Tag: gastronomie

  • Visite à Constanta hors-saison

    Visite à Constanta hors-saison

    Plus de 50 hectares de nouvelles plages ont été aménagées sur la côte roumaine de la mer Noire. Selon les opérateurs roumains de tourisme, le rythme des réservations va bon train et les vacanciers roumains ont déjà réservé des séjours pour les Pâques, pour le 1er mai et même pour la période estivale. Ce qui plus est, le nombre des hôtels qui proposent des services tout compris a également augmenté, tout comme celui des hôtels-boutique. Et une destination de tous ceux qui souhaitent passer des vacances d’été en Roumanie, à la mer Noire, c’est la ville de Constanţa. C’est l’endroit idéal pour marier la détente sur la plage à la découverte d’une ville pleine d’évènements et d’histoire. Les restaurants et les terrasses proposent une multitude de menus internationaux et traditionnels roumains, à même de satisfaire les clients les plus exigeants.

    Diana Slav, guide de tourisme de la ville de Constanţa et de ses environs, affirme que certains touristes font des recherches rigoureuses avant de commencer leurs vacances, savent exactement ce qu’ils souhaitent visiter et où ils veulent arriver. Ecoutons Diana Slav : « Hormis le Casino qui demeure un emblème de la ville de Constanţa et qui heureusement est en train d’être rénové, je recommande aussi une visite du Musée de la Marine. C’est un endroit unique en Roumanie et facilement accessible. Ses histoires sont aussi disponibles en format audio en plusieurs langues étrangères. De là, en descendant vers la Place Ovidiu, il y a le Musée d’Histoire et surtout l’Edifice romain à mosaïque. Il y a aussi les bains romains, méconnus par beaucoup de monde, et leurs 650 mètres carrés de mosaïque très bien préservés. »

    Tout le centre historique de la ville de Constanţa a été restauré dans le cadre d’un projet financé par des fonds européens, démarré en 2013. Par conséquent, de nombreux hôtels et appartements sont apparus qui respectent l’aspect du quartier et l’histoire se trouvant derrière les immeubles. La multiculturalité est un autre côté qui ne fait que surprendre les touristes. Les communautés ethniques qui vivent dans cet espace sont un véritable exemple de tolérance et de coopération. Turcs, Tatars, Grecs, Arméniens et Juifs, ils ont tous contribué à la prospérité de la ville. Diana Slav : « La gastronomie locale illustre justement cette caractéristique de la ville. A Constanţa il y a de nombreux restaurants qui proposent la cuisine de ses communautés ethniques. Du point de vue culturel et religieux, le centre-ville, les rues piétonnes, où se retrouvent une grande partie des histoires de la ville de Constanţa, constituent un véritable octogone confessionnel. Pas moins de huit lieux de culte de différentes religions peuvent être découverts à pied, en une heure et demie, en fonction de la vitesse de tout un chacun ».

    Depuis la ville de Constanţa, on peut visiter de nombreux sites dans les alentours. Diana Slav, guide touristique : « Les touristes peuvent faire des randonnées à vélo ou à bord de véhicules motorisés. Il y a par exemple de très beaux scooters, avec lesquels on peut visiter sans problèmes en en toute élégance toute la région. Les touristes demandent de telles visites qui incluent aussi les côtés historique, culturel et gastronomique. Si on se déplace vers la frontière avec la Bulgarie, on peut voir aussi la cité d’Adamclisi qui est très bien conservée. Les gens se rendent uniquement pour voir le monument romain, mais moi j’aime aussi les ruines de la citadelle romaine. A proximité, on peut s’occuper aussi du côté religieux, à la Grotte de Saint André et au monastère de Dervent. Ce sont des endroits recherchés par ceux qui veulent découvrir les débuts du christianisme sur ces terres. A ne pas rater non plus les différents chais et caves de cette région. Il y en a une vingtaine à présent. J’aime beaucoup les établissements vinicoles personnels (« boutique wineries »), qui mettent l’accent sur la qualité, et pas seulement sur la quantité. Les vignerons ont appris que l’histoire des lieux contribue de manière significative à l’expérience de la dégustation du vin. Seul le verre de vin ne suffit pas. »

    Voici donc autant d’arguments pour visiter la ville de Constanţa et la région de Dobroudja aussi, en dehors de la saison estivale. A bientôt !

  • Escapade à Piatra Neamt

    Escapade à Piatra Neamt

    Madame,
    Monsieur, cette semaine, on vous invite dans le nord-est de la Roumanie pour
    visiter ensemble la ville de Piatra Neamt, chef-lieu du département de Neamt,
    aux bords de la rivière de Bistrita et aux pieds des Carpates. Pour plus de
    détails sur cette destination, écoutons notre guide, Alina Ferencs, du Centre
    d’information et de promotion touristique de la ville : « Piatra Neamt
    est une ville coquette, au calme, dont le charme est alimenté aussi bien par
    l’ambiance médiévale du centre historique que par sa situation géographique.
    N’oublions pas que c’est une localité entourée par les montagnes ce qui la rend
    particulièrement belle quelle que soit la saison où on choisit de la visiter.
    Pourtant, j’ose dire qu’en hiver, surtout s’il y a de la neige, Piatra Neamt
    est encore plus jolie que dans le reste de l’année. C’est une destination de vacances pour toute la famille, aussi bien
    pour les parents avec des jeunes enfants que pour les adolescents en quête
    d’aventure, car elle propose toute sorte d’activités. Les passionnés de
    culture, d’histoire ou des coutumes traditionnelles seront bien servis, une
    fois sur place. Pareil pour les montagnards qui pourront partir à la découverte
    des Gorges de Bicaz, du Massif de Ceahlau ou encore des lacs de la région. Le
    département de Neamt propose de nombreux passe-temps aussi bien en ville que
    dans les alentours, à 30 ou 40 kilomètres plus loin. Une visite de Piatra Neamt
    devrait commencer par le centre historique et les anciens remparts de la cité
    princière du voïvode Stefan cel Mare qui entourent l’Eglise princière, la Tour
    du clocher et les caves princières, transformées en musée. Et puis, toujours
    dans la partie centrale de la ville, les visiteurs peuvent découvrir plusieurs
    musées dont celui de la culture néolithique de Cucuteni, unique en Roumanie, ou
    encore celui d’ethnographie avec son exposition principale consacrée aux
    Saisons à la campagne. C’est une occasion de connaître les traditions et la vie
    rurale organisée jadis en fonction des saisons
    ».


    On ne saurait faire halte dans la ville de Piatra Neamt sans prévoir une
    visite au Musée d’Art de la ville. Fondé en 1980, il renferme des collections
    étroitement liées aux activités de Constantin Matasa, 1878-1971, prêtre,
    archéologue et mémorialiste. Pour une vue d’ensemble sur la ville et ses
    alentours, on vous propose la traversée en télé-gondole jusqu’en haut du Mont
    de Cozia, à 657 mètres altitude. C’est une activité à faire surtout en hiver,
    quand les touristes peuvent faire du ski sur les pentes enneigées de la
    montagne.


    Et puis, c’est toujours en décembre que la Municipalité de Piatra Neamt
    organise depuis cinq ans déjà, un Marché de Noël qui occupe pratiquement une
    partie du centre-ville. L’occasion de goûter aux produits du terroir ou
    d’acheter des petits cadeaux tels différents objets d’artisanat ou des
    décorations de Noël faites main.


    Mais c’est
    notamment pour découvrir les traditions locales merveilleusement bien
    conservées qu’une visite dans la région
    de Piatra Neamt vaut notamment le coup. Ils sont nombreux les habitants des
    parages qui font chambre d’hôte, tout en proposant aux touristes une excellente
    cuisine du terroir. Au menu : le bortsch aux cèpes, la tochitura, sorte de
    plat de trois viandes, les beignets farcis de choucroute, l’omelette aux
    lardons, la truite fumée, les alivenci, sorte de galette au fromage ou encore
    les crêpes et leur confiture de framboise, myrtilles ou roses. A Noël, la liste
    des plats se complète par la Julfa, une délicatesse sucrée, sorte de
    mille-feuille farcie d’une crème à base de graines de chanvre décortiquées et
    réduites en poudre.

  • Revitalizarea bucătăriei româneşti vechi

    Revitalizarea bucătăriei româneşti vechi

    După mulți ani
    petrecuți între cei patru pereți ai unei agenții de publicitate, într-un ritm
    de muncă mult prea trepidant, nevoia evadării devine din ce în ce mai puternică.
    Este ceea ce a simțit și Mona Petre acum opt ani când a renunțat la slujba sa
    de publicitar și a început să se apropie de ritmul lent și mai prielnic
    contemplării al naturii și gătitului tradițional.

    Rezultatul a fost
    descoperirea sau redescoperirea proprietăților alimentare din vegetația
    spontană pe care oamenii din trecut o foloseau, în mod curent, în bucătărie.
    Iar descoperirile Monei Petre au fost împărtășite, mai întâi, prin bloggul și
    proiectul online Ierburi uitate, iar mai recent prin cartea publicată de
    editura Nemira și intitulată Ierburi uitate. Noua bucătărie veche. Dar totul a început de la nevoia de
    reîntoarcere la un ritmul mai lent al copilăriei, își amintește Mona Petre:

    Eu am copilărit la țară -
    poate e mult spus la țară – , am
    copilărit în suburbiile Bucureștiului, pe malurile Dâmboviței. Am crescut în
    lunca Dâmboviței și am amintiri foarte pregnante ale vegetației care era
    abundentă atunci în zonă. Nu pot să zic neapărat că lucrurile pe care le
    transmit acum le știu din copilărie. Informațiile despre plante și ciuperci nu
    se mai transmiteau atunci așa cum, din păcate, nici acum nu se mai transmit de
    la o generație la alta decât, poate, destul de puțin și sumar. În general flora
    spontană a ajuns să nu ni se mai pară subiect de interes, poate și pentru că
    produsele pe care le cumpărăm astăzi ne sunt imediat disponibile în magazine.
    Așa că relația noastră cu natura a devenit una mai degrabă turistică accesăm
    natura în weekend-uri la munte sau la mare sau pe la țară, pe unde putem. Dar
    relația noastră cu natura din punct de vedere alimentar – vorbesc de oamenii
    din mediul urban – este destul de puțin
    explorată.


