Tag: gala

  • Les meilleures initiatives civiques de 2017

    Les meilleures initiatives civiques de 2017

    Devenues célèbres aussi bien en Roumanie qu’à l’étranger, les nombreuses manifestations estampillées #REZIST de 2017 ne sont que le symbole d’un renouveau de l’esprit civique, devenu de plus en plus présent au fil des années. Mais l’esprit civique ne s’épuise pas dans des manifs dénonçant la corruption ; il prend encore des formes alternatives d’activisme, telles les pétitions qui, à l’aide de beaucoup de persévérance, essayent d’ouvrir la porte du dialogue avec les décideurs publics. Derrière certains activistes, on trouvera des associations et des ONG. Le Centre de ressources pour la participation civique (CERE) distingue les activistes civiques les plus remarquables à l’occasion d’un événement annuel appelé le Gala de la participation civique, initié voilà neuf ans.

    Cette année, le Centre a essayé de distinguer en égale mesure les deux catégories d’activisme : celui incarné par les manifs de rue, et celui des petits groupes d’action locale, telles les initiatives sociales qui essayent d’améliorer les conditions de logement dans certains quartiers, ou de promouvoir l’éducation, l’égalité des chances, ou encore la protection de l’environnement.

    Quant au concept autour duquel s’est articulé le Gala de 2018, nous avons abordé le sujet avec Oana Preda, directrice exécutive de CERE : « Le Gala de cette année aborde le concept de solidarité. On a pensé que c’est bien autour de la solidarité que l’on pourrait faire se rencontrer les deux formes d’activisme. Ces dernières années on a observé un renouveau de l’esprit civique ou citoyen et on remarqué un activisme renforcé et croissant. Toutefois, on ne peut s’empêcher de regretter que ce changement d’attitude n’ait pas encore produit ses effets plus en profondeur, au niveau des autorités. On ressent un air de pessimisme, bien que les gens semblent décidés de résister. »

    De ceux qui résistent et qui ont même réussi à faire entendre leur voix et à faire bouger les lignes, on compte les mamans de l’association SAMAS. Par leur campagne « CNA devant le dilemme de l’allaitement », elles ont convaincu le Conseil national de l’audiovisuel de faire introduire une publicité qui fait la promotion de l’allaitement pendant les 6 premiers mois de vie de l’enfant. C’est un message extrêmement important parce que, selon UNICEF, seuls 12% des bébés roumains sont allaités dès leur naissance, et que le taux d’allaitement pendant les six premiers mois de vie n’est que de 16%.

    Eli Roman, militante de l’association SAMAS, présente à l’occasion du Gala de la participation publique : « Les chaînes de télévision hésitent toujours à diffuser notre message aussi souvent que d’autres publicités d’intérêt public. Nous avons voulu faire entendre ce message d’encouragement aux mères. Ce n’est pas facile d’allaiter, mais pas impossible non plus. On ne veut accuser personne. Si une maman choisit de ne pas allaiter, alors bon, c’est son choix. Mais, mesdames, messieurs, mamans et papas, sachez qu’il n’y a rien de plus valorisant que d’offrir le meilleur à son enfant en début de vie. »

    Un liquide aussi vital que le lait maternel semble être l’eau des sources de montagne. Ovidiu Mihuţ, pêcheur passionné a fait des émules parmi ses pairs pour lancer la campagne « Contre la désertification des monts Făgăraş et le rapt des forêts publiques ». Par cette campagne, Ovidiu Mihuţ tire la sonnette d’alarme quant au désastre environnemental provoqué par la construction de microcentrales hydroélectriques. De surcroît, utilisant à bon escient la législation de l’UE en la matière, Mihut réussit à attirer dans son combat la Commission européenne qui a lancé une procédure de sanction à l’encontre de la Roumanie, pour non respect des obligations assumées au sujet de la protection des habitats naturels lors de l’octroi des permis de construire pour ces ouvrages hydroélectriques.

    Ovidiu Mihuţ précise : « Nous ne sommes pas à proprement parler une organisation, mais bien de simples citoyens. Mais nous sommes les premiers à avoir dénoncé le fait qu’ériger de tels chantiers au beau milieu des réserves naturelles ne représente rien d’autre qu’un schéma d’enrichissement rapide de certains, aux dépens de l’intérêt général. D’un point de vue économique, l’efficience énergétique de ces centrales peut être comparée à celle d’une pile de montre utilisée pour démarrer une locomotive. Nous avons réussi à faire sortir la grande corruption cachée derrière de telles initiatives privées. »

    Combien indispensable est la persévérance pour faire connaître ses doléances a encore été démontré par Oana Vasiliu, via sa campagne « La révolution des habitants du quartier de Canta ». Dans les habitations sociales de ce quartier de Iasi, les conditions de vie sont, à proprement parler, inhumaines.

    Et Oana Vasiliu est bien payée pour le savoir, pour y avoir vécu : « J’ai réussi à quitter Canta. J’avais habité là pendant 7 ans, avec mes 3 enfants. Ce n’est pas juste dur, c’est infernal. Il y a beaucoup de gens malades, des handicapés, des enfants autistes ou qui souffrent d’épilepsie et qui continuent d’y vivre, dans des pièces qui font neuf mètres quarrés. C’est la galère. Les autorités locales rejettent toute demande de déménagement. Je les avais submergé de requêtes pendant 7 ans, et ce n’est qu’ainsi que j’ai réussi à m’en aller. Mais les démarches de la plupart de ceux qui vivent là-bas sont rejetées d’office, parce qu’ils ne savent pas se défendre. Avec le soutien des journalistes, j’ai réussi à les aider, maintenant au moins ils connaissent leurs droits. Là on assiste à des suicides, et il est insensé, inhumain que les autorités soient au courant de tout cela et qu’elles ne lèvent le plus petit doigt. »

    Mais si à Iasi la campagne menée par cette ancienne habitante de Canta n’a réussi qu’à en informer les gens, dans la ville de Constanta les autorités publiques locales ont été bien obligées d’ouvrir un premier centre d’accueil d’urgence des victimes de la violence domestique. C’est l’exploit réussi par l’association « Necuvinte », « les Sans paroles » qui, par sa campagne intitulée « La caravane qui fait bouger les choses » a réussi à informer et à sensibiliser l’opinion publique sur la violence domestique et ses conséquences.

    Simona Voicescu, une des chevilles ouvrières de cette campagne, nous parle de l’action de l’association: « Ils ont finalement ouvert ce centre, ils ont mis à disposition une ligne verte, mais tout a été le fruit d’un terrible effort. Nous avons été accueillis de manière agressive à Constanţa et puis, après l’ouverture, lorsque l’on a demandé des infos, ils ont exigé une requête écrite et nous ont assuré de recevoir une réponse dans les trente jours. »

    Malgré tout, c’est grâce à la pression conjointe des organisations civiques, de l’opinion publique et des médias que la décision d’ouvrir le centre n’a pris que 25 jours. Et c’est bien la raison pour laquelle CERE a mis à l’honneur cette campagne, avec les autres campagnes mentionnées, lors de son Gala de la participation publique. (Trad. Ionut Jugureanu)

  • Die 26. Gala der UNITER-Preise fand in Alba Iulia statt

    Die 26. Gala der UNITER-Preise fand in Alba Iulia statt

    Im Jubiläumsjahr 2018 hat der rumänische Theaterverband UNITER beschlossen, die 26. Gala zur Verleihung der Preise für die besten Schauspieler und Regisseure des Jahres 2017 in der siebenbürgischen Stadt Alba Iulia (in der Mitte Rumäniens) zu veranstalten. Die Burg Alba Carolina in Alba Iulia ist der symbolische Ort der Großen Vereinigung der historischen rumänischen Provinzen vor einem Jahrhundert.



    Die beste Theateraufführung des Jahres 2017 war Rambuku, des norwegischen Autors Jon Fosse, eine Bühnenadaption von Anca Măniuţiu, in der Regie von Mihai Măniuţiu, inszeniert beim Nationaltheater ‘Mihai Eminescu’ in Timişoara/Temeswar (im Westen Rumäniens). Bester Regisseur wurde der Russe Yuri Kordonski, für seine Inszenierung Die Unglaubliche und traurige Geschichte von der unschuldigen Erendira und ihrer herzlosen Großmutter, nach Gabriel Garcia Marquez, beim Deutschen Staatstheater Temeswar. Yuri Kordonski ist ein alter, guter Freund der rumänischen Bühne. Seine Inszenierung mit dem Stück Onkel Wanja von Anton Tschechow beim Bukarester Theater Bulandra ist seit fast zwei Jahrzehnten ein Meilenstein der rumänischen Theaterkunst.



    Das Bukarester Nationaltheater wurde auch bei der UNITER-Gala geehrt, dank der Preise für die beste Darstellerin und den besten Darsteller, mit denen zwei Monstres sacrés der rumänischen Bühne, das bewährte Schauspieler-Ehepaar Mariana Mihuţ und Victor Rebengiuc, ausgezeichnet wurden. Mariana Mihuţ und Victor Rebengiuc wurden beste Darsteller des Jahres 2017 mit ihren Rollen König Bérenger I. und Königin Marguerite in der Aufführung mit dem Stück Der König stirbt von Eugene Ionesco, in der Regie des jungen Regisseurenehepaares Andrei und Andreea Grosu.



    Der Preis für den besten Nebendarsteller ging an Zsolt Bogdan, für die Rolle Roy M. Cohn in der Theaterserie Engel in Amerika von Tony Kushner, Regie Victor Ioan Frunză, und beste Nebendarstellerin wurde Ada Lupu, mit der Rolle der Tochter in dem Stück ‚Hiobs Schlachthaus von Fausto Paravidino, inszeniert von Radu Afrim beim Theater ‘Vasile Alecsandri’ in Iaşi (im Nordosten Rumäniens).



