Tag: Lia Olguta Vasilescu

  • Politici sociale în dezbatere

    Politici sociale în dezbatere

    Dacă
    economia creşte cu 4%, nu poate ceva să crească cu 40%, declara, recent,
    guvernatorul BNR, Mugur Isărescu, referitor la preconizata majorare a pensiilor
    începând cu 1 septembrie. Şeful Băncii centrale nu e singurul care a atras
    atenţia că România riscă să intre într-o zonă de turbulenţe dacă deficitul
    bugetar, care a depăşit deja cele 3 procente acceptate în UE, se va adânci prin
    măsuri populiste. Majorarea pensiilor e legiferată de fosta majoritate de
    stânga, fără a fi, însă, fundamentată economic, acuză guvernul de dreapta. El a
    amânat, de altfel, până în vară, dublarea alocaţiilor pentru copii, o altă măsură
    populistă impusă de PSD, care nu s-a bazat pe calculul resurselor şi nu a
    apucat să fie nici măcar bugetată. Totuşi, executivul liberal dă asigurări că
    pensiile şi alocaţiile vor creşte.

    Premierul Ludovic Orban a reafirmat că sunt
    prevăzuţi în buget bani pentru creşterea pensiilor şi alocaţiilor, dar a
    subliniat că orice decizie de majorare va fi luată doar peste şase luni, după o
    analiză economică în funcţie de care va fi făcută rectificarea bugetară.
    Ludovic Orban: Obiectivul nostru este clar şi limpede, şi anume acela de a creşte
    toate veniturile românilor, salariile în mediul privat, pensiile, alocaţiile,
    dar la baza acestei creşteri, în mod evident, trebuie să stea o creştere
    economică stabilă, nu măriri pe hârtie care să ducă la inflaţie şi care să nu
    poată să fie susţinute în perspectivă
    . Social-democraţii consideră că
    executivul Orban a anulat, în mai puţin de 3 luni, progresele economice
    obţinute anterior, iar acest lucru ar fi dovedit de cifre.

    Fostul ministru
    social-democrat al Muncii, Lia Olguţa Vasilescu: De la 2,97% deficit au ajuns la
    4%. De la 35% datorie publică se prognozează o datorie publică de 39%. De la
    3,4% inflaţia în luna noiembrie, au ajuns la 4,2%, iar cursul leu-euro a
    cunoscut de asemenea un nivel fără precedent, istoric. Susţinător
    declarat la cabinetului PNL, preşedintele Klaus Iohannis spune că majorarea
    pensiilor şi salariilor este o chestiune care va fi analizată de Guvern, dar
    reaminteşte că şi el şi executivul doresc acest lucru. Urmează o ciocnire
    frontală între PNL şi PSD în Parlament, unde cabinetul Orban îşi va asuma
    răspunderea pe legea privind alegerea primarilor în două tururi de scrutin. Amendamentele
    la proiect vor putea fi depuse până pe 27 ianuarie, iar el va fi dezbătut în
    plen pe 29 ianuarie. Până acum, PSD a reacţionat doar declarativ la angajările
    de răspundere la care a recurs guvernul în cazul mai multor legi, inclusiv
    pentru buget, dar nu putea lăsa necontrată o modificare a legii electorale ce
    i-ar provoca pierderi importante la scrutinul local din vară. În consecinţă, a
    decis să depună o moţiune de cenzură şi să o extindă de la chestiunea alegerii
    primarilor în două tururi la întreaga activitate a cabinetului Orban. Sprijiniţi
    de UDMR, formaţiune dezavantajată, la rândul ei, de o eventuală schimbare a
    legii electorale, social-democraţii cred în succesul moţiunii, dar nu doresc
    revenirea la guvenare.

  • La nouvelle loi des retraites, promulguée

    La nouvelle loi des retraites, promulguée

    Une nouvelle loi des retraites a été, aux côtés de la loi des salaires unitaires dans le secteur public, un des principaux défis que s’était fixés la majorité de gauche, soit la coalition entre le Parti social-démocrate et l’Alliance des libéraux et des démocrates, au pouvoir en Roumanie. Les deux partis ont toujours soutenu qu’ils souhaitaient, comme dans le cas des salaires, mettre de l’ordre et éliminer les inégalités du système.