    Explorarea naturii a fost însoțită, în cazul Monei
    Petre, de adâncirea în trecut prin studiul cărților istorice de bucate și de
    aprofundarea cunoștințelor de botanică. Treptat, a început să inventeze
    propriile mâncăruri punând fantezie în rețelele vechi. Cum le-a găsit pe
    acestea, ne povestește chiar Mona Petre:

    Mi-am adunat informații despre diverse plante despre care
    eu știam foarte puțin. Apoi am început să investigheze istoria locală, istoria
    românească a unor plante care au intrat au reintrat în paletarul magazinelor și
    hipermarketurilor care au adus de-afară plante care par exotice pentru noi. A
    fost o surpriză să descopăr că o mare parte făceau parte din gastronomia
    locului înainte ca ele să dispară treptat din diverse motive. Și aici mă refer
    la sparanghel, la andive și la anghinare, de exemplu, care au dispărut inclusiv
    din edițiile ulterioare ale celebrei Sandei Marin. Știm că ea a scos prima
    ediție în epoca interbelică și apoi edițiile ulterioare, comuniste, treptat au
    început să elimine rețete în care ea folosea aceste ingrediente pentru că ele
    nu erau deja disponibile pe piață. Am
    început să-mi adun informații din cărți, mergând în biblioteci și investigând
    internetul în gastronomia altor țări. Așa am descoperit și conceptul de
    foraging care se traduce prin activitatea asta de a culege și de a folosi hrana
    spontană sau sălbatică de pe un anumit teritoriu. Apoi citind foarte mult
    despre aceste subiect și căutând exemple în gastronomiile din diverse părți ale
    lumii unde se folosesc același plante sau plante similare am început să gătesc
    din ce în ce mai mult. Este adevărat că m-a ajutat și perioada asta de pandemie
    din ultimii doi ani care m-a împins cumva spre o viață de gospodărie mai
    izolată și atunci mi-am petrecut foarte mult timp ducând mai departe pasiunea
    asta și gătind din ce în ce mai exotic.


    E
    vorba, de fapt, de un exotic local, iar Mona Petre a devenit propriul cobia al
    propriilor rețete exotice adunate în cele din urmă în cartea Ierburi uitate.
    Noua bucătărie veche. Volumul nu este doar o carte de bucate, ci și una de
    istorie a gastronomiei, dar și un ghid de gătit sustenabil fără teflon, cuptor
    cu microunde sau plastic, doar cu vase din material tradiționale cum ar fi cele
    din ceramică sau fontă. Deci, o invitație la gătit lent, sănătos și prietenos
    cu mediul.


  • Goût de France/Good France 2021

    Goût de France/Good France 2021

    Imaginée par le célèbre chef Alain Ducasse et organisée avec lappui du ministère français de lEurope et des Affaires étrangères pour promouvoir la gastronomie française et le style de vie à la française, elle est arrivée à sa 6e édition. Ligia a assisté à son lancement à lInstitut français de Bucarest.

  • Mâncăruri din Oltenia

    Mâncăruri din Oltenia

    Oltenia are o gastronomie specifică, caracterizată prin mâncăruri ceva mai condimentate. Sunt preparate la care este folosit prazul cultivat în special în Oltenia. O altă caracteristică este legată de o modalitate specifică de preparare a pâinii şi a unor mâncăruri.



    Este folosit ţestul, un vas din lut ars şi amestecat cu resturi vegetale şi prevăzut fie cu o toartă pentru a fi prins cu un lanţ atunci când se află deasupra vetrei, fie cu orificii prin care este trecută o vergea metalică care are acelaşi rol, de a ridica sau coborî ţestul pe vatra încinsă. În comparaţie cu cuptorul care are dimensiuni mari, ţestul are avantajul că se încinge mult mai repede, la ardere fiind folosite nu lemne, ci surcele şi resturi vegetale de la floarea soarelui, porumb sau chiar vegetaţie uscată. Înainte de a pune pâinea la copt, se face focul, iar jarul se adună sub ţest pentru circa jumătate de oră. Aluatul dospit, modelat ca o lipie, se pune apoi în ţestul încins, orientat spre vatra încinsă până ce pâinea se coace.



    În ţest pot fi pregătite şi mâncăruri. Astfel, într-un vas de lut nesmălţuit poate fi pus un pui, condimentat şi uns cu puţin ulei, alături de cartofi, tăiaţi în cuburi, morcovi, tăiaţi rondele, ardei gras, tăiat în suviţe, ceapă, tocată mărunt şi fasole păstăi. Puiul poate fi înlocuit cu carne de porc, tăiată în cubuleţe. Vasul se ţine pe vatra încinsă, sub ţest, circa jumătate de oră, mâncarea fiind servită imediat.



    Foarte apreciată în această provincie istorică este carnea de oaie, iar un preparat specific este aşa-numita oaie la groapă”, pregătită în jar. Un alt preparat este jigoul de berbec. Avem nevoie de o pulpă de berbec, pe care o împănăm cu câţiva căţei de usturoi şi cu rondele de ardei iute. Punem pulpa într-un vas mai mare şi o rumenim uşor, împreună cu jumătate de kg de arpagic saude ceapă, tăiată rondele şi cu trei ardei graşi, tăiaţi şuviţe. Se stinge cu o cană de vin, după care băgăm vasul la cuptor pentru circa jumătate de oră. Pulpa de berbec se porţionează şi se serveşte caldă, împreună cu legumele din tavă şi cu un pahar de vin alb sau roşu, sec sau demisec, de preferat din zona Drăgăşani pentru a păstra specificul oltenesc.




  • Mâncăruri din Oltenia

    Mâncăruri din Oltenia

    Oltenia are o gastronomie specifică, caracterizată prin mâncăruri ceva mai condimentate. Sunt preparate la care este folosit prazul cultivat în special în Oltenia. O altă caracteristică este legată de o modalitate specifică de preparare a pâinii şi a unor mâncăruri.



    Este folosit ţestul, un vas din lut ars şi amestecat cu resturi vegetale şi prevăzut fie cu o toartă pentru a fi prins cu un lanţ atunci când se află deasupra vetrei, fie cu orificii prin care este trecută o vergea metalică care are acelaşi rol, de a ridica sau coborî ţestul pe vatra încinsă. În comparaţie cu cuptorul care are dimensiuni mari, ţestul are avantajul că se încinge mult mai repede, la ardere fiind folosite nu lemne, ci surcele şi resturi vegetale de la floarea soarelui, porumb sau chiar vegetaţie uscată. Înainte de a pune pâinea la copt, se face focul, iar jarul se adună sub ţest pentru circa jumătate de oră. Aluatul dospit, modelat ca o lipie, se pune apoi în ţestul încins, orientat spre vatra încinsă până ce pâinea se coace.



    În ţest pot fi pregătite şi mâncăruri. Astfel, într-un vas de lut nesmălţuit poate fi pus un pui, condimentat şi uns cu puţin ulei, alături de cartofi, tăiaţi în cuburi, morcovi, tăiaţi rondele, ardei gras, tăiat în suviţe, ceapă, tocată mărunt şi fasole păstăi. Puiul poate fi înlocuit cu carne de porc, tăiată în cubuleţe. Vasul se ţine pe vatra încinsă, sub ţest, circa jumătate de oră, mâncarea fiind servită imediat.



    Foarte apreciată în această provincie istorică este carnea de oaie, iar un preparat specific este aşa-numita oaie la groapă”, pregătită în jar. Un alt preparat este jigoul de berbec. Avem nevoie de o pulpă de berbec, pe care o împănăm cu câţiva căţei de usturoi şi cu rondele de ardei iute. Punem pulpa într-un vas mai mare şi o rumenim uşor, împreună cu jumătate de kg de arpagic saude ceapă, tăiată rondele şi cu trei ardei graşi, tăiaţi şuviţe. Se stinge cu o cană de vin, după care băgăm vasul la cuptor pentru circa jumătate de oră. Pulpa de berbec se porţionează şi se serveşte caldă, împreună cu legumele din tavă şi cu un pahar de vin alb sau roşu, sec sau demisec, de preferat din zona Drăgăşani pentru a păstra specificul oltenesc.




  • Tourisme au département de Buzău

    Tourisme au département de Buzău

    Les locaux appellent fièrement cet endroit « une petite Roumanie », en raison de la diversité de son relief, mais aussi des formes de tourisme qui peuvent y être pratiquées. Nicoleta Gâlmeanu, conseillère en tourisme au Conseil départemental de Buzău, opine qu’il faudrait environ un mois au touriste pour vivre et voir tout ce que le comté de Buzau offre. Elle propose de commencer notre voyage à partir du chef-lieu du département, dont l’attestation documentaire remonte à plus de cinq siècles.



