Tag: institut français

  • La Saison France-Roumanie, images et rencontres inattendues

    La Saison France-Roumanie, images et rencontres inattendues

    Une profusion d’événements
    culturels francophones rythme ces jours de début d’été, autrement dit la
    seconde partie de la Saison croisée France-Roumanie bat son plein au chapitre
    « culture ». C’est le visuel qui semble privilégié cette semaine, à
    Bucarest, avec le vernissage d’une exposition internationale de photographies
    réalisées par de jeunes artistes européens, tandis que l’Institut français
    prend ses quartiers à Sibiu, en marge du FITS, et propose une belle série de
    rencontres francophones, mettant en avant la relation très étroite tissée entre
    les Roumains et les Français. Visites en compagnie d’Hélène Roos, conseillère culturelle et directrice générale de l’Institut français de Roumanie, et de Clara Chalou, coordinatrice générale du Festival Circulation(s)-Association Fetart.


  • Le Festival du Film Français en Roumanie

    Le Festival du Film Français en Roumanie

    Une année est déjà passée, et le film français refait son cinéma en Roumanie. C’est une façon, comme une autre, de vous dire que le Festival du Film Français (le FFF) revient dans l’actualité du printemps culturel roumain, avec sa 23e édition, qui est la deuxième printanière. Cette année, elle est inévitablement placée sous le signe de la Saison croisée France – Roumanie, les nouveautés existent, tout comme les repères devenus traditionnels et dont les aficionados» ne sauraient se passer. L’édition 2019 du FFF est donc le sujet que nous allons développer avec Ioana Dragomirescu, chargée de mission pour la programmation et la salle Elvire Popesco de l’Institut français de Bucarest, et Maud Halimi, chargée de mission audiovisuel et arts numériques, Pôle « Culture et médias » de l’Institut français de Roumanie.

  • Le mois de la Francophonie 2019 sur des coordonnées roumaines

    Le mois de la Francophonie 2019 sur des coordonnées roumaines

    La tradition est encore une fois respectée: le mois de mars 2019 s’est
    paré d’habits de fête pour célébrer la langue française et les valeurs qu’elle
    porte, partout dans le monde et notamment en Roumanie. Cette année, le mois de
    la Francophonie et son point d’orgue – le 20 mars, la Journée de la
    Francophonie – sont placés sous le slogan « En français, s’il vous
    plaît ! ». Un appel, venant de la Francophonie institutionnalisée, et
    adressé à tous les amoureux et pratiquants de cette langue fondamentale de
    l’évolution de nos sociétés, à faire l’effort d’utiliser des expressions
    françaises à la place de celles issues de l’espace anglophone ! Pour les
    encourager à relever ce défi, les francophones de Roumanie bénéficient d’une vaste
    panoplie d’événements, organisés à leur intention par de nombreuses entités,
    francophones aussi, dont l’Institut français de Roumanie. Passage en revue avec Raisa Vlad, professeure de français à l’Ecole Centrale de Bucarest, et Jacques Uberti, chargé de mission pour le français à l’Institut français de Roumanie, au micro d’Ileana Ţăroi.



  • La Nuit de la lecture – troisième édition

    La Nuit de la lecture – troisième édition

    A l’heure où la moitié nord
    de notre planète vit aux heures hivernales, secouée par le froid, la neige et
    un soleil peu convaincant, la compagnie des livres est un moyen sûr de
    retrouver un plaisir de vivre que pas mal d’êtres humains croient pouvoir
    ressentir uniquement à la belle saison. Ce n’est donc pas un hasard que la
    lecture, bénéfique pour « nos petites cellules grises », pour citer
    un personnage littéraire célèbre, mais aussi pour l’ineffable composante que nous
    appelons « âme », est mise à l’honneur, l’espace d’une Nuit qui lui
    est dédiée en plein hiver. La troisième édition de la Nuit de la lecture se
    déroule en ce samedi 19 janvier 2019. Une manifestation imaginée, il y a déjà
    deux éditions, en France, et qui s’étend aussi à l’étranger, puisque l’Institut
    français et la librairie française Kyralina de Bucarest ouvrent leurs portes
    aux amoureux de la lecture.

    A micro d’Ileana Ţăroi: Zina Băiţan, du pôle culture et
    médias de l’ambassade de France, responsable de la médiathèque de l’Institut
    français de Bucarest, et
    Virgile Prod’homme, directeur de la librairie
    française Kyralina de Bucarest.

  • Les prix du Centre national de la danse de Bucarest

    Les prix du Centre national de la danse de Bucarest

    Arrivées à leur cinquième édition, ces distinctions ont reconnu, dès leur création, le travail des danseurs, chorégraphes et professionnels impliqués dans le monde de la danse contemporaine en Roumanie. Elena Diaconu a assisté à la cérémonie.

