Tag: Grindeanu

  • 21.06.2017

    21.06.2017

    Politique – Le législatif de Bucarest doit débattre et voter aujourd’hui la motion de censure déposée par la coalition majoritaire formée par le Parti social-démocrate et par l’Alliance des libéraux et des démocrates contre son propre gouvernement dirigé par Sorin Grindeanu. Ce dernier a refusé de démissionner même s’il s’est vu retirer le soutien de la coalition gouvernementale. Il a rejeté les conclusions de l’évaluation faite par le PSD des six mois depuis l’installation du cabinet, selon laquelle, des retards avaient été enregistrés dans la mise en œuvre du programme économique. Les autres partis parlementaires, le Parti national libéral, l’Union sauvez la Roumanie, l’union démocrate magyare de Roumanie et le Parti du mouvement populaire ont annoncé qu’ils n’allaient pas se prononcer par vote sur cette motion, puisqu’elle constitue un problème interne de la coalition. Le président Klaus Iohannis a demandé aux partis majoritaires de résoudre la crise et assuré que malgré celle-ci, la Roumanie était un pays stable, avec une bonne situation économique et un partenaire fiable.

    Cour Constitutionnelle – La Cour Constitutionnelle de Roumanie affirme que les personnes ayant déjà purgé une condamnation, celles réhabilitées ou ayant fait l’objet d’une amnistie ainsi que les personnes dont l’infraction pour laquelle elles ont été condamnées ne constitue un fait pénal, peuvent faire partie du gouvernement. Les juges de la Cour ont motivé leur décision par le fait qu’il existe actuellement une certaine incohérence législative, puisqu’une personne ayant été condamnée dans un dossier pénal ne peut pas faire partie du gouvernement, mais elle peut être chef de l’Etat ou bien élu national. La Cour constitutionnelle de Roumanie à recommandé au Législatif de résoudre cette anomalie. Elle s’était prononcée suite à la saisine déposée par l’avocat du peuple, soit le défenseur des droits, au début de cette année. La législation en vigueur n’a pas permis au leader du PSD, Liviu Dragnea de devenir premier ministre, après la victoire de son parti au scrutin législatif de décembre 2016. Il a été condamné avec sursis pour avoir tenté de frauder le référendum de 2012, visant à destituer le président de l’époque, Traian Basescu.

    Fonds – 400 millions d’euros seront disponibles pour le financement des PMEs roumaines après la signature aujourd’hui de plusieurs accords entre six banques locales et la Banque européenne d’investissements. En vertu de ces documents, les institutions financières pourront accorder des crédits tant pour la création de nouvelles PMEs que pour le développement de celles qui existent déjà. L’accord de collaboration entre la Banque européenne d’investissements, la Commission européenne et le gouvernement roumain a été signé à Bucarest en octobre dernier.

    Agriculture – Les affaires du secteur des céréales ont doublé ces sept derniers mois, se chiffrant en 2015 à environ 3,5 milliards d’euros, selon une analyse de la société KeysFin, basée à Bucarest. Plus de 7 mille sociétés qui emploient plus de 40 mille personnes sont actuellement actives dans ce secteur. Par rapport à l’année 2009, le nombre de ces entreprises a augmenté de près de 30%. Conformément à cette analyse qui repose sur les chiffres fournies par la Commission européenne, à la fin mai 2017, la Roumanie serait devenue le principal exportateur de céréales de l’Union. Par ailleurs, selon le vice-gouverneur de la Banque centrale, Liviu Voinea, la Roumanie a enregistré un processus ininterrompu de récupération des décalages qui la sépare des pays développés.

    Conseil – Le secrétaire d’Etat au ministère roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Manoiu a participé mardi au Luxembourg à la réunion du Conseil des Affaires générales ciblé principalement sur les préparatifs pour le Conseil européen les 22 et 23 juin 2017. Le responsable roumain a souligné que les mesures à adopter dans les domaines de la sécurité et de la défense devraient être équilibrées et aboutir au renforcement de la cohésion entre les pays de l’Union, assurer de la plus-value à la contribution de l’Union et de la complémentarité avec les mesures de l’OTAN dans ce domaine. Il a également réitéré l’intérêt de la Roumanie pour appliquer les instruments qui visent la protection des frontières extérieures de l’UE. Pour ce qui est de la migration, le secrétaire roumain d’Etat a souligné l’importance de la consolidation des progrès enregistrés dans la coopération avec les pays d’origine et de transit en vertu du Cadre de partenariat adopté en 2016. Bogdan Manoiu a également réitéré l’ouverture de la Roumanie pour ce qui est de la poursuite du dialogue visant à identifier une solution consensuelle en matière de réforme du Système européen d’asile.

  • June 20, 2017 UPDATE

    June 20, 2017 UPDATE

    POLITICAL CRISIS – The Parliament of Romania is to vote on Wednesday on the no-confidence motion that the ruling coalition made up of the Social Democratic Party and the Alliance of Liberals and Democrats in Romania tabled against their own Government. Although the Cabinet has lost the political support of the coalition, and most ministers have resigned, PM Sorin Grindeanu will not step down. The Social Democratic leader Liviu Dragnea, and the president of ALDE Călin Popescu Tăriceanu said the replacement of the governing team was necessary, considering the delays in the implementation of the governing programme. The accusation is denied by the PM, who claims the report drawn up by the Social Democrats to assess his work is biased. The Grindeanu Cabinet was sworn in after the legislative election of December 2016. Should the motion pass, it will be for the first time in post-communist Romania that a ruling party brings down its own government.




    VISIT – The President of Romania, Klaus Iohannis, was awarded on Tuesday the Dresden Medal of St. George of the Semper Opera Ball, at the Romanian Embassy in Berlin. He dedicated the medal to the Romanian-German friendship. In his address on the occasion, the President reiterated Romanias commitment to the future of the European project. Also on Tuesday, he took part in Berlin in a commemoration of refuge and expulsion victims at the German History Museum. The World Refugee Day, marked on June 20, is a time to reflect on the challenges that humanitarian organisations must handle, in order to identify sustainable solutions to the refugee problems, Iohannis said. He added that Europeans must not forget what brought them together, namely cultural diversity, tolerance and inclusive societies. On the first day of his official visit to Germany, President Iohannis had talks with Chancellor Angela Merkel and the President of Germany Frank Walter Steinmeier.