    « Nous partirions d’ici, du Musée départemental, qui accueille des collections tout à fait inédites, pour rejoindre ensuite d’autres endroits du comté. Bien entendu, tout dépend de l’intérêt du touriste. Si c’est une personne plus active, qui souhaite visiter les zones de montagne ou les zones vallonnées, le département de Buzău est très attrayant de ce point de vue. Nous avons des destinations uniques au niveau européen et même mondial – les Volcans de boue, par exemple. L’unicité de ce paysage est donnée, tout d’abord, par la présence de terres sans vie, comme on les appelle. Vous verrez des cônes volcaniques qui apportent à la surface de la lave froide et de la lave noire. C’est là que la terre « bout à froid ». La partie centrale des Subcarpates de Courbure est un territoire assez vaste. Il y a plus de 40 hectares de terres sur lesquels on retrouve des cratères de forme circulaire, avec de la boue liquide ; c’est un paysage très spécial, lunaire. Il a été découvert et mis en valeur vers 1860, à la suite d’études pétrolières. Cette zone a été déclarée zone naturelle d’intérêt géologique, floristique et faunistique au niveau national depuis 1924. »



    Poursuivant notre voyage, nous arrivons dans la Contrée de Buzău. Nicoleta Gâlmeanu, conseillère en tourisme au Conseil départemental de Buzău, explique :



    « C’est une aire géographique dont nous assurons une promotion intense ces derniers temps, parce qu’elle garde certaines des attractions touristiques, des objectifs historiques et des traditions que je qualifierais d’inaltérés. Je vous emmènerais à Bozioru, voir les trovants, un phénomène naturel particulier. L’image et le microrelief sont spectaculaires. En fait, ce sont des roches aux formes bizarres, moins connues. Les gens les appellent souvent « des pierres qui poussent » parce qu’en raison de l’érosion et des phénomènes météorologiques, elles se transforment et prennent d’autres formes et d’autres dimensions au fil des ans. D’un point de vue scientifique, ce sont des dépôts de sable et des stratifications de grès cimentés, façonnés par des agents naturels : vent, pluie etc. De là, de l’autre côté de la colline, vous pouvez atteindre le Feu vivant. C’est une autre attraction touristique et réserve géologique, dans le village de Lopătari, à environ 70 km de Buzău. Des colonnes de feu jaillissent des profondeurs de la terre, et brûlent continûment. En fait, la terre recèle des gisements de gaz ; dans leur parcours vers la surface, des cristaux de quartz font le gaz prendre feu. »



    Non loin de là, vous pouvez rejoindre la commune de Mânzăleşti. Là, vous pouvez voir le Grunj de Mânzăleşti ou la « pierre blanche ». C’est un véritable phénomène naturel, les cendres pétrifiées des volcans en activité il y a plus de dix millions d’années. Et de cette « pierre blanche », vous pouvez monter sur le Plateau de Meledic. Nicoleta Gâlmeanu, conseillère en tourisme au Conseil départemental de Buzău, poursuit :



    « Un paysage spectaculaire vous attend sur le Plateau de Meledic. En plus d’être déclarée réserve naturelle, c’est aussi une réserve spéléologique et zoologique. Sur ses 60 hectares de terres on retrouve les plus grands gisements de sel de Roumanie. Sous l’effet de la pluie, la dissolution du sel créée une forme de relief spectaculaire. Vous y trouverez aussi des grottes creusées dans le sel par les eaux souterraines, dont l’une des grottes de sel les plus longues au monde, avec ses 3 190 mètres, la Grotte Şase Iezi. La réserve du Plateau Meledic comporte aussi deux lacs : le lac Mare et le lac Castel. L’eau de ces lacs est très froide en toute saison. Un festival folklorique bien connu a lieu chaque année sur ce plateau et il y a également un camp de sculpture en bois avec 25 œuvres exposées. »



    La Contrée de Buzău attire ses touristes aussi grâce à sa gastronomie, à son offre de vins et au grand nombre d’artisans. Nicoleta Gâlmeanu précise :



    « Nous avons beaucoup de caves à vin qui peuvent être visitées et où les vins peuvent être dégustés. Côté gastronomie, Buzău excelle par trois produits traditionnels non seulement au niveau national, mais aussi au niveau international : les saucisses de Pleşcoi, les covrigi (bretzels) de Buzău et le babic de Buzău (sorte de saucisson sec très piquant). Ces derniers sont complétés par nos vins. Quant aux artisans, il y en a dans tout le département. Nous avons deux trésors humains vivants : Amelia Papazisu pour les tissus en poil de chèvre et Mircea Micu, pour la fabrication d’instruments de musique, des cors des Alpes en particulier. En même temps, nous avons beaucoup d’artisans qui créent des tissus en toile, nous avons des potiers, des tailleurs de pierre, des tailleurs en bois et beaucoup de peintres sur bois et sur verre. »



    Le département de Buzău est également recherché par les amateurs de tourisme d’aventure, car on y pratique l’escalade, les découvertes en tout-terrain, le rafting, le parapente ou le canyoning. D’ailleurs, un championnat du monde de rafting est organisé chaque année dans la région. Raison de plus pour laquelle le Conseil départemental de Buzău a plusieurs projets dans le domaine du tourisme. Nicoleta Gâlmeanu, conseillère en tourisme au Conseil départemental de Buzau, précise :


    « Notre projet le plus important à l’heure actuelle, c’est le Géoparc Ţinutul Buzăului (la Contrée de Buzău). Fin 2020, l’Association Ţinutul Buzăului, dont le Conseil départemental est membre, a présenté sa demande d’obtention du statut de Géoparc mondial UNESCO. C’est un territoire qui rassemble environ 18 communes et comprend de nombreux éléments d’intérêt géologique, écologique, archéologique, historique et culturel. En obtenant ce titre, nous serions en mesure de promouvoir et de valoriser beaucoup mieux les éléments naturels spéciaux de la région, mais aussi son patrimoine culturel et historique. »



    Et non dernièrement, nous vous recommandons une visite au Musée de l’ambre de Colţi, rouvert l’année dernière. Là, vous pouvez voir les plus beaux exemplaires de pierres ambrées, car il en existe environ 300, allant des nuances de jaune translucide au noir opaque. Bonne visite !


    (Trad.: Ligia)

  • Atracții turistice în județul Sălaj

    Atracții turistice în județul Sălaj

    Ajungem astăzi în
    vestul României, pentru a descoperi atracțiile turistice ale județului Sălaj.
    Vom vorbi despre Castrul roman de la Porolissum, despre rezervația naturală Grădina
    Zmeilor, dar și despre gastronomia locală. Ghidul nostru este Mircea Groza, de
    la Asociația de dezvoltare intercomunitară Sălaj Plus, cunoscut specialist în
    gastronomie.


    Sălaj este un
    județ mic, cu o suprafață care nu depășește 4.000 de metri pătrați, dar locuit
    de mai multe etnii care și-au lăsat amprenta asupra culturii și civilizației
    locale. Este un județ cu obiective turistice diverse, iar prima oprire o facem
    la Complexul arheologic Porolissum.

    Este una dintre cele mai importante zone
    de cercetare arheologică din România. Faptul că se află în imediata apropiere a
    municipiului reședință de județ, Zalău, ne avantajează. De altfel, toate
    traseele sunt în jurul acestui punct de atracție. Este cel mai mare castru de
    graniță din Dacia romană. Are amfiteatru, clădiri religioase și fortificații
    minore din zona limesului. Limesul era granița imperiului roman, iar noi suntem
    în partea de nord a acesteia. În ultima perioadă, am amenajat acest complex
    arheologic astfel încât să fie mai accesibil turiștilor. S-au creat în
    interiorul castrului spații de odihnă și recreere, într-o zonă cu belvedere.
    S-au făcut reconstituiri grafice pe 45 de panouri, conținând și informații. S-a
    amenajat un centru de informare turistică în care există și un magazin de suveniruri.
    Avem permanent ghid specializat. Lucrăm la aplicații care vor facilita accesul
    la informații despre complexul arheologic.


    Nu foarte departe
    de castrul roman, se află Grădina Botanică din Jibou. Mircea Groza, de la
    Asociația de dezvoltare intercomunitară Sălaj Plus.

    Este o grădină care,
    pe aproximativ 20 de hectare, se mândrește cu cea mai bogată colecție de
    plante, extraordinar de diversificată și mai mare decât oriunde în România. De
    asemenea, și zona este foarte spectaculoasă. Nu departe de Jibou, spre
    Porolissum, ajungem la Grădina Zmeilor. Acesta e un loc unic, poate chiar în
    Europa. E o rezervația naturală protejată, care are aproape trei hectare,
    vestită mai ales datorită unui ansamblu neregulat de stânci. Acestea au apărut
    printr-un fenomen de erodare distructivă în gresie. Formele ciudate au și nume
    inspirate din cultura locală.


    În ceea ce privește
    obiectivele culturale, nu putem trece cu vederea Muzeul de Artă și Istorie din
    Zalău. Acesta se adaptează noilor tehnologii, noilor trenduri în funcționarea
    acestui tip de instituții, spune Mircea Groza.

    Muzeul a dezvoltat un
    concept modern și propune o incursiune în istorie prin tehnologiile actuale:
    realitate virtuală sau augmentată și modele 3D. De asemenea, se are deja în
    vedere un nou concept de program expozițional sub titulatura Vreau la muzeu.
    Acesta are în prim plan expozițiile 3D. Muzeul ține pasul cu ceea ce se
    întâmplă în lume și sunt atâtea de arătat, mai ales în această perioadă
    dificilă, când e greu de anticipat ceea ce se va întâmpla în turism. Apoi, sunt
    sate în care cei pasionați au creat muzee vii sau muzee ale comunei. Astfel, o
    putem aminti pe Ligia Bodea Pop, din satul Iaz, în al cărei muzeu a adunat mii
    de exponate. A creat un sat cu câteva gospodării, iar acest sat crește în
    continuare. Pe toate le-a făcut din pasiune și din buget propriu. Acest exemplu
    a fost preluat și de alți tineri din județ, care organizează evenimente cu
    referire la tradițiile locale. Astfel, în satul Marin au fost readuse la viață
    evenimente tradiționale ca Dansul la șură, Nunta, Târgul.


