Tag: Ford

  • Dacia et Ford reprennent leur activité

    Dacia et Ford reprennent leur activité

    LAssociation des constructeurs européens d’automobiles estimait, fin avril, quau niveau continental, les mesures prises dans le contexte de la pandémie de coronavirus touchaient plus d1,1 millions de salariés du secteur, et la production avait perdu plus de 2 millions de véhicules. Les données relatives à la Roumanie indiquaient quil sagissait dau moins 20.000 emplois et dune production non réalisée de près de 69.000 véhicules. « La production locale de véhicules avait accéléré en février dernier, marquant une croissance annuelle de près de 8% par rapport au même mois de lannée dernière, après une avancée de 3% environ courant 2019 », rappelle Elena Geageac, consultante chez Deloitte Roumanie, précisant que ce secteur livre 37% des exportations du pays. Au-delà des chiffres, lindustrie automobile roumaine compte à coup sûr parmi les secteurs économiques les plus touchés, vu que les deux grands producteurs locaux – Automobile Dacia et Ford Roumanie – ont suspendu leur activité dans la deuxième moitié du mois de mars, tout de suite après la mise en place de létat durgence engendré par la pandémie de COVID-19. Dans le même temps, les producteurs de composantes automobiles, qui ont des rapports commerciaux tant avec les deux grands constructeurs mentionnés, mais aussi avec dautres, situés à létranger, ont réduit leur activité ou ont même fermé.



    Le redémarrage, même progressif, de la production aux Usines Dacia de Mioveni et Ford de Craiova, les deux dans le sud de la Roumanie, était attendu avec impatience par les travailleurs des deux compagnies, qui ont été mis au chômage partiel. A Mioveni, le Groupe Renault a décidé de reprendre ses activités de manière progressive, jusquau 21 avril dernier, dans deux usines, sur une base de volontariat, et que les autres salariés recommencent à travailler le 4 mai. Et toujours à partir du 4 mai, le constructeur américain Ford a relancé, par étapes, en un seul des trois-huit, sa production en Roumanie, en même temps quen Allemagne et en Espagne. La moitié des 6.000 salariés ont repris le travail, dans des conditions de protection renforcée, comme ceux de Mioveni dailleurs.



    Pendant la période de suspension de lactivité productive, des mesures ont été définies et mises en œuvre afin de protéger les salariés en vue de la reprise du travail. Il sagit de mesures qui relèvent de lhygiénisation et de la sécurité, appliquées de manière rigoureuse, les travailleurs étant informés de la nécessité de respecter les décisions prises afin de protéger leur santé et celle de leurs collègues. Linstallation de scanners thermiques à chaque porte daccès, le port du masque ainsi que lobservation de la distanciation sociale comptent parmi ces mesures. Les salariés se voient assurer du matériel de nettoyage approprié, et des démarches sont entreprises pour que le déplacement entre le logement et le lieu de travail ait lieu en toute sécurité.


    (Trad. : Ligia)

  • Dacia şi Ford reiau activitatea

    Dacia şi Ford reiau activitatea

    Asociaţia Europeană a
    Producătorilor Auto estima, la finalul lui aprilie, că, la nivel european,
    măsurile luate în contextul pandemiei de coronavirus afectează peste 1,1
    milioane de angajaţi din domeniu, iar producţia a pierdut peste 2 milioane de
    autovehicule. Datele privind România arătau că ar fi vorba de cel puţin 20 de
    mii de locuri de muncă și de o producţie nerealizată care se apropia de 69 de
    mii de maşini. Producţia locală de autoturisme căpătase viteză în luna
    februarie 2020, cu o creştere anuală de aproape 8% faţă de aceeaşi lună a
    anului trecut, după un avans de aproximativ 3% pe parcursul anului 2019
    ,
    amintește Elena Geageac, consultant Deloitte România, precizând că acest sector
    livrează 37% din exporturile româneşti.

    Dincolo de cifre, industria auto din
    România se numără cu siguranță printre cele mai afectate sectoare
    economice, cei doi mari producători auto locali – Automobile Dacia și Ford
    România – sistându-și activitatea în a doua jumătate a lunii martie, imediat ce
    s-a instituit starea de urgenţă cauzată de pandemia de COVID-19. În acelaşi
    timp, producătorii de componente auto, aflaţi în relaţii comerciale atât cu cei
    doi mari constructori amintiți, cât şi cu alții din afara României, și-au redus
    sau chiar și-au închis activitatea temporar. Reluarea, chiar și graduală, a
    producției la Uzinele Dacia de la Mioveni și de către Ford la Craiova, ambele
    în sudul României, a fost așteptată cu nerăbdare și speranță de către angajații
    celor două companii, care au fost trimiși în șomaj tehnic.

    La Mioveni, Grupul francez
    Renault a decis reluarea activității progresiv, începând din 21 aprilie, în
    două uzine, pe bază de voluntariat, pentru ca din 4 mai să revină la muncă și
    ceilalți angajați. Tot din 4 mai, constructorul american Ford a reluat,
    etapizat, într-un singur schimb, producția din România, simultan cu cea pe care
    o are în Germania și Spania. Jumătate dintre cei circa 6 mii de angajați au
    revenit la serviciu, în condiții de protecție sporită, la fel ca și cei de la Mioveni,
    de altfel. Pe tot parcursul perioadei în care activitatea de producţie a fost
    întreruptă au fost definite şi aplicate măsuri pentru a proteja
    angajaţii în perspectiva revenirii acestora la lucru. Este vorba despre măsuri
    care ţin de igienizare şi securitate, aplicate în mod riguros, angajaţii fiind
    informaţi despre necesitatea respectării deciziilor luate pentru protejarea
    sănătăţii lor şi a colegilor. Între măsuri se numără instalarea dispozitivelor
    de scanare a temperaturii la fiecare poartă de acces, purtarea măștilor de
    protecție, precum și păstrarea distanței recomandate față de cei din jur. Angajaţilor
    li se asigură acces la materiale de curăţare corespunzătoare, fiind făcute, de
    asemenea, demersuri pentru ca deplasarea între locuință și locul de muncă să se
    desfășoare în condiții de siguranță.

  • 19.03.2020

    19.03.2020

    Coronavirus
    en Roumanie
    Le président Klaus Iohannis salue l’adoption
    par le Parlement, jeudi, du décret instituant l’état d’urgence sur le
    territoire de la Roumanie pour une période de 30 jours. Selon le chef de
    l’Etat, ce vote montre le degré élevé de responsabilité et de solidarité de
    toute la classe politique. Le Parlement roumain s’était réunit aujourd’hui, en
    ligne, pour s’exprimer concernant le décret. C’était pour la toute première
    fois que le Parlement de Bucarest a utilisé cette procédure spéciale de débat
    et de vote électronique à distance. Par ailleurs, le premier ministre Ludovic
    Orban a annoncé ce jeudi la majoration des peines pour le non-respect des
    règles de lutte contre la propagation de l’épidémie et pour fausses
    déclarations par rapport à la pandémie de coronavirus. De même, le gouvernement
    a décidé d’augmenter le plafond de garantie des crédits des PME d’environ un
    milliard d’euro. L’exécutif payera également une indemnité compensatrice pour
    le chômage technique égale à 75% du salaire brut du salarié, sans excéder 75%
    du salaire moyen brut national. Le nombre de cas confirmés de COVID-19 en
    Roumanie s’élève actuellement à 277, avec 25 personnes qui ont guéri et ont
    quitté l’hôpital.








