Tag: Iasi

  • 24.10.2013

    24.10.2013

    Réunion — Le président de la Roumanie, Traian Băsescu, participe à Bruxelles, deux jours durant, à la session d’automne du Conseil européen. Selon le chef de l’Etat roumain, l’agenda des discussions sera dominé par des sujets ayant trait à l’économie, notamment au développement de l’économie numérique. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a déclaré que l’UE avait besoin d’un système numérique fort, à même de favoriser l’essor des autres secteurs de l’économie. La situation sociale au sein de l’Union, avec un accent particulier sur les mesures de réduction du taux de chômage chez les jeunes et le démarrage de l’activité de l’Autorité de surveillance bancaire, figurent également à l’ordre du jour de la réunion de Bruxelles.



    Visite — Le chef du cabinet de Bucarest, Victor Ponta, s’est entretenu à Washington avec les parlementaires américains au sujet du programme de libéralisation des visas pour les ressortissants roumains souhaitant voyager aux Etats-Unis. La partie américaine a assuré que la Roumanie tirerait profit des modifications législatives en matière d’immigration prévues dans un projet de loi soumis actuellement à la Chambre des Représentants. D’ailleurs, le président Barack Obama doit demander, ce jeudi, à cette Chambre d’adopter la réforme de l’immigration, déjà approuvée, le 27 juin dernier, par le Sénat. Les républicains, majoritaires à la Chambre, ne sont pas d’accord avec certaines dispositions du texte.



    Justice — Ion Ficior, ancien commandant, entre 1960 et 1963, du camp de détention pour prisonniers politiques de Periprava (dans l’est de la Roumanie), a été mis en examen pour génocide. Selon l’Institut d’investigation des crimes du communisme, Ficior aurait institué dans ce camp de travail forcé un régime de détention abusif, répressif et discrétionnaire. Sous sa direction, 103 prisonniers politiques ont perdu la vie à cause des conditions inhumaines. Ion Ficior est le deuxième nom sur une liste de 35 personnes qualifiées de tortionnaires par l’Institut d’investigation des crimes du communisme.



    Festival – Plus de 200 écrivains, traducteurs, critiques et journalistes littéraires, libraires, organisateurs de festivals littéraires et directeurs d’établissements culturels de 17 pays participent à Iasi, dans le nord–est de la Roumanie à la première édition du Festival international de littérature et de traductions. Au programme: lectures publiques, rencontres des écrivains avec des lycéens et des étudiants, tables rondes et débats, expositions, concerts et un salon du livre. Le festival, qui s’achèvera dimanche, a débuté mercredi soir par un gala d’ouverture.



    Sport — L’équipe roumaine de foot Pandurii Târgu Jiu rencontrera ce soir, en déplacement, les Italiens de Fiorentina, dans un match comptant pour la troisième phase du groupe E de la Ligue Europa. Les Roumains, qui ont engrangé un seul point, se retrouvent dans leur groupe aux côtés des Portugais de Paços de Ferreira et des Ukrainiens de Dniepr Dniepropetrovsk. Mardi soir, lors du match contre les Suisses de FC Bâle, Steaua Bucarest, champion de foot de Roumanie, avait marqué son unique point dans la Ligue des Champions.



  • Les Journées de la ville de Iasi

    Les Journées de la ville de Iasi

    Manifestations culturelles, compétitions sportives, spectacles et visites figurent au programme des Journées de la ville, organisées sous l’égide de la municipalité de Iasi. Une manifestation qui s’ajoute à un ample programme religieux organisé par l’Archevêché de la Moldavie et de la Bucovine pour commémorer Sainte Parascève.



    Quelques jours durant, de nombreux lieux vous ouvriront leurs portes, tandis qu’une multitude d’événements seront organisés pour l’occasion: la Parade des Costumes d’époque, le Festival folklorique « La rose de Moldavie », des spectacles en plein air, la Foire d’automne et la Fête du Vin, le tout couronné par un immense feu d’artifices organisé le 15 octobre. Pour plus de détails, nous avons invité au micro Victoria Epurean, guide touristique, et Sebastian Buraga, porte parole de la municipalité de Iasi. Victoria Epurean accompagne chaque semaine les touristes dans un tour guidé gratuit de la ville. « Le centre de tourisme de la ville, appuyé par les étudiants de l’Université A.I. Cuza, organise en cette période de l’année un concours appelé Reconnaissez-vous Iasi?”. Il s’agit d’une visite piétonne gratuite de tout le centre-ville, organisée chaque mercredi. Une occasion pour les habitants qui pensaient bien connaître leur ville de découvrir le contraire. Et une occasion pour les étrangers, qu’ils soient touristes ou hommes d’affaires, de se laisser impressionner par notre histoire et notre culture. Ils ont été touchés particulièrement par les nombreuses églises, le Palais de la Culture ou bien l’édifice du Théâtre national récemment rénové. La ville de Iasi est riche en monuments et si je devais faire un classement des plus importants, eh bien le Théâtre national serait en première position, suivi par le Musée de l’Union, la Maison Pogor et les monastères tant de la ville que des alentours ».