    La nouvelle loi prévoit une hausse progressive des retraites, car l’augmentation du point de retraite, qui sert de base de calcul pour le montant de toutes les pensions, se fera graduellement, à partir du 1er septembre de cette année et jusqu’en 2022. L’acte normatif stipule aussi la revalorisation de tous les droits salariaux qui ont été taxés : les bonus, l’accord global, le 13e mois, les heures supplémentaires, les primes et autres gains. Selon le document, les femmes qui justifient de la durée minimale de cotisation et qui sont mères de trois enfants bénéficient d’une réduction de six ans de l’âge de retraite. L’allocation familiale d’orphelin est maintenue et l’on a introduit en plus la pension de réversion qui donne droit à l’époux survivant de recevoir 25% de la retraite de l’époux décédé. La durée minimale de cotisation est de 15 ans et la cotisation complète est de 35 ans.



    L’ancienne ministre du Travail et l’initiatrice du projet de loi, Lia Olguţa Vasilescu, a déclaré espérer que le retard dans la promulgation de la loi, qui a dû passer le filtre de la Cour Constitutionnelle, n’affecte pas le recalcul des pensions. Lia Olguţa Vasilescu : « J’espère qu’il n’y aura aucun retard. Il y a, en effet, une pression énorme sur la Caisse nationale des retraites. Ils devront se réorganiser et il est vrai que ce n’est pas facile de lancer un appel d’offre pour un logiciel, ni de recalculer 5 millions de retraites en un an et demi au lieu de deux ans. Mais ça dépendra de comment ils s’organisent et de la manière du ministère du Travail et de la justice sociale de repenser la nouvelle structure de la Caisse des retraites. »



    L’opposition de droite a constamment montré sa préoccupation quant aux sources de financement des futures retraites, alors qu’elle ne partage pas les prévisions économiques optimistes du gouvernement. Néanmoins, quel que soit le gouvernement au pouvoir, il est maintenant obligé par la loi de trouver les ressources financières pour payer les retraites, estime le leader du Parti national libéral, Ludovic Orban : « Ce que nous souhaitons c’est que le mécanisme de majoration des retraites soit annuel, tel la précédente loi, que nous soutenions. La majoration de la pension doit reposer sur des données claires, réalistes, de l’économie. C’est à dire que les pensions doivent être revalorisées sur l’inflation et, aussi, que les pensions doivent suivre la croissance économique, reflétée dans l’évolution du salaire moyen brut. Les retraites devraient augmenter annuellement en fonction de l’augmentation du salaire brut mensuel moyen. »



    De son côté, l’actuel ministre du Travail, Marius Budăi, a assuré que le budget des retraites sera en excèdent d’ici la fin de l’année. (Trad. Elena Diaconu)

  • 16.02.2019

    16.02.2019

    Conférence — Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, qui participe, en tant qu’invité d’honneur, à la 55e Conférence de sécurité de Munich, a déclaré samedi que le système international multilatéral subit une pression croissante. La réponse à cela est la cohésion et l’objectif principal devrait être un Engagement européen accru, a-t-il précisé. Et lui d’ajouter que ce message d’unité et de cohésion définit de manière fondamentale les priorités de la présidence roumaine du Conseil de l’UE. Le président Iohannis a par ailleurs affirmé que les efforts devraient viser surtout une démarche harmonisée de l’OTAN et de l’UE. Selon lui, ce but peut être atteint en combinant le rôle unique que l’OTAN joue en matière de défense collective avec l’approche intégratrice de l’UE dans la gestion des crises et sa capacité à rassembler les ressources et les moyens les plus divers. Les défis qui se posent devant l’Alliance sur son flanc oriental ne sauraient être ignorés et l’Alliance se doit de continuer à renforcer sa posture de défense et de dissuasion sur ce flanc, a souligné le chef de l’Etat roumain. A l’agenda de la Conférence de sécurité de Munich figurent la gestion des défis sécuritaires, la relