbunătățească relațiile.


    Diplomatul Anton
    Moisescu a fost numit ambasador în SUA din partea României în anul 1954. În urma
    unui interviu realizat în 1995, Centrul de Istorie Orală din Radiodifuziunea
    Română a aflat de la Moisescu care era climatul general al încercărilor timide
    de reapropiere dintre România și SUA. Ţin să menţionez că în momentul când eu am fost acreditat în SUA ca ministru
    plenipotenţiar era o atmosferă politică internaţională destul de grea. Erau
    foarte încordate relaţiile între cele două centru mari de putere: pe de o parte
    NATO în frunte cu SUA şi pe de altă parte Tratatul de la Varşovia în frunte cu
    Uniune Sovietică. Din această cauză în SUA am găsit o situaţie deosebit de grea
    pentru misiunile diplomatice ale ţărilor din lagărul socialist. În primul rând
    erau impuse restricţii foarte drastice diplomaţilor din aceste misiuni, nu
    aveau voie să iasă din capitală fără o aprobare specială de la Departamentul de
    Stat. Noi, spre exemplu, aveam singura facilitate de-a ieşi la New York,
    întrucât eram şi observator la sediul Naţiunii Unite unde noi încă nu fuseserăm
    primiţi ca membri cu drepturi depline.


    Activitățile misiunii
    române în SUA era foarte restrânsă, comparativ cu ceea ce fusese înainte de
    război. Destinderea era primul obiectiv pe care și-l propuneau părțile, iar ea
    a venit mai ales din partea americană. Anton Moisescu povestea despre deschiderea
    cu care a fost primit de președintele Eisenhower la prezentarea scrisorilor
    sale de acreditare. Personalul
    diplomatic era compus din 7-8 persoane, în afară de mine, plus soţiile.
    Personalul militar era format din trei persoane: un colonel, un maior şi un
    căpitan, de-asemenea cu soţiile. Restul era personalul administrativ necesar
    ambasadei. Toţi aceşti oameni deveniserăm o familie. Am organizat unele
    excursii comune, duminicile la un pescuit, la week-end. În condiţiile acelea a
    venit timpul să depun scrisorile de acreditare. Când am depus scrisorile de
    acreditare am avut o surpriză foarte plăcută, spre deosebire de atmosfera
    generală, primirea la preşedintele SUA Dwight Eisenhower, fostul comandant
    suprem al debarcării din timpul războiului şi al ofensivei aliate împotriva
    hitlerismului. A avut o atitudine excepţional de amabilă, de amicală, în
    discuţiile dintre noi. Ne-am exprimat dorinţa şi unul şi altul pentru
    dezvoltarea relaţiilor dintre SUA şi România şi despre o mai bună cunoaştere.
    În final, preşedintele mi-a făcut invitaţia să vizitez oricând și oriunde SUA,
    să cunosc mai bine America. Şi asta era oarecum în contrapunere cu regulile
    generale care se impuneau diplomaţilor din ţările noastre.


    Un alt obiectiv al ambasadei române în SUA a fost
    infiltrarea în rândul comunității românești. Diaspora română din SUA era
    covârșitor anticomunistă și se manifestase critic împotriva regimului de la
    București. Dar strategia emoțională a ambasadei, descrisă de Moisescu, a reușit
    să-i facă pe unii să se apropie de politica Bucureștiului. Am căutat să facem legături cu cât mai mulţi români
    americani întrucât şi de ei eram izolaţi. O legătură mai strânsă am avut-o cu
    redacţia ziarului Românul american. Redacţia era la Detroit, o regiune cu mai
    mulţi români, o mare parte erau emigranţi înainte de război acolo şi care lucraseră
    mai ales la uzinele Ford. Redactorul-şef al ziarului Românul american cu
    soţia mi-au făcut o invitaţie să mergem în vizită la Detroit cu ocazia zilei
    femeii din America, unde era ca invitată soţia mea. Am vizitat mai multe oraşe
    cu această ocazie şi am făcut popasul principal al Detroit. La Detroit am găsit
    într-o sală vreo 250 de persoane, familii, majoritatea erau oameni în vârstă
    care plecaseră mai demult din România, dar şi o parte tineri. Le-am prezentat
    un film cu unele aspecte din România care se numea România în culori, cu
    aspecte folclorice în special din Transilvania, Moldova dar şi din alte părţi.
    În perioada când a rulat filmul se pare că a făcut o impresie atât de puternică
    încât când s-a aprins lumina am observat că aproape toţi plângeau de emoţie. A
    fost un moment foarte impresionant şi s-a creat o legătură foarte puternică
    între ei şi noi. Am mai făcut nişte vizite pe la ei pe-acasă, pe la fabrici. Mi-au
    făcut legătura cu administraţia fabricii, am putut să vizitez tot procesul de
    producţie al fabricii și mi-am făcut o impresie despre această tehnologie a
    construcţiei de automobile pe care am folosit-o pentru experienţa
    întreprinderii noastre de automobile când m-am întors în ţară.


    Relațiile româno-americane au revenit cu adevărat
    la normalitate abia după 1989. Până atunci, ele au evoluat sinuos de la
    cooperarea limitată la revenirea la dispute de la sfârșitul anilor 1980.

  • A la Une de la presse roumaine – 08.01.2018

    A la Une de la presse roumaine – 08.01.2018

    Côté politique, les poids-lourds du Parti social démocrate, qui mène la coalition gouvernementale se réunissent à Bucarest pour évoquer différents thèmes parmi lesquels un éventuel remaniement du cabinet et la stratégie électorale en vue du prochain scrutin présidentiel.