    Gewinner der Kategorie Bestes Bühnenbild wurden Helmut Sturmer und Ioana Popescu mit der Aufführung Die Unglaubliche und traurige Geschichte von der unschuldigen Erendira und ihrer herzlosen Großmutter, von Gabriel Garcia Marquez, beim Deutschen Staatstheater Temeswar. Bestes Fernsehtheaterstück 2017 wurde die Aufführung Ein Winternachtstraum von Tudor Muşatescu, und bestes Hörspiel wurde Ovid, der Exilierte am Pontus Euxinus, eine Adaption von Emil Boroghină nach Tristia und Epistulae ex Ponto von Ovid, Hörspiel und Regie Gavriil Pinte, eine Produktion des Rumänischen Rundfunks. Der Preis für das beste rumänische Stück des Jahres 2017 ging an Daniel Oltean für das Stück 50 Sekunden. Wohlbemerkt, Gabriel Oltean ist von Beruf Staatsanwalt Anti-Mafia.



    Der Schauspieler Horaţiu Mălăele, bemerkenswert in der Rolle Onkel Wanja, wurde mit dem UNITER-Exzellenzpreis ausgezeichnet, und die Theaterkritikerin Marina Constantinescu erhielt den Preis des UNITER-Präsidenten. Marina Constantinescu würdigte die Verdienste der antikommunistischen Dissidentin Doina Cornea, die neulich im Alter von 88 Jahren aus dem Leben geschieden war.

  • 07.05.2018

    07.05.2018

    Santé – Les employés des hôpitaux publics roumains, notamment les infirmiers, le personnel administratif et celui travaillant dans les laboratoires, ont observé ce lundi matin une grève d’avertissement de deux heures. Seules les urgences ont été traitées pendant ce temps. Les protestataires sont surtout mécontents du plafonnement à 30% des suppléments salariaux suite auquel leurs revenus ont diminué de 1000 lei (soit 215 euros environ). Ils dénoncent également les discriminations salariales du système de santé, affirmant que les revenus des médecins et des infirmiers ont augmenté, alors que ceux des aides-soignantes, brancardiers, pharmaciens, radiologues et des sages-femmes n’ont pas changé. La fédération syndicale SANITAS du secteur sanitaire affirme quant à elle avoir réuni plus de 50.000 signatures qui lui permettent de déclencher la grève générale le 11 mai. Ces derniers jours, les syndicats ont eu des négociations avec les ministres du Travail, de la Santé et des Finances, sans pour autant trouver un accord. Par ailleurs, la situation du système sanitaire roumain fait l’objet d’une motion simple qui sera débattue aujourd’hui à la Chambre des Députés de Bucarest, motion déposée par le Parti National Libéral (d’opposition) contre la ministre sociale-démocrate de la Santé, Sorina Pintea. Le vote est prévu mercredi.

    UE – Le mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’UE ne sera pas facile, car marqué par deux moments-clé : l’officialisation du Brexit et le calcul du budget de l’UE pour l’exercice financier 2020-2024. Cette déclaration a été faite lundi à Bucarest par le président de l’Association roumaine des Banques, Sergiu Oprescu, à la 2e édition du Forum du marché financier. M Oprescu estime également que la présidence tournante de l’UE est avant tout un exercice de responsabilité, un défi et en même temps une opportunité pour Bucarest de prouver l’équilibre de son discours et la clarté de sa vision. Précisons que la Roumanie assumera la présidence tournante de l’UE au premier semestre de 2019. Rappelons aussi que le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, s’est entretenu la semaine dernière, à Ruse, en Bulgarie, avec ses homologues bulgare et autrichien sur les manières à assurer la continuité des mandats de leurs pays respectifs à la tête du Conseil de l’UE et sur les opportunités de coopération régionale.

    Militaires – Les 8 militaires roumains blessés en Afghanistan le mois dernier, par l’explosion d’une voiture piégée, sont en bonne santé, a fait savoir le ministre de la Défense, Mihai Fifor. Ils se trouvent sur une base de Kandahar et reprendront leur activité au plus vite, a-t-il encore précisé. Rappelons-le, les 8 soldats roumains ont été blessés au cours d’une mission dans leur zone de responsabilité. En 2018, l’Armée Roumaine contribue à la mission de l’OTAN en Afghanistan, Resolute Support, avec 625 militaires. 300 autres Roumains sont déployés dans des opérations sous commandement ou sous mandat de l’OTAN, de l’UE, de l’ONU et de l’OSCE. Notons aussi que jusqu’ici 29 soldats roumains ont perdu la vie et 185 autres ont été blessés lors de missions à l’étranger.

    Délit – Un Serbe internationalement recherché pour génocide a été capturé par la police roumaine à au point de passage frontalier de Galati – Port (dans le sud-est de la Roumanie). Il a été dépisté après s’être présenté à un contrôle de routine pour rejoindre l’équipage d’un navire serbe. La police a pu ainsi constater que l’homme en question faisait l’objet d’une alerte de l’Interpol, étant recherché pour l’infraction de génocide commise entre septembre et décembre 1991.

    Film – Le Festival du film européen se déroule du 7 mai au 3 juin à Bucarest et dans 7 autres villes roumaines. Aux dires de la présidente de l’Institut Culturel Roumain, Liliana Ţuroiu, par sa dimension francophone, cette 22e édition du festival, déroulée sous l’égide de l’Année Européenne du Patrimoine Culturel, annonce la saison croisée France – Roumanie. En même temps, par son caractère itinérant, le Festival du Film Européen est une bonne occasion de rappeler aux spectateurs, que, grâce aux succès internationaux des cinéastes roumains, le film reste le domaine phare de la culture roumaine actuelle, a encore précisé Liliana Ţuroiu .

    Théâtre – La forteresse d’Alba Carolina de la ville d’Alba Iulia, cité construite au début du 18e siècle dans le sud – ouest de la Transylvanie, accueille lundi la principale fête du théâtre roumain : le Gala des Prix de l’Union Théâtrale de Romanie (UNITER), une manifestation qui en est à sa 26e édition et qui se déroule cette année sous le slogan « Le Gala de l’UNITER unit le théâtre !» Quelque 300 artistes et personnalités culturelles y sont attendus. L’UNITER accordera 11 prix aux meilleurs spectacles et aux meilleurs professionnels du théâtre roumain de l’année dernière.

    Volley-ball – L’équipe roumaine CSM Volley-ball Alba Blaj a été vaincue, dimanche, à Bucarest, par l’équipe turque VakifBank Istanbul, sur le score de 3-0, en finale de la Ligue des champions de volley-ball féminin. Malgré sa défaite, CSM Volley-ball Alba Blaj s’enorgueillit d’être la première équipe roumaine à s’être qualifiée dans la finale de cette compétition.

    Tennis – A l’épreuve de double du tournoi de Madrid, le duo Simona Halep – Irina Begu doit rencontrer Nicole Melichar des Etats Unis et Kveta Peschke de République tchèque. En même temps, la Roumaine Mihaela Buzărnescu jouera aux côtés de la Française Alizé Cornet contre le duo formé d’Andreja Klepac (Slovénie) et María Jose Martinez Sanchez (Espagne). Enfin, Sorana Cîrstea aura pour la première fois pour partenaire l’Espagnole Sara Sorribes Tormo. Leurs adversaires seront Julia Goerges (Allemagne) et Karolina Pliskova (République tchèque). Dans la compétition de simple dames, Simona Halep, Sorana Cîrstea et Irina Begu se sont qualifiées ce week-end au 2e tour du tournoi espagnol.

    Météo – Il fait chaud en ce lundi en Roumanie, mais le temps et plutôt instable dans la plupart des régions et l’on signale des phénomènes orageux notamment sur l’ouest, le nord et en montagne. Les températures maximales iront de 20 à 28 degrés. 23 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • Die Musikpreise Radio Rumänien 2017

    Die Musikpreise Radio Rumänien 2017

    Am Montag abend fand im Konzertsaal des Rumänischen Rundfunks die Verleihung der Musikpreise Radio Rumänien für das Jahr 2017 statt. Auf dem roten Teppich begrü‎ßten Paparazzi, TV-Teams und zahlreiche Fans die nominierten Stars. Bei der 16. Auflage der Musikpreise Radio Rumänien wurden 17 Trophäen verliehen, nach Genres und Kategorien, für die besten musikalischen Leistungen des Jahres 2017 in den Bereichen Pop, Folk, Pop-Dance und Pop-Rock.




    Bei der Gala der Musikpreise Radio Rumänien erhielt die beliebte Sängerin Dida Drăgan den Exzellenz-Preis für die gesamte Karriere. Der Preis für das beste Debüt ging an die 19-jährige Ioana Ignat. Die Sängerin Andra feierte einen Doppelsieg — sie gewann die Preise für das beste Pop-Stück und für die beste weibliche Stimme. Sichtlich berührt bedankte sich Andra bei allen Beteiligten:



    “Ich freue mich sehr, Sie alle wiederzusehen. Wir begegnen uns jedes Jahr bei der Verleihung der Musikpreise Radio Rumänien, und wir danken Ihnen vom ganzen Herzen.”



    Zum Abschlu‎ß des Galaabends verwöhnte Andra das Publikum mit einem Minirezital.



    Die Gruppe Direcţia 5 gewann die Trophäe für das beste Pop-Rock Album, und der Frontman der Gruppe, Cristi Enache, wurde mit dem Preis für die beste männliche Stimme ausgezeichnet. Mit “Bolnavi amândoi” “Wir sind beide liebeskrank” holte Irina Rimes die Tropähe für das beste Stück des Jahres 2017, und die Gruppe Carla’s Dreams erhielt den Preis “Big Like”. Der Sänger Smiley war auch ein gro‎ßer Gewinner des Galaabends — er wurde mit den Preisen für das Album des Jahres und für den Künstler des Jahres ausgezeichnet. Smiley:



    “Vielen Dank, Radio Rumänien! Ich danke Ihnen dafür, dass Sie meine Musik ausstrahlen, und ich wünsche Ihnen immer mehr rumänische Musik!”



