Tag: Leu

  • 11.03.2015

    11.03.2015

    Dollars — Au bout de 8 jours de hausse consécutive, la monnaie américaine a atteint un maximum historique de 4,12 lei. Les experts financiers estiment que le renforcement du dollar par rapport aussi bien à la monnaie nationale qu’à l’euro continuera après la décision de la Banque centrale européenne d’injecter des liquidités sur le marché. L’euro poursuivra sa dépréciation par rapport aux autres monnaies nationales et le leu se dépréciera par rapport au dollar. La Banque centrale européenne a lancé lundi un programme de 1.100 milliards d’euros, censé principalement redresser l’économie de la zone euro et éviter la déflation dans l’UE. Le programme se propose la relance de l’économie dans la zone euro. Pour les consommateurs, l’appréciation du dollar entraînera notamment une majoration du prix des carburants.



    Motion — La Chambre des députés doit se prononcer aujourd’hui sur la motion simple avancée par l’opposition libérale au sujet des fonds européens. Les signataires du document demandent, entre autres, au ministre Eugen Teodorovici d’expliquer devant le Parlement le faible taux d’absorption. Les initiateurs de la motion affirment que dans l’exercice budgétaire actuel, la Roumanie ne fait que répéter les mêmes erreurs que dans le précédent et qui l’ont située en queue du peloton européen.



    Référendum — Aucune violation de la loi n’est intervenue au moment du référendum de 2012 organisé pour la démission du chef de l’Etat, a affirmé le leader du PSD et premier ministre roumain, Victor Ponta, après son audition par la Haute Cour de cassation et de justice en tant que témoin dans le dossier « Le Référendum ». Le vice premier ministre Liviu Dragnea et 74 personnes sont jugés dans la même affaire. Liviu Dragnea a été traduit en justice par les procureurs anti-corruption le 7 octobre 2013 sous l’accusation d’avoir usé de son influence pour incliner la balance en faveur du pouvoir. Plusieurs membres ou anciens membres du PSD impliqués à l’époque dans la campagne pour la consultation populaire ont été également cités comme témoins. Bien que 87% des électeurs se soient prononcés en faveur de la démission de Traian Basescu, le référendum de 2012 n’a pas obtenu la validation, en l’absence du quorum requis. Selon le Bureau électoral central, la présence aux urnes s’était montée à 46, 24% du nombre des électeurs, un pourcentage en dessous de la majorité requise.



    Exercice — Un exercice conjoint des fantassins roumains et américains se poursuit aujourd’hui à Babadag, dans le sud-est de la Roumanie. Appelé « Black Sea Rotation Force », l’exercice s’inscrit dans le programme d’envergure que le Commandement de l’Infanterie marine des Etats-Unis en Europe organise dans la région de la mer Noire, des Balkans et du Caucase. Déroulées chaque année, les manœuvres réunissent des militaires de Roumanie, Bulgarie, Géorgie, Lettonie, Lituanie, Royaume Uni et Etats-Unis. Les exercices se déroulent en Bulgarie, Géorgie et Roumanie. Par ailleurs, des forces navales des marines roumaine, bulgare, turque, canadienne, allemande, italienne et américaine participent à un exercice déroulé par l’Alliance dans les eaux de la mer Noire. Ces exercices s’inscrivent dans le cadre d’une visite programmée pour l’entraînement et en tant que mesure d’assurance à l’intention des pays de l’Alliance riverains de la mer Noire.



    Tennis — La joueuse roumaine de tennis Monica Niculescu rencontre ce mercredi la Serbe Alexandra Krunic, au premier tour du tournoi de tennis d’Indian Wells doté de prix de plus de 5 millions de dollars. En cas de victoire, Niculescu affrontera par la suite Serena Williams. La Roumaine Simona Halep, numéro trois au classement WTA, intégrera la compétition directement au deuxième tour. Par ailleurs, le joueur roumain de tennis Victor Hanescu affrontera dans les qualifications le Géorgien Nikoloz Basilachvili.

  • A la une de la presse roumaine – 21.01.2015

    A la une de la presse roumaine – 21.01.2015

    Les retombées de l’envolée du franc suisse face à l’euro et au leu roumain font la Une de la presse nationale. Les responsables politiques cherchent des solutions à ce que s’avère être une nouvelle leçon d’économie de marché. Entre temps, un Roumain a réussi à vaincre en Justice le taux de change du franc du Pays des Cantons. Cette victoire ne met toutefois pas un terme à la guerre …


  • 16.01.2015 (mise à jour)

    16.01.2015 (mise à jour)

    Réunion — Le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg a salué ce vendredi la contribution des militaires roumains aux missions de l’Alliance atlantique en Afghanistan et au Kosovo. Après la réunion de Bruxelles avec le président Klaus Iohannis, le responsable de l’OTAN a qualifié la Roumanie d’allié fort et salué la décision des autorités de Bucarest d’allouer 2% du PIB à la défense. A son tour, le président Iohannis a estimé que sur la toile de fond de la crise ukrainienne, l’OTAN devrait confirmer sa solidarité par des actions fermes. Le président roumain a plaidé pour ce qu’il a appelé le soutien continu de l’OTAN à ses voisins de l’est : les ex-républiques soviétiques Ukraine, République de Moldova et Géorgie. Jeudi, M Iohannis s’est entretenu avec les présidents du Conseil européen, Donald Tusk, et de la Commission européenne, Jean Claude Juncker, affirmant que la Roumanie pouvait et devrait devenir membre de l’espace Schengen. Le président roumain fait sa première visite aux institutions européennes et euro-atlantiques après son investiture le mois dernier.



    Condoléances — Le président roumain Klaus Iohannis a signé, vendredi, dans le livre de condoléances ouvert à l’ambassade d’Ukraine de Bucarest à la mémoire des victimes des attentats perpétrés par les séparatistes de ce pays contre la population civile dans l’est de ce pays. La Roumanie condamne fermement les attaques sur les civils, victimes innocentes d’un conflit sanglant, et renouvelle l’appel au dialogue en Ukraine et à trouver une solution politique censée éviter les pertes de vies humaines, a écrit le chef de l’Etat. Selon lui, Bucarest soutiendra toujours l’Ukraine, voisine et amie, indépendante et souveraine, ses aspirations européennes et euro-atlantiques. Jeudi a été décrété journée de deuil national en Ukraine, à la mémoire des personnes tuées à Donbas (est) — théâtre d’un conflit armé entre les forces gouvernementales et les insurgés pro-russes — notamment des 12 civils tués, mardi, dans une attaque des séparatistes à proximité de la localité de Volnovaha (région de Donetsk).