  • Nachrichten 12.10.2017

    Nachrichten 12.10.2017

    Drei Mitglieder der Bukarester Regierung haben am Donnerstag abend ihren Rücktritt bekanntgegeben. Die Ankündigung erfolgte nach dem Treffen des nationalen Exekutivkomittees der Sozialdemokratischen Partei (PSD), der stärksten Komponente der Bukarester Regierungskoalition. Es handelt sich um die Ministerin für Regionalentwicklung und Vizepremierministerin Sevil Shhaideh, die Ministerin für Europäische Fonds, Rovana Plumb, und den Transportminister, Răzvan Cuc. Das nationale Exekutivkomittee der Sozialdemokratischen Partei kommt auch am Freitag zusammen, um neue Minister zu nominieren. Ministerpräsident Mihai Tudose hatte in den vergangenen Tagen mit dem rumänischen Staatschef, Klaus Iohannis, und mit dem Chef der Sozialdemokraten, Liviu Dragnea, über eine Regierungsumbildung gesprochen. Zum Thema Regierungsumbildung hatte Premierminister Tudose erklärt, er würde die Minister ersetzen, die Probleme mit der Justiz haben, oder nicht effizient arbeiten. Gegen die Ministerin für Regionalentwicklung und Vizepremierministerin, Sevil Shhaideh, und gegen die Ministerin für Europäische Fonds, Rovana Plumb, laufen zur Zeit strafrechtliche Ermittlungen in einer Korruptionsaffäre. In derselben Situation befindet sich auch der Minister für die Beziehung mit dem Parlament, Viorel Ilie, Mitglied der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE). Die Allianz der Liberalen und Demokraten hat bekanntgegeben, sie habe nicht die Absicht, den Minister Viorel Ilie zu ersetzen.



    Rumäniens Staatspräsident Klaus Iohannis und Premierminister Mihai Tudose haben am Donnerstag beim Werk des Automobilherstellers Ford in Craiova an der Vorstellung des neuen Modells Ford EcoSport teilgenommen. Dabei erklärte Präsident Iohannis, mit seiner Anwesenheit an der Lancierung wolle er die rumänische Autoindustrie, die immer kompetitiver wird und einen guten Ruf auf dem europäischen Markt hat, unterstützen. Ford hat in Craiova die Produktion des Modells EcoSport aufgenommen. Rund 200 Millionen Euro will Ford in die Vorbereitung der Produktion des SUV investieren, der bislang für den europäischen Markt aus Indien gebracht wurde. Seit der Übernahme in 2008 hat Ford über eine Miliarde Euro in den Standort Rumänien investiert.



    Die Parlamentarische Versammlung des Europarates hat am Donnerstag in Stra‎ßburg eine Resolution über das umstrittene ukrainische Bildungsgesetz angenommen. Laut Resolution sei die Annahme des neuen Bildungsgesetzes vom ukrainischen Parlament ein Fehler gewesen. Daher müsse die Ukraine die Empfehlungen der Venedig-Kommission in Praxis umsetzen. Dies erklärte Korodi Attila, Mitglied der rumänischen Delegation bei der Parlamentarischen Versammlung des Europarates. Die Ukraine müsse die europäischen Normen respektieren, nämlich die Europäische Charta der Regional- oder Minderheitensprachen und das Rahmenübereinkommen zum Schutz nationaler Minderheiten, sagte noch Korodi Attila. Verlangt wurde die Debatte in Stra‎ßburg von der rumänischen Delegation, die von weiteren fünf nationalen Delegationen unterstützt wurde, mit der Begründung, das neue ukrainische Bildungsgesetz begrenze das Recht der nationalen Minderheiten auf Unterricht in der Muttersprache. Gerügt wurde, dass Unterricht in Muttersprachen der Minderheiten nur bis zur Grundschule möglich ist. Etwa 500.000 Rumänen leben als nationale Volksminderheit in der Ukraine. Der ukrainische Staatspräsident, Petro Poroschenko, hat am Mittwoch in Stra‎ßburg, im Plenum der Parlamentarischen Versammlung des Europarates erklärt, die Behörden in Kiew würden alle Schlu‎ßfolgerungen der Venedig-Kommission ins umstrittene neue Bildungsgesetz einbauen. Die Ukraine werde die Europäische Charta der Regional- oder Minderheitensprachen respektieren, so Poroschenko.



    Der Europäische Rat ist das einzige Gremium, wo Rumänien seinen Standpunkt über den Brexit präsentieren werde. Dies erklärte am Donnerstag der rumänische Minister für Europäische Angelegenheiten, Victor Negrescu. Kein rumänischer Verantwortlicher habe bis jetzt eine offizielle Stellungnahme zu den Brexit-Verhandlungen geäu‎ßert, so Negrescu. Wichtigstes Ziel der Bukarester Behorden bei den Brexit-Verhandlungen sei, die Rechte der über 300.000 Rumänen, die in Gro‎ßbritannien leben, zu sichern, sagte noch der rumänische Europa-Minister. Die Erklärungen erfolgten nachdem die britische Publikation The Times geschrieben hatte, Rumänien, Frankreich und Deutschland hätten verlangt, dass bis zum Erreichen einer Vereinbarung über die Rechte der ausländischen Bürger in Gro‎ßbritannien, einige Verhandlungskapitel blockiert werden sollten.