    Der Musikpreis Radio Rumänien für die beste Pop-Gruppe ging an The Motans, und für die beste Rock-Gruppe an Vunk. Bester Komponist des Jahres 2017 wurde Şerban Cazan. Die Trophäen, elegante Kristallkreationen des bekannten rumänischen Künstlers Ioan Tămâian, wurden von Sondergästen, Sängern, Komponisten, Persönlichkeiten der rumänischen Musik eingereicht. Bei der Preisverleihung sagte der Intendant des Rumänischen Rundfunks, Georgică Severin, Radio Rumänien werde weiterhin die rumänischen Künstler und die Musik von höchster Qualität unterstützen:



    “Bei diesem Galaabend herrscht eine zauberhafte Atmospäre, ich habe Lieder und Künstler wiedergehört, die ich seit meiner Jugend kenne und liebe, und auch neue Musikstücke, die mein Enkelkind gerne hört. Das ist die Universalität der Musik, das ist die Fähigkeit des Rundfunks, über viele Jahre fortzubestehen.”



    Moderatoren der Preisverleihung am Montag abend waren Daniela Mihai und Cătălin Cârnu (Radio România Actualități), zusammen mit Ioana Voicu (TVR). Die Show wurde von Radio România Actualităţi und von Radio România Internaţional live übertragen und sie wird auch vom öffentlich-rechtlichen Fernsehen TVR, dem Koproduzenten des Events, ausgestrahlt.

  • Jurnal românesc – 28.12.2017

    Jurnal românesc – 28.12.2017

    Au fost desemnaţi cei 39 de finalişti ai
    Ligii Studenţilor Români din Străinătate pentru anul universitar 2016-2017. Ca
    în fiecare an, concursul din cadrul Galei Studenţilor Români din Străinătate
    aduce în prim planul societăţii româneşti o serie de tineri români cu rezultate
    academice şi extra-curiculare de excepţie. În competiţie, la cele şase
    categorii de anul acesta, s-au înscris peste 80 de studenţi români din toate
    colţurile lumii. Concurenţii provin de la universităţi de prestigiu
    internaţional, precum Harvard, Cambridge, Berkeley, Carol Davila din Bucureşti sau
    Universitatea din Stuttgart. Preselecţia celor peste 80 de studenţi, masteranzi
    şi doctoranzi înscrişi în Concurs a fost realizată într-o primă etapă de
    laureaţii ediţiilor precedente, care au decis finaliştii fiecărei categorii.
    Cei mai buni studenţi români înscrişi în competiţie vor fi anunţaţi în cadrul
    Galei Studenţilor Români din Străinătate. Evenimentul va reuni, pe data de 4 ianuarie, la
    Palatul Parlamentului din Bucureşti, peste 800 de participanţi – studenţi şi tineri profesionişti,
    personalităţi din mediul academic şi sectorul public, din mediul de afaceri şi
    cel neguvernamental. Totodată, vor urca pe scenă tineri artişti români de
    renume internaţional, alături de care invitaţii şi membrii vor sărbători 9 ani
    de activitate a Ligii Studenţilor Români din Străinătate. Aceasta este o organizaţie neguvernamentală, apolitică
    şi echidistantă, care promovează iniţiativa, profesionalismul şi solidaritatea
    membrilor săi, ca reprezentanţi de valoare ai României, dar şi o atitudine
    pozitivă faţă de perspectivele reorientării lor spre ţară.






    Creşterea dobânzilor este unul din cele mai mari riscuri
    pentru români şi anul viitor, avertizează economiştii, care susţin că indicele
    ROBOR la 3 luni, în funcţie de care sunt calculate dobânzile la majoritatea
    creditelor în lei, va continua să urce şi în 2018. Aproape toţi economiştii
    participanţi la un sondaj spun că sunt de remarcat anticipaţiile de majorare a
    ratelor de dobândă la leu atât pentru scadenţele pe termen scurt (trei luni)
    cât şi pentru cele pe termen mediu (cinci ani). Specialiştii estimează că rata
    medie a ROBOR cu scadenţă de trei luni va ajunge, peste un an, la 3,25%. În
    plus, specialiştii susţin că un risc pentru 2018 este dat de creşterea
    dobânzilor, trend observat deja în ultimele luni ale acestui an. În opinia lor,
    dobânzile mai mari ar putea reprezenta o frână pentru împrumuturi, cu efect în
    consum şi investiţii şi, implicit, în creşterea economică. În decurs de un an,
    indicele ROBOR, folosit la calcularea ratelor pentru împrumuturile în lei, s-a
    triplat, ajungând de la 0,73% în noiembrie 2016, la 2,10% în prezent.





    Românii care sunt în căutarea unui loc de muncă
    îl pot găsi atât în ţară, cât şi în străinătate. Sunt vacante peste 16.500 de
    slujbe în România şi peste 1000 în state europene, mai ales în
    agricultură. Agenţia Naţională pentru
    Ocuparea Forţei de Muncă a precizat că meseriile cele mai căutate de angajatori
    sunt următoarele: agent de securitate, lucrător comercial, muncitor în
    asambalarea şi montarea pieselor, în industria confecţiilor, vânzător,
    manipulator de mărfuri, montator, şoferi, ingineri, lucrători în agricultură,
    asistenţi medicali. Firmele de peste hotare vor să angajeze prin
    intermediul reţelei Eures România, iar oferta este destul de diversificată.
    Cele mai multe locuri vacante sunt în Portugalia – 330 – la cules de zmeură. Şi în Spania sunt libere 150, tot în agricultură, la cules de
    fructe, iar în Malta sunt vacante 150 de posturi de şofer de autobuz

  • „Gala“ von Jérôme Bel in Bukarest aufgeführt

    „Gala“ von Jérôme Bel in Bukarest aufgeführt

    In der Aufführung Gala“ von Jérôme Bel erkunden die Künstler den Tanz in den unterschiedlichsten Formen und Variationen sowie seine Bedeutung für jeden von uns. Die Aufführung wurde neulich auf die Bühne des Bukarester Odeon-Theaters gebracht, organisiert wurde die Veranstaltung vom Nationalen Tanzzentrum zusammen mit dem Französischen Kulturinstitut als Teil des internationalen Programms FranceDanse Orient-Express 2017.



    An der Bukarester Version der französischen Aufführung haben 20 rumänische Tänzer mitgemacht, was dabei besonders auffiel, war — genau wie im Fall der französischen Aufführung — eine überraschende Besetzung, die keinem Klischee entspricht. Die Tänzer Chiara Gallerani und Cédric Andrieux, die die Aufführung auf die Bühne des Bukarester Theaters Odeon brachten, sagten, das Auswahlverfahren erfolge bei allen Gala“-Aufführungen jedes Mal gleich:



    In jeder Stadt, wo unsere Aufführung stattfindet, treten wir in Kontakt mit den Organisatoren, denen wir vorab eine Liste aller Figuren zukommen lassen, die in der Aufführung vorkommen. Die Liste ist jedes Mal vielfältig, es handelt sich um Profitänzer, Schauspieler, Amateure im Bereich der Darstellungskunst, Amateurtänzer, Kinder, Menschen mit Behinderung, so dass wir auf der Bühne eine kleine Gemeinde auftreten lassen, die die Welt in ihrer Vielfalt widerspiegelt. Es ist zu einer Tradition geworden, dass in Theater- und Tanzaufführungen kräftige Menschen auftreten, aber das sollte nicht so sein, denn die Kunst müsste alle Kategorien von Menschen feiern und vertreten. Es sind meistens die verwundbaren Menschen, denen zum kreativen Selbstausdruck verholfen werden müssen. Somit versteht auch das Publikum, dass die Vulnerabilität auch Kraft bedeutet. Die Freiheit bedeutet Kraft. Die Aufführung hinterfragt zudem die Idee der Fähigkeiten der Menschen. Was bedeutet eigentlich, qualifiziert zu sein, verschiedene Fähigkeiten zu haben, was sind eigentlich die Fähigkeiten der Menschen, wei‎ß man mehr, weil man mehr getan hat? Diese sind nur einige der Fragen, die diese Aufführung stellt“, sagt Cédric Andrieux.




    Weil sich daran meistens Amateurdarsteller beteiligen, kann man mit längeren Proben rechnen, Chiara Gallerani und Cédric Andrieux haben aber nur für wenige Tage mit den 20 Amateurtänzern und Darstellern proben müssen. Cédric Andrieux kommt erneut zu Wort mit Einzelheiten:



    Wir versuchen, nicht zu lange zu proben, denn ansonsten verliert die Aufführung an Spontaneität. Diese Aufführung hat eine einfache Struktur, und das Wichtigste, was wir zum Ausdruck bringen möchten, ist, dass die Menschen ihre Emanzipation und die Freiheit finden sollen, sich um ihr Image nicht zu kümmern, sich zu erlauben, ihre Schwäche und ihre Vulnerabilität zu zeigen und zusammen mit ihren Mitmenschen eine Gemeinde zu bilden.“



    Die Aufführung Gala“ des französischen Choreographen Jérôme Bel wurde bereits in zehn Ländern gezeigt. Überall hat Gala“ eine Fülle an Tanzformen und Stilrichtungen aufgrund der Vorschläge der Tänzer präsentiert. So wurde es möglich, dass sogar vier Aufführungen unter dem Namen Gala“ gleichzeitig, aber in unterschiedlichen Räumen präsentiert werden können. Cédric Andrieux:



    Gala ist eine Aufführung, bei der die Interaktion mit dem Publikum leicht gemacht wird. Jedes Mal lockt sie ein zahlreiches Publikum ins Theater. Wenn es unseren Tänzern gelingt, diese gewaltige Emanzipationskraft in sich selbst zu entdecken und ihr Ausdruck zu verleihen, dann kriegen das auch unsere Zuschauer zu spüren. Nicht zuletzt funktioniert die Aufführung wie ein Spiegel. Wir kennen sehr gut die Gemeinde, der wir diese Aufführung präsentieren, und sind uns deren Merkmale bewusst. Wir stellen vorab unseren Mitarbeitern Fragen wie: Gibt es Einwanderer in Eurer Stadt, gibt es eine gemischte Bevölkerung? Leben hier Menschen mit unterschiedlichen kulturellen Hintergründen? Denn das ist, was unsere Aufführung widerspiegeln soll, den Alltag der jeweiligen Gemeinde.“




    Versuch es noch einmal. Scheitere noch einmal. Scheitere diesmal besser“ — unter diesem Motto wird Gala“ von Jérôme Bel weltweit auf die Bühne gebracht.