    Rapatriements – Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest
    informe que 89 citoyens roumains sont revenus d’Espagne ce jeudi, suite à ses
    démarches et à celles du ministère des Transports. Mercredi, 100 citoyens
    roumains ont été rapatriés : 74 de Malte et 26 d’Egypte. Selon le
    ministère roumain, ses efforts visent à faciliter le retour au pays des
    citoyens roumains qui se trouvent temporairement à l’étranger et qui ont été
    affectés par les mesures prises par les Etats pour gérer la pandémie de
    COVID-19. Le ministère des Affaires étrangères demande à tous les citoyens
    d’éviter tout voyage non essentiel à l’étranger et recommande aux touristes
    roumains et à ceux qui se trouvent temporairement à l’étranger de revenir de
    toute urgence en Roumanie. Pour finir, l’institution demande aux Roumains qui
    ont le domicile ou la résidence à l’étranger de respecter les recommandations
    des autorités nationales des Etats où ils vivent et ne recommande pas
    d’effectuer des voyages vers la Roumanie en cette période.










    Economie – L’usine Dacia de Mioveni, dans le sud de la Roumanie, appartenant au
    constructeur automobile français Renault, ferme ses portes à partir de ce jeudi
    et jusqu’au 5 avril. Tous les salariés, soit plus de 14.000 personnes, seront
    mis au chômage technique et recevront 85% de leur salaire. La décision, prise
    d’un commun accord par le patronat et les syndicats, vise à protéger la santé
    des personnels. L’usine de Craiova (sud) du constructeur américain Ford a
    annoncé une mesure similaire : ses quelques 6.300 salariés resteront aussi
    à la maison à partir d’aujourd’hui. La compagnie américaine parle d’une
    suspension temporaire de la production, qui pourrait durer quelques semaines,
    en fonction des restrictions imposées au niveau national, des contraintes liées
    à la collaboration avec leurs fournisseurs
    et des besoins rapportés par les concessionnaires.










    Coronavirus
    dans le monde
    – Au moins 219.000 cas de COVID-19 sont
    confirmés au niveau mondial et 8.800 morts. Alors qu’il n’y a plus de
    transmission locale en Chine et que tous les cas confirmés récemment là-bas sont
    de personnes venues de l’étranger, la situation continue à empirer en Europe.
    En Italie, le nombre de victimes approche le total enregistré dans la région de
    Hubei, en Chine, le point de départ de la pandémie. Plus de 3.000 personnes sont
    décédées dans la Péninsule, dont 475 ce mercredi, le jour le plus noir depuis
    le début de l’épidémie. En France, le nombre de personnes infectées dépasse les
    9.000, avec 246 décès. L’Union européenne a décidé de fermer ses frontières
    pour les ressortissants de pays tiers et a interdit la circulation non
    essentielle à l’intérieur de l’espace Schengen, afin de ralentir la propagation
    du virus. Dans ce contexte, la Banque centrale européenne a annoncé un plan
    d’urgence de 750 milliards d’euros pour venir en aide à la dette publique et
    privée, dans une tentative de contrecarrer les répercutions de la pandémie sur
    l’économie. Selon les estimations, le PIB de la zone euro pourrait baisser de
    5% cette année.








    Météo – Il fait beau et chaud actuellement en Roumanie. On attend quelques
    nuages et des précipitations faibles sur le nord et le nord-est et à la
    montagne. Les températures maximales se situent entre 10° et 19°, avec 15°C à
    midi à Bucarest.

  • Mesures pour soutenir l’économie

    Mesures pour soutenir l’économie

    Ces mesures concernent tant les
    compagnies directement affectées par les restrictions imposées par la situation
    actuelle que celles qui ressentent indirectementles effets négatifs engendrés
    par le changement temporaire du mode de vie des gens. Le premier ministre
    Ludovic Orban : « Nous avons décidé, par
    ordonnance d’urgence, de majorer le plafond de garantie des crédits pour les
    PME par le biais du Fonds de garantie. Pour cette première étape, nous avons pu
    majorer le plafond de 5 milliards de lei (1 milliard d’euros environ). Nous
    sommes prêts à accroître le plafond de garantie d’une nouvelle tranche de 5
    milliards de lei, si nécessaire, et aussi, là encore, si cela s’avère
    nécessaire, nous pouvons aller jusqu’à 15 milliards de lei. Pratiquement, nous
    garantissons des crédits pour les investissements et pour assurer le fonds de
    roulement. Le taux d’intérêt pour les deux produits est subventionné à hauteur
    de 100%. »


    Le premier ministre roumain a indiqué
    que la garantie est de 90% dans le cas des crédits allant jusqu’à 1 million de
    lei et de 80% pour les crédits supérieurs à ce montant. Le gouvernement a
    encore décidé de rembourser la TVA jusqu’à la limite de 9 milliards de lei
    (soit 1 milliard 860 millions d’euros environ) afin d’assurer des injections de
    capital pour les entreprises. Au moment du collectif budgétaire, des montants
    plus importants seront alloués au remboursement des arrêts maladie car, dit
    Ludovic Orban, des retards supérieurs à un an sont enregistrés depuis la
    gouvernance antérieure. L’Exécutif roumain a encore décidé d’assurer le
    paiement du chômage technique des salariés dans cette situation par le budget
    du ministère du Travail. Ludovic Orban : « Nous avons pris cette
    décision parce qu’il est clair que beaucoup de compagnies sont affectées par
    l’épidémie, directement ou indirectement. Beaucoup d’entreprises, parce que
    leurs revenus ont baissé, leurs encaissements aussi, tout comme leur chiffre
    d’affaires, ne disposent pas des revenus nécessaires pour assurer le paiement
    des salaires des travailleurs et le risque existe que les salariés soient mis
    au chômage ou licenciés pour cause de force majeure ou encore que leurs contrats
    de travail soient suspendus. La décision, c’est de payer du budget du fonds de
    chômage 75% du salaire brut, soit pratiquement l’indemnité mensuelle pour la
    période de chômage technique, mais pas plus de 75% du salaire moyen
    brut. »


    Cette mesure vise deux catégories
    d’employeurs : la première est directement touchée par les mesures
    restrictives disposées par les autorités pour l’état d’urgence. Par exemple la
    suspension de l’activité dans les hôtels, restaurants, cafés, établissements du
    spectacle. La deuxième catégorie comprend les compagnies qui ne sont pas
    directement affectées par les mesures des autorités, mais par les conséquences
    de la pandémie. Ces dernières devront déposer une déclaration sur l’honneur, et
    la condition à satisfaire en vue de l’octroi de ces fonds, c’est d’enregistrer
    une chute d’au moins 25% de leurs revenus ou de leur chiffre d’affaires, a
    précisé le premier ministre. Il a expliqué que si le gouvernement avait soutenu
    le paiement des salaires à hauteur d’un certain pourcentage, cela aurait été
    assorti de l’obligation des salariés d’aller au travail, ce qui aurait pu
    accroître le risque de contamination.