    REFUGEE DAY – The Romanian Foreign Ministry hails the celebration, on June 20, of the World Refugee Day, and mentions in a news release that Romania granted over 1.5 million euros in 2015-2016, for refugee programmes. Since 1991, around 27,000 people have applied for a form of protection in Romania. Of them, nearly 5,000 have received protection as refugees. Since the beginning of this year, 1,700 people applied for asylum, most of the applicants coming from Syria, Iraq and Pakistan. The number of refugees at world level last year reached a new record, of 65.6 million. The top country of origin remains Syria, with 5.5 million people fleeing that country since the start of the conflict.




    DANUBE SWIM – A Romanian librarian, Avram Iancu, has set out to swim the 2,860 km long River Danube, from its spring to the Black Sea. He started on Tuesday in Germany, and is going to swim 50 km per day, to arrive in Sulina port in south-eastern Romania on August 20, crossing 10 countries and 4 European capital cities. Only two people have so far managed to swim the entire length of the River Danube: the Slovenian Martin Strel, in 2000, and the Canadian Mimi Hughes 6 years later. The Romanian librarian is known for having managed to swim across the English Channel, last August, reaching France from England in nearly 18 hours.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • A la Une de la presse roumaine – 19.06.2017

    A la Une de la presse roumaine – 19.06.2017

    La motion de censure déposée par la coalition gouvernementale contre son propre gouvernement est une première pour la Roumanie, amplement décortiquée par les quotidiens nationaux. Quels sont les chances de succès de cette motion de censure et quel sera l’avenir politique des protagonistes de cette crise politique, Liviu Dragnea et Sorin Grindeanu? Autant de questions auxquelles la presse tente de trouver une réponse.


  • The Week in Review, June 12-18

    The Week in Review, June 12-18

    Political crisis in Romania


    The Romanian political scene is facing these days a crisis of unprecedented magnitude in nearly three decades of post-communist democracy. Here is how the recent events have unfolded: both members of the ruling coalition, the Social Democratic Party (PSD) and the Alliance of Liberals and Democrats in Romania (ALDE), decided on Wednesday to withdraw their political support for Prime Minister Sorin Grindeau, a decision followed by the resignation of all Cabinet members. The Social Democrat leader Liviu Dragnea voiced dissatisfaction with the performance of some of the Cabinet members, saying that 60% of the objectives included in the governing programme had not been fulfilled.


    Liviu Dragnea: “The Social Democratic Party, together with our colleagues in ALDE, is prepared to form a new Cabinet, which will have a much better structured roadmap, including measures to make up for the delays so far. If we carry on like this, with or without Sorin Grindeanu as a Prime Minister, in 3 months time we risk seeing the governing programme a document almost impossible to implement.


    The Prime Ministers reaction, however, came as a surprise:


    Sorin Grindeanu: “I will not resign! And I can tell you exactly why! I have a responsibility towards Romania and the party I am a member of. I believe we should all feel responsible for this, and I most certainly do!


    Sorin Grindeanu has also stated that he will resign only if Liviu Dragnea resigns too, blaming the latter for the current political crisis, and only after the president of the country, Klaus Iohannis, appoints a new Social Democrat Prime Minister. Therefore, the Social Democratic Party has announced that Sorin Grindeanu will be excluded from the party and that, together with ALDE, will introduce a motion of non-confidence in its own Cabinet, the only way to force the Prime Minister to leave, given the latters refusal to resign.


    In the meantime, Romanias President Klaus Iohannis has called on the two coalition parties to find a solution to the internal crisis that led to withdrawing support for the Grindeanu Government. Here is the presidency spokesperson Madalina Dobrovolschi:


    Madalina Dobrovolschi: “The president calls for an urgent settling of the crisis that occurred inside the ruling coalition, in order to avoid political instability. Resolving this internal crisis is strictly the responsibility of the parties that make up the coalition.


    In response to the current situation, the Liberals, in opposition, have stated that they will decide what stand to take after a constitutional solution is found to the crisis. The Save Romania Union has called for early elections, and the Peoples Movement Party has stated that the Social Democrats should take responsibility for the failure of their governing agenda.



    Miners raids of June 1990


    Partly shadowed by the current political crisis in Romania, the case of the so called “miners raids of June 1990 came back to public attention exactly on June 13th, when Romania commemorated 27 years since the stifling of a large-scale rally against the left-wing power installed after the fall of the communist regime in December 1989. On Tuesday, 14 people, including Romanias first post-communist president Ion Iliescu and prime minister Petre Roman and the former head of the Romanian Intelligence Service Virgil Magureanu were charged with crimes against humanity. On June 13-15, 1990, against the background of some extremely violent clashes in Bucharest, which the army had already managed to stifle, president Ion Iliescu blamed the right-wing of attempting a coup and called on civilians to defend the democratic institutions of the state. In response to the call, miners from Jiu Valley came to Bucharest and stormed the University building and the headquarters of the opposition parties and of independent newspapers. The toll of the violent clashes of June 13-15 was four officially recorded deaths, hundreds of wounded and more than one thousand people arrested abusively. Romanias image abroad was severely damaged, too. The military prosecutors indictment reads that illegally involved in this attack were forces of the Interior Ministry and the Defense Ministry, Intelligence Service units as well as over 10,000 miners and other workers. Among other things, Ion Iliescu is accused of having ordered the army to use war armament and ammunition against civilians.