    Le Palais de la Culture dont la construction a démarré en 1906, l’Eglise des Trois Hiérarques érigée en 1635, l’Archevêché, le Monastère de Golia et même la Place de l’Union — voilà autant d’édifices à ne pas rater une fois à Iasi, nous dit notre guide, Victoria Epurean. Bien sûr, à cette petite liste peut s’ajouter une autre comportant les musées les plus représentatifs de la ville parmi lesquels celui de l’Union et la Maison Pogor, siège de la société littéraire Junimea. Et puisque ces jours-ci, Iasi s’apprête à faire la fête, voyons quelques repères culturels à découvrir en cette période de l’année. En tête de liste: la Parade des costumes d’époque. « C’est un événement organisé chaque année en prenant comme source d’inspiration le Iasi d’antan. Par exemple, l’actuel boulevard Stefan cel Mare (Etienne le Grand) s’appelait jadis la Ruelle des Boyards et il servait de lieu de promenade aux grandes dames de la ville. Nous, on se propose justement de ranimer cette ambiance de jadis à travers une parade des costumes à laquelle s’ajoute un Salon de la confiture organisé au monastère de Golia. Pourquoi là? Parce que c’était bien à Golia qu’il y avait deux fontaines renommées pour la qualité de l’eau. Les habitants s’y rendaient donc pour s’en ravitailler et s’en servir pour préparer la meilleure confiture. Le Salon ouvre ses portes chaque année et il invite les touristes à goûter à toute sorte de confitures dont certaines assez bizarres. Et je pense à celle d’oignon, de piment ou de rose. Ca vaut vraiment la peine de les essayer. »



    A son tour, Sebastian Buraga, porte parole de la municipalité de Iasi, affirme: « Cela fait plus de dix ans que Iasi est devenu capitale de l’orthodoxie en Europe du sud-est, et la fête de Sainte Parascève rassemble chaque année le plus grand nombre de pèlerins jamais enregistré en Roumanie. Et je pense à un chiffre record de 800.000 fidèles qui nous ont parfois rendu visite du 7 au 15 octobre. Quant aux Journée de la ville, l’idée appartient aux maires de Iasi et remonte aux années 1920-1930. A l’époque, on y organisait des foires très importantes dans la région. Par conséquent, appuyés par l’Archevêché de la Moldavie et de la Bucovine, on a décidé de renouer avec cette tradition pour célébrer les Journées de la ville en même temps que la fête de Sainte Parascève ».



    Une fois le mois d’octobre arrivé, Iasi ouvre ses portes aux maîtres artisans qui y organisent des foires et des expositions. Autant d’événements qui s’accompagnent de concerts de musique traditionnelle, de pièces de théâtre, de soirées de poésie ou de photographie. Pour plus de détails, repassons le micro à Sebastian Buraga, porte parole de la municipalité: « Nous avons des événements aussi bien à caractère laïc que religieux. Pourtant, si je pense aux touristes étrangers, je crois que c’est le côté spirituel des manifestations qui devrait prendre le dessus. Car pour la Sainte Parascève, la ville accueille un phénomène spirituel particulier. De ce point de vue, on a l’occasion d’assister à un pèlerinage tout aussi important que ceux faits par les catholiques en France ou en Italie. Donc, la commémoration de Sainte Parascève et la messe en plein air devraient figurer en tête de classement des choses à faire une fois à Iasi. S’y ajoute la Foire du Vin, une fête qui nous fait penser à une sorte d’Oktoberfest qui fait du vin – et non pas de la bière – la pièce de résistance. La liste se poursuit par la Soirée des Valeurs, consacrée aux personnalités de Iasi. C’est un événement par lequel on se propose de faire connaître au grand public les noms des ceux qui ont contribué par leurs activités aux valeurs nationales et internationales. Et je souhaiterais vous dire que la ville de Iasi aspire au statut de capitale européenne en 2021. Du coup, on fait de notre mieux pour mettre en évidence le rôle culturel et spirituel de notre ville et on compte beaucoup sur l’appui des autorités, des médias, des hommes de culture pour voir notre objectif se concrétiser ».



    Chers amis, notre périple radiophonique prend fin ici. Pourtant, je pense que vous avez déjà suffisamment d’arguments pour inscrire Iasi sur la liste de votre prochaine destination de vacances…(trad.: Ioana Stancescu)


  • Sărbătorile Iaşiului 2013

    Sărbătorile Iaşiului 2013

    Primăria Municipiului Iaşi organizează an de an, în luna octombrie, o suită de manifestări culturale, umanitare, comerciale, sportive şi de divertisment care vin să completeze amplul program religios pregătit de către Mitropolia Moldovei şi Bucovinei, cu ocazia Sfintei Parascheva, ocrotitoare a Moldovei. Astfel, printre acţiunile de mare anvergură ce se desfăşoară cu ocazia Sărbătorilor Iaşului” amintim Promenada Costumelor de Epocă, decernarea Premiilor anuale ale Uniunii Scriitorilor Iaşi, Festivalul folcloric Trandafir de la Moldova”, spectacole şi concerte gratuite în aer liber, Târgul de Toamnă şi Sărbătoarea Vinului, cupe şi competiţii sportive si un superb joc de artificii oferit tuturor participanţilor la Sărbătorile Iaşului” în data de 15 octombrie. Despre toate aceste evenimente am vorbit cu invitaţii noştri de azi: Victoria Epurean, agent de turism şi Sebastian Buraga, purtător de cuvânt al primăriei municipiului Iaşi.