  • HOP: Gala der jungen Schauspieler erreicht 20. Auflage

    HOP: Gala der jungen Schauspieler erreicht 20. Auflage

    Seit 20 Jahren findet schon die Gala junger Schauspieler — die Gala HOP — an der rumänischen Schwarzmeerküste statt. Veranstalter des Ereignisses ist UNITER — der Theaterverein in Rumänien. Die Veranstaltung ist seit Jahren schon kein reiner Wettbewerb mehr, sondern viel mehr ein Ort, wo über Schauspielkunst geredet wird. Es ist eine gute Möglichkeit für junge Künstler, ihresgleichen kennenzulernen. 21 junge Schauhauspieler wählte die Jury dieses Jahr im Rahmen der Vorauswahlverfahrens aus. Diese sollten am Wettbewerb teilnehmen, der vom 4. bis zum 7. September im Ferienort Costineşti ausgetragen wurde. Künstlerischer Leiter der Gala war der Professor und Schauspieler Miklós Bács. Die jungen Schauspieler wurden eingeladen, an 4 Werkstätten im Zeitraum vom 31. August bis zum 7. September in Bukarest und Costineşti teilzunehmen. Die Werkstätte wurden von renommierten Theatermenschen geleitet, unter anderem von Veniamin Filshtinsky, Professor für Schauspielkunst am Institut für Theaterkunst in Sankt Petersburg, vom Regisseur Alexandru Dabija, hochgeschätzt für die Zusammenarbeit mit den Schauspielern, vom deutschen Regisseur und Schriftsteller Stephan Perdekamp, Urheber von PEM (The Perdekamp Emotional Method), und von Andrei Flaviu Fălcuşan, Fachmann für Kinesiotherapie und Bewegungswissenschaft.




    Berufsausbildung sei von höchster Bedeutung, meinen viele junge Schauspieler, darunter auch ehemalige Gewinner der Gala. Die Schauspielerin Mirela Oprişor, gekürt als beste Hauptdarstellerin beim Filmfestival in Sarajevo für die Rolle im Film Dienstag nach Weihnachten“ in der Regie von Radu Munteanu, wurde als beste Darstellerin bei der Gala junger Schauspieler HOP im Jahr 2002 ausgezeichnet. 15 Jahre später habe das Interesse für junge Schauspieler zugelegt, so Mirela Oprişor. Ihnen sei derzeit viel mehr als früher geholfen:



    Dieses Jahr beteiligte sich ein Professor aus Russland an der Gala. Er unterrichtete die Schauspieler. Und es war nicht irgendein Professor. Eine andere Werkstatt wurde von Dabija geleitet. Zu meiner Zeit gab es so etwas nicht. Ich bemerke eine positive Entwicklung. Hätte ich vor 15 Jahren Herrn Dabija begegnet… was für ein Traum! Es ist hochzuschätzen, dass er sich so aktiv einbringt. Er wirkt immer ganz locker und ermuntert die Leute um ihn herum. Auch wir hätten so einen Einsatz zu schätzen gewusst. Es war Anfang 2000. Damals suchte ein jeder von uns noch seinen Weg…“




    Die Schauspielerin Cosmina Olariu absolvierte dieses Jahr die Theater- und Filmakademie I.L.Caragiale“ in Bukarest. Sie ist die Gewinnerin des Preises Ştefan Iordache“ — des wichtigsten Preises, der bei der Gala verliehen wird.



    Derartige Begegnungen sind sehr wichtig. Ich möchte Herrn Miklós Bács danken — die Teilnahme an der Gala war eine besondere Erfahrung für mich. Es war anstrengend, aber schön. Das Treffen mit Perdekamp werde ich nie in meinem Leben vergessen. Es war eine intime Begegnung mit unseren Gefühlen und Gedanken. Seine Theorie geht davon aus, dass jedes Organ eine bestimmte Emotion auslöst. Wird man sich dessen bewusst ist, so können bestimmte Gefühle ausgelöst werden. Wir erlebten unglaubliche Reaktionen. Ich hatte beinahe einen Panikanfall. Die Gefühle, die Aufregung, die ausgelöste Energie sind einfach fabelhaft. Die Begegnung mit Herrn Dabija war ebenfalls etwas Besonderes. Nur selten hat einer die Gelegenheit, einen bewährten, renommierten Regisseur kennenzulernen und unmittelbar zu erleben.“




    Die HOP-Gala — ein vom Rumänischen Theaterverein UNITER veranstaltetes Ereignis — öffnete sich in den letzten Jahren immer mehr der Filmwelt gegenüber. An der Gala beteiligten sich unter anderem zahlreiche Casting-Leiter und Filmregisseure. Ada Solomon, Filmemacherin und Produzentin international anerkannter Filme wie Die Stellung des Kindes“, Aferim!“, Vernarbte Herzen“ oder Toni Erdmann“ war Jurymitglied. Die Gala spiele eine wichtige Rolle für die Laufbahn junger Schauspieler, so Ada Solomon:



    Es ist kein einfaches Unterfangen, die Aufregung ist gro‎ß — denn die Gala bedeutet viel für die jungen Teilnehmer. Es ist eine sichtbare Veranstaltung, die den jungen Schauspielern entgegenkommt. Es ist ein Trampolin, eine Gelegenheit, weiter zu kommen. Mein Ratschlag für sie wäre: ehrlich zu sein und Vertrauen zu haben. Aber vor allem ehrlich und offen zu sein. Ich rate ihnen, den Mut aufzubringen, in den Spiegel zu schauen und sich selber vorzuzeigen. Die direkte Interaktion ist wichtig in allen Kunstbereichen. Das Networking, die Möglichkeit, sich über ein Theaterstück gleich nach der Aufführung zu unterhalten, einen anderen Standpunkt kennenzulernen — das alles ist besonders wichtig.“




    Dieses Jahr wurde die Gala zum 20. Mal organisiert — ein zusätzlicher Grund, zu feiern. Demnach beteiligten sich an der Gala zahlreiche renommierte Schauspieler, Vertreter aller Generationen. Manche von ihnen sind ehemalige Gewinner des Wettbewerbs. Mariana Mihuţ ist eine davon. Die Gala junger Schauspieler habe eine besondere Bedeutung für alle Schauspieler, nicht nur für die jungen, so die renommierte rumänische Schauspielerin:



    Die Gala hat eine gro‎ße Bedeutung für die jungen Schauspieler. Sie ist allerdings nicht weniger relevant für erfahrene Schauspieler, für Schauspieler wie ich, für meine Generation. Es freut uns festzustellen, dass neue Generationen nach uns kommen. Und dass einschlie‎ßlich die rumänische Theatertradition fortgesetzt wird. Ich war höchst gerührt, zu schauen, wie begabt, wie gut vorbereitet die jungen Schauspieler sind. Sicher trifft das nicht für alle zu, doch diejenigen, die an der Gala mitwirkten, waren hervorragend. Sie sind so erwachsen, wirken viel erwachsener als wir in ihrem Alter waren. Sie wissen viel besser, was sie erreichen wollen. Ihre Errungenschaften sind bemerkenswert. Die Interaktion mit prominenten Persönlichkeiten ist diesbezüglich mit Sicherheit hilfreich.“




    Ion Caramitru, der Vorsitzende des Rumänischen Theatervereins UNITER, unterbreitete den Vorschalg, einen Schauspieler-Klub nach dem Vorbild des Actors Studio in New York zu gründen. Dazu Ion Caramitru:



    Ich dachte, es wäre nicht schlecht, einen Klub HOP zu stiften. Einen Klub der Leute, die im Laufe der Zeit an der Gala teilnahmen oder im Rahmen der Gala ausgezeichnet wurden. Denn das ist eine Elite. Wir tauschten uns schon über die mögliche Satzung des Klubs aus, über das Programm, die regelmä‎ßigen Treffen. Unser Verein arbeitet mit Projekten, also sind jedwede Vorschläge willkommen. Ich glaube, es bestehen günstige Voraussetzungen, um so einen Klub zu gründen.“

  • Les prix du magazine Observatoire Culturel

    Les prix du magazine Observatoire Culturel

    Paru en 2000, « Observator Cultural » (Observatoire culturel) est le magazine culturel le plus important de Roumanie. En 2007, ses créateurs ont lancé les prix « Observator Cultural » qui récompensent les meilleurs écrivains autochtones du moment. L’année dernière, le dissident et activiste pour les droits de l’homme Gabriel Andreescu écrivait : «L’apparition de l’Observateur culturel, en 2000, a marqué une nouvelle étape dans l’évolution des empreintes idéologiques de la communauté intellectuelle. Entre temps, l’Observatoire culturel a confirmé le statut qu’il avait assumé dès le début, celui de pôle formateur en matière d’idéologie culturelle. Les prix institués depuis déjà 2007 ont défini, voire tranché, je dirais, ses options».

    Cette année, 10 écrivains ont été primés dans le cadre d’un gala tenu au théâtre Odeon de Bucarest. Ils étaient 34 candidats au total pour 6 catégories : Mémoires, Essais/Publications, Critique, Histoire et théorie littéraire, Poésie, Prose et Premier Texte.

