Tag: Grindeanu

  • Nachrichten 24.05.2017

    Nachrichten 24.05.2017

    Präsident Klaus Iohannis reist am Donnerstag zu einem Treffen der Staats- und Regierungschefs der NATO-Mitgliedsstaaten nach Brüssel. Laut einer Mitteilung aus dem Präsidialamt soll Iohannis dabei die Rolle Rumäniens als berechenbarer, seriöser und verantwortungsbewusster Alliierter hervorheben. Beleg dafür sei die Zuweisung von 2% des BIP für die Verteidigung. Ferner werde der Staatschef auf die Bedeutung der Stärkung der Ostflanke der NATO verweisen und für eine erweiterte Rolle des Militärbündnisses bei der Bekämpfung des Terrorismus plädieren. Am Rande des NATO-Treffens in Brüssel wird Iohannis mit seinem polnischen Kollegen, Andrzej Duda, zusammenkommen. Das Hauptthema der Gespräche wird die Konsolidierung der bilateralen strategischen Partnerschaft sein, heißt es in der Mitteilung noch.



    Rumänien und Estland haben ähnliche Ansichten über die Zukunft der Europäischen Union. Dies erklärte am Mittwoch der rumänische Ministerpräsident Sorin Grindeanu, nach dem Treffen mit seinem estnischen Gegenüber, Juri Ratas, der einen Bukarestbesuch unternimmt. Dabei bekräftigte Grindeanu die Unterstützung Rumäniens für die ambitionierte Agenda der estnischen EU-Ratspräsidentschaft in der zweiten Hälfte dieses Jahres. Ein weiteres Gesprächsthema war der Brexit; in diesem Zusammenhang sagte Grindeanu, dass die Bukarester Behörden die Rechte der rumänischen Bürger, die in Großbritannien arbeiten oder studieren schützen müsse. Bei dem Treffen vereinbarten die zwei Ministerpräsidenten die Konsolidierung der bilateralen wirtschaftlichen Zusammenarbeit sowie der Kooperation in den Bereichen Sicherheit, Verteidigung, Kultur, Bildung und Cybersecurity.



    Antikorruptions-Staatsanwälte haben im Zuge der Ermittlungen zur Präsidentschaftswahl 2009 mehrere Prominente angeklagt. Dazu zählen etwa die ehemalige Entwicklunsministerin, Elena Udrea, die Tochter des ehemaligen Staatspräsidenten Traian Basescu, Ioana Basescu, und der ehemalige Präsidentenberater, der Journalist Dan Andronic. Auch weitere drei Amtsträger müssen sich nun vor Gericht verantworten. Es geht dabei um ein Strafverfahren betreffend die Finanzierung des Wahlkampfs für die Präsidentschaftswahl 2009. Elena Udrea, die als einflußreichste Person unter den Nahestehenden von Ex-Präsident Basescu gilt und bereits in anderen wichtigen Korruptionsverfahren angeklagt wurde, wird nun der Anstiftung zur Bestechungsannahme und der Geldwäsche beschuldigt. Dieselben Taten soll laut Anklage auch Ioana Basescu verübt haben. Dem Journalisten und ex-Präsidentenberater Dan Andronic wird Falschaussage und Begünstigung des Straftäters vorgeworfen. Nach den jüngsten Enthüllungen Andronics betreffend die Präsidentschaftswahlen 2009 wurde ein Sonderparlamentsausschuss zur Untersuchung der damaligen Ereignisse gegründet. Der Sonderausschuss des Bukarester Parlaments untersucht die Umstände des Wahlsiegs Traian Basescus gegen seinen damaligen sozialdemokratischen Kontrahenten Mircea Geoana.



    Rumänien hat das Schweinepest-Virus beseitigt. Das Land wurde auf die offizielle Liste der Staaten aufgenommen, in denen die klassische Schweinepest nicht mehr vorkommt. Am Donnerstag wird Rumänien im Plenum der Weltorganisation für Tiergesundheit auch das entsprechende Zertifizierungsdiplom erhalten. Dies gab am Mittwoch der Vorsitzende der Abgeordnetenkammer, Liviu Dragnea, auf seiner Internetseite bekannt. Nach mehr als 10 Jahren wurde damit das wichtigste Hindernis gegen den Export von rumänischem Schweinefleisch beseitigt. Rumänien habe nun alle Chancen, auf die internationalen Fachmärkte zurückzukehren, nachdem die Schweinefleisch-Importe jahrelang viel höher als die Exporte ausgefallen waren, so Liviu Dragnea. Japan, die USA, Kanada und Mexiko haben bereits Interesse für die Aufnahme von bilateralen Verhandlungen geäußert.



    In der rumänischen Hauptstadt Bukarest hat am Mittwoch die 12. Auflage der Internationalen Buchmesse Bookfest begonnen. Fünf Tage lang können die Messebesucher an über 400 Veranstaltungen und Events teilnehmen – Buchvorstellungen, Debatten, Rundtischgespräche, Konzerte, Filmvorführungen, Theateraufführungen und interaktive Aktionen. Ehrengast der Buchmesse Bookfest 2017 ist Schweden.

  • 22.05.2017 (mise à jour)

    22.05.2017 (mise à jour)

    Bruxelles – La ministre roumaine
    déléguée aux Affaires Européennes, Ana Birchall a déclaré ce lundi à Bruxelles
    à la Réunion du Conseil des Affaires générales que pour les autorités de
    Bucarest la clé des négociations autour du Brexit était la protection des
    droits des Roumains vivant au Royaume-Uni. Dans son discours, la responsable
    roumaine a souligné que la Roumanie soutenait la poursuite de la coopération
    avec Londres en vue de prévenir et de combattre toute forme de discrimination
    et d’abus envers les ressortissants Roumains du Royaume-Uni. Par ailleurs, la
    ministre roumaine s’est prononcée en faveur d’une voix unitaire de l’UE dans le
    cadre des négociations. La Roumanie soutient l’approche de la Commission
    européenne pour ce qui est de maintenir une relation privilégiée avec la Grande
    Bretagne notamment dans les domaines judiciaire, des affaires intérieures, de
    la sécurité et de la défense a affirme la ministre Ana Birchall.

    Istanbul – Le chef de la diplomatie roumaine, Teodor Melescanu, a réitéré ce lundi à Istanbul l’appui de la Roumanie au parcours européen de la République de Moldova, de la Géorgie et de l’Ukraine, suite à la mise en œuvre des Accords d’association. Présent à une réunion de l’organisation de coopération économique en Mer Noire, M Melescanu a reconfirmé l’appui de la Roumanie à l’intégrité territoriale de l’Ukraine dans le cadre de ses frontières reconnues au niveau international. A cette occasion, les participants à la réunion ont adopté une déclaration commune qui établit, entre autres, les perspectives de développement de l’organisation. A présent, l’Organisation compte 12 Etats membres : Roumanie, République de Moldova, Albanie, Arménie, Azerbaïdjan, Bulgarie, Géorgie, Grèce, Russie, Serbie, Turquie et Ukraine.

    Gouvernement – Le premier ministre
    Sorin Grindeanu et les leaders des deux partis au pouvoir en Roumanie :
    Liviu Dragnea (du PSD) et Calin Popescu Tariceanu (de l’Alliance des libéraux
    et des démocrates) qui sont également les présidents des deux Chambres du
    Parlement analyseront à la fin de cette semaine, l’activité du Gouvernement de
    gauche de Bucarest. M Dragnea a déclaré que la réunion était consacrée
    exclusivement à l’activité de tous les ministres. Il est possible que les
    pourparlers ne se matérialisent pourtant pas en propositions de remaniement
    gouvernemental, a précisé le leader social-démocrate. Les deux partis sont
    arrivés au pouvoir après les législatives de décembre dernier.