    Victoria Epurean este cea care însoţeşte turiştii în această lună, în fiecare săptămână, într-un tur gratuit de oraş: În această perioadă, Centrul de informare turistică organizează un concurs, Recunoaşte Iaşiul”, cu sprijinul studenţilor de la Universitatea A.I. Cuza. Turul gratuit e un tur pietonal, organizat în fiecare miercuri, de la ora 9.00 la 11.00, prin care prezentăm centrul istoric al Iaşului. Acesta cuprinde 20 de obiecte turistice şi poveşti interesante despre Iaşi. Am început cu localnicii care credeau că îşi cunosc oraşul, însă cu ocazia turului au realizat contrariul, dar am plimbat şi străini, nu neapărat turişti, ci şi cei aflaţi în oraş pentru afaceri. Aceştia au rămas foarte impresionaţi de istoria noastră, de numeroasele biserici din oraş. Le-a plăcut mult centrul istoric şi, mai ales, zona cu Palatul Culturii. Mulţi au intrat şi în Teatrul Naţional, după restaurare, şi au rămas uimiţi. Sunt multe monumente istorice, iar dacă ar fi să fac un top acesta ar cuprinde: Teatrul Naţional, Muzeul Unirii, Casa Pogor şi mănăstirile, atât din oraş cât şi din afara lui, trebuie neapărat vizitate la Iaşi.”



    Palatul Culturii, a cărui construcţie a început în anul 1906, Mănăstirea Trei Ierarhi, datată din anul 1635, Mitropolia, Mănăstirea Golia, chiar Piaţa Unirii, sunt obiective pe care Victoria Epurean vă recomandă să nu le rataţi. Există şi muzee de referinţă: Muzeul Unirii sau Casa Pogor — sediul societăţii literare Junimea. Referitor la Zilele Iaşului sunt tot felul de expoziţii şi de activităţi interactive, interesante, pentru tineri, studenţi, copii. Unul dintre evenimentele deosebite din această perioadă este Parada costumelor de epocă. Este un eveniment organizat în fiecare an, de tradiţie. Această promenadă se face având la bază istoria Iaşiului. Bulevardul Ştefan cel Mare se nume înainte Uliţa Boierilor şi era loc de promenadă pentru doamnele de la casele boiereşti. Se doreşte învierea atmosferei din trecut prin această promenadă a costumelor de epocă. Mai sunt evenimente care se leagă de istoria oraşului, printre care Târguri de dulceţuri de la mănăstirea Golia. Se organizează un târg de dulceţuri acolo, fiindcă la Golia era cea mai bună apă din oraş. Există de-o parte şi de alta două cişmele şi de acolo oamenii se aprovizionau cu apă pentru a face o dulceaţă foarte bună. Târgul este anual şi sunt dulceţuri care de care mai gustoase şi ciudate. Veţi găsi dulceţuri din ceapă, ardei iute sau trandafir. Merită încercat.”



    Sebastian Buraga, purtător de cuvânt al primăriei municipiului Iaşi, ne-a vorbit despre lunga tradiţie a sărbătorilor Iaşului: De peste 10 ani, Iaşiul a devenit capitala ortodoxiei din sud-estul Europei, iar hramul Cuvioasei Parascheva a devenit o sărbătoare semnificativă în spaţiul ortodox românesc. Este oraşul în care se face cel mai mare pelerinaj din România la ora actuală. Am atins recorduri, când 800.000 de pelerini au vizitat Iaşiul în perioada 7 — 15 octombrie. Alte manifestări semnificative sunt cele care sărbătoresc oraşul Iaşi. Ideea le-a venit marilor primari ai Iaşiului, din anii 1920-1930. Atunci se organizau târguri importante pentru zona Moldovei. Împreună cu Mitropolia Moldovei şi Bucovinei am reînviat această lună a Iaşiului şi, de hramul Sfintei Parascheva, s-a decis să sărbătorim şi zilele oraşului.”



    Meşteri populari se adună cu mic, cu mare şi organizează demonstraţii şi expoziţii cu vânzare. Concerte de muzică pop sau populară sunt în fiecare seară. Va fi şi o defilare militară cu torţe, sunt reprezentaţii de piese de teatru în cadrul Festivalului Internaţional de teatru, seri de poezie sau de fotografie. Iată doar câteva alternative pentru programul pe care-l puteţi avea luna aceasta la Iaşi. Sebastian Buraga, purtător de cuvânt al primăriei municipiului Iaşi, ne-a confirmat o ofertă bogată şi pentru toate gusturile. Sunt evenimente care se referă atât la partea laică a acestor sărbători cât şi la partea spirituală. Dacă ar fi un turist din străinătate, probabil că primul reper pe care l-aş aduce în discuţie este cel legat de latura spirituală. Nu este de omis faptul că de hramul Cuvioasei Parascheva are loc un fenomen spiritual deosebit. Din acest punct de vedere, aşa cum sunt marile pelerinaje ale greco-catolicilor din Franţa, din Italia, evenimentul acesta se poate ridica la nivelul acestor manifestări religioase. Prin urmare un prim eveniment ar fi pelerinajul, hramul Cuvioasei Parascheva şi slujba din aer liber. Dintre evenimentele laice, primul la care m-aş opri este Târgul Vinurilor, o sărbătoare populară, adresată tuturor. E asemănătoare cu Oktoberfest, numai că nu se consumă bere, ci băutură tradiţională, vin. Cea mai importantă manifestare pe care vrem să o aducem în atenţia opiniei publice este legată de Seara Valorilor. Aceasta e dedicată marilor oameni din Iaşi. Ne prezentăm cei mai reprezentativi oameni, care şi-au adus contribuţia la valorile naţionale şi internaţionale, prin activitatea depusă în anul precedent. Doresc să subliniez că, oficial, ne dorim să devenim capitală culturală europeană în anul 2021. Prin urmare, latura culturală şi spirituală a Iaşiului trebuie subliniată. Împreună cu organizaţiile de profil, reprezentanţii mass media, oamenii de cultură, lucrăm pentru a împlini acest deziderat în anul 2021.”