    Carmen Muşat, rédactrice en chef du magazine Observator Cultural, explique l’importance de ce gala : « Par ces prix, nous tentons de dresser un tableau de la culture roumaine vivante, de la littérature roumaine actuelle. A chaque édition, des noms nouveaux viennent s’ajouter à la liste des nominations et des prix. Cela nous aide à définir aussi le profil culturel de l’Observatoire culturel. Il s’agit donc d’une double démarche. Nous dressons d’une part le profil culturel de notre magazine, et d’autre part – l’identité de la culture roumaine à l’heure où l’on parle. »

    Le gala de l’Observatoire culturel a eu un moment à part : 16 lycéens sont montés sur la scène du Théâtre Odeon de Bucarest pour remettre le « Prix Observator Lyceum » au prosateur Vlad Zografi, pour son volume « Les effets secondaires de la vie » paru aux Editions Humanitas.

    Carmen Muşat : « Nous rencontrons ces jeunes, nous écoutons leurs options, leurs arguments. Ils m’ont vraiment impressionnée, et je ne suis pas la seule. Cette année, tout comme l’année dernière, les participants au Gala ont été touchés par le discours des lycéens, par leurs motivations et leurs arguments si frais et si bien articulés. Je pense qu’il faut encourager et promouvoir ces jeunes, leur donner la chance de rencontrer des écrivains roumains et découvrir leur littérature. Cette année, la poétesse Ana Blandiana a été surprise par la réaction d’un enfant qu’elle a rencontré lors d’une invitation à une école générale. L’institutrice avait annoncé à ses élèves qu’ils allaient faire la connaissance d’Ana Blandiana. Toutefois, cet enfant l’a contredite en disant que cela ne pouvait pas être vrai. Après un moment de stupeur, tous ont voulu savoir pourquoi il avait dit cela. L’enfant a répondu qu’à sa connaissance, tous les poètes sont morts, par conséquent, la dame devant lui ne pouvait pas être Ana Blandiana. Cette réaction en dit long sur la manière dont la littérature est enseignée à l’école. Tous les écrivains présents dans les manuels sont des écrivains de musée. Par conséquent, les enfants ont l’impression que la place de la littérature est aussi au musée. Pour eux, la littérature n’est pas quelque chose de vivant avec lequel on peut interagir. C’est justement ce que nous tentons de faire par le biais du magazine Observatoire culturel et par ces prix. Nous tentons de démontrer que la littérature est vivante. Nous allons démarrer bientôt un projet de lectures publiques proposant des rencontres entre lycéens et écrivains roumains et différents types d’artistes. Nous souhaitons leur lancer un défi, créer des interactions culturelles. »

    En outre, le Gala des Prix de l’Observatoire culturel se propose aussi de récompenser les traductions. Il s’agit non seulement des traductions de livres étrangers en roumain, mais aussi de traductions d’œuvres roumaines dans une langue étrangère. Cette année, l’Observatoire culturel a récompensé la Roumaine Veronica D. Niculescu et la Polonaise Joanna Kornaś-Warwas.

    Veronica D. Niculescu parle de son travail de traductrice: «Je me suis rendu compte qu’en 2007 je commençais à traduire mon premier livre de Nabokov sans avoir un contrat, sans aucune pression, ni obligation, par pur plaisir. Le livre est paru en 2008 par pure chance. Il aurait pu tout aussi bien ne pas être publié, j’aurais pu ne pas avoir de contrat et avoir tout simplement un livre traduit par plaisir. Heureusement, une année plus tard, les éditions Polirom ont obtenu les droits de publier la série Vladimir Nabokov et le volume que j’avais traduit a pu paraître. Je me souviens parfaitement des pages qui m’avaient déterminée à faire cette traduction, des mots qui sont devenus une véritable devise pour moi, une devise très utile quand je suis fatiguée. Je me souviens de mon état d’esprit à l’époque et je crois que ce serait idéal d’avoir cet état d’esprit à chaque fois que je commence à traduire, car c’est l’état idéal. Il s’agit des pages 107 et 108 de l’édition roumaine de « L’œil », où un personnage parle de la « beauté qui ne peut pas être possédée ». La lumière du crépuscule sur les toits, le parfum d’une fleur que l’on peut sentir à l’infini, mais sans le posséder. A mon avis c’est justement ce que nous faisons lorsque nous écrivons ou nous lisons ou nous faisons de nombreuses autres activités : nous tentons en quelque sorte de posséder ce qui ne peut pas être possédé. »

    Voilà autant de sentiments partagés entre auteurs et public à l’occasion du Gala des Prix de l’Observatoire culturel. (Trad.Valentina Beleavski)

  • L’art du comédien aujourd’hui

    L’art du comédien aujourd’hui

    « Trop fou pour ce monde » (Ne-bun pentru această lume) – voilà le thème de la 19e édition du Gala du jeune comédien HOP, déroulée début septembre à Costinesti, sur la côte roumaine de la Mer Noire. Un événement destiné, dès sa première édition, à parler de l’art du comédien, selon l’acteur et professeur Miklos Bacs.

    Comment les jeunes issus des écoles de théâtre maîtrisent-ils cet art? Réponse avec Dorina Chiriac, membre du jury du gala HOP: « Dans mes spectacles, je constate qu’ils ne sont pas préparés à monter sur scène. Et je ne pense pas à leurs aptitudes pour faire ce métier, car ces aptitudes existent, elles sont même plus variées que chez ma génération, celle de ’94 – ’95. Ce qui leur manque c’est l’attitude face au métier. Et je suis persuadée que l’éducation en est la principale cause. Je crois que c’est un syndrome, parce que ce n’est pas une absence de la confiance, mais plutôt une méconnaissance du métier que je détecte chez des personnes très douées. Il y a quelque chose d’inadéquat dans la manière dont l’art de l’acteur leur a été enseigné. Tout d’abord, parce que les étudiants sont beaucoup plus nombreux que les professeurs. Or, il n’y a pas suffisamment de temps pour s’occuper de tous. En plus, le nombre des années d’étude a diminué. On est passé au système de Bologne qui, à mon avis, ne convient pas à la Roumanie en ce moment, parce que nous n’avons pas suffisamment de personnel enseignant. Nous avons besoin de professeurs spécialement formés à ce système.»

    Pour les lauréats du Gala Hop 2016, maîtriser l’art de l’acteur signifie ne jamais être content de son travail, vouloir être meilleur, mettre à profit son imagination. Parmi eux, Alexandru Voicu, diplômé 2015 de l’Université nationale d’art théâtral et cinématographique. C’est lui qui a remporté le Grand Prix du Gala du jeune comédien HOP et le Prix « 1 sur 10 pour le Film à Tiff (Transilvania International Film Festival)».

    Alexandru Voicu nous dit comment il voit son métier : « Le mécanisme que j’utilise, quel que soit mon rôle, c’est d’essayer toujours de partir à zéro, comme si je ne l’ai jamais fait auparavant. Tenter de nouvelles choses ou trouver de nouvelles facettes pour ce que j’ai déjà fait. Pour moi, il s’agit de jouer – dans les deux sens du mot (amusement et art) – et de travailler dans la joie. »

    Alina Rotaru a fini ses études à l’Université nationale d’art théâtral et cinématographique en 2012. Cette année, le Gala HOP l’a récompensée du Prix de la Meilleure comédienne: «Je viens de découvrir cette dernière année l’idée de jeu. Avec tout ce que ce mot signifie. Et je me suis dit que si je jouais dans le sens de m’amuser avec mon rôle, je pourrais avoir de meilleures chances de réussite, c’est à dire d’être authentique jusqu’au bout. Pour moi, l’art de l’acteur signifie être crédible, authentique, comprise. Voilà ! Plus que le talent et le charme, l’approche est la chose la plus importante au moment où l’on construit un rôle. »


    Dire la vérité sur scène. Ce fut le principal critère de sélection pour la comédienne Dorina Chiriac, membre du jury du Gala Hop 2016: «Je reviens toujours à Grotowski qui dit : «quel que soit le genre, quelle que soit l’époque, sur scène, l’acteur doit dire la vérité ». C’est le seul critère : l’acteur qui monte sur scène doit dire la vérité, quelle que soit la formule, le genre théâtral choisit. Pour les autres critères, on peut prendre en compte l’envergure du rôle, sa puissance, les aptitudes innées ou acquises. Mais tout cela sert à atteindre le même but : transmettre la vérité. Certes, les uns sont plus spectaculaires, les autres plus profonds… Cette année nous, le jury, nous avons remarqué plusieurs artistes qui ont des préoccupations intellectuelles très claires, dont l’univers et plus profond, des artistes qui peuvent approcher des textes importants, avec plusieurs nuances, qui sont capables de transmettre des choses, tout en gardant le mystère… Ce sont ces acteurs qui ont gagné cette année. »

    Enfin, ce même contexte a été l’occasion de réfléchir sur les manières d’améliorer le système d’enseignement de l’art de l’acteur en Roumanie. Le comédien et professeur Miklos Bacs, directeur artistique du Gala HOP 2016, affirme qu’il existe plusieurs solutions pour ce faire: «Je crois que c’est le moment de démarrer des discussions sérieuses entre les écoles : comment voit-on l’enseignement supérieur artistique en Roumanie ? Comment s’explique un nombre si grand de places dans une université d’art ? Sans doute, c’est une bonne chose. Je crois qu’il est possible de trouver des solutions de compromis. C’est bien d’avoir un grand nombre d’étudiants, mais ce n’est pas normal que cela entraîne automatiquement un grand nombre de diplômes et de rôles dans un théâtre. Je pense qu’il faudrait avoir une étape de spécialisation. On pourrait trouver de nombreuses directions, du psychodrame à la psychopédagogie, jusqu’à l’enseignement dans les lycées. On pourrait assurer un emploi à ces jeunes. Certes, tout le monde souhaite monter sur scène, c’est leur rêve. Mais moi, je crois en l’homme de théâtre, qui aime le théâtre et qui se rend compte qu’il peut travailler dans ce domaine sans être nécessairement acteur. Les universités doivent avoir une stratégie en ce sens, pour garantir un avenir à ces jeunes. Sinon, on restera avec un nombre exagéré d’étudiants avec des attentes exagérées et irréelles. Parce qu’il est impossible, pour une société, d’intégrer 200 – 300 jeunes diplômés de l’art de l’acteur en une année.» (Trad. Valentina Beleavski)

  • Le Gala des Prix de l’Union Théâtrale de Roumanie

    Le Gala des Prix de l’Union Théâtrale de Roumanie

    La 24e édition de ce gala, le plus prestigieux du théâtre roumain, s’est tenue début mai à Oradea, dans le nord – ouest de la Roumanie.