  • Le bilinguisme selon Michèle Kail

    Le bilinguisme selon Michèle Kail

    Dans le cadre de la Semaine européenne des langues, l’Institut français de Bucarest a organisé le 25 septembre dernier une conférence intitulée Les langues étrangères et le cerveau humain. Michèle Kail y a présenté ce sujet complexe des mécanismes neuro-linguistiques de l’apprentissage des langues. Ninnog Louis l’a rencontrée.

  • « Benny Lévy  ou la révolution impossible »

    « Benny Lévy ou la révolution impossible »

    Nous accueillons aujourd’hui Isy Morgensztern, producteur-réalisateur audiovisuel et enseignant en histoire des religions, qui se trouve actuellement à Bucarest pour la projection de son documentaire « Benny Lévy ou la révolution impossible », réalisé en 2008, et pour un débat sur « Mai ’68, une révolution impossible ? », à l’Institut français de Bucarest



  • Vacances francophones à l’Institut Français de Bucarest

    Vacances francophones à l’Institut Français de Bucarest

    Une petite rime roumaine très amusante dit « Arrivent les vacances, en train, depuis la France ». Et c’est tout à fait vrai, pour la capitale, du moins. Car, cet été, les enfants de 4 à 14 ans de Bucarest n’auront pas le temps de s’ennuyer… à condition de s’inscrire au Club de Vacances de l’Institut Français. Apprendre le français en s’amusant ou plutôt s’amuser en français c’est le mot d’ordre de cet été. Pour plus de détails nous avons inviité au micro Julie Rescourio, directrice du pôle formations linguistiques et certifications de l’Institut Français de Bucarest.

  • Fin de mandat pour le directeur de l’Institut français, Christophe Gigaudaut

    Fin de mandat pour le directeur de l’Institut français, Christophe Gigaudaut

    Festivals, conférences et rencontres, spectacles, concerts et récitals, touchant à tous les champs de l’expression culturelle et artistique – film, musique, enseignement, arts visuels, livres – et j’en passe, l’Institut français va constamment à la rencontre des Roumains francophones et francophiles ; il est aussi un maillon essentiel de la coopération culturelle, universitaire et francophone de Roumanie. Le directeur de l’Institut français et conseiller de coopération et d’action culturelle à l’ambassade de France à Bucarest, Christophe Gigaudaut, conclut sa mission dans notre pays. Et il est l’invité de RRI Spécial, sur Radio Roumanie Internationale, la voix de la diversité.



  • Festival du film de Pessac  à Bucarest

    Festival du film de Pessac à Bucarest

    « Connaitre l’histoire pour comprendre le présent » c’est ce que se propose depuis 28 ans le festival du film d’histoire de Pessac, un festival qui est rapidement devenu un repère de l’agenda culturel de la France et de l’Europe et désormais de la Roumanie aussi. Du 21 au 24 mai 2018, l’Institut français de Bucarest a accueilli les projections des productions les plus appréciées de l’édition 2017 du Festival du film d’Histoire de Pessac. C’est pour la deuxième année consécutive que ce festival français est présent à Bucarest, grâce au partenariat entre le Festival de Pessac et le Festival du film historique de Râsnov, ville transylvaine sise près de Brasov, au centre de la Roumanie. Nos invités : Pierre Henri Deleau, acteur
    et producteur de cinéma français en charge de la sélection des films du
    festival de Pessac et Joseph Beauregard, le réalisateur d’un des films présentés dans le cadre de ce festival : « Jacques Doriot, le petit führer français ».



  • La nuit des musées 2018

    La nuit des musées 2018

    Célébrée par 145 institutions de Bucarest et de 45 autres villes de
    Roumanie, la 14ème Nuit des Musées a été marquée, en première, par
    l’Institut français de Bucarest. L’occasion pour l’édifice sis 77 boulevard
    Dacia, juste au cœur du quartier Icoanei, d’accueillir son public jusque tard
    dans la nuit pour lui proposer une panoplie d’activités des plus diverses
    portant principalement sur Mai 68. Et puis, toujours à l’occasion de la Nuit
    des Musées, l’association ARCEN, épaulée par BRD-
    Groupe Société Générale, a lancé le projet District 40 qui se donne pour tâche
    de revigorer le quartier Icoanei, l’un des plus beaux de la capitale roumaine
    et surtout, des plus francophones.

  • L’édition 2018 du Festival du film français

    L’édition 2018 du Festival du film français

    La 22e édition du Festival du film français de Roumanie (FFF) s’étale sur deux semaines, du 24 avril au 6 mai, étant accueilli sur les grands écrans de 9 villes roumaines. Les organisateurs en sont, comme d’habitude, l’ambassade de France et l’Institut français de Roumanie. Plusieurs nouveautés sont à la clé et nous en parlerons avec Lucie Guérin, chargée de mission audiovisuelle à l’Institut français.