    Salaires – Le projet de la Loi de la grille unique des salaires qui prévoit de majorer progressivement les revenus dans le secteur public à l’horizon 2022, est débattu à partir de ce lundi par le plénum du Sénat de Bucarest. Auparavant, la commission pour l’emploi de la Chambre haute du Parlement de Bucarest a procédé à plusieurs modifications du document, en augmentant de 25% les indemnités des élus locaux qui appliquent des projets au financement européen et en accordant un bonus de 15% aux fonctionnaires publics des services appartenant au Ministère de l’environnement. Le projet de la grille unique des salaires augmente notamment les revenus des employés de l’ensemble du secteur public, des majorations qui vont, dans certains cas, jusqu’à 200% de la somme de départ. Mécontents par la variante proposée, les syndicats de l’administration publique ont annoncé pour la semaine prochaine des protestations à travers le pays, y compris dans la Capitale, Bucarest. Conformément aux leaders syndicaux, 120 mille salariés sont attendus aux manifestations prévues par les syndicats.

    Commission européenne – La Commission européenne a averti la Roumanie qu’en raison de certains dérapages de 2016, elle risquait de ne pas atteindre l’objectif budgétaire à moyen terme. L’exécutif communautaire recommande au Conseil de l’UE d’élaborer un document qui impose à la Roumanie une série de mesures à adopter en 2017 censées corriger les dérapages budgétaires de cette année. La Commission européenne précise que c’est pour la première fois qu’une telle procédure du cadre de gouvernance économique de l’UE est déclenchée. Les autorités de Bucarest ont ainsi la possibilité d’introduire des mesures de correction afin d’éviter le déclenchement de la procédure de déficit excessif. Celle-ci impose des sanctions contre le pays communautaire dont le déficit public est supérieur à 3% du PIB. Selon une estimation préliminaire rendue publique au mois d’avril par l’Office européen des statistiques, Eurostat, quatre Etats membres de l’UE, dont la Roumanie, l’Espagne, la France et le Royaume Uni ont enregistré un déficit gouvernemental égal ou supérieur à 3% du PIB.

    Sondage – 75% des Roumains affirment
    que le pays se dirige dans la mauvaise direction, alors que seuls 20% affirment
    le contraire, selon un sondage rendu public ce lundi à Bucarest. Pour que la
    situation s’améliore, la vaste majorité des Roumains, soit 72%, affirme qu’il
    faut combattre la corruption. Ils sont suivis par ceux qui déclarent qu’il faut
    œuvrer pour créer des emplois (64%), combattre la pauvreté (62%), augmenter les
    revenus (54%), lutter contre le détournement de fonds publics (54%) et résoudre
    les problème du système de Santé (46%). Par ailleurs, 50% des personnes
    interviewées se sont déclarées intéressées et très intéressées par le problème que
    constitue le conflit d’intérêts alors que 17% seulement ne sont pas du tout
    intéressés par ce sujet. Sous le titre « Perceptions et attitudes de la
    population sur le conflit d’intérêts au niveau central et local en
    Roumanie », l’étude a été commandée par l’ONG appelée l’Institut des
    politiques publiques et elle a une marge d’erreur de +/- 3%.

    Ghita – L’ex-parlementaire roumain Sebastian Ghita, qui est actuellement en détention provisoire en Serbie, a été entendu ce lundi par vidéoconférence par la Haute Cour de Cassation et de Justice de Bucarest. La semaine dernière, durant les auditions devant la Cour suprême de Justice de Serbie, il a demandé de ne pas être extradé en Roumanie, invoquant la persécution politique à laquelle il serait soumis en Roumanie. Sebastian Ghita, un très connu homme d’affaires, vu comme un proche de l’ex-premier ministre social-démocrate Victor Ponta fait l’objet de plusieurs dossiers instruits par la Direction nationale anticorruption. Poursuivi par Interpol, M Ghita a été arrêté le mois dernier à Belgrade. Lors d’une interpellation il avait présenté un faux passeport slovène, délit puni en Serbie, pays qui ne fait pas partie de l’UE, par une peine de prison allant de 6 mois à 3 ans.

  • Nachrichten 13.05.2017

    Nachrichten 13.05.2017

    Ein massiver Cyberangriff hat Zehntausende Computer von Unternehmen, Behörden und Verbrauchern weltweit blockiert. Betroffen waren unter anderem Krankenhäuser in Großbritannien, der spanische O2-Mutterkonzern Telefónica und das russische Innenministerium. Ein Teil der Produktion in den Werken der Renault-Tochter Dacia war aufgrund von Störungen im EDV-System beeinträchtigt. Mehrere Angestellte durften nach Hause gehen. Die Angreifer setzten dabei eine Erpresser-Schadsoftware ein, die Computerdaten verschlüsselt und nur gegen Zahlungen wieder freigibt. In vielen britischen Krankenhäusern sorgte das Schadprogramm für Chaos. In einigen Fällen mussten Krankenwagen zu anderen Kliniken dirigiert und die Patientenaufnahme gestoppt werden. Auch Rechner der Deutschen Bahn waren von dem Angriff betroffen. Wie ein Sprecher des Unternehmens am Samstag mitteilte, sei der Zugverkehr aber nicht beeinträchtigt worden, meldete die Deutsche Welle. Nach Angaben von Experten des Forcepoint Security Labs wurde das Erpresservirus von fast fünf Millionen E-Mails pro Stunde weiterverbreitet. Am Freitag hatte der Rumänische Nachrichtendienst noch mitgeteilt, er habe einen Cyberangriff gegen eine Regierungsbehörde vereiteln können. Um wen es dabei ging wurde nicht bekannt gegeben, in den Medien in Bukarest war vom Außenministerium die Rede.



    Die Union Rettet Rumänien (kurz: USR) wird im Rahmen eines Parteitags im westrumänischen Klauseburg am Samstagnachmittag ihren Vorstand wählen. Die USR war bei den letzten Wahlen als drittstärkste Parlamentspartei hervorgegangen. Beim ersten Parteitag der Union hatten die Delegierten auch über die interne Satzung abgestimmt. Laut Angaben der USR möchte die Partei in zwei Jahren zur zweitstärksten politischen Macht in Rumänien aufsteigen und nach den Wahlen 2020 den Ministerpräsidenten bestimmen dürfen. Gleichzeitig will die Union Rettet Rumänien im Jahr 2020 mit Chancen in den Wahlkampf um die Bürgermeisterämter der großen Städte in Rumänien treten. Indes hat im nordwestlichen Zalau der 13. Parteitag des Ungarnverbandes begonnen. In einer Mitteilung an die etwa Tausend Teilnehmer bezeichnete Landespräsident Klaus Iohannis die Partei als langjährigen Stützpfeiler der demokratischen Strukturen in Rumänien, was auch für die kommenden Jahre gelten werde. Er erinnerte auch an die Tatsache, dass der Ungarnverband bislang gemeinsam mit allen größeren Parteien des Landes Regierungskoalitionen gebildet hat.



    Ministerpräsident Sorin Grindeanu hat die schnelle Gründung einer Taskforce zur Bekämpfung der Impfkrise verlangt. Daran sollen sich Vertreter der Regierung, Impfstoff-Experten, die Berufsverbände und die Zivilgesellschaft beteiligen. Die Taskforce soll einen genau definierten Auftrag bekommen, einschließlich Vorschläge zur Abänderung der gesetzlichen Grundlage zu unterbreiten. Kurzfristig soll so der Erwerb der notwendigen Impfungen ermöglicht und mittelfristig der Aufbau eines Lagerbestands in die Wege geleitet werden. In Rumänien sind die fehlenden Impfstoffe bereits zum hausgemachten Problem geworden. In Abständen von einigen Monaten sind die Bestände der Pflichtimpfungen für Neugeborene in den Krankenhäusern und Apotheken immer wieder aufgebraucht.