    New salary raises


    Now that the new salary law for public sector employees is about to be promulgated, several categories of public personnel that have not benefited from pay rises for a long time, will get more money too. On Tuesday, the Romanian Chamber of Deputies endorsed a bill under which the employees of public libraries, of the Agriculture and Culture Ministries, part of the public healthcare personnel, active military and civilian personnel with the Defence Ministry will benefit from increased salaries. Statistics show that Romanian employees salaries have increased by 13.4% on average in the past year, reaching the equivalent of some 520 Euro in April.



    The International Theatre Festival in Sibiu


    Sunday is the last day of the International Theatre Festival hosted by the city of Sibiu, in central Romania. For ten days, thousands of spectators have had the opportunity to watch some 500 performances and cultural events included in the festivals agenda. The entire city, but also other places across the county of Sibiu were turned into theatre venues, hosting some 3,000 artists. One of the special guests to this years edition was the famous Russian-born ballet dancer Mikhail Baryshnikov, who said he was very much impressed with the festival.


    (translated by: Mihaela Ignatescu)

  • Die Woche 12.06.-16.06.2017 im Überblick

    Die Woche 12.06.-16.06.2017 im Überblick

    Regierungskrise in Bukarest: Koalition entzieht eigenem Kabinett die Unterstützung



    Auf Rumäniens Polit-Bühne geht es geradezu turbulent zu: Ein halbes Jahr nach dem Amtsantritt der Regierung unter Ministerpräsident Sorin Grindeanu entzog die Koalition aus Sozialdemokraten und ALDE dem eigenen Kabinett die Unterstützung. Einige der Minister hätten die festgelegten Ziele nicht erfüllt, viele Kapitel stünden noch offen und die Koalition möchte die Rückstände aufholen, so Dragnea.



    Die PSD ist bereit, gemeinsam mit den Kollegen von der ALDE, eine neue Regierung zu bilden, mit einem viel besser erarbeiteten Fahrplan. Darin sollen auch die Maßnahmen enthalten sein, mit denen die Rückstände wieder aufgeholt werden. Eine Fortsetzung der aktuellen Regierungstätigkeit, mit Sorin Grindeanu als Ministerpräsident oder auch nicht, könnte dazu führen, dass das Regierungsprogramm sich innerhalb von drei Monaten nicht mehr umsetzen lässt.



    Ministerpräsident Grindeanu lieferte im offenen Schlagabtausch mit den Partei- und Koalitionskollegen einen Paukenschlag.



    Ich werde nicht kündigen! Und ich sage ihnen auch warum! Ich habe die Pflicht, mich Rumänien und meiner Partei gegenüber verantwortungsbewusst zu verhalten! Das ist die Regierung Rumäniens, es ist nicht die Regierung des PSD-Exekutivrates! Ich glaube, dass wir alle hier Verantwortung übernehmen müssen. Und ich tue das!



    Er werde erst nach dem Rücktritt des PSD-Vorsitzenden Liviu Dragnea gehen, sagte Grindeanu noch. Außerdem sollte Präsident Klaus Iohannis nach Beratungen mit den Parteien Ministerpräsidenten aus derselben PSD nominieren. Im Gegenzug kündigten die Sozialdemokraten den Ausschluss Grindeanus aus der Partei an – gemeinsam mit der ALDE wollten sie am Montag einen Misstrauensantrag gegen die eigene Regierung stellen. Darin sehen die meisten Beobachter die einzige Möglichkeit, die Regierung zu stürzen.



    Präsidentensprecherin Mădălina Dobrovolschi trug indes die Botschaft von Klaus Iohannis in die Öffentlichkeit. Der Staatschef forderte die beiden Koalitionsparteien auf, die interne Krise zu lösen.



    Der Präsident verlangt eine dringende Lösung für die Krise innerhalb der Regierungskoalition, um die politische Instabilität zu vermeiden. Für die Beseitigung der internen Krise der Koalition seien allein die ihr angehörenden Parteien verantwortlich.



    Die Liberalen aus der Opposition wollten ihren Standpunkt erst nach einer verfassungsgemäßen Lösung für die derzeitige Regierungskrise klären. Die Union Rettet Rumänien (USR) verlangt Neuwahlen als einzige anständige Lösung, während die Partei der Volksbewegung (PMP) will, dass die PSD offen ihr Scheitern eingesteht.



    Bergarbeiteraufmarsch vom Juni 1990: Staatsanwaltschaft klagt 14 Personen an



    27 Jahre nach der gewaltsamen Niederschlagung der Proteste vom Juni 1990 in Bukarest haben die Militärstaatsanwälte die Ermittlungen beendet. Die 14 angeklagten Personen werden vor den Obersten Kassations- und Justizhof gebracht. Das sind der erste Staatschef im postkommunistischen Rumänien, Ion Iliescu, der ehemalige Premierminister Petre Roman, der Ex-Direktor des Nachrichtendienstes SRI, Virgil Măgureanu, der ehemalige Gewerkschaftsführer der Bergarbeiter im Schil-Tal, Miron Cozma, zusammen mit weiteren 10 Personen. Sie wurden wegen Verbrechen gegen die Menschlichkeit im Fall des Bergarbeiteraufmarsches vom Juni 1990 angeklagt. Die Strafverfahren wurden Anfang 2015 wiedereröffnet, nachdem der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte die rumänischen Behörden verpflichtet hatte, die Verantwortlichen für den Tod von vier Menschen, für die physische Verletzung oder psychische Beeinträchtigung von rund 1400 Personen, für die illegale Verhaftung und Festnahme von Demonstranten sowie für das schlechte Image Rumäniens zu identifizieren. Die Ereignisse fanden einen Monat nach den ersten freien Wahlen statt, die das postkommunistische Regime von Ion Iliescu bestätigt hatten. Weil dieser seine echte Befürwortung von Demokratie, Rechtsstaatlichkeit und Marktwirtschaft nicht glaubhaft beweisen konnte, hatten die radikalsten Teilnehmer an den Marathon-Protesten auch nach den Wahlen am Universitätsplatz ausgeharrt. Ion Iliescu behauptete damals, es sei ein Putschversuch der extremen Rechten, und forderte die Bevölkerung auf, die demokratischen Institutionen zu verteidigen. Die Staatsanwaltschaft ist aber der Auffassung, dass die staatlichen Behörden eine gewaltsame Räumung des Universitätsplatzes durchgeführt haben, wo die Demonstranten friedlich protestierten. Die Militärstaatsanwälte legen nahe, dass sich Kräfte des Innenministeriums, des Verteidigungsministeriums und des Rumänischen Nachrichtendienstes SRI unrechtmäßig an dieser Räumungsaktion beteiligt haben. Hinzu kamen mehr als 10.000 herbeigerufene Bergleute und Arbeiter aus anderen Landesregionen.