    Ce gala est organisé annuellement depuis 1991. Les prix sont accordés suite à des nominations faites par un jury. Puis, le soir du Gala, un autre jury décide par vote secret du gagnant de chacune des 11 catégories de prix. C’est Radu Afrim qui a été désigné meilleur metteur en scène de l’année 2015, considéré d’ailleurs comme un des meilleurs metteurs en scène roumains pour son esthétique tout à fait spéciale. Il avait déjà été distingué de ce prix en 2007. Cette année, il a été récompensé pour le spectacle « La tranquillité » par Attila Bartis de Hongrie, mis en scène par la compagnie Tompa Miklos du Théâtre National de Târgu Mures.

    Radu Afrim : « C’est un très bon spectacle. Il a déjà été récompensé d’une multitude de prix et a participé à de nombreux festivals. C’est un point maximum de visibilité pour la section magyare du théâtre de Târgu Mures. Cela me rend très heureux et eux aussi je pense. Avec ou sans prix, ces acteurs sont fabuleux ! Si cette équipe ne m’avait pas inspiré au maximum, si ces gens n’avaient pas eu un talent ou une disponibilité incroyable, s’ils n’avaient pas dépassé toutes leurs limites pour moi, je n’aurais pas reçu ce prix. J’ai eu une dramatisation et un texte que j’ai dû présenter aussi proche de la vérité et de sa forme que possible. Donc je n’ai pas eu l’occasion d’improviser autant qu’avec des auteurs classiques ou avec d’autres textes plus faibles que ce roman d’Attila Bartis.»

    Le prix du meilleur spectacle a été remis par la célèbre actrice Jacqueline Bisset au directeur du Théâtre national de Cluj-Napoca, Mihai Măniuţiu, pour le spectacle « Notre classe » de Tadeusz Słobodzianek, mis en scène par László Bocsárdi.

    Mihai Măniuţiu : «On ne peut pas faire le meilleur spectacle sans acteurs, avec seulement une mise en scène intelligente ou inventive. On ne peut pas faire le meilleur spectacle avec seulement une chorégraphie ou une scénographie innovatrice. Sans les meilleurs acteurs en chair et en os sur scène, on ne réussira pas à faire le meilleur spectacle de l’année. Pour moi donc, en tant que directeur de théâtre, l’important, c’est ce que l’on m’a confirmé, ce que je sentais et j’espérais que les autres allaient voir : que les acteurs du Théâtre national de Cluj ont atteint un très haut niveau de performance individuelle et en tant que troupe. »

    Dans le cadre du Gala des prix de l’Union théâtrale de Roumanie, le Sénat de l’Union accorde un prix d’excellence pour l’ensemble de l’activité d’un artiste et des prix spéciaux. Cette année c’est le chorégraphe Gigi Caciuleanu qui a été récompensé du Prix d’excellence.

    Alice Georgescu, critique de théâtre et membre du Sénat de l’Union, explique : «Les prix spéciaux sont censés mettre en évidence les événements spéciaux qui ont eu lieu au cours d’une année. Cela peut varier d’une édition à l’autre, parce qu’il est assez rare que l’excellence se manifeste deux années de suite dans le même domaine. Il ne faut pas confondre le prix d’excellence avec celui qui récompense l’ensemble de l’activité artistique. Il est destiné à une personne qui a été active beaucoup plus que d’habitude au cours d’une année. Dans le cas de Gigi Caciuleanu, nous avons pris en compte l’excellence de sa présence dans le paysage théâtral. Il est un « oiseau rare », un chorégraphe qui s’occupe du théâtre, mais qui le fait d’une manière très théâtrale, non seulement chorégraphique. A chaque fois, ses spectacles ont un fort impact aussi sur le théâtre où il travaille. Il a ce talent de mobiliser les gens, à les inciter à dépasser leurs limites, à découvrir de nouvelles choses sur eux-mêmes. »

    Pour Gigi Căciuleanu, établi depuis plusieurs années en France, ce Prix d’excellence venu de Roumanie, son pays d’origine, a été un cadeau inattendu: « Je me réjouis beaucoup, parce que cela signifie que d’une certaine façon, j’ai passé des examens et je les ai réussis. Je suis très heureux d’intégrer de manière officielle, très belle et très festive, l’espace théâtral roumain. C’est un territoire dont j’ai toujours été fier, d’où je proviens, mais que j’ai quitté dans certaines conditions. Et d’un coup je m’y retrouve à nouveau et j’en suis très content. Je me sens valable. Je trouve que c’est très valorisant pour le moment. Je ne sais pas si c’est valable pour l’éternité. C’est un moment d’excellence, ce n’est pas un prix d’excellence. La vraie confirmation vient du public. Et moi j’ai eu la chance d’avoir le public en tant qu’allié dans de nombreuses circonstances. »

    Parmi les artistes que le Sénat de l’Union théâtrale de Roumanie a récompensés pour l’ensemble de leur activité figure désormais Luminiţa Gheorghiu, connue pour son rôle principal dans le film «La Position de l’enfant» de Călin Peter Netzer. Le film a remporté l’Ours d’or à Berlin en 2013, alors que Luminiţa Gheorghiu a reçu le prix Gopo de la meilleure actrice roumaine et a été nommée au Prix de la meilleure actrice européenne par l’Académie européenne du Film.

    Luminiţa Gheorghiu raconte comment elle a reçu la nouvelle du prix de l’UNITER : « Avec beaucoup de joie et un peu de surprise parce que, lorsqu’on vous décerne un prix pour l’ensemble de l’activité on a la sensation que votre carrière touche à sa fin. Mais non. Ma carrière dans le théâtre ne fait que commencer. Mon esprit est toujours jeune. Je crois que cette profession ne peut être pratiquée que si on a une âme jeune. C’est l’équivalent de l’espoir qu’il viendra un moment où on fera un meilleur rôle, puis un autre encore meilleur, puis un autre.»

    Enfin, le dramaturge Roumain Matei Visniec établi en France a été récompensé du Prix spécial du dramaturge roumain contemporain le plus joué. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Companiile din România încep sa prindă gustul sustenabilităţii

    Companiile din România încep sa prindă gustul sustenabilităţii

    Green Business Index este, incepand cu 2010, cea mai consacrata competitie, intre companiile din Romania, in domeniul performantelor in managementul si protectia mediului inconjurator, organizata de Asociatia Green Revolution, in parteneriat cu Norges Vel (Asociatia Regala Norvegiana pentru Dezvoltare) si cu finantare din partea Fondurilor Norvegiene.



    Utilizand o platforma online de evaluare a performantelor de mediu cu aproximativ 200 indicatori de performanta, cele peste 400 de companii au putut sa isi evalueze eficienta in managementul si protejarea mediului inconjurator, sa isi masoare amprenta de carbon si sa beneficieze de suport tehnic si recomandari ale expertilor de mediu in vederea imbunatatirii performantelor si a cresterii competitivitatii, totul raportat la standarde internationale.



    Numarul mare de companii inscrise nu poate decat sa ne bucure pentru ca demonstreaza preocuparea companiilor pentru dezvoltarea sustenabila si protectia mediului si ca acestia au inteles ca preocuparile pentru protectia mediului sunt singura cale pentru a construi afaceri profitabile. Green Business Index este un succes si un avantaj competitiv pentru toate companiile participante, pentru ca, prin acesta, ele isi pot evalua, in mod obiectiv, performantele de mediu si iti pot identifica din timp provocarile şi riscurile la care se expun in acest domeniu , a declarat Raluca Fiser, presedinte Green Revolution.



    Presiunea tot mai mare a mass-media, a investitorilor, a publicului larg si a ONG-urilor pentru o mai mare transparenta in sustenabilitate din partea mediului de afaceri si a serviciilor publice face din Green Business Index un instrument de asistenta si formare pentru evaluarea performantei de mediu a companiilor si ca un cadru pentru transparenta a companiilor fata de mediul exterior.


    Rezultatele ultimei editii a Green Business Index, regasite in raportul editiei si prezentate public in cadrul Galei GBI pe 18 Mai 2016, arata o crestere a interesului companiilor pentru protejarea mediului inconjurator si marcheaza faptul ca firmele inteleg din ce in ce mai mult ca afacerile lor nu doar ca trebuie sa respecte legislatia, ci ele pot avea avantaje competitive de pe urma dezvoltarii de programe voluntare cu impact pozitiv asupra mediului inconjurator.



    Astfel, printre rezultatele-cheie ale Green Business Index 2016, s-au remarcat urmatoarele:


    – aproximativ 60% dintre companiile din industrie folosesc instrumente de design ecologic


    – 47.5% si-au redus consumurile de apa, iar proportia companiilor care nu monitorizeaza aceste consumuri a scazut de la 18% la 2.38%.


    – s-a dublat proportia companiilor care isi asigura nevoile energetice preponderent din surse regenerabile fata de anul trecut .