    Ilinca und Alex Florea sind die Vertreter Rumäniens im Finale des Eurovision Song Contests am Samstagabend in Kiew. Sie werden im zweiten Teil des Musikwettbewerbs auf die Bühne steigen, die Auslosung hatte ihnen die 20. Startposition beschert. Ihr Lied Yodel It! wird bei den Wettbüros mit der sechstbesten Chance auf den Gewinn gehandelt. Ilinca und Alex Florea wurden von mehreren Fanseiten als beliebtestes Duo beim diesjährigen ESC bezeichnet. Die 65. Auflage des populären Musikwettbewerbs finden heuer unter dem Motto Celebrate Diversity statt.



    SPORT: Die bestplatzierte rumänische Tennisspielerin Simona Halep bestreitet am Samstagabend das Finale beim WTA-Turnier in Madrid. Die Weltranglistenachte trifft dabei auf die Französin Kristina Mladenovici (17. WTA). Die Statistik ist nicht gerade ermutigend für Halep: Bei bislang fünf Direktbegegnungen mit Mladenovici gelang ihr nur ein Sieg. Dennoch hat die Rumänin bereits Geschichte geschrieben: Sie ist die erste die das Finale des Turniers in Madrid zum dritten Mal erreicht. 2012 hatte sie den Kürzeren gezogen, jedoch letztes Jahr setzte sie sich in der spanischen Hauptstadt die Krone auf.

  • 12.04.2017

    12.04.2017

    Décentralisation – Le premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, a fait savoir que le gouvernement allait adopter ce mercredi la stratégie de décentralisation de l’administration publique. Il a précisé que l’on envisageait de transférer dans la gestion des autorités locales toutes les tâches qui pouvaient l’être. Les domaines concernés par le processus de décentralisation sont l’Agriculture, la Culture, le Tourisme, l’Environnement, la Santé, l’Education et les activités extrascolaires, la Jeunesse et les Sports. L’objectif général assumé par cette stratégie consiste à transférer de novelles compétences, excepté l’inspection et le contrôle, vers les autorités locales – mairies, conseils locaux et départementaux. Une grande partie de ces compétences sont actuellement assumées par les directions décentralisées des ministères.

    Inflation – En Roumanie, le taux d’inflation annuel a stagné à 0,2%, au mois de mars 2017. Selon les données fournies par l’Institut national de la statistique, c’était le troisième mois consécutif avec des valeurs positives, après 19 mois de taux d’inflation négatifs. En février dernier, le taux d’inflation s’était situé toujours à 0,2%, tandis qu’en janvier il s’était élevé à 0, 05%. Mars 2017 c’était aussi le troisième mois à ne plus inclure les effets de la réduction générale de la TVA de 24 % à 20 % , décidée le 1er janvier 2016. Pourtant, à compter du 1er janvier 2017, la TVA a baissé, de 20% à 19%. En plus, l’accise supplémentaire de 7 centimes d’euros par litre de carburant a été éliminée, ce qui a réduit d’environ 40 bani (environ 10 centimes d’euros) le prix à la pompe de l’essence et du gasoil. Fin 2016, pour la deuxième année de suite, le taux d’inflation annuel s’est situé en terrain négatif, avec une valeur de moins 0,5%.

    Concours – L’équipe nationale de Roumanie a remporté trois médailles d’argent et une de bronze à la 6e édition de l’Olympiade européenne de mathématiques pour filles, qui a eu lieu à Zurich, en Suisse, du 6 au 12 avril. Les élèves primées apprennent à des lycées d’informatique prestigieux de Bucarest, la capitale et de Slatina, ville du sud de la Roumanie. L’Olympiade européenne de mathématiques pour filles est une compétition internationale similaire à l’Olympiade internationale de mathématiques. Chaque équipe participante est formée de 4 membres. L’édition de cette année a réuni plus de 160 concurrentes de 43 pays.

    Météo – Températures à la baisse à travers la Roumanie et notamment dans le sud, l’est et le centre du pays. Les maxima vont aujourd’hui de 11 à 20 degrés. Le ciel est variable, couvert sur le sud et sur le relief où des pluies à verse sont signalées. Des précipitations mixtes tombent sur le relief. 12 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Nachrichten 13.03.2017

    Nachrichten 13.03.2017

    Ministerpräsident Sorin Grindeanu hat am Montag im Plenum der Abgeordnetenkammer die Verabschiedung der Eilverordnungen 6. und 9. der Regierung rechtfertigt. Die beiden Verordnungen waren von Opposition und Zivilgesellschaft scharf kritisiert worden. Beide Regierungsverordnungen sind bereits vom Senat gebilligt worden und sollen weiter von der Abgeordnetenkammer diskutiert werden. Die Abgeordnetenkammer verfügt in diesem Fall über Entscheidungsbefugnisse. Die Regierungsverordnung 6 betrifft die Finanzierung des Nationalen Programms für Regionalentwicklung und die Verordnung 9 schafft die Ausgaben-Obergrenze für öffentliche Behörden ab. Die oppositionelle national-liberale Partei erklärte, man könne mittels dieser Verordnungen riesige Summen an die politische Klientel der regierenden sozial-demokratischen Partei lenken. Zudem würden die Verordnungen Grundartikel des Steuerverantwortungs-Gesetzes aufheben. Die Liberalen forderten die Missbilligung der zwei Verordnungen. Der Regierungschef forderte die Abgeordneten im Gegenzug auf, das politische Kalkül beiseite zu legen und für das Wohl der Bürger zusammenzuarbeiten. Grindeanu hob ferner hervor, dass Rumänien in die Entwicklung investieren müsse, da über 60% der Haushalte in ländlichen Gebieten über keine Toiletten im Inneren der Häuser verfügten und der Zugang zu Bildung und Gesundheit Defizite aufweise.



    Der Senat hat am Montag eine Reihe von Änderungen am Gesetz über die Vollstreckung von Freiheitsstrafen und anderen Maßnahmen des Freiheitsentzugs vorgenommen. Demnach soll ein Häftling Anspruch auf mindestens vier Quadratmeter Raum in seiner Zelle haben. Strafgefangenen, denen weniger Platz zur Verfügung steht, sollen monatlich drei Tage von ihrer Gesamtstrafe abgezogen werden. Alle im Parlament vertretenen Parteien hatten den Gesetzentwurf unterstützt. Die Nationalliberale PNL und die Union Rettet Rumänien (USR) aus der Opposition stimmten laut eigenen Angaben ebenfalls für die Neuerungen. Für die Verbesserung der Lage in den rumänischen Vollzugsanstalten seien allerdings neue Gebäude und alternative Maßnahmen notwendig, wie etwa Hausarrest oder die Einführung von Armbändern, die die Ortung des Betroffenen möglich machen, so die Vertreter der Opposition.



    Der Justiz- und Kassationshof, das höchste Gericht in Rumänien, hat das Urteil im Verfahren zur sogenannten Bute-Gala“ für den 28. März vertagt. In dieser Akte werden die ehemalige Entwicklungsministerin Elena Udrea und weitere sieben Personen der Korruption beschuldigt. Diesen wird Annahme von Bestechungsgeldern, Amtsmissbrauch und die versuchte Verwendung von Falschurkunden und Falschaussagen für den unrechtmäßigen Erhalt von EU-Fonds vorgeworfen. Die Beschuldigten hätten öffentliche Fonds für die Finanzierung eines Sport-Events illegal benutzt. Das Sportereignis soll von einem privaten Unternehmen organisiert worden sein und laut dem Vertrag mit dem Unternehmen sollen Dienstleistungen mit EU-Geldern gekauft worden sein. Das ist allerdings gesetzlich verboten. Die Nationale Antikorruptionsbehörde DNA fordert auch eine Haftstrafe für den ehemaligen Finanzminister Ion Ariton. Gegen die ehemalige Entwicklungsministerin, Elena Udrea, wird in mehreren Akten ermittelt.



    Etwa 7500 Rumäninnen, die in der Landwirtschaft in der sizilianischen Provinz Ragusa arbeiten, sind zahlreichen Missbräuchen zum Opfer gefallen. Die Frauen werden zum Teil sexuell belästigt, ohne dass die Täter bestraft werden. Darüber hatte am Sonntag die britische Zeitschrift The Observer im Rahmen einer Reportage berichtet. Die britischen Reporter haben mit Dutzenden Rumäninnen, die auf den Farmen in Ragusa arbeiten, gesprochen und alle haben die sexuelle Ausbeutung und Belästigung als Routine bezeichnet. Die Frauen haben erzählt, man zwinge sie 12 Stunden am Tag, in extremer Hitze und ohne Wasser, zu arbeiten. Große Probleme gebe es auch bei der Lohnauszahlung. Die Unterkunfts-Bedingungen seien zudem sehr schlecht. Während der Arbeit werden die Frauen körperlich misshandelt und mit Waffen bedroht. Die Landwirtschaft Italiens basiert größtenteils auf Einwanderer, auch aus der EU. Im Süden Italiens arbeiten etwa 120 Tausend Einwanderer in der Landwirtschaft.


  • The Week in Review, February 26 – March 4

    The Week in Review, February 26 – March 4

    Reactions to the scenario concerning a two-speed Europe


    On Wednesday, the European Commission President Jean-Claude Juncker presented 5 potential scenarios regarding the future of the EU after Brexit. The so-called ‘white paper’ marks the beginning of a process through which the 27 EU members will decide together the future of the Union. The paper analyses the way in which Europe will change in the next ten years, from the impact of new technologies on society and jobs, to doubts concerning globalization, security threats and the rise of populism. The five scenarios range from the EU becoming nothing but the single market to the possibility of a federalized Europe. One of the scenarios is that of a multi-speed Europe, with some of the member countries developing faster, without forcing the community bloc to follow the same pace. The option has already raised concern in the east, including in Romania. Bucharest stands against a multi-speed Europe, as Romanian authorities believe that such a differentiated integration might widen the economic and social gaps between the member countries. In Brussels, the Romanian MEP Victor Bostinaru called for a political debate at national level on the concept of a double-speed Europe. The issue was also tackled by Romania’s President Klaus Iohannis during the meeting he had with the Prime Minister of Malta Joseph Muscat, whose country is holding the six-month rotating presidency of the Union. The head of state stood firmly against the idea of a multi-speed Europe, saying that such a reconfiguration formula might lead to the dismantling of the Union. Both the president and Prime Minister Grindeanu stressed the need for a unitary stand on maintaining the single market and the rights of the European citizens in Great Britain, after the Brexit. The two prime-ministers also discussed the preparation process for Romania’s taking over the rotating presidency of the EU in the first half of 2019.



    Attracting more European funding — a priority for the Grindeanu Government


    The main priority of the Romanian government is to attract European funds worth 5.2 billion Euros by the end of this year, according to the Minister of Regional Development Sevil Shhaideh, who is also the Deputy Prime Minister of Romania. Romania lost 3.5 billion worth of EU funds that it could have accessed between 2007-2013. From the 30 billion Euro budget earmarked for the 2014-2020 financial framework, Romania has only managed to spend one percent. At European level, the absorption rate stands at some 3% for the 2014-2020 period. In Warsaw, where he attended the meeting of the ministers in charge with cohesion policy of the Visegrad countries, plus Bulgaria, Croatia, Romania and Slovenia, the Romanian Minister for European Funds Rovana Plumb said that the cohesion policy after 2020 should remain the main investment pillar at EU level. Plumb also said that a strong and effective cohesion policy would generate a smart and sustainable growth, favouring inclusion in all Europe’s regions.



    Investigation into the double standards used for foodstuffs sold in eastern and western Europe


    The existence of double standards regarding the quality of food products sold in eastern and western Europe will be checked by the Romanian authorities as well, the Romanian Agriculture Minister Petre Daea has announced. The decision was made following accusations by several east European governments, according to which some food producers include in the products they sell in central and eastern Europe ingredients that are cheaper than those used in the West, although prices are the same. European legislation does not ban this practice, but the EU requires that the ingredients used must be clearly indicated on packaging. Producers say that the differences in composition are just a matter of local taste. The leaders of the countries members of the Visegrad Group, namely the Czech Republic, Hungary, Poland and Slovakia, want the EU to take firm measures against the food producers who include ingredients of poorer quality in the products sold on the markets of the poorer member countries.



    The Romanian Foreign Minister’s visit to Budapest


    Early this week, the Romanian Foreign Minister Teodor Melescanu paid a visit to Budapest, where he met with his Hungarian counterpart Peter Szijjarto and with the Prime Minister Viktor Orban. During talks, the officials stressed the idea that the relation between Romania and Hungary must become a model, including for other countries in the region. The Romanian Foreign Minister said that the parties were considering a joint session of the two governments, preceded by a session of the Joint Romanian — Hungarian Collaboration Commission. The Hungarian Minister said that dialogue was needed in the relation between Bucharest and Budapest, and voiced hope that sensitive issues, such as the minorities’ situation, would be settled. Melescanu’s agenda also included a meeting with representatives of the Romanian community in Hungary and, as a first for a Romanian minister, a speech given at the annual meting of Hungarian diplomacy.

  • 17.02.2017

    17.02.2017

    Bruxelles – En visite à Bruxelles, le premier ministre roumain Sorin Grindeanu poursuit ses pourparlers avec de hauts responsables de la Commission européenne et du Conseil Européen. Son objectif est d’assurer tous les partenaires de la Roumanie que la lutte contre la corruption est une des priorités du gouvernement de Bucarest. Cette visite se déroule sur la toile de fond de la crise engendrée par la tentative du cabinet Grindeanu de modifier la législation pénale par décret d’urgence. Ce vendredi, le premier ministre roumain doit s’entretenir avec le président du Conseil Européen, Donald Tusk, avec le président de la Commission européenne, Jean Claude Junker, et avec le vice-président de la Commission, Jyrki Katainen, chargé de l’occupation de la main d’œuvre, de la croissance économique, des investissements et de la compétitivité. Jeudi, à l’issue des pourparlers avec Frans Timmermans, premier vice-président de la Commission, Sorin Grindeanu a déclaré que son gouvernement allait continuer la lutte contre la corruption et que les modifications de la législation pénale seraient opérées uniquement au Parlement. Pour sa part, Frans Timmermans s’est félicité de l’abrogation du controversé décret, recommandant à l’Exécutif de Bucarest d’être plus transparent. A la même occasion, le premier ministre roumain a révélé qu’il prenait en compte l’idée de nommer une personne apolitique à la tête du ministère de la Justice, dont la ministre déléguée aux Affaires européennes, Ana Birchall, est actuellement ministre par intérim.

    Fonds européens – Le Tribunal de l’UE a décidé d’annuler des corrections financières appliquées par la Commission européenne à la Roumanie. Il y a deux ans, la Commission européenne avait appliqué à la Bucarest des corrections d’environ 128 millions d’euros, décidant d’exclure la Roumanie du financement de certaines dépenses par le biais du Fonds européen agricole de garantie et du Fonds européen agricole pour le développement rural. Une décision que le Tribunal de l’UE vient d’annuler. Pour sa part, l’agent gouvernemental Răzvan Horaţiu Radu précise que, même si la Commission peut attaquer la décision du tribunal, il est possible que le jugement final reste inchangé, vu la pratique habituelle de la Cour de Justice de l’Union.