    Parlament stimmt weiteren Gehaltserhöhungen für Staatsbedienstete zu



    Staatsbedienstete, die in diesem Jahr noch keine Gehaltserhöhungen bekommen haben, könnten mit dem nächsten Monat mehr Geld sehen. Die Abgeordnetenkammer hat einen Gesetzentwurf diesbezüglich verabschiedet. Der Entwurf sieht u.a. Gehaltserhöhungen für Angestellte der staatlichen Bibliotheken, des Landwirtschafts- und des Kulturministeriums, für einen Teil des Personals im Gesundheitswesen, für Soldaten und den zivilen Angestellten des Verteidigungsministeriums vor. Laut statistischen Daten sind die Gehälter der rumänischen Angestellten im letzten Jahr im Schnitt mit 13,4% gestiegen, auf 2.366 Lei (520 Euro) netto im April. Laut dem Landesstatistikamt haben die Angestellten des Gesundheitswesens mit 36% die größten Gehaltserhöhungen erhalten, während die Angestellten in der IT-Branche landesweit die höchsten Gehälter haben.



    Theaterfestival in Hermannstadt geht am Sonntag zu Ende



    Im zentralrumänischen Sibiu-Hermannstadt neigt sich die 24. Auflage des internationalen Theaterfestivals ihrem Ende zu. Das am Sonntag endende Festival ist das wichtigste dieser Art im Land und einer der wichtigsten Theatertermine weltweit. In diesem Jahr dauerten die Festspiele 10 Tage, an denen 3.300 Schauspieler aus 72 Ländern über 500 Stücke aufführten. Zu den Sondergästen zählte diesmal der berühmte russische Tänzer Mikhail Baryshnikov, der sich von den Veranstaltungen beeindruckt zeigte.

  • 16.06.2017

    16.06.2017

    Politique – Le chef du gouvernement de gauche de Bucarest, Sorin Grindeanu, qui refuse de démissionner de ses fonctions, a demandé une réunion du Congrès du PSD (principal parti de la coalition gouvernementale) qui solutionne la crise politique actuelle. La coalition gouvernementale formée par le PSD et l’Alliance des libéraux et des démocrates a décidé de déposer au parlement une motion de censure contre son propre exécutif, document qui sera voté la semaine prochaine. Le Comité exécutif national des sociaux-démocrates a décidé d’exclure M Grindeanu du parti. Le leader du PSD, Liviu Dragnea, et celui de l’ALDE, Calin Popescu Tariceanu, lui reprochent de ne pas avoir appliqué avec efficacité le programme de gouvernance, accusation rejetée par M Grindeanu. Le président roumain Klaus Iohannis a demandé à la coalition au pouvoir de résoudre cette crise interne.

    Iohannis – Le premier ministre luxembourgeois, Xavier Bettel, fait ce week-end une visite officielle en Roumanie. Il est reçu aujourd’hui par le président Klaus Iohannis, pour parler de la consolidation et de la diversification des relations bilatérales. Les deux responsables doivent également débattre des thèmes de l’agenda européen. Le premier ministre Xavier Bettel doit rencontrer aujourd’hui son homologue roumain, Sorin Grindeanu. Samedi, Xavier Bettel et Klaus Iohannis visiteront la ville de Sibiu, au centre du pays, pour participer aux événements consacrés aux 10 ans écoulés depuis l’année 2007, lorsque le Luxembourg et Sibiu ont été capitales européennes de la culture.

    Théâtre – Le Festival international du théâtre se poursuit à Sibiu, où les places médiévales et les rues piétonnes du centre historique ont été transformées en scènes pour différents défilés, concerts, spectacles de rue et de cirque présentés par des artistes du monde entier. Une quarantaine de spectacles figurent à l’affiche du 8e jour de ce festival. Le célèbre danseur Mikhail Baryshnikov présente aujourd’hui un one-man show fondé sur les poésies de Joseph Brodski – Prix Nobel de littérature. Le festival international du théâtre de Sibiu, le plus important festival consacré aux arts du spectacle de Roumanie est un des plus importants au monde, doit s’achever dimanche.

    Touristes – Le nombre total de touristes étrangers, enregistré en Roumanie durant les trois premiers mois de cette année, s’est élevé à 450 mille et leurs dépenses se sont chiffrées à 220 millions d’euros, a annoncé l’Institut national des statistiques. L’année dernières près de deux millions et demi de touristes ont visité la Roumanie et ils ont dépensé en moyenne un peu plus de 500 euros par personnes. Les affaires ont constitué la principale raison du séjour des ressortissants étrangers en Roumanie durant les trois premiers mois de l’année 2017. Ceux-ci se sont également rendus en Roumanie pour participer à différents congrès et conférences, à des foires, salons et autres expositions.

    Handball – La sélection nationale masculine de handball de Roumanie a perdu sur le score de 32 à 22 le match joué jeudi contre le Bélarus, dans le 2e groupe de qualification à l’Euro 2018 qui aura lieu en Croatie. La Roumanie occupe la troisième place dans son groupe et rencontrera la Pologne dans le dernier match programmé le 18 juin. Pourtant les chances de qualification de la Roumanie sont purement théoriques. La Serbie et le Belarus sont déjà qualifiés au tournoi final.

  • A la une de la presse roumaine – 16.06.2017

    A la une de la presse roumaine – 16.06.2017

    Le souci général de ce vendredi : qui sortira vainqueur de la dispute politique de Bucarest : le premier ministre qui refuse de démissionner ou le chef du principal parti au pouvoir qui insiste à le faire partir, coûte que coûte ?