    În speranţa că v-am convins să vizitaţi Iaşiul în sărătoare, în luna octombrie, vă aşteptăm şi data viitoare cu o nouă destinaţie.

  • A la Une de la presse roumaine du 08.10.2013

    A la Une de la presse roumaine du 08.10.2013

    La démission du ministre de l’Economie, Varujan Vosganian, est aujourd’hui en tête de liste des sujets abordés par la presse centrale roumaine. S’y ajoutent les incertitudes liées à l’un des chantiers les plus importants du pays, celui du gazoduc Iasi-Ungheni ainsi que le Programme national pour le bonheur, récemment lancé à Bucarest…


  • Streunerhunde in Rumänien – ein Blick in die Vergangenheit

    Streunerhunde in Rumänien – ein Blick in die Vergangenheit

    Der Kanon der politischen Korrektheit will es, dass Streunerhunde heute auch als herrenlose“ oder sogar als gemeinschaftliche“ Hunde bezeichnet werden. Die Stra‎ßenhunde waren schon im vergangenem Jahrhundert ein ungelöstes Problem in den rumänischen Städten. Die Ursachen für dieses Erbe sind komplex, sie reichen von der Unfähigkeit der Behörden, klare und rigorose Gesetze zu erarbeiten und umzusetzen, bis zum verantwortungslosen Umgang mancher Menschen mit den Vierbeinern.



    Die Streunerhunde werden mit Schmutz, Krankheiten und unsicheren Stra‎ßen in Verbindung gebracht. Auch nachdem Menschen von Hunden auf der Stra‎ße totgebissen wurden, hat man dieses Problem in Rumänien nicht lösen können. Das Zögern der Behörden, die Verwirrung der öffentlichen Meinung und die kontrovers geführten Diskussionen über eine akzeptable Lösung haben bewirkt, dass die Tiere in kleinerer oder grö‎ßerer Anzahl stets auf der Stra‎ße geblieben sind.



    Die Historikerin Constanţa Vintilă-Ghiţulescu vom Geschichtsinstitut Nicolae Iorga“ in Bukarest erzählt über die Stra‎ßenhunde in den rumänischen Städten der ersten Hälfte des 19. Jahrhunderts:



    Die Streuner waren schon immer ein Problem Rumäniens. Erst Mitte des 19. Jahrhunderts stellt sich das Problem deren Beseitigung aus den Städten. Bis zu dem Zeitpunkt existierten diese auch, weil viele Häuser nicht umzäunt waren, die Grundstücke waren nicht abgregrenzt. Die Hunde, die sich dann in der Nähe der Häuser aufhielten und anhänglich wurden, gehörten im Grunde genommen allen. Sicherlich sahen Städte wie Bukarest und Iaşi damals anders als heute aus, ohne Einzäunungen und gut abgegrenzte Grundstücke, aber die Stra‎ßenhunde waren damals ein Problem in ganz Europa. Das erste Dokument, das ich finden konnte und sich mit dem Problem der Streuner in Rumänien befasst, stammt aus dem Jahr 1810. Die Russen, die damals, während des russisch-türkischen Kriegs von 1806-1812 die rumänischen Fürstentümer besetzt hatten, machen auf dieses Problem der Stra‎ßenhunde aufmerksam und rekrutieren ein Hundefänger-Team. Dieses hatte die Aufgabe, sie einzufangen und zu töten. Sie geraten aber in Konflikt mit den Hundebesitzern. Es erscheinen Schreiben, in denen die Besitzer aufgefordert werden, die Hunde an der Kette oder im Hof zu halten, anders würde man sie beseitigen. Nachdem die Russen 1812 abziehen, wird die Ma‎ßnahme aufgehoben. 1850 finden wir die Ma‎ßnahme wieder. Die Städte fingen an, sich zu strukturieren und das französische Modell der Hygienisierung und der Urbanisierung wird angewendet. In den Dörfern sind Streunerhunde hingegen überall zu finden, sie werden nicht an der Kette gehalten, sie sind in einem von Menschen bewohnten Raum anwesend.“



    In den Augen der Fremden werden die Stra‎ßenhunde berüchtigt. Constanţa Vintilă-Ghiţulescu hatte Einsicht in Dokumente, die belegen, dass nach Einbruch der Dunkelheit ganze Stra‎ßenhunde-Rudel die Stadt beherrschten:



    Die Konsuln Gro‎ßbritanniens und Frankreichs, die bis 1859 in Bukarest tätig waren, sprechen von der Unmöglichkeit, wegen dieser Hunde nachts auf den Stra‎ßen von Bukarest und von Iaşi zu spazieren. Es gibt einen Zeitzeugenbericht von 1850, der die Hunderudel in der Nähe des Dâmboviţa-Flusses schildert. Warum sie sich da aufhielten? Entlang des Dâmboviţa-Ufers gab es viele Schlachthöfe, Gerbereien und Fleischbearbeitungsläden. Diese kleinen Unternehmen warfen die Abfälle in den Fluss. Da gab es dann sehr viele Hunde, weil sie dadurch Nahrung fanden. Ein Spaziergang durch diese Gegend glich einem Selbstmord. 1852 fordert ein Schreiben der städtischen Verwaltungsräte, dass Ma‎ßnahmen gegen die Hunde ergriffen werden. Es erscheint auch die Idee, das erste Hundeheim zu bauen. Begründet wurde dies dadurch, dass die Tötung der Hunde grausam war. Der humanitäre Diskurs gewinnt Anhänger in der Öffentlichkeit. Es wurde sinngemä‎ß gesagt, wir seien Menschen und können keine Hunde in der Öffentlichkeit töten. Das unglaubliche Verhalten der Hundefänger wurde verurteilt.“