    Ces mesures sont prises alors que de
    grandes sociétés de Roumanie ont annoncé suspendre leur activité pour des
    périodes différentes, afin de protéger leurs salariés de l’infection par le
    nouveau coronavirus. Ainsi, le constructeur automobile Dacia groupe Renault
    interrompt sa production aux usines de Mioveni (sud) à partir de ce jeudi
    jusqu’au 5 avril. 13.500 salariés seront misau chômage technique. La production
    sera fortement affectée, tous les salariés en sont conscients, mais leur santé
    est au-dessus de cela, a souligné un représentant de l’usine. Les Américains de
    Ford, qui détiennent une usine en Roumanie, à Craiova (sud), ont annoncé eux
    aussi que leurs travailleurs seraient mis au chômage technique et bénéficieraient
    d’une indemnité de 78% du salaire de base. Cette mesure intervient après la
    décision prise par la direction du groupe de suspendre temporairement la
    production dans les principales fabriques d’Europe, vu l’impact dramatique de
    cette crise sur le marché automobile européen et sur l’industrie des
    fournisseurs. Les Italiens de Pirelli, qui ont une fabrique à Slatina (sud),
    suspendent également leur activité ; 4.000 salariés en sont affectés. (Trad. Ligia
    Mihăiescu)

  • 03.01.2020 (aggiornamento)

    03.01.2020 (aggiornamento)

    Romania – Germania – Il 7 gennaio, il presidente Klaus Iohannis si recherà in Germania per una visita di lavoro nel land della Baviera, dove incontrerà il ministro presidente e leader dell’Unione Cristiano-Sociale (CSU), Markus Söder. La Presidenza riferisce in un comunicato che il capo dello stato parteciperà ad una seduta del Governo della Baviera, discuterà con i suoi membri delle relazioni bilaterali e dell’attualità europea, e avrà anche un intervento. Il presidente Klaus Iohannis parteciperà, inoltre, all’incontro annuale del gruppo CSU del Bundestag, dove presenterà la visione della Romania sul futuro dell’Europa e avrà un dialogo sulle priorità dell’agenda europea. La Germania assumerà la presidenza di turno del Consiglio UE nel secondo semestre del 2020. Nel corso della sua visita, il capo dello stato romeno incontrerà anche la presidente del Landtag, Ilse Aigner, precisa ancora la fonte.

    Governo – Dal 7 al 9 gennaio, il premier Ludovic Orban sarà a Bruxelles, per una visita di lavoro alle istituzioni dell’UE e della NATO. Il Governo riferisce in un comunicato che il premier romeno avrà colloqui con la presidente della Commissione Europea, Ursula von der Leyen, e il segretario generale della NATO, Jens Stoltenberg. Il programma include anche incontri con il presidente del Consiglio Europeo, Charles Michel, e con il capo dell’Europarlamento, David Sassoli.

    Gas – Dal 1 luglio prossimo, lo Stato romeno si ritirerà completamente dal controllo del mercato del gas. La misura fa seguito ad un anno in cui, come effetto dell’Ordinanza d’urgenza 114 adottata nel 2018 dall’ex governo socialdemocratico, la tariffa per i consumatori casalinghi è stata bloccata a 68 lei (circa 14 euro), livello inferiore al prezzo del mercato in quel momento, il che ha scatenato un’impennata allarmante nell’industria. Attualmente, i costi del gas in Romania sono superiori a quelli regionali, sia per l’industria che per i consumatori casalinghi. La liberalizzazione del mercato dell’energia elettrica è prevista fra un anno.

    Auto – Il lancio commerciale della nuova SUV Puma, la prima auto ibrida fabbricata in Romania, allo stabilimento Ford di Craiova (sud), è previsto per questo mese. La produzione era iniziata lo scorso ottobre. Le prime macchine sono già state consegnate a dicembre nei Paesi Bassi e il nuovo modello arriverà in tutti i Paesi dell’UE. Gli americani hanno investito 200 milioni di euro in questo impianto di produzione e hanno assunto 1.700 addetti. L’investimento totale nell’azienda che Ford controlla dal 2008 e che conta circa 6.200 dipendenti, ammonta a quasi 1,5 miliardi di euro.

    Turismo – Oltre 170.000 turisti romeni hanno passato il Capodanno nel Paese, del 2,5% in più rispetto all’anno precedente, e hanno speso circa 44 milioni di euro, in aumento del 10% rispetto al Veglione 2018/2019. Lo rilevano i dati della Federazione dei Padronati del Turismo Romeno, indicando che le più ricercate destinazioni sono state le località montante della Valle del Prahova, le zone tradizionali rurali Bran-Moieciu, nonchè le regioni del Maramureş e della Bucovina. La fonte precisa che i romeni che hanno scelto di passare le feste all’estero hanno speso circa sei milioni di euro per soggiorni in stazioni sciistiche in Austria, Francia, Italia e Bulgaria, city-break in varie città e mete esotiche come le Maldive, Singapore, Mauritius e Thailandia.

    Cinema – La pellicola La Gomera/ The Whistlers del regista romeno Corneliu Porumboiu partecipa alla 31/a edizione di Palm Springs International Film Festival, in California, in programma dal 2 al 12 gennaio, che riunisce 188 film di 81 Paesi. Quinto lungometraggio di Porumboiu, il film La Gomera è stato presentato in prima mondiale a Cannes nel 2019. Racconta la storia di Cristi, un poliziotto romeno che arriva su La Gomera, dove impara el silbo, il linguaggio fischiato di alcuni abitanti dell’isola spagnola. La sua missione è quella di liberare Zsolt, un controverso imprenditore arrestato a Bucarest.

  • 03.01.2019

    03.01.2019

    Die rumänischen Behörden werden die Kontrolle über den inländischen Erdgasmarkt aufgeben. Die Maßnahme erfolgt nach einem Jahr, in dem der Erdgaspreis für Privatkunden, aufgrund einer Dringlichkeitsverordnung, unter dem Marktpreis gehalten wurde, was zu Preisanstiegen bei den Gaslieferungen an Industriekunden führte. Die Erdgaspreise in Rumänien sind derzeit sowohl für industrielle als auch für private Verbraucher höher als in den anderen Ländern der Region. Die Liberalisierung der Strompreise soll im nächsten Jahr beginnen.






    Der neue PUMA, ein amerikanischer SUV, den Ford im südrumänischen Craiova produziert, soll diesen Monat auf den Markt kommen. Die Produktion dieses Modells wurde im Oktober letzten Jahres aufgenommen. Die ersten PUMA-PKWs wurden bereits Anfang Dezember in den Niederlanden verkauft. Diese in Rumänien produzierten Fahrzeuge sollen demnächst für den gesamten EU-Markt zur Verfügung gestellt werden. Der neue Ford Puma ist ein hochmodernes Fahrzeug und das Erste in Rumänien produzierte Hybridfahrzeug. Das Unternehmen hat über 200 Millionen Euro in dieses Fahrzeug investiert, dessen Produktion auch 1.700 neue Arbeitsplätze geschaffen hat. Ford Craiova hat fast 6.200 Angestellte und die Gesamtinvestition, seit der Übernahme des Werks im Jahr 2008, beträgt rund 1,5 Milliarden Euro.