    Die EU hat bekanntgegeben, sie werde der Moldaurepublik die Finanzhilfe von 28 Millionen Euro für die Veränderungen im Bereich Justiz nicht gewähren. Die Summe sollte die letzte Teilzahlung im Rahmen des Reformprogramms sein. Die EU schlussfolgerte, die Regierung in Chişinău habe ihre Verpflichtungen nicht erfüllt. Die EU-Delegation in Chişinău erwähnte in einer Mitteilung, die moldauischen Behörden hätten zu wenig Geld und Personal für die Umsetzung der Reformen zugeteilt, so dass die Fortschritte im Bereich Justiz ungenügend gewesen seien. Vergangene Woche hatte der moldauische Premierminister Pavel Filip bekanntgegeben, die Moldaurepublik werde die diesjährige Tranche der Finanzhilfe von 100 Millionen Euro von der EU nicht mehr bekommen. Die Entscheidung aus Brüssel erfolgte nachdem die Behörden in Chişinău beschlossen hatten, das Wahlsystem bei den kommenden Wahlen so zu verändern, dass die gro‎ßen Parteien bevorzugt werden, sagte noch der moldauische Premierminister.

  • 12.10.2017 (mise à jour)

    12.10.2017 (mise à jour)

    PSD — Trois membres du gouvernement de Bucarest ont annoncé, jeudi, leur démission, lors de la réunion du Comité exécutif national du PSD, principal parti au pouvoir. Il s’agit de la vice-première ministre Sevil Shhaideh, qui est également ministre du Développement régional, de la ministre en charge des Fonds européens, Rovana Plumb, et du ministre des Transports, Razvan Cuc. Le Comité exécutif national se réunira également vendredi, pour discuter de possibles remplaçants. Le premier ministre Mihai Tudose, qui a insisté pour le remaniement, a discuté à ce propos tant avec le président Klaus Iohannis qu’avec le leader social-démocrate Liviu Dragnea. M Tudose avait déclaré ces jours-ci que les ministres avec des problèmes en justice et ceux qui ne sont pas efficaces étaient visés. Mmes Shhaideh et Plumb sont poursuivies dans une affaire de corruption. Le ministre en charge de la Relation avec le Parlement, Viorel Ilie, membre de l’Alliance des libéraux et des démocrates, partenaire de la coalition gouvernementale, est dans une situation similaire. L’ALDE a annoncé qu’elle ne souhaitait pas le remplacer.



    APCE — L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a adopté jeudi une résolution qui indique que l’Ukraine a été dans l’erreur par l’adoption de la Loi de l’éducation et qu’elle devra appliquer les recommandations que fera la Commission de Venise. La déclaration a été faite par Korodi Attila, membre de la délégation de la Roumanie auprès de cet organisme européen. Il a ajouté que l’Ukraine devait respecter les normes européennes, respectivement la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires et la Convention-cadre pour la protection des minorités nationales. Le débat à l’APCE, proposé par la délégation roumaine avec l’appui de cinq autres délégations nationales, a été motivé par le fait que cette nouvelle loi limite drastiquement le droit des minorités nationales d’Ukraine à l’enseignement en langue maternelle. La veille, le président ukrainien Petro Porochenko avait promis à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe d’introduire toutes les conclusions de la Commission de Venise dans l’acte réglementaire et de respecter la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Près d’un demi-million de Roumains habitent en Ukraine voisine, la plupart dans des régions ayant appartenu à la Roumanie jusqu’à leur annexion par l’URSS en 1940.



    Ford — Le président roumain Klaus Iohannis et le premier ministre Mihai Tudose ont participé ce jeudi au lancement du nouveau modèle Ford Ecosport, à l’Usine Ford de Craiova. Le chef de l’Etat a précisé que par sa présence à cet évènement, il souhaitait transmettre un message de soutien à l’industrie automobile roumaine qui est de plus en plus compétitive et dont la réputation ne fait que s’améliorer sur le marché européen. Après le rachat des usines de Craiova en 2008, Ford a investi plus d’un milliard d’euros en Roumanie. Les usines de Craiova emploient près de 3000 personnes. Pourtant, le plus important constructeur automobile de Roumanie est Dacia Groupe Renault qui compte plus de 13.500 salariés et dont le chiffre d’affaires dépasse les 4,3 milliards d’euros.



    Brexit — Le Conseil européen est le seul endroit où le point de vue de la Roumanie sur le Brexit sera transmis, a déclaré, jeudi, le ministre délégué aux Affaires européennes de Bucarest, Victor Negrescu. Selon lui, aucun responsable roumain n’a exprimé de position officielle au sujet des négociations liées au Brexit. Le ministre Negrescu a encore ajouté que, dans ces négociations, le principal objectif dde Bucarest, c’est de voir assurer les droits des plus de 300.000 Roumains qui vivent au Royaume Uni. Les déclarations ont été faites alors que la publication britannique The Times a écrit que la Roumanie, la France et l’Allemagne avaient demandé de bloquer de nouveaux chapitres de négociations jusqu’à ce que l’on aboutisse à un accord sur les droits des ressortissants étrangers vivant en Grande Bretagne.



    Tennis — Le double roumano-néerlandais Horia Tecau/Jean-Julien Rojer s’est assuré pour la troisième fois la présence au Tournoi des Champions, compétition prévue pour novembre à Londres et qui réunit les huit meilleurs doubles de la saison compétitionnelle 2017. Tecau et Rojer essaieront à nouveau de remporter le trophée ATP finals, après le succès de 2015, lorsqu’ils ont vaincu en finale le double roumano-indien Florin Mergea/Rohan Bopanna. Au cours de cette saison, Tecau et Rojer ont remporté quatre trophées, celui du Grand Chelem de l’US Open, ceux de Dubaï et Genève ainsi que l’Open Winston-Salem.