    Auch in der Vergangenheit gab es Fälle von Streunern, die Menschen getötet haben, Zeitzeugenberichte belegen es. Extrem gefährlich waren die tollwütigen Hunde. In Zeiten von Epidemien vervollständigten Berichte von halbverwilderten Hundemeuten das apokalyptische Bild der von einer Seuche befallenen Gesellschaft. Constanţa Vintilă-Ghiţulescu über Berichte aus Geschichtsquellen:



    In einer Zeitung aus der Epoche gibt es Berichte über tollwütige Hunde, die in Döfern, nicht Städten, Menschen angreiffen und zerfleischen. Dass dies ein tatsächliches Problem in jener Zeit war, ist auch aufgrund der vielen Rezepte gegen Tollwut ersichtlich, die damals abgedruckt wurden. Wir sprechen hier aber auch von Wölfen, nicht nur von Hunden. In den ländlichen Regionen, insbesondere im Gebirge, sind die Wölfe immer anwesend, vor allem nachts und im Winter. Besonders wild werden die Hunde während Epidemien. Dann wird die Nahrung knapper, weil sich die Menschen isolieren. Die Schau ist besonders grausam während einer Pestepidemie. Die Leichen werden nahe der Oberfläche begraben oder die Pestkranken werden noch lebendig begraben. Die Menschen haben solche Angst im Falle eines Sterbenden, dass sie nicht einmal mehr darauf warten, dass dieser stirbt. Wie gesagt, die Schau ist grausam: Hunde, die Leichen oder fast tote Menschen ausgraben.“



    Auch in den nachfolgenden Epochen wurde das Problem der Streuner nicht gelöst. Während des Kommunismus nahm die Zahl der Stra‎ßenhunde zu. In den rumänischen Städten, aber insbesondere in Bukarest, wurden ganze Stadtteile abgerissen. Menschen, die in Häusern mit Garten wohnten, wurden in Plattenbauten umgesiedelt und sahen sich oft gewzungen, ihre Hunde auf der Stra‎ße auszusetzen.



    Audiobeitrag hören:





  • 27.08.2013

    27.08.2013

    Syrie – Dans le dossier syrien, la Roumanie est solidaire avec ses alliés, a déclaré le président roumain, Traian Basescu, lors de la Réunion annuelle de la diplomatie roumaine, à Bucarest. La Roumanie a déjà élaboré ses propres études visant l’utilisation des armes chimiques en Syrie, mais elle ne rendra pas publique sa position avant que les experts des Nations Unies ne se prononcent, a indiqué le chef de l’Etat roumain. Une dizaine de milliers de Roumains vivent actuellement dans ce pays, a encore dit Traian Basescu.


    Dans le même temps, le ministre roumain des Affaires étrangères, Titus Corlatean, a lui aussi fait part de la préoccupation de Bucarest face à la détérioration de la situation en Syrie, soulignant qu’il était essentiel que la mission de l’ONU puisse finaliser aussi vite que possible son enquête sur l’utilisation des gaz toxiques. Bucarest condamne toute action qui porte atteinte aux droits fondamentaux de l’être humain, a conclu le chef de la diplomatie roumaine.



    Gazoduc – Le lancement des travaux de construction du gazoduc Iasi-Ungheni, reliant la Roumanie et la République de Moldova, représente un moment remarquable dans la coopération entre les deux Etats et l’UE. C’est ce qu’a déclaré mardi, le premier ministre moldave, Iurie Leanca, lors de l’inauguration du chantier. Présent à l’événement, le commissaire européen à l’Energie, Gunther Oettinger, a estimé que ce gazoduc revêtait une importance stratégique pour les deux pays. Le chef du gouvernement de Bucarest, Victor Ponta, a également été présent à la cérémonie. Antérieurement, le premier ministre roumain avait félicité les citoyens moldaves à l’occasion du 22e anniversaire de la déclaration d’indépendance vis-à-vis de l’Union Soviétique.



    Visite – Le ministre roumain de l’Economie, Varujan Vosganian, fait ce mardi une visite officielle à Kiev. Il y est accompagné par une délégation gouvernementale. La visite est destinée à reprendre les négociations avec la partie ukrainienne en vue de la récupération par la Roumanie des dépenses dans le cadre de sa participation à la construction du Combinat d’enrichissement des minerais acides de Krivoï Rog. Le montant est estimé à un milliard de dollars. Les travaux de construction de l’usine de Krivoï Rog ont démarré en 1983, à l’époque de l’Union Soviétique. Y ont pris part la République Démocratique Allemande, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie et la Roumanie. En 1990 , les travaux, achevés à hauteur de 70%, ont été arrêtés, l’investissement étant gelé en 1998 jusqu’à l’identification d’une solution.