  • 15.06.2017 (mise à jour)

    15.06.2017 (mise à jour)

    Politique – Le Comité exécutif national du Parti social-démocrate, (principale composante de la coalition au pouvoir en Roumanie) a décidé, ce jeudi, d’introduire une motion de censure contre son propre gouvernement et d’exclure du parti le premier ministre Sorin Grindeanu, qui refuse de démissionner. Le leader de l’autre composante de la coalition au pouvoir, l’Alliance des libéraux et des démocrates, Călin Popescu-Tăriceanu, qui est aussi le président du Sénat, a annoncé que la motion serait déposée au Parlement lundi. Le leader des sociaux-démocrates, Liviu Dragnea, qui est en même temps, le président de la Chambre des députés, et Popescu-Tăriceanu reprochent au premier ministre une mise en œuvre inefficace du programme de gouvernement, accusation que Sorin Grindeanu a rejeté. Par ailleurs, le président roumain Klaus Iohannis demande à la coalition gouvernementale PSD – ALDE de trouver une solution rapide à la crise politique, pour éviter le risque de déstabiliser le pays.

    Déclaration – La Grande Bretagne souligne « son engagement ferme » en faveur de la Roumanie dans le contexte de « l’agression continue » de la Russie, a déclaré, ce jeudi à Bucarest, le ministre britannique de la défense, Michael Fallon, à l’issue de l’entretien avec son homologue roumain, Gabriel Leş. Et lui d’ajouter que Londres continuerait à s’impliquer dans les actions de sécurité en Europe, malgré sa sortie de l’Union européenne. A son tour, le ministre roumain de la défense, Gabriel Leş, a fait savoir que le partenariat stratégique roumano-britannique connaissait une évolution excellente et que « l’engagement britannique était une contribution majeure aux mesures prises par les alliés, ainsi qu’un pilier de la consolidation de l’aspect ‘défense et découragement’ de l’OTAN. Mercredi, les deux responsables se sont rendus à la base aérienne Miahil Kogalniceanu, dans le département de Constanta (sud-est de la Roumanie), où ils ont rencontré les pilotes et le personnel technique qui desservent les quatre appareils Typhoon des Forces aériennes britanniques se trouvant actuellement en Roumanie dans le cadre de missions de police aérienne.

  • Crise politique à Bucarest (mise à jour)

    Crise politique à Bucarest (mise à jour)

    Le refus obstiné du premier ministre roumain Sorin Grindeanu de démissionner de ses fonctions, malgré la requête explicite de son propre Parti social-démocrate (principale composante de la coalition au pouvoir à Bucarest), malgré aussi la démission en bloc des membres du Cabinet, ce refus donc est la source d’une première surprenante dans l’histoire post-communiste de la Roumanie.

    Ce jeudi, le Comité exécutif national du Parti Social Démocrate (PSD) a décidé d’introduire une motion de censure contre sa propre équipe gouvernementale, installée après la victoire écrasante (45% des suffrages) obtenue par le parti aux élections législatives de décembre dernier. Ajoutons à cela l’autre décision du Comité exécutif du PSD, de sanctionner l’attitude rebelle de Sorin Grindeanu et de l’exclure des rangs sociaux-démocrates. La coalition au pouvoir, formée par le PSD et l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE), avait déjà retiré, mercredi, le soutien politique à son propre gouvernement, mais, puisque Sorin Grindeanu s’est montré intraitable, son parti s’est vu obliger à faire le pas suivant, en prenant les décisions rendues publiques ce jeudi.

    Les leaders de la coalition au pouvoir, le social-démocrate et président de la Chambre des députés Liviu Dragnea, et le libéral-démocrate et président du Sénat, Călin Popescu Tăriceanu, ont affirmé que les retards enregistrés dans la mise en œuvre du programme de gouvernement avaient rendu impératif le remplacement de l’Exécutif.

    Le manque d’efficacité est réfuté par le premier ministre, qui considère que les six mois écoulés depuis l’installation de son Cabinet étaient insuffisants pour appliquer des réformes d’ampleur. De plus, Sorin Grindeanu, que Liviu Dragnea lui-même avait imposé au poste de premier ministre, dénonce le manque d’objectivité du rapport d’évaluation de son activité, rapport rédigé par le parti et auquel il n’aurait pas eu accès. Les analystes considèrent que le limogeage de Sorin Grindeanu a été expressément demandé par Liviu Dragnea, mécontent que le premier ministre ait abandonné l’attitude docile du début de son mandat pour se transformer en un personnage en quête d’une autonomie qui dérange.

    En même temps, l’équipe Grindeanu n’a pas réussi à imposer une législation pénale qui rende la vie plus facile à Dragnea, déjà condamné définitivement à une peine de prison avec sursis dans une affaire et en situation extrêmement compliquée dans une autre.

    Par ailleurs, le président de la république, Klaus Iohannis, demande à la coalition gouvernementale PSD-ALDE de trouver rapidement une solution à la crise politique, pour éviter le risque de déstabiliser le pays. L’Administration présidentielle a précisé que c’était aux deux partis de chercher et de trouver la solution. Reste à voir comment le PSD gérera la situation et si l’opposition de droite, généralement inerte, entend profiter d’une situation inespérée jusqu’il y a peu. (Trad. Ileana Taroi)

  • Crise politique à Bucarest

    Crise politique à Bucarest

    Investis il y a 6 mois, le premier ministre Sorin Grindeanu et son cabinet viennent de perdre le soutien de la coalition au pouvoir en Roumanie, à savoir le Parti Social-Démocrate (PSD) et l’Alliance des Libéraux et des Démocrates (ALDE). Votée par les directions des deux partis, la décision a été doublée par la démission de la plupart de l’équipe de l’Exécutif.