  • USA und Rumänien kommen sich auch wirtschaftlich näher

    USA und Rumänien kommen sich auch wirtschaftlich näher

    Die US-Regierung wird durch das Handelsministerium nächste Woche eine Gro‎ßveranstaltung in Bukarest durchführen – Trade Winds ist die grö‎ßte Handelsmission, die Washigton einmal jährlich organisiert, um amerikanische und ausländische Firmen miteinander in Kontakt zu bringen. Dutzende wichtiger Unternehmen aus den USA kommen zur 10. Auflage von Trade Winds nach Bukarest. Sie interessieren sich für Kooperationen in Branchen wie Rüstung, Landwirtschaft, Automobilindustrie, Baugewerbe, Luft- und Raumfahrttechnologie, Umweltschutz, Gesundheit, Lebensmittelverarbeitungen oder Verpackungen.


    An der Schnittstelle zwischen Militärkooperation und Wirtschaft liegt auch eine Vereinbarung, die das rumänische Wirtschaftsministerium und die Staatsfirma Romarm mit dem Rüstungskonzern General Dynamics unterschrieben haben und bei der es um die Zusammenarbeit für die Produktion und Lieferung von Panzerfahrzeugen des Typs Piranha 5 an die rumänischen Streitkräfte geht. Auch ein auf längere Sicht ausgerichtetes Joint Venture ist vereinbart worden. Experten der rumänischen Rüstungsbetriebe sollen dafür in der Schweiz Fortbildungen besuchen. 30 Panzertransporter werden aus den USA angeliefert, die weitere Vorgangsweise erläutert Verteidigungsminister Mihai Fifor: “Ab Transporter nr. 31 werden die Fahrzeuge in den Bukarester Werken produziert, was wir uns immer gewünscht haben. In einer ersten Phase werden Leute in die Schweiz ins Mowag-Werk geschickt, die dort fortgebildet werden, um die Produktion in Bukarest weiter zu führen, sagte Verteidigungsminister Mihai Fifor.


    Die ersten Piranha 5 werden wahrscheinlich ab Ende nächsten Jahres in Rumänien gebaut.




    Die Amerikaner sind aber auch in der zivilen Automobilwirtschaft aktiv. Ford hat in Craiova die Produktion des Modells EcoSport aufgenommen. Rund 200 Millionen Euro will Ford in die Vorbereitung der Produktion des SUV investieren, der bislang für den europäischen Markt aus Indien gebracht wurde. Seit der Übernahme in 2008 hat Ford über eine Milliarde Euro in den Standort Rumänien investiert.


  • 12.10.2017

    12.10.2017

    PSD – Le Comité exécutif national du PSD, qui mène la coalition gouvernementale de Bucarest se réunit aujourd’hui pour débattre du remaniement demandé par le premier ministre Mihai Tudose. Dans le cadre de la même réunion, les relations entre le Gouvernement et le parti seront également analysées. Le premier ministre a parlé cette semaine du remaniement tant avec le président Klaus Iohannis qu’avec le leader social-démocrate Liviu Dragnea. Les noms les plus évoqués par la presse comme faisant l’objet d’un remaniement sont ceux de la vice première-ministre Sevil Shhaideh, qui est également ministre du développement régional, et de la ministre en charge des Fonds européens, Rovana Plumb, les deux sociales-démocrates poursuivies dans un dossier de corruption. Dans une situation similaire se trouve le ministre en charge de la relation avec le Parlement, Viorel Ilie, membre de l’Alliance des libéraux et des démocrates, partenaire de la coalition gouvernementale. Plusieurs ministres confrontés à des problèmes d’image pourraient être remplacés.

    Strasbourg – L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe doit débattre en urgence, aujourd’hui à Strasbourg, la controversée loi de l’éducation d’Ukraine. Le débat proposé par la délégation roumaine avec l’appui de cinq autres délégations nationales est motivée par le fait que cette nouvelle loi limite drastiquement le droit des minorités nationales d’Ukraine à l’enseignement en langue maternelle. Le sénateur Titus Corlatean, qui dirige la délégation de la Roumanie et qui est également vice-président de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a déclaré à l’envoyée spéciale de la radio publique roumaine à Strasbourg qu’il comptait sur un débat correct, censé déterminer les autorités ukrainiennes à modifier la loi. Aux termes de celle-ci, les enfants appartenant aux minorités ethniques pourront étudier en leur langue uniquement à la maternelle et au primaire, puis, à partir du collège, les cours se dérouleront exclusivement en ukrainien. Mercredi, le président ukrainien Petro Porochenko a promis à l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe d’introduire toutes les conclusions de la Commission de Venise dans l’acte normatif et de respecter la Charte européenne des langues régionales et minoritaires. Près d’un demi-million de Roumains habitent en Ukraine voisine, la plupart dans des régions ayant appartenu à la Roumanie jusqu’à leur annexion par l’URSS en 1940.