    Economie – Le président roumain, Traian Basescu, s’est dit préoccupé par la hausse du chômage et la baisse accentuée des investissements étrangers directs. Selon le chef de l’Etat, qui s’appuyait sur les données fournies par l’Institut National de la Statistique, au mois de juin la Roumanie affichait un taux de chômage de 7,6%, en hausse de près de 1% par rapport à la même période de l’année précédente, alors qu’au premier semestre 2013, les investissements étrangers directs ont reculé d’environ 20%. Le président roumain a appelé dans ce contexte le gouvernement de centre-gauche au pouvoir à Bucarest à stimuler les investissements publics et à attirer les fonds européens.



    Enquête — Les experts de l’ONU poursuivent ce mardi l’enquête sur une possible utilisation d’armes chimiques en Syrie, lors d’une attaque la semaine dernière près de Damas. Les experts ont recueilli des échantillons sur le site de l’attaque ainsi que des témoignages des médecins ayant pris en charge les victimes dans un centre de la Croix Rouge syrienne. L’opposition et les Etats occidentaux accusent l’armée syrienne d’avoir tué des centaines de civils dans cette attaque. Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a déclaré que les Etats–Unis disposaient de preuves attestant l’utilisation des armes chimiques par l’armée syrienne, mais que le régime de Damas avait détruit ces preuves. Le ministère russe des Affaires étrangères a appelé mardi les Etats-Unis et la communauté internationale à la « prudence » en Syrie, soulignant quune intervention militaire aurait des conséquences « catastrophiques » pour les pays du Moyen Orient et de lAfrique du Nord. A Bucarest, le ministère des Affaires étrangères a fermement condamné toute utilisation présumée d’armes chimiques par les parties impliquées dans le conflit en Syrie.

  • Moldaurepublik feiert Unabhängigkeitstag

    Moldaurepublik feiert Unabhängigkeitstag

    Am 27. August 1991 hat das Parlament der Moldaurepublik auf Antrag der Nationalversammlung der Bürger der ehemaligen sowjetischen Republik die Unabhängigkeit des Landes erklärt. Zudem wurde das Lied Deșteaptă-te, române!“, zu Deutsch Erwache, Rumäne!“ als Nationalhymne angenommen. Das ist auch die rumänische Nationalhymne. Die Unabhängigkeitserklärung proklamierte einen souveränen, unabhängigen und demokratischen Staat, der frei ist, seine Gegenwart und Zukunft ohne jedwelchen externen Einfluss zu bestimmen, im Einklang mit den Idealen und den Bestrebungen des Volkes“. Zudem wurde Moskau aufgefordert, Verhandlungen über den Rückzug der sowjetischen Truppen aus der Moldaurepublik einzuleiten.



    22 Jahre nachdem diese ehemalige rumänische historische Provinz, Bessarabien, selbstständig wurde, hat Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta einen bedeutenden Besuch in Kischinew unternommen. Der rumänische Premier kam am Montag und Dienstag mit seinem moldauischen Amtskollegen Iurie Leanca zusammen. Die beiden Politiker haben über mehrere gemeinsame Projekte, die die beiden Länder näher bringen werden, diskutiert. Eines dieser Projekte ist die grenzüberschreitende Erdgas-Pipeline zwischen Iași in Rumänien und Ungheni in der Moldaurepublik.



    Auch im Beirech der Kultur soll sich einiges ändern. Vor Jahren hatte die ehemalige kommunistische Regierung in Kischinew die Ausstrahlung des öffentlich-rechtlichen rumänischen Fernsehsenders TVR in der Moldaurepublik verboten. Dieser Rechtsstreit soll jetzt ein Ende haben. Ich glaube, die Lösung dieses Rechtsstreites wird eine bessere Kommunikation und Informierung ermöglichen, unter Beachtung der Presse-und Meinungsfreiheit“, sagte Rumäniens Ministerpräsident Victor Ponta. Der Besuch des rumänischen Premiers in Kischinew kann auch als eine Geste der Unterstützung der demokratischen moldauischen Regierung interpretiert werden. Im November soll diese in Vilnius das Assoziierungsabkommen mit der EU unterzeichnen. Dadurch wird der prowestliche Kurs des Landes erheblich gestärkt.



    Die Beziehungen zwischen Rumänien und der Moldaurepublik sind heutzutage besser als je zuvor. Es gibt einen sehr aktiven und intensiven politischen Dialog und eine offene Einstellung, die auf Ergebnisse und konkrete Kooperation ausgerichtet ist. Bukarest unterstützt die Moldaurepublik in ihren Bestrebungen, die Verpflichtungen gegenüber der EU zu erfüllen.

  • 09.08.2013

    09.08.2013

    Agriculture – Le ministre roumain de l’agriculture, Daniel Constantin, a annoncé, pour cette année, une récolte de 7,3 millions de tonnes de blé et de seigle, la plus grande du pays depuis 8 ans et la deuxième depuis 43 ans. Des productions records d’orge, d’avoine et de colza ont été également enregistrées. Le ministre Daniel Constantin a précisé que ces récoltes sont aussi dues à l’implication des autorités, les agriculteurs ayant reçu les subventions pour les superficies cultivées bien avant les délais annoncés. Les producteurs de céréales affirment à leur tour que les entrepôts sont en nombre insuffisant, que le prix des céréales est en chute libre et qu’ils risquent la faillite.