    Sălajul este
    recunoscut la nivel național și prin prisma producției de vinuri și pălincă, în special. Mircea Groza, de la
    Asociația de dezvoltare intercomunitară Sălaj Plus.

    Palinca de Zalău,
    putem spune că e un brand local. Totodată, avem crame care funcționează în
    continuare și pot fi vizitate. Apicultura, de asemenea, e des întâlnită în
    satele din Sălaj. Bineînțeles, nu pot uita de marea mea pasiune, gastronomia.
    În ultimii 40 de ani, am făcut cercetări în domeniul gastronomiei tradiționale.
    Numai în județul Sălaj am reușit să identific și să documentez 397 de rețete de
    ciorbe și de supe diferite ca denumire, ingrediente și gust. Turistul are
    oportunitatea de a-și desăvârși experiența și prin aceste preparate deosebite.
    Am susținut mereu că România e reprezentată gastronomic de două lucruri
    deosebite: ciorbe, supe, borșuri și de tocane. Avem o diversitate incredibilă.
    Numai în Sălaj avem peste 170 de rețete diferite de tocane descoperite,
    reconstituite și documentate de mine.


    Ar fi de menționat
    că nu toate aceste rețete sunt românești. Există rețete evreiești, slovace sau
    ungurești. În Sălaj, există sate compacte, slovace sau ungurești. Acest fapt a
    influențat pozitiv gastronomia tradițională locală, diversificând-o foarte mult.
    Rețetele au fost și încă sunt transmise din sat în sat, de la o uliță la alta,
    între gospodării, cu cea mai mare bucurie.


    Iată așadar o
    destinație perfectă pentru toată lumea, mai ales pentru familiile cu copii.
    Agroturismul este bine dezvoltat, astfel încât nu veți avea probleme cu cazarea
    și veți reuși să aflați și povești interesante ale bucatelor tradiționale,
    unele vechi de sute de ani.

  • RRI vous invite à table

    RRI vous invite à table

    Aujourd’hui, Radio Roumanie
    Internationale vous invite à table. Et il s’agit pas non plus de
    n’importe quel repas, mais du fameux déjeuner qui se transforme en
    dîner le jour du 25 décembre 2020. Quels sont les plats que nous
    préparons avec tant de minutie et de fierté pour Noël ?
    Quels sont nos petits secrets et quelles astuces utilisons-nous pour
    impressionner nos invités. Détails tout de suite avec Elena, Ioana,
    Valentina et Alex. Le tout sur RRI la voix de la diversité. Et
    la diversité de notre rédaction est bien visible lorsqu’on parle de
    préparatifs culinaires pour Noël.

    Et
    cette fois-ci c’est aux hommes de commencer, puisque j’aimerais
    vous faire part de l’étape la plus importante et la plus copieuse
    d’ailleurs de tout repas organisé à l’occasion des fêtes en
    Roumanie : les entrées. Charcuteries, poisson fumé, fromages,
    macédoine à la mayonnaise, oeufs mimosa ou bien différents aspics,
    voilà autant de spécialités qui devraient théoriquement
    stimuler uniquement l’appetit.

    Ioana joue la carte de la cuisine roumaine citadine, véritable mélange d’influences en provenance de tous les points cardinaux et de toutes les époques.

    Passons maintenant à Valentina, pour laquelle cuisiner est une affaire de famille, don le succès est garanti par toute sorte de petits astuces et secrets transmis d’une génération à l’autre.

    Peut-on prévoir des plats de Noël plus légers et sans viande ? Décidément oui, affirme Elena qui nous propose pour la fin de ce festin un dessert pas comme les autres.

  • Hiroko Ogawa: „Rumänien hat sehr schmackhaftes Obst und Gemüse“

    Hiroko Ogawa: „Rumänien hat sehr schmackhaftes Obst und Gemüse“

    Bis zum Alter von 59 Jahren lief Hiroko Ogawa über 200 Marathonläufe, darunter den Wohltätigkeitsmarathon Help Autism“, bei dem die Strecke zwischen Bukarest und der bulgarischen Hauptstadt Sofia zurückgelegt wird. An diesem Wohltätigkeitsmarathon nahm sie fünfmal hintereinander teil. Hiroko lernte Rumänisch recht flei‎ßig, integrierte sich allerdings schnell in die Atmosphäre hier, die ihr sehr gefällt. Sie erzählt uns, warum sie Rumänien zu ihrer zweiten Heimat gemacht hat:



    Danke für die Einladung und ich bin so froh, dass ich hier bin. Ich bin 2006 in Rumänien angekommen, das hei‎ßt, es sind bereits 14 Jahre vergangen. Ich bin eine Marathonläuferin aus Osaka und habe 2004 an einem Laufwettbewerb in Frankreich in der Vertretung von Japan teilgenommen. Dort traf ich einen Rumänen, in den ich mich verliebte und der mich nach Rumänien einlud. Das erste Jahr, sogar die ersten beiden Jahre waren sehr schwierig, weil wir kein Rumänisch sprechen konnten, und wenn ich auf die Stra‎ße ging, sagten mir einige Leute, dass ich Chinesin sei. Die Leute schauten mich neugierig an. Aber dank der Leichtathletik habe ich viele Freunde gefunden, mit denen ich lief, von der jungen Generation bis zu den Veteranen, also Läufern über 90 Jahre. Von ihnen habe ich die rumänische Sprache gelernt, von meinen Laufkollegen habe ich praktisch Rumänisch sprechen gelernt.“




    Hiroko interessiert sich für rumänische Rezepte, die sie in der Vergangenheit in einem persönlichen Blog veröffentlicht hat. Jetzt schreibt sie auf ihrer Facebook-Seite über die Realitäten Rumäniens und erhält viele begeisterte Reaktionen, vor allem von japanischen Freunden. Sie bereitet so oft wie möglich rumänisches Essen zu, denn sie war von Anfang an von unserer Gastronomie begeistert:



    Ja, Sie haben sehr schmackhaftes Obst und Gemüse. Ich verstehe, dass das dem Boden zu verdanken ist, der sehr gut ist. Zum Beispiel sind jetzt Wassermelonen, Gurken und Tomaten gereift, die sehr gut sind. Leider haben wir in Japan Obst und Gemüse wie Kunststoff, sie haben keinen Geschmack. Und die rumänische Gastronomie hat diesen Geschmack wie zu Hause. Jede Mutter hat ihr eigenes Rezept. Wenn ich zum Beispiel zu Ostern zu meinen Freunden gehe, kocht jede Mutter Sarmale (Kohl-Fleisch-Rouladen), aber in jedem Haus haben sie einen anderen Geschmack. Ich war sehr beeindruckt. Es ist schwer, Sarmale zu kochen, ich habe es höchstens geschafft, gefüllte Paprika zuzubereiten.“




    Die Familie und die Verwandten verstanden anfangs nicht, warum Hiroko sich 2006 entschied, nach Rumänien zu ziehen, aber nachdem sie das Land gemeinsam besucht und entdeckt haben, hatten sie keinen Zweifel daran:



    Leider haben die Menschen in Japan bisher nur wenig Information über Rumänien erhalten. Ja, wir alle wissen, dass Rumänien in Europa liegt, aber das war’s auch schon. Vorher kannte ich vielleicht eine Marathonläuferin, Lidia Şimon, die Turnerin Nadia Comăneci, die Zeit des Kommunismus und einen berühmten Fu‎ßballspieler, Hagi. Aber ich habe viele Dinge über Rumänien hier entdeckt und ich möchte über dieses Land schreiben und darüber informieren, was hier für die Japaner gut und schön ist. Meine Freunde und Verwandten haben verstanden, warum ich mich entschieden habe, in Rumänien zu leben. Glücklicherweise kamen einige meiner Freunde zu Besuch nach Rumänien, und wir entdeckten das Land gemeinsam als Touristen. Sie alle wurden gro‎ße Fans von Rumänien. Insgesamt kamen sie dreimal nach Rumänien. Das erste Mal besuchten wir nur Bukarest, Sinaia und Braşov, das zweite Mal unternahmen wir eine Reise nach Cluj, zur Saline Turda, und nach Maramureş. Das dritte Mal entdeckten wir Suceava, das Kloster Putna und die Vielzahl der Klöster, die zum UNESCO-Erbe gehören.“



    Rumänien hat Hiroko nicht nur mit seinen wunderbaren Landschaften erobert, sondern vor allem wegen der Atmosphäre, in der sie sich so wohl fühlt. Wir haben sie gefragt, ob das Leben hier sie in irgendeiner Weise verändert hat, da die beiden Kulturen, die japanische und die rumänische, so unterschiedlich sind:



    Ja, die beiden Kulturen sind sehr eigenartig, aber bisher ist es mir gelungen, alle Unterschiede zu akzeptieren. Die Rumänen sind gro‎ßzügiger, freundlicher und kommunikativer zu mir, und ich habe mich verändert. Ich war sowieso ein offener Mensch, aber in Rumänien fühle ich mich freier.“

  • Hörerpostsendung 28.6.2020

    Hörerpostsendung 28.6.2020

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Heute möchte ich den Funkbriefkasten ausschlie‎ßlich mit Postbriefen bestreiten, die sich in den letzten Wochen angesammelt haben. Aus Wien erhielten wir einen Brief von Manfred Schida, der auf Anfang Mai datiert ist:



    Liebe Freunde!