    Irans oberster Führer Ajatollah Ali Khamenei drohte am Freitag den USA mit einer harte Vergeltung“, nachdem bei einem amerikanischen Luftangriff auf dem Flughafen von Bagdad, der Leiter der iranischen Elitetruppen Qassem Soleimani getötet wurde. Khamenei hat im Iran eine drei tägige nationale Trauer ausgerufen. Der Präsident des Landes, Hasan Rouhani, sagte, der Iran und die freien Nationen der Region“ würden sich für den Mord rächen. Mindestens 8 Menschen wurden bei dem Überfall auf einen Konvoi auf dem Flughafen von Bagdad drei Tage nach dem Angriff auf die US-Botschaft durch pro-iranische Demonstranten getötet. Das Pentagon hat bestätigt, dass der US-Präsident Donald Trump einen Luftangriff auf den internationalen Flughafen von Bagdad genehmigt hat, bei dem Qasem Soleimani, ein wichtiger Militärkommandant, in einer entschlossenen Verteidigungsaktion zum Schutz des US-Personals im Ausland“ getötet wurde, um die zukünftigen iranischen Angriffspläne“ zu verhindern.






    Rumänien wird mit 35 Athleten an den olympischen Jugendspielen 2020 teilnehmen, die am 9. und 22. Januar in Lausanne, Schweiz, stattfinden werden. Laut einem Kommuniqué des rumänischen Olympischen und Sportkomitees werden die rumänischen Athleten in mehreren Disziplinen wie Biathlon, Bob-Schlitten, Eishockey, Eisschnelllauf, Schlitten, Skispringen, Alpin-Ski, Langlauf und Snowboard antreten. Bei der letzten Ausgabe in Lillehammer, Norwegen, gingen die ersten Medaillen in der Geschichte der Teilnahme Rumäniens an einer solchen Veranstaltung an Eduard Casaneanu, der beim Eishockey Gold und Mihaela Hogas, Bronze im Eisschnelllauf gewann.

  • 03.01.2020

    03.01.2020

    Governo – Dal 7 al 9 gennaio, il premier Ludovic Orban sarà a Bruxelles, per una visita di lavoro alle istituzioni dell’UE e della NATO. Il Governo riferisce in un comunicato che il premier romeno avrà colloqui con la presidente della Commissione Europea, Ursula von der Leyen, e il segretario generale della NATO, Jens Stoltenberg. Il programma include anche incontri con il presidente del Consiglio Europeo, Charles Michel, e con il capo dell’Europarlamento, David Sassoli.

    Gas – Dal 1 luglio prossimo, lo Stato romeno si ritirerà completamente dal controllo del mercato del gas. La misura fa seguito ad un anno in cui, come effetto dell’Ordinanza d’urgenza 114 adottata nel 2018 dall’ex governo socialdemocratico, la tariffa per i consumatori casalinghi è stata bloccata a 68 lei (circa 14 euro), livello inferiore al prezzo del mercato in quel momento, il che ha scatenato un’impennata allarmante nell’industria. Attualmente, i costi del gas in Romania sono superiori a quelli regionali, sia per l’industria che per i consumatori casalinghi. La liberalizzazione del mercato dell’energia elettrica è prevista fra un anno.

    Auto – Il lancio commerciale della nuova SUV Puma, la prima auto ibrida fabbricata in Romania, allo stabilimento Ford di Craiova (sud) è previsto per questo mese. La produzione era iniziata lo scorso ottobre. Le prime macchine sono già state consegnate a dicembre nei Paesi Bassi e il nuovo modello arriverà in tutti i Paesi dell’UE. Gli americani hanno investito 200 milioni di euro in questo impianto di produzione e hanno assunto 1.700 addetti. L’investimento totale nell’azienda che Ford controlla dal 2008 e che conta circa 6.200 dipendenti, ammonta a quasi 1,5 miliardi di euro.

    Cinema – La pellicola La Gomera/ The Whistlers del regista romeno Corneliu Porumboiu partecipa alla 31/a edizione di Palm Springs International Film Festival, in California, in programma dal 2 al 12 gennaio, che riunisce 188 film di 81 Paesi. Quinto lungometraggio di Porumboiu, il film La Gomera è stato presentato in prima mondiale a Cannes nel 2019. Racconta la storia di Cristi, un poliziotto romeno che arriva su La Gomera, dove impara el silbo, il linguaggio fischiato di alcuni abitanti dell’isola spagnola. La sua missione è quella di liberare Zsolt, un controverso imprenditore arrestato a Bucarest.

    Giochi Olimpici Gioventù – La Romania invierà 35 atleti ai Giochi olimpici giovanili invernali, ospitati dalla città svizzera di Losanna dal 9 al 22 gennaio prossimi. Il Comitato Olimpico e Sportivo Romeno precisa in un comunicato che i nostri connazionali competeranno nelle gare di biathlon, bob, hockey su ghiaccio, pattinaggio di velocità, slitta, salto con gli sci, sci alpino, scialpinismo e sci di fondo e snowboard, cioè 10 delle 16 discipline delle Olimpiadi. Ai precedenti Giochi olimpici giovanili invernali, svoltisi nel 2016 a Lillehammer, in Norvegia, le prime medaglie nella storia della partecipazione romena alla gara sono andate a Eduard Căşăneanu, che ha vinto l’oro nello hockey su ghiaccio, prova di abilità, e a Mihaela Hogaş, che si è aggiudicata il bronzo nel pattinaggio di velocità a squadre internazionali miste.

  • Oldtimer und ihre Geschichten: Ford V8 ab 1935 auch in Rumänien hergestellt

    Oldtimer und ihre Geschichten: Ford V8 ab 1935 auch in Rumänien hergestellt

    Wir kennen sie vielmehr aus Filmen. Sie konnten ihr Brummen nicht laut werden lassen, spielten dennoch eine wichtige Rolle in den Stummfilmen Anfang des 20. Jahrhunderts. Sie können noch in verschiedenen privaten Sammlungen oder in manchen Museen bewundert werden. Doch die meisten von Ihnen wissen wahrscheinlich nicht, dass in Rumänien in der Zwischenkriegszeit Fahrzeuge der Marke Ford in Bukarest hergestellt wurden. Einige Modelle sollen derzeit wieder belebt werden. Vlad Capotescu war 10 Jahre lang der Vorsitzende der Filiale des Oldtimerclubs Retromobil“ im Landkreis Timiş (dt. Temesch) in Westrumänien. Er ist gleichzeitig auch Mitglied im Kulturausschuss des Vereins. Vlad Capotescu schilderte uns die Geschichte von Ford:



    Henry Ford setzte buchstäblich die Welt in Bewegung, und zwar auf Rädern. Bis zur Herstellung des Ford Modells T im Jahr 1907 bewegte sich die Mehrheit der Bevölkerung höchstens 100 Km vom Geburtsort weg. Und das ein Leben lang. Mit der Herstellung des Ford Modells T begannen die Menschen, weiter zu reisen, sich viel mehr zu bewegen. Das Modell T war ein wichtiger Antrieb für die US-Wirtschaft. 1930 kam der Autohersteller dazu, 7500 Fahrzeuge am Tag zu fertigen. Im gleichen Jahr trat der Autohersteller auch auf den europäischen Markt ein. Ford überlegte, auch hier eine Fabrik zu eröffnen, nur hatten sie den Standort noch nicht festgelegt. 1934 wurde die Errichtung der Autofabrik genehmigt. Die Baupläne — und das Projekt insgesamt — waren sehr fortgeschritten für die damalige Zeit. Es sollte eine Halle mit einer Stahlbetonstruktur gebaut werden. Der rumänische Architekt Duiliu Marcu entwarf die Baupläne. Es wurde ein Grundstück in der Stra‎ße Calea Floreasca angekauft. Das Unternehmen trug den Namen Ford Româna SAR. 1935 wurde hier die Montage des Modells V8 1935 gestartet.“