    Ford – Le président roumain Klaus Iohannis et le premier ministre Mihai Tudose ont participé aujourd’hui au lancement du nouveau modèle Ford Ecosport, à l’Usine Ford de Craiova. Le chef de l’Etat a précisé que par sa présence à cet évènement, il souhaitait transmettre un message de soutien à l’industrie automobile roumaine qui est de plus en plus compétitive et dont la réputation ne fait que s’améliorer sur le marché européen. Après le rachat des usines de Craiova en 2008, Ford a investi plus d’un milliard d’euros en Roumanie. Les usines de Craiova emploient près de 3000 personnes. Pourtant, le plus important constructeur automobile de Roumanie est Dacia Groupe Renault qui compte plus de 13.500 salariés et dont le chiffre d’affaires dépasse les 4,3 milliards d’euros.

    République de Moldova – L’UE a annoncé ne plus accorder à la République de Moldova les 28 millions d’euros destinés à la réforme de la Justice moldave, parce que les autorités de ce pays avaient failli remplir les conditions européenne. Ce montant constituait une dernière tranche de l’aide accordée par Bruxelles au programme de réformes mené par Chisinau. Selon un communiqué de la délégation de l’UE dans la capitale moldave, les autorités de ce pays ont fait preuve d’un engagement précaire envers les réformes, y ont alloué trop peu de fonds et de personnel et par conséquent les progrès en matière de réforme de la Justice ont été insuffisants. La semaine dernière, le premier ministre Pavel Filip a annoncé que Chisinau n’allait pas recevoir la tranche de 100 millions de l’aide européenne prévue pour cette année. Il a reconnu que la mesure prise à Bruxelles était une conséquence de la décision de l’Etat moldave de modifier le système électoral au prochain scrutin législatif, d’une manière qui favorise les grands partis.

    Handball – Le club champion de handball féminin de Roumanie, CSM Bucarest a battu le club polonais de Vistal Gdynia sur le score de 34 à 23, mercredi soir, dans un match du Groupe A de la Ligue des Champions. C’est la deuxième victoire pour le CSM après le succès obtenu samedi à domicile contre l’équipe slovène de RK Kraim Mercator Ljubljana sur le score de 30 à 18. L’équipe bucarestoise doit jouer le prochain match contre le NFH Nykoebing Falster Handboldklub du Danemark le 22 octobre. CSM Bucarest a remporté la Ligue des Champions en 2016 et le club bucarestois est un des favoris de cette édition de la plus importante compétition européenne interclubs.

    Tennis – Le double roumano-néerlandais Horia Tecau/Jean-Julien Rojer s’est assuré pour la troisième fois la présence au Tournoi des Champions, compétition prévue pour novembre à Londres et qui réunit les huit meilleurs doubles de la saison computationnelle 2017. Tecau et Rojer essaieront à nouveau de remporter le trophée ATP finals, après le succès de 2015, lorsqu’ils ont vaincu en finale le double roumano-indien Florin Mergea/Rohan Bopanna. Au cours de cette saison Tecau et Rojer ont remporté quatre trophées, celui du Grand Chelem de l’US Open, ceux de Dubaï et Genève ainsi que l’Open Winston-Salem.

  • 12 жовтня 2017 року

    УРЯД – Національний виконавчий комітет Соціал-демократичної партії, основної політичної сили урядової коаліції в Румунії, сьогодні обговорює ініціативу прем’єр-міністра Міхая Тудосеп про перестановку в
    складі уряду. На цьому ж засіданні мають бути прояснені взаємовідносини між
    урядом та партією. Прем’єр-міністр обговорив питання перестановки як з
    президентом Клаусом Йоханнісом, так і з лідером соціал-демократів Лівіу Драгня.
    ЗМІ пишуть, що мова йде про відставку віце-прем’єр-міністра та міністр
    регіонального розвитку Свіль Шайде і міністра європейських фондів Ровану
    Плумп, яким було пред’явлено звинувачення у корупції. В аналогічній ситуації
    перебуває й міністр по зв’язках з парламентом Віорел Іліє, член Альянсу
    лібералів та демократів, з яким соціал-демократи утворюють правлячу більшість.
    Оглядачі не виключають також можливість заміни ще кількох міністрів, які
    останнім часом перебувають під шквалом
    критики.




    НАЦМЕНШИНИ – Парламентська асамблея Ради Європи сьогодні, на прохання румунської делегації, провела термінові дебати на тему
    суперечливого українського закону про освіту. У прийнятій за підсумками дебатів
    резолюції, яку підтримали 82 делегати, 11 висловилися проти, 17 утрималися,
    ПАРЄ висловлює стурбованість прийняттям Верховною Радою нового закону Про
    освіту без консультацій із представниками національних меншин. На думку
    делегатів, закон не забезпечує права нацменшин навчатися рідною мовою, а
    навпаки, значно скорочує їхні права. Парламентська асамблея Ради Європи також
    звернулася до України з проханням врахувати всі без винятку рекомендації
    Венеціанської комісії, а також внести відповідні зміни до закону про освіту.
    Нагадаємо, що раніше міністр закордонних справ Румунії Теодор Мелешкану та його
    колеги з Будапешта, Софії та Афін підписали спільний лист главі МЗС України та
    керівникам низки європейських організацій з питань захисту нацменшин, в якому
    висловили стурбованість та глибокий жаль у зв’язку із прийняттям нового
    українського закону про освіту, румунський парламент одноголосно прийняв декларацію, в якій закликає сусідню державу
    переглянути цей нормативно-правовий акт, а Президент Клаус Йоханніс відклав на
    невизначений термін запланований на жовтень візит в Україну.