    Selon les leaders de la coalition au pouvoir, le social – démocrate Liviu Dragnea et le libéral – démocrate Călin Popescu Tăriceanu, cette décision était nécessaire, vu que le gouvernement n’avait même pas mis en oeuvre la moitié des mesures figurant au programme de gouvernance – un programme qui a valu une victoire sociale-démocrate retentissante aux élections législatives du 11 décembre dernier. Certains ministres n’ont pas obtenu les résultats auxquels ils s’étaient engagés, il y a de nombreux aspects à rattraper, alors que la coalition souhaite payer ses arriérés, a affirmé le leader du PSD, Liviu Dragnea, lors d’une conférence de presse.

    Liviu Dragnea: « Le PSD est prêt, aux côtés de l’Alliance des Libéraux et des Démocrates, à former un nouveau gouvernement, avec une feuille de route mieux structurée, qui comportera les actions et les mesures nécessaire pour récupérer les délais enregistrés. A continuer la gouvernance actuelle, avec ou sans Sorin Grindeanu en tant que premier ministre, le programme de gouvernance risquait, d’ici trois mois, de devenir un document impossible à mettre en oeuvre en Roumanie ».

    A son tour, le président de l’ALDE et premier ministre entre 2004 et 2008, Călin Popescu-Tăriceanu, affirme que le chef d’un gouvernement doit être la main forte capable de coordonner les membres du cabinet afin de remplir les objectifs assumes.

    Călin Popescu-Tăriceanu: «Un gouvernement et un premier ministre qui ne bénéficient plus de soutien politique, ne peuvent plus fonctionner. Normalement, dans une telle situation, le premier ministre doit présenter sa démission. Le gouvernement se retrouve dans l’impossibilité pratique de fonctionner aussi par le fait que les ministres ont annoncé leurs démissions. Nous attendons donc le geste d’honneur de la part du premier ministre ».

    Sans soutien et sans cabinet, le premier ministre Sorin Grindeanu a tout de même réussi à surprendre ses adversaires politiques. Il a fait savoir sans équivoque qu’il n’allait pas quitter ses fonctions. En plus, il estime que l’évaluation de l’activité de son cabinet par le Comité exécutif du PSD a été incorrecte. Et il a précisé aussi qu’il ne démissionnerait que si le chef de l’Etat nomme un nouveau premier ministre social-démocrate, après avoir consulté les formations politiques.

    Sorin Grindeanu : «Je ne démissionne pas ! Et je vous dirai pourquoi. J’ai l’obligation d’avoir un comportement responsable face à la Roumanie et face au parti dont je suis membre. Ce gouvernement est le gouvernement de la Romanie et non pas le gouvernement du Comité exécutif. Je crois que nous devons tous nous en sentir responsables ! Moi, je le suis ! ».

    Parmi les reproches qui lui ont été faits figuraient des mesures impossibles à réaliser au cours des 6 premier mois de gouvernance, pour des objectifs fixés pour l’ensemble du mandant, a précisé le premier ministre. Ce qui plus est, ni lui-même ni les membres de son cabinet n’avaient été informés au sujet du contenu du rapport d’évaluation. Un rapport élaboré, selon les commentateurs, par un proche de Liviu Dragnea, Darius Vâlcov de son nom, ancien ministre des Finances et un personnage controversé qui a passé plus de deux mois derrière les barreaux dans un des trois dossiers de corruption dont il fait l’objet.

    De nombreuses spéculations circulent dans la presse nationale du jour au sujet de la guerre fratricide au sein du PSD. Ce qui est sûr, c’est que si le premier ministre persévère dans son refus de démissionner, Liviu Dragnea ne pourra le faire partir que par le biais d’une motion de censure. Ce qui serait une autre première pour la politique roumaine qui confirmera les estimations des analystes selon lesquels ce grand parti qui domine solitairement la scène politique nationale est incapable de gérer sa victoire électorale et se laisse écraser par le poids de son succès. (Trad. Valentina Beleavski)

  • A la Une de la presse roumaine 15.06.2017

    A la Une de la presse roumaine 15.06.2017

    En effet la « manœuvre terrible entreprise par Liviu Dragnea » qui a retiré le soutien au premier ministre Sorin Grindeanu, été contrecarré par la décision de ce dernier de ne pas démissionner, une décision qui a produit un « choc dans l’histoire de la politique roumaine ». Sur cette toile de fond, la marge d’action du patron social-démocrate semble limitée à la motion de censure, alors que celle du premier ministre est plus ample, puisqu’il est toujours le maître du robinet aux fonds gouvernementaux.



  • 14.06.2017

    14.06.2017

    Gouvernement – Le sort du cabinet de gauche de Bucarest dirigé par le premier ministre Sorin Grindeanu sera décidé aujourdhui dans le cadre du Comité exécutif du PSD, principale formation de la coalition gouvernementale. Le Comité doit évaluer chaque ministre à part et évoquer les possibles remaniements. A la fin de la semaine dernière, le leader du parti, Liviu Dragnea, a affirmé quil nenvisageait pas une destitution de tout le gouvernement. Pour sa part, le premier ministre Grindeanu a affirmé avoir fait sa propre analyse et sest déclaré satisfait des effets quont eu les mesures du cabinet. Le cabinet Grindeanu a été investi après les élections législatives qui ont eu lieu en décembre dernier.



    Défense – Le ministre roumain de la défense, Gabriel Les, et son homologue britannique Michael Fallon visitent aujourdhui la Base aérienne de Mihail Kogalniceanu, dans le sud-est de la Roumanie. Ils doivent rencontrer des pilotes et techniciens qui desservent les avions Typhoon des Forces aériennes royales britanniques, arrivés en Roumanie pour réaliser des missions de police aérienne. Ces missions se déroulent conjointement avec des aéronefs Mig 21 Lancer des Forces aériennes roumaines du 1er mai au 31 août. Selon un communiqué du ministère de la Défense, le déploiement des avions de la Royal Air Force en Roumanie fait partie de la mise en œuvre du Plan daction visant à assurer la capacité opérationnelle de lOTAN sur le flanc oriental de lAlliance, tant sur le secteur nord que sur le sud.



