Tag: Leu

  • La Roumanie et les critères d’adhésion à l’euro

    La Roumanie et les critères d’adhésion à l’euro


    Même si techniquement, l’euro est déjà la
    monnaie nationale roumaine, pratiquement, le pays n’est pas prêt à faire le
    passage officiel. Cela fait quelques années déjà que la Banque centrale de
    Roumanie maintient un taux de change de quelque 5 lei pour un euro, afin de
    faciliter le calcul des prix pour la population et la classe politique. Les
    grands projets d’infrastructure ont les montants estimés en euros. Le prix des
    terrains ou des logements est stipulé en euros, même si la transaction finale,
    auprès du notaire, se fait toujours en monnaie nationale, le leu. Quand la
    presse s’attaque aux sinécures que les politiciens offrent à leur clientèle
    politique, elle se rapporte toujours à la monnaie unique européenne pour offrir
    à l’opinion publique une image de la réalité. Les enquêtes menées par les procureurs
    montrent que la plupart des dignitaires accusés de corruption touchent des
    pots-de -vin en euros. Les transferts monétaires des millions de migrants
    roumains sont toujours en euros.


    Et pourtant, à l’heure où l’on parle, la
    Roumanie ne répond à aucun des quatre critères nécessaires à lui permettre de
    passer à la monnaie unique européenne. Conformément au célèbre traité de
    Maastricht, de 1992, ces critères imposent la maîtrise de l’inflation, de la
    dette publique et du déficit public, la stabilité du taux de change et la
    convergence des taux d’intérêt. En plus, dans son rapport sur la convergence
    rendu public mercredi, la CE affirme que parmi les 27 pays membres, seule la
    Roumanie fait l’objet d’une procédure de déficit excessif. D’autres pays tels
    la Bulgarie, la République Tchèque, la Croatie, la Hongrie, la Pologne ou la
    Suède, eux aussi en dehors de la zone euro, sont mieux notés que la Roumanie. Admise
    au sein de l’UE en 2013, six ans après notre pays, la Croatie pourrait
    rejoindre la zone euro à partir du 1 janvier 2023, si l’Eurogroupe et le
    Conseil européen soutiennent la décision en ce sens avancée par Bruxelles.


    L’occasion pour les analystes de remarquer le
    paradoxe de la situation de Bucarest qui, en 2016, répondait à trois des quatre
    critères obligatoires.


    A l’époque, seule la stabilité du taux de
    change et la compatibilité législative, une condition supplémentaire imposée
    par la CE, manquaient à la Roumanie pour se voir accepter au sein de la zone
    euro. Cela veut dire que les politiques économiques des gouvernements qui se
    sont succédé depuis, à la tête du pays, quelle que fut leur couleur politique,
    n’ont fait que dégrader la comptabilité de la Roumanie aux exigences de la zone
    euro. Bien sûr, on ne saurait oublier que les deux années de pandémie ont porté
    atteinte sur l’économique et la société roumaine qui à présent se voient de
    nouveau impactées par la guerre en Ukraine. Ces derniers mois, les prix ont
    carrément explosé, les mensualités suivent une courbe ascendante, les finances
    publiques sont loin d’être solides et soutenables et le pays emprunte de l’argent
    à une vitesse accélérée.





  • Museum der Nationalbank erwartet wieder Besucher

    Museum der Nationalbank erwartet wieder Besucher


    Das Gebäude der Nationalbank in der Altstadt von Bukarest lässt sich auch von au‎ßen bewundern — es ist eines der imposantesten Bauten der Neoklassik in der rumänischen Hauptstadt. Über seine Entstehung und die Gründung der Nationalbank gibt die Museographin Ruxandra Onofrei Auskunft:



    Die Nationalbank Rumäniens wurde im Jahr 1880 gegründet — übrigens als 16. Zentralbank eines Staates weltweit. Sie war somit eine entscheidende Institution, die zur Modernisierung des damals noch jungen rumänischen Staates beitrug. Die ersten 10 Jahre war die Nationalbank in einem anderen Gebäude untergebracht, doch 1882 wird ein Grundstück unter den Ruinen einer ehemaligen Karawanserei (Raststätte für Karawanen) erworben, wo später das heutige Gebäude errichtet werden sollte. Mit der Planung des Repräsentativbaus werden die in der Epoche recht gefragten französischen Architekten Cassien Bernard und Albert Galleron im Jahr 1884 beauftragt; sie entwerfen ein Gebäude, das Neoklassik mit eklektizistischen Elementen der französischen Architektur der Jahrhundertwende vereint. Unser Museum ist in einem der wichtigsten Säle des Bankgebäudes untergebracht, den wir den Marmorsaal nennen. Hier ist zurzeit eine temporäre Ausstellung untergebracht, die dem König Michael I. gewidmet ist. Die Nationalbank zieht 1890 in das neu errichtete Gebäude ein, und der Marmorsaal wurde damals Schaltersaal genannt, denn dafür wurde er ursprünglich konzipiert. Hier empfing man Kunden und man konnte Banküberweisungen veranlassen oder Ein- und Auszahlungen in Bargeld erwirken. Unter jeder Arkade des Saals befand sich ein Schalter mit dem entsprechenden Büro des Bankangestellten, und in der Mitte stand ein langer Tisch mit Stühlen, wo man sich setzen und standardisierte Formulare ausfüllen konnte. Der Saal hat auch eine besondere Akustik, das hei‎ßt, der Widerhall erfährt eine Schallbrechung, so dass ein Kunde nicht genau verstehen konnte, was am Schalter nebenan gesprochen wurde. In den Büros hinter den Schaltern hatte jeder Bankkassierer einen Tresor unter seiner Obhut, und in unserer ständigen Ausstellung sind alle zwölf Panzerschränke von damals zu sehen. Unsere Besucher können au‎ßerdem alte Münzen, Banknoten und andere interessante Wertgegenstände aus unserer Sammlung bewundern.“



    Was gibt es noch in der ständigen Ausstellung des Museums zu sehen? Die Museographin Ruxandra Onofrei zählt einige Highlights auf:



    Unsere ständige Ausstellung umfasst zunächst die wunderbar gestalteten Innenräume des Alten Bankpalastes selbst. Dort präsentieren wir eine Dokumentation über den historischen Umlauf von Münzen auf dem Gebiet des heutigen Rumänien; sie beginnt im 5 . Jh. v. Chr. mit den in der antiken Siedlung Histria geprägten Münzen, lässt die darauffolgenden Epochen Revue passieren und endet 1867, als ein eigenes rumänisches Währungssystem eingeführt wurde. In einem weiteren Saal dokumentieren wir die Geschichte des Leu, der nationalen Währung, vom Gründungsjahr 1867 bis zu den heutigen Münzen und Banknoten.“



    Im Marmorsaal ist aktuell eine temporäre Ausstellung zu sehen, die dem rumänischen König Michael I. gewidmet ist. Unter den Stichworten 100 Jahre seit der Geburt des Königs Michael I. (1921–2017)“ werden einzelne Stationen im Leben des Monarchen beleuchtet. Zum Schluss kommt erneut die Museographin Ruxandra Onofrei mit Einzelheiten zu Wort:



    Diese Ausstellung ist in Zusammenarbeit mit dem rumänischen Königshaus, dem Nationalen Archiv, dem Dorfmuseum »Dimitrie Gusti« und dem Museum für Militärgeschichte »Ferdinand I.« entstanden. Die Ausstellung ist dem 100. Jahrestag der Geburt des Souveräns gewidmet, wurde am 25. Oktober 2021 eingeweiht und läuft noch bis Ende Mai 2022. Unser Konzept war, wichtige Lebensabschnitte des letzten Monarchen Rumäniens zu dokumentieren, beginnend mit der Kindheit bis hin ins hohe Alter. Denn das Leben des Königs Michael I. überschneidet sich mit wichtigen Ereignissen der jüngsten Geschichte Rumäniens und ist daher eine Dokumentation wert. Darüber hinaus haben wir auch weniger konventionelle Artefakte in unserer Ausstellung — etwa die Geburtsurkunde des Monarchen, die zum ersten Mal öffentlich ausgestellt wird. Auch Fotos gehören dazu, die das Leben des Königs in gewöhnlichen Alltagssituationen zeigt, oder Klassenarbeiten aus seiner Schulzeit. Die Ausstellung endet mit der Jubiläumsprägung der Nationalbank zu diesem Anlass, darunter eine Goldmünze mit einem Nennwert von 500 Lei und einer Reinheit von 999,9.“

  • 17.03.2021 (mise à jour)

    17.03.2021 (mise à jour)

    Investissements – Le président roumain Klaus Iohannis a annoncé, après des discussions
    avec les leaders des partis de la coalition au pouvoir, qu’un accord avait été
    trouvé concernant le Plan national de redressement et de résilience. Les 30 milliards
    d’euros de fonds européens sont une chance pour le développement de la Roumanie
    et pour la mise en place des réformes reportées depuis tant d’années – a déclaré
    le chef de l’Etat, qui estime que cet argent permettra à l’économie et à la
    société roumaine de trouver davantage de résilience en cas de crises futures. Le
    ministre des Investissements et des projets européens Cristian Ghinea
    avait affirmé précédemment que la lutte contre la pauvreté était une des priorités
    principales du Plan national. Le ministre a également évoqué un programme visant
    la diminution du décrochage scolaire et impliquant 1.600 établissements à
    travers le pays, ainsi qu’un programme de bourses pour les élèves, notamment
    des zones rurales, qui intègrent le lycée. Enfin, M. Ghinea a parlé d’investissements
    pour faciliter l’accès des Roumains au système de santé, tels la construction
    de nouveaux hôpitaux et la modernisation des hôpitaux existants.






    Gouvernement -
    Le gouvernement de Bucarest a examiné ce mercredi, en première lecture, le
    projet de loi qui interdit le cumul des pensions de retraite et des salaires dans
    le secteur public, déjà mis en débat public par le ministère du Travail. Selon les
    dispositions du texte de loi, les retraités du secteur public pourront choisir
    de travailler jusqu’à l’âge de 70 ans, période durant laquelle le versement de
    leur pension de retraite sera suspendu. La ministre du Travail Raluca Turcan a
    précisé que les personnes qui cumulaient et une pension de retraite et un
    salaire payé par l’Etat au moment de l’entrée en vigueur de la loi, auraient l’obligation
    de faire un choix dans les 30 jours suivants. 35.000 personnes touchent à
    présent les deux formes de revenu et devront donc décider laquelle elles
    souhaitent garder. Certains
    types de rémunération échapperont à cette règle, notamment celle en droit d’auteur
    et le paiement horaire. En plus, le projet législatif prévoit aussi de
    permettre le cumul dans le cas des membres de l’Académie roumaine et des
    parlementaires et des élus locaux qui sont en fonction au moment de l’adoption
    de la loi.

    Syndicats – Nouvelles
    protestations ce mercredi de la Confédération des syndicats nationaux Cartel
    Alfa, une des plus importantes centrales syndicales de Roumanie, contre la
    politique de l’exécutif. Ce sont notamment le gel des salaires des
    fonctionnaires, la majoration du salaire minimum de seulement 41 lei cette année,
    l’équivalent de 8 euros, et la suppression des chèques-vacances qui sont
    pointés du doigt par les syndicats. Bogdan Hossu, le président de Cartel Alfa,
    a déclaré que le budget de l’Etat, dans la forme adoptée par le Parlement, touchait
    tant aux salaires qu’aux pensions de retraite qui, sans connaître de
    majoration, entraîneront une baisse du pouvoir d’achat.

    Radio-Télévision – Les
    commissions budget-finances des deux chambres du Parlement roumain ont donné un
    avis négatif, mercredi, aux rapports d’exécution budgétaire 2018 et 2019 des
    chaînes publiques de radio et de télévision. Les élus de la coalition au
    pouvoir – Parti national libéral, Union sauvez la Roumanie-PLUS, Union
    démocrate magyare de Roumanie – ont voté en faveur de l’avis négatif, et ceux
    de l’opposition – Parti social-démocrate et Alliance pour l’union des Roumains -
    ont voté contre. Une fois avisés, les documents iront dans les commissions
    culture du Sénat et de la Chambre des Députés, qui doivent élaborer leurs rapports
    à ce sujet. Par la suite, ceux-ci seront débattus et votés dans le plénum du Parlement.
    Un éventuel vote de rejet des rapports d’activités de la Radio et de la
    Télévision publiques entrainera la démission des directions administratives des
    deux institutions.






    Devises – La monnaie roumaine, le leu, a atteint un nouveau
    minimum historique ce mercredi par rapport à l’euro. Le cours de la Banque
    centrale annonce un taux de change de 4,88 lei pour un euro. Le leu s’est
    également déprécié par rapport au dollar et au franc suisse. Un dollar
    américain valait 4,10 lei ce mercredi et un franc suisse, 4,43 lei.




    OTAN – Plus de 2.400
    militaires de huit Etats, 18 navires de combat et 10 aéronefs participent,
    entre le 19 et le 29 mars, à Sea Shield 21, le plus complexe exercice
    multinational de l’OTAN organisé cette année par la Marine militaire roumaine
    dans la région de la mer Noire. Selon le ministère roumain de la Défense, les
    activités d’instruction seront dirigées par le Commandement de la Flote et y participent,
    en plus de la Roumanie, la Bulgarie, la Grèce, les Pays-Bas, la Pologne, l’Espagne,
    les Etats-Unis et le Turquie. Le principal objectif de Sea Shield 21, c’est la
    vérification et la consolidation du niveau d’interopérabilité et de coopération
    entre les forces navales roumaines et autres structures de l’Armée roumaine ou
    dirigées par le ministère roumain de l’Intérieur, et les marines militaires des
    Alliés participant à l’exercice.






    Météo – Il fait gris et froid pour cette période de l’année
    en Roumanie. Une vigilance jaune pluies fortes est toujours d’actualité pour
    quasiment tout le territoire jusqu’à jeudi matin. On attend des précipitations sur
    le sud, l’est et le centre du pays, ainsi que sur le relief, où les rafales de
    vent pourront atteindre 70-90km/h.
    Le mercure des thermomètres ira, dans les prochaines 24 heures, de -3 à 4°C
    pour les températures minimales et de 1 à 10°C pour les maximales.



  • 03.03.2021 (mise à jour)

    03.03.2021 (mise à jour)

    Coronavirus – Le nombre de personnes vaccinées contre la Covid 19 en Roumanie a dépassé le seuil symbolique d’un million de personnes. Ce niveau a été atteint deux mois après le début de la campagne nationale d’immunisation, plus vite même que les estimations initiales des autorités. Le premier ministre Florin Cîtu a affirmé que la Roumanie était en troisième place en Europe pour ce qui est de l’immunisation et souligné que la vaccination de la population générale pourrait commencer dès la mi-mars. Entre temps, le nombre de nouveaux cas d’infection dépistés toutes les 24 heures est à la hausse en Roumanie. Le Groupe de Communication Stratégique a rapporté plus de 4278 cas d’infection mercredi. Le bilan de la pandémie fait état de plus de 812 milles cas de contamination et de 20.500 décès. Quelque 1.032 malades sont actuellement en réanimation, soit un chiffre comparable à celui enregistré à la mi-janvier. De plus en plus de départements sont à nouveau en scénario rouge en raison d’un taux de contamination de trois cas pour mille habitants. Le comté d’Ilfov qui entoure en fait la capitale a rejoint les départements de Cluj et de Maramures dans le nord-ouest et de Timis, dans l’ouest où le taux d’incidence est de plus de cinq cas par mille habitants. Le maire de Timisoara, dans l’ouest, Dominic Fritz a véhiculé mercredi la possibilité d’un confinement de la ville après que les hôpitaux et les unités de soins intensifs eurent affiché complet.

    Justice – L’année 2020 a été une année de la résilience, non seulement pour le système de justice, mais pour toutes les institutions de l’Etat qui ont eu besoin de mettre en place de nouvelles idées et de pratiques innovatrices, a affirmé le chef de l’Etat roumain. Présent à la Haute Cour de Cassation et de Justice de Bucarest pour participer à la présentation du rapport d’activité de la dite institution, Klaus Iohannis a opiné qu’une remise en question des lois de la justice s’impose au plus vite possible pour corriger les interventions législatives controversées dont se fait responsable l’ancien pouvoir social- démocrate. Et le président roumain d’ajouter qu’un volume d’activité équilibré, une infrastructure des instances modernisée et une collaboration renforcée au sein du système judiciaire représentent des aspects qui nécessitent l’attention des facteurs de décision. Mercredi soir, des groupes et des associations civiques ont protesté devant le Tribunal de Bucarest contre la décision définitive de la Justice roumaine de ne pas rouvrir l’enquête dans le dossier de la répression policière de la manifestation antigouvernementale du 10 août 2018. Les représentants des associations civiques ont annoncé dénoncer la Roumanie auprès la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

    Politiques budgétaires – La Commission européenne a décidé mercredi de donner aux Etats membres une série de directions générales au sujet de leurs politiques budgétaires pour la période à venir. Dans l’actuel contexte de crise, l’Exécutif européen a décidé de maintenir désactivées les limitations définies par le Pacte de stabilité, tout en appelant les pays affichant un taux de déficit élevé à faire preuve de prudence dans leurs politiques fiscales. Des recommandations économiques et structurelles spécifiques à chacun des 27 pays s’y ajouteront dans le cadre du paquet de printemps du Semestre européen, prévu au mois de mai. Selon les premiers indices, une potentielle remise en place des limitations de déficit serait possible à partir de 2023. Le commissaire chargé de l’Economie, Paulo Gentiloni, a précisé que la lutte contre la Covid-19 n’est pas encore gagnée et que le soutien budgétaire est toujours nécessaire. La CE insiste que les politiques budgétaires prennent en considération l’impacte du mécanisme de redressement qui, dans le cas de la Roumanie, pourrait se traduire par plus de 30 milliards de plus injectés dans l’économie d’ici 2026.


    Leu – La monnaie roumaine, le leu, a connu mercredi une dépréciation de 0,04% par rapport à l’euro, ce qui a valu à la monnaie européenne un maximum historique de 4,8768 lei pour un euro. En revanche, le leu a gagné du terrain face au dollar américain qui a perdu mercredi 1,94 bani soit 0,48% par rapport au taux de change enregistré mardi de 4,05 lei pour un dollar. La monnaie roumaine s’est également appréciée face au franc suisse. Disons également que le prix du gramme d’or a diminué mercredi de 1,6 lei par rapport à la veille.

    Météo – En Roumanie, les températures continuent à augmenter ce qui va se traduire par une journée de jeudi particulièrement douce dans la plupart du territoire. Les températures maximales iront de 10 à 19 degrés. Jeudi, les météorologues annoncent 18 degrés à Bucarest.

  • BNR și criza economică

    BNR și criza economică

    Scenariul
    de bază al Băncii Naţionale a României presupune reducerea graduală, treptată,
    a dobânzilor, fără a destabiliza cursul, a declarat joi unul din membrii
    Consiliului de Administraţie al instituției, Cristian
    Popa. El a vorbit la o dezbatere pe teme financiare organizată de Asociaţia
    pentru Relaţii cu Investitorii la Bursă din România (ARIR). Cristian Popa a arătat că BNR
    acţionează pentru asigurarea stabilităţii preţurilor şi a stabilităţii
    financiare, iar cursul valutar este perceput de către români că un indicator de
    stabilitate, motiv pentru care i se acordă o atenţie specială. De regulă, o
    reducere a dobânzii este urmată aproape imediat de o depreciere a monedei.

    Alte
    state, în care euro este mai puţin folosit, nu au probleme în a-şi deprecia
    moneda, în România, însă, chiar şi o depreciere de 1 ban constituie ‘breaking
    news’, astfel că banca centrală este nevoită să cântărească cu mare atenţie
    orice decizie de reducere a dobânzii’, a explicat oficialul de la
    București. El a menţionat că este importantă şi economisirea internă, în moneda
    locală, pe care BNR nu vrea să o descurajeze, economia reală dar şi Guvernul
    bazându-și finanţarile pe depozitele bancare constituite de populaţie şi
    companii. Cântărim bine orice decizie, nu vrem să luăm decizii pripite, de aici
    şi gradualitatea măsurilor. Cu toate acestea, şi fără implicaţii negative
    asupra cursului sau economisirii, Consiliul de Administraţie al BNR a hotărât
    reducerea în două rânduri a dobânzilor, scăzând rata dobânzii de politică
    monetară de la 2,5% la 1,75%, în ultimele luni. Ca urmare, rata ROBOR a coborât
    de la 2,8% la 1,9%, deci costul de finanţare pentru economia reală s-a redus
    destul de consistent, a mai afirmat Cristian Popa.

    La rândul său, președinta
    ARIR, Daniela Şerban, a declarat că pentru a păstra încrederea investitorilor
    şi a încuraja investiţiile inclusiv în piaţa de capital este importantă
    păstrarea echilibrelor macroeconomice.’Totul va depinde de planurile fiscale de
    viitor şi de temperarea cheltuielilor de pensii şi salarii. Orientarea
    programului de guvernare lansat recent către investiţii va permite relansarea
    economică
    ‘, a estimat Daniela Şerban.

    Rezervele valutare la Banca Naţională a
    României au înregistrat la finalul lunii trecute o scădere cu 1,8% comparativ
    cu luna precedentă, în timp ce nivelul rezervei de aur s-a menţinut la peste
    103 tone. Rezervele valutare sunt de aproximativ 35 de miliarde de euro, ceea
    ce, spun experții, în condiții normale, este arhisuficient. Creşterea
    incertitudinii la nivel global şi scăderea rapidă a încrederii investitorilor
    în economiile emergente sunt cele mai importante riscuri pentru stabilitatea
    financiară a României, indentificate într-un raport recent al BNR. Un alt
    element de risc sever se referă la deteriorarea echilibrelor macroeconomice
    interne, din perspectiva majorării deficitelor bugetare, în contextul pandemiei
    de COVID-19. Estimările organismelor europene şi internaţionale privind
    evoluţia economică a României indică pentru acest an o scădere de până la 6%,
    urmată însă de o revenire a dinamicii PIB în 2021.

  • Hörerpostsendung 31.5.2020

    Hörerpostsendung 31.5.2020

    Liebe Freunde, herzlich willkommen zur Hörerpostsendung von RRI!



    Gleich zu Beginn habe ich eine halbwegs erfreuliche Ankündigung: Wir haben auch dieses Jahr eine QSL-Serie, allerdings vorerst nur in virtueller Form, denn momentan wissen wir noch nicht, wann uns das Budget für Anfertigung und Porto zugewiesen wird. Letztes Jahr hat es ja bis Mitte Juni gedauert, bis wir endlich QSL-Karten zuschicken konnten.



    Trotzdem können Sie die Karten mittlerweile auf unserer Webseite betrachten, für die Hörer ohne Internetzugang möchte ich sie kurz beschreiben. Die QSL-Serie 2020 ist alten rumänischen Münzen und Banknoten gewidmet, die ab 1867 bis Anfang der 1930er geprägt bzw. herausgegeben wurden. Die offizielle Landeswährung Rumäniens ist der Leu (Mehrzahl: Lei), unterteilt in 100 Bani (ban, pl. bani, bedeutet im Rumänischen auch Münze“ oder Geld“ schlechthin). Im 17. Jahrhundert waren in den historischen rumänischen Provinzen niederländische Löwentaler (nl. Leeuwendaalder) im Umlauf — deren Besonderheit war das geprägte Bild eines Löwen, der sich auf seinen Hinterpfoten aufrichtet. Auf dieser Grundlage wurde diese Münze Löwentaler“ (rum. taler-leu) und im modernen Rumänien einfach nur noch Leu“ (Löwe) genannt. Auch nachdem die niederländischen Taler aus dem Verkehr zurückgezogen wurden, blieb der Name Leu“ (Plural: Lei“) als allgemeiner Begriff für Münzen und Geld erhalten.



    1867 wurde der Leu die offizielle Währung der Vereinigten Donaufürstentümer Moldau und Walachei.



    Und jetzt noch eine detaillierte Vorstellung der QSL-Karte für Januar, in den folgenden Wochen werde ich auch die anderen Karten vorstellen. Auf der QSL-Karte für Januar 2020 ist die Münze im Wert von 1 Ban (aus dem Jahr 1867) abgebildet. Die 1-Ban-Münze hat einen Durchmesser von 15 mm, wiegt 1 Gramm, und die Legierung besteht zu 95% aus Kupfer, 4% Zinn und 1% Zink. Der Au‎ßenrand ist glatt, der Randkreis geperlt. Die Prägung des Nennwertes 1 BANU“ und des Auflagenjahrs 1867“ ist von einem Lorbeerzweig auf der linken und einem Eichenzweig auf der rechten Seite gesäumt. Unter der Schleife, die beide Zweige verbindet, ist der Name der Prägungsanstalt zu sehen. Auf dem Revers ist das Wappen des rumänischen Königshauses zu erblicken, der Randkreis auf der Rückseite ist ebenfalls geperlt.



    Geprägt wurden im Jahr 1867 insgesamt 4 Münzen-Auflagen bei zwei unterschiedlichen Anstalten: Heaton bzw. Watt & Co. (beide in Birmingham). Somit gab es zwei Auflagen, die sich nur durch dieses kleine Detail unterscheiden: Im unteren Teil des Averses ist dementsprechend entweder HEATON oder WATT & Co. eingraviert. Die Münzen wurden am 1. Januar 1868 in Umlauf gesetzt.



    Anlässlich der 140. Jahresfeier seit Verabschiedung des Gesetzes zur Gründung eines neuen Währungswesens und der Prägung nationaler Münzen“ gab die Nationalbank Rumäniens (BNR) im Jahr 2007 ein Serie von Replikaten der Münzen von 1867 in Wert von 1 BAN(U), 2 BANI, 5 BANI und 10 BANI heraus. Die Replikate sind aus Gold (Reinheit: 99,9%) und haben denselben Durchmesser wie die Originale (aufgrund des Edelmetalls wiegen sie allerdings schwerer). Jedes einzelne der insgesamt vier Sets wurde in 250 Exemplaren geprägt. Unter der Schleife, die die beiden Zweige verbindet, wurde der Name der ursprünglichen Prägungsanstalt durch den Buchstaben R“ (für Replikat“) ersetzt.



    Und jetzt zu Hörerzuschriften. Herbert Jörger (aus Bühl, Baden-Württemberg) meldete sich unlängst per E-Mail:



    Ihre Sendung war sehr spannend und unterhaltsam. Gerade in der Zeit der Corona-Pandemie muss man viele Abstriche machen. Grö‎ßere Volksfeste fallen 2020 fast in allen Staaten aus. Wie es mit Reisen in andere Länder aussieht, ist noch nicht geklärt. Besonders die Einzelhändler und die Gastronomie hat es hart getroffen. Auch Kirchenbesuche mit viel Abstand wurden genehmigt, 5 Personen dürfen nun zusammen wieder laufen. Auch der Schulbetrieb für Abschlussklassen ist nun genehmigt, Kosmetik- oder Fitnessstudios sowie die Kitas, Bars und Gaststätten müssen noch warten. Vereine wie Sport, Musik- und Gesangvereine konnten nicht proben.


    Viele Firmen und Betriebe schlossen oder meldeten Kurzarbeit an. Beim Einkaufen ist in Baden-Württemberg und elf weiteren Bundesländern eine Nasen- und Mundbereichsmaske vorgeschrieben. Die Chinesen machten es uns ja vor. Allmählich kehrt das normale Leben zurück. Auch wann die Bäder wieder benutzt werden können, ist nicht geklärt. Fu‎ßballspiele und Autorennen oder Wanderungen fallen auch aus. Eine Frage hätte ich noch, welche Fläche nimmt das Donaudelta ein?



    Vielen Dank für das Feedback. lieber Herr Jörger. Inzwischen ist ja in Deutschland und Österreich der Gastronomie-Bereich unter bestimmten Auflagen wieder offen. Auch in Rumänien ist das der Fall — ab morgen, dem 1. Juni. Es gelten Auflagen wie einen Mindestabstand zwischen den Tischen und die seltsam anmutende Empfehlung, dass nicht mehr als drei Personen aus demselben Haushalt oder derselben Familie an einem Tisch sitzen dürfen. Wie das zu kontrollieren ist, steht in den Sternen, ich kann mir kaum vorstellen, dass etwa ein Barbesitzer allen Kunden die Personalien abnimmt, wie das z.B. in Deutschland verpflichtend ist. Dann hie‎ß es noch, dass Privatpartys mit bis zu 8 Personen erlaubt sein werden. Wieso gerade 8, und nicht 5 oder 10 Personen, wurde auch nicht begründet. Kirchenmessen sind ebenfalls nur im Freien, also vor der Kirche, wieder erlaubt, Fitness-Studios müssen noch bis 15. Juni warten, Schwimmbäder und Saunas bleiben allerdings auch weiterhin geschlossen. In Innenräumen wie Läden und öffentliche Einrichtungen sowie in öffentlichen Verkehrsmitteln gilt nach wie vor eine Maskenpflicht, allerdings habe ich nicht selten gesehen, dass sich viele daran nicht halten oder die Maske lässig unter der Nase oder dem Kinn tragen, als wäre sie ein modisches Accessoire. Na ja, wir werden sehen, ob es nicht auch in Rumänien in den nächsten Wochen zu neuen Infektionsherden kommt.



    Das Donaudelta stellt nach dem Wolgadelta das zweitgrö‎ßte Delta Europas dar und umfasst ein Gebiet von 5800 km², wovon 72% mit einer Fläche von knapp 4200 km² unter Naturschutz stehen. Diese Fläche liegt zu 82,5% im rumänischen Teil der Landschaft Dobrudscha sowie zu 17,5% in der Ukraine.



    Herzliche Grü‎ße nach Baden-Württemberg, lieber Herr Jörger, und bleiben Sie gesund!



    Peter Vaegler aus Stralsund schrieb uns gleich mehrere Mal im Monat Mai, Anfang des Monats hatte er noch Schwierigkeiten mit dem Empfang, dann wurde es wieder besser, und schlie‎ßlich machte er auch einen Umzug durch. Hier einige Auszüge aus seiner vorletzten E-Mail:



    Liebe Freunde in Bukarest!



    Wieder ist eine Woche vergangen und zwischenzeitlich sind die Verbote wieder weiter gelockert worden. Ab morgen dürfen auch wieder Touristen aus anderen Bundesländern hier ihren Urlaub verbringen. In den Restaurants der Stadt war zu sehen, dass durch die fehlenden Tagestouristen viele Plätze frei blieben. Es war sowieso empfohlen, vorher Plätze zu reservieren, denn gerade in den beliebten Lokalen waren die genehmigten Tische schnell besetzt.



    Am Donnerstag war ja in Deutschland ein Feiertag und wir hatten endlich die Gelegenheit, meinem 90-jährigen Schwiegervater mit seiner Frau unsere neue Wohnung zu zeigen. Da konnte ich auch gleich unseren neuen Grill einweihen. Es war auch der einzige Tag, an dem das Wetter mitspielte, denn ansonsten war nur Regen und Sturm.



    Ab Montag sind auch wieder die Kinos und Fitnesscenter geöffnet. Langsam normalisiert sich also bei uns das Leben, wobei es für mich immer noch ungewohnt ist, mit einer Maske einkaufen zu gehen.



    Aus Ihrer Sendung wei‎ß ich, dass sich auch die geschlossenen Museen auf die neue Situation eingestellt haben und jetzt virtuelle Ausstellungen anbieten.



    Ich hoffe nur, dass die Lockerungen nicht zu einem erneuten Aufflammen der Pandemie führen.



    Ich grü‎ße alle Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter und wünsche Gesundheit!



    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Vaegler, und bleiben Sie gesund!



    Aus Luxemburg erhielten wir unlängst folgendes Feedback im Internetformular:



    Guten Tag, nach 16 Jahren Funkstille“ freue ich mich, Ihnen wieder zu schreiben. Die Sendung vom 10. Mai 2020 gefiel mir sehr gut; besonders die zwei Jazzstücke von Berti Barbera waren hervorragend. Ich werde in der Zukunft wieder öfters RRI hören! Wäre es möglich, mir eine schöne QSL-Karte per Post zu schicken? Ich danke Ihnen im Voraus und bleiben Sie gesund!



    Serge Thill



    Vielen Dank für das Feedback, lieber Herr Thill! Wie Sie bereits erfahren haben, dürfte es mit der Zusendung von QSL-Karten noch einige Wochen dauern. Herzliche Grü‎ße nach Luxemburg und bleiben auch Sie gesund!



    Nouri Streichert (aus Hildesheim, Niedersachsen) scheint dieselbe Sendung über den rumänischen Jazzmusiker Berti Barbera gehört zu haben, denn dazu stellte er uns auch eine Frage:



    Wisst ihr, ob der Künstler schon mal bei der Hildesheimer Jazztime dabei war? Die Jazztime ist in Hildesheim seit 1971 an Pfingsten das gro‎ße Jazzereignis unserer Stadt. Zahlreiche Künstler präsentieren sich Open Air an drei Tagen den Fans unter freiem Himmel bei freiem Eintritt. Am Sonntagabend gibt es eine Galaveranstaltung mit jährlich wechselnden Gaststars. Die Karten für die Gala sind natürlich nicht kostenlos. Dieses Jahr sollte Ute Lemper auftreten. Leider ist die Veranstaltung 2020 abgesagt. Die Künstlerin tritt im nächsten Jahr auf. Die Eintrittskarten behalten Gültigkeit.



    Vielen Dank für das Feedback. Ihre Frage kann ich leider nicht beantworten. In den Biographien des Künstlers, die man im Internet findet, steht leider nicht, ob er jemals in Hildesheim aufgetreten ist. Da hilft nur, ihn persönlich zu fragen, ich habe aber leider keinen persönlichen Draht zu ihm. Viele Grü‎ße nach Hildesheim, lieber Herr Streichert!



    Musikalisch geht es auch in der letzten Zuschrift zu. Ralf Urbanczyk (aus Eisleben, Sachsen-Anhalt) gab uns folgendes Feedback per E-Mail:



    Spannend war das Gespräch mit dem rumänischstämmigen Komponisten Vladimir Cosma in Ihrer heutigen Reihe Gäste am Mikrofon“. Ich fand es zunächst erst einmal gut, dass dieser äu‎ßerst produktive und erfolgreiche Komponist, den besonders seine zahlreichen Filmmusiken bekannt gemacht haben, Zeit für ein Interview mit dem Rumänischen Rundfunk fand. Und dann, dass Sie es bei Radio

    Rumänien International aufgegriffen haben und für die Zuhörer in aller Welt bereitstellten. Unvergessen ist für mich seine Filmmusik zu der französischen Agentenkomödie, die bei uns unter dem Titel Der gro‎ße Blonde mit dem schwarzen Schuh“ lief, in welcher er der Vielseitigkeit der rumänischen Panflöte mit ihrem Meister Gheorghe Zamfir eine gro‎ße Bühne gab. Vladimir Cosma scheint an seiner früheren Heimat, welche er schon in jungen Jahren verlie‎ß, immer noch zu hängen, was ich auch aus dem heutigen Interview entnehmen konnte. Er ist halt ein gro‎ßartiger Künstler und gleichzeitig eine gro‎ßartige Persönlichkeit.



    Vielen Dank für Ihre Zeilen, lieber Herr Urbanczyk, und herzliche Grü‎ße nach Eisleben!



    Damit Zeit für die Postliste. Neue Briefe gab es vorerst nicht, auf elektronischem Wege erreichte uns Feedback von Martina Pohl, Stefan Druschke, Willi Seiser, Peter Vaegler, Michael Willruth, Herbert Jörger, Erich Bergmann, Ralf Urbanczyk, Dieter Feltes und Norbert Reiner (D), Paul Gager (A), Manfred Lepp (PH), Teruhiko Kachi (JPN), Siddhartha Battacharjee (IND) sowie von jemandem, der sich nur Andy aus Moskau“ nannte.



    Audiobeitrag hören:




  • Janvier 2020

    Janvier 2020

    Pour vos rapports d’écoute du mois de janvier, vous
    recevrez une carte qui vous fera découvrir la monnaie d’un ban émise en 1867.
    Elle mesure 15 mm de diamètre et pèse un gramme, étant une composition de cuivre
    (95%), étain (4%) et zinc (1%). Il y est inscrit « 1 banu » et l’année
    1867, l’inscription étant entourée d’une branche de laurier à gauche et une
    branche de chêne à droite.

    Sur le revers l’on retrouve l’emblème du pays et l’inscription Romania.

    Quatre monnaies datent de 1867, frappées à Birmingham, en Grande Bretagne. Il existe donc deux séries de monnaies qui se distinguent uniquement par le fait que l’une porte l’inscription du fabriquant Heaton, l’autre celle de Watt and CO. Ces monnaies ont été mises en circulation en 1868. A noter que le BAN est la subdivision inférieure du LEU. En 2007, pour marquer les 140 ans écoulés depuis le vote de la « Loi pour la création d’un nouveau système monétaire et pour de la fabrication des monnaies nationales », la Banque Nationale de Roumanie a émis une série de répliques des premières monnaies de 1, 2, 5 et 10 Bani. Des répliques en or ayant les mêmes dimensions que les pièces d’origine. Voilà deux mots sur les QSL de janvier et de février 2020, entrez sur notre site pour les découvrir en photo avant de les recevoir chez vous.

  • Die Woche 17.02.-21.02.2020 im Überblick

    Die Woche 17.02.-21.02.2020 im Überblick

    Rumäne im Attentat in Hanau getötet



    Das Außenministerium in Bukarest bestätigte am Donnerstag abend, dass ein Rumäne zu den Opfern des Doppelanschlags in Deutschland gehört, der sich gegen Immigranten richtete und in der Stadt Hanau bei Frankfurt (Mitteldeutschland) verübt wurde. Das rumänische Außenministerium spricht sein Beileid aus und verurteilt scharf jede Art von Gewalt und fremdenfeindlichen Äußerungen. Ein 43-jähriger Deutscher hat am Mittwochabend in zwei Cafés in Hanau neun Menschen getötet. Neben dem Rumänen sind die Opfer Einwanderer kurdischer, bulgarischer und bosnischer Herkunft, aber auch drei Deutsche. Bundeskanzlerin Angela Merkel hat mit einem deutlichen Statement Stellung zum rechtsradikalen Anschlag in Hanau bezogen. Rassismus ist ein Gift. Hass ist ein Gift, das in unserer Gesellschaft existiert“, sagt Merkel am Donnerstagmittag. Sie sprach den Angehörigen der Opfer ihre tiefste Anteilnahme aus. Auch wenn es noch keine abschließende Klarheit gebe, weise derzeit alles darauf hin, dass der Täter aus rechtsextremen, rassistischen Motiven gehandelt habe, so die Kanzlerin. Aber wir unterscheiden nicht nach Hautfarbe und Religion. Wir stellen uns all jenen entgegen, die unser Land spalten wollen.“ Die deutschen Politiker warfender rechtsextremen Formation Alternative für Deutschland vor, durch ihre Botschaften zu gewalttätigen Aktionen zu inspirieren. Der Ko-Vorsitzende der Alternative für Deutschland, der ehemalige Christdemokrat Alexander Gauland, wies die Vorwürfe vehement zurück. In vielen Städten in Deutschland gab es gestern Abend Solidaritätsdemonstrationen. Am Brandenburger Tor in Berlin gedachten mehrere hundert Menschen den Opfern der Anschläge und bildeten eine grosse Menschenkette um das Tor.



    Parlament in Bukarest interviewt die vorgeschlagenen Minister



    Der Mittwoch war der letzte der drei Tage, an denen die Fachausschüsse des rumänischen Parlaments die Minister interviewen, die das zweite Kabinett von Premierminister Ludovic Orban bilden sollten. Nur vier Minister grünes Licht erhalten: Adrian Oros als Landwirtschaftsminister, Nicolae Ciucă als Verteidigungsminister, Virgil Popescu als Minister für Wirtschaft, Energie und Umwelt und Bogdan Aurescu als Außenminister. Die Abstimmung zur Amtseinführung ist für den 24. Februar vorgesehen. Der designierte Premierminister hat beschlossen, die gleiche Zusammensetzung der Regierung beizubehalten, weil er mit ihrer Tätigkeit zufrieden war. Die oppositionelle Sozialdemokratische Partei hat angekündigt, dass sie nicht über die für die Bildung der neuen Regierung vorgeschlagenen Kandidaten abstimmen wird. Der Plan der Nationalliberalen Partei sieht vor, die beiden Regierungen abzulehnen, um das Parlament aufzulösen und vorgezogene Wahlen einzuberufen. Die Parlamentswahlen könnten somit zwischen dem 15. und dem 30. Juni stattfinden, was im gleichen Zeitrahmen wie die Kommunalwahlen liegt. Das rumänische Verfassungsgericht wird am 24. Februar über die von den Sprechern der beiden Kammern eingereichte Mitteilung entscheiden, dass Präsident Klaus Iohannis erneut Ludovic Orban als Premierminister nominiert hat, obwohl er gerade erst durch ein Misstrauensvotum im Parlament von diesem Posten entlassen wurde. Am Mittwoch lehnte der Senat als erste notifizierte Legislativkammer die Eilverordnung der Regierung über die Organisierung vorgezogener Parlamentswahlen ab.



    Präsident Klaus Iohannis hat neue Chefankläger ernannt



    Am Donnerstag hat Präsident Klaus Iohannis neue Chefankläger ernannt. Gabriela Scutea wird die Generalstaatsanwaltschaft für die nächsten drei Jahre leiten, Crin-Nicu Bologa wird die Leitung der DNA übernehmen, während Elena Hosu das DIICOT leiten wird. Laut Präsident Iohannis war es ein Vergnügen, diese Personen zu ernennen, da sich die Nominierungen von Minister Predoiu als angemessen erwiesen haben. Klaus Iohannis: Da der Minister mit sehr gut motivierten Nominierungen kam, gegen die Zustimmung des Obersten Rates der Richter und Staatsanwälte, die teilweise oberflächlich war, hielt ich die Vorschläge von Minister Predoiu für richtig und ernannte die drei Nominierten.


    Die drei Kandidaten wurden vom Präsidenten ernannt, obwohl Gabriela Scutea und Elena-Georgiana Hosu nicht vom Obersten Rat der Richter und Staatsanwälte bestätigt worden waren. Auch der Interimspremierminister Ludovic Orban, Vorsitzender der national-liberalen Partei, hat die Ernennungen als fair bezeichnet.

    : Der Euro hat gegenüber der rumänischen Währung ein Rekordhoch erreicht



    Für die rumänischen Bürger bedeutet die Abwertung der Nationalwährung höhere Preise, höhere Raten und höhere Rechnungen. Der CFA Verband hatte bereits Ende 2019 eine Abwertung des Leu in den folgenden 12 Monaten und ein Zinswachstum für kurz-und langfristige Fälligkeitstermine prognostiziert. Die Mitglieder des CFA sind Inhaber der renommiertesten Zertifizierungen im Bereich der Investitions- und Finanzanalyse. Im Januar dieses Jahres blieb der Wechselkurs des Leu angesichts der offensichtlichen Erleichterung seitens der Investoren, die sich über die Verschlechterung der Finanzlage besorgt zeigten, stabil. In letzter Zeit ließ sich dennoch eine Abwertung des Leu gegenüber den wichtigsten Währungen spüren. Rumänien hat das höchste Leistungsbilanzdefizit in der Region mit etwa 5%, während diese 5% eine Warnstufe für ein kleines und offenes Land darstellen. Außerdem hat Rumänien eines der größten Haushaltsdefizite und wird nun in das Verfahren bei einem übermäßigen Defizit eintreten. Gleichzeitig ist der Präsident des Verbands der Bank-und Finanzanalysten der Meinung, dass die Abwertung der Landeswährung nicht aufhören wird.


    Der Wirtschaftsanalytiker Dragos Cabat ist der Ansicht, dass der schlechte Wechselkurs des Leu zum größten Teil durch die politische Instabilität des Landes verursacht wird. Laut Cabat verängstigt die Ausbreitung des Coronavirus weltweit die Anleger. Unter diesen Umständen sind die Währungen der Länder, in denen es eindeutig makroökonomische Ungleichgewichte im System gibt, umso anfälliger, da diese Währungen angegriffen werden. Internationale Investoren sind nicht so sehr am Leu interessiert, sonst wäre der Angriff auf den Leu noch stärker gewesen. Die leichte Abwertung des Leu stehe in enger Verbindung mit den Abwertungen in der Region, da auch der Zlot und der Forint infolge der internationalen Finanzströme abgewertet wurden, so der Interimsfinanzminister Florin Cîţu. Im Anschluss sagte Cîţu, dass die Zinssätze weiterhin sinken würden, während das Vertrauen der Investoren steigen werde. Auch der amtierende Premierminister Ludovic Orban sagte, es gebe keinen Grund für Panik. Premierminister Orban versicherte auch, dass die wirtschaftliche Lage des Landes stabil sei.

  • A new record low for the Romanian currency, the Leu

    A new record low for the Romanian currency, the Leu

    The European currency
    has yet again reached a record high against the Romanian currency. For the
    Romanians, a depreciated Leu translates into higher prices, higher installments
    and higher bills.


    The CFA Romania Association as early as the
    end of 2019 had forecast a depreciation of the Leu in the following 12 months
    and an interest rate growth for the maturity date, short-term as well as long-term. We recall
    the members of the CFA are holders of the most prestigious certifications in
    the field of investment and financial analysis, and the developments seem to
    confirm their estimates. In January this year, the exchange rate for the Leu
    remained steady, given the apparent relief on the part of investors, who had
    been concerned with the deterioration of the fiscal position. Consequently, a
    buoyant attitude prevailed on the international financial market. Notwithstanding,
    the Romanian currency has been depreciated as of late, against the main
    currencies. According to economy pundits, the fall of the Leu had already been
    predicted.


    Adrian Codirlasu is the president of the
    Finance and Banking Analysts Association.

    Adrian Codirlasu:

    The latest CFA survey,
    carried in December 2019, revealed an anticipatory exchange rate of 4.88 Lei
    for one Euro, for December 2020. The premise for such a forecast is the idea of the twin
    deficits. Romania has the highest current account deficit in the region,
    standing at around 5%, while this 5% is a warning level for a small and open
    country. Also, it has one of the biggest budget deficits and will now enter the
    excessive deficit procedure. Such deficits require financing, that including
    foreign financing. Moreover, what does the current account deficit mean? Foreign
    currency getting out of the country, hence the exchange rate pressure.


    Concurrently, the president of the Finance
    and Banking Analysts Association believes that the depreciation of the national
    currency is not going to stop.

    Business analyst Dragos Cabat thinks that the
    poor exchange rate for the Leu is to a great extent caused by the country’s
    political instability.

    According to Cabat, QUOTE, at international level, what
    with China and the coronavirus, everybody is scared. Under such circumstances,
    the more vulnerable currencies of the countries where macroeconomics imbalances
    clearly exist in the system, these currencies are under attack. International
    investors are not that keen on the Leu, otherwise the attack on the Leu would
    have been even stronger, UNQUOTE.

    Dragos Cabat went on to say that in the
    previous month, had the Central Bank not intervened to reverse the Leu’s
    depreciation tendency, 4.8 to 4.85 lei would have bought One Euro. The slight
    depreciation of the Leu is correlated with the depreciations in the region,
    given that the Zlot and the Forint have also depreciated as a result of
    international financial flows, says the interim Finance Minister Florin Citu.
    Citu also said interest rates would still be on the wane, while investors’
    confidence will be on the rise. Acting Prime Minister Ludovic Orban also said
    there was no reason for suspicion or panic. PM Orban also gave assurances the
    country’s economic condition was a stable one.

    (Translation by Eugen Nasta)



  • Le leu s’écroule

    Le leu s’écroule

    Chef de file de la profession de l’investissement, l’association CFA Roumanie prévoyait depuis la fin de l’année dernière une dépréciation de la monnaie nationale, le leu, dans les 12 mois à venir, parallèlement à une majoration des taux d’intérêts à court et long terme. Sur le terrain, la situation semble en ce moment confirmer les estimations. Après qu’en janvier, le taux de change de l’euro à la monnaie roumaine, le leu, a été stable, dans le contexte d’un apaisement des inquiétudes des investisseurs par rapport à la détérioration de la position fiscale de la Roumanie, voilà que dernièrement, la monnaie roumaine se déprécie de plus en plus. C’est une chute anticipée, opinent les spécialistes.

    Dans une allocution sur Radio Roumanie, l’économiste Adrian Codirlasu, à la tête de l’Association des analystes dans le domaine financier- bancaire, affirme :« Le dernier sondage mené par CFA Roumanie, en décembre dernier table sur un taux de change de 4,88 lei pour un euro, en décembre 2020. Ce sont les déficits jumeaux qui en sont la cause. A l’heure actuelle, la Roumanie affiche le plus grand déficit de compte courant de la région, à savoir autour de 5% auquel s’ajoute un des plus importants déficits budgétaires. La Roumanie s’apprête à engager aussi une procédure de déficit excessif. Or tous ces déficits nécessitent un financement, y compris un financement extérieur. Il suffit de nous poser la question : qu’est ce que le déficit de compte courant signifie ? Et bien, des sorties de capitaux en devises. D’où, la pression qu’on met sur le taux de change. »

    Aux dires du président de l’Association des analystes financiers, le leu continuera sa chute, alimentée, selon l’expert économique, Dragos Cabat, par l’instabilité politique. Et puis, même le contexte international s’avère fragile, puisque, comme le rappelle M. Cabat, « sur fond d’épidémie de grippe en Chine, les monnaies vulnérables des pays touchés par les déséquilibres macro-économiques se voient fragilisées ». Heureusement, que notre leu n’intéresse pas trop les investisseurs, « car il aurait risqué de se voir attaqué encore plus fort », opine l’analyste qui salue l’intervention du dernier mois de la Banque centrale sans laquelle, l’euro aurait grimpé à 4,85 pour un leu.

    Cette dépréciation n’est pas singulière dans la région, affirme le ministre des Finances par intérim, Florin Cîtu, qui rappelle que la Hongrie et la Pologne se confrontent, elles aussi, à ce type de problème. Selon le responsable roumain, les taux d’intérêt continueront à baisser, tandis que la confiance des investisseurs continuera à augmenter. Pour sa part, le premier ministre Ludovic Orban invite au calme et affirme que la situation économique de la Roumanie est stable. (trad. Ioana Stancescu)

  • The Week in Review (17-23 November 2019)

    The Week in Review (17-23 November 2019)

    Romania is holding the second round of the presidential elections


    This was the last week of the election
    campaign for the presidential elections in Romania. On Sunday, November the 24th,
    Romanians will find out who their president will be for the next five years. In
    the race are the incumbent president Klaus Iohannis, who is backed by the
    ruling National Liberal Party, and Viorica Dancila, the leader of the Social
    Democratic Party, in power until recently. Just like in the first round of
    voting, Romanian citizens living abroad have three days to cast their ballots.
    This measure and others were taken so as to prevent the long queues seen in the
    previous presidential elections in 2014 and the European elections last May. To
    eliminate the risk of overcrowding at polling stations, their number in the
    diaspora has basically doubled compared with the European elections, to reach
    835. The same number of polling stations has been maintained for the second
    round, but the location of some of them has been moved for objective reasons.
    The countries with the largest number of polling stations are Spain, Italy,
    Germany, the UK and France. In Romania, the voting process only takes place on
    Sunday, on the 24th of November.




    The Romanian currency hits record low against the euro


    The Romanian currency, the leu, has
    this week gone over the psychological threshold to reach 4.78 for one euro,
    hitting a record low against the European single currency. The leu has been
    depreciating for some two and a half months. The exchange rate we’ve seen
    recently is a reflection of the Romanian economy, the spokesman of the National
    Bank of Romania Dan Suciu has told Radio Romania. He has explained that growing
    imports and the trade deficit implicitly are the main cause for the
    depreciation of the leu.
    At the beginning of the month, the governor of the National Bank of Romania
    Mugur Isarescu was saying that these variations are minor compared with those
    of the Hungarian forint and the Polish zloty, which have seen very much bigger
    fluctuations. Specialists expect the national currency to depreciate even
    further next year. A strong euro in relation to the leu means a chain of price
    hikes, from higher interest rates on loans in euros to higher utility bills and
    more expensive homes.




    The hearings of the 27
    Commissioners-designate, officially closed


    The vote on the
    investiture of the new European Commission, headed by Ursula von der Leyen,
    will be held during the plenary session of the European Parliament on November
    27 in Strasbourg, the president of the European Parliament David Sassoli
    announced on Thursday. The Conference of Presidents, made up of the Parliament
    president and the political group leaders, Thursday concluded the hearings of
    the 26 Commissioners-designate and gave the green light for the last procedure
    required before the new Commission can start its work on December 1, one month
    later than originally scheduled. The Commission needs a majority of votes to be
    validated. On Monday, parliament’s committee on foreign affairs approved the
    candidacy of Oliver Varhelyi, put forth by Hungary for the Enlargement
    Commissioner post. On November 14, the relevant specialist committees also
    approved the candidates nominated by Romania and France: Adina Valean for
    Transport Commissioner and Thierry Breton for Internal Market Commissioner.




    New US Ambassador to Romania


    The New
    York-based lawyer Adrian Zuckerman will be the new US Ambassador to Romania,
    replacing Hans Klemm. Zuckerman was confirmed on Wednesday by the US Senate, by
    a 65-30 vote. Zuckerman immigrated to the US from Romania at the age of 10 and
    speaks fluent Romanian. In 1984, he was admitted to the New York Bar. A member
    of the Real Estate Board of New York and also involved in education and charity
    work, Adrian Zuckerman is a member of the Kids Corp Board and of the New York
    Law School alumni association.




    Radio Romania Gaudeamus Book Fair


    The 26th Gaudeamus Book
    fair organised by Radio Romania is coming to an end on Sunday. This year’s
    edition is dedicated to the
    anti-communist revolution of December 1989. Initiated by Radio Romania a
    quarter of a century ago concurrently with the Gaudeamus Book for Learning fair, the Radio
    Romania Gaudeamus project has become a landmark of the local book market. Its
    programme has expanded constantly since its inception, today featuring 116
    exhibition-type events and 13,600 different activities and attracting more than
    3 million visitors. The current edition features 900 editorial and professional
    events and brings together over 250 exhibitors. The poet Mircea Dinescu, an
    outspoken opponent of the dictatorial regime, and the actor Ion Caramitru, both
    of whom were emblematic figures of the Revolution, are the honorary
    co-presidents this year. The fair hands out three Gaudeamus trophies and a book
    of the year award, all of them based on the public’s vote. The excellence prize
    will be awarded to one of the publishing houses taking part in the fair and is
    meant to finance, either fully or partly, an editorial project of national
    importance and with international recognition. Other prizes include a
    translation award and an education award, among others.

  • La semaine du 18 au 24 novembre

    La semaine du 18 au 24 novembre

    Les Roumains sont appelés aux urnes pour élire leur futur président


    Pour les Roumains de Roumanie et du monde, c’est le weekend du second tour du scrutin présidentiel. Les deux candidats restés en lice sont l’actuel président Klaus Iohannis, soutenu par le PNL, et l’ex-première ministre sociale-démocrate, Viorica Dancila. Les électeurs se trouvant à l’étranger, notamment en Nouvelle Zélande et en Australie ont commencé à voter vendredi matin, alors que les derniers à voter seront les Roumains établis sur la côte ouest des Etats-Unis, où les bureaux de vote fermeront lundi à 7 heures du matin, heure de Bucarest. Comme ce fut le cas aussi au premier tour de scrutin, les Roumains de l’étranger ont 3 jours à leur disposition pour élire leur futur président et 835 bureaux de vote, soit presque le double par rapport aux scrutins des années précédentes. La plupart de ces bureaux se trouvent en Espagne, en Italie, en Grande Bretagne et en France. En Roumanie, la population ayant le droit de vote est appelée aux urnes uniquement le dimanche 24 novembre. Pour rappel, le taux de participation lors du premier tour du scrutin présidentiel a été de 51,19%, soit un des plus faibles jamais enregistrés en Roumanie. En revanche, les Roumains de l’étranger ont voté en très grand nombre, ils ont été plus de 675.000 à se rendre aux urnes, un chiffre record pour la diaspora.



    Minimum historique de la monnaie nationale


    La monnaie nationale roumaine, le leu a dépassé cette semaine le seuil psychologique de 4,77 lei pour un euro, soit son plus bas historique. Le leu suit cette tendance à la dépréciation depuis environ deux mois et demi. Lévolution du taux de change de ces derniers temps est un miroir de léconomie roumaine, a déclaré pour Radio Roumanie Dan Suciu, porte – parole de la Banque centrale. Et lui de préciser que la dépréciation du leu sexplique notamment par la hausse du volume des importations et donc par le déficit commercial. Le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu, déclarait, au début de ce mois, lorsque le taux de change variait entre 4,72 – 4,76 que ces variations nétaient pas importantes par comparaison avec le forint hongrois ou le zloty polonais. Les experts tablent sur un taux de change de plus de 4, 82 lei pour un euro en 2020. Cela se traduira par des hausses de prix, allant des taux d’intérêt pour les prêts en euros jusquaux charges communes et aux prix immobiliers.



    Clôture des auditions des 26 commissaires européens désignés


    Le vote dinvestiture de la nouvelle Commission européenne est prévu pour le 27 novembre en session plénière du Parlement européen à Strasbourg, a fait savoir, lors dune conférence de presse, David Sassoli, président du Parlement européen. La Conférence des présidents du Parlement européen, réunissant le président Sassoli et les dirigeants des groupes politiques, a finalisé jeudi les auditions des 26 commissaires européens désignés. Elle a également donné son feu vert au lancement de la dernière procédure nécessaire pour que le nouvel Exécutif communautaire puisse entamer son mandat le 1er décembre, soit un mois de retard par rapport au calendrier initial. La Commission sera élue à la majorité des suffrages exprimés. Lundi, la Commission aux affaires étrangères du Parlement européen a avalisé le candidat hongrois, Oliver Varhelyi, au poste de commissaire européen à lElargissement. Le 14 novembre les commissions de spécialité avaient donné leur aval au candidat roumain Adina Vălean et à celui français Thierry Breton, désignés aux portefeuilles des Transports et respectivement du Marché intérieur.



    Le nouvel ambassadeur des Etats – Unis à Bucarest


    Lavocat new-yorkais Adrian Zuckerman sera le nouvel ambassadeur des Etats Unis à Bucarest, en remplacement de Hans Klemm. Il a été confirmé, mercredi, aux fonctions dambassadeur en Roumanie par le Sénat américain, avec 65 voix pour et 30 contre. Adrian Zuckerman a émigré aux Etats Unis lorsquil avait 10 ans et parle couramment le roumain. En 1984, il a été admis au Barreau de New York. Il a été co-coordinateur du Département national de services immobiliers et aussi pour plusieurs compagnies, étant coordinateur pour des propriétés immobilières auparavant. Actif dans le domaine philanthropique et éducationnel, Adrian Zuckerman est membre du conseil Kids Corp et fait partie du Conseil des diplômés de la New York Law School.



    La Foire du livre Gaudeamus Radio Roumanie


    Bucarest accueille jusquà dimanche la 26e édition de la Foire du livre Gaudeamus-livre dapprentissage, organisée par Radio Roumanie. Cette édition marque le trentième anniversaire de la révolution de 1989 qui a mis fin au régime communiste dans le pays. Lancé il y a un quart de siècle par Radio Roumanie, le projet Gaudeamus Radio Roumanie est devenu un repère solide et constant du marché roumain du livre. Les plus de deux décennies de dialogue entre livre et radio ont diversifié et élargi en permanence les volets de ce projet, qui compte à son palmarès 116 évènements de type exposition, 3.120.000 visiteurs et plus de 13.600 manifestations culturelles. Lactuelle édition a réuni plus de 250 exposants et proposé quelque 900 évènements éditoriaux et professionnels. Le poète Mircea Dinescu, opposant au régime dictatorial et le comédien Ion Caramitru, personnalités emblématiques de la Révolution, ont été coprésidents dhonneur de ce prestigieux événement. Les Trophées Gaudeamus, attribués à trois des exposants et le prix du « Livre le plus convoité » seront accordés suite au vote du public. Quant au Prix dexcellence, décerné à lune des maisons dédition participantes, il sera destiné au financement intégral ou partiel dun projet éditorial dimportance nationale. Parmi les autres distinctions, mentionnons le prix pour la traduction, celui pour léducation ainsi que le prix Miss Lecture, accordé par les organisateurs à la plus belle visiteuse passionnée de livres.

  • Die Woche 18.11-24.11.2019 im Überblick

    Die Woche 18.11-24.11.2019 im Überblick

    In Rumänien findet am Sonntag der zweite Wahlgang der Präsidentschaftswahl statt



    Dies war die letzte Woche des Wahlkampfes für die Präsidentschaftswahl in Rumänien. Am Sonntag, den 24. November, werden die Rumänen ihren Präsidenten für die nächsten 5 Jahre wählen. In der Stichwahl treten der derzeitige Staatspräsident, Klaus Iohannis (unterstützt von der regierenden Nationalliberalen Partei PNL) und Viorica Dăncilă, die Vorsitzende der Sozialdemokratischen Partei PSD (in der Opposition) gegeneinander. Wie beim ersten Wahlgang haben die Rumänen, die au‎ßerhalb der Landesgrenzen leben, drei Tage Zeit, ihre Stimme abzugeben. Die neuen Ma‎ßnahmen wurden beschlossen, um endlose Warteschlangen wie bei den Präsidentschaftswahlen 2014 und bei der jüngsten Europawahl am 26. Mai dieses Jahres zu vermeiden. Im Ausland wurden sowohl im ersten als auch im zweiten Wahlgang 835 Wahllokale eröffnet (praktisch doppelt so viele im Vergleich zu der Präsidentschaftwahl von 2014). Im zweiten Wahlgang wurden aber einige Wahlloklale aufgrund objektiver Situationen verlegt. Zu den Ländern mit den meisten Wahllokalen gehören Spanien, Italien, Deutschland, das Vereinigte Königreich und Frankreich. In Rumänien findet die Präsidentschaftswahl am Sonntag, den 24. November, statt.



    Die rumänische Nationalwährung hat diese Woche ein historisches Tief gegenüber der europäischen Einheitswährung erreicht



    Der rumänische Leu hat diese Woche die psychologische Schwelle von 4,77 Lei für einen Euro überschritten und damit ein historisches Tief gegenüber der europäischen Einheitswährung erreicht. Der Leu hat seit zweieinhalb Monaten konstant an Wert verloren. Die negative Entwicklung des Währungskurses in letzter Zeit ist eine Widerspiegelung der rumänischen Wirtschaft, erklärte der Sprecher der Nationalbank, Dan Suciu, für Radio Rumänien. Die Hauptursache für die Abwertung des Leu seien die hohen Importe und das Handelsdefizit. Zu Beginn des Monats sagte der Gouverneur der Rumänischen Nationalbank, Mugur Isarescu, dass diese Abweichungen im Vergleich zu denen des ungarischen Forint und des polnischen Zloty, die viel grö‎ßere Schwankungen aufwiesen, gering seien. Für das nächste Jahr schätzen Experten, dass die nationale Währung weiter abnehmen wird. Ein starker Euro gegenüber dem Leu bedeutet höhere Preise, von höheren Zinsen bei Krediten in der europäischen Währung bis zu höheren Rechnungen für Heizung, Strom und Telefon und höheren Wohnungspreisen.



    Die Anhörungen der 26 designierten EU-Kommissare sind abgeschlossen



    Das Europäische Parlament wird am 27. November in einer Plenarsitzung über die Bestätigung der neuen Europäischen Kommission unter der Leitung von Ursula von der Leyen abstimmen. Dies erklärte der Präsident des Europäischen Parlaments, David Sassoli auf einer Pressekonferenz. Die Konferenz der Präsidenten des Europäischen Parlaments, an der David Sassoli und die Fraktionsvorsitzenden teilnehmen, hat am Donnerstag die Anhörungen der 26 designierten EU-Kommissare abgeschlossen und grünes Licht für das letzte Verfahren gegeben, damit die neue Europäische Kommission ihr Mandat am 1. Dezember beginnen kann, einen Monat später als ursprünglich vorgesehen. Die Kommission wird mit der Mehrheit der im Plenum abgegebenen Stimmen gewählt. Der Ausschuss für auswärtige Angelegenheiten des Europäischen Parlaments hat am Montag den ungarischen Kandidaten Oliver Varhelyi für das Amt des EU-Kommissars für Erweiterung bestätigt. Am 14. November erhielten die Kandidaten Adina Vălean aus Rumänien (Verkehr) und Thierry Breton aus Frankreich (Binnenmarkt) positive Stellungnahmen der Fachkommissionen.



    Adrian Zuckerman wird der neue US-Botschafter in Bukarest



    Der New Yorker Rechtsanwalt Adrian Zuckerman wird der neue US-Botschafter in Bukarest sein, anstelle von Hans Klemm. Adrian Zuckerman wurde am Mittwoch vom US-Senat mit 65 Stimmen dafür und 30 Stimmen dagegen als Botschafter in Rumänien bestätigt. Zuckerman ist im Alter von 10 Jahren aus Rumänien in die Vereinigten Staaten ausgewandert und spricht flie‎ßend Rumänisch. 1984 wurde er als Rechtsanwalt in New York zugelassen. Au‎ßerdem war er Mit-Koordinator bei der Abteilung für nationale Immobiliendienstleistungen und bei mehreren Unternehmen; zuvor war er Koordinator für Immobilien. Adrian Zuckerman ist in den Bereichen Philanthropie und Bildung tätig; er ist Vorstandsmitglied bei Kids Corp sowie beim New York Law School Graduate Council.



    Die 26. Ausgabe der Gaudeamus-Buchmesse geht zu Ende



    In Bukarest geht am Sonntag die 26. Ausgabe der Gaudeamus-Buchmesse zu Ende. Die 2019-Ausgabe der Gaudeamus-Buchmesse, die von Radio Rumänien organisiert wird, wurde der antikommunistischen Revolution von 1989 gewidmet. Das Projekt Gaudeamus Radio Rumänien, das zusammen mit der Lehrbuchmesse Gaudeamus – Das Buch zum Lernen vor etwa 25 Jahren von Radio Rumänien initiiert wurde, ist zu einem soliden und konstanten Meilenstein auf dem Buchmarkt des Landes geworden. Der mehr als zwei Jahrzehnte dauernde Dialog zwischen Buch und Radio hat die Bestandteile des Programms, das heute 116 kulturelle Veranstaltungen der Ausstellungsart, über 13.600 Kulturevents und über 3 Millionen Besucher umfasst, permanent diversifiziert und erweitert. 900 redaktionelle und fachliche Veranstaltungen und über 250 Aussteller beteiligten sich an der diesjährigen Ausgabe der Buchmesse Gaudeamus. Der Dichter Mircea Dinescu, ein offener Gegner des diktatorischen kommunistischen Regimes, und der Schauspieler Ion Caramitru, zwei emblematische Figuren der Rumänischen Revolution, sind ehrenamtliche Vorsitzende der Buchmesse. Drei Aussteller werden Gaudeamus-Trophäen erhalten. Hinzu kommt der Preis Das begehrteste Buch der Gaudeamus-Messe”, basierend auf der Publikumsabstimmung. Der Exzellenzpreis wird an einen der auf der Buchmesse anwesenden Verlage vergeben und dient der vollständigen oder teilweisen Finanzierung eines redaktionellen Projekts von nationaler Bedeutung mit internationalem Echo. Verliehen werden auch der Preis für Übersetzung, der Preis für Bildungstätigkeit und der Preis Miss Lektüre”, für die schönste Messebesucherin.

  • Romanian leu sees record low

    Romanian leu sees record low

    Romania’s
    national currency, the leu, has exceeded the psychological threshold of 4.77 for
    one euro, thus reaching a historic low against the European single currency.
    The leu has been constantly depreciating for the last two months and a half.
    The governor of the National Bank of Romania Mugur Isarescu said at the
    beginning of the month, when the leu was fluctuating between 4.72 and 4.76 for
    one euro, that these variations are minor compared with those of the Hungarian
    forint and the Polish zloty, which have seen much bigger fluctuations.




    The new finance
    minister Florin Citu also says the fluctuation of the leu-euro exchange rate is
    not very high given that it depends more on the international context, but that
    there are other negative figures, such as those concerning the national
    industrial sector which can be said to have entered into recession. The
    minister says the Romanian economy is growing at a rate of 3% instead of the
    5.5% estimated in the budget, the level of foreign investment is lower after
    nine months compared with last year and industry already has three quarters
    with negative figures. Florin Citu believes, however, that it’s best for the
    national currency to be self-regulating, something seen in the figures.




    We recall that
    at the beginning of the year, the record low exchange rate reported in January
    was 4.76 lei for one euro, which is very similar to what we’re seeing now. It’s
    worth mentioning that the national currency was also depreciating at the time
    against the US dollar and the Swiss franc. On the other hand, analysts noted in
    a report for investors published in October that if the pressure on the leu is
    maintained with an exchange rate of over 4.73 and if it later reaches 7.7, the
    leu may then depreciate even further to 4.8 for one euro in the short or medium
    run. They say the same thing now, when the leu has reached a new record low.
    However, analysts also say that it’s a good thing that the historic lows seen
    this week, last week or at the beginning of the year are very small, with the
    depreciation from one day to another being very low.




    Overall, since
    the beginning of the month, the Romanian currency has lost 1.5 bani against the
    euro. Next year it is estimated that the euro will exceed 4.82 lei. A strong
    euro compared with the leu means a chain of price hikes, experts also say, from
    higher interest rates on loans in euros to higher utility bills and more
    expensive homes.

  • Minimum historique de la monnaie nationale

    Minimum historique de la monnaie nationale

    La monnaie nationale roumaine, le leu, a dépassé le seuil psychologique de 4,77 lei pour un euro, soit son plus bas historique. Le leu suit cette tendance à la dépréciation depuis environ deux mois et demi, période dans laquelle il a perdu 5 bani face à la monnaie unique européenne. Le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu, déclarait, au début de ce mois, lorsque le taux de change variait entre 4,72 – 4,76, que ces variations nétaient pas importantes par comparaison avec le forint hongrois ou le zloty polonais.


    Se référant à ces fluctuations, le nouveau ministre des Finances, Florin Cîțu, affirmait quelles navaient pas été considérables, puisquelles dépendent beaucoup du contexte international. Il a également précisé que la Roumanie enregistrait dautres chiffres négatifs aussi et donné lexemple du secteur industriel qui est entré en récession. Et lui dajouter que léconomie roumaine connaît une croissance de 3%, contre les 5,5% prévus dans le budget et que le volume des investissements étrangers sur les neuf premiers mois de lannée en cours est inférieur à celui de 2018. Pourtant, de lavis de Florin Cîţu, le mieux cest que la monnaie nationale soit libre, ce dont les chiffres témoignent largement.


    Rappelons quen début dannée le taux de change minimum record du mois de janvier a été de plus de 4,76 lei pour un euro, donc très proche du niveau actuel. La devise nationale avait perdu du terrain y compris face au dollar américain et au franc suisse.


    Par ailleurs, dans un rapport dressé en octobre dernier à lintention des investisseurs, les analystes notaient que si la pression sur le leu se maintenait à un taux de change supérieur à 4,73 et quil atteigne ultérieurement le seuil de 4,77, il se peut que cette dégringolade se poursuive jusquà 4,8 lei pour un euro, sur le moyen ou le long terme. Cest ce quils soutiennent à présent aussi, dans la foulée de ce nouveau plus bas historique.


    Les analystes voient le bon côté de laffaiblissement constant du leu, en ce sens que les fluctuations nont pas été spectaculaires. Depuis le début du mois de novembre, la dévaluation de la monnaie nationale roumaine face à celle européenne a été de plus de 1, 5 bani. Les experts tablent sur un taux de change de plus de 4, 82 lei pour un euro en 2020. Cela se traduira par des hausses de prix, allant des taux d’intérêt pour les prêts en euros jusquaux charges communes et aux prix immobiliers. (Trad. Mariana Tudose)