    – 59.46% dintre companii au implementat masuri de eficienta energetica, iar 64% dintre acestea au si generat reduceri imediate ale consumurilor de energie si implicit a emisiilor de gaze cu efect de sera


    – 22% dintre companii si-au redus cantitatea de emisii atmosferice fata de anul anterior


    – 40.6% si-au redus volumul de ape uzate evacuate in mediul inconjurator, iar 60% au inregistrat scaderi ale cantitatilor nete de poluanti evacuati in mediu impreuna cu apele uzate


    – 41.17% au înregistrat scaderi ale cantitatilor de deseuri generate, in efortul de a imbunatati utilizarea resurselor in aceste companii.


    – a crescut cu peste 60% numarul companiilor care au un parc de vehicole mai nou de 2 ani, dar a si scazut (de circa 3 ori) numarul companiilor cu un parc de vehicole mai vechi de 10 ani.



    Asociatia Green Revolution a premiat ieri, 18 mai, cele mai responsabile companii fata de mediu in cadrul Galei anuale Green Business Index (GBI). Evenimentul s-a desfasurat la Hotel Marriott si s-a bucurat de participarea reprezentantilor celor mai importante companii din Romania, a Ministrului Mediului Apelor si Padurilor, ca si a reprezentantilor Camerelor de Comert Bilaterale (AmCham, AHK, Econet).


    Aflat la a sasea editie, Green Business Index reprezinta recunoasterea publica a eforturilor de responsabilizare fata de mediu a companiilor din Romania si reflecta gradul de deschidere a mediului de afaceri autohton fata de economia verde.



    J.W. Marriott Bucharest Grand Hotel a fost desemnata cea mai responsabila companie fata de mediu in cadrul Galei Green Business Index, pentru ca a demonstrat, in cursul anului de raportare, ca si-a mobilizat resursele si si-a administrat afacerile, astfel incat sa asigure prosperitatea si profitabilitatea pe termen lung, luand in calcul aspectele de mediu in activitatile sale curente.



    gala-gbi-2016-02.png



    Clasamentul general GBI 2016 este :


    Locul 1: J.W. Marriott Bucharest Grand Hotel


    Locul 2: DHL Express Romania


    Locul 3: Dacris Impex SRL


    Locul 4: Graphtec Design SRL


    Locul 5: HOCHLAND Romania SRL


    Top Regiunile de Dezvoltare Sud şi Sud-Est


    Locul 1: Dacris Impex SRL


    Locul 2: Graphtec Design SRL


    Locul 3: Grup Servicii Petroliere SA


    De asemenea, pentru prima data, a fost acordat si un premiu special pentru Circularitate, iar castigatoare a fost DHL Express Romania.



    In urma evaluarii activitatii companiilor pe domeniile de evaluare a performantelor de mediu, cu relevanta majora pentru protectia mediului, alte companii castigatoare au fost: Danone PDPA SRL, Gebruder Weiss SRL, WABAG Water Services SRL, ELECTROARGES SA, TAKATA Romania SRL Fabrica de Scule şi Matriţe, NIMET SRL, RMR Argeş SRL, PANDORA Prod SRL, TAKATA Romania SRL Fabrica de Centuri, ELMAS SRL, Schaeffler Romania SRL, TAKATA Romania SRL.


    Companiile evaluate la editia 2016 a proiectului Green Business Index au furnizat informatii referitoare la perioada de raportare a anului 2015.



    Raportul final Green Business Index 2015 poate fi descarcat de pe site-ul: https://www.gbindex.ro/wp-content/uploads/2016/05/Catalog_Green_Business_Index_2016.pdf



    Green Business Index 2015 este un proiect initiat de Asociatia Green Reevolution, dezvoltat in parteneriat cu The Royal Norwegian Society for Development NORGES VEL si finantat de guvernul Norvegiei prin INNOVATION Norway, utilizand Mecanismul Financiar Norvegian 2009-2014, in cadrul domeniului de finantare “Inovare in Industria Verde Romania”.




    Despre Asociatia Green Revolution:


    Asociatia Green Revolution, fondata in martie 2009, este prima organizatie nonguvernamentala de ecologie urbana din Romania ce pune in practica masurile ce stau la baza construirii unui oras verde. GreenRevolution dezvolta proiecte variate, care promoveaza si sprijina: educatia ecologica si respectul fata de mediul inconjurator, colectarea selectiva a deseurilor de ambalaje, mijloacele si solutiile de transport ecologice si economice, adoptarea unui comportament responsabil fata de mediu in randul autoritatilor si companiilor private si de stat.

  • Kultursender Radio România Cultural zeichnet künstlerische Leistungen aus

    Kultursender Radio România Cultural zeichnet künstlerische Leistungen aus

    Der Kultursender des Rumänischen Rundfunks, Radio România Cultural, hat auf der Bühne des Bukarester Odeon-Theaters die Persönlichkeiten und Projekte, die sich letztes Jahr besonders hervorgetan haben, ausgezeichnet. Unter den Gewinnern der diesjährigen Gala befanden sich Radu Afrim für die künstlerische Leitung der Gala des jungen Darstellers (HOP), der Regisseur Radu Jude für seinen Spielfilm Aferim!“ und Mircea Cărtărescu für seinen Roman Solenoid“. Robert Şerban wurde zudem für seinen Gedichtband Puţin sub linie“ (Knapp unterm Strich“) ausgezeichnet. Es wurden auch drei Sonderpreise vergeben. Einen solchen Preis bekam auch der Künstler Dan Perjovschi, der sich über die Auszeichnung besonders freute:



    Es ist sehr angenehm, einen Preis für bildende Kunst von einem Radiosender zu bekommen. Als ich mir die Kandidaten-Liste anschaute, dachte ich, dass sich in diesem Land wirklich etwas verändert hat. Ich betreue etwa drei‎ßig Kultur-Projekte im Jahr, bis vor ein paar Jahren wickelte ich alle im Ausland ab. Seit ein paar Jahren hat sich die Lage verändert, die Hälfte der Projekte findet jetzt in Rumänien statt. Meine Arbeit brachte mich von Newcastle nach Hong Kong, von Frankfurt nach Sathmar, von Jassy nach Craiova. Überall in Rumänien sehe ich erfreuliche Entwicklungen in der Kultur. Es ist vielleicht einer der wenigen Bereiche, in denen wir erfolgreich sind. Der Regisseur Radu Afrim sprach zuvor von der Zukunft dieser Kultur, von der Jugend, die ausgebildet ist, aber über keine angemessenen Bedingungen verfügt und keine Unterstützung erhält. Wir müssten unsere kulturelle Zukunft pflegen.“




    Die beiden anderen Sonderpreise gingen an den Historiker Neagu Djuvara und an die Pianistin Raluca Ştirbăţ. Die letztere bekam den Preis In Memoriam Iosif Sava“, der den Namen eines bekannten, 1998 verstorbenen rumänischen Musikwissenschaftlers und Künstlerförderers trägt. Raluca Ştirbăţ:



    Ich merke, dass in solchen Momenten die Gefühle viel schwieriger unter Kontrolle zu halten sind als bei einem Konzert. Es schmeichelt mir. Der Preis IN MEMORIAM Iosif Sava hat für mich eine besondere Bedeutung, weil ich die gro‎ße Chance hatte, die gro‎ße kulturelle Persönlichkeit, die Iosif Sava war, ein paar Mal zu treffen. Er spielte sogar eine entscheidende Rolle in meiner musikalischen Entwicklung, er wirkte in meiner Bildung ab meinem 9. Lebensjahr mit. Meine Eltern konnten sich damals nicht entscheiden, mich diesen Weg gehen zu lassen, er hat sie überredet, mich unter allen Umständen Musik studieren zu lassen. Er hat mich die ganze Zeit unterstützt. Vor ein paar Tagen ging ich an sein Haus in Jassy vorbei, ich bin sehr stolz, dass auch er, so wie ich, aus Jassy stammte. Vielen Dank, Radio România Cultural, für diesen Preis und für den Professionalismus, den ihr täglich zeigt.“




    Bei der Gala konzertierten Luiza Zan und die Big Band des Rundfunks unter der Leitung von Ionel Tudor.

  • Gala Premiilor AJTR

    Gala Premiilor AJTR

    Înfiinţată în 1958, Asociaţia Jurnaliştilor şi Scriitorilor de Turism recompensează, anual, cele mai bune producţii media în domeniul turismului din România şi din spaţiile locuite compact de români. La ediţia a XXI a Galei Asociatiei, desfasurată la Bucureşti, au fost acordate peste 20 de premii.



  • Green Business Index – die Gala der umweltfreundlichsten Unternehmen

    Green Business Index – die Gala der umweltfreundlichsten Unternehmen

    Green Business Index ist ein im Jahr 2010 angesto‎ßenes Projekt der Organisation Green Revolution, das die Umweltschutzleistungen der in Rumänien tätigen Unternehmen auswertet und infolgedessen eine Rangliste der grünen Unternehmen erstellt. 2015 haben sich 260 Firmen auf dem rumänischen Markt dem Projekt Green Business Index angeschlossen. Es handelt sich um die einzige kostenlose Bewertungsmethode für Umweltauswirkungen, die auf sieben Indikatoren im Bereich des Umweltschutzes beruht: nachhaltige Entwicklung, Anwendenung von Ressourcen, Abfallmanagement, grüne Gebäude und Flächen, nachhaltiger Transport, grüne Beschaffung.