    Die V8-Motoren wurden bei der Fertigung der ersten rumänischen Geländewagen als Modell verwendet. Doch leider sieht die Lage nicht besonders rosig für die historischen Fahrzeuge in Rumänien aus. Dazu Vlad Capotescu:



    Die Lage ist etwas traurig. Inferno und Ekstase. Nach 1990 ging die Hölle los — da herrschte ein rechtliches Durcheinander. Die meisten Fahrzeuge, die wir aus rumänischen Filmen kannten, wurden ausgeführt. Bis 2007, dem EU-Beitrittsjahr Rumäniens, gab es kein Gesetz, das die Oldtimer schützte. Mit dem EU-Beitritt wurden wir gezwungen, Ma‎ßnahmen diesbezüglich zu treffen. Daher wurde die Entscheidung getroffen, die historischen Fahrzeuge zu schützen, da sie Teil des UNESCO-Kulturerbes waren. Unser Verein, Retromobil, wurde Mitglied im Weltverein der Oldtimer-Clubs, der Fédération Internationale des Véhicules Anciens (FIVA). Die Sammler in Rumänien hatten die Möglichkeit, ihre Papiere zu aktualisieren. Sie erhielten Urkunden, die ihre Autos als historische Fahrzeuge anerkannten. Und nun erleben wir eine Phase der Ekstase — Oldtimer kehren nämlich ins Land zurück. Derzeit gibt es etwa 2500 als historische Fahrzeuge zugelassene Autos in Rumänien.“




    Im Vergleich beispielsweise zu Slowenien steht Rumänien nicht besonders gut. Dort leben rund 2 Millionen Menschen und im Land gibt es mehr als 8000 Oldtimer. Also schneiden wir in Rumänien im Vergleich zu anderen Staaten nicht besonders gut ab, so Vlad Capotescu:



    Damit ein Oldtimer als historisches Fahrzeug dokumentiert wird, muss es funktionsfähig sein. Und es muss das Original sein. Das hei‎ßt, es muss technisch und optisch entsprechen und im gleichen Zustand sein, als ob es gestern gefertigt worden wäre. Das ist ein europaweit gültiger Standard. Denn nicht jedes alte Auto ist ein historisches Fahrzeug. Die einzige Änderung, die erlaubt ist, ist die Blinklichtanlage, falls das Auto keine hatte. Ansonsten muss das Auto dem Original entsprechen.“




    Vlad Capotescu erzählte uns, in Rumänien gäbe es 12 oder 13 Stück vom Ford Modell V8, doch keins davon sei in gutem Zustand. Eine gute Nachricht hatte er aber doch:



    Drei, vier Fahrzeuge werden derzeit repariert. Wir hoffen, sie werden in den kommenden Jahren fahrbar sein. Ansonsten gibt es noch weitere 10 Ford-Autos, ebenfalls Modell V8 in Rumänien, die als historische Fahrzeuge anerkannt wurden und im guten Zustand sind. Diese wurden allerdings importiert, sie wurden nicht in Rumänien hergestellt. Von denen, die in Rumänien gefertigt wurden, fährt derzeit keines. Solche Fahrzeuge sind sehr aufwendig — ich als Finanzmensch kann Ihnen das bestätigen. Da muss man schon eine gro‎ße Leidenschaft dafür haben.“




    Die Restaurierung eines Oldtimers ist zweimal teurer als der Kaufpreis, erklärte uns Vlad Capotescu. Und dennoch, die historischen Fahrzeuge in Rumänien bereiten sich für die Parade vor:



    Im Juni 1930 wurde das erste internationale Automobilrennen im Banat ausgetragen. Das Rennen fand unter der Schirmherrschaft des Königlichen Hauses statt. Es beteiligten sich zwei rumänische Fürsten, Ghica und Nicolae. Am nächsten Tag fand ein Automobil-Eleganz-Wettbewerb statt. Sechs Fahrzeuge machten beim Rennen am ersten Tag mit, weitere sechs nahmen am Eleganz-Contest teil. Wir hoffen, dass an der diesjährigen Parade so viele historische Fahrzeuge wie möglich mitmachen werden. Wir haben Einladungen auch an unsere Kollegen in Ungarn und Serbien geschickt, so dass das gesamte Banat an der Parade in Temeswar mitmachen kann. Wir werden kein klassisches Rennen organisieren, sondern vielmehr verschiedene Proben für die Fahrer überlegen. Alte Fahrzeuge sind nicht leicht zu lenken, also werden die Fahrer ihre Geschicktheit beweisen können. Nächstes Jahr wollen wir aber ein richtiges Rennen organisieren. Wir unterhielten uns schon diesbezüglich mit den Kollegen in Ungarn und Serbien. Das Rennen soll nämlich im Banater-Dreieck ausgetragen werden.“




    Ende Juni findet auch in Sinaia ein ähnlicher Event statt. Der zuständige Verein in Rumänien, Retromobil Club, organisiert nämlich Ende des Monats zum 9. Mal eine Oldtimer-Eleganz-Parade in Sinaia.

  • Ford V8 and other big vintage cars in Romania

    Ford V8 and other big vintage cars in Romania

    We have learnt about them mainly from movies since many served as props in various reenactments of the atmosphere of early 20th century. They can also be found in private collections or even in museums. What few people know though, and what weve recently found out from an enthusiast is that the giant American carmaker, Ford, used to build cars in Romania between the two world wars. Some of these wonderful machines are now being refurbished and reconditioned.



    Vlad Capotescu, who has been chairman of the Timis branch of Retromobil Association for ten years and is currently a member in the associations culture committee, has shared with us details about Ford story in Romania.



    Vlad Capotescu: “Henry Ford was the first to motorize the world, so to say. Before the manufacture of Model T in 1907, the longest distance 95% of the worlds population could travel, was 100 kilometers around their birthplace. After the appearance of Ford T, the world started to move and travel longer distances. Economic relations started developing and we can say that this T model gave an impetus to the American economy. In 1930, the same year when he granted an interview to French daily Le Figaro, Henry Ford was producing 75 hundred cars per day. Ford also wanted to open a branch of their factory in Europe in the same year, but they failed to agree over the future location. The construction of the new factory was approved in 1934 and it was an extremely modern project at that time, which had a reinforced concrete structure, planned by architect professor Duiliu Marcu. The new factory was named Ford Romania SAR and was located somewhere on the Floreasca Way. Around 1935 Ford started to produce here their V 8 cars and a year later the 1936 model rolled off assembly line with identification plates reading Ford Româna.”



    The production line for the V 8 engines served as foundation for the future construction of engines that would later equip Romanias first off-road vehicles, IMS 57 and Aro M461. Vlad Capotescu has also referred to the present situation concerning vintage vehicles:



    Vlad Capotescu: “The situation is pretty sad, something between ecstasy and agony. The agony was after 1990 when in the legislative chaos of that time most of the cars we knew from director Sergiu Nicolaescus films were sold abroad. There had been no law to protect vintage cars until 2007 when Romania joined the European Union. After we had joined the EU we were compelled to take measures in this respect and protect these vehicles, which were part of the UNESCO world heritage. Retromobil became member of the International Federation of Historic Vehicles and local collectors were given permission to bring vintage cars into Romania. Now we are in the ecstasy phase, when vintage cars are coming back to Romania. At present we have 2500 vintage cars in Romania registered as historic vehicles.”



