Tag: institut français

  • Le message à l’occasion de la Journée de la Francophonie de Monsieur Christophe Gigaudaut

    Le message à l’occasion de la Journée de la Francophonie de Monsieur Christophe Gigaudaut

    Un message en exclusivité pour l’agence de presse de Radio Roumanie, RADOR:

    Aujourd’hui, la Roumanie célèbre les 25 ans de son adhésion à l’Organisation internationale de la Francophonie. L’occasion de dire son attachement à la langue française, cette langue, qui n’est pas une langue de la Roumanie mais celle d’une tradition dans de nombreuses familles de ce pays. Aujourd’hui, j’entends souvent dire que le français est en recul. Que l’anglais a pris le pas. Que l’allemand voit ses locuteurs augmenter. Pour moi, une langue est une fenêtre sur un monde différent. C’est pourquoi la défense du français s’inscrit volontairement dans la défense du plurilinguisme. Parce qu’une maison a besoin de plus d’une fenêtre pour recevoir davantage de lumière, l’apprentissage du français, au côté de l’allemand, de l’anglais et de toute autre langue, est le meilleur garant d’une plus grande ouverture d’esprit et de cœur.

    Aujourd’hui, le Président de la République française, Monsieur Emmanuel Macron, a présenté un ensemble de propositions pour la promotion du français en France et dans le monde. Il a placé cette mission dans un cadre de défense de la pluralité linguistique. En Roumanie, nombres d’entreprises sont en demande de francophones. La langue française est définitivement un atout pour ce pays, pour son attractivité, pour son rayonnement. Je salue le travail des milliers d’enseignants et de professeurs, des médias francophones, Rfi Romania, RRI Section française, celui aussi des entreprises qui ont fait le pari du français pour leur développement. Ce midi, près de 170 pique-niques poétiques ont été organisés dans 64 villes et communes de Roumanie. Cet événement que nous avons créé en 2015, est une invitation faite à chacune et chacun des francophones de ce pays à clamer sur les réseaux sociaux leur amour pour la langue française en signant un haïku en français accompagner du mot-dièse #haikunoi2018.

  • Mon idée pour le français…

    Mon idée pour le français…

    La langue française n’appartient pas qu’à la France. Elle appartient à tous les pays francophones des 4 coins du monde. Ce fut le principal message de la conférence internationale « Mon idée pour le français » accueillie à la mi-février par l’Institut Français de Paris. RRI a eu la chance de représenter la Roumanie et les médias francophones internationaux aux débats sur le rayonnement de la francophonie dans le monde. Quelles chances pour le français au 21e siècle ? Comment susciter l’intérêt des jeunes pour cette langue ? Quelles nouvelles approches de la francophonie ? Quelles priorités pour la France et pour les autres pays francophones dans ce domaine ? Réponse tout de suite, dans cette édition hors-série de RR Spécial, sur RRI – la voix de la diversité et une des voix de la francophonie !

  • La Nuit des idées 2018

    La Nuit des idées 2018

    « Célébrer la circulation des idées entre les pays et les cultures, les disciplines et les générations : chaque année, la Nuit des idées est une invitation à découvrir l’actualité des savoirs, à écouter celles et ceux qui font avancer les idées dans tous les domaines, à échanger sur les grands enjeux de notre temps. (…). Au fil des fuseaux horaires, les échos de la Nuit des idées se répercutent via les réseaux sociaux, faisant de la Nuit des idées un événement global ».Institut français de Paris – initiateur du projet « La Nuit des idées ».

    Imaginer, c’est rêver mais aussi réfléchir. La Nuit des idées, le 25 janvier, mettra passé, présent et avenir au risque de l’imagination, pour tenter de décrypter le premier, comprendre le deuxième et préparer le troisième. L’imagination au pouvoir est le thème de cet événement présenté simultanément dans la totalité des pays accueillant des Instituts français. En Roumanie, ce sera à Bucarest et Cluj, sous la houlette de l’Institut français de Roumanie.
    A Bucarest, la Nuit des idées abordera nos lendemains, la vie virtuelle, l’imagination responsable, mais aussi les leçons de l’histoire récente.

  • Comment peut-on définir l’art contemporain ?

    Comment peut-on définir l’art contemporain ?