    Am fünften Wettbewerb Green Business Index haben sich über 20 Unternehmen beteiligt, die für ihre umweltfreundlichen Aktionen mit Preisen ausgezeichnet wurden. Der Projektmanager von Green Business Index, Ninel Lazăr, hat die Fortschritte der Unternehmen gelobt und ihnen empfohlen, auch zukünftig umweltfreundlich zu bleiben:



    Es freut uns, festzustellen, dass ein bedeutender Anteil rumänischer Unternehmen deutliche Verbesserungen dabei verzeichneten. 74,2% der Firmen nutzen Umweltdesign-Produkte, 34% davon haben den Wasserverbrauch um bis zu 75% gegenüber dem Vorjahr reduziert. 51,7% haben ebenfalls den Wärmeverbrauch im Vergleich zum Vorjahr gesenkt. In diesem Bereich gibt es aber riesige Möglichkeiten, weil lediglich 36% davon den Bedarf an Energie regelmä‎ßig erfassen. 66% nutzen keine gefährliche Stoffe als Rohstoff, der Gegensatz würde ein erhebliches Problem für die Umwelt darstellen; 40% der Unternehmen haben ihren Abgasaussto‎ß gegenüber dem Vorjahr reduziert, 45% haben die Emission von abgeführten Verunreinigungen reduziert, die im Abfallwasser enthalten sind, und 37,5% sehen keine Lösung in der endgültigen Ablagerung als Management der verbleibenden Restabfälle, die nicht aus dem Haushalt stammen.“




    Pro Credit Bank erzielte auf der diesjährigen Gala Green Business Index das beste Ergebnis in der Kategorie Abfall-Management und grüne Beschaffung. Gabriela Ercău, Projektleiterin Grüne Energie“ bei Pro Credit Bank, sagte dazu:



    Um unsere umweltfreundliche Produktion zu gestalten und zu überwachen, konzentrieren wir uns auf drei Aspekte: Erstens handelt es sich um unser internes System. Auf zentraler Ebene erfassen wir den Papierverbrauch, den Wärme- und Treibstoffverbrauch, um ihn zu optimieren, ohne dass unsere Arbeitsbedingungen dadurch beeinträchtigt werden. Wir haben bereits Partnerschaften mit Firmen abgeschlossen, die den Abfall wiederverwerten. Als Auswahlkriterium für unsere Lieferanten gilt die Umsetzung derselben Umweltmanagementnormen, die auch wir einhalten, so zum Beispiel ISO 14001. Somit zielen wir darauf ab, Fahrzeuge mit reduzierten CO2-Emissionen bei der Verbrennung des Kraftstoffs, wiederverwertetes Papier und LED-Beleuchtungssysteme zu beschaffen. Das zweite Kriterium bezieht sich auf das Umweltrisiko-Management. Es handelt sich um den Umgang unseres Unternehmens mit Umwelt-Risiken. Wir versuchen, ein umweltschutzbezogenes Risikomanagement bei Finanzierungen, die wir Unternehmen gewährleisten, zu entwickeln. Wir lehnen Finanzierungsanträge von Firmen ab, deren Tätigkeiten ein hohes Umweltrisiko tragen. Drittens versuchen wir, die sogenannten Pro-Eco-Kredite und dadurch ein nachhaltiges Wirtschaftswachstum zu fördern. Für kleine und mittlere Unternehmen und Landwirte trägt diese Finanzierung deutlich zum Erfolg ihres Geschäftes bei. Sie bekommen die Chance, eine wirksame, moderne und umweltfreundliche Technik einzusetzen und zeitgleich ihre Produktion zu verbessern.“




    In den Kategorien Auswirkungen auf Umwelt“ und Nachhaltiger Transport“ ging das Wirtschaftsprüfungs- und Steuerberatungsunternehmen KPMG Rumänien als klarer Gewinner hervor. KPMG Rumänien wurde mit zwei weiteren Preisen für Abfallmanagement und nachhaltige Entwicklung ausgezeichnet. Die Direktorin der Umwelt- und Nachhaltigkeitsabteilung, Geta Diaconu, sagte, dass KPMG Rumänien Beratung im Bereich biete. Eine unentbehrliche Bedingung dafür sei, dass die eigenen Handlungen der Firma an sich umweltfreundlich seien:



    Wenn man jemandem Ratschläge über Geschäftsmanagement gibt und zeigt, wie man ein nachhaltiges Geschäft aufbauen kann, das umweltfreundlich bleibt, muss man zuerst selber die entsprechenden Ma‎ßnahmen umsetzen. Vor einigen Jahren haben wir uns entschlossen, umweltfreundliche Handlungen auszuführen und ein nachhaltiges Geschäft aufzubauen. Wir haben Ma‎ßnahmen umgesetzt, um beim Transport die CO2-Emissionen zu reduzieren. Infolgedessen stellten wir unseren Mitarbeitern Kleinbusse zur Verfügung, die sie jeden Tag zur Arbeit bringen, damit nicht jeder mit seinem Auto zur Arbeit fährt. Weil unser Firmensitz im Büroviertel Băneasa, am Rande der Stadt liegt, ermutigen wir unsere Mitarbeiter, mit dem Fahrrad zur Arbeit zu fahren. Es ist gesund, baut Stress ab, ich habe mich selber dieser Initiative angeschlossen.“




    DHL International wurde bei der Gala Green Business Index zum Unternehmen ausgezeichnet, das im Jahr 2015 die beste Umweltleistung erbrachte. Es ist bereits zum vierten Mal, dass DHL International als Sieger auf die Bühne der Gala Green Business Index steigt. Der weltweit bekannte Spediteur erfreut sich einer langen Erfahrung und setzt sich das strategische Ziel, bis 2020 den CO2-Aussto‎ß um 30% im Vergleich zum Jahr 2007 zu reduzieren. Gegenüber dem Vorjahr senkte das Unternehmen die CO2-Emissionen um 19,5%, erklärte der Gewinner.



    Die Präsidentin des Verbands Green Revolution, Raluca Fişer, zeigt sich besonders zufrieden mit dem Ergebnis des diesjährigen Wettbewerbs und lädt die in Rumänien tätigen Unternehmen dazu ein, sich auch im kommenden Jahr dem Projekt anzuschlie‎ßen.



    Es gibt viele Gro‎ßkonzerne, kleine und mittlere Unternehmen, die eine besondere Umweltleistung erbringen. Sie wollten diese Umweltleistung bewerten lassen und sich dessen bewusst werden, wie sie sich gegenüber anderen Unternehmen aus dieser Perspektive positionieren. Wir als Organisatoren haben dieses Jahr die Bewertungsmethode ein wenig vereinfacht, die Fragen werden aber den internationalen Standards angepasst. Ich möchte schlussfolgern, dass die rumänischen Arbeitgeber von Jahr zu Jahr immer mehr begriffen haben, welch wichtige Rolle ihre Umweltleistung spielt.“




    Der Verband Green Revolution ist die erste NGO Rumäniens, die sich mit urbaner Ökologie befasst. Ihr Ziel ist es, die Grundlagen einer grünen Stadt zu schaffen.

  • The 2015 HOP Gala

    The 2015 HOP Gala

    Actress Maia Morgenstern, actor Tudor Chirila, film director Radu Jude, set designer Iuliana Vilsan and musician Luiza Zan were the jury members of the 2015 edition of the HOP Young Actors Gala held in the Black Sea resort of Costinesti. That was the 18th edition of that prestigious event, staged by the Theatre Union of Romania — UNITER and coordinated artistically by stage director Radu Afrim.



    Set designer Iuliana Vilsan is for the first time a member of that jury: “I’m highly demanding and rigorous and I often assess things in a strict manner. I was kind of taken aback at first by my position as a jury member, but then I let myself carried away by the incredible energy and availability that only young actors have. So I tried to relax and see everything in a more empathetic manner. When evaluating individual performances, I counted a lot on the authentic feeling, on the contestants who managed to express best their feelings and convey the message they wanted. I congratulate the winner of the grand prize, Dana Marineci, for her very good number.”



    Dana Marineci, the winner of the Stefan Iordache Prize, which is the Gala’s Grand Prize, graduated from the Bucharest Theatre and Film University in 2012. In spite of the fact that it is not easy, for young actors, to get to be known by stage directors and theatre managers, she trusted her talent and participated in all possible auditions and competitions.



    As for the theme of Dadaism, which impressed the jury, she said: “It was a very difficult theme, as, in my opinion, it required a certain structure. Even if in Dadaism everything seems to be disorganized, we should always keep in mind that we are on a stage, before an audience. The audience is there to see us. So we must give them something to take with them when they leave, to transform them a little bit. I spent about two weeks reading about Dadaism and looking for Dadaist performances on YouTube. I particularly liked the performance of a German, Kurt Schwitters, entitled “Ursonate”, or “the sonata in primordial sounds”. It has 15 pages of sounds. I managed to learn it by heart but I realized that it was not enough. So I took a different approach to it, like” What’s essential? Love is essential. So I figured out it would be easy for me and for the audience to build a love story behind this moment.”



    Known not only for his shows but also for being a supporter of young talents, stage director Radu Afrim was for the third year in a row the artistic director of the Young Actors Gala HOP. Emphasis was laid on the actor and not the script, the two themes seeming somehow imbalanced — ‘the Dada” and “Holiday on the Sea Coast”



    Radu Afrim: “I found that in the first two years people were very impressed by scripts. If the script is strong, filled with emotion, or funny, the actor becomes secondary. Of course it is the actor who gives value to a script, but if some of them benefited from good scripts, they stood good chances of winning a prize. Then I said to myself: let’s now give them almost impossible scripts, dadaistic ones, to see who’s going to fight more and pour some value into their scripts. And those who managed the best performances on the given scripts were declared winners. Some actors fared very well under these conditions although this year they had to cope with some non-texts, even lyrics from various songs. Their main challenge was to make the most of these scripts and avoid turning them into parodies.”



    The “Cornel Todea” Award for the best troupe of actors was not given this year because the jury decided it was a very big gap between the Group Section and the Individual Section. Nevertheless, Iuliana Vilsan, a member of the jury, was impressed by the young generation of actors and their performances in the HOP Gala.



    Iulia Vilsan: “They have many vulnerabilities, a special sensitivity and a very promising way of conveying emotions, because it involves such an energy and a sense of ineffable, which could bring more authenticity to what is happening on our stages. I like it very much…I was very impressed by their availability.”