    Auditions – Le maire de la ville de Cluj, dans le centre-ouest de la Roumanie, Emil Boc, a été auditionné par la commission parlementaire spéciale dinvestigation des circonstances dans lesquelles se sont déroulées les élections présidentielles de 2009. Il était, à lépoque, premier ministre et un des proches du président en exercice Traian Basescu, qui sétait adjugé un nouveau mandat après avoir devancé le candidat social-démocrate Mircea Geoana. M Boc a été lunique personne auditionnée aujourdhui par cette commission. La chef de la Direction nationale anticorruption, Laura Codruta Kovesi, a refusé de se présenter aux auditions, mais les membres de celle-ci ont décidé de lui envoyer une nouvelle invitation. Ils ont également présenté aux Bureaux permanents du Sénat et de la Chambre des députés une demande de prolonger de 60 jours lenquête parlementaire et de remettre à début septembre la date butoir pour présenter le rapport de la commission. Celle-ci a été créée après les révélations faites par le journaliste controversé Dan Andronic, qui était en 2009 consultant politique de M Basescu. M Andronic affirme avoir rencontré dans la soirée du deuxième tour du scrutin présidentiel Mme Kovesi, qui était à lépoque procureure générale, lex directeur des Renseignements, George Maior (actuellement ambassadeur aux Etats-Unis) et son premier adjoint Florian Coldea. Ils semblaient sêtre réunis dans un cadre informel dans une sorte de cellule de crise, selon Dan Andronic, puisquà son avis ils allaient être destitués suite à une éventuelle victoire de M Geoana.



    UE – Le chef de la diplomatie roumaine, Teodor Melescanu, a participé mardi à Berlin à une conférence sur le thème de la décennie écoulée depuis ladhésion de la Roumanie à lUE. Même si la Roumanie nest pas un Etat fondateur de lUE, Bucarest souhaite contribuer dune manière significative à lavenir du projet européen, pour que lUnion demeure une communauté fondée sur des valeurs communes, une communauté efficace et solidaire, mais aussi significative au niveau mondial, a déclaré M Melescanu. Il a également mentionné les pas que la Roumanie avait entrepris en vue dadhérer à lUE et lappui constant que lAllemagne lui a accordé à cette fin. Le président roumain, Klaus Iohannis, fera du 19 au 21 juin une visite à Berlin au cours de laquelle il doit rencontrer son homologue allemand Frank Walter Steinmeier et la chancelière Angela Merkel.



    Nucléaire – Le directeur en charge de la sécurité nucléaire de lInstitut national de recherche et de développement pour la physique et lingénierie nucléaire de Magurele, dans la banlieue bucarestoise, Mitica Dragusin, est désormais le premier expert roumain membre de la Commission du Parlement européen chargée du démantèlement des réacteurs nucléaires et du management des déchets radioactifs. Le physicien roumain a été sélectionné par le Centre de recherche scientifique de lUE à la proposition de linstitut roumain. Rappelons-le, des experts qui travaillent au projet du laser de grande intensité de Magurele seront présents à lexposition mondiale du Kazakhstan pour parler de loffre de lInstitut de Magurele en matière de démantèlement des réacteurs nucléaires ayant été utilisés dans des recherches scientifiques.





    Foot – La sélection nationale de foot de Roumanie a battu le Chili sur le score de 3 buts à 2, dans le cadre dun match amical déroulé à domicile, à Cluj, dans le centre-ouest du pays. Menés 0 à 2 par les champions en titre de lAmérique du Sud, les footballeurs roumains ont réussi à renverser le score bénéficiant aussi de lélimination à la 33e minute du capitaine chilien. Ce fut le premier match de la sélection nationale après la défaite 1 à 3 contre la Pologne, samedi à Varsovie dans le groupe E des préliminaires de la Coupe du Monde de lannée prochaine en Russie.




    Handball – La sélection nationale féminine de handball de Roumanie sest qualifiée au Championnat du monde qui se tient en décembre en Allemagne, après avoir battu mardi dans la soirée, lAutriche, sur le score de 33 à 24, dans le match retour du barrage. Les Roumaines avaient également remporté le match aller vendredi à domicile à Oradea, dans louest, sur le score de de 34 à 29. La Roumanie est lunique pays à avoir participé à toutes les 22 éditions du Championnat du monde.

  • A la Une de la presse roumaine – 14.06.2017

    A la Une de la presse roumaine – 14.06.2017

    C’est le jour J pour le gouvernement roumain, care entre le président du principal parti au pouvoir et son premier ministre, rien ne va plus : qui part et qui reste, alors ? C’est la question-clé dans tous les journaux.




  • 08.06.2017 (mise à jour 2)

    08.06.2017 (mise à jour 2)

    Tennis – Sur la terre battue de Roland Garros, la joueuse roumaine de tennis Simona Halep, 4e mondiale a vaincu ce soir Karolina Pliskova 3e mondiale, de République Tchèque dans les demi-finales de la compétition sur le score de 6-4, 3-6, 6-3. En finale, Simona Halep affrontera Jelena Ostapenko d’Estonie.

    Washington – Le président roumain, Klaus Iohannis rencontrera vendredi à Washington son homologue américain Donald Trump. Selon le chef de l’Etat roumain, cette entrevue aura un impact positif majeur tant pour le public roumain que pour la communauté roumaine des Etats-Unis. Conformément à l’Administration présidentielle de Bucarest, le principal thème de la réunion est l’élargissement du partenariat stratégique bilatéral, sur la toile de fond de son 20e anniversaire cette année. Le président roumain reconfirmera l’engagement ferme des autorités de Bucarest de demeurer un allié prédictible, stable et fiable des Etats-Unis. Vendredi également, le responsable roumain devrait rencontrer le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson. L’agenda de la visite a également inclus entre autres, un entretien avec le président du Sénat américain Orrin Hatch et un dialogue avec des représentants de la communauté roumaine des Etats-Unis.