    It is not a high number if we compare Romania to Slovenia, a country with a population a little over two million, where there are 8 thousand vintage vehicles. Here is Vlad Capotescu again.



    Vlad Capotescu: “For a vehicle to be declared historic, it must be functional and have its original parts, and it has to look as if it rolled off assembly line yesterday. This is the condition a vehicle has to meet at European level, because not any vintage car is a historic one. The only improvement you are required to make is to install turn signals if the vehicle didnt come with them, but otherwise, it must have all its original parts.”



    According to Vlad Capotescu there are about 12, 13 V8 models in Romania, all in a bad condition, but there is also a silver lining to this situation.



    Vlad Capotescu:”There are 3-4 vehicles of this kind in full restoration process and hopefully theyll become functional in the following years. About 10 V8 models have been imported and they look almost like those produced in Romania. Unfortunately, none of those models produced in Romania are functional at present. It takes only a true enthusiast to make such a model functional again, because as an economist I can tell you, its not cost-effective at all.”



    Complete restoration for such a vehicle would cost twice as much as its purchase price, as Vlad Capotescu has told us. And yet, vintage cars in Romania are gearing up for parade.



    Vlad Capotescu:”On June 1st we are going to mark the first international car race held in Banat, Western Romania, over May 19th and 20th 1930. It was the first competition staged under the auspices of the Romanian Royal House and involved the participation of Prince Ghica and Prince Nicolae. The next day saw the first car-design competition, four years ahead the famous one in Sinaia. Six vehicles joined the race in 1930 and another six participated in the design competition the next day. At present wed like to bring together in Banat, as many vehicles built in the period between the two world wars. 7 vehicles from Romania have already been enlisted and we are waiting for confirmation from our colleagues from Serbia and Hungary. We are looking forward to seeing you in Timisoara, western Romania, if you want to see the cars, because this is going to be an atypical contest as we arent going to participate in a simple car rally. It will mainly consist of some funny events for drivers, such as driving the car backwards through poles, because vehicles like these arent very maneuverable, you know. Next year though, when we celebrate 90 years of existence, we intend to stage a rally on the entire Banat area. Weve already started talks with our Hungarian and Serbian counterparts on this race.”


    (Translated by Daniel Bilt)




  • June 17, 2019 UPDATE

    June 17, 2019 UPDATE

    CONCLUSIONS The EU Council on Monday adopted a series
    of conclusions concerning the EU’s commitment towards regional cooperation in
    the Black Sea area during the proceedings of the Foreign Affairs Council in
    Luxembourg where Romania was represented by its Foreign Minister Teodor
    Melescanu. The Council has reiterated its long-term commitment to promoting
    prosperity, stability and resilience in the Black Sea area. The Council has
    underlined the increasingly strategic importance of the Black Sea region for
    the EU calling for the union’s firmer involvement in regional cooperation
    having as foundation the Black Sea Synergy. At the same time the Council
    remains concerned about the security challenges in the Black Sea. In this
    context, it reiterates that international law observance, including the
    principles of independence, sovereignty, territorial integrity, the UN
    Convention on the law of the sea, including the freedom of navigation as well
    as observance of the EU’s political decisions and its non-recognition policy
    for Crimea are instrumental in the EU’s approach to regional cooperation in the
    Black Sea.










    MOTION MPs in Bucharest on Tuesday are
    expected to debate upon and vote a censure motion the opposition tabled against
    the PSD-ALDE coalition government. According to the document, Romania urgently
    needs a government with a pro-European vision focused on the country’s
    development priorities like education, health, public investment and attracting
    European funds. The signatories of the motion – the National Liberal Party, the
    Save Romania Union, the People’s Movement Party and the Democratic Union of
    Ethnic Hungarians in Romania, say the executive led by the Social-Democratic
    Prime Minister Viorica Dancila must be sacked for the way in which they staged
    the European Parliament election abroad and for repeatedly trying to issue
    emergency ordinances in the justice field. The ordinance needs 233 votes to
    pass and the initiators also needs the support of ProRomania Party led by the
    country’s former Social Democratic Prime Minister Victor Ponta, from the
    national minorities as well as votes from the ruling coalition. The incumbent
    Prime Minister, who is also the interim president of the Social Democrats, has
    called on the latter to attend the debates to ensure the quorum but to abstain
    from voting.










    MAYOR Romanian-born musician Octavian Ursu
    has become the Christian-Democratic mayor of the German city of Gorlitz after
    defeating in the second round of the local election Sebastian Wippel a former
    policeman, representative of the Alternative for Germany. The Romanian mustered
    55% of the votes in the second round of the election. Ursu, 51, graduated from
    the Music Conservatory in Bucharest and left for Germany where he got hired at
    the Gorlitz philharmonics as a soloist. In 2009, he enlisted with Angela
    Merkel’s Christian Democratic Union and in 2010 he took over the municipal constituency
    in Gorlitz. In 2014 he got elected in the legislature of the Federal State of
    Saxony. The Romanian got support from celebrities from Germany and abroad who
    signed a petition urging the citizens to vote against ‘hatred and hostility,
    isolation and discord. Famous movies like ‘Inglorious Basterds’ and ‘Monuments
    Men’ have been shot in Gorlitz.








    CARS
    Over two thirds of the cars registered in Romania in the first five months of the
    year are second-hand purchases. According to the National Directorate for
    Licenses and Registration out of the 240 thousand vehicles registered in
    Romania since January until the end of May, only 60 thousand are new vehicles.
    Nevertheless, the number of new vehicles registered in this period is 20%
    higher than the similar period of 2018. The so-called Rabla programme has
    significantly contributed to this increase as under this programme 30 thousand
    people have so far benefitted from bonuses to scrap their old vehicles. The
    Romanians’ mostly preferred brands are the local Dacia, followed by Volkswagen,
    Skoda, Renault and Ford. At the end of last year Romania had over 8 million
    vehicles registered, 7% higher than in 2017.






    (translated by bill)

  • La Ford V8 et autres motosaures

    La Ford V8 et autres motosaures

    Les voitures anciennes. Qui est-ce qui ne les connaît pas ? On les a vues au cinéma, vedettes muettes de reconstitutions du début du 20e siècle. On les voit encore dans des collections privées et même dans des musées. Nombre de gens ignorent un détail qu’un passionné de ces véhicules nous a révélé : des voitures Ford étaient fabriquées en Roumanie pendant l’entre-deux-guerres et plusieurs d’entre elles sont en cours de restauration.