    Justice — Le ministre roumain de la Justice, Robert Cazanciuc a déclaré ce vendredi pour la Radio publique roumaine que le rapport de la Commission européenne sur la justice roumaine réalisé dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification, sera positif pour la deuxième année de suite. Aux dires du ministre roumain, l’évaluation affirme que la Roumanie dispose d’un système judiciaire indépendant et d’institutions efficaces d’application de la loi. La Roumanie est aujourd’hui un exemple de bonnes pratiques dans le domaine de la Justice — a également déclaré le ministre Cazanciuc. Celui-ci devrait parler lundi et mardi à Bruxelles avec des responsables de la Commission européenne sur le prochain rapport de l’exécutif européen sur la Roumanie. Les efforts de lutte contre la corruption et de réforme de la justice roumaine sont suivis par le biais du Mécanisme de coopération et de vérification depuis 2006.



    Bourses — Les bourses asiatiques ont terminé leurs séances de vendredi à la baisse après que la Banque nationale de Suisse a renoncé, jeudi, au seuil minimum de 1,20 francs pour un euro. La décision a provoqué une appréciation de 30% de la monnaie suisse. Bien qu’en légère baisse par rapport à la journée précédente, vendredi, sur les marchés asiatiques, le rapport entre la monnaie suisse et l’euro était de presque 1 à 1. Aux bourses d’Europe Centrale et de l’Est, les monnaies et les actions des banques ont connu une forte baisse. Le leu roumain et le forint hongrois ont atteint des minima historiques par rapport au franc suisse, note aussi Bloomberg. Plus de 150.000 Roumains ont souscrit des crédits en francs suisses et ils sont affectés par l’appréciation importante de la monnaie suisse.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine, Simona Halep, numéro trois mondial, rencontrera l’Italienne Karin Knapp dans le round inaugural de l’Open d’Australie, le premier Grand Chelem de l’année qui doit commencer ce lundi. L’année dernière, Halep a avancé jusqu’aux quarts de finale de la compétition. Par ailleurs, le double formé par le Roumain Horia Tecau et le Néerlandais Jean-Julien Rojer s’est qualifié dans la finale du tournoi de Sydney, après avoir remporté vendredi la demi-finale contre les Polonais Robert Lindstedt et Marcin Matkowski. Un autre joueur roumain, Florin Mergea et le Britannique Dominic Inglot se sont également qualifiés vendredi dans la finale de double du tournoi d’Auckland, en Nouvelle Zélande, après la victoire contre Marcelo Melo du Brésil et Maxi Mirnyi du Belarus.



  • 16.01.2015

    16.01.2015

    Réunion — Le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg a salué aujourd’hui la contribution des militaires roumains aux missions de l’Alliance atlantique en Afghanistan et au Kosovo. Après la réunion de Bruxelles avec le président Klauis Iohannis, le responsable de l’OTAN a qualifié la Roumanie d’allié fort et salué la décision des autorités de Bucarest d’allouer 2% du PIB à la défense. A son tour, le président Iohannis a estimé que sur la toile de fond de la crise ukrainienne, l’OTAN devrait confirmer sa solidarité par des actions fermes. Le président roumain a plaidé pour ce qu’il a appelé le soutien continu de l’OTAN à ses voisins de l’est : les ex-républiques soviétiques Ukraine, République de Moldova et Géorgie. Jeudi, M Iohannis s’est entretenu avec les présidents du Conseil européen, Donald Tusk, et de la Commission européenne, Jean Claude Juncker, affirmant que la Roumanie pouvait et devrait devenir membre de l’espace Schengen. Le président roumain fait sa première visite aux institutions européennes et euro-atlantiques après son investiture le mois dernier.



    Justice — Le ministre roumain de la Justice, Robert Cazanciuc a déclaré aujourd’hui pour la radio publique roumaine que le rapport de la Commission européenne sur la justice roumaine réalisé dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification, sera positif pour la deuxième année de suite. Aux dires du ministre roumain, l’évaluation affirme que la Roumanie dispose d’un système judiciaire indépendant et d’institutions efficaces d’application de la loi. La Roumanie est aujourd’hui un exemple de bonnes pratiques dans le domaine de la Justice — a également déclaré le ministre Cazanciuc. Celui-ci devrait parler lundi et mardi à Bruxelles avec des responsables de la Commission européenne sur le prochain rapport de l’exécutif européen sur la Roumanie. Les efforts de lutte contre la corruption et de réforme de la justice roumaine sont suivis par le biais du Mécanisme de coopération et de vérification depuis 2006.



    Franc — Les bourses asiatiques ont termine en baisse aujourd’hui après la décision de la Banque nationale suisse (BNS) de supprimer son taux plancher de la monnaie suisse face à son homologue européenne, fixé jusqualors à 1,20 franc suisse pour un euro, ce qui a provoqué une bond de 30% du franc suisse et bouleversé le marché des changes. Ce matin le rapport du franc suisse face à l’euro était de près de 1 à 1, sur les marchés asiatiques, malgré une légère baisse par rapport à la journée précédente. Aux bourses d’Europe centrale et de l’est, les monnaies et les actions des banques ont également chuté ce jeudi. Le leu roumain et le forint hongrois ont atteint des niveaux minimum historiques par rapport au franc suisse, fait savoir Bloomberg. Cette situation concerne particulièrement les plus de 150 mille Roumains qui avaient contracté des crédits en francs.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine, Simona Halep, numéro trois mondial, rencontrera l’Italienne Karin Knapp dans le round inaugural de l’Open d’Australie, le premier Grand Chelem de l’année qui doit commencer ce lundi. L’année dernière, Halep a avancé jusqu’aux quarts de finale de la compétition. Par ailleurs, le double formé par le Roumain Horia Tecau et le Néerlandais Jean-Julien Rojer s’est qualifié dans la finale du tournoi de Sydney, après avoir remporté vendredi la demi-finale contre les Polonais Robert Lindstedt et Marcin Matkowski. Un autre joueur roumain, Florin Mergea et le Britannique Dominic Inglot se sont également qualifiés vendredi dans la finale de double du tournoi d’Auckland, en Nouvelle Zélande, après la victoire contre Marcelo Melo du Brésil et Maxi Mirnîi du Belarus.



  • Jurnal românesc – 8.01.2015

    Jurnal românesc – 8.01.2015

    Preşedintele Klaus Iohannis va participa, la Iaşi, la manifestările prilejuite de Ziua Unirii Principatelor Române, 24 ianuarie, urmând să ajungă in oras direct de la Chişinău, unde va face o vizită oficială, în perioada 22-23 ianuarie. Vizita in Rep Moldova este prima pe care seful statului roman o face in afara granitelor, in calitate oficiala.




