Les quotidiens roumains évoque aujourd’hui aussi la situation du premier ministre roumains, Victor Ponta qui s’est fait opérer au genou en Turquie et notamment les évolutions institutionnelles et politiques de cette décision.
Les quotidiens roumains évoque aujourd’hui aussi la situation du premier ministre roumains, Victor Ponta qui s’est fait opérer au genou en Turquie et notamment les évolutions institutionnelles et politiques de cette décision.
La presse roumaine commente aujourdhui les conséquences de labandon du projet du gazoduc South Stream, qui devait acheminer le gaz russe vers lEurope, en contournant lUkraine. Ce nest que le “début des vraies difficultés” pour la Russie, selon les journalistes bucarestois qui se penchent également sur la réforme des hôpitaux roumains, actuellement en impasse, de même que sur le premier… arbre électrique de lUE.
« La Roumanie assure un des plus hauts niveaux européens de qualité des soins durgence » ont conclu les participants à la première édition du Congrès de médecine d’urgence déroulé fin juin, à Cluj. L’explication en est bien simple: notre pays figure parmi les seuls cinq pays européens où la médecine d’urgence est une spécialité dans le cadre de la Faculté de médecine. En plus, la mise en place d’un programme national de modernisation des unités d’accueil des urgences et des ambulances a donné un nouveau visage à l’aide médicale d’urgence en Roumanie.
Pourtant, si l’on veut des services irréprochables, des choses restent encore à faire. Sur l’ensemble des problèmes auxquels le système se confronte, notons en tout premier lieu le fait que trop peu d’hôpitaux de Roumanie couvrent toutes les spécialités en matière d’urgences. Du coup, les gens se voient souvent trimbalés d’un hôpital à l’autre sans très bien comprendre ce qui se passe. Heureusement que le Ministère de la santé fait des efforts soutenus pour assurer une médecine d’urgence de qualité et donc il se prépare à allouer des fonds supplémentaires aux services ambulanciers. Les sommes seront utilisées tant pour le dégel des postes et la promotion du personnel déjà existant, que pour des investissements pour l’infrastructure et la réparations des ambulances. Depuis le début de l’année, le ministère a débloqué 160 nouveaux postes dans le système des services médicaux d’urgence et ce processus va continuer.
Alexandra Tanase, bénévole depuis deux ans des services d’ambulance de Bucarest, témoigne de son expérience: « La situation s’améliore d’une année à l’autre et je constate que nos coordinateurs s’efforcent de nous offrir un confort accru pour nous aider à remplir notre devoir le mieux possible. Le service d’ambulance dispose de trois types de véhicules. Ceux du type A assurent uniquement le transport des patients. Les ambulances du type B ont à bord un infirmier et souvent un bénévole. Enfin, les ambulances du type C disposent d’une équipe complète, formée d’un infirmier, d’un médecin et d’un bénévole. Ces derniers interviennent en cas de problèmes très graves, tels l’arrêt cardiorespiratoire ou l’accident. Plus le cas est sévère, plus l’équipe a des compétences accrues. Par contre, en cas de problème de santé sans risque majeur, ce sont notamment des ambulances du type B qui s’en chargent. Si l’on constate que le problème est plus sévère, alors on peut demander une équipe du type C. »
Puisque l’édition de cette année du Congrès interdisciplinaire sur les urgences a aussi abordé l’absence de certains services médicaux nécessaires dans un même établissement hospitalier, Alexandra Tănase nous a expliqué la procédure suivie par les ambulanciers pour décider de l’hôpital qui accueillera le patient: «Nous sommes en contact permanent, par le système de communication à distance, nous expliquons l’état du patient et on nous dirige vers un certain hôpital. Sinon, nous l’emmenons à l’établissement le plus proche. Il m’est arrivé d’avoir un patient décompensé que nous avons emmené, pour sa propre sécurité, à l’hôpital le plus proche, au lieu de celui requis par sa maladie. »
Alexandra nous a également raconté que chaque patient reçoit le traitement dont il a besoin, malgré une attente parfois longue, à cause du grand nombre de malades emmenés aux urgences. Quelles améliorations s’imposeraient encore? Alexandra Tănase: « La modernisation des ambulances, l’augmentation de leur nombre ainsi que du nombre d’ambulanciers, car c’est un problème visible. Il faudrait aussi impliquer tout le monde, parce que la réaction des gens en cas d’accident est vitale. Il existe un programme national intitulé « Il y a un héros en chacun de nous » qui repose exactement sur cette idée :chacun peut aider, en appliquant les procédures correctes, car, les premières minutes qui suivent l’accident ou un traumatisme sont essentielles pour la vie du patient. »
Pour ce qui est des équipements, des améliorations ont eu lieu. Ainsi, par exemple, à l’Hôpital départemental des urgences “Sf. Ioan cel Nou” (Saint Jean le Nouveau) de Suceava (au nord de la Roumanie), sera-t-il installé un équipement de tomographie de dernière génération, financé par le ministère de la santé et par le Conseil départemental. De même, le service d’ambulance du département de Brăila dont les véhicules dataient de 2007, s’est enrichi de trois véhicules neufs du type B, achetés avec l’appui du ministère de la santé et il est probable que ce programme continue. (Trad.: Ioana Stancescu, Ileana Taroi)
Les Roumains touchant le salaire moyen et ayant contracté des prêts bancaires pourraient payer des mensualités moins élevées, si le gouvernement de Bucarest met en œuvre un projet révélé en début de semaine. Mais à quel prix ? s’interrogent les grands journaux roumains de ce mercredi. Dans leur ligne de mire aussi — un contrôle de la Caisse nationale d’assurances maladie dans les hôpitaux ou encore la vie de la communauté britannique en Roumanie…
La Béatification de Monseigneur Vladimir Ghika, haut prélat romano-catholique dont le martyre a été reconnu par le Pape François le 27 mars, sera béatifié le 31 août, lors d’une liturgie solennelle. La béatification, l’acte par lequel le Souverain pontife accorde à un chrétien catholique martyrisé ou qui a pratiqué toutes les vertus de façon héroïque le titre de bienheureux, permet l’exercice public du culte d’un futur saint par un groupe restreint de fidèles.
La béatification de Monseigneur Vladimir Ghika, qui aura lieu à Bucarest, est considérée comme l’événement le plus important dans la vie de l’Eglise Catholique de Roumaine, après la visite du Pape Jean Paul II, en 1999. La cérémonie réunira plusieurs milliers de fidèles, trois cardinaux et plus de deux cents évêques et prêtres. Descendant du dernier prince régnant de la Principauté roumaine de Moldavie,
Monseigneur Vladimir Ghika est né en 1873. Baptisé et confirmé dans l’Eglise orthodoxe, il s’est converti au catholicisme à l’âge de 29 ans, afin de devenir un meilleur orthodoxe, comme il l’affirmait lui-même. Il a fait ses études supérieures en France et en Italie et a voué une bonne partie de sa vie à venir en aide aux miséreux, lesquels l’ont d’ailleurs surnommé «le prince des pauvres». Monseigneur Vladimir Ghika a également fondé en Roumanie le premier hôpital gratuit.
En 1939, au début de la deuxième guerre mondiale, Vladimir Ghika se trouvait en Roumanie, où il reste pour encourager et aider les besogneux et les malades. Après l’arrivée du communisme, il fait le choix de rester dans son pays auprès de ses compatriotes en souffrance. Arrêté en novembre 1952, sous l’accusation de haute trahison, il est condamné à trois ans d’incarcération dans la prison de Jilava, près de Bucarest, où il est menacé, battu et torturé. Deux ans plus tard, il meurt d’épuisement.
Il convient de mentionner que le Pape Pie XI lui a accordé l’autorisation de célébrer la messe selon les deux rites romain et byzantin. L’activité de Monseigneur Vladimir Ghika a dépassé les frontières confessionnelles et l’esprit de son temps, ce qui lui a valu d’être considéré comme un véritable précurseur de l’œcuménisme.
Une fois déclaré «Bienheureux», il sera mis aux rangs des bienheureux et des saints de l’Eglise Catholique et inscrit au calendrier de lEglise catholique roumaine, où il sera fêté le 16 mai, date de sa mort. Il rejoindra deux autres martyrs du communisme glorifiés par l’Eglise catholique de Roumanie, Szilárd Ignác Bogdánffy (2010), évêque auxiliaire de Satu Mare et Oradea (nord-ouest), mort en 1949 dans la prison dAiud, et János Scheffler (2011), évêque de Satu Mare, mort en 1952 dans cette même prison de Jilava. (trad. : Mariana Tudose)
Le projet du contrat-cadre d’assistance médicale fait l’objet des débats publiques en Roumanie. Le ministre de la Santé Publique, Eugen Nicolàescu, a déclaré vouloir une consultation ample où le plus grand nombre possible de représentants des associations de patients, les assureurs privés et les patronats puissent exprimer leurs opinions. Il a averti que si, après l’entrée en vigueur du contrat-cadre, on rencontre, de nouveau, des situations où les malades sont envoyés à acheter le nécessaire hospitalier ou s’ils sont obligés à payer des pots-de-vin pour être hospitalisés, les directeurs de ces hôpitaux seront mis à la porte. Le ministre a annoncé des audits et les directeurs des hôpitaux qui accumulent des dettes pendant trois mois consécutives ne seront plus maintenus. Le Ministère de la Santé Publique a l’intention de rembourser, cette année, une grande partie des dettes accumulées ces dernières années dans le système médical.
Quant au payement solidaire dans le cas d’hospitalisation, système de contributions individuelles qui entrera en vigueur à partir du 1-er mars prochain, le ministre a mentionné que celui-ci ne vise qu’une somme modique. Néanmoins, cette mesure du Gouvernement n’est pas agrée par les associations des malades. La Coalition des Organisations des Patients aux Affections Chroniques de Roumanie estime que cette paye individuelle supplémentaire contrevient à la Loi de la Santé Publique et porte atteinte aux patients aux petits revenus. Plus que cela, l’argument de l’Exécutif vis-à-vis du FMI d’introduire le co-payement serait en contradiction avec l’annonce de Nicolàescu au début de l’année lorsque le ministre disait que la Roumanie n’est pas préparée à passer à un autre système comprenant le co-payement.
A son tour, le collège des Médecins se déclare stupéfait par la déclaration du chef de la délégation du FMI en Roumanie, Erik de Vrijer selon lequel le co-payement devrait être de 10 lei (2,3 euros) chaque jour, pendant l’intégralité de l’hospitalisation. Le Collège estime que l’officiel du FMI n’a aucune expertise à l’égard du fonctionnement des systèmes de santé et que, dans les conditions où une telle proposition serait acceptée, 80% des Roumains n’auraient plus accès aux services hospitaliers sinon avec de gros efforts.
Une bonne partie des modifications du contrat-cadre d’assistance médicale sont liées, même conditionnées, par le budget d’Etat 2013 envoyé au Parlement pour débats. Le projet prévoit 3,7 milliards de lei pour payer les dettes et 44 milliards pour acheter du matériel performant. Selon le ministre Eugen Nicolàescu, ce budget, accru vis-à-vis de celui de l’année précédente, est une image de ce que la Roumanie peut faire aujourd’hui pour que la santé demeure une priorité. (trad.: Costin Grigore)
Une délégation conjointe FMI-l’UE-Banque Mondiale se trouve à Bucarest pour une nouvelle mission d’évaluation
Les experts du FMI, de l’UE et de la Banque Mondiale sont à Bucarest jusqu’au 29 janvier pour une nouvelle mission d’évaluation de l’accord préventif estimé à environ 5 milliards d’euros, conclu avec la Roumanie au printemps 2011. C’est la première visite en Roumanie des bailleurs de fonds après le scrutin législatif de décembre et la constitution du nouveau gouvernement de centre-droit dirigé par le premier ministre Victor Ponta. A l’agenda des réunions figurent les récentes évolutions de l’économie roumaine, le projet du budget 2013, les politiques monétaires menées par la Banque centrale et la manière dont le système bancaire peut résister aux éventuels chocs provenant de l’extérieur.
Les négociations s’annoncent difficiles, étant donné que Bucarest se confronte à certains retards, notamment pour ce qui est de la privatisation de grandes entreprises d’Etat et la restructuration efficace des dépenses dans le secteur sanitaire. Les autorités roumaines souhaitent obtenir un délai de quelques mois afin de respecter les engagements assumés dans le cadre de cet accord. Les représentants du cabinet de Bucarest parleront aux bailleurs de fonds sur l’impact de certaines mesures comme la majoration du SMIC de 155 euros à 177 euros et la réduction de la TVA appliquée aux produits alimentaires de base.
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Recommandations de la Banque Mondiale pour la Roumanie
La Roumanie doit continuer les réformes structurelles, sans se hâter d’adopter l’euro avant de réaliser une convergence réelle avec les économies européennes. Cette recommandation vient de la part du directeur de la Banque Mondiale pour la Roumanie, François Rantrua, qui l’a émise au cours d’une conférence de presse donnée à Bucarest. Et M. Rantrua d’ajouter que la BM avait remarqué les bons résultats enregistrés dernièrement par la Roumanie dans la réduction du déficit budgétaire, le contrôle de l’inflation et l’augmentation de ses exportations ; le responsable de la BM a cependant attiré l’attention que la reprise économique a besoin d’investissements, notamment dans les transports et le secteur énergétique.
La Roumanie doit relever d’autres défis aussi : rééquilibrer le budget de la Sécurité sociale, réformer le secteur des soins de santé, introduire l’efficience dans l’activité des entreprises à capital d’Etat, améliorer la collecte des recettes au budget de l’Etat, accroître le taux d’absorption des fonds européens.
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Débats autour du financement du système roumain de santé
Réformer le système national de santé est une priorité du gouvernement de Bucarest ; la preuve — le projet de budget pour 2013 prévoit une majoration de 30% des fonds alloués à ce secteur. Le ministre de tutelle, Eugen Nicolăescu, a annoncé plusieurs mesures en ce sens, dont la suspension des fonds de la CNAM pour les hôpitaux privés ou encore l’abandon de la gestion des établissements hospitaliers départementaux par les pouvoirs locaux.
Le mécontentement exprimé par les directions des hôpitaux et par la population ont déterminé le ministre à faire d’autres précisions. Il a fait savoir qu’une décision serait prise au moment de l’approbation, par le gouvernement, du contrat-cadre sur 2013 destiné à ce secteur. Pour ce qui est de l’éventuel conflit d’intérêts qui pourrait frapper les médecins travaillant en même temps dans les secteurs public et privé, le ministre Eugen Nicolăescu a déclaré qu’aucune décision n’avait été prise.
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La Roumanie réagit à la crise du Mali et à la prise d’otages en Algérie
La communauté internationale connaît une nouvelle crise, cette fois-ci au Mali, pays confronté à une amplification des actions des groupes terroristes qui risquent de s’étendre et de déstabiliser toute la région. Une réunion extraordinaire provoquée par cette crise a eu lieu aussi à Bruxelles, où les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont décidé de créer une mission de formation et de réorganisation de l’armée malienne, dont le mandat s’étendra sur 15 mois. La mission des 200 instructeurs militaires et 250 agents de sécurité sera de former les forces du gouvernement de Bamako pour lutter contre les groupes rebelles islamistes.
Le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlăţean, a affirmé que la Roumanie pourrait participer à la mission militaire européenne au Mali. Le responsable roumain a fermement condamné les actions des groupes terroristes du Mali et a transmis un message soutenant la décision de la France d’intervenir avec des forces armées pour rétablir l’ordre.
Par ailleurs, Bucarest a confirmé que la Roumanie figure parmi les pays dont les ressortissants ont été pris en otage en Algérie par un groupement affilié à Al-Qaïda en représailles à l’intervention aérienne et terrestre des militaires français contre les bastions islamistes du Mali. Le ministère roumain des Affaires étrangères a annoncé la constitution d’une cellule de crise chargée de la prise d’otages en Algérie. (aut. : Andreea Bojoi ; trad. : Ileana Taroi, Alex Diaconescu)
Le ministre roumain de la Santé a suscité un tollé voici quelques jours, quand il a annoncé son intention de couper les fonds de la Caisse nationale d’assurances maladie qui étaient jusqu’ici alloués aux hôpitaux privés. Depuis, journalistes et analystes ne cessent de débattre ce problème. Le ministre « Nicolăescu a changé d’avis : les hôpitaux privés continueront d’être financés », annonce Adevărul, mais le financement se fera différemment à partir du 1er mars. Jurnalul naţional fait valoir le droit de celui qui paye de choisir où il veut se faire soigner — à l’Etat ou au privé. Evenimentul zilei signale, lui, une « Directive européenne qui arrête « la nationalisation de la Santé ». Selon cette directive, tout Roumain assuré aura le droit, à partir d’octobre prochain, de se faire soigner dans un hôpital de l’Union européenne, qu’il soit privé ou d’Etat. Et le remboursement se fera conformément aux grilles de Roumanie. Dans ce cas, les hôpitaux privés de Roumanie auxquels les fonds seraient coupés seraient sujets à discrimination.
C’est l’hiver, une saison où différentes maladies sévissent, donc il s’agit de protéger son immunité. Elle figure bien dans les pages des grands quotidiens bucarestois, mais c’est l’immunité parlementaire. România liberă a appris « comment les parlementaires veulent protéger leur immunité ». Non, il ne s’agit pas de se faire vacciner contre la grippe. Selon une nouvelle initiative législative, « s’ils veulent demander à retenir, arrêter ou perquisitionner un parlementaire, les procureurs devraient montrer aux élus tant le fondement légal et les raisons concrètes que les preuves sur lesquelles leur demande repose. » Cela s’ils souhaitent que les parlementaires votent en faveur de la levée de l’immunité parlementaire d’un collègue. Evenimentul zilei conclut que les élus « souhaitent se tenir le plus à l’écart possible de la justice. Par les modifications proposées, «le Parlement devient une cour de justice », lit-on dans Adevărul. Oui, renchérit Evenimentul zilei, « mais sans passer par des études de spécialité ».
Procureur ou juge à la tête du Conseil supérieur de la magistrature ? C’est, en Roumanie, le sujet d’une vive polémique après qu’une femme procureur ait accédé pour la première fois à la tête du Conseil, suite à un vote démocratique. Ceci a créé un « scandale national », comme l’appelle Jurnalul naţional. « Un pays dépourvu de procureurs est un pays de hors-la-loi », rétorque România liberă dans son édito. « L’institution du Procureur est soumise ces jours-ci à une attaque concertée de la part des institutions politiques et des médias favorables au Pouvoir en place laquelle, si elle aura du succès, soumettra la justice pénale aux intérêts des groupes criminels, habillés (ou pas) dans des vêtements politiques ». Jurnalul naţional trouve à redire que Oana Schmidt Hăineală ait visité Bruxelles tout de suite après sa nomination. Et aussi qu’elle y a rencontré un personnage dont elle n’aurait même connu pas le nom ni les fonctions. « Jusqu’à quelle bassesse la lutte pour le CSM descendra-t-elle ? » se demande România liberă dans un autre article. Seul l’avenir nous le dira.