    Vlad Capotescu, pendant 10 ans président de la filiale Retromobil Timiş et actuellement membre de la Commission de culture de l’association nationale, raconte l’histoire de la Ford : « Henry Ford a littéralement mis le monde sur 4 roues, pour ainsi dire. Avant l’apparition, en 1907, de la Ford T, 95% des gens du monde entier se déplaçaient toute la vie dans un rayon d’une centaine de km autour de leur localité d’origine. A compter de ce moment, les gens se sont mis à voyager, les relations économiques et commerciales se sont développées et le monde a commencé à bouger. La Ford T a donné un coup de pouce à l’économie américaine. En 1930, lorsqu’il a accordé une interview au Figaro, Henry Ford produisait 7.500 voitures par jour. La même année, quand ces automobiles ont fait leur entrée en Europe, on envisageait l’ouverture d’une entreprise, mais l’endroit n’était pas encore choisi. La construction de l’entreprise fut approuvée en 1934. C’était un projet extrêmement moderne pour l’époque, signé par l’architecte et professeur roumain Duiliu Marcu. Un terrain a été acheté à Bucarest, avenue Floreasca, et la société fut baptisée Ford România SAR. Selon les informations dont nous disposons, en 1935 commença l’assemblage du modèle V 8 1935. Une année plus tard fut assemblé le modèle 1936. Sur les plaques d’identification on pouvait lire : Ford România. »

    C’est sur la structure des moteurs V8 qu’ont été construits les moteurs des premières voitures tout terrain fabriquées en Roumanie : IMS 57 et Aro M461. Retour au présent avec Vlad Capotescu : « Actuellement, la situation est un peu triste. Les voitures anciennes sont entre « L’extase et l’agonie », si vous voulez. L’agonie a commencé après 1990, lorsque, dans le chaos législatif qui a suivi la chute du communisme, la plupart des voitures anciennes, auxquelles les films de Sergiu Nicolaescu nous avaient habitués, ont quitté le pays. Jusqu’à l’adhésion de la Roumanie à l’UE, en 2007, il n’y a pas eu de loi qui protège les véhicules historiques. Devenue membre de l’UE, la Roumanie a dû adopter des mesures de protection des automobiles de collection, qui appartiennent au patrimoine universel de l’UNESCO. L’association Retromobil est devenue membre de la Fédération internationale des véhicules anciens et les collectionneurs roumains ont pu reconstituer leurs papiers pour les véhicules historiques qu’ils possédaient, ils pouvaient importer de telles voitures et, à présent, c’est « l’extase » : les autos anciennes retournent au pays. La Roumanie compte actuellement 2.500 véhicules d’époque, enregistrés comme tels. »

    Si nous comparons notre situation à celle de la Slovénie, qui compte 2 millions d’habitants et 8.000 véhicules historiques, c’est peu. Vlad Capotescu précise : « Pour être enregistrée comme véhicule historique, la voiture doit être d’origine et en parfait état, c’est-à-dire que, du point de vue technique et visuel, elle soit comme neuve, comme si elle venait de sortir par la porte de l’entreprise productrice. C’est la condition imposée au niveau européen. Toute vieille bagnole n’est pas un véhicule historique. L’installation d’un système de signalisation – si elle n’en a pas eu un – est la seule modification admise et obligatoire à apporter à une telle voiture. Pour le reste, le véhicule doit être d’origine. »

    12 ou 13 voitures Ford V8 sont actuellement enregistrées en Roumanie, mais elles sont en très mauvais état. Vlad Capotescu nous donne pourtant aussi une bonne nouvelle : « 3 ou 4 voitures anciennes sont en cours de restauration et nous espérons les voir rouler, les prochaines années. S’y ajoutent une dizaine d’autres automobiles Ford V8 qui ont été importées et qui sont quasiment identiques à celles que l’on fabriquait en Roumanie dans les années ’30. Celles-ci sont en bon état et elles ont été enregistrées comme des véhicules historiques. Pourtant, parmi les voitures Ford fabriquées en Roumanie, aucune n’est actuellement en état de fonctionnement. Il faut être passionné pour les remettre en état. Moi, en tant qu’économiste, je peux dire que ce n’est pas rentable. »

    En effet, la restauration d’une telle voiture coûte le double du prix d’achat. Et pourtant, les voitures d’époque de Roumanie se préparent pour la fête. Vlad Capotescu : « Le 1er juin nous nous rappellerons le premier concours international automobile du Banat, vaste région du sud-ouest de la Roumanie, qui s’étend aussi au-delà des frontières du pays. Ce concours a eu lieu les 19 et 20 mai 1930. Ce fut le premier concours organisé sous les auspices de la Maison royale. Y ont participé, entre autres, le prince Ghica et le prince Nicolae. Le lendemain a eu lieu le premier concours d’élégance de Roumanie, 4 ans avant celui de Sinaia. 6 voitures ont participé au concours automobile et 6 autres au concours d’élégance. Nous souhaitons à présent réunir dans la région du Banat le plus grand nombre possible de voitures datant de l’entre-deux-guerres. 7 équipages roumains se sont inscrits jusqu’ici et nous attendons les confirmations de nos partenaires de Hongrie et de Serbie. Tout le Banat se donne rendez-vous à Timişoara. Le concours sera atypique, car il n’y aura pas de rallye proprement dit, mais plutôt des épreuves amusantes pour les chauffeurs : une course à obstacles en marche avant et en marche arrière, car ces voitures ne sont pas faciles à manœuvrer. L’année prochaine, quand nous fêterons les 90 ans depuis le premier concours, nous allons organiser, avec nos partenaires de Hongrie et de Serbie, un véritable rallye dans le triangle du Banat. »

    Une fois de plus, le concours automobile de Timişoara a lieu avant celui de Sinaia. Le Club Retromobil Roumanie organise le samedi, 29 juin, la 9e édition du Concours d’élégance de Sinaia, avec, pour invitées, toujours les voitures d’époque. (Trad. : Dominique)

  • Industria auto, un pilon al economiei româneşti

    Industria auto, un pilon al economiei româneşti


    Industria auto este unul dintre pilonii pe care se bazează dezvoltarea economiei româneşti, iar acest sector a fost motorul ieşirii României din recesiune după criza economică, a declarat prim-ministrul Viorica Dăncilă, la Forumul Industriei Auto 2019 de la Craiova. Premierul a adăugat că sectorul auto înseamnă, nu doar în România, ci în întreaga Europă, produse cu valoare adăugată mare în exporturi, factor esenţial pentru competitivitatea economiei, dar înseamnă, totodată, şi locuri de muncă stabile şi o viaţă mai bună pentru cetăţeni. Guvernul va continua să susţină cu noi proiecte dezvoltarea industriei auto din ţară, a dat asigurări premierul român. Oficialul a recunoscut că cea mai arzătoare problemă pentru industria auto este lipsa autostrăzilor şi a spus că a fost modificată legislaţia pentru a reduce termenele de realizare şi pentru a dezvolta infrastructura, inclusiv prin intermediul parteneriatului public-privat.



    Viorica Dăncilă: “Cele mai multe dificultăţi proveneau din legislaţia stufoasă cu proceduri greoaie care generau întârzieri nepermise ale unor proiecte aşteptate şi de cetăţeni, şi de mediul de afaceri. Guvernul a acţionat asupra cauzelor şi a modificat Legea achiziţiilor publice şi Legea parteneriatului public privat, astfel încât să deblocăm proiecte importante”. Premierul a anunţat că unul din subiectele discutate cu oficialii companiei americane Ford a vizat soluţiile identificate de guvern pentru accelerarea unor investiţii majore în domeniul infrastructurii. Potrivit oficialului, noile proiecte de investiţii ale companiei americane sunt un semnal de încredere în economia românească şi o premisă de dezvoltare pentru întreaga regiune.