    АВТОПРОМ – Президент Клаус Йоханніс та прем’єр-міністр Міхай Тудосе сьогодні взяли участь в офіційній церемонії запуску виробництва моделі Ford Ecosport на заводі Ford у Крайові (південна Румунія). Глава держави заявив, що своєю присутністю на цій події він хоче дати потужний сигнал підтримки румунській автопромисловості, яка стає все більш конкурентоспроможною і має кращу репутацію на європейському ринку. Після придбання заводу в місті Крайова у 2008 році американська компанія Ford інвестувала більше мільярда євро у виробничі потужності в Румунії. На заводі працюють понад 2800 осіб. Найбільшим виробником на румунському авторинку є Dacia Automobile, в місті Пітешть (південь), який з 1999 року належить французькій групі Renault. На цій компанії працюють понад 13500 осіб, а виторг складає понад 4,3 млрд. євро.




    ЄС-Р.МОЛДОВА – Європейський союз оголосив, що не надасть
    Республіці Молдова грошову допомогу на суму 28 млн євро, призначену для реформи в
    сфері правосуддя. Ця сума мала бути останнім траншем програми фінансування
    реформи, але Євросоюз вважає, що молдовський уряд не виконав необхідні для
    цього умови. Делегація Європейського Союзу в Кишиневі в поширеній заяві
    нагадує, що молдовська влада проявила недостатню прихильність до реформування,
    виділивши занадто мало коштів та персоналу, в результаті чого прогрес у
    реформуванні судової системи виявився недостатнім. Минулого тижня
    прем’єр-міністр Павел Філіп зазначив, що країна не отримає наступний транш
    фінансової допомоги на суму 100 млн євро, наданої Європейським Союзом. Він зізнався,
    що така позиція Брюсселя була викликана рішенням офіційного Кишинева змінити
    виборчу систему в перспективі парламентських виборів, що сприяє так званим
    великим партіям.




    СВЯТО – Іспанці сьогодні відзначають
    національний день в умовах, коли єдність країни перебуває під загрозою через
    напруженість у відносинах між сепаратистською владою Каталонії та центральним
    урядом в Мадриді. Прем’єр-міністр Маріано Рахой закликав каталонського
    регіонального лідера Карлеса Пучдемонта відмовитися від декларації про
    незалежність, якщо хоче уникнути призупинення місцевої автономії. Рахой
    звинуватив каталонський уряд у спричиненні з найбільшої кризи в історії
    іспанської демократії та в небезпечній атаки на Конституцію, єдність країни, на
    статус Каталонії та, що найгірше, на співжиття.

  • Le marché automobile roumain

    Le marché automobile roumain

    Avec 142 milles véhicules vendus en 2016, le marché de la voiture neuve a enregistré un bond de 17,8% l’année dernière par rapport à 2015. Un coup d’accélération qui, malheureusement, sera suivi cette année par un coup de frein suite à la suppression du certificat « qualité de l’air », opine l’Association des producteurs et des importateurs d’automobiles. Sur l’ensemble de 142.000 véhicules vendus en 2016, 115.000 étaient des automobiles, et dans le classement des ventes de véhicules neufs Dacia arrive en tête des modèles les plus prisés par la clientèle roumaine. Le top des marques les mieux vendues l’année dernière est complété par Volkswagen, Skoda, Renault et Ford. Notons également que la part des moteurs diesel dans les ventes de voitures neuves continuent de perdre du terrain au profit de l’essence. 49,3% des voitures neuves immatriculées en Roumanie en 2016 étaient équipées de moteurs diesel, contre 53,5% un an plus tôt. La surprise vient du marché de la voiture électrique et hybride qui a doublé ses ventes l’année dernière, passant de 496 unités en 2015 à 1183 en 2016. A parler strictement des véhicules électriques, leur nombre est monté de 46 unités en 2015 à 167, l’année dernière.

    Quant au marché de voitures d’occasion, importées, celui-ci a largement dépassé celui des véhicules neufs, avec 300.000 véhicules enregistrés en 2016.

    Le président de l’Association des Producteurs et Importateurs roumains d’Automobiles, Ernest Popovici : «L’importation de voitures d’occasion a largement dépassé l’année dernière la vente de véhicules neufs. Il se vend trois fois plus de véhicules d’occasion que de neufs. Une explication en serait l’évasion qui touche le commerce de voitures d’occasion dont se rendent responsables aussi bien des particuliers que des sociétés spécialisées à frauder le kilométrage».

    Selon ladite association, la suppression du certificat « qualité de l’air » à commencer par le 1er février encouragera l’importation de voitures d’occasion parallèlement à une baisse des ventes de voitures neuves.

    Une solution serait de taxer différemment les voitures neuves et d’occasion, estime Cristian Milea, membre du Conseil directeur de l’Association des producteurs et des importateurs roumains d’automobiles : « Il faudrait une taxe d’immatriculation et un impôt censés privilégier les voitures plus neuves au détriment de celles d’occasion. C’est d’ailleurs ce qui font la plupart des pays européens où le parc automobile a des indicateurs de gestion performants ».

    Entrée en vigueur le 1er janvier 2007, lors de l’adhésion de la Roumanie à l’UE, la taxe sur la première immatriculation était dans un premier temps calculée en fonction de trois indicateurs : cylindrée, ancienneté et catalyseur. Deux ans plus tard, le 19 février 2009, le gouvernement roumain modifie la taxe et décide de baisser d’un tiers le montant de la nouvelle taxe sur la pollution automobile. Puis, en 2012, la taxe automobile devient obligatoire aussi bien dans le cas d’une nouvelle immatriculation des voitures enregistrées en Roumanie avant le 1er janvier 2007 que dans le cas de celles importées d’Occident. Douze mois plus tard, cette taxe est suspendue et les propriétaires ayant déjà payé se voient rembourser. Le 15 mars 2013, à compter du moment où le certificat «qualité de l’air» entre en vigueur, la taxe est calculée en fonction de la quantité des émissions de CO2, telles qu’elles figurent dans certificat d’immatriculation de la voiture.