    Investissements – Le bon rapport entre les coûts et la productivité détermine les sociétés allemandes à investir en Roumanie. C’est la conclusion d’un questionnaire proposé par la Chambre de commerce et d’industrie roumano-allemande. La plupart des sociétés allemandes — soit 83% des personnes interrogées – affirment que si c’était à refaire, c’est toujours la Roumanie qu’elles choisiraient pour leurs investissements. Plus d’un tiers affirment souhaiter investir davantage et embaucher du personnel. 14% seulement envisagent de réduire leurs personnels, ce qui prouve que les hommes d’affaires allemands continueront d’investir en Roumanie, contribuant à la création d’emplois. Fondée en septembre 2002 et comptant à présent 530 sociétés, la Chambre roumano-allemande est la plus grande chambre de commerce bilatérale de Roumanie.



    Gazoduc – Le contrat pour la construction d’un gazoduc entre la Roumanie et la République de Moldova, qui doit connecter les villes roumaine de Iaşi et moldave de Ungheni, vient d’être signé. La construction démarrera le 27 août et durera 17 mois. Le but du projet est d’assurer une plus grande sécurité énergétique pour la République de Moldova et pour l’Est de la Roumanie, en diversifiant les sources d’alimentation en gaz. Le gazoduc s’étendra sur 16 km en territoire roumain et sur 10 km en territoire moldave. La capacité prévue est de 1,5 milliards de m3 de gaz — supérieur à la consommation de gaz en République de Moldova, qui se chiffre à 1,3 milliards de mètres cubes.



    Exercice – Un millier de militaires de Roumanie et quelque 600 autres de Bulgarie, de Macédoine et des Etats-Unis ont participé, depuis février, à un ample exercice multinational – Black Sea Rotational Force 2013. L’exercice s’est déroulé sur les territoires de plusieurs Etats de la zone de la Mer Noire, des Balkans et du Caucase, engageant toutes les catégories de forces: terrestres, navales et aériennes. Arrivé à sa 4e édition, l’exercice Black Sea Rotational Force a été dirigé par le Corps de marines des Etats-Unis déployé en Europe et il sera repris en 2014 avec d’autres unités militaires.



    Festival – Arrivé à sa Xe édition, le festival international du film indépendant « Anonimul » – « L’Anonyme » – débute aujourd’hui à Sfântu Gheorghe, dans le Delta du Danube. Des créations cinématographiques d’Afghanistan, de Russie et du Kazakhstan sont en lice cette année. L’unique film roumain de la compétition de longs métrage, c’est « Matei, l’enfant des mines », d’Alexandra Gulea. Le réalisateur hongrois oscarisé Istvan Szabo sera l’invité d’honneur de cette édition et recevra le trophée Anonimul pour toute sa carrière.



    Spectacle – Le Cirque du Soleil présentera à Bucarest en septembre prochain un de ses spectacles les plus applaudis et les plus émouvants: Alegria. En 2013, la compagnie canadienne propose ce spectacle pour la dernière fois. Présentée en première il y a 20 ans à Montréal, cette production comporte 55 artistes de 15 pays et des numéros fascinants. Depuis août 2011, lorsque Alegria a commencé sa tournée européenne, les camions du Cirque du Soleil se sont arrêtés dans plus de 200 villes d’une quarantaine de pays. Après le spectacle de Bucarest, le cirque se dirigera vers Bratislava et vers 12 autres villes.



    Foot – Le club de foot champion de Roumanie, Steaua Bucuresti, rencontrera le Polonais Legia Varsovia, dans le tour éliminatoire de la Ligue des champions. Le tirage au sort a décidé que le match aller ait lieu à Bucarest le 21 août, et le retour à Varsovie, une semaine plus tard. Trois autres équipes roumaines seront présentes dans le tour éliminatoire de l’Europa League – Astra Giurgiu, Pandurii Târgu Jiu et Petrolul Ploiesti, dont les adversaires seront, respectivement, Maccabi Haifa (Israël), Sporting Braga (Portugal), et Swansea City (Pays de Galles).

  • Romania- Moldova, unâ ligâturâ maturâ şi concretâ

    Romania- Moldova, unâ ligâturâ maturâ şi concretâ

    Premierlu a Ripublicâl’ei Moldova, Iurie Leanca feaţi, marţâ, unâ vizita-napandica tu România, prota di anda fu aleptu tu hearea di cap a guvernului di Chişinău. El s-andâmusi, Bucureşti, cu omologlu a lui româ, Victor Ponta, pi cari âlu câlisi ta s-‘liaparti, la 27 di agustu, cându easti yiurtusitâ independenţa a Ripublicâl’ei Moldova andicra di atea di ma ninti URSS (tu 1991), la ahurhearea a lucrărlor di construcţie a gazoductului Iaşi (Romania)-Ungheni (Republica Moldova). La evenimentu va s-l’ia parti şi Guenther Oettinger, comisarlu european ti energie.



    Ia ţi spusi Iurie Leanca : “Escu cândâsitu câ moeabeţli ţi li avum va nâ da izini ca tu 27 di agustu, atumtea cându va s-yiurtusim, Chişinău, Dzuua a Independenţâl’ei, deadun cu domnul prim-ministru ş-cu vinita a comisarlui UE ti energie, s-putem s-dişcl’idem constructia-a gazoductului Iasi – Ungheni”. Pi ningâ interconectarea energheticâ moldo-românâ, cari va s-da cali ti Ripublica Moldova la unâ alternativâ trâ izvurli di energie dit spaţiul CSI, aţel’i doi demnitari zburârâ ş-ti znuearea a niscântor apunţâ pisti sinurlu cu arâulu Prut, apunţâ ţi furâ asparti tu doilu polim mondial.