    Moldova – Le gouvernement roumain a approuvé l’octroi de la 2e tranche de 50 millions d’euros du crédit remboursable destiné à la République de Moldova voisin, un pays à population majoritaire roumanophone. L’accord portant sur cette aide financière remboursable entre Bucarest et Chisinau a été signé en octobre 2015. La Roumanie a conditionné l’octroi de l’argent par l’adoption de plusieurs réformes par le pays voisin. Une première tranche de 60 millions d’euros a été allouée en août 2016, la République de Moldova ayant prouvé les progrès enregistrés par la signature d’un programme de financement avec le FMI. Entre temps, le gouvernement de Chisinau et le FMI ont également signé un Accord de coopération, suite auquel le pays a reçu une ligne de crédit d’environ 176 millions de dollars.

    Défense – Le Partenariat Stratégique roumano-américain est très important, a affirmé le président du Comité des forces armées américaines de la Chambre des représentants, le congressman républicain Mac Thornberry. Lors de pourparlers avec l’ambassadeur roumain à Washington, George Maior, Mac Thornberry a salué l’augmentation par la Roumanie des fonds destinés à la Défense, estimant que cela s’encadrait dans une distribution équitable des tâches au sein de l’OTAN. Parallèlement avec la discussion entre les deux responsables, les ministres de la Défense des Etats membres de l’OTAN réunis à Bruxelles ont décidé de financer la présence militaire alliée en Mer Noire.

    DAESH – Le ministre roumain de la défense Gabriel Les a réitéré l’appui de la Roumanie aux actions de la communauté internationale visant à stabiliser la situation en Syrie et en Irak et à combattre le terrorisme au niveau mondial. Il a participé à Bruxelles, à la réunion des ministres de la Défense des pays contributeurs à la Coalition mondiale anti-DAESH. Gabriel Les a fait savoir que Bucarest y contribuerait avec une cinquantaine de formateurs, qui dérouleront des missions d’instruction et de conseil des forces de sécurité irakiennes. Les ministres de la Défense ont également analysé les défis sécuritaires et les mesures à entreprendre durant la période de stabilisation de la région après la déstructuration du groupe Etat Islamique, notamment dans la perspective de l’appui humanitaire et de la reconstruction.


    Cinéma – Le film « Ana, mon amour » du réalisateur roumain Călin Peter Netzer est projeté aujourd’hui dans le cadre de la compétition officielle du Festival International du Film de Berlin. Călin Peter Netzer a déjà remporté l’Ours d’or en 2013 pour son film « La position de l’enfant ». Cette année, l’acteur roumain Tudor Istodor a participé lui aussi à la Berlinale, dans la catégorie « shooting stars », pour son rôle dans le film « Fixeur ». La Roumanie est également représentée au festival de Berlin par deux réalisatrices, une scénariste, un acteur, une technicienne et un producteur de film.

    Foot – Le club champion de Roumanie au foot, Astra Giurgiu a terminé à égalité, 2 partout, le match joué à domicile contre les Belges de KRC Genk, dans le premier tour des 16e de finale de l’Europa League. Les joueurs d’Astra ont réussi à deux reprises à récupérer un décalage d’un but et, selon la presse sportive, gardent leurs chances de qualification au match retour, prévu pour jeudi prochain en Belgique. Astra est l’unique club de foot roumain toujours présent dans un championnat européen.

    Météo – Les températures sont à la hausse en Roumanie. Il pleut par endroits sur l’ouest, le nord et le centre du pays, alors que le ciel est variable sur le reste du territoire. Les températures maximales de ce vendredi iront de 2 à 12 degrés. 4 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • Wirtschaftsprognose der Europäischen Kommission nach oben revidiert

    Wirtschaftsprognose der Europäischen Kommission nach oben revidiert

    Die Europäische Kommission hat zum ersten Mal in den letzten neun Jahren die Prognose aller EU-Staaten nach oben revidiert. Die Wirtschaft der Mitgliedstaaten soll demnach im Zeitraum 2016-2018 deutlich wachsen. Die positive Einschätzung Brüssels schließt nicht die Länder aus, die durch Rezession am stärksten betroffen wurden. In ihrer jüngsten Prognose rechnet die Europäische Kommission mit einer deutlichen Senkung der Arbeitslosigkeit, die Arbeitslosenzahl soll EU-weit auf ein Rekordtief sinken, das seit Ausbruch der Wirtschaftskrise im Jahr 2008 nicht mehr erreicht wurde. 15 Jahresquartale nacheinander sei das BIP im Euroraum gestiegen, stellt im Anschluß die Europäische Kommission fest. Die Arbeitsbeschäftigung verzeichne ebenfalls einen positiven Trend, der Privatverbrauch bleibe die Antriebskraft der Wiederankurbelung der Wirtschaft, die Investitionen sollen weiterhin wachsen, sagt die Winterprognose Brüssels voraus.



    Dennoch sei der Ausblick der Europäischen Kommission mit hohen Unsicherheiten, wie die noch unklare Ausrichtung der US-Regierung und die britischen EU-Austrittsverhandlungen behaftet. Rumänien soll 2017 und 2018 ein rasantes Wirtschaftswachstum verzeichnen, das auf Steuererleichterung und Lohnerhöhungen beruhen soll. Die Einschätzung der Europäischen Kommission ist dennoch nicht so optimistisch wie jene der rumänischen Regierung bei der Planung des Staatshaushalt für 2017. Bukarest gehe daher das Risiko ein, die Haushaltsdefizit-Grenze zu überschreiten. Der Wirtschaftsexperte Aurelian Dochia erläutert: Die europäische Wirtschaft zeigt seit einigen Monaten erste Zeichen einer Wiederankurbelung.



    In dieser Konjunktur rechnet die Europäische Kommission mit einem rasanten Wachstum rumänischer Wirtschaft. Für 2017 geht Brüssel von einem Anstieg des BIP Rumäniens um 4,4% aus. Selbst wenn im europäischen Vergleich Rumänien sein Wachstumstempo deutlich erhöht, liege es dennoch unter der Prognose rumänischer Regierung bei der Planung des Haushalts 2017, was eine deutliche Unsicherheit mit Blick auf die Situation rumänischer Wirtschaft am Ende des Jahres erweckt. Mit einem Wachstumstempo unter 5,2%, wie vom Kabinett Grindeanu prognostiziert, werden die Einnahmen im Staatshaushalt leicht unter Erwartungen bleiben. Der Senatsvorsitzende Călin Popescu-Tăriceanu erklärte am Montag, nachdem die Europäische Kommission ihre Winterprognose vorgelegt hatte, dass das Haushaltsdefizit Rumäniens im Jahr 2017 höher als im Vorjahr, jedoch nicht über der 3%-Grenze liegen soll.


  • Nachrichten 13.02.2017

    Nachrichten 13.02.2017

    Die Europäische Kommission hat ihre Wachstumsprognose für Rumänien im laufenden Jahr auf 4,4% nach oben korrigiert. 2018 könnte das Wachstum allerdings auf 3,7% zurückgehen, steht weiter in der Wirtschaftsprognose der Europäischen Kommission vom Montag. Im Herbst hatte die Europäische Kommission für Rumänien noch ein Wachstum von 3,9% in 2017 und 3,6% für 2018 vorausgesagt. Ferner geht die EU-Kommission für 2017 und 2018 zum erstenmal in den letzten 9 Jahren von einem positiven Wirtschaftswachstum für alle EU-Länder aus, warnt gleichzeitig auch vor dem hohen Unsicherheitsgrad der Prognose, verbunden mit der neuen US-Verwaltung, den kommenden Wahlen in einigen europäischen Staaten und dem Brexit.