    Rencontre – Le premier ministre roumain Sorin Grindeanu et son homologue français Edouard Philippe ont discuté jeudi matin à Paris de l’évolution politique post-Brexit de l’Union européenne et de la relation entre Bucarest et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). M. Grindeanu a exprimé son appréciation du soutien de la France à l’adhésion de la Roumanie à l’OCDE. Les deux chefs de gouvernement ont examiné les moyens de consolider économiquement, diplomatiquement et culturellement, le Partenariat stratégique bilatéral conclu en 2008. Mercredi, le premier ministre roumain a participé, également à Paris, à la cérémonie d’adhésion de la Roumanie à l’Agence pour l’énergie nucléaire de l’OCDE.

    Procureur européen – La Roumanie compte parmi les 20 états membres de l’UE à avoir signé ce jeudi au Luxembourg, l’acte fondateur d’un parquet européen, censé investiguer les cas pénaux transfrontaliers qui touchent au budget et aux intérêts financiers communautaires. Selon cet accord, la juridiction du parquet s’étendra sur les 20 Etats membres ayant décidé de créer cette institution, qui siègera à Luxembourg. La décision a été adoptée dans la cadre de la réunion du Conseil justice et Affaires intérieures de l’Union.


    Economie – La Roumanie a enregistré l’avancée économique la plus significative sur les 28 Etats membres de l’UE, soit une hausse de 5,6% durant le premier trimestre de l’année 2017, par rapport à la même période de l’année 2016, selon la troisième estimation rendue publique aujourd’hui par l’office européen des statistiques Eurostat. Les essors économiques les plus importants de l’UE ont été enregistrés en Roumanie, Slovénie, Lituanie, Estonie, Lettonie, Pologne, Hongrie et en Bulgarie. Aucune baisse du taux des PIB des Etats membres n’a été signalée durant les trois premiers mois de l’année 2017.


    Justice – La procureur en chef de la Direction nationale anticorruption de Roumanie, Laura Codruta Kovesi a annoncé ce jeudi qu’elle n’envisageait pas de se présenter la semaine prochaine devant la Commission parlementaire d’enquête des élections présidentielles de 2009. Elle a motivé son geste par la décision du Conseil supérieur de la magistrature conformément auquel « les procureurs ne peuvent pas être cités et ils ne sont pas obligés de se présenter en tant que témoins devant les Commission parlementaires, puisque conformément aux normes constitutionnelles, ils font partie de l’autorité judiciaire ». Plusieurs responsables, dont l’ex premier ministre Emil Boc et l’ex directeur du Service roumain de renseignements George Maior ont également été invités aux auditions qui devraient se dérouler la semaine prochaine. La création de la commission a été décidée suite aux révélations d’un journaliste, aux dires duquel durant le scrutin présidentiel de décembre 2009, plusieurs hauts fonctionnaires de l’Etat, auraient été influencés par les chefs d’institutions en charge de la sécurité nationale. Les élections présidentielles ont été remportées par le candidat de la droite, Traian Basescu face au social-démocrate Mircea Geoana.

  • Nachrichten 08.06.2017

    Nachrichten 08.06.2017

    Präsident Klaus Iohannis kommt am Freitag in Washington mit seinem Amtskollegen Donald Trump zu Gesprächen zusammen. Das Treffen werde sowohl bei der Öffentlichkeit in Rumänien als auch bei der rumänischen Gemeinschaft in den USA einen positiven Anklang finden, sagte der Staatschef. Laut einer Mitteilung des Präsidialamtes in Bukarest wird es dabei vor allem um die Erweiterung der bilateralen Strategischen Partnerschaft gehen, die vor genau 20 Jahren abgeschlossen worden war. Ferner soll Iohannis das Engagement Bukarests bekräftigen, als berechenbarer, stabiler und vertrauenswürdiger Partner der USA aufzutreten. Ebenfalls am Freitag plant der rumänische Präsident eine Unterredung mit dem US-Staatssekretär Rex Tillerson. Auf seiner Agenda standen außerdem Gesprächsrunden mit dem Interimsvorsitzenden des Senats, Orrin Hatch, sowie ein Dialog mit den Vertretern der rumänischen Gemeinde in den USA.



    Der rumänische Premierminister Sorin Grindeanu ist am Donnerstagmorgen in Paris mit seinem französischen Gegenüber Edouard Philippe zusammengekommen. Laut dem Radio-Rumänien-Korrespondenten beinhaltete die Diskussionsagenda eine Bewertung der poltischen Lage der Europäischen Union nach dem Brexit, sowie die Beziehungen Bukarests zu der Organisation für Wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OCDE). Grindeanu erklärte, dass Rumänien die Unterstützung Frankreichs hinsichtlich des Beitrittes Rumäniens zu dieser Organisation zu schätzen wisse. Gemeinsam mit Philippe erörterte er auch die Möglichkeiten zur Konsolidierung der Strategischen Partnerschaft, die 2008 geschlossen wurde, im wirtschaftlichen, diplomatischen und kulturellen Bereich. Dieses war das erste Treffen Edouard Philippes mit einem Amtskollegen seit seiner Amtsübernahme letzen Monat. Am Mittwoch beteilgte sich Premierminister Grindeanu in Paris auch an der Beitrittszeremonie Rumäniens zur Agentur für Atomenergie der OCDE.



    Rumänien hat im ersten Quartal 2017 den größten Wirtschaftsaufschwung der 28 EU-Mitgliedsstaaten mit einer Steigerung des BIP um 5,6% gegenüber dem Vergleichszeitraum des Vorjahres verzeichnet. Diese Schätzung wurde am Donnerstag von dem Europäischen Statistikamt (Eurostat) veröffentlicht. Die höchsten Fortschritte EU-weit im Zeitraum Januar – März 2017 wurden in Rumänien, Slowenien, Litauen, Estland, Lettland, Polen, Ungarn und Bulgarien verzeichnet. In der EU wurde keine Senkung des BIP in den ersten drei Monaten des Jahres 2017 registriert.