    Viorica Dăncilă: “Faptul că în ultimii ani industria auto din România a beneficiat de o creştere constantă, iar anul trecut, ţara noastră a înregistrat o producţie record de autoturisme, dovedeşte că suntem pe drumul cel bun şi că România oferă un climat benefic pentru mediul de afaceri”. Premierul a mai declarat că Guvernul României este ferm angajat în continuarea şi dezvoltarea politicilor şi proiectelor de susţinere a industriei şi componentelor auto. Totodată, executivul urmăreşte acordarea de sprijin prin intermediul schemelor de ajutor de stat şi încurajarea achiziţionării de autoturisme noi, nepoluante.



    La Forumul Auto de la Craiova, constructorul american Ford a anunţat că va investi încă 200 de milioane de euro în fabrica din oraş cu scopul de a creşte producţia la 250.000 de maşini anual. Potrivit acestuia, Ford a transformat uzina din România într-una dintre cele mai moderne din Europa şi a devenit al doilea mare exportator din ţară. La rândul său, preşedintele Ford România, Ian Pearson, a declarat că de când a fost preluată fabrica de la Craiova, au fost investiţi aproximativ 1,3 miliarde de euro. Totodată, compania va mai angaja până la sfârşitul anului 1.700 de persoane, ajungând, în total, la 6.200 de angajaţi.


  • A la une de la presse roumaine en ce 05.03.2019

    A la une de la presse roumaine en ce 05.03.2019

    La candidature de l’ex cheffe de la Direction nationale anticorruption à la tête du Parquet européen continue à préoccuper Adevarul en ce mardi. Quoiqu’il en soit, Laura Codruta Kovesi sortira victorieuse de cette course, titre la publication à sa une. Un message lancé par Emmanuel Macron dans toutes les 28 langues de l’UE, y compris en roumain, fait débat à la une de Gandul, tandis que Ziarul financiar informe que la Roumanie a surclassé la Hongrie et la Pologne pour ce qui est de sa production automobile.

  • Investissements étrangers en Roumanie

    Investissements étrangers en Roumanie

    Aux termes du contrat conclu, IAR devient partenaire exclusif dAirbus pour la fabrication en Roumanie de lhélicoptère bimoteur multirôle H215M. IAR est également contractant principal pour toute future commande de la part du ministère de la Défense censée rajeunir la flotte aérienne.



    Créé sur la base de lexpérience de Puma, lhélicoptère bimoteur multirôle H215M bénéficie dune avionique moderne. Il est équipé dun cockpit tout écran et dun pilote automatique à 4 axes. Par ailleurs, cet hélicoptère, qui est la variante militaire du H215, se fait remarquer par sa robustesse, ses coûts dexploitation et dentretien compétitifs et la possibilité dêtre armé pour des attaques au sol et des missions de soutien. Il est également doté de réservoirs à combustible auto – étanches. Pour le pilote et le copilote, il existe des sièges résistants à limpact, en cas de crash ou datterrissage forcé. Le H215M peut transporter jusquà 24 militaires avec leur équipement de combat, 6 blessés sur des civières ou 10 blessés accompagnés du personnel médical.



    Une coopération historique voit le jour entre Airbus et IAR, a déclaré le directeur général de IAR, Neculai Banea, lors de la signature du contrat définitif de collaboration exclusive. A son tour, Olivier Michalon, Senior vice-président dAirbus Helicopters, responsable des opérations du groupe en Europe, a évoqué le partenariat de longue date entre les deux compagnies. Et lui dajouter que, pendant près de 50 ans, Airbus a appuyé la Roumanie non seulement par les activités dassemblage et de maintenance des hélicoptères, mais aussi par des investissements continus et des programmes uniques de formation pour les métiers de lindustrie aéronautique destinés aux jeunes.



    Une autre bonne nouvelle vient de Craiova, du sud de la Roumanie. Pour la production de son nouveau véhicule, le constructeur automobile américain Ford envisage dembaucher 1.700 personnes, en renfort du personnel existant. Les nouveaux collaborateurs bénéficieront de cours de perfectionnement dans le pays et à létranger. Il y a un an, Ford a proposé 1.700 nouveaux emplois dans ses usines de Craiova pour la production de lEcoSport.


    (Trad. Mariana Tudose)

  • Investiţii străine în România

    Investiţii străine în România

    Companiile europeană Airbus, lider mondial în aeronautică şi servicii în domeniul
    spaţial, și românească IAR Ghimbav, unul din liderii naţionali în
    domeniul aeronautic, au semnat un contract definitiv de colaborare exclusivă pe
    15 ani
    . În baza documentului, IAR devine partenerul exclusiv al Airbus pentru
    fabricarea în România a elicopterului multirol bimotor IAR-H215M.


    IAR este şi
    contractor principal pentru orice comandă viitoare din partea Ministerului
    Apărării, având ca scop înlocuirea flotei îmbătrânite. Aparat versatil,
    dezvoltat pe baza experienţei Puma, H215M beneficiază de avionică de ultimă
    generaţie, pilot automat în 4 axe şi cockpit de sticlă integral, este potrivit
    pentru misiuni utilitare în medii extreme, precum şi pe câmpul de luptă. De
    asemenea, H215M, varianta militară a lui H215, se remarcă prin robusteţe,
    costuri competitive de operare şi mentenanţă, precum şi prin abilitatea de a fi
    dotat, în funcţie de preferinţe, cu sisteme pentru atac la sol şi pentru
    misiuni de sprijin aerian. Este dotat cu rezervoare de combustibil cu
    auto-etanșare, prezintă rezistență la lovire şi protecţie blindată. O atenţie
    sporită este acordată pilotului şi copilotului, care beneficiază de scaune
    rezistente la impact, în caz de prăbuşire sau aterizare forţată. Nu în ultimul
    rând, H215M poate transporta până la 24 de militari echipaţi de luptă, 6 răniţi
    pe targă sau 10 răniţi, alături de personal medical
    .


    Între Airbus şi IAR se
    naşte o cooperare istorică
    – a declarat cu nedisimulată satisfacţie directorul general
    al IAR, Neculai Banea, cu ocazia semnării contractului definitiv de colaborare
    exclusivă. La rândul său, Olivier Michalon, Senior Vice President pentru Europa
    al Airbus Helicopters, a ţinut să amintească că parteneriatul companiei
    europene cu românii de la IAR nu este de ieri, de azi. Timp de aproape 50 de
    ani
    – a punctat el – Airbus a sprijinit România nu doar prin activități de
    asamblare și mentenanță a elicopterelor, ci și investind continuu și
    contribuind la modelarea industriei aeronautice prin programe educaționale
    unice pentru tânăra generație. Este momentul, acum, ca cele două companii, să privească spre
    viitor prin acest nou parteneriat pentru construcţia elicopterului H215M.


    Veşti bune vin, însă, nu
    doar de la Ghimbav, ci şi de la Craiova, din partea companiei americane
    Ford producătoare de maşini! În perioada următoare, aceasta va recruta 1.700 de persoane care să
    lucreze la următorul model pe care îl va produce uzina
    . Nu se ştiu, deocamdată,
    detalii despre noul autoturism sau despre data de la care va începe producţia
    lui. Se ştie, în schimb, că noii angajaţi, recrutaţi pe o rază de 35 de
    kilometri, vor beneficia de cursuri de perfecţionare în ţară şi în străinătate.
    Ultima dată, Ford a angajat 1.700 de persoane înainte de a demara producţia la Ford
    EcoSport
    .