    Ich habe es sehr vermisst, dass ich Ihnen keine Briefe schreiben konnte. Aber die Post hat keine nach Rumänien angenommen. Jetzt haben sie in einer Gratiszeitung geschrieben, dass die Briefpost in 80 Länder wieder klappt. So werde ich nochmal versuchen, diesen Brief an Sie aufzugeben, vielleicht geht es nach Rumänien wieder.



    Sodann berichtet Herr Schida über die Situation der Pandemie in mehreren Ländern, sowie welche andere Sender er über Kurzwelle hört, darunter die BBC und Radio China International, und endet mit den Worten:



    Es ist wunderbar, dass es Sie gibt. Sie sind ein Bestandteil meines Lebens.


    Alles Gute für die Zukunft!



    Vielen Dank für Ihren Brief und für die Hörertreue, lieber Herr Schida! Ich wusste gar nicht, dass der Postverkehr während des Lockdowns eingestellt war; nachdem die Grenzen der Reihe nach dicht gemacht wurden, war das aber zu erwarten. Herzliche Grü‎ße nach Wien!



    Aus Bonn erreichte uns von Thomas Becker ein Empfangsbericht und eine Postkarte von Mitte Mai:



    Liebe deutsche Redaktion von Radio Rumänien International,



    auch ich möchte mich sehr bedanken, dass Sie unter schwierigen Bedingungen so ein gutes Programm machen können.



    Die heutige Sendung war wieder sehr interessant, der Funkbriefkasten schön moderiert und auch der virtuelle Rundgang durch die Museen sehr lohnenswert. Die Jazz-Sängerin Maria Răducanu war auch sehr hörenswert, gerade die Verbindung von Volksmusik und Jazz ist spannend. Habe ich es richtig gehört, dass der Funkbriefkasten aus einer Abstellkammer kommt?



    Schöne Grü‎ße


    Thomas Becker



    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Becker. Ja, Sie haben es richtig gehört — den Funkbriefkasten habe ich während der Quarantäne zumeist in meiner Abstellkammer aufgezeichnet. Da die Regale an den Wänden mit Schuhboxen, ein paar Koffern und anderen Sachen vollgestopft sind, eignet sich der schallfreie Raum eben gut dafür. Natürlich muss man danach noch mit entsprechender Software etwaige Versprecher oder unerwartete Nebengeräusche aus der Nachbarschaft herausschneiden. Alles in allem ist es etwas mehr Arbeit als im Studio, wo einem der Tontechniker hilft, aber letztendlich lohnt es sich, denn schlie‎ßlich arbeitet man bequem von zu Hause aus. Herzliche Grü‎ße nach Bonn, lieber Herr Becker!



    Zurück nach Wien — von dort erreichte uns ein Postbrief von Wolfgang Waldl, der Mitte Mai ebenfalls auf die Heimarbeit unserer Redaktionsmitglieder Bezug nahm:



    Lieber Herr Sorin, werte Redaktion!



    Mit gro‎ßer Freude habe ich gestern in Ihrer Sendung die Verlesung meines Briefes gehört. Besonders gefreut hat mich, dass Sie meine Anregung angenommen haben und eine lustige Fotogalerie Ihrer Redaktion zusammengestellt haben. Das wird sicher allen gefallen, die über die modernen Medien verfügen. Ich habe weder Internet noch Ähnliches, aber Ihre Schilderung war so gut, dass ich mir alles gut vorstellen konnte. Ich frage mich zwar, ob diese vom Sender auferlegte Quarantäne wirklich notwendig ist, aber auch hier wurden die Hauptsprecher des Fernsehens in Quarantäne im Studio (!!!) für jeweils eine Woche kaserniert. Von dort traten sie auf.



    Mir kommt das alles wie für eine Generalübung für einen eventuellen Atomunfall oder dergleichen vor, denn nach Meinung vieler Wissenschaftler und Ärzte ist das Virus ähnlich einer Influenza. Aber leider wei‎ß niemand was Genaues, und dafür müssen wir Masken tragen und Abstand halten, fragt sich nur, wie lange.



    Je länger das Ganze dauert, desto trauriger wird die Lage für viele Gastronomen und Künstler. Alle, die nicht einen gesicherten Arbeitsplatz mit Gehaltsgarantie haben, müssen immer mehr zittern. Das Kulturleben liegt total brach. Alle Veranstaltungen wurden bis zum Herbst abgesagt und durch die Abstandsregeln geht nichts mehr. Auch wir müssen diesmal auf das seit 30 Jahren stattfindende Sommertheater in Reichenau verzichten. Schade — und wer wei‎ß, ob es nächstes Jahr wieder normale Verhältnisse gibt. Viele Unternehmen, vor allem kleinere, werden heuer noch dicht machen und nicht mehr aufsperren.



    Die Donau-Passagierschifffahrt soll Anfang Juni wieder teilweise ihren Betrieb aufnehmen. Kreuzfahrtschiffe werden sicher noch nicht fahren, 50 liegen zur Zeit im Wiener Winterhafen.



    Wie sieht es zur Zeit in Rumänien mit dem Kunstbetrieb aus?



    Zum Schluss möchte ich mich wieder für Ihre objektive und sachliche Information im Funkjournal bedanken. Sie berichteten über die hohen Strafen bei Verstö‎ßen gegen die Abstandsregeln. Auch ich finde das übertrieben. Überhaupt ist die Situation zur Zeit sehr angespannt und selbsternannte Blockwarte tummeln sich bereits herum.



    Viele herzliche Grü‎ße


    Wolfgang Waldl



    Vielen Dank für Ihren ausführlichen Brief, lieber Herr Waldl! Inzwischen sind in ganz Europa Lockerungsma‎ßnahmen in Kraft, was zum erneuten Wiederanstieg der Infektionszahlen führt. Epidemiologen und Ärzte warnen bereits vor einer zweiten Infektionswelle, in Rumänien sind die Krankenhäuser wieder überfüllt. Bei allem Verständnis für besonders hart getroffene Branchen wie Gastronomie, Kulturbetrieb und kleine Unternehmen (und die hohen Geldstrafen fand auch ich übertrieben) — die Isolationsma‎ßnahmen waren meiner Meinung nach notwendig, um Schlimmeres zu verhindern. Wenn man die dramatischen Bilder aus Italien gesehen hat, wo Ärzte praktisch entscheiden mussten, wen sie behandeln, oder die Bilder von überfüllten Leichenschauhäusern und Tiefkühlwagen mit Toten aus New York, dann muss man den Wissenschaftlern Recht geben. Schweden hat da einen anderen Weg versucht, der schlie‎ßlich dazu führte, dass sich überdurchschnittlich viele ältere Menschen infiziert haben und gestorben sind. Ich will auf jeden Fall nicht in der Haut der Ärzte stecken, die über Leben und Tod entscheiden müssen.



    Der Kulturbetrieb und die Gastronomie sind auch in Rumänien schwer betroffen. Vorerst durften nur Terrassen öffnen, Theater- und Konzerthäuser bieten in einigen Fällen Online-Veranstaltungen, es versteht sich aber von selbst, dass kleine, unabhängige Ensembles und Künstler existenziell bedroht sind. Mein Lieblingskino in Bukarest — es ist das Kino des Französischen Kulturinstituts, das besonders europäische Filme zeigt — hat nur Abendvorführungen im Innenhof, unter Einhaltung der Abstandsregeln zwischen den Stühlen. Die Filme kann man allerdings auch online buchen und zu Hause sehen, aber natürlich ist es nicht dasselbe wie auf der Leinwand. Hoffen wir auf bessere Zeiten. Alles Gute und herzliche Grü‎ße nach Wien!



    Von Michael Lindner (aus Gera, Thüringen) erhielten wir gleich zwei Postbriefe, die auf den 25. bzw. 30. Mai datiert sind. Hier eine Zusammenfassung:



    Liebe Freunde in der deutschen Redaktion, lieber Sorin Georgescu!



    Heute soll Sie endlich wieder mal ein traditioneller Luftpostbrief erreichen. In Zeiten von Corona war es ja bisher besser, schneller und zuverlässiger, sich der E-Mail zu bedienen. Aber so langsam fliegen die Airlines wieder, so dass ich wieder zu meinen alten Gewohnheiten zurückkehren kann, Briefe per Post zu verschicken. Das bereitet mir einfach mehr Freude, da man mit einem Brief doch viel persönlicher herüberkommt. Oder?



    Nun kann ich Sie über ein wundervolles Hörerlebnis informieren, welches ich am gestrigen Mittwoch hatte. So konnte ich nach vielen Jahren wieder einmal den Inlandsdienst von Radio Rumänien in deutscher Sprache empfangen. Das Ganze gelang mir auf der Mittelwellenfrequenz 1593 KHz mit meinem Opel-Autoradio. Natürlich war der Empfang schlecht, die Signalstärke war sehr gering und starkes Rauschen beeinträchtigte den Empfang. Trotzdem gelang es mir mit sehr spitzen Ohren, einige Details zu erkennen. Normalerweise ist um11.00 UTC die Mittelwelle tot. Nur die Signale des Tschechischen Rundfunks kommen da noch an. Umso erfreulicher ist es dann, wenn sogar die Signale aus Bukarest hier ankommen. Aber solche Phänomene gibt es ja immer wieder. Aber nicht nur Radio Rumänien aus Bukarest war zu empfangen, kurz vorher kamen auch ganz schwache Signale aus Temeswar auf 630 KHz hier an, ebenfalls mit einer deutschsprachigen Sendung. Ja, diese Empfangsüberraschungen waren wie ein kleiner Lottogewinn!