    Das Bukarester Parlament hat am Montag eine positive Stellungnahme zum Referendum über die Korruptionsbekämpfung einstimmig angenommen. Präsident Klaus Iohannis hatte die Abhaltung der Volksabstimmung zuvor gefordert. Die rumänische Bevölkerung soll sich beim Referendum über den weiteren Verlauf der Korruptionsbekämpfung äußern. Die Fachausschüsse des rumänischen Parlaments hatten bereits ihre Zustimmung für die Volksbefragung geäußert. Am 24. Januar hatte Staatspräsident Klaus Iohannis das Verfahren zur Volksabstimmung eingeleitet, nachdem die linksgerichtete Regierung versucht hatte, die Strafgesetzbücher zu ändern. Von da an hatte das Parlament 20 Tage Zeit, um die beratende Stellungnahme abzugeben. Nach Ablauf der Frist hätte der Staatschef auch ohne die Stellungnahme des Parlaments das Verfahren zur Volksabstimmung einleiten können. Laut aktueller Gesetzgebung wird der rumänische Präsident per Dekret den Termin und die beim Referendum an die Bevölkerung gerichtete Frage festlegen.



    Präsident Iohannis hat den Ministerpräsidenten Sorin Grindeanu in einem Schreiben zu Verhandlungen über das Haushaltsgesetz eingeladen. Bei dem Treffen am Dienstag würde auch das Gesetz über den Sozialversicherungshaushalt zur Sprache kommen. Eingeladen ist ferner auch Finanzminister Viorel Stefan. Die entsprechenden Gesetzentwürfe waren zuvor bereits vom Parlament angenommen worden, jetzt soll der Staatschef die Gesetze verabschieden. Iohannis hatte Vorbehalte gegenüber der seines Erachtens möglichen Überschreitung der Defizitgrenze von 3% geäußert. Die Haushaltsvorlage basiere auf eine zu optimistische Wachstumsprognose, so sein Argument. Indes forderte der Präsident auch die Zuweisung von 2% des BIP für die Verteidigung, gemäß dem mit der NATO ausgehandelten Engagement.



    Rumänien muss für den internen Energiebedarf auf Importe zurückgreifen, ist den Angaben auf der Internetseite des Nationalen Energietransportunternehmens Transelectrica zu entnehmen. Die klirrende Kälte der letzten Wochen habe einen historischen Rekordverbrauch verursacht, sowohl beim Konsum von Erdgas als auch bei der elektrischen Energie. Am Montagmorgen konnte die Energienachfrage zum ersten Mal nicht mehr aus der internen Produktion gedeckt werden, hieß es. Die fehlende Menge wurde durch Importe aus der Ukraine, Ungarn und Serbien gedeckt. In einer Mitteilung des Energieministeriums wurden die Angaben der Transelectrica zurückgewiesen. Rumänien habe keine Schwierigkeiten bei der Befriedigung des Energiebedarfs durch eigene Reserven. Die Importe am Montagmorgen hätten im Interesse der Endverbraucher stattgefunden, hieß es.



    Auf dem Luftwaffenstützpunkt Mihail Kogălniceanu in Südost-Rumänien sollen in dieser Woche etwa 500 amerikanische Soldaten eintreffen. Sie gehören zum Bataillon Fighting Eagles der 3. Panzerbrigade in Fort Carson, in Colorado. Sie bringen auch schwere Technik mit – Kampfpanzer, Truppentransporter, Panzerkanonen, mit denen sie an multinationalen Übungen teilnehmen. Der Einsatz der Soldaten, die an Militärübungen im Rahmen der Operation Atlantic Resolve teilnehmen werden, gehört zu den Anstrengungen der NATO, die Ostflanke der Allianz nach der Annektierung der Krimhalbinsel durch Russland zu stärken.

  • Regierung gründet Staatsfonds für Entwicklung und Investitionen

    Regierung gründet Staatsfonds für Entwicklung und Investitionen

    Die Bukarester Regierung stellt die Gründung neuer öffentlichen Investitionsfonds in Aussicht. Das hat sich das Kabinett Grindeanu laut dem Regierungsplan für den Zeitraum 2017-2020 zum Ziel gesetzt. Am Donnerstag verabschiedeten Regierungsmitglieder ein Memorandum zur Gründung des Staatsfonds für Entwicklung und Investitionen. Somit will das Kabinett Grindeanu die rumänische Wirtschaft wiederankurbeln und nachhaltige Investitionen in wettbewerbsfähigen Bereichen finanzieren, die eine große Tragweite für die wirtschaftliche Zukunft des Landes haben sollen. Wirtschaftsminister Alexandru Petrescu rechnet damit, das Rumänien dadurch ausländisches Kapital anziehen wird. Der besagte Fonds, der die Aktiva von Staatsbetrieben verwalten soll, werde Einkünfte aus Kapitalvermögen, besonders aus Dividenden profitbringender Unternehmen benutzen oder notleidende Aktiva unprofitabler Unternehmen verwerten, damit die letzteren an der Börse notiert werden, so das Wirtschaftsministerium.



    Minister Alexandru Petrescu erläutert: Viele Staatsunternehmen werden verschiedenen Ministerien zugeordnet. Bei jedem davon gibt es Vertreter der Generalversammlung der Aktionäre. Somit wollen wir alle Staatsunternehmen, die sich in dieser Situation befinden, einem einzigen Manager zuordnen und alles was dazu gehört, Fachkentnisse und Entscheidungen unter ein einziges Dach bringen. Die wichtigen Beschlüsse sollen somit von einem einzigen Vorstand getroffen werden, dem Experten angehören, die transparent ernannt werden. Der Staatsfonds für Entwicklung und Investitionen FSDI soll Rumänien sowohl dazu verhelfen, für seinen einhemischen Kapitalmarkt durch die Verbesserung der Liquidität den Status eines aufstrebenden Marktes zu erreichen als auch zur Erhöhung der Abrufquote von nicht rückzahlbaren EU-Fonds. Das soll durch Kofinanzierungen der Investitionsprojekte ermöglicht werden, erläutert die Regierung. Laut dem Wirtschaftsminister Petrescu, soll der Staatsfonds für Entwicklung und Investitionen einen vertrauensvollen Partner für institutionelle Investoren wie die Europäische Bank für Wiederaufbau und Entwicklung, für die Europäische Investitionsbank, verschiedene Investitionsfonds und weitere Privatinvestoren darstellen.



    Vorab hätten Entscheidungsträger im Wirtschaftsministerium Beratungen mit den wichtigsten Akteuren im Investitionsbereich geführt, damit der neue Stattsfond ihre Erwartungen erfüllt, fügte Wirtschaftsminister Alexandru Petrescu hinzu. Ein entsprechendes Gesetz, das das Funktionieren und die Strukturierung des Fonds regelt, soll demnächst verabschiedet werden, so Alexandru Petrescu. Der rumänische Staat werde durch das Wirtschaftsministerium als Vertreter, zum einzigen Aktionär gelten, solange der Staatsfond für Entwicklung und Investionen funktionsfähig bleibt. Ähnliche Fonds gibt es in Belgien, Norwegen, Frankreich und Polen.


  • Kabinett Grindeanu übersteht Misstrauensvotum

    Kabinett Grindeanu übersteht Misstrauensvotum

    Die Regierung hat am Mittwoch den von der Opposition eingebrachten Misstrauensantrag ohne Probleme überstanden. Die sozialliberale Regierungskoalition kann sich im Parlament auf die Mehrheit verlassen. Die aus den Liberalen PNL und der Union Rettet Rumänien USR gebildete Opposition kritisierte den Eilerlass der Regierung, der vergangene Woche in der Nacht von Dienstag zu Mittwoch verabschiedet wurde und das Strafgesetzbuch ändern sollte. Die Eilverordung hätte zahlreiche wegen Amtsmissbrauch angeklagte Amtsträger straffrei gestellt. Das rumänische Volk will korrupte Politiker nicht vor dem Gefängnis retten. Gesetze zum eigenen Vorteil zu verabschieden ist keine Lösung für Rumänien, denn das würde den Rechtsstaat und das Volk schwächen”, stand es im Text des Misstrauensantrags. Das Dekret hatte vorige Woche massive Proteste ausgelöst, Hunderttausende gingen landesweit auf die Stra‎ße. Am Wochenende hob das Kabinett Grindeanu die umstrittene Eilverordnung auf. Die Proteste, denen sich auch die Auslandrumänen anschlossen, halten jedoch an, die Demonstranten fordern weiter den Rücktritt der Regierung.



    Der Misstrauensantrag der Opposition sei eine politische Sanktion gegen die Regierung, sagte die Interimsvorsitzende der nationalliberalen Partei, Raluca Turcan nach der Abstimmung im Parlament: Das rumänische Parlament könnte jetzt sein Vertrauen wiederherstellen. Wir müssen die Botschaft der Stra‎ße hören und etwas daraus lernen. Jemand muss für den riesigen Vertrauensverlust vieler Bürger verantwortlich sein. Der Eilerlass wurde zurückgezogen und das ist ein Zeichen dafür, dass jemand einen gro‎ßen Fehler gemacht hat. Nun muss man dafür zahlen.” Der Vorsitzende der sich ebenfalls in der Oppsotion befindenden Union Rettet Rumänien Nicuşor Dan sagte seinerseit, das Kabinett Grindeanu habe das Vertrauen der Bürger verloren, weil es die Interessen der PSD-Chef Liviu Dragnea vor die Interessen des Volkes stellte. Der korruptionsverdächtige Vorsitzende der sozialdemokratischen Partei stehe hinter dem umstrittenen Eilerlass, nicht die Regierung, bekräftigte Nicuşor Dan.



    Der Premier Sorin Grindeanu erklärte seinerseit, er könne den Ärger der rumänischen Bürger verstehen und sein Kabinett werde von nun an derartige Beschlüsse, die sensible Bereiche wie Justiz und Steuerverwaltung betreffen, mit Transparenz und nach vorherigem Dialog fassen. Premier Grindeanu: Eine solche Initiative werde ich nie wieder annehmen. Wir brauchen Beratungen, Dialog, Expertenmeinungen zu solchen Themen, die starke Reaktionen in unserer Gesellschaft auslösen können. Ich verspreche, dass von nun an der Dialog wieder herrschen wird und dass wir heikle Themen, die die ganze Gesellschaft betreffen, der öffentlichen Debatte stellen werden.” Laut dem PSD-Chef Liviu Dragnea sei der Misstrauensantrag der Opposition gegen ein Anliegen gerichtet, das die Regierung berücksichtigt hat, nachdem sie die Stimme der Stra‎ße hörte.



  • A la Une de la presse roumaine – 09.02.2017

    A la Une de la presse roumaine – 09.02.2017

    Le pouvoir social-démocrate appelle au dialogue et à l’unité, un appel auquel les quotidiens roumains donnent leur propre interprétation. Entre temps, le fossé entre les protestataires pour ou contre le gouvernement Sorin Grindeanu s’accentue, selon les sociologues, malgré les appels à l’unité que fait aussi l’Académie roumaine. Un message critiqué par une partie de la presse nationale selon laquelle la Roumanie est vue d’un œil plutôt positif dans la presse étrangère. Ce qui se passe à Bucarest est « un signe encourageant pour la démocratie » écrit The Washington Post.



  • 08.02.2017 (mise à jour)

    08.02.2017 (mise à jour)

    Motion – La première motion de censure introduite par le Parti National Libéral (PNL) et l’Union Sauvez la Roumanie (USR), d’opposition, contre le gouvernement de coalition en place Parti Social-Démocrate (PSD) – l’Alliance des libéraux et des démocrates (ALDE) a été débattue mercredi au plénum réuni du Parlement de Bucarest et rejetée par 161 votes pour et 8 votes contre. Pour être adoptée, la motion devait réunir au moins 233 votes en sa faveur. Le PSD, l’ALDE et l’Union Démocrate des Magyars de Roumanie (UDMR) se sont abstenus. Intitulée « Le gouvernement Grindeanu – gouvernement du défi national. Ne légalisez pas le vol en Roumanie », la motion a été déposée la semaine dernière et lue lundi en séance plénière du Législatif. Ils demandent au premier ministre social-démocrate Sorin Grindeanu d’assumer l’erreur d’avoir adopté le décret d’urgence sur la modification des Codes pénaux et un projet de loi portant grâce. Les signataires de la motion demandent également au gouvernement de démissionner, l’accusant d’abus institutionnel. Rappelons que l’adoption du décret de modification de la législation pénale, ultérieurement abrogé, a généré d’amples protestations dans tout le pays, mais aussi dans la diaspora.

    Constitutionnalité – La Cour Constitutionnelle de la Roumanie a décidé mercredi qu’il n’y avait pas de conflit juridique de nature constitutionnelle entre les pouvoirs de l’Etat suite à l’adoption du décret d’urgence portant modification aux codes pénal et de procédure pénale. La Cour a formulé cette conclusion après avoir débattu des demandes du président Klaus Iohannis et de la chef du Conseil Supérieur de la Magistrature, Mariana Ghena. Rappelons-le, dimanche, le gouvernement de Bucarest a abrogé le décret en question et fait savoir qu’il renonçait, pour le moment, à l’idée de modifier la législation pénale. Mardi, au plénum du Parlement, le président Iohannis a demandé à l’Exécutif de trouver des solutions pour la crise qu’il a engendrée en adoptant le décret.

    Protestations – En Roumanie, les protestations ont continué mercredi pour le 9e jour consécutif, mais elles étaient moins amples que les jours précédents en raison entre autres de la météo défavorable. Les gens demandent toujours la démission du premier ministre Sorin Grindeanu et de son cabinet. Par ailleurs, les protestations se sont poursuivies aussi devant le siège de la présidence de Bucarest, où les manifestants affirment leur soutien pour le gouvernement en place et demandent la démission de chef de l’Etat, Klaus Iohannis. Mercredi le président est enfin allé parler avec les protestataires qui demandaient sa démission depuis 4 jours déjà.

    Magistrats – La Section pour les Juges du Conseil Supérieur de la Magistrature de Roumanie a décidé mercredi d’exclure de la magistrature la juge Camelia Bogdan. Elle avait présidé l’instance d’appel qui, en 2014, avait condamné à 10 de prison ferme le puissant homme d’affaires roumain Dan Voiculescu dans une affaire de privatisation frauduleuse de l’Institut de recherches alimentaires de Bucarest. Cette décision du Conseil Supérieur de la Magistrature n’est pas définitive et peut être attaquée à la Haute Cour de Cassation et de Justice. La juge Camelia Bogdan a été sanctionnée pour avoir transgressé la loi portant sur l’incompatibilité et les interdictions visant les juges et les procureurs. Elle a été accusée d’avoir participé pendant le procès de Dan Voiculescu, à un cours de spécialisation sponsorisé par le Ministère de l’Agriculture qui s’était constitué partie civile dans le dossier en question.

    Militaires – Les 500 militaires de l’armée de terre des Etats Unis stationnés en Europe, qui ont quitté lundi la Pologne pour la Roumanie, s’installent, ces jours-ci, à la base aérienne de Mihail Kogălniceanu du comté de Constanţa (sud-est de la Roumanie), informe un communiqué du ministère de la Défense de Bucarest. Les militaires américains, qui font partie du bataillon 1 « Les Aigles combattants » (‘Fighting Eagles’) vont effectuer des exercices de tir aux côtés de militaires roumains de sous-unités de chars et d’infanterie mécanisée, ce qui exprime l’engagement des Etats Unis d’assurer la sécurité du flanc est de l’OTAN, dans le cadre de la mission Atlantic Resolve. L’unité de combat américaine devrait y stationner 9 mois durant, après quoi elle sera relayée par une autre. La présence tournante des forces américaines sur le territoire national et dans la région de la mer Noire ainsi que l’appui assuré par les Etats Unis à la modernisation des facilités nationales de défense ont un rôle essentiel dans le contexte sécuritaire actuel de la région, est-il encore indiqué dans le communiqué.

    Météo – Les températures sont à la baisse en Roumanie, notamment dans le sud-est. Dans les 24 prochaines heures il continuera à neiger sur le sud, le sud-est et en montagne, alors que sur l’ouest et le centre l’on attend de la pluie et de la giboulée. Les températures maximales iront de -8 à 7 degrés.

  • Jurnal românesc – 08.02.2017

    Jurnal românesc – 08.02.2017

    Protestele
    împotriva guvernului Grindeanu au continuat si marti, pentru a opta zi
    consecutiv, la Bucureşti, în mai multe oraşe din ţară şi în străinătate, pe fondul modificărilor din domeniul legislaţiei penale. În Capitală, au fost în jur
    de 6.000 de participanţi, potrivit estimărilor forţelor de ordine. Românii din
    Olanda şi-au continuat protestele anti-Guvern începute săptămâna trecută.
    Acţiunea a avut loc exact la 25 de ani de la semnarea Tratatului de la Maastricht,
    numit şi Tratatul Uniunii Europene. În paralel, la Palatul Cotroceni a avut loc
    şi marti, pentru a treia zi la rând, o manifestaţie împotriva preşedintelui
    Klaus Iohannis, la care au participat în jur de 2.000 de oameni. Executivul
    a anuntat ca renunţă, pentru moment, la modificarea Codurilor Penale.
    Ministerul Justitiei a explicat că nu este preocupat să elaboreze un proiect de
    lege pe această temă, iar în prezent centralizează deciziile pronunţate de
    Curtea Constituţională cu privire la actele normative menţionate, urmând ca
    acestea să fie analizate ulterior. Preşedintele Klaus Iohannis
    a cerut, în plenul Parlamentului, guvernului de stânga să găsească soluţii la
    criza pe care a creat-o prin adoptarea ordonanţei de urgenţă care schimba
    Codurile penale.




    Senatorii şi
    deputaţii au votat, marţi, proiectele de lege referitoare la bugetul de stat şi
    cel al asigurărilor sociale pe acest an. Strategia bugetară a fost structurată
    pe o creştere economică de 5,2 procente şi un deficit de sub 3 la sută din
    Produsul Intern Brut. Mai mulţi bani au primit Apărarea, Educaţia, Sănătatea,
    Agricultura şi Transporturile. Opoziţia şi-a susţinut din nou în plen
    amendamentele, dar fără rezultate. Premierul Sorin Grindeanu a declarat, la
    finalul dezbaterilor, că proiectul legii bugetului este unul echilibrat,
    concentrat pe politici sociale şi de dezvoltare. Potrivit legii, cele două
    documente pot fi atacate în termen de cinci zile la Curtea Constituţională,
    după care vor fi transmise la şeful statului, Klaus Iohannis, spre promulgare.




    Preşedintele Republicii Moldova,
    socialistul pro-rus Igor Dodon, a discutat, marţi, la Bruxelles, cu adjunctul
    secretarului general al NATO, Rose Gottemoeller. El a cerut Alianţei să nu se
    grăbească cu deschiderea unui birou NATO la Chişinău, care, în opinia sa,
    creează impedimente în negocierile privind regiunea separatistă rusofonă
    Transnistria. Preşedintele Dodon a solicitat, totodată, asigurări că Alianţa va
    respecta neutralitatea permanentă a Republicii Moldova. Oficialul NATO a replicat
    că viitoarea reprezentanţă nu este o bază militară, ci o misiune diplomatică
    cerută de Guvernul Moldovei pentru sprijinirea reformelor. Rose Gottemoeller a
    subliniat că fiecare naţiune are dreptul să-şi aleagă propriile alianţe sau să
    nu se alieze cu nimeni, dar a atras atenţia că neutralitatea nu înseamnă
    izolare. Transnistria e ieşit, de facto, de sub controlul autorităţilor de la
    Chişinău în 1992, după un conflict armat soldat cu sute de morţi şi tranşat
    odată cu intervenţia trupelor ruse de partea separatiştilor. Deşi Rusia s-a
    angajat să-şi retragă trupele încă din 1999, acestea se află şi acum acolo.




    Cei 500 de militari
    ai Forţelor terestre ale Statelor Unite dislocate în Europa, plecaţi luni din
    Polonia spre România se vor instala, zilele acestea, la Baza aeriană
    Mihail Kogălniceanu din judeţul Constanţa. Potrivit unui comunicat
    al Ministerului Apărării Naţionale, ei vor efectua exerciţii de tragere la
    Centrul de instruire de la Smârdan, din judeţul Tulcea. De asemenea, militarii
    americani vor participa la exerciţiile multinaţionale planificate pentru acest
    an, alături de militari români din subunităţi de tancuri şi infanterie
    mecanizată.

  • February 7, 2017

    February 7, 2017

    ADDRESS In a Parliament address Romania’s president Klaus Iohannis has called on the left-wing government to find solutions to the crisis it caused with the ordinance on amending the Penal legislation, an ordinance they later withdrew. The head of state has blamed the ruling PSD-ALDE coalition for having collided with a large part of society only a month after coming to power and has recollected the large-scale protests triggered by the government’s decision. Iohannis has pleaded for a responsible governing predictable and transparent and has called on Parliament to issue laws for Romania, not for a group of politicians with penal issues. He has cautioned that unless the PSD finds a rapid solution to the crisis he will summon talks to settle the issue. At the same time, the president has reiterated his decision to call a referendum in which the Romanians will have their say on the continuation of the anti-graft fight and on ensuring the integrity of public functions. Leaders of the ruling PSD-ALDE coalition have accused the president of partisanship and of not playing his part as a mediator in society.



    BUDGET Parliament in Bucharest will today host talks on the 2017 state budget. On Monday, Prime Minister Grindeanu has underlined the budget contributes to raising the Romanians’ standard of living and is based on a GDP under 200 billion euros, an economic growth of 5.2% and a deficit of 3% of the GDP. Grindeanu has pointed out the investors’ trust in the economy must be maintained and the Romanians must be a nation that is united and shows solidarity. The right-wing opposition believes the income estimates at the basis of the budget have been overestimated. The final vote has been scheduled for tonight.



    EUROPOL 58 people have been arrested and 48 firearms seized in a Europol operation against arms trafficking in the Western Balkans. 127 persons have been prevented from illegally crossing borders, 8 of them trying to use false documents; 12 people have exceeded the legal period of staying in a foreign country. The Europol operation involved countries from the ex-Yugoslav area and also from countries like Albania, Bulgaria, Hungary, Romania, Spain, Sweden, Switzerland, Great Britain, Belgium and the USA. Frontex and Europol have reported a significant information exchange during the operation.



    PROTESTS Romania’s capital city Bucharest has seen another day of anti-government protests in front of the government building in Bucharest for the seventh day in a row. Roughly 15 thousand people have taken to the streets calling for the resignation of the left-wing government. However the latest rally was of a lower intensity as compared to the previous days. Sunday saw the largest protests so far, when over half a million people took to the streets of Bucharest and other cities of Romania to protest the government ordinances aimed at amending the penal codes, although the law was abrogated on the same day. Also on Monday, several hundreds of people protested against president Klaus Iohannis. The government has announced it gives up amending the Penal Codes for a while. The Justice Ministry has explained that it is not concerned about drawing up a draft law on this issue, but presently centralizing Constitutional Court rulings on the aforementioned laws, which are to be further analyzed.