    Qu’est-ce que l’art
    contemporain ? Comment a-t-il changé ces 5 dernières décennies et
    quelles sont ses visions spécifiques ? Catherine Millet, fondatrice de la
    revue spécialisée « Art Press » a voulu répondre à ces questions dans
    son livre « L’art contemporain, histoire et géographie » qui vient
    d’être traduit en roumain. Elle a présenté son œuvre à l’Institut français de
    Bucarest. Notre stagiaire Jelena Vrcelj a assisté à la présentation et elle
    vous en parle.

  • Le festival du film français

    Le festival du film français

    Le cinéma français fait sa fête à Bucarest. Le Festival du film français a lieu en Roumanie du 9 au 19 novembre. Un événement et une programmation détaillés par Lucie Guérin, chargée de mission audiovisuelle, aux services culturels français



  • Ecoles d’été

    Ecoles d’été

    Adieu l’école, bonjour les grandes vacances ! Les écoliers et les lycéens roumains ont 3 mois à leur disposition pour bien s’amuser avant la rentrée du 11 septembre. Entre le soleil, la mer ou la montagne, il y a souvent des périodes avec pas trop d’activités, des périodes pendant lesquelles les parents vont au travail. Pour bon nombre de familles roumaines, il existe toujours la possibilité d’envoyer les enfants chez les grands parents, éventuellement à la campagne. Mais que faire si on n’a pas cette option ? Alors, les parents roumains cherchent souvent différentes activités pour leurs enfants. D’ailleurs, ils sont bien servis : cours de langues étrangères, ateliers de dessin et de peinture, cours d’informatique, de musique, découvertes urbaines, ateliers de théâtre etc. Les différents clubs pour enfants, les centres de langues étrangères, les musées et les instituts culturels proposent toute une variété d’activités par tranches d’âge. Décidemment, les parents d’une grande ville comme Bucarest ont de quoi remplir le temps libre des petits. Nous découvrons quelques-unes des offres de cours les plus intéressantes de l’été 2017.

  • La vie en vert

    La vie en vert

    Début janvier, les enfants de la
    capitale ont été invités à l’Institut français de Bucarest pour imaginer des
    villes plus vertes et moins polluées. 70 jeunes de 8 à 14 ans ont répondu à
    l’appel et ont fait des dessins sous le tire « La vie en vert ». Un projet
    que l’Institut français de Bucarest a mis sur pied aux côtés de plusieurs
    partenaires : le groupe énergétique français ENGIE, Caran d’Ache -
    fabricant Suisse de crayons et de fourniture pour le domaine de l’art et
    l’Association Séculaire Humaniste de Roumanie, ASUR, une ONG créée en 2010, qui
    se donne pour mission de promouvoir les principes éthiques humanistes, la
    pensée critique, la connaissance scientifique par des projets en tout genre.





    A quoi
    ressemble une ville verte pour les enfants de Bucarest ? Quelle est la
    place de la francophonie dans tout cela ? Réponse tout de suite avec
    Cyrielle Diaz, chargée de mission au Bureau du livre et de l’écrit à l’Institut
    Français de Bucarest.

  • La démocratie a-t-elle besoin de plus de transparence ?

    La démocratie a-t-elle besoin de plus de transparence ?

    Le modèle
    social-politique de la démocratie vit actuellement des moments compliqués et
    difficiles. Battu en brèche par des populismes et intégrismes de toutes les
    couleurs, il semble en train de perdre l’adhésion des citoyens aussi bien dans
    des démocraties historiques que dans des Etats où ce modèle est arrivé plus
    récemment. La démocratie a-t-elle besoin de plus de transparence dans son
    quotidien pour survivre et se réinventer ? Qui est concerné par le
    principe de transparence ? Ce principe fait l’objet d’un programme de
    conférences et de débats, mis en place par l’ambassade de France à Bucarest et
    l’Institut français de Roumanie, dont nous parlerons dans cette édition de RRI
    Spécial. Au micro d’Ileana Taroi: Clémentine Verschave, chargée
    de mission pour la coopération universitaire, Silvia Marton, maître de
    conférences à la Facultaté de Sciences Politiques de l’Université de Bucarest et Camelia Cusnir, professeur associé à la Faculté de
    Journalisme et des Sciences de la Communication de l’Université de Bucarest.

  • La rentrée littéraire francophone

    La rentrée littéraire francophone

    La saison des rentrées bat son plein et la Roumanie ne fait pas exception à cette règle; la rentrée culturelle affiche des couleurs particulièrement intéressantes et s’exprime en différentes langues, mettant dans l’embarras le public. RRI Spécial a tout naturellement fait le choix de la francophonie : théâtre, littérature, musique, rencontres sous le signe de la culture s’exprimant en français, à Iaşi et à Bucarest. La rentrée littéraire 2016 inclut un moment anniversaire : la librairie française Kyralina de Bucarest fête quatre ans d’activité.Nous évoquons ce passé récent mais aussi l’avenir proche avec la directrice de Kyralina. Un voyage facilité par les invités de ce RRI Spécial: Raluca Vârlan, chargée de mission culturelle et communication à l’Institut français, Valentine Gigaudaut, directrice de la librairie Kyralina et Philippe Forcioli, guitariste, poète, primé à deux nombreuses reprises.





  • Trois ans après…

    Trois ans après…

    Il y a des cycles dans la vie des institutions aussi. Et c’est tout à fait naturel car les institutions n’existent pas par elles-mêmes, mais par le travail, l’enthousiasme et le savoir-faire que les gens qui les font investissent dedans. Ces jours-ci, une étape se termine à l’Institut français de Roumanie. Une partie de l’équipe, les directeurs des filiales de Bucarest, Timisoara et Iasi terminent leurs mandats. Il y a trois ans nous les accueillons sur cette antenne, à leur arrivée dans le pays, et nous avons voulu savoir aujourd’hui comment la boucle se boucle. Dialogue tout à fait informel avec Christophe Pomez, attaché culturel et directeur délégué de l’IF de Bucarest, Daniel Malbert, directeur de l’IF de Timisoara (ouest) et Alain Ramette, directeur de l’IF d’Iasi (est).




  • La Roumanie de A à Z – Le Festival du film français

    La Roumanie de A à Z – Le Festival du film français

    L’automne prend des couleurs exceptionnelles pour les cinéphiles roumains en général et français en particulier. Pendant une semaine, ils se donnent rendez-vous avec une sélection de productions appartenant au cinéma le plus prolifique d’Europe. C’est le Festival du film français, édition 2015 organisé par l’Ambassade de France et l’Institut français de Roumanie qui attend les cinéphiles du 30 octobre au 8 novembre à Bucarest et dans d’autres villes. Nous verrons pourquoi il ne faut absolument pas rater ce festival grâce à l’invité du jour : Christophe Pomez, directeur délégué de l’Institut français de Bucarest.



  • Les 40 ans d’Elvire Popesco

    Les 40 ans d’Elvire Popesco

    Nommée daprès une comédienne roumaine qui a fait une carrière brillante en France, au début du 20e siècle, la salle de cinéma “Elvire Popesco” est un espace francophone de référence à Bucarest. Ouverte en 1974, cest une des dernières salles de cinéma historiques qui fonctionnent toujours dans la capitale roumaine. Alors que les cinémas classiques ont quasiment disparu, cette salle a toujours attiré les gens par ses programmes originaux, par ses films qui ne sinscrivent pas dans la sphère commerciale, mais aussi par les rencontres avec différents écrivains et artistes francophones du monde entier. Située à lintérieur de lInstitut Français de Bucarest, la salle Elvire Popesco fait partie aussi du réseau Europa Cinémas, doù son riche offre de productions européennes. Pour nous parler de tout cela nous avons invité au micro Christophe Pomez, directeur exécutif de lInstitut Français de Bucarest.


  • Futurotextiles

    Futurotextiles

    La mode est généralement envisagée comme cette activité, un brin futile, qui couvre des corps avec des vêtements plus ou moins attrayants, selon des tendances qui se fanent plus vite qu’une fleur. La mode traditionnelle est parfois orientée vers le passé, dont elle recycle joyeusement matériaux, techniques et modèles. Toutefois, une nouvelle mode est apparue, qui fait table rase de tous les clichés que l’on puisse avoir sur la création textile ; toute une branche de ce secteur est en train de se structurer autour de pôles de recherche, qui mettent, dans un vêtement, de l’imagination, de la beauté, des matériaux inédits et de l’utilité. Grâce à l’association Lille3000 et à l’Institut français de Roumanie, une nouvelle génération de vêtements, accessoires et produits connexes se montre en ce moment à Timisoara, dans l’ouest de la Roumanie, dans « Futurotextiles », une exposition inédite en tournée mondiale. Mais peut-on vraiment parler d’une révolution en passe de s’opérer ?


    Tentative de réponse avec Caroline David, chef du département d’arts visuels de l’association Lille3000, et Ingrid Diac, chargée de mission culture et communication à l’Institut français de Timisoara.