    Beiliegend schicke ich Ihnen einen Empfangsbericht mit der Bitte, diesen an Ihre Kollegen im Inlandsprogramm weiterzugeben. Besonders würde ich mich über eine Hörbestätigung des Inlandsdienstes freuen. Falls es da keine QSL-Karten gibt, würde ich mich über ein einfaches Schreiben mit Stempel und Unterschrift sehr freuen. Das wäre eine tolle Bereicherung meiner Radiosammlung.



    In einem der letzten Briefe (22. April) bewunderte ich die nicht zu überhörende Dominanz der RRI-Programme auf der Kurzwelle. Nun habe ich mir die Mühe gemacht, alle Sprachdienste auf ihren Frequenzen zu empfangen. Auch wenn ich viele dieser Sprachen nicht verstehen konnte, war es doch recht interessant zu hören, wie RRI-Programme in Chinesisch oder Mazedonisch klingen. Oft konnte man an den einzelnen Jingles erkennen, welches Programm gerade gesendet wurde. Wirklich sehr interessant! Dabei ist mir aufgefallen, dass manche Sprachdienste während ihrer Sendezeit nur eine einzige Frequenz benutzen, während andere gleich vier Frequenzen gleichzeitig nutzen. Sind vier Frequenzen im Zeitalter der ewigen Sparma‎ßnahmen tatsächlich notwendig? Würde mich sehr freuen, darüber mal einige ausführliche Bemerkungen zu hören.



    Die heutige Beilage ist sehr üppig ausgefallen. Ich habe über jede einzelne Sprachredaktion einen Empfangsbericht angefertigt, so dass Sie sich über die Empfangbarkeit der einzelnen Sendungen informieren können. Bewusst habe ich auf Programmdetails verzichtet, da ich viele dieser Sprachen nicht verstehe. Aber als Jahrzehnte alter und treuer Hörerfreund von Radio Rumänien können Sie sich zu 100% darauf verlassen, dass ich diese Sendungen tatsächlich empfangen habe. Alles andere wäre sinnloser Selbstbetrug!



    Die RRI-Internet-Präsentation ist auch in Jiddischer Sprache vertreten. Leider konnte ich keine Sendungen in dieser Sprache von RRI auf Kurzwelle hören. Gibt es diese Sendungen noch?



    Im Sinne der Freundschaft und auf ein baldiges Feedback


    Ihr RRl-Fan Michael Lindner



    Vielen Dank für die ausführlichen Briefe, lieber Herr Lindner. Ihren Empfangsbericht für den deutschen Inlandsdienst habe ich eingescannt und werde ihn samt der Bitte um eine QSL-Karte oder eine Bestätigung in sonstiger Form an die Kollegen weiterleiten.



    Was die Frequenzen anbelangt, so strahlen manche Dienste wie die englische, französische und spanische Redaktion ihre Programme nicht nur in Europa, sondern auch nach Übersee, Asien und Afrika aus, manchmal zur selben Zeit. Deshalb sind je nach atmosphärischen Bedingungen und Uhrzeiten mehrere Frequenzen notwendig. Eine Sendung in Mazedonisch haben wir nie gehabt, Sie haben vermutlich die Sendung in Serbisch gehört. Bis ca. 2002 hatten wir allerdings eine Sendung in bulgarischer Sprache. Die bulgarische Redaktion wurde damals zusammen mit der portugiesischen, der ungarischen und der türkischen Redaktion wegen Sparma‎ßnahmen geschlossen.



    Unser Internetauftritt in hebräischer Schrift ist in Iwrith, also Neuhebräisch, nicht Jiddisch. Radio Rumänien hatte aber in den 1970er Jahren ein jiddischsprachiges Programm, das allerdings nach Nordamerika, nicht nach Israel ausgestrahlt wurde. Die Sendung in Hebräisch erfolgt nur einmal in der Woche, und zwar sonntags um 19 Uhr Lokalzeit, das wäre 18 Uhr in Deutschland, auf 9590 und 7265 kHz. Ob die Sendung auch in Deutschland zu empfangen ist, kann ich allerdings nicht sagen, theoretisch wird die Sendung nach Israel ausgestrahlt. Aber falls es Ihnen gelingen sollte, sie zu empfangen, freuen wir uns natürlich über Feedback. Herzliche Grü‎ße nach Thüringen, lieber Herr Lindner!



    Ich habe heute zeitlich schon überzogen. Ein paar weitere Briefe lese ich bis nächsten Sonntag. Ein besonderes Dankeschön an Paul Gager aus Wien, der uns mit seinem Brief auch drei Schutzmasken schickte. Ich wei‎ß nicht, wie es bei Ihnen ist, aber hier kosten die Masken in Apotheken das Vier- bis Fünffache dessen, was sie vor der Pandemie gekostet haben. Nochmals herzlichen Dank!



    Feedback auf elektronischem Weg erhielten wir bis einschlie‎ßlich Samstag von Carsten Fenske, Matthias Maetsch, Willi Seiser, Herbert Jörger, Martina Pohl, Michael Willruth, Michael Lindner, Gerd Brüschke und Jan Rocho (D) sowie von Paul Gager (A).



    Audiobeitrag hören:



  • Wiederankurbelung des Tourismus: Werden sich Reisegewohnheiten ändern?

    Wiederankurbelung des Tourismus: Werden sich Reisegewohnheiten ändern?

    Die Branche bietet 10% der weltweiten Arbeitsplätze, fast 12% der EU-Arbeitsplätze, und benötigt jetzt eine koordinierte internationale Reaktion, die auf rund 375 Milliarden Euro geschätzt wird, um sich zu erholen. Es geht um den Tourismus — einen Sektor, der extrem stark von Reisebeschränkungen und Ma‎ßnahmen zur sozialen Isolation betroffen sind, die Regierungen auf der ganzen Welt verhängt haben, um die Ausbreitung des neuen Coronavirus zu stoppen. Betroffen sind alle, die in dieser Branche tätig sind, von Kleinunternehmern und Hotels bis hin zu Reiseveranstaltern. Weltweit könnte die Tourismusbranche in diesem Jahr im Vergleich zu 2019 um 80% zurückgehen, so die Angaben des World Travel and Tourism Council. Im Vergleich dazu betrug der Rückgang während der Wirtschaftskrise 2009 4%.



    Europa hat ein sehr aktives touristisches Ökosystem. Transport, Unterkunft, Gastronomie, Erholung und Kultur tragen fast 10% zum BIP der EU bei und sind in vielen Regionen eine wichtige Quelle für Beschäftigung und Einkommen. 267 Millionen Europäer — oder 62% der Bevölkerung — unternehmen mindestens eine private Urlaubsreise pro Jahr, und 78% der Europäer verbringen ihren Urlaub in ihrem Herkunftsland oder in einem anderen EU-Land, so die EU-Exekutive. Der Sommer ist eine entscheidende Jahreszeit für die Branche und bringt dem europäischen Tourismussektor durchschnittlich 360 Millionen Touristen und 150 Milliarden Euro Umsatz ein. Deshalb hat Brüssel eine Reihe von Richtlinien und Empfehlungen entwickelt, um den Tourismus wieder zu beleben. Das Tourismus- und Verkehrspaket“ der Kommission umfasst eine Strategie für den Aufschwung im Jahr 2020 und darüber hinaus einen gemeinsamen Ansatz zur schrittweisen und koordinierten Wiederherstellung der Freizügigkeit und zur Beseitigung von Beschränkungen an den Binnengrenzen der EU. Es enthält auch einen Rahmen zur Unterstützung der schrittweisen Wiederherstellung des Verkehrs bei gleichzeitiger Gewährleistung der Sicherheit von Passagieren und Mitarbeitern.



    Diese Empfehlung zielt darauf ab, Reisegutscheine zu einer attraktiven Alternative zu Rückerstattungen in bar zu machen. Die Unterstützung der Kommission für Tourismusunternehmen würde in verschiedene Richtungen gehen, beispielsweise durch die Bereitstellung von Liquidität für KMU und durch die Rettung von Arbeitsplätzen mit einer finanziellen Unterstützung von bis zu 100 Mrd. Euro durch das SURE-Programm.




    Ein wichtiges Bindeglied im Tourismus ist der Verkehr. Ein klares Datum für die normale oder schrittweise Wiederaufnahme des Verkehrs kann nicht festgelegt werden, da wir nicht wissen, wie sich die Pandemie entwickeln wird, erklärte die Verkehrskommissarin Adina Vălean für Radio Rumänien, aber die von der Kommission verabschiedeten Regeln zeigen, unter welchen Bedingungen wir reisen werden:



    Ich bekomme oft die Frage: ‚Wann dürfen wir wieder reisen?‘ Die Antwort auf diese Frage muss von den Behörden jedes Mitgliedstaats gegeben werden, wobei einige Kriterien im Zusammenhang mit der epidemiologischen Situation im jeweiligen Staat berücksichtigt werden müssen, die von meinen Kollegen aus dem Gesundheitswesen hervorgehoben wurden. Dann müssen wir uns entscheiden, welche Ziele wir für den Tourismus freigeben, denn wir erwarten natürlich nicht, dass in ganz Europa die gleiche Situation herrscht, die Grenzen geöffnet werden oder die Quarantäne- und Isolationsma‎ßnahmen in jedem Mitgliedstaat gleich sind. Dies sind Entscheidungen, die die nationalen Behörden treffen müssen.“




    Es ist bekannt, dass die Wiederaufnahme des Verkehrs in mehreren Phasen auf flexible und koordinierte Weise zwischen den Mitgliedstaaten erfolgen wird. Es gibt auch klare Bedingungen für den Tourismus, um die Beschränkungen in einem Gebiet oder Mitgliedstaat zu lockern, nämlich dass die Zahl der Infektionen abnimmt und niedrig bleibt, und dass die Staaten den Zugang zum Gesundheitssystem sicherstellen, auch für Touristen. In Rumänien hat der Tourismus in den letzten Monaten 6 Millionen Übernachtungen und rund 250 Millionen Euro verloren, so der Präsident des Verbandes der Hotelindustrie in Rumänien, Călin Ile.