    Proiectili pi aestă temă pot s-hibâ analizate ş-tu unâ yinitoari andamusi di lucru deadun a guvernilor di Bucureşti şi Chişinău. Si maca dusirâ ma largu un deziderat a ligâturlor bilaterali frâţeşti (Republica Moldova, cu unâ populatie dit cari 65% suntu etniţ romani, reprezintâ, vârâ turlie, teritoriul ali provinţie istoricâ romaneascâ Basarabia), premierl’ii Ponta si Leanca agiumsirâ s-hibâ simfun’I că ligâtura anamisa di Romania si Ripublica Moldova lipseaşti s-treaca di catastisea a declaratiilor muşeati, ţi daima eara griti tu 20 lji an’i dit soni, dimec s-treacâ la lucri salami. Di altâ parti, seflu a Executivlui di Bucuresti nâpoi adusi aminti agiutorlu susto ali Românie ti obiectivili di integrari europeanâ ali Ripublicâ Moldova.



    Diznău, cu minduita a dumniil’ei a lui premierlu Victor Ponta: ”Summitlu UE di Vilnius, dit aestâ toamnâ, va s-hibâ un momentu multu di simasie şi escu pân di mardzinâ cândâsitu câ ti Ripublica Moldova apofasili ţi s-loarâ aclo di partea UE va s-hibâ apofasili nai ma buni. “La summitlu dit capitala ali Lituanie, Ripublica Moldova aşteaptă vulusearea a ahicâsearil’ei di asocieri la UE şi fâtearea moeabeti ti naua hopâ mutrindalui liberalizarea-a regimlui di vizi cu Uniunea. Aşi cum spun doil’i premieri, moeabeţli di Bucuresti furâ pragmatiţi şi scoasirâ tu videalâ existenta-a nâscântor luri comuni cari va s-hibâ ma largu la thimel’ilu, a ligâturlor anamisa di ateali dauâ stati.





  • Ein Rundgang durch Iași (Jassy)

    Ein Rundgang durch Iași (Jassy)

    Geschichte, Kunst, Wissenschaft und Innovation stehen in enger Verbindung mit dem nordostrumänischen Iași/Jassy. Die traditions- und kulturreiche Stadt hat im Laufe der Jahrhunderte die Geschichte des Landes geprägt. Begriffe wie Cucuteni-Kultur, ausschlaggebende Ereignisse der rumänischen Geschichte wie die Vereinigung der Donaufürstentümer Moldau und Walachei unter Alexandru Ioan Cuza hängen mit der Geschichte der alten Hauptstadt der Moldau zusammen.



    Nicht nur Besucher, sondern auch Einhemische können in Iași der Geschichte der Stadt auf Schritt und Tritt folgen. Auf der Reise durch die nordostrumänische Stadt werden wir von Letiţia Popa, Mitglied des Landkreisrates Iași, begleitet. Dabei erfahren wir auch Einzelheiten über die Kultur- und Tourismusangebote der Stadt.



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  • Das Nationaltheater in Iași / Jassy

    Das Nationaltheater in Iași / Jassy


    Ion Caramitru, Schauspieler und Präsident des Rumänischen Verbandes der Theaterschaffenden (UNITER), hat jüngst angekündigt, dass die diesjährige UNITER-Preisverleihungsgala im nordostrumänischen Jassy stattfinden werde. Es ist bereits das zweite Mal, dass die mit voller Begeisterung erwartete Gala nicht in der Hauptstadt Bukarest stattfindet. 2007 wurde sie im mittelrumänischen Sibiu / Hermannstadt organisiert, das damals Europäische Kulturhauptstadt war.


    Bis in die 1850er Jahre hinein galt das nordostrumänische Iași als Zentrum der Dramaturgie in französischer Sprache für alle rumänischen Provinzen. 1816 veranstaltete hier der moldauische Schriftsteller und Historiker Gheorghe Asachi die erste Theateraufführung in rumänischer Sprache: Mirtil und Chloe“, nach Gessner und Florian. Seitdem hat sich das Theater zu einer der wichtigsten Kulturinstitutionen des Landes entwickelt und blickt auf eine reichhaltige Inszenierungstradition zurück.


    Das Gebäude des Nationaltheaters in Jassy ist eines der ältesten und schönsten Bauwerke dieser Art in Rumänien. Das Gebäude wurde in den Jahren 1894-1896 nach Plänen der berühmten Wiener Architeckten Fellner und Helmer gebaut, die ähnliche Bauten in Wien, Prag, Odessa und Zürich entworfen hatten. Der gro‎ße Saal des Theaters wurde saniert und voriges Jahr wiedereröffnet. Der Saal behält dieselben Architekturelemente wie im ursprünglichen Entwurfsplan: ein prächtiger Kronleuchter mit 109 Kristallleuchten hängt in der Mitte der vom berühmten Maler Alexander Goltz dekorierten Decke.


    Die Entscheidung des Rumänischen Verbandes der Theaterschaffenden (UNITER), seine Gala im Jahr 2013 hier zu veranstalten, könnte der Kandidatur der rumänischen Stadt für den Status der Europäischen Kulturhauptstadt 2021 unter die Arme greifen. Sollte Iași den begehrten Titel erhalten, will man dem hiesigen Nationaltheater Vasile Alecsandri“ eine Hauptrolle im Projekt einräumen.


    In der Sendung kommt der Regisseur Cristian Hadji-Culea zu Wort, der gleichzeitig Intendant des Nationaltheaters in Jassy ist. Er spricht über die Projekte des von ihm geleiteten Theaters und freut sich auch über die UNITER-Gala in seiner Heimatstadt.


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