Tag: immigration

  • 23.07.2016 (mise à jour)

    23.07.2016 (mise à jour)

    Attentat — Les crimes comme celui de Munich doivent être punis promptement et le plus sévèrement possible, a déclaré le président roumain, Klaus Iohannis, qui, à l’instar de bien des leaders du monde entier, a condamné l’attaque perpétrée dans le sud de l’Allemagne. Le chef de l’Etat roumain a également souligné la nécessité que la communauté internationale redouble d’efforts pour ce qui est de la prévention et de l’action. A son tour, le premier ministre roumain, Dacian Cioloş, a exprimé sa solidarité avec le peuple allemand et transmis ses condoléances aux familles des victimes. De tels actes de violence, qui mettent en danger ou tuent des innocents, sont inadmissibles, a-t-il martelé. Aucun Roumain ne figure parmi les victimes de l’attentat de Munich, précise le ministère des Affaires étrangères de Bucarest, qui recommande à ses ressortissants de respecter les consignes des autorités locales, de se tenir informés de l’évolution de la situation et de rester extrêmement vigilants pendant leurs déplacements dans les endroits intensément fréquentés.



    Statistiques — L’Inspection générale de l’Immigration a géré, au premier semestre 2016, le séjour légal sur le territoire de la Roumanie de plus de 110 mille étrangers. Sur ce total, quelque 45 mille proviennent des Etats membres de l’UE, de l’Espace économique européen et de la Confédération suisse, tandis que 65 mille sont originaires de pays tiers. Ces ressortissants étrangers ont élu domicile en Roumanie notamment pour des raisons liées à la réunification familiale, aux études, à l’emploi ou pour s’établir définitivement dans le pays. Les données statistiques montrent que la plupart des ressortissants enregistrés viennent de tiers pays, tels la République de Moldova, la Turquie et la Chine. Les citoyens européens installés en Roumanie sont originaires surtout d’Italie, d’Allemagne ou de France.



    Déclaration — Le premier ministre de la Hongrie, Viktor Orban, pense qu’il est opportun de créer une armée européenne, qui puisse assurer une meilleure sécurité de la population. Dans une allocution prononcée samedi, lors de la 27e édition de l’Université d’été qui s’est tenue à Tusnad les Bains, au centre de la Roumanie, Viktor Orban s’est dit déconcerté par la vague d’attentats survenus dernièrement, qui fait grandir l’inquiétude des citoyens de l’UE pour un avenir sûr. Même si pour l’instant l’OTAN est capable de garantir la paix à l’intérieur de l’espace communautaire, à défaut d’une armée commune, censée protéger les frontières à l’Est et au Sud et surtout dans la foulée du Brexit, le rôle de l’UE ne sera plus global, mais régional et les valeurs chrétiennes du vieux continent seront mises en péril, a encore déclaré le premier ministre hongrois, Viktor Orban.



    Météo — Dans les prochaines 24 heures, la canicule va sévir sur le sud de la Roumanie et l’inconfort thermique sera accentué. Le ciel sera variable, plutôt nuageux sur le relief. Des pluies à verse accompagnées de phénomènes électriques sont attendues à la montagne et dans le nord du territoire. Les températures maximales s’étaleront entre 27 et 36 degrés.


  • 23.07.2016

    23.07.2016

    Attentat — Les crimes comme celui de Munich doivent être punis promptement et le plus sévèrement possible, a déclaré le président roumain, Klaus Iohannis, qui, à l’instar de bien des leaders du monde entier, a condamné l’attaque perpétrée dans le sud de l’Allemagne. Le chef de l’Etat roumain a également souligné la nécessité que la communauté internationale redouble d’efforts pour ce qui est de la prévention et de l’action. Aucun Roumain ne figure parmi les victimes de l’attentat de Munich, précise le ministère des Affaires étrangères de Bucarest, qui recommande à ses ressortissants de respecter les consignes des autorités locales, de se tenir informés de l’évolution de la situation et de rester extrêmement vigilants pendant leurs déplacements dans les endroits intensément fréquentés.



    Statistiques — L’Inspection générale de l’Immigration a géré, au premier semestre 2016, le séjour légal sur le territoire de la Roumanie de plus de 110 mille étrangers. Sur ce total, quelque 45 mille proviennent des Etats membres de l’UE, de l’Espace économique européen et de la Confédération suisse, tandis que 65 mille sont originaires de tiers Etats. Ces ressortissants étrangers ont élu domicile en Roumanie notamment pour des raisons liées à la réunification familiale, aux études, à l’emploi ou pour s’établir définitivement dans le pays. Les données statistiques montrent que la plupart des ressortissants enregistrés proviennent de pays tiers, tels la République de Moldova, la Turquie et la Chine. Les citoyens européens venus s’installer en Roumanie sont originaires surtout d’Italie, d’Allemagne ou de France.



    Météo — Il fait chaud, même très chaud sur le sud et le sud-ouest du territoire. Dans l’ouest, le nord-ouest et au centre du pays, on attend des pluies orageuses et des intensifications de courte durée du vent. Le ciel sera variable sur le reste des régions. Les températures maximales de la journée atteindront les 36 degrés. On relevait 30 degrés, à midi, dans la capitale, Bucarest.


  • July 23, 2016

    July 23, 2016

    CONDEMNATION Murders like that in Munich must be punished promptly and with maximum severity – Romanian president Klaus Iohannis said after condemning the attack like most of the world leaders. The Romanian president added that the international community must step up efforts to prevent such incidents and take action when needed. According to the Foreign Ministry in Bucharest no Romanians are among the victims of the attack. Romanias diplomatic missions have opened up hotlines and are ready to offer support if need be. Romanians in southern Germany have been advised to remain extremely cautious while traveling through crowded places. They have also been recommended to observe the local authorities recommendations and get updates on the latest developments.



    RAMPAGE 9 people were killed and 20 wounded in a shooting rampage at a mall in Munich last night. The attack caused panic and blocked the city for several hours as over 200 police troops had been deployed to find the assailants, whom they presumed to be three. They eventually found an 18-year old German-Iranian who committed suicide after the rampage. According to police source the man was suffering from depression and was in no way connected to the Islamic State. The attack in Munich has been the third in Europe in the past 8 days, after that in France, which left 84 people dead and the last weeks attack in Germany, when an Afghan refugee wounded 5 people in a train.



    MIGRATION In the first semester of 2016, the General Inspectorate for Immigration has assured the legal stay in Romania for 110 thousand foreign nationals. 45 thousand of these have come from the EU, from the European Economic Area and Switzerland and 65 thousand from third countries. Most of the foreign nationals have decided to get residence in Romania in order to join family, to study or work. Most of the foreign nationals have come from third countries like the Romanian-speaking Republic of Moldova, Turkey and China. From the EU members are those comming from Italy, Germany and France.



    REPRISALS A week on after the coup attempt in Turkey, the regime of president Recep Erdogan has continued its reprisals against the so-called conspirators. Ankara has today extended the preventive arrest term, from 4 to 30 days, while 1,000 private schools have been closed down. The Turkish Executive had earlier announced it would temporarily suspend the European Convention of Human Rights after having declared the state of emergency for three months on Thursday. Tens of thousands, including army and police troops, magistrates, teachers and public servants have been either arrested or sacked. After the aborted coup, president Erdogan has launched a campaign against the supporters of his political opponent, reclusive cleric Fehtullah Gullen who is currently living in the USA. Erdogan has accused Gullen of being behind the coup attempt in Turkey, while the latter has denied any involvement adding that Erdogan is using the coup as a pretext to strengthen his power in Turkey.



  • A la Une de la presse roumaine – 22.06.2016

    A la Une de la presse roumaine – 22.06.2016

    Le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l’UE et notamment les conséquences pour la Roumanie d’un éventuel Brexit s’étalent à la Une de la presse roumaine de ce mercredi. Entre temps, 80% des jeunes médecins de Roumanie seraient prêts à travailler à l’étranger. Enfin, la Roumanie se dirige vers son plus important échec en termes de sécurité nationale, selon la presse nationale.



  • 14.04.2016 (mise à jour)

    14.04.2016 (mise à jour)

    Démission — La ministre roumaine du Travail, Ana Costea, a démissionné jeudi de ses fonctions. La décision survient dans le contexte dans lequel, en début de semaine, les syndicats du système public ont exprimé leur mécontentement à l’égard du projet d’ordonnance d’urgence sur les salaires dans ce secteur d’activité. C’est pourquoi la ministre a retiré son soutien à ce document. Le premier ministre Dacian Ciolos a accepté la démission de la ministre et a annoncé qu’il avancerait au président Klaus Iohannis une proposition sous peu. Ce jeudi, Dacian Ciolos a annoncé que les discussions avec les syndicats sur les traitements dans le système dépendant du budget étatique seraient lancés la semaine prochaine, afin de trouver une solution qui soit acceptée par ces dernierss, mais qui soit égaleemnt faisable du point de vue budgétaire et légal.



    Visas – Le ministère roumain des Affaires étrangères se déclare déçu après l’échec des pourparlers sur l’élimination des visas pour les citoyens roumains qui souhaitent se rendre au Canada. Le ministère roumain des Affaires étrangères souligne que le maintien des visas provoque des désavantages évidents et injustifiés par rapport aux autres citoyens européens. La diplomatie roumaine rappelle que les autorités d’Ottawa s’étaient engagées, à maintes reprises depuis 2008, à alléger le régime des visas pour les ressortissants roumains, afin d’assurer la liberté de mouvement pour tous les citoyens européens, sans aucune discrimination. Par ailleurs, la Commission européenne a demandé au Conseil et au Parlement de l’UE de démarrer des débats et d’adopter avant le 12 juillet une prise de position sur l’introduction du régime des visas pour les ressortissants américains et canadiens. La réaction de la Commission européenne intervient sur la toile de fond du refus des Etats-Unis et du Canada d’éliminer le régime obligatoire des visas pour les citoyens de certains Etats communautaires, dont la Roumanie.



    Droits de l’Homme — En Roumanie, les transgressions des droits de l’Homme les plus connues sont liées à la discrimination systématique des Roms, aux mauvais traitements des détenus et aux conditions dans les prisons qui ne répondent pas aux normes internationales. C’est la conclusion du Rapport du Département d’Etat des Etats-Unis relatif au respect des Droits de l’Homme dans le monde. Le document remarque également, dans le chapitre consacré à la Roumanie, des déclarations et des articles antisémites publiés dans la presse ou des opinions racistes, xénophobes et nationalistes diffusées sur Internet. Les auteurs du rapport mentionnent le fait que la Direction nationale anticorruption a continué les investigations des affaires de corruption à haut niveau. Même si les lois roumaines garantissent le respect des Droits de l’Homme, les autorités ne les appliquent toujours pas d’une manière efficace, conclut le document.



    Baromètre — Près de la moitié des Roumains (soit 49,7%) affirment que les Etats-Unis sont le principal allié de leur pays en cas de menace contre la sécurité nationale, selon un baromètre sociologique, dont les résultats ont été rendus publics ce jeudi. En deuxième position et après un écart considérable se trouve l’Allemagne, avec 9,2% des options et la France avec 4,5%. Selon les auteurs de l’étude, « le choix des Roumains est tout à fait normal, vu que la Roumanie a conclu avec les Etats-Unis un partenariat stratégique et que Washington a renforcé sa présence militaire dans la région après le début de la crise en Ukraine ». Pourtant, les pays les plus sympathisés par les Roumains, sont ceux qui constituent des destinations de l’immigration roumaine — 83,5% pour l’Italie, 83% pour l’Espagne et 82,3% pour le Royaume-Uni. La République de Moldova est le pays le plus sympathisé parmi les voisins de la Roumanie, puisqu’elle a été identifiée ainsi par 71,1% des personnes interviewées. Seuls 27,9% des Roumains déclarent avoir des sentiments plutôt positifs envers la Russie, et les pays que les Roumains regardent avec le moins de sympathie sont la Syrie, avec 17,5% et l’Iran, avec 16,5%.



    Immigration — Le nombre des immigrants roumains officiellement enregistrés au Royaume-Uni a considérablement augmenté, selon une étude réalisée par l’Observatoire de la migration de l’Université d’Oxford et citée par les agences de presse. Celui-ci a dépassé les 220 mille, alors qu’en 2011 seulement 80 mille Roumains étaient enregistrés au Royaume Uni. Sur cette toile de fond, le rapport constate qu’en moyenne les salaires au Royaume Uni sont plus de quatre fois supérieures à ceux de Roumanie. Les auteurs de l’étude affirment également qu’en général le taux des ressortissants des pays du sud et de l’est de l’Europe qui travaillent au Royaume Uni a considérablement augmenté, notamment en raison des opportunités offertes par le marché britannique de l’emploi, beaucoup plus alléchantes que celles de leurs pays d’origine. pan>




    Investissement — Un nouvel investissement américain a été inauguré jeudi à proximité de Ploieşti (sud) en présence de l’ambassadeur des Etats Unis à Bucarest, Hans Klemm. C’est une société de production de composants automobiles, qui a créé plus de 300 nouveaux emplois. La nouvelle fabrique livrera aux constructeurs automobiles européens des ensembles et composants pour les essuie-glace.



    Cinéma — Les films « Baccalauréat », de Cristian Mungiu, et « Sierra — Nevada » de Cristi Puiu ont été sélectionnés pour la compétition officielle du Festival de Cannes, qui aura lieu du 11 au 22 mai, ont annoncé les organisateurs jeudi. Cristian Mungiu s’est vu décerner la Palme dOr en 2007, pour « 4 mois, 3 semaines et 2 jours ». Il revient dans la compétition avec le film « Au-delà des collines », qui a remporté deux prix : celui du scénario et celui de l’interprétation. Cristi Puiu a reçu, en 2005, à Cannes, le Grand prix de la section Un Certain Regard, pour « La Mort de Monsieur Lăzărescu ». Le film « Chiens » de Bogdan Mirică a été sélectionné pour la section Un Certain Regard de cette année. A ces titres s’ajoutent deux courts-métrages roumains dans la sélection officielle : « 4:15 de l’après-midi, fin du monde », réalisé par Cătălin Rotaru et Gabi Virginia Sarga et « Tous les fleuves se jettent dans la mer » d’Alexandru Badea.



    Famille royale — La princesse Margarita, dépositaire de la Couronne de Roumanie, est actuellement en Suisse où se trouve également son père, le Roi Michel Ier, dernier chef d’Etat de la Seconde guerre mondiale encore en vie. Selon un communiqué de la Maison royale de Roumanie, Michel Ier se trouve à sa résidence privée, sous soins médicaux permanents après une hospitalisation à la mi-mars dans une clinique suisse. Diagnostiqué avec deux formes sévères de cancer, le Roi avait annoncé son retrait de la vie publique. Tous ces projets personnels avaient été confiés à la princesse Margarita. Le 23 août 1944, le Roi Michel a décidé de l’arrestation du Maréchal Antonescu, celui qui dirigeait de facto l’Etat roumain, a sorti la Roumanie de son alliance avec l’Allemagne nazie et l’entrée dans le camp des Alliés. De l’avis des historiens, cette décision a raccourci la guerre d’au moins six mois et sauvé plusieurs centaines de milliers de vies. Trois ans plus tard, lorsque le pays était pratiquement sous occupation militaire soviétique et dirigé par un gouvernement communiste fidèle à Moscou, le Roi a été obligé à abdiquer et à s’exiler en Occident. Il a pu rentrer en Roumanie après la Révolution anticommuniste roumaine de 1989.



    Tennis — Le double Horia Tecau (Roumanie) et Jean Julien Rojer (Pays Bas) a été dépassé ce jeudi par la paire Henri Kontinen (Finlande) / John Peers (Australie), dans les huitièmes du tournoi de Monte Carlo. Au cours de la même compétition, le double Florin Mergea (Roumanie) et Rohan Bopanna (Inde) s’est qualifié dans les quarts de finale, après la victoire 7 à 5 / 7 à 5, devant le double Robert Lindstedt (Suède)/Alexander Peya (Autriche). Dans les quarts de finale, Mergea et Bopanna rencontreront vendredi Jamie Murray (Royaume Uni) et Bruno Soares (Brésil).

  • 14.03.2016 (mise à jour)

    14.03.2016 (mise à jour)

    Défense — Le Conseil suprême de défense nationale se réunit mardi à Bucarest, pour la séance semestrielle, présidée par le chef de l’Etat, Klaus Iohannis. Parmi les sujets à l’ordre du jour figurent entre autres le stade de la mise en oeuvre du Programme concernant la modernisation et la dotation de l’Armée roumaine d’ici 2027, le phénomène de l’immigration clandestine en Europe et les mesures relatives aux coupes illégales de bois du fonds forestier national.



    Attaque – Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a transmis à son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, un message de condoléances dans lequel il condamne fermement lattaque terroriste qui a eu lieu dimanche à Ankara et précise que la Roumanie demeure engagée dans la lutte contre le terrorisme. De telles actions ne peuvent nullement être justifiées, indique un communiqué du ministère roumain des Affaires étrangères. 37 personnes ont perdu la vie et plus de 70 ont été blessées suite à lattentat kamikaze, le deuxième en un mois, qui a eu lieu dimanche à Ankara. Lattaque na pas été revendiquée, mais des officiels des services de sécurité ont déclaré que les premiers éléments de lenquête suggèrent limplication du Parti des travailleurs du Kurdistan, considéré par Ankara une organisation terroriste.



    Bilan — Le bilan de l’incendie survenu le 30 octobre 2015 dans le club bucarestois Colectiv ne cesse de s’alourdir. Un jeune homme de 22 ans, hospitalisé en Roumanie, est décédé lundi des suites d’une hémorragie. Cinq autres blessés sont soignés dans des centres hospitaliers de l’étranger. L’incendie a fait 147 blessés. 64 personnes sont mortes. 27 personnes ont perdu la vie dans la discothèque pendant l’incendie, 25 dans les hôpitaux de Roumanie où elles étaient soignées et 12 autres dans des établissements de santé de l’étranger.



    Accident — La diplomatie de Bucarest a fait savoir qu’un minibus transportant 16 touristes roumains a été impliqué lundi, en Turquie, dans un grave accident de la route. Deux passagers sont morts, tandis les 14 autres sont hospitalisés. Le plus grave accident d’un car de touristes roumains, celui de juin 2013, au Monténégro, avait fait 18 morts et 29 blessés.



    FMI – Le FMI recommande à la Roumanie d’ajourner les mesures d’allégement fiscal qui devraient entrer en vigueur en 2017, de sorte à atteindre un déficit budgétaire de 2% du PIB, a déclaré lundi le chef de la mission du Fonds en Roumanie, Reza Baqir, à la fin de l’évaluation annuelle de l’économie. La TVA, qui a baissé de 24% à 20%, début 2016, devrait diminuer en 2017 aussi, jusqu’à 19%. Or, selon le FMI, l’ajournement de la prochaine réduction de la TVA, ainsi que des autres facilités fiscales prévues entrer en vigueur en 2017 généreraient une économie équivalant à 0,75 % du PIB. Le FMI demande aux autorités roumaines une meilleure discipline des dépenses et une administration fiscale plus efficace. Il leur conseille également d’adopter vite la législation portant amélioration de la gouvernance corporative au sein des entreprises publiques et de dresser la liste des éventuelles privatisations ou cotations en bourse. Par ailleurs, les représentants de l’institution financière internationale apprécient les efforts de Bucarest en matière de lutte contre la corruption et l’exhortent à garder le rythme.



    Agriculture — La Commission européenne a annoncé lundi de nouvelles mesures de soutien aux agricultures. Parmi elles le feu vert donné pour limiter temporairement la production de lait, afin d’enrayer la chute des prix. Les ministres de l’agriculture de l’UE se sont réunis à Bruxelles afin d’examiner la situation difficile de plusieurs secteurs agricoles, notamment les fruits et légumes, la viande de porc et les produits laitiers. Les fermiers européens sont confrontés à une chute des prix due à la baisse de la demande et à l’embargo russe. Les représentants de plusieurs associations de fermiers européens ont manifesté dans la capitale de la Belgique pour demander des revenus décents et une politique agricole commune cohérente.



    Météo — Dans le prochain intervalle de 24 heures, les températures seront plus basses que la normale saisonnière, les maxima devant s’étaler entre 2 et 10 degrés. Le ciel sera plutôt couvert. De faibles pluies éparses sont attendues surtout dans l’ouest du pays. Pendant la nuit, le mercure va passer sous la barre de 0 degré.


  • La Roumanie accueille les premiers réfugiés répartis par quotas

    La Roumanie accueille les premiers réfugiés répartis par quotas

    Quinze réfugiés syriens et yéménites, dont les pays d’origine sont secoués par des conflits armés et où l’organisation terroriste Etat islamique est active, sont arrivés jeudi au Centre régional de Galati, dans le sud-est de la Roumanie. Ce sont les premiers des plus de 6 mille que Bucarest s’est engagé à accueillir, sur la base des quotas établis par l’UE, sur fond de crise des migrants.



    Créé en 2004, le Centre d’hébergement et de procédures pour les demandeurs d’asile de Galati accueille déjà des ressortissants originaires de Syrie, Afghanistan, Irak, Iran ou Algérie. Les 15 nouveaux venus ont demandé l’asile politique dans un pays européen et ils ont été d’accord d’être répartis vers la Roumanie. Avant d’arriver à Galati, ils ont passé plusieurs mois en Grèce, à attendre le résultat de la correspondance entre les Etats hellène et roumain pour identifier les personnes ayant besoin de protection internationale. Bucarest a accepté les propositions d’Athènes après des analyses spécifiques et des vérifications de sécurité.



    L’Inspection générale pour les immigrations de Roumanie informe que le groupe arrivé à Galati est formé de 10 jeunes et d’une famille avec trois enfants, dont un âgé de 7 mois. La décision concernant la demande d’asile sera délivrée dans 30 jours ; en attendant, les réfugiés recevront de l’assistance médicale, psychologique, juridique et matérielle, ainsi que d’autres formes de soutien de la part des ONGs actives dans le domaine de l’asile et de l’intégration. Si elles obtiennent le droit de séjour, ces personnes pourront circuler librement sur le territoire de la Roumanie.



    A l’instar de tous les autres Etats européens, en Roumanie aussi l’opinion publique est divisée sur la question de l’accueil des réfugiés. Certains habitants de Galati sont mécontents de l’arrivée des 15 réfugiés :



    « Combien paie l’Etat pour un immigrant par mois ? Dans les mille et quelques lei, c’est-à-dire plus que le salaire minimum. Est-ce que ça va ? Non, ça ne va pas ! »



    « C’est déjà difficile pour nous, alors comment accueillir d’autres gens ? Moi, je viens déjeuner chez vous un jour, deux jours ; j’amène aussi ma femme. Vous vous y ferez pendant une semaine, et puis, la deuxième semaine, vous n’en pourrez plus, monsieur ! »



    « Chacun doit garder les siens près de soi. Les nôtres partent à l’étranger et nous devons accepter les immigrants ? Ça me paraît étrange. »



    115 autres réfugiés en provenance d’Italie et 120 de Grèce arriveront prochainement en Roumanie. Pendant ce temps, une Union européenne profondément divisée sur la question fait des efforts importants pour gérer la crise des migrants, en passe de devenir un désastre humanitaire. Au sommet spécial UE–Turquie, du 7 mars prochain, Bucarest sera représenté par le premier ministre Dacian Ciolos, qui soulignera le besoin d’un contrôle renforcé aux frontières de l’Union, de collaboration et de solidarité au plan européen, de mesures fermes et convenues d’un commun accord pour trouver des solutions au phénomène migratoire. (trad.: Ileana Ţăroi)

  • Europe and the Immigration Issue

    Europe and the Immigration Issue

    After around 300,000 migrants transited Hungary in mid-2015 en route to Western Europe, Hungarian authorities halted this flow by sealing its Serbian border in September and its Croatian border a month later. The decision to put up barbed wire fences was heavily criticised by Brussels and Western capitals, but it nonetheless enabled Budapest to redirect migrants to Slovenia.



    Recently, Hungary has announced that the number of people entering the country illegally is once again on the rise. This comes after neighbouring Austria announced it would tighten border checks and restrict the number of people who may get on its territory. Among the immigrants there are a growing number of people coming from North Africa, Kosovo, Pakistan, but also from Sri Lanka or Haiti, whose chances to get asylum in the EU are very low, unlike those of Syrian refugees.



    As pressure mounts at his countrys borders, PM Viktor Orban ordered the preparation of defence lines along the frontier with Romania. This is not a new idea. Back in November 2015, Hungarian officials had announced plans to build a metal fence at the border with Romania, if necessary. As the Foreign Minister Peter Szijjarto said in January, Budapest is ready to build the fence on its Romanian border “the next day. The same official argued that the measures are in full compliance with international and national regulations, and warned all those who criticised his country that, by protecting the Schengen border, Hungary was fulfilling its obligations, as defined by the EU legislation.



    In his annual address this past weekend, PM Viktor Orban announced having sent new military units to the border regions, having activated an emergency response service in two border counties and having instructed his defence and interior ministers to make preparations for the defence line on the Hungarian-Romanian border. Orban added that, if necessary, the Hungarian authorities would tighten security along all its frontiers, from Slovenia to Ukraine.



    At the EU summit held last week in Brussels, the EU leaders agreed that Europes borders need to be protected and illegal migration must be stopped, while the rules of the visa-free Schengen area must be respected by everybody.

  • 21.02.2016 (mise à jour)

    21.02.2016 (mise à jour)

    Immigration – Trois ressortissants irakiens et un Palestinien ont été interpellés dimanche à la frontière roumano-serbe, dans le sud-ouest de la Roumanie, alors quils tentaient dentrer à pied, dans le pays. Selon la Police roumaine aux frontières, les quatre hommes, âgés de 18 à 25 ans, qui nétaient porteurs daucune pièce didentité, ont déclaré aux autorités quils voulaient se rendre dans les pays occidentaux. Une enquête conjointe des autorités roumaines et serbes est en cours alors que les quatre migrants devraient retourner en Serbie en vertu de laccord de réadmission.



    Handball – La championne de Roumanie de handball féminin, CSM Bucarest, sest qualifiée dimanche dans les quarts de finale de la Ligue des champions, après avoir vaincu la sélection danoise FC Midtjyland, 28 points à 23, dans le cadre du deuxième groupe principal de la Ligue des champions. Au sein de la première poule de cette même compétition, léquipe vice-championne de Roumanie de handball féminin, HCM Baia Mare, sest elle aussi qualifiée, dans les quarts de finale après avoir dépassé vendredi, 38 points à 27, léquipe allemande Thuringer HC. C’est la cinquième victoire consécutive pour l’équipe roumaine au sein de ce groupe, dans lequel elle était entrée avec zéro points.


    Par ailleurs, léquipe de handball masculin Dinamo Bucarest sest inclinée dimanche, de manière inattendue devant les Allemands de SC Magdeburg, 33 points à 34, lors dun match dans le cadre du Groupe A de la Coupe EHF, seconde coupe dEurope par ordre dimportance après la Ligue des champions. Le prochain match des Roumains est prévu pour le 27 février, avec léquipe danoise Aalborg. Cest Magdeburg qui mène ce Groupe A, avec 4 points, suivi par les Espagnols de Granollers, les Roumains de Dinamo Bucarest, avec deux points chacun, et Aalborg qui est à 0 points.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Simona Halep, numéro trois mondiale, sera présente à la fois aux épreuves de simple et de double du tournoi WTA Premier de Doha, au Qatar. Simona Halep évoluera en binôme avec une autre Roumaine, Raluca Olaru, et les deux devront faire face, au premier tour, au duo slovène formé par Andreja Klepac şi Katarina Srebotnik, 8e favorites. Un match qui sannonce difficile, selon les spécialistes. Toujours à lépreuve de double, la Roumaine Monica Niculescu et sa partenaire, la Russe Margarita Gasparian, devront affronter la paire Daniela Hantuchova (Slovaquie)/Ekaterina Makarova (Russie). A lépreuve de simple, Simona Halep entre directement au deuxième tour, tandis que Monica Niculescu jouera contre lAllemande Sabine Lisicki, dans la première étape du tournoi de Doha. Ce dernier match sera une sorte davant-goût de la compétition entre les équipes roumaine et allemande, comptant pour les barrages pour le Groupe Mondial de la Fed Cup, prévue pour le mois davril, à Cluj, dans le centre-ouest de la Roumanie.

  • Die Woche 25.-29.01. im Überblick

    Die Woche 25.-29.01. im Überblick

    EU-Kommissionsbericht über Rumänien bestätigt Fortschritte



    Die Europäische Kommission hat am Mittwoch den Bericht des Kooperations- und Überprüfungsmechanismus für das Jahr 2015 veröffentlicht. Der Kooperation- und Überprüfungsmechanismus der Europäischen Kommission ist ein Monitoring-Prozess der Fortschritte Rumäniens und Bulgariens im Bereich Justiz sowie der Bekämpfung der Korruption und des organisierten Verbrechens. Laut der rumänischen Exekutive sei dieser dritte in Folge positive Fortschritts-Jahresbericht ein Beweis für die Dauerhaftigkeit und die Nachhaltigkeit der Reformen in der Justiz und für den Kampf gegen die Korruption. Die Nationale Antikorruptionsbehörde DNA hat erklärt, das Vertrauen der Bevölkerung an dieser Einrichtung sei gestiegen, was auch von den Meinungsumfragen bestätigt wird. Die öffentliche Unterstützung für die Bekämpfung der Korruption ist ein bedeutender Faktor der Protestaktionen, die zum Rücktritt des sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta im November vergangenen Jahres geführt haben. Die Nationale Antikorruptionsbehörde hat im vergangenen Jahr über 1.250 Angeklagte vor Gericht geschickt, darunter ex-Ministerpräsident Victor Ponta, ehemalige Minister, Parlamentarier, Bürgermeister, Vorsitzende von Kreisräten, Richter, Staatsanwälte, Staatsbeamten, so der Bericht. Die rumänische Justizministerin Raluca Prună schätzt, die Bewertung erlaube Bukarest in der nahen Zukunft ein Ende des Monitorings zu erwarten. Die Europäische Kommission kritisiert jedoch das Parlament in Bukarest, weil dieses mehrmals unbegründet Anträge der Justiz abgelehnt habe. Die EU-Kommission erwartet, dass 2016 die Antikorruptionsbemühungen der Behörden intensiver werden und auch auf die Prävention der Korruption abzielen. Darüber hinaus sollen angemessene Arbeitsbedingungen für Richter geschaffen werden. Verlangt wird ebenfalls, dass die Integrität der Kandidaten für die Kommunal- und Parlamentswahlen 2016 überprüft werde.



    Die Antikorruptionsbehörde unternimmt weitere Untersuchungen gegen Gabriel Oprea



    Der Chef der Nationalen Union für den Fortschritt Rumäniens (UNPR), Gabriel Oprea, befindet sich in einer komplizierten Lage. Die Nationale Antikorruptionsbehörde forderte am Montag die Genehmigung des Senats in der strafrechtlichen Ermittlung gegen den ehemaligen Innenminister Gabriel Oprea, der des Amtsmissbrauchs beschuldigt wird. Gegen Oprea besteht der Verdacht, dass er während seiner Amtszeit das Personal und den Fuhrpark des Ministeriums bei seinen Privatreisen eingesetzt hätte. Der Skandal begann, nachdem in Oktober 2015 ein Mottoradfahrer aus der Polizeieskorte Opreas ums Leben gekommen war. Die Antikorruptionsbehörde leitete eine Untersuchung ein; daraus hat sich erwiesen, dass 2015 Oprea 1600 Mal die Polizeieskorte benutzt hat, vielmals für Reisen im persönlichen Interesse. Au‎ßerdem wird Oprea vorgeworfen, er habe auch illegal eine Vereinbarung mit dem Chefstaatsanwalt Tiberiu Niţu getroffen, damit der Chefstaatsanwalt dieselben Privilegien genie‎ßen könne. Tiberiu Niţu lehnte jedwelchen Kommentar ab, während Gabriel Oprea sich für unschuldig erklärte. Ein anderer Politiker, der ehemalige sozialdemokratische Abgeordnete Ion Stan, wurde vom Obersten Gericht wegen Vorteilsgewährung zu zwei Jahren Haft verurteilt. Er wird beschuldigt, während der Wahlkampagne 2012 von verschiedenen Geschäftsleuten Geldsummen angenommen zu haben. Als Gegenleistung sollten diese Geschäftsleute Verträge mit dem Staat bekommen. 2009 war Ion Stan Vorsitzender eine Landkreisorganisation der Sozialdemokratischen Partei. Er habe indirekt für seine politische Organisation verschiedene Gegenstände für den Wahlkampf bekommen. Dafür hätte Ion Stan dem Bestechungsgeber versprochen, durch seinen Einfluss auf einige Bürgermeister und kommunale Staatsbeamten, Verträge mit den betreffenden Kommunalverwaltungen zu erzielen.



    In Amsterdam ist ein “Europäisches Zentrum zur Terrorismusbekämpfung” offiziell in Betrieb gegangen



    Europa erlebt zur Zeit die schwerste Migrationskrise der letzten Jahrzehnte. Um die Krise unter Kontrolle zu halten, haben mehrere EU-Staaten die Grenzkontrollen im Schengen-Raum wiedereingeführt. Gemä‎ß der EU-Gesetzgebung sind solche aus Sicherheitsgründen getroffene Ma‎ßnahmen auf 6 Monate begrenzt. Der enorme Migrantenflu‎ß in Richtung Europa scheint aber nicht nachzulassen, und in diesem Kontext haben die EU-Innenminister auf einem Treffen am Montag in Amsterdam die Verlängerung der Grenzkontrollen im Schengen-Raum angeregt. Sollte das Funktionieren des Schengen-Raums gefährdet werden, so müsse die EU-Kommission die gesetzlichen und praktischen Grundlagen für eine Verlängerung der Grenzkontrollen bis zu 2 Jahren sichern. Dies erklärte am Montag der niederländische Immigrationsminister, Klaas Dijkhoff, dessen Land die turnusmä‎ßige sechsmonatige EU-Ratspräsidentschaft innehat. Rumänien wurde beim informellen Treffen des Rates für Justiz und Innenangelegenheiten vom Innenminister Petre Tobă vertreten.Bei Europol ist am Montag ein “Europäisches Zentrum zur Terrorismusbekämpfung” offiziell in Betrieb gegangen. Der Direktor der Polizeibehörde, Rob Wainwright, sagte, das Zentrum sei “ein wichtiger Schritt”, um eine “aggressive neue Form des internationalen Terrorismus zu bekämpfen”, sagte er. Es solle dabei als “zentrale Informationsdrehscheibe” dienen, Analysen für laufende Untersuchungen liefern und helfen, Reaktionen auf mögliche Terrorangriffe zu koordinieren. In dem Antiterrorzentrum werden vorerst 40 bis 50 Experten arbeiten, die einen besseren Informationsaustausch zwischen den Sicherheitsbehörden der Mitgliedstaaten ermöglichen sollen. Eine der Hauptaufgaben des Zentrums ist die Informationssammlung zu den schätzungsweise 5000 europäischen Dschihadisten, die zum Kämpfen nach Syrien oder in den Irak gereist sind und bei ihrer Rückkehr Anschläge verüben könnten.



    Neues Rauchverbotgesetz ist verfassungsgemä‎ß



    Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, hat am Freitag das Gesetz über den Rauchverbot in allen geschlossenen öffentlichen Räumen promulgiert. Am Mittwoch hatte das rumänische Verfassungsgericht den Antrag einiger Parlamentsabgeordneten betreffend die Verfassungswidrigkeit der Gesetzes abgelehnt und das neue Rauchverbotgesetz für verfassungsgemä‎ß erklärt. Laut den neuen Bestimmungen wird das Rauchen in allen Klubs, Bars, Restaurants, Taxis, Schuleinrichtungen, Krankenhäusern, sowie auf allen, sowohl in geschlossenen Räumen als auch im Freien befindenden Kinderspielplätzen verboten. Ausnahmen sind die Zellen in Hochsicherheitsgefängnissen und die Raucherräume auf Flughäfen. In 17 der 28 EU-Mitgliedstaaten ist das Rauchen in geschlossenen öffentlichen Räumen, in öffentlichen Verkehrsmitteln und am Arbeitsplatz verboten



    Der neue Ministerrpräsident der Republik Moldau, Pavel Filip, hat einen Bukarest-Besuch unternommen



    Der neue moldauische Premierminister, Pavel Filip, hat am Dienstag einen Bukarestbesuch unternommen; dabei wurde er vom rumänischen Staatspräsident Klaus Iohannis empfangen und traf auch mit Ministerpräsident Dacian Ciolos zusammen. Es war der erste Staatsbesuch des moldauischen Ministerpräsidenten seit seinem Amtsantritt. Dabei erklärte Pavel Filip, dass sein Land sich in einer angespannten politischen Situation befinde, seine Regierung aber eine proeuropäische Einstellung demonstrieren wolle. Die Unterstützung Rumäniens für sein Land bewertete Filip als sehr wertvoll. Der rumänische Premierminister Dacian Ciolos versprach finanzielle Hilfe für das Nachbarland — dafür müssten aber zuerst Ma‎ßnahmen getroffen werden, die den Reformwillen der moldauischer Regierung beweisen. Eine Hilfe von 150 Millionen Euro könne in drei Teilbeträgen überwiesen werden. Ciolos sagte, dass die politische Stabilität nicht nur für die Republik Moldau selbst, sondern für die gesamte Region ein wichtiges Anliegen sei. In der Republik Moldau gab es seit der Einsetzung von Filips Kabinett letzte Woche massiven Proteste der prorussischen Parteien. Gegen die neue Regierung protestiert auch ein proeuropäisches Bündnis, das Neuwahlen will.

  • January 22, 2016

    January 22, 2016

    In Romania, the
    extremely cold weather of the past few days has led to record levels of gas and
    electricity consumption. The consumption of natural gas went up to over 60
    million cubic meters per day, 20% more than on a regular winter day. The
    leadership of Transgaz, which is the national gas carrier, has given
    assurances, though, that there is enough gas to avoid starting the emergency
    procedures. As regards electricity, the consumption has these days reached over
    9,400 megawatts. The normal consumption on a regular winter day is 9,000 megawatts. To cover the high demand,
    additional units have been rendered operational, which produce electricity from
    coal and fuel oil.






    According to Bloomberg
    Businessweek, Romanian officials are afraid they might be accused of corruption
    and therefore avoid signing loan agreements worth billions of Euros with the
    EU. The publication recalls that the Romanian National Anti-corruption
    Directorate is investigating over 10,000 cases and hundreds of public servants
    have been charged with corruption, following a campaign supported by the chief
    prosecutor Laura Codruta Kovesi, who was appointed head of the Directorate in
    2013. Under the operations conducted by the Directorate, many politicians have
    been charged with corruption, such as the former mayor of Bucharest, Sorin
    Oprescu or Finance Minister Darius Valcov. The Representative in Romania of the
    European Investment Bank, Dietmar Dumlich has stated, quoted by Bloomberg, that the
    institution has endorsed 1.7 billion euro worth of credits for infrastructure
    projects, but cannot find anybody to sign the documents.






    The President of the Republic
    of Moldova, Nicolae Timofti, had a phone conversation with Romania’s president
    Klaus Iohannis on Thursday night. The two officials discussed the current
    social – political situation in Chisinau, as well as the relations between the
    two countries, the Moldovan presidency announced in a communique. Klaus
    Iohannis stressed the fact that Moldova’s having a new sworn-in government is a step forward
    towards overcoming the political crisis and implementing the Association
    Agreement with the EU. Also, the two officials reaffirmed the two countries’
    willingness to cooperate at all levels: political, economic and social. Also on
    Thursday, the European Parliament adopted a resolution saluting the Chisinau
    government, which took office after a long period of political deadlock. On
    Wednesday, the legislative endorsed the swearing in of the pro-West coalition
    government, headed by Pavel Filip. Discontent with the corruption and lack of
    effectiveness of the political class, thousand of protesters went to Parliament
    right after the vote, to call for early elections.








    The Group of
    States Against Corruption – GRECO – has today made public the report on the
    fourth evaluation round on transparency
    of the legislative process in Romania. The recommendations made by GRECO
    include the development of a code of conduct for MPs and completing the code of
    ethical conduct for judges and prosecutors, so that they can provide adequate
    guidance in particular with regard to conflicts of interest. Also, GRECO
    recommends that the judiciary in Romania should improve its response to the
    integrity risks facing judges and prosecutors.










    At least 21
    people, including 8 children, died this morning after their boats sank off the
    Greek islands, with dozens of migrants reported missing, according to
    information provided by the Greek coast guard and taken over by FP. On
    Thursday, at least 12 immigrants, also including children, drowned in Turkey’s
    territorial waters, as the boat on board of which they were trying to reach the
    Greek coast sunk. According to estimates by the International Organization for
    Migration, between the 1st and the 18 of January, 77 people coming from the
    Turkish coast, trying to reach western Europe, died while attempting to cross the sea.
    According to the same organization, over 31,000 people have arrived to the
    Greek islands since the beginning of the year, which means 21 times more than
    in January 2015. Last year, over one million refugees and immigrants reached
    Europe, most of them crossing the Mediterranean. 3,700 people died trying to
    reach the continent.








    At the year’s
    first Grand Slam tournament, the Australian Open, the pair made of the Romanian
    Florin Mergea and the Indian Rohan Bopanna has today qualified to the
    tournament’s round of 16. 4th-seed Mergea and Bopanna have
    outclassed the all-Czech pair made of Lukas Dlouhy si
    Jiri Vesely, 6-3, 6-2. The top-seed pair made of the Romanian Horia
    Tecau and the Dutch Jean-Julien Rojer on Saturday will be facing the German -
    Austrian pair made of Benjamin Becker and Dominic Thiem. In the women’s
    singles, all five Romanian tennis players who have played their fixtures in the
    main draw have been edged out of the Australian Open.





  • Immigrant en Roumanie – les discriminations

    Immigrant en Roumanie – les discriminations

    Marginaliser, exclure, ne pas avoir à faire avec l’autre — ces sujets sont largement débattus en Roumanie et en Europe, dans l’actuel contexte de la crise migratoire. Toutefois, dans le cas de la Roumanie, ce n’est pas seulement la discrimination qui est mise en cause par les immigrants arrivés dans le pays. Selon eux, les obstacles qui génèrent de la discrimination et qui freinent lintégration au sein de la société roumaine sont plutôt la bureaucratie, la difficulté de communiquer, le manque de transparence, les illégalités en matière de contrats de location ou de travail. C’est ce que révèle un rapport élaboré dans le cadre d’un programme plus ample ciblé sur la lutte contre « La discrimination des immigrants en matière de droits civils » et qui entend promouvoir les droits humains et diminuer l’intolérance par rapport aux migrants. Le document a été rédigé par les spécialistes de l’Association roumaine pour la santé en partenariat avec la Société académique de Roumanie et le Conseil national de lutte contre la discrimination.



    Les données fournies par l’Inspection générale roumaine pour l’immigration font état de 59 200 étrangers séjournant légalement en Roumanie ; il s’agit notamment de ressortissants d’Etats tiers arrivés dans le pays pour des raisons familiales. S’y ajoutent quelque 12.000 personnes qui font des études en tout genre, environ 5800 travailleurs immigrants, ainsi que près de 2500 migrants bénéficiant de protection internationale. Les auteurs de cette recherche ont voulu savoir si – et dans quelle mesure – toutes ces personnes ont accès à l’éducation, aux services médicaux, au logement, aux biens et aux services en tout genre. Les résultats qui en ressortent exposent toute une série de difficultés qui mettent le migrant dans l’impasse.



    Prenons, par exemple, la location d’un logement par un ressortissant étranger — les arnaques auxquelles il doit faire attention sont diverses, explique Adriana Iordache, experte à la Société académique de Roumanie: « Nous avons constaté une certaine discrimination structurelle, car nombre d’étrangers nous ont rapporté le fait que les propriétaires roumains étaient réticents à conclure un bail enregistré auprès des autorités fiscales, tandis que les étrangers ont nécessairement besoin de cet acte afin de prolonger leur titre de séjour. Ils mettent encore en cause le prix élevé de la location, d’où le fait que certaines personnes interrogées croient que les propriétaires veulent leur extorquer davantage d’argent estimant qu’ils ont plus de moyens car provenant d’un pays étranger. Néanmoins, une fois le contrat signé et l’appartement loué, le contact avec les propriétaires est qualifié de positif par la plupart des étrangers. Certes, l’on a recensé aussi des comportements xénophobes ou racistes parmi des propriétaires réticents à louer leurs biens à des ressortissants de pays africains ou du Moyen Orient. Si l’on parle des étudiants étrangers, il faut préciser que s’ils sont des boursiers de l’Etat roumain, ils ne peuvent pas bénéficier d’un logement également fourni par l’Etat. Or ces étudiants se plaignent de l’absence des services d’aide à la location au sein des universités. Il leur est difficile de se trouver un toit, surtout s’ils ne parlent pas le roumain, ce qui est le cas pour nombre d’entre eux ».



    Et si l’on parle d’éducation, voyons à quels types d’obstacles peuvent se heurter les étudiants issus de pays hors UE. Adriana Iordache cite, entre autres, les taxes supplémentaires ou encore l’exemption de gratuité sur les transports en commun : « Nous avons rencontré des étudiants satisfaits des conditions qui leur étaient offertes, mais de nombreux jeunes venus étudier en Roumanie ont critiqué la qualité des programmes de formation, notamment ceux en anglais. Ils affirmant que les professeurs ne se préoccupent pas trop des leurs cursus, qu’ils ne traduisent pas en anglais toute l’information proposée, ou encore que le personnel administratif des universités ne maîtrise pas, dans certains cas, une langue étrangère importante. Les cours de roumain posent également problème — les étudiants se plaignent qu’ils sont parfois trop espacés dans le temps, que les participants ont des niveaux différents de maîtrise de la langue et que les enseignants n’arrivent pas à trouver un dénominateur commun. Nombre de personnes questionnées dans cette enquête disent qu’elles n’ont pas réussi, de ce fait, à apprendre le roumain. Enfin, et pas en dernier lieu, les étudiants étrangers pointent du doigt la corruption dans le milieu universitaire ».



    Aux termes de l’étude portant sur « La discrimination des immigrants en matière de droits civils » en Roumanie, c’est l’accès des migrants à la santé qui semble être le plus à l’abri des exclusions. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problèmes. Il s’agit surtout de l’absence d’informations disponibles en anglais, des difficultés de communication suite à l’utilisation de codes culturels différents ou bien de la bureaucratie du système. Luciana Lăzărescu, coordinatrice du projet, explique: « Le pot-de-vin est largement cité. Je pense que ce soit le seul secteur qui est mis fréquemment en relation avec la corruption. Dans 6 sur 30 entretiens, les gens affirment avoir versé une commission afin de bénéficier de meilleurs services médicaux. L’on nous a également parlé d’une certaine curiosité que le personnel médical manifeste par rapport aux étrangers d’origine africaine surtout. A noter aussi une autre difficulté à ce chapitre santé — les services médicaux sont fournis uniquement si le solliciteur détient un numéro personnel d’identification, attribué, avec le permis de séjour, par l’Inspection générale pour l’immigration. Or le problème c’est que depuis le dépôt du dossier et jusqu’à l’obtention du permis, le ressortissant étranger ne se voit pas doter d’un tel numéro personnel d’identification qui puisse lui être utile dans le secteur sanitaire ».



    Toutefois, ce sont les migrants arrivés en Roumanie pour travailler qui sont les plus vulnérables. Quitter un emploi et ne pas trouver un autre dans un délai de 60 jours équivaut à l’expulsion automatique. Andra Panait, experte à l’Association roumaine pour la promotion de la santé précise : « Nous avons étudié les documents de travail et nous avons constaté que, dans certains cas, il n’y avait carrément pas de contrat ou que, dans d’autres, les papiers ne stipulaient pas clairement le nombre d’heures effectivement travaillées. Parfois, la rémunération était trop faible, tandis que les heures supplémentaires étaient peu ou pas du tout payées. La plupart des personnes interrogées s’estimaient discriminées à cause de leur nationalité ou de certains ennuis de santé ».



    L’Association roumaine pour la santé, la Société académique de Roumanie et le Conseil national de lutte contre la discrimination ont également élaboré une série de recommandations à l’intention des institutions publiques et des autorités, appelées à organiser des stages de formation aux droits et aux obligations des migrants pour les salariés qui travaillent avec ces derniers. Les auteurs du rapport insistent également sur la nécessité de mettre en place des mécanismes plus efficaces de gestion et d’alerte des autorités et des ONGs, en cas d’abus. (trad. : Andrei Popov)

  • Survey on Immigrants in Romania

    Survey on Immigrants in Romania

    According to a recent survey, the issue of discrimination is not perceived as an obstacle by the immigrants living in Romania. Bureaucracy, ineffective communication, lack of transparency and illegalities related to lease and employment contracts are the major issues affecting this category of the population. The report was drawn up as part of a project called “Immigrant Discrimination with Regard to Civil Rights, aimed at promoting human rights and fighting the effects of discrimination and intolerance towards immigrants.



    According to the General Inspectorate for Immigration, in Romania there are 59,200 legally residing foreigners from third countries, and most of them are here for family reasons. Some 12,000 people have come to Romania to study, and 5,800 are immigrant workers. In addition, there are 2,500 people who benefit from a form of international protection. The survey analyzed the extent to which immigrants have access to education, housing, health-care, employment, goods and services.



    Several obstacles in the way of their integration have been identified. As regards renting an apartment or a house, Adriana Iordache, from the Romanian Academic Society, said:



    Adriana Iordache: “There is a sort of structural discrimination, because many foreigners have told us that Romanian owners will not conclude a lease contract and register it with tax authorities. But these people need such documents in order to be able to extend their visas. Another issue is that of higher rents, as many of the foreigners who took part in the survey said they were charged higher rates than the standard, because they were believed to have more money. Overall, though, once the home rented, the interaction of foreigners with the owners of apartments has proven to be a positive one. There have been cases of xenophobic or racist attitudes displayed by some owners who would not rent to people coming from Africa or the Middle East. As for the foreign students, while they benefit from scholarships granted by the Romanian state, accommodation is not provided. Another problem regarding this issue is that these students do not benefit from counseling from the universities they are enrolled with. So, they come to Romania, many of them cannot speak the language, especially the young people who come from Africa and the Middle East, and its difficult for them to find a place to stay.



    Education is another important aspect when it comes to foreigners determining their options for the future. In the higher education system, students from outside the EU are faced with various forms of institutional discrimination, from additional fees to the lack of services such as access to free public transportation.



    Adriana Iordache: “Many of the students we talked to were happy with how things work, but a lot others have complained about the quality of the programs, especially those in the English language. There have been situations in which teachers had not translated all the materials, for instance, or when students could not communicate with members of the administrative staff who cannot speak any of the world languages. Romanian language classes for foreign students are often perceived as unsatisfactory. Many students have not been able to learn any Romanian at these classes. Corruption and bribe-taking have also been identified as issues in the higher-education system.



    In terms of health-care, immigrants are less discriminated against than with regard to the other fields covered by the survey. The problems identified here relate to the access to information in English, communication difficulties and bureaucracy. Luciana Lazarescu, the coordinator of this project, has more details:



    Luciana Lazarescu: “Bribe has been mentioned by many of the interviewees; and this is the only field where the issue of bribe-giving and taking has been mentioned so often. Six out of 30 people actually said that they had to bribe somebody in order to benefit from better services. Another thing that was mentioned was the curiosity of the medical staff for the African natives, in particular. Also, medical services are provided on the basis of each citizens personal numerical code, issued by the General Immigration Inspectorate when the foreigners in question get their residence permit. So, between the moment the application is filed and the one when the permit is issued, a foreigner does not have a PNC.



    The report also shows that the immigrants who come to Romania to work are among the most vulnerable. Why? Because if they resign and cannot find another job within 60 days, they are expelled from the country. Andra Panait, from the Romanian Association for Health Promotion, told us about some of the conclusions of the report regarding work:



    Andra Panait: “We have noticed cases in which employment contracts were not concluded or, if they were, they did not specify the number of working hours, or the payment was significantly lower. Also, there was no overtime pay. Most of the people in question felt discriminated against, because of either their nationality or some visible physical disabilities.



    The report was draw up by the Romanian Association for Health Promotion, together with the Academic Society in Romania and the National Council for Combating Discrimination. The initiators of this survey have come up with a set of recommendations, regarding the need for public institutions and authorities to organize Romanian language tests upon recruitment, accompanied by training programs on immigrants rights and obligations.


    (translation by: Mihaela Ignatescu)

  • Attentats de Paris – réarranger les cartes européennes

    Attentats de Paris – réarranger les cartes européennes

    Rien ne sera plus jamais comme avant – en Europe, on a tellement utilisé cette phrase de par le passé, quelle est devenue un poncif médiatique. Et si, cette fois-ci, cest pour de bon? Les balles ont fauché 129 habitants de la capitale française durant deux heures de terreur. Sous dautres latitudes, cest bien pire, affirment ceux qui ont de lexpérience dans ce type de carnage. Pour lEurope, cest une première, avec grand fracas, et elle semble assommée, car prise au dépourvu, malgré les avertissements. Il est difficile de maîtriser linstinct de peur et la tentation dagir vite et mal est considérable. Alors, quelle voie, quelle Europe devant nous ? Une Europe qui se resserre les liens ou, au contraire, centrifuge, marquée par les tendances nationales ? Une Europe forteresse ou encore ouverte, mais très attentive ? Et la Roumanie dans tout cela — quelles cartes géopolitiques saura-t-elle jouer dans sa région et en Europe ?



    Plus qu’autre chose, nous allons ouvrir quelques portes dans ce numéro hors-série de RRI Spécial, réalisé en partenariat avec Le Petit Journal de Bucarest, avec Silvia Marton, maître de conférences à la Faculté de sciences politiques de l’Université de Bucarest, Gheorghe Poede, professeur à la Faculté de philosophie et de sciences sociales et politiques de l’Université « Alexandru Ioan Cuza », de Iasi (est) et Jonas Mercier, co-rédacteur en chef du Petit Journal de Bucarest.


  • Quelles portes ouvertes pour les réfugiés, en Roumanie?

    Quelles portes ouvertes pour les réfugiés, en Roumanie?

    Ils arrivaient par dizaines ou centaines sur les côtes italiennes, à bord dembarcations de fortune qui réussissaient par miracle à traverser la Méditerranée à lendroit où lAfrique est à seulement quelques miles marins de lEurope. Dautres centaines ou milliers perdaient la vie dans des cercueils flottant qui ne touchaient plus la terre ferme. Aujourdhui, ils franchissent par dizaines de milliers la frontière Schengen Est de lUE, via la Grèce et les Balkans, notamment la Macédoine et la Serbie. Ce sont des gens, adultes ou enfants, seuls ou en famille, qui fuient leurs pays meurtris par des guerres et des conflits dont la fin semble incertaine: la Syrie et lIrak, en premier lieu, mais aussi lAfghanistan, la Somalie ou le Nigéria.



    Les Européens assistent, depuis des semaines, à des scènes invraisemblables, de foules désespérées qui défient les forces de lordre national et qui sont prêtes à tout essayer pour entrer sur le sol communautaire. Face à cette crise des réfugiés sans égal dans lEurope de l(après-deuxième guerre mondiale, lUnion européenne et chacun des Etats membres sont visiblement pris au dépourvu. Pourtant et en dépit de sa position géographique, la Roumanie semble, du moins pour linstant, épargnée par la crise, la route des migrants vers lOccident européen évitant notre pays. Comment sexplique cette réalité? Est-ce un choix réfléchi ou est-ce tout simplement une question dinstinct? La Roumanie est-elle préparée au cas où?



    Débat avec Sergiu Miscoiu, maître de conférence en sciences politiques à l’Institut d’études européennes de lUniversité Babes-Bolyai de Cluj-Napoca, Gabriela Leu, porte-parole de l’Agence du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, Niculae Cârcu, président de lONG – le Conseil national roumain pour les réfugiés.