    Die Lage des Tourismus ist sehr kompliziert. Wir waren im Grunde eine rasende Lokomotive und plötzlich sto‎ßen wir gegen eine Mauer. Dies hat zu gro‎ßen Problemen geführt, die derzeitige Situation ist dramatisch“, sagt Călin Ile, der schätzt, dass die Auswirkung der Lage des Tourismus auf das rumänische BIP 5% übersteigen wird. 90% der Hotels in Rumänien wurden wegen der Pandemie geschlossen, und 150.000 der 180.000 Beschäftigten in der Hotel- und Restaurant-Branche wurden in die Kurzarbeit versetzt oder entlassen, sagt Răzvan Pascu, Gründer eines in diesem Bereich tätigen Unternehmens. Seiner Meinung nach könnte die Situation, die wir durchmachen, jedoch eine Chance für den rumänischen Tourismus darstellen:



    Es ist klar, dass sich das Verhalten des Touristen ändern wird. Höchstwahrscheinlich werden sie es nicht mehr vorziehen, gro‎ße Hotels mit All-inclusive-Angeboten beispielsweise in der Türkei zu wählen, wo sie sich mit Tausend Menschen zum Frühstück drängen, sondern andere Reisemöglichkeiten wählen. Ich glaube, dass in der nächsten Zeit Autofahrten und Naturfahrten zunehmen werden, das Verhalten der Menschen wird sich irgendwie ändern. Es kann auch eine Gelegenheit sein, Rumänien als eine andere Art von Reiseziel zu fördern, ein Reiseziel, das Reisemöglichkeiten anbietet, nicht mit anderen eng aneinander zu sein, und ich denke, dass dies in den nächsten 2–3 Jahren die Strategie für Rumänien sein sollte.“




    Die Ergebnisse jüngster Studien zeigen, dass die Menschen in diesem Jahr ihren Urlaub im Ausland aufgeben und den lokalen Tourismus bevorzugen werden.

  • În Munții Măcinului

    În Munții Măcinului

    Ne îndreptăm azi
    către cei mai scunzi munţi din România, dar şi cei mai plini de viaţă: Munţii
    Măcinului. Cu o istorie impresionantă, se consideră că au făcut parte dintr-un
    lanţ muntos străvechi, cu altitudini de 3.000 de metri, care străbătea Europa
    de la vest la est. Din acesta au mai rămas martore colinele din Dobrogea,
    Scoţia şi Bretania. În prezent, există mai multe trasee turistice, majoritatea
    fiind de dificultate medie.


    Dan Staicu, directorul
    Centrului de Informare și Promovare Turistică Măcin, spune că suntem pe cel mai
    vechi teritoriu al României, lanțul muntos având o vechime de aproximativ 300
    de milioane de ani.

    Reprezintă o dovadă evidentă a orogenezei hercinice de la sfârșitul
    paleozoicului, având un aspect de aisberg, de insulă muntoasă. Deși cu greu se
    aseamănă cu niște formațiuni muntoase la ora actuală, având în vedere
    altitudinea redusă, Munții Măcinului sunt recunoscuți drept cei mai vechi din
    România, cel mai înalt vârf fiind vârful Țuțuiatu. Acesta se află în comuna
    Greci și are 467 de metri. Diversitatea peisagistică este dată de formațiunile
    megalitice și de un contrast între peisajul de stepă și de vegetația forestieră
    de la baza munților. Peisajul e presărat cu monoliți erodați a căror formă
    poate fi interpretată în funcție de imaginația fiecăruia.

    De altfel, există și
    12 trasee de drumeție. Cel mai spectaculos ar fi Culmea Pricopanului, spre o
    culme formată acum 250 de milioane de ani. De altfel, peisajul din Masivul
    Pricopanul care este și cel mai spectaculos este caracterizat din diverse
    formațiuni granitice, stânci și panorame vaste asupra Depresiunii Măcin, asupra
    Dunării, a Depresiunii Luncavița. Panorama este frumoasă chiar și către orașele
    Galați, Brăila și Reni. De-a lungul traseului se poate admira peisajul alpin cu
    stânci rotunjite și cu forme bizare. O formă bizară pe acest traseu este și
    Sfinxul Dobrogean pentru care vin cei mai mulți dinte turiști.


    Traseele
    turistice au dificultate mică și medie și pot fi parcurse într-o singură zi,
    cel mai lung fiind de 12 km. Este o arie protejată care are aproximativ 0,05 %
    din suprafaţa României, respectiv 11.000 de hectare. Totuși, aici găsim peste
    jumătate dintre speciile de plante din țară. De exemplu, dacă în România sunt
    aproximativ 3.300 de specii de plante, în Munţii Măcinului găsim în jur de 1.900-2.000 de specii de
    plante.


    Sunt informații pe care le puteți
    afla și la Centrul de Informare Turistică Măcin, care oferă tuturor
    vizitatorilor hărți, pliante și toate informațiile necesare pentru a vizita
    zona. Dan Staicu, directorul centrului:

    De asemenea, le putem recomanda ghizi de
    turism, deoarece pe lângă Munții Măcinului, un obiectiv în sine, mai există și
    alte obiective turistice. Avem cetatea romano-bizantină Dinogeția. Aceasta
    este situată pe o fostă insuliță și e numită de localnici bisericuța. Apoi, pe
    malul Dunării, se poate vizita Cetatea Troesmis, care a fost ridicată de romani
    pe locul unei cetăți getice. De-a lungul perioadei antice, a fost un important
    punct strategic în Ponticele lui Ovidiu. Ulterior, așezarea a fost și lagăr al
    Legiunii a V-a Macedonia.

    Tot în zonă se poate vizita Lacul Iacobdeal. Este un
    lac de carieră, format în urma unei explozii pentru exploatarea granitului.
    Luciul de apă are o suprafață de aproximativ un km și o adâncime de 30 de m. Se
    dezvoltă și acolo un spațiu de campare. În zona noastră avem și triunghiul mănăstirilor. Dintre
    acestea, aș aminti Mănăstirea Cocoș, întemeiată în 1833 de trei călugări români
    veniți de la Muntele Athos. Apoi, Mănăstirea Saon, ridicată în 1846, în timpul
    stăpânirii otomane. Mănăstirea Celik Dere seamănă cu un sat de gospodării împrăștiate,
    având chiar și un muzeu și un atelier de pictură religioasă și de țesut
    covoare. Aici se găsesc și exemplare vechi de carte românească. Un alt obiectiv
    care merită vizitat este crama dobrogeană Pivnița lui Terente. Aceasta e în
    circuitul turistic și oferă doritorilor degustări de vinuri obținute în cea mai
    veche podgorie din Dobrogea.


    Dacă vinurile nu
    vă conving, atunci trebuie să știți că Dobrogea își atrage turiștii în primul
    rând prin multiculturalitate. Comunitățile etnice care locuiesc în acest spațiu sunt un
    exemplu de conviețuire. Turci, tătari, greci, armeni sau evrei, toți și-au
    adus contribuția la prosperitatea zonei.
    Și și-au lăsat și o amprentă gastronomică.

    Dan Staicu, directorul Centrului de
    Informare și Promovare Turistică Măcin, despre feluri de mâncare cu care se
    mândresc locuitorii.

    Noi suntem și la Dunăre, și la munte, deci
    oferta gastronomică e interesantă. Se mândresc cu baclavale, fiindcă am fost
    mult timp sub dominație musulmană. Apoi, avem borșul de pește și pastrama de
    capră sau de oaie care e specifică acestei zone, gătită într-un anumit mod.


    Pentru a petrece
    un sejur în zonă, va trebui să vă rezervați locurile de cazare din timp. Deși
    pensiunile sunt foarte primitoare și vă vor asigura un sejur cât se poate de
    plăcut, numărul acestora nu este foarte mare. De la Dan Staicu, directorul
    Centrului de Informare și Promovare Turistică Măcin aflăm și perioada optimă de
    vizitare.

    Primăvara și toamna e cel mai indicat, fiindcă verile sunt foarte
    călduroase la noi și secetoase, iar pe trasee nu se găsesc multe izvoare. În
    privința cazării, există o pensiune la Măcin și se mai dezvoltă încă două. În comuna Greci, care
    este și poartă în Parcul Național Munții Măcinului sunt deja două agropensiuni.
    Există și la Luncavița trei agropensiuni. Capacitatea acestora de cazare nu
    este foarte mare, aproximativ patru camere. În Luncavița găsim și mai mulți meșteri populari. Aceștia lucrează în
    lut și papură. Ei pot fi vizitați la Centrul de Informare Turistică de acolo.


    În Munții
    Măcinului, există peste 1.000 de specii de fluturi, 37 de specii protejate la nivel
    internaţional de păsări răpitoare și o varietate de ecosisteme: de la pajişte de
    stepă, stânci, până la pădure umedă şi semiumedă şi pădure de fag. Acestea,
    ospitalitatea localnicilor, dar și gastronomia diversă vă vor asigura un sejur
    de neuitat.