    Aux dires du vice-président de l’Association des producteurs et des importateurs d’automobiles, Brent Valmar, les ventes de voitures neuves n’auront pas à souffrir si le programme de renouvellement du parc automobile « Le Tacot » n’existe plus. Le projet fut salutaire pour un marché en crise, ce qui n’est plus le cas actuellement.

    Brent Valmar : « L’expérience de l’année dernière nous a montré que l’absence du programme le Tacot quelques mois durant n’a pas affecté les ventes aux particuliers. Celles-ci ont continué leur pente ascendante grâce à l’intérêt des fournisseurs envers les ventes aux personnes physiques. Personnellement, je ne crois pas que le programme le Tacot ait une influence sur le volume total du marché de la voiture neuve en 2017 ».

    Quant à la production autochtone de voitures, celle-ci s’est chiffrée à 359 mille unités en 2016, inférieure de 7,2% à celle de 2015. Sur ce total, 320.000 voitures ont porté la marque Dacia Groupe Renault et le reste la marque Ford. Côté exportations, on a enregistré une baisse de 8,2% par rapport à 2015. Le classement des voitures exportées a été dominé par la Duster, suivie par la Sandero et la Ford B-Max. Sur le nombre total de voitures produites en Roumanie dans le courant de l’année dernière, 90,7% ont été exportées, soit un point de pourcentage de moins qu’en 2015. (Trad. Ioana Stancescu)

  • L’année économique 2016 (deuxième partie)

    L’année économique 2016 (deuxième partie)

    Pas avant de vous rappeler que la semaine dernière, nous vous avons informés, entre autres, sur la croissance économique, estimée à environ 5%, sur la baisse de la TVA de 24 à 20% à compter du 1er janvier 2016 et sur le maintien par la Banque centrale de Roumanie de son taux directeur au niveau de 1,75%.

    Le 12 mars a vu le lancement de la plate-forme intitulée « Transparence budgétaire » qui présente les recettes et les dépenses de toutes les institutions étatiques. A l’adresse www.transparenta-bugetara.gov.ro, les Roumains ont accès à toute l’activité financière des institutions publiques, ainsi qu’à leurs contrats. Le but, c’est de réduire les fraudes et la corruption.

    Une nouvelle apprise le 16 mars, c’est que la Roumanie continuera de bénéficier de l’expertise de la Banque européenne d’investissements, de la BERD et de la Banque Mondiale pour moderniser son administration publique, soutenir les réformes structurelles, préparer et mettre en œuvre les projets financés par les Fonds européens structurels et d’investissements. Cela afin d’accroître le financement dans l’exercice actuel, 2014-2020, et de préparer le futur exercice. Les accords avec les trois institutions sont valables jusqu’au 31 décembre 2023.

    Le 23 mars, le Parlement de la Roumanie a donné le vote final à la loi sur la création d’un Comité national de suivi dans le domaine de la macro-prudence. Un tel organisme existe aussi au niveau de l’Union européenne – le Comité européen du risque systémique -, étant le résultat des évolutions durant et après la crise. A son tour, ce dernier a émis la recommandation que chaque Etat se dote d’un comité similaire. Le Comité national de suivi dans le domaine de la macro-prudence évalue les risques pesant sur l’économie et fait des recommandations, y compris au gouvernement, pour les combattre. S’il ne tient pas compte de ces recommandations, le gouvernement engage sa responsabilité, sans pouvoir dire qu’il n’en a pas été averti, déclarait le gouverneur de la Banque nationale de Roumanie, Mugur Isărescu, à l’été 2015, sur la toile de fond des débats publics sur l’opportunité de créer un tel organisme.

    Le 22 mars, le constructeur automobile américain Ford a annoncé qu’il investirait 200 millions d’euros pour produire le modèle EcoSport de classe B à l’usine de Craiova (sud) en 2017. Les ventes de ce modèle, présentement fabriqué en Inde, sont à la hausse sur le marché européen. Le mini-SUV de ville EcoSport aura des accessoires et des paramètres de fonctionnement améliorés et sera le deuxième modèle de marque Ford fabriqué en Roumanie, après le modèle B-Max. Le 31mars, la compagnie américaine « 8×8, Inc. », basée dans la Silicon Valley, en Californie, et qui fournit des solutions de communications dans le cloud, a ouvert à Cluj-Napoca son premier centre opérationnel d’Europe de l’Est. La société a fait savoir qu’elle envisageait de créer une centaine d’emplois avant la fin de l’année.

    Le 4 avril, le groupe allemand Daimler a officiellement inauguré à Sebeş sa production de boîtes de vitesse de dernière génération pour les automobiles Mercedez-Benz. Ce projet, estimé à 300 millions d’euros, repose sur le travail de 500 personnes, employées dans la fabrique située dans le département d’Alba (centre). Star Transmission, la filiale roumaine du groupe allemand Daimler, a été créée en 2001, par l’ouverture, à Cugir, d’une unité de production de roues dentées, d’axes et de composants pour les moteurs, les boîtes de vitesse et les systèmes de direction. Ultérieurement, plus précisément en 2013, une autre unité allait être ouverte à Sebeş, spécialisée dans la fabrication des boîtes de vitesse automatiques.