    Fabrica de automobile Dacia-Renault a deschis primul său centru de vânzări la Tel Aviv, în Israel, ţara fiind a 44-a piaţă pe care marca deţinută de grupul francez Renault este prezentă. În 2015, Dacia-Renault anticipează că va mai deschide alte două showroom-uri în Israel, precum şi mai multe puncte de vânzare în anumite centre Renault din ţară.




    Nava petrolieră la bordul căreia se află trupul neînsufleţit al cetăţeanului român, decedat la sfârşitul săptămânii trecute, în Libia, a sosit miercuri seara, în portul grecesc, Pireu. Sicriul marinarului va ajunge, ulterior, in Romania. Autorităţile elene au deschis o anchetă preliminară în acest caz, deoarece in incidentul de duminică şi-a pierdut viaţa, alături de român, şi un grec. Forţele libiene şi-au asumat responsabilitatea atacului asupra navei, în care au murit cei doi marinari, argumentând că echipajul petrolierului, cu 26 de membri la bord, nu a respectat ordinele de a se opri pentru verificar, înainte de intrarea vasului în port.




    Banca Naţională a României a decis să reducă, începând de joi, dobânda de politică monetară de la 2,75 la 2,5%, un nou minim istoric. Totodată, Banca Centrală a hotărât menţinerea nivelurilor actuale ale ratelor rezervelor minime obligatorii aplicabile pasivelor în lei şi în valută ale instituţiilor de credit. Rata medie anuală a inflaţiei, determinată pe baza indicelui armonizat al preţurilor de consum, indicator relevant pentru evaluarea procesului de convergenţă cu Uniunea Europeană, s-a menţinut la nivelul de 1,4%. Cursul de schimb al monedei naţionale faţă de euro s-a menţinut stabil pe parcursul anului 2014, iar ritmul anual de creştere al creditului în moneda naţională s-a majorat.




    Cei mai merituoşi studenţi, masteranzi şi doctoranzi români care învaţă în toate colţurile lumii şi în România sunt premiaţi, joi, la Gala Ligii Studenţilor Români din Străinătate, care se va desfăşura la Palatul Parlamentului. Premiile vor fi acordate studenţilor români cu experienţă academică şi extracurriculară la cel mai înalt nivel pentru următoarele categorii: Studentul Român al Anului din America de Nord, Studentul Român al Anului din Europa, Studentul Român al Anului de pe alte continente, Studentul Român Erasmus al Anului, Studentul Anului în România, Premiul Special în Arte, Studentul Român al Anului în Străinătate. Totodată, la eveniment vor urca pe scenă tineri artişti români de renume internaţional, alături de care invitaţii şi membrii Ligii vor sărbători 6 ani de activitate a LSRS

  • Efecte economice ale crizei din Ucraina

    Rusia a luat o decizie spectaculoasă pentru a salva rubla şi pentru a mai atenua criza monedei naţionale, care ameninţă economia. Banca Centrală a majorat dobânda de politică monetară la nivelul record de 17%, în condiţiile în care, în ultima perioadă, rubla a atins noi minime istorice în raport cu euro şi cu dolarul, pe fondul sancţiunilor economice occidentale legate de criza ucraineană si a scăderii preţului petrolului. Potrivit analiştilor de la Bloomberg, este cea mai mare creştere a ratei dobânzii cheie într-o singură zi, din 1998.



    De la începutul crizei, moneda rusă s-a depreciat cu peste 45% faţă de dolar, respectiv peste 40% faţă de euro. Decizia Băncii centrale a vizat limitarea deprecierii considerabile a rublei, care, în pofida intervenţiilor masive de susţinere, a coborat, luni, pentru prima dată, la 60 de unităţi pentru un dolar american, respectiv 75 de unitati pentru un euro. Pe de altă parte, luni, la Bruxelles,.premierul ucrainean Arseni Iaţeniuk a solicitat un nou ajutor financiar de urgenţă de la UE pentru a evita intrarea în incapacitate de plată a ţării sale.



    În prezent, rezervele valutare ale Ucrainei sunt la cel mai scăzut nivel din ultimii zece ani, urmare a rambursării datoriilor pentru gazele naturale livrate de Rusia, dar şi a eforturilor de susţinere a cursului de schimb al hrivnei. În plus, economia ucraineană a fost afectată şi de costul luptelor cu separatiştii proruşi din estul ţării. Efectele crizei ruso-ucrainiene s-au facut simtite şi pe pieţele valutare din regiune, monedele nationale din Republica Moldova, Romania, Polonia, Ungaria înregistrând deprecieri semnificative în ultima perioadă. Guvernatorul Băncii Naţionale a Republica Moldova, Dorin Drăguţeanu, a spus că leul moldovenesc va continua să se deprecieze în raport cu principalele valute de referinţă.


    Piaţa este influenţată de anumiţi factori fundamentali şi aceştiai nu pot fi eliminaţi prin măsuri administrative. Noi suntem în nişte condiţii destul de dificile, cum se spune, dacă la Moscova cineva strănută, noi la Chişinău facem guturai.”



    Doar în ultima săptămână, leul moldovenesc a pierdut 1,4% în raport cu dolarul american, iar de la începutul anului, s-a depreciat cu aproximativ 18%. Şi leul românesc a atins, luni, cel mai slab nivel faţă de euro din ultimele 8 luni. Situaţia a fost generată într-un context de depreciere regională, determinată de atitudinea mai precaută a investitorilor străini, au explicat analiştii economici. Preşedintele Asociaţiei Analiştilor Financiar-Bancari din România, Radu Crăciun, consideră că evoluţia cursului din ultimele zile s-a înscris într-o tendinţă regională. Mişcări similare au putut fi observate şi pe zlotul polonez sau pe forintul maghiar.

  • L’adoption de l’euro en Roumanie

    L’adoption de l’euro en Roumanie

    En dépit du fait que l’euro n’a pas encore été adopté en Roumanie, la monnaie unique européenne est déjà une réalité de la vie quotidienne des Roumains car 70% des emprunts accordés par le système bancaire sont en euros. C’est toujours en euros qu’on calcule les prix, à partir de la téléphonie mobile et des meubles jusqu’aux voitures et logements, de sorte que les transactions en matière de voitures, terrains et maisons se font en rapport direct à la monnaie unique européenne.