  • Proiect de inspiraţie italiană, pus în practică în Deltă

    Proiect de inspiraţie italiană, pus în practică în Deltă

    Apropierea de natură şi
    posibilitatea de a admira peisajele unice în Europa – sunt două
    dintre motivele pentru care turiştii români şi străini aleg să viziteze Delta
    Dunării.


    Însă Delta, nu atrage doar iubitori de
    natură. Şi gurmanzii îşi planifică vacanţe în Deltă,
    cu gândul la tradiţionalul borş de peşte sau alte preparate pe bază de peşte,
    gătite după reţete trasmise de oamenii Deltei din generaţie în generaţie.
    Pe viitor însă, gastronomia Deltei s-ar putea
    diversifica şi mai mult.


    Pe lângă borşul, chiftelele ori zacusca de
    peşte, în meniurile localurilor din Deltă ar putea apărea şi diverse preparate
    din fructe de mare, proaspăt culese din apele Deltei. Astfel, localnicii ar avea o nouă alternativă
    de a-şi câştiga existenţa, în condiţiile în care peştele este tot mai puţin iar
    turismul ar avea şi el de câştigat.
    Este obiectivul unui proiect cu finanţare
    europeană, derulat de Asociaţia de Pescari Goloviţa şi Asociaţia Ro pescador.
    Reprezentanţii acestora vor să găsească
    mijloace de a pescui şi moluşte, în condiţiile în care peştele este tot mai
    puţin.



    Explică preşedintele Asociaţiei RO-PESCADOR,
    Daniel Buhai: Ştim
    cu toţii unde ne aflăm acum: o resursă piscicolă, în cazul multor specii,
    aflată în declin, o presiune ridicată pe această resursă, exercitată de
    populaţia locală. Noi dorim să identificăm acele moluşte cu valoare ridicată de
    piaţă şi perspectivă bună de piaţă, pe care deja le-am găsit în afara
    Rezervaţiei, unde s-a şi reglementat o metodă de pescuit cu hidrodraga pentru
    anumite moluşte, şi unde găsim vongole comune. Iar în Rezervaţie, cel puţin la
    prima cercetare făcută de pe ţărm, există suficient de multe specii care pot
    prezenta intereş mă refer la moluştele vivalde şi nu la rapana, pe care oricum
    ştim că o avem. Proiectul doreşte să ofere o alternativă. Va propune nişte
    măsuri, care să permită anumite metode de pescuit, să stabilească zonele şi
    bineînţeles, să stabilească cotele exploatabile, anual.




    De câştigat va avea şi turismul, susţine
    Daniel Buhai, care mai spune că modelul este preluat din Italia:




    Turismul are o
    componentă culinară foarte importantă. Mai multe de jumătate din turiştii care
    vin în Deltă îşi doresc un borş de peşte. Noi, dorim ca în viitor, să-şi dorească
    să mănânce şi o porţie de spaghete cu vongole sau altă propunere culinară.
    Lucru carem, de fapţ se întâmplă în zona Veneţiei, zonă care prezintă
    caracteristici similare cu Delta Dunării. Din Delta Po-ului, se pescuiesc peste
    20 de mii de tone de vongole şi se produc din acvacultură peste 40 de mii. Nu
    am făcut decât să vedem ce se întâmplă în celelalte ţări şi am rămas surprinşi
    că autorităţile noastre n-au încercat să dezvolte o direcţie în sensul ăsta. Ar
    fi dus la rezolvarea multor probleme sociale în Deltă.




    Proiectul are o valoare de 600 de mii de
    euro şi este finanţat de Fondul European de pescuit şi afaceri maritime.


    Finalitatea proiectului este obţinerea unui
    studiu de specialitate care va cuprinde toate informaţiile necesare pentru
    certificarea activităţii de pescuit pe acest sector şi elaborarea unui ghid de
    bune practici, care va fi transformat într-un îndrumar pentru cei care vor
    desfăşura această activitate.




  • Découverte du comté de Sibiu

    Découverte du comté de Sibiu

    Nous découvrons donc aujourd’hui ensemble une région pour tous les goûts, car on peut y pratiquer presque tous les types de tourisme. Notre guide sur les ondes est Anca Nițoi, archéologue au Musée national Brukenthal, spécialiste du Moyen-Âge et notamment de l’armement médiéval. Elle nous apprend que la ville de Sibiu a été mentionnée pour la première fois au XIIe siècle, plus exactement en 1191, lorsque le Pape Célestin II confère à cette bourgade le statut de prévôté ecclésiastique, lui reconnaissant l’autorité sur les territoires environnants. « Pourtant, avant de parler de la fondation de cette ville, je voudrais préciser qu’au XIIe siècle, le roi hongrois Géza II a procédé à la colonisation saxonne du sud de la Transylvanie, en plusieurs étapes. Il a choisi cette région parce qu’il avait besoin d’une armée pour défendre ses frontières. Deux villes importantes se développent alors : Sibiu et Brașov. Ayant progressé du point de vue économique beaucoup plus vite que Brașov, Sibiu a eu, au Moyen-Âge, une plus grande importance administrative. Sibiu avait le statut de prépositure, c’était était donc un centre ecclésiastique très important en Transylvanie méridionale. A Sibiu se trouvaient les principales guildes, la ville étant donc habitée par un grand nombre d’artisans et de marchands. L’Université saxonne y fonctionnait en 1468. Sibiu a été un centre important pour le développement du sud de la Transylvanie depuis la période médiévale jusqu’à nos jours. »

    La preuve : en 2007, la ville de Sibiu était désignée Capitale européenne de la culture. Ce fut, en quelque sorte, le couronnement de ce que Sibiu représente du point de vue historique, architectural, économique et touristique. Anca Nițoi : « Sibiu est un creuset d’ethnies. C’est pourquoi, en visitant la ville, on découvre des églises catholiques, évangéliques et orthodoxes, ainsi que des synagogues. Du point de vue ecclésiastique, le christianisme et le judaïsme s’y donnent rendez-vous. Si l’on partait en promenade à travers la ville, je vous proposerais d’aller tout d’abord voir la Place Huet et la Petite Place et d’admirer l’église évangélique dans toute sa splendeur. Je vous conseille d’aller voir aussi les fortifications de la ville, les murs qui entouraient Sibiu à l’époque médiévale et qui ont joué un rôle extrêmement important dans la défense de la cité entre le XIIIe et le XVIe siècles. La cité de Sibiu n’a jamais été prise. Les maisons ont été construites en brique et elles ont des toitures en tuile. C’est pourquoi Sibiu était appelé la Ville rouge. Elle ne pouvait pas brûler facilement, comme les autres cités. Les plus beaux bâtiments, dont le Palais Brukenthal, se trouvent autour de la Grand Place. C’est une halte idéale. On peut s’asseoir sur une terrasse pour admirer le panorama. »

    Un des bâtiments remarquables est la Maison Hecht, résidence d’un des maires de la ville. Plus tard, au XVIIIe siècle, ce bâtiment a accueilli l’Université saxonne. Depuis la Grand Place on peut voir aussi la Maison Haller, qui a appartenu, elle aussi, à un maire qui a beaucoup contribué au développement de la ville au XVIe siècle. On peut admirer aussi l’église catholique, érigée au XVIIIe siècle, et le Palais Brukenthal. Célèbre gouverneur de la Transylvanie, Samuel von Brukenthal a été un mécène des arts de son époque en Transylvanie. De nos jours, Sibiu est un important centre culturel. Anca Nițoi : « Sibiu est la capitale du théâtre de l’Est de l’Europe. Le Festival international de théâtre accueilli par la ville est le deuxième grand festival de ce genre d’Europe, après celui d’Edinbourg. Il attire annuellement des centaines de milliers de touristes grâce à son caractère moderne et créatif. Ceux qui s’intéressent aux traditions roumaines ne doivent pas rater le Festival « Les chansons des montagnes » et le Musée Astra. Sibiu offre à ses visiteurs un événement chaque week-end. Et puis, pendant la période des fêtes d’hiver, la Foire de Noël de Sibiu est une des plus belles de Roumanie. »

    Le comté de Sibiu se prête aussi aux randonnées dans la nature et il y a de nombreux itinéraires reliant des villes historiques et des villages traditionnels que vous pouvez parcourir à vélo. D’autres itinéraires peuvent mettre à l’épreuve votre condition physique, si vous voulez par exemple emprunter la belle route qui traverse les Carpates, appelée Transfăgărășan. Le département dispose de plus de 250 km d’itinéraires balisés à travers les collines qui bordent les Carpates et les habitats pittoresques du sud de la Transylvanie. Que vous choisissiez d’aller à pied, à vélo ou en voiture, ne ratez pas une zone à part appelée Mărginimea Sibiului, située aux alentours de la ville de Sibiu et qui compte 18 localités. Anca Nițoi précise : « Mărginimea Sibiului est un lieu de référence pour l’histoire du sud de la Transylvanie. Si, à Sibiu, nous trouvons à chaque pas des vestiges de l’histoire des Saxons, dans la zone de Mărginimea Sibiului on découvre l’histoire des Roumains. Ces dernières années on constate un intérêt grandissant pour la culture traditionnelle et cette zone se remarque justement par la manière dont elle a su conserver ses traditions anciennes. A Gura Râului se déroule chaque année le « Festival de l’azalée », qui fleurit au mois de juin. Des événements organisés à Sibiel nous font également découvrir la vie du village roumain. Si vous choisissez la ville et le comté de Sibiu, vous ne le regretterez pas. »

    Ici prend fin notre nouvel voyage sur les ondes, réalisé aujourd’hui avec le concours du Département pour les relations interethniques du gouvernement roumain. (Trad. : Dominique)