    Toujours le 4 avril, le Conseil de l’Autorité de surveillance financière a approuvé le rachat de la compagnie d’assurances générales Credit Europe Assurances-Réassurances par le groupe allemand ERGO. C’est la première transaction réalisée par un investisseur de réputation internationale sur le marché roumain des assurances générales, après la crise économique de 2008, déclaraient à ce moment-là les représentants de l’Autorité de surveillance financière.

    Le 8 avril, l’agence de notation Standard&Poor’s a confirmé les notes pour les dettes de la Roumanie sur le court et long terme, contractées en devise étrangère et en monnaie locale, soit BBB – / A- 3, avec perspective stable. La note BBB -, qui entre dans la catégorie « investement grade », concerne les investissements. La Roumanie s’est vu accorder un Baa3 par l’agence de notation Moody’s et un BBB – par Fitch. Standard&Poor’s a précisé que le maintien de ses notes pour la Roumanie s’explique par le niveau modéré d’endettement extérieur, sur la toile de fond des perspectives stables de croissance économique.

    A compter du 1er août, la TVA sur les services agricoles, les graines de semence, les pesticides et les engrais chimiques a baissé de 20% à 9%. Cette mesure a eu des effets positifs sur les prix pratiqués par les fournisseurs, faisant aussi diminuer le nombre des services réalisés au noir.

    Le 13 septembre, Airbus Helicopters a inauguré en Roumanie une nouvelle usine où il construira l’hélicoptère à double rotor H215, un investissement de 52 millions d’euros. Le premier exemplaire doit sortir des lignes d’assemblage en 2018. L’usine Airbus Helicopters Industries est située à Ghimbav, près de Brasov, au centre du pays, et s’étale sur 10.000 m2.

  • Die Vorhaben des größten rumänischen Automobilherstellers

    Die Vorhaben des größten rumänischen Automobilherstellers

    Der Dacia-Automobilhersteller hat am Mittwoch bestätigt, dass ein Teil der Produktion des Logan MCV Modells, das im südrumänischen Mioveni hergestellt wird, in das Renault-Werk im marokanischen Tanger verlagert werden soll. Die Entscheidung wurde von den Franzosen von Renault getroffen, die 99,43% der Aktien der rumänischen Fabrik besitzen. Dadurch soll im Werk von Mioveni die Steigerung der Produktion von Duster Autos ermöglicht werden, erklärte der Vorstand von Dacia in einer Mitteilung. Die Informationen sind ursprünglich in der französischen Presse erschienen. Diese schrieb damals, dass dieser Produktionstransfer eine zusätzliche Investition von 20 Millionen Euro in das Werk in Tanger voraussetzt.



    Bisher wurde der Logan MCV ausschlie‎ßlich in Rumänien produziert. Die offizielle Mitteilung hat die Gerüchte unter den Werkern der Fabrik in Mioveni eingedämmt, die die letzten Tage über eine mögliche Produktionsherabsetzung oder sogar über Personalabbau geredet haben. Die Ankündigung des französischen Autobauers kann aber als eine mögliche diplomatische Botschaft an die rumänischen Behörden hinsichtlich der Beschleunigung des Baus der Autobahn Piteşti — Sibiu entschlüsselt werden. Letzte Woche hatte Verkehrsminister Sorin Buşe im Rahmen eines Treffens mit den Automobilherstellern von den rumänischen Werken Dacia und Ford angekündigt, dass die Autobahn Craiova-Piteşti bis 2020 und die Autobahn Piteşti-Sibiu bis 2021 aus Strukturfonds gebaut werden sollen.



    Laut dem strategischen Verkehrs-Materplan Rumäniens, der neulich von der Regierung genehmigt wurde, sollen die Rumänen bis 2036 auf 11 neuen Autobahnen fahren. Gebaut werden sollen 6.800 Stra‎ßenkilometer, davon über 1.500 km Autobahn und über 1.300 km Express-Stra‎ßen. Au‎ßerdem sollen über 5.000 km Eisenbahnschienen, 15 Flughäfen und 32 Häfen modernisiert werden. Diese werden zur Erleichterung des Transports, einschlie‎ßlich in puncto Automobilexporte beitragen. Unterdessen berichtet die französische Presse über die mögliche Montage, in naher Zukunft, eines neuen Dacia oder Renault-Modells, höchstwahrscheinlich den kleinklässer KWID.



    Da die Strategien der gro‎ßen Automobilbauer, immer von Geheimnissen umhüllt sind, bleibt die einzige Gewissheit vorerst die Anwesenheit der neun Dacia-Logan und Sandero Modelle, mit Facelift, an der Pariser Messe, Ende des Monats. Gleichzeitig kündigte Ford die Fortsetzung der Produktion im südrumänischen Craiova mit einem neuen Modell Ford EcoSport, ab 2017. Der erste Dacia wurde in Rumänien 1966 hergestellt. Die Marke gehört seit 1999 zur Renault-Gruppe und deckt rund 30% der Verkäufe des französischen Unternehmens. Ford stellt Autos in Rumänien seit 2009 her. Es wurde eine Spitzenproduktion von 300 Tausend Einheiten im Jahr erreicht. Ford ist das drittgrö‎ßte Unternehmen in Rumänien, gemessen an den Exportzahlen.