    A partir du mois de mai de cette année, la Roumanie s’est fixé comme cible d’adopter l’euro le 1er janvier 2019 . Cette annonce a été faite à Bruxelles par l’ex-ministre délégué au budget, Liviu Voinea, lors d’une réunion des ministres des finances et de l’économie des 28 Etats communautaires après avoir acquis le consensus entre le président roumain et le gouvernement. A son tour, le gouverneur de la Banque Nationale roumaine, Mugur Isàrescu, dit que notre pays a besoin d’un nouveau projet national en ce sens , semblable à celui concernant l’adhésion à l’Union Européenne :


    “Un projet national ambitieux et une cible sont nécessaires, nous avons besoin d’un ancre et d’un catalyseur des réformes. Pourtant, ce projet ne doit pas demeurer une simple circulaire ni ne doit être un consensus politique verbal comme à présent mais doit se concrétiser en un véritable programme de développement économique de la Roumanie discuté au Parlement ou sous forme d’un programme comme fut le programme de 2001 pour intégrer l’UE.” Le gouverneur affirme qu’actuellement la Roumanie remplit les cinq critères de convergence nominale nécessaires à l’adoption de l’euro ou les critères établis dans la Traité de Maastricht.



    La dette publique est inférieure à 60% du PIB et le déficit budgétaire est inférieur à 3% du PIB. La Roumanie remplit, également, la condition concernant les taux d’intérêt auxquels elle emprunte à long terme et celle visant l’inflation qui ne doit pas dépasser 1,5% de la moyenne des pays les plus performants de la zone euro. La condition concernant la fluctuation de la devise nationale par rapport à l’euro est, également, remplie. Le gouverneur Isàrescu dit qu’à partir du 1-er janvier 2017 la devise nationale roumaine doit intégrer, deux années durant, le Mécanisme Européen des taux de Change, ERM II , au sein duquel le leu ne doit fluctuer que dans un intervalle de +/- 15% vis-à-vis de l’euro. L‘analyste économique Constantin Rudnitzky exprime ses opinions à l’égard de l’adoption de l’euro par la Roumanie :


    “La Roumanie s’est fixé comme cible 2019. Il est pour moi difficile d’anticiper si cet objectif sera atteint ou non. Des arguments existent, pro et contre. Les pro viennent du fait que l’intégration de ce groupe relativement select des pays utilisant la monnaie européenne mènerait, sans doute, à un plus de compétitivité pour l’économie roumaine. La grande question demeure si l’économie roumaine est préparée pour le faire. Là , aussi, il y a des arguments pro et contre. Si on compte les pro, on voit que l’économie roumaine est dominée par les grands joueurs internationaux, surtout européens, et, de ce point de vue, elle est préparée. L’économie roumaine compte quelques 70% d’exportations vers l’Union Européenne , échanges intracommunautaires, ce qui veut dire qu’elle est préparée. Il y a des signes d’interrogation, pourtant, à l’égard du train de vie. Nous constatons que des décalages ont été récupérés mais il y en a encore à récupérer, depuis le niveau des salaires qui se trouve quelque part à la moitié de celui européen, jusqu’au niveau des retraites ou l’ensemble de la structure sociale, s’agissant ici de l’éducation, de la santé, qui, à ce que nous pouvons constater, sont assez loin des normes les plus élevés de l’Union Européenne. Dans ce cas, donc, les craintes viennent de ce zones qui signifient la convergence réelle, niveau de vie et système social pas encore adapté aux normes supérieures de l’Union Européenne.”



    A son tour, l’économiste en chef de la Banque Nationale roumaine, Valentin Lazea, apprécie que pour être acceptée dans la zone euro ; notre pays doit attendre un niveau minimum de 60% de la moyenne européenne en matière de PIB par habitant :


    “Pour parvenir à 60% de la moyenne de l’Union Européenne en matière de PIB par habitant ajusté au pouvoir d’achat , la Roumanie devrait croître pendant 9 ou 10 ans de 2% plus vite que la moyenne de l’Union Européenne. Ce serait la cadence. Par exemple, lorsque l’Union Européenne se reprendra et va marquer une croissance de 1,5%, la Roumanie devra se développer de 3,5% par an. Sommes-nous actuellement sur la position de garantir une croissance de 3,5% ? Non ! Le PIB potentiel se trouve quelque part vers 2% par an.”



    Quant à l’adhésion de la Roumanie à la zone euro, le président du conseil Fiscal, Ionut Dumitru, estime que le chois de 2019 comme moment pour attendre cet objectif impose des mesures capables d’implémenter de manière plus accentuée les réformes structurelles, indispensables pour une plus rapide absorption des fonds européens, pour rendre plus efficaces l’activité des compagnies d’Etat et pour accroître la compétitivité et l’assainissement des finances publiques :


    “Si nous regardons la situation du point de vue strictement économique, 2019 semble une cible non-réaliste. Si nous y ajoutons les raisons politiques et stratégiques , peut-être bien qu’il faudrait avoir une cible très ambitieuse. Ce n’est pas impossible mais la Roumanie doit faire preuve d’une très rapide convergence dans les années, peu nombreuses, qui sont encore à notre disposition.” Ionut Dumitru précise encore que pour récupérer rapidement les décalages qui nous séparent des pays développés il conviendrait des rythmes de croissance de 4% à 5% chaque année dans la période suivante. (aut :Stefan Baciu, Cristian Mihu, trad. Costin Grigore)


  • Nationalbank-Eingriff: Leitzins gesenkt und Inflationsprognose nach unten korrigiert

    Nationalbank-Eingriff: Leitzins gesenkt und Inflationsprognose nach unten korrigiert

    Die Nationalbank Rumäniens (kurz: BNR) hat den Leitzins ab Dienstag um 0.25 Prozentpunkte auf 3.25% gesenkt. Bereits im Februar hatte die Zentralbank den Leitzins von 3.75 auf 3.5% gedrückt. Vor diesem Hintergrund rät die BNR den Handelsbanken von einer Reduzierung der Einlagenzinssätze ab. Notenbankchef Mugur Isărescu erklärt die Beweggründe für die Ma‎ßnahme.



    Unsere Botschaft lautet wie folgt: Die Banken müssen verstehen, dass sie einen relativ schmerzhaften Prozess durchgemacht haben, mit hoher Abhängigkeit von externen Finanzierungsquellen, einschlie‎ßlich von den Mutterbanken. Wir verlangen von den Banken eine Vision, sie sollten diesmal kundennah handeln, ihre Kreditgrundlage stärken und gemeinsam mit den Kunden an der Identifizierung tragfähiger Projekte arbeiten. Die Behauptung, es gebe keine Projekte in Rumänien, scheint eher ein Vorwand zu sein. Es ist auch ihre Pflicht, wie man sagt, ein wahres Business-Umfeld zu schaffen, wenn sie mit den Kunden zusammenarbeiten.”



    Die Zentralbank hat zudem beschlossen, die Mindestreservensätze der Kreditanstalten für Passiva beizubehalten. Das gilt sowohl für den Reservensatz von 12% für Passiva in der Landeswährung als auch für den Reservensatz von 16% für Passiva in Devisen. Gleichzeitig korrigierte die BNR die Inflationsprognose für dieses Jahr von 3.3 auf 2.2% nach unten. Die Prognose für 2015 lautet jetzt 3%. Unter diesen Voraussetzungen könnte die Nationalbank eine weitere Senkung des Leitzinses vornehmen, da der Abwärtstrend auf dem sich die Inflation gerade bewege langfristig sei, sagte Mugur Isărescu. Au‎ßerdem werde die BNR bei zukünftigen Entscheidungen die Tatsache berücksichtigen, dass die Einlagenzinssätze der Banken in vielen Ländern negativ sind. Dabei würden die Banken in Rumänien bei Senkungen des Leitzinses eher die Einlagenzinssätze reduzieren als die Kreditzinssätze.



    Indes hat der Chefökonom der BNR, Valentin Lazea, in einem Interview mit der Nachrichtenagentur Agerpress erklärt, dass Rumänien zum ersten Mal alle fünf Nennkriterien für die Einführung des Euro erfülle, einschlie‎ßlich des Inflationskriteriums. Auch bei den Konvergenzkriterien für den Beitritt zum Euro-Raum stünde Rumänien gut da. Allerdings sei das Land langfristigen Risiken ausgesetzt, die das Lagebild stören könnten, so Lazea. Alle Faktoren, die zur Entstehung des potentiellen Bruttoinlandsproduktes beitragen, seien im Verfall begriffen, bzw. das Kapital, die Arbeitskräfte und die Produktivität, warnte der Chefökonom der Nationalbank. Als Ma‎ßnahme für die Erholung der Kapitalsituation empfahl er ein beschleunigtes Abrufen der europäischen Fördergelder sowie Anreize für direkte Fremdinvestitionen. Die Verbesserung der Lage der Arbeitskräfte setze ferner effiziente pronatalistische Ma‎ßnahmen und Einwanderungspolitiken voraus, während die Produktivität nicht ohne eine tiefgründige Reform des Bildungssystems steigen könne, erklärte Lazea abschlie‎ßend.

  • Rumänien erfüllt nicht alle Kriterien zum Euroraum-Beitritt

    Rumänien erfüllt nicht alle Kriterien zum Euroraum-Beitritt

    Selbst wenn Rumänien den Euroraum-Beitritt anstrebt, erfüllt das Land nicht alle erforderlichen Beitrittskriterien. Laut dem EU-Abkommen überprüft die Europäische Kommission jedes zweite Jahr oder auf Ansuchen eines Mitgliedstaates, ob alle Kriterien zur Einführung der europäischen einheitlichen Währung erfüllt werden. Die Europäische Kommission stellt in ihrem letzten Konvergenzbericht fest, dass die Fortschritte Bulgariens, Tschechiens, Kroatiens, Litauens, Ungarns, Polens, Rumäniens und Schwedens, alles Staaten, die den Euro einführen wollen, nicht auf demselben Niveau liegen. Dem besagten Bericht zufolge erfülle Rumänien zwei von den fünf Konvergenzkriterien zur Einführung der gemeinsamen europäischen Währung nicht.



    Es handelt sich um die Inflation und um den Wechselkurs. Rumänien erfülle dennoch die erforderlichen Kriterien angesichts des Handelsdefizites, der öffentlichen Schulden und der langfristigen Realzinsen. Dem Bericht zufolge lag der durchschnittliche Wert der Inflation in den letzten 12 Monaten und bis April 2014 bei 2,1%, d.h. über dem Referenzwert von 1,7%. Das ist der berechnete Durchschnitt der Inflationsraten in Litauen, Portugal und Irland in den letzten 12 Monaten plus 1,5%. Die Europäische Kommission schätzt einen Anstieg der Inflationsrate bis zu 3,3% im Jahr 2015. Der EU-Bericht zeigt des Weiteren, dass Rumänien die Wechselkurspolitik des kontrollierten Floating verfolge, die Eingriffe der Zentralbank in den Währungsmarkt ermöglicht. Nach der internationalen Finanzkrise verzeichnete die Landeswährung Leu eine deutliche Stabilisierung, in den letzten zwei Jahren wurde der Leu hingegen gegenüber dem Euro um 1,9% abgewertet, so der EU-Bericht.



    Gegen Rumänien laufe dennoch kein EU-Verfahren wegen exzessiven Haushaltsdefizites. 2013 lag das Haushaltsdefizit bei 2,3% des Bruttoinlansproduktes. Schätzungen der Europäischen Kommission zufolge soll das Haushaltsdefizit 2014 auf 2,2% des Bruttoinlandsproduktes und 2015 auf 1,9% sinken, während die öffentlichen Schulden von 38% des Bruttoinladsproduktes wie im Jahr 2013 auf 40% im Jahr 2015 wachsen sollen. Die Raten der langfristigen Zinsen sind im Monat April auf 5,3% gesunken und liegen somit unter dem Referenzwert von 6,2%. Das Geschäftsumfeld in Rumänien habe dem Bericht zufolge nicht so gut wie in anderen EU-Staaten funktioniert und die Gesetzgebung im Bankenbereich sei nicht vereinbar mit der Einführung der europäischen gemeinsamen Währung.



    Das einzige Land, das die EU-Konvergenzkriterien zum Euroraumbeitritt erfülle, sei Litauen. Ab 1. Januar 2015 soll der Euroraum nach dem Beitritt Litauens 19 Mitglieder haben. Litauen wird somit nach der Slowakei, Slowenien, Estland und Lettland zum fünften Land des ehemaligen kommunistischen Raums, die die gemeinsame europäische Währung einführt. Rumänien, Bulgarien, Tschechien, Kroatien, Ungarn, Polen und Schweden erfüllen derzeit nicht alle Kriterien zum Euroraum-Beitritt. Ihre Situation soll in zwei Jahren erneut geprüft werden.

  • Nationalbank will Finanzmärkte mit mehr Liquiditäten versorgen

    Nationalbank will Finanzmärkte mit mehr Liquiditäten versorgen

    Im Rahmen ihrer ersten Sitzung in diesem Jahr hat die Nationalbank Rumäniens die Senkung der obligatorischen Mindestreserven in der Landeswährung Leu und in Devisen beschlossen. Damit soll der Markt langfristig über die für die Finanzierung der Wirtschaft notwendigen Liquiditäten verfügen. Und damit setzt die Zentralbank nach wie vor auf ihre Politik einer schrittweisen Herabsetzung des Leitzinses, der zum fünften Mal in Folge nach unten korrigiert wurde. Die Aktion entspricht einem neuen Versuch, die Kreditvergabe anzukurbeln.



    Der aktuelle Wert des Leitzinses von 3,75% bedeutet ein neues historisches Rekordtief. Die Entscheidung konnte dank der kontinuierlichen Abnahme der Inflation getroffen werden, erklärte Notenbankchef Mugur Isărescu. Laut seinen Angaben, könnte diese Kennzahl in der ersten Jahreshälfte sogar bis in die Nähe der 1%-Grenze fallen. Die Mindestreserven in der Landeswährung Lei wurden von 15 auf 12% und die Mindestreserven in Devisen von 20 auf 18% gekürzt. Das sind die Mindestsummen, die Handelsbanken bei der Notenbank hinterlegen müssen.



    Unter diesen Voraussetzungen werden die Banken auf mehr Liquiditäten zurückgreifen können, was die Kreditvergabe fördern wird, verspricht Mugur Isărescu.



    Einige der Handelsbanken werden die Kreditvergabe erweitern, andere werden die Kreditkriterien überdenken und wahrscheinlich das Tempo der Kreditvergabe anheben, auch die individuellen Kundensituationen werden sie neu bewerten, und weitere Banken wiederum, die Schulden haben, werden diese Schulden begleichen. Ich könnte ihnen keine Richtwerte nennen. Insgesamt glaube ich, dass die Ma‎ßnahme die Kreditvergabe vorantreiben wird.(Mugur Isărescu)



    Noch Anfang Dezember hatte Mugur Isărescu eine Senkung der Mindestreserven für die Ankurbelung der Kreditvergabe in Aussicht gestellt. Insgesamt beziffern sich die Reserven zurzeit auf 6 Milliarden Euro für die Devisen und auf umgerechnet 3-4 Milliarden Euro für die Landeswährung, auch wenn auf dem Währungsmarkt ein Überschuss von geschätzten 2 Milliarden Euro an Liquiditäten im Umlauf ist. Infolge der Herabsetzung der Mindestreserven in Devisen, bleiben den Banken circa 500 Millionen Euro. Sollten sie das Geld nicht an die Mutterbanken zurücküberweisen, wird das Geld auf den Markt in Umlauf gebracht. Und das wird einen gewissen Druck im Sinne einer Aufwertung der Landeswährung ausüben, erklärte der Notenbankchef noch. Isărescu brachte indes seine Hoffnung zum Ausdruck, dass die Entscheidung über die Reduzierung des Leitzinses die Handelsbanken nicht dazu bewegen wird, die Zinsen auf Anlagen in der Landeswährung zu senken.

  • Rumänische Nationalwährung: Kein guter Start am Jahresanfang

    Rumänische Nationalwährung: Kein guter Start am Jahresanfang

    Die rumänische Währung hatte ein gutes Jahr 2013. Der Leu erfreute sich der besten Entwicklung unter den Währungen des EU-Raumes im Verhältnis zum Euro. Laut der Analyse einer der besten Broker Agenturen in Polen, Noble Securities, verzeichnete die rumänische nationale Währung die niedrigste Abwertung in der EU, und zwar spricht man von 0,5%. Adrian Vasilescu, Berater des Notenbankchefs, hob in einem Interview mit dem rumänischen TV-Sender Realitatea hervor, der Leu sei fünf Jahre stabil gewesen, obwohl es eine Krisenperiode durchmachte. Vasilescu fügte hinzu, wäre die nationale Währung nicht stabil gewesen, hätte sich die Krise weiter vertiefet. Adrian Vasilescu dazu:



    Die Krise begann in Rumänien 2009. Wir befinden uns nun im sechsten Krisenjahr. Unser Währungsmarkt war ständig in einem stabilen Gleichgewicht. Wäre der Währungsmarkt gestürzt, so wäre die Krise härter gewesen. Während der Krise hatten wir finanzielle Stabilität und Instabilität in einigen makro- und mikroökonomischen Bereichen. Erst 2013 war eine Stabilität im ganzen makroökonomischen Sektor zu spüren.“



    2014 hatte der rumänische Leu keinen guten Start. Schon am ersten Tag verzeichnete man eine Abwertung im Vergleich zum Euro und dem amerikanischen Dollar und der Leu erreichte sein niedrigstes Niveau der letzten sechs Monate. Am Dienstag pendelte sich der Leu beim psychologischen Grenzwert von 4,5 Lei für einen Euro ein, was auch im vergangenen Sommer vorübergehend passiert war. Die Währungen anderer Länder in der Region verzeichneten in der letzten Woche ebenfalls Abwertungen in Folge der Verstärkung des US-Dollars im Verhältnis zum Euro.



    Die Analysten sind der Meinung, die kontinuierliche Abwertung des Leu sei auf die Spannungen, die auf der rumänischen politischen Bühne stattfinden, zurückzuführen. Die politischen Spannungen zwischen dem Staatspräsidenten und der Regierung sowie jene in der regierenden sozialliberalen Koalition (USL) hatten Auswirkungen auf das wirtschaftliche Umfeld. Deshalb betrachten die Investoren Rumänien als ein instabiles Land. Hinzu kommen die Au‎ßenfaktoren wie zum Beispiel der Beschluss der US-Notenbank, das aktuelle Niveau der Liquidität nicht mehr beizubehalten, was zu einer Verteuerung des US-Dollars führt. Einige Experten erwarten im ersten Jahressemester eine Verstärkung des Leu und sagen einen Kurs von 4,3 Lei für einen Euro voraus. Es geht um eine optimistischere Prognose als jene der Nationalen Kommission für Prognose, die im Jahr 2014 von 4,45 Lei für einen Euro ausgeht.

  • Moneda românească la început de an

    Moneda românească la început de an

    2013 a fost unul bun pentru moneda naţională a României. Aceasta a înregistrat cea mai bună evoluţie dintre monedele spaţiului comunitar în raport cu euro. Conform unei analize realizate de Noble Securities, una dintre primele societăţi de brokeraj din Polonia, anul trecut, leul a înregistrat în raport cu euro cea mai redusă depreciere dintre toate monedele din UE, de circa 0,5%.



    Adrian Vasilescu, consilierul guvernatorului Băncii Naţionale a României, a subliniat, recent, intr-un interviu la postul privat de televiziune Realitatea TV ca leul a traversat cinci ani de stabilitate în cinci ani de criză economică. El considera că, fără stabilitatea monedei nationale, criza ar fi fost mai profundă.



    Adrian Vasilescu: De la începutul anului 2009, când a început practic criza în România şi până acum, suntem la al şaselea an de criză. Piaţa noastră valutară a rămas într-un continuu echilibru stabil. Dacă piaţa valutară s-ar fi prăbuşit, criza era mai gravă. Practic, noi am străbătut criza însoţiţi de stabilitate financiară şi de instabilitate în câteva domenii macro şi micro, abia în anul 2013 a fost un an şi cu stabilitate pe întregul palier macro-economic”.



    In 2014, însă, leul a păşit cu stângul. Incă din prima zi de tranzacţionare moneda românească s-a depreciat în raport cu euro şi dolarul american, ajungând la cel mai scăzut nivel din ultimele şase luni. Marţi, leul a atins pragul psihologic de 4,5 lei pentru un euro, prag pe care nu-l mai depăşise din vara trecută. Monedele statelor din regiune au scăzut şi ele în ultima săptămână ca urmare a intăririi dolarului american in raport cu euro pe pietele internaţionale.



    Analişti ai pieţei valutare spun că această slăbire lentă, dar continuă, a leului din ultima perioadă survine pe fondul tot mai tensionat al scenei politice româneşti. Tensiunile politice dintre preşedinţie şi guvern şi cele din interiorul majorităţii social-liberale au afectat mediul economic şi au transmis către investitori semnale privind o anumită instabilitate. La ele se adauga si factori externi. Unul dintre ei este o eventuală decizie a Fed, Banca centrală a SUA, de a nu mai păstra nivelurile actuale de lichiditate, ceea ce ar duce la o scumpire a dolarului, şi asta s-ar reflecta în cotaţiile tuturor monedelor emergente, cum este şi leul.



    Unii experti se aşteaptă la o întărire a monedei naţionale în prima parte a anului şi estimează un curs mediu de 4,3 lei pentru un euro. O prognoza mai optimista decat cea a Comisiei Naţionale de Prognoză, care aprecia că in 2014 euro se va situa în jurul valorii de 4,45 de lei, curs luat în calcul şi la construcţia bugetului.

  • L’économie de la Roumanie en 2013


    L’économie roumaine a avancé de 2,7% durant les neuf premiers mois de 2013 et les autorités roumaines estiment une croissance de 2,2% sur l’ensemble de l’année dernière. Selon les données fournies par l’Office européen des Statistiques, la Roumanie a enregistré au troisième trimestre 2013 le taux de croissance économique le plus élevé de l’UE par rapport aussi bien au trimestre précédent qu’à la période juillet-septembre 2012. Parmi les États membres pour lesquels les données sont disponibles pour la même période, la Roumanie, affichant une croissance économique de 1,6%, ainsi que la Lettonie (1,2%) ont enregistré les plus forts taux par rapport au trimestre précédent, suivies de la Hongrie et du Royaume-Uni (+0,8% chacun).



    Selon les autorités de Bucarest, la Roumanie est entrée en 2013 dans une nouvelle étape de développement économique nourrie par une reprise économique forte, la poursuite de la consolidation fiscale, le taux d’inflation le plus bas depuis 1989, un déficit des comptes courants de quelque 2% du PIB et la relance rapide des exportations, de la production industrielle et agricole. Sur l’ensemble des facteurs responsables de la croissance de l’économie roumaine figure également l’accord conclu avec le FMI. Bucarest avait signé un nouvel accord de deux ans avec le Fonds assorti dune ligne de crédit de 3,5 milliards deuros. C’est le troisième accord négocié par Bucarest avec les grands bailleurs de fonds depuis le début de la crise, en 2009. Depuis son adhésion au FMI, en 1972, la Roumanie a bénéficié de 12 programmes de crédit au total.



    Dans ce même ordre d’idées, le taux d’inflation a atteint en 2013 son niveau le plus bas depuis 1989, la Banque centrale roumaine fixant une cible de 2,5%. Pourtant, la vedette incontestable de l’année 2013 a été l’agriculture. Favorisée par une météo clémente tout comme par une série de mesures adoptées par les autorités dans le domaine des irrigations, la production végétale a dépassé les 22 millions de tonnes, atteignant pratiquement le double du volume enregistré en 2012. En plus, la baisse de la TVA de 24 à 9% sur le pain et les produits de panification a été saluée par l’industrie du secteur, frappée annuellement d’un taux d’évasion fiscale de 70%.



    Sur l’ensemble des facteurs à avoir alimenté la croissance économique, notons aussi l’absorption des fonds européens dont le taux est monté à 27% en novembre. N’empêche: la Roumanie a continué en 2013 aussi à se situer en queue du peloton communautaire. D’autre part, l’année 2013 s’est avérée bénéfique pour la monnaie nationale, le leu, dont l’évolution par rapport à l’euro a été la meilleure parmi celles des autres monnaies communautaires. Pourtant, pour 2014, les analystes s’attendent à des fluctuations du leu dont le taux de change sera, disent-ils, influencé, par l’instabilité politique sur fond d’élections présidentielles…(trad. : Ioana Stancescu)


  • Nachrichten 04.01.2014

    Nachrichten 04.01.2014

    BUKAREST: Am ersten Bankgeschäftstag des Jahres hat die Landeswährung Leu gegenüber dem Euro abgewertet und damit ein Rekordtief der letzten sechs Monate erreicht. Die Nationalbank Rumäniens legte einen offiziellen Referenzkurs von 4,48 Lei für 1 Euro fest, was einem Wertverlust von 1,2% im Vergleich zum Jahresende 2013 darstellt. Die rumänische Währung hatte im vergangenen Jahr allerdings die beste Entwicklung innerhalb des EU-Raumes verzeichnet. Laut einer Analyse des Unternehmens Novel Securities könnte der Wechselkurs des Leu im Wahljahr 2014 vor dem Hintergrund politischer Instabilität schwanken. Die Nationale Prognose-Kommission hatte davor einen Euro-Wechselkurs von rund 4.45 Lei vorausgesagt.



    BUKAREST: Die überdurchschnittlichen Temperaturen und die geringen Niederschlagsmengen in diesem Winter bereiten der rumänischen Landwirtschaft bereits Probleme. Vertreter der Landwirte gehen davon aus, dass vor allem die kleinen Betriebe betroffen sein werden. Laut Experten könnten die Ernten in diesem Jahr insbesondere unter dem gesunkenen Grundwasserspiegel leiden. Rumänien erlebt gerade seinen niederschlagsarmsten Winter seit 1961. 2013 hatte das Land in der Landwirtschaft noch Rekorderträge erreicht.



    BUKAREST: Gut 100.000 Rumänen haben die Silvesternacht in den Urlaubsorten des Landes verbracht. Das ergab eine Hochrechnung des Arbeitgeberverbandes der Tourismus-Branche. Die Zahl liegt um 15% über der vom Vorjahr. Die beliebtesten Ziele an Silvester waren die Ferienorte im Gebirge, gefolgt von den Bauernhof-Pensionen und den Kurorten. Auch die Anzahl der Rumänen, die Neujahr im Ausland feierten, war im Steigen begriffen. Gut 10.000 Personen zahlten für touristische Dienstleistungen au‎ßerhalb der Landesgrenzen etwa 5,3 Millionen Euro. Ihre beliebtesten Reiseziele waren wie im Jahr zuvor Österreich, Bulgarien, Griechenland und die Türkei.



    SPORT: Tennisprofi Monica Niculescu hat an der Seite ihrer Doppelpartnerin Klara Zakopalowa aus Tschechien das WTA-Turnier im chinesischen Shenzen gewonnen. Im Endspiel bezwangen sie die Schwestern Ljudmila und Nadja Kicenok aus der Ukraine mit 6:3 und 6:4. Für Niculescu ist es der bereits dritte Turniersieg im Doppel. In Einzelturnier war für die Rumänin im Viertelfinale Schluss. Für ihre Erfolge in Shenzen erhält die Rumänin insgesamt 18.000 US-Dollar Preisgeld sowie 60 Weltranglistenpunkte in der Einzelwertung und 280 für die Doppelrangliste.

  • Michel Beine (Belgique) – la monnaie nationale roumaine, le leu

    Michel Beine (Belgique) – la monnaie nationale roumaine, le leu

    La monnaie nationale roumaine est le leu dont le nom signifie lion. En fait, l’histoire du leu commence il y a 146 ans, plus précisément le 22 avril 1867 après la promulgation par le roi Carol I de Roumanie de la nouvelle loi monétaire. Avant cette date, quelques 80 monnaies étrangères circulaient sur le territoire des Principautés Roumaines dont les plus importantes étaient le napoléon, le franc ou le ducat hollandais. Au moment de sa mise en circulation, le leu pesait 5 grammes d’argent. Pourtant, avant de vous présenter l’histoire du leu en terre roumaine, une petite précision s’impose. Les premières négociations pour frapper une monnaie nationale remontent à 1859. A l’époque, Victor Place, consul français à Iasi, a négocié au nom du gouvernement roumain la frappe d’une monnaie nationale d’une valeur similaire à celle du franc français.



    Une question pourtant a soulevé de nombreuses controverses : comment appeler la future monnaie ? On a proposé le Roumain, d’après le modèle français du Franc et l’Etat roumain est arrivé à obtenir l’autorisation d’une banque française pour créditer la première émission. Pourtant, pour éviter une réaction hostile de la part de l’Empire Ottoman, l’empereur Napoléon III a décidé d’abandonner le projet et donc, les Principautés roumaines doivent encore attendre avant d’avoir leur propre monnaie nationale. En fait, les négociations ont été reprises pendant le règne du roi Carol I qui, comme je viens de le dire, a promu la nouvelle loi monétaire des Principautés. Et maintenant, petite question très intéressante : d’où le nom de leu, lion en roumain ? Le nom a été choisi sur fond d’une grande popularité du thaler hollandais qui portait au revers le lion de Bohême.



    Il était très fréquent de voir le thaler circuler sur le territoire des Principautés roumaines en raison des échanges commerciaux entre l’Empire Ottoman et l’Europe occidentale. Plus que cela, vers la moitié du XVIIème siècle, la notoriété du thaler était tellement grande que celui-ci était souvent pris pour la monnaie nationale. Bien que mis hors circulation vers 1750, le thaler d’argent est resté tellement à la mode en terre roumaine que les Roumains continuaient à calculer les prix en cette monnaie. D’où l’idée de nommer leu la nouvelle monnaie nationale, à la mémoire du Lion de Bohème.



    Mais, puisque les Principautés roumaines étaient fortement soumises à l’Empire ottoman et comme celui-ci a protesté contre cette marque dindépendance roumaine, le gouvernement roumain a décidé de lancer au début seulement le « ban », sous-division du leu (des pièces de 1, 2, 5 et 10 « bani », en cuivre, frappées à Birmingham). En 1868, le roi ordonne lémission symbolique de 200 pièces de 20 « lei », en or, frappées de linscription « Carol, roi des Roumains ». Une décision qui a provoqué une vague de protestations aussi bien de la part des Ottomans que de la part de lEmpire de l’Autriche-Hongrie (qui occupait la Transylvanie) et de la Russie (qui occupait la Bessarabie). Ce fut le 3 mars 1870 que la Monnaie dEtat voit le jour en Roumanie. La même année, elle frappe les monnaies de 1 « leu » dargent et de 20 « lei » dor. Les monnaies frappées sous le règne du roi Carol Ier seront gravées par des artistes célèbres allemands et français (Kullrich, Scharff, Tasset). En or ou en argent, le « leu » roumain restera une monnaie européenne stable jusquà la Seconde Guerre mondiale. Les premiers billets de banque en « lei » ont été émis par la Banque nationale de Roumanie (BNR) entre 1877-1881.



    L’actuel siège de la BNR a été dressé entre 1884-1889, selon les plans des architectes français Albert Galleron et Joseph Cassien-Bernard. Et maintenant, je vous propose de revenir au présent pour vous dire que la nouvelle monnaie a été officiellement inaugurée le 30 juin 2005, à minuit, par un retrait dargent devant les caméras par le président roumain Traian Băsescu, le Premier ministre de l’époque Călin Popescu-Tăriceanu et par le gouverneur de la BNR. C’est en fait en 2005 que la Banque centrale roumaine a décidé denlever quatre zéros afin de donner naissance au nouveau leu roumain (leu nou). Les nouveaux billets sont les mêmes que les anciens, à lexception des quatre zéros enlevés et les nouvelles coupures ont la même taille que les billets en euros, afin de faciliter la future transition. Je voudrais préciser que pour répondre à cette question sur l’histoire de la Monnaie roumaine, j’ai recueilli des informations sur Wikipedia en roumain et en français.