  • La médiathèque jeunesse de l’Institut Français

    La médiathèque jeunesse de l’Institut Français

    Aujourd’hui nous parlons français langue étrangère. La médiathèque de l’Institut français de Bucarest vient de rouvrir ses portes. De nouvelles aventures en langue française attendent dans un nouveau décor un nouveau public de Bucarest : les enfants à partir de l’âge de deux mois. L’Institut Français de Bucarest, a créé cet espace spécialement imaginé
    pour les enfants en bas âge pour leur « donner envie d’explorer le
    monde, de jouer avec les idées, mais aussi et surtout de découvrir le français ». L’enjeu de la Médiathèque jeunesse – Hotspot éducationnel BRD : l’immersion précoce dans la langue et la culture françaises.

  • Le festival de théâtre Fifitut

    Le festival de théâtre Fifitut

    En effet, 9 équipes de Roumanie et de l’étranger sont en compétition depuis le mardi, 27 avril, date de l’ouverture officielle du Festival Fifitut. Dans un premier temps, chacune des troupes s’est vu mettre à sa disposition 30 secondes pour se présenter et attirer la sympathie du public. Et puis, toujours à l’affiche du premier soir : des matchs d’impro entre formateurs et lecteurs de français des universités roumaines, complété par un spectacle d’une véritable compagnie de professionnels. Il convient de préciser que les journées sont réservées aux ateliers de préparations et les soirs aux spectacles d’improvisation où le public a son mot à dire. Déroulé principalement dans la salle Aula Magna de l’Université de l’Ouest de Timisoara, le festival Fifitut clôturera le vendredi, 30 mars quand il changera d’endroit pour une fin en toute beauté. Pour plus de détails, nous avons contacté par téléphone le directeur de l’Institut français de Timisoara, Monsieur Cyrille Fierobe.



  • La Journée de la Francophonie à l’honneur

    La Journée de la Francophonie à l’honneur

    La Roumanie est un véritable Etat phare du mouvement francophone en Europe centrale et de l’Est. C’est ce qu’a déclaré mardi, le premier ministre roumain, Mme Viorica Dancila, dont le cabinet a salué la célébration de la Journée internationale de la Francophonie. La Roumanie est devenue membre observateur de l’Organisation Internationale de la Francophonie en 1991. En 1993, elle devenait membre de plein droit de l’OIF. D’ailleurs, la communauté des Etats et gouvernements ayant en commun la langue française a figuré parmi les premières structures que notre pays a intégrées après la chute du communisme. Un choix qui n’a rien de surprenant vue la place que la Roumanie a accordée à la langue et à la culture françaises même avant 1918, année de la création de l’Etat national roumain.

    En fait, à partir du XVIIIème, l’élite roumaine atteste d’une francophonie indéniable au sein de la société. La plupart des intellectuels de l’époque décident d’envoyer leurs enfants en France pour y continuer leurs études ce qui a largement contribué à la propagation de la culture française en Roumanie. A partir de 1830, l’apprentissage du français dans les écoles de Bucarest et de Iasi devient obligatoire. Plus qu’un instrument linguistique, la maîtrise de la langue française représentait à l’époque l’expression d’adhésion aux valeurs et aux idéaux des nations modernes européennes.

    Un siècle plus tard, la capitale roumaine, Bucarest, se voit attribuer le surnom du Petit Paris, nombre d’écrivains roumains font du français leur langue d’écriture, tandis que d’illustres personnalités originaires de Roumanie telles Constantin Brancusi, Eugène Ionesco, Mircea Eliade, Georges Enesco et Emil Cioran adhèrent au patrimoine culturel francophone. Profondément francophone et francophile, la Roumanie a mis à profit son appartenance à l’OIF pour renforcer sa coopération internationale. L’occasion de rappeler que notre pays a accueilli en 2006 le premier sommet de la Francophonie jamais organisé en Europe de l’Est.

    En 2014, on assiste à l’ouverture, à Bucarest, d’un bureau régional de l’Organisation Internationale de la Francophonie, tandis que l’Agence Universitaire Francophone (AUF), l’une des plus importantes associations d’enseignement supérieur et de recherche au monde se voit placer à sa tête un Roumain. Le mardi, 20 mars, à l’occasion de la Journée de la Francophonie, l’Institut français de Bucarest a invité pour la quatrième année de suite tous les francophones de Roumanie à célébrer leur francophonie en vers, à travers un haïku posté sur les réseaux sociaux et sur une page spécialement créée.

    Dans une déclaration en exclusivité pour l’agence de presse Rador, le directeur de l’Institut français, M. Christophe Gigaudaut, a tenu à préciser que « la défense du français s’inscrit volontairement dans la défense du plurilinguisme. Parce qu’une maison a besoin de plus d’une fenêtre pour recevoir davantage de lumière, l’apprentissage du français, au côté de l’allemand, de l’anglais et de toute autre langue, est le meilleur garant d’une plus grande ouverture d’esprit et de cœur. La langue française est définitivement un atout pour la Roumanie, pour son attractivité, pour son rayonnement. Je salue le travail des milliers d’enseignants et de professeurs, des médias francophones tels la Section française de RRI, celui aussi des entreprises qui ont fait le pari du français pour leur développement » a encore déclaré M. Christophe Gigaudaut, directeur de l’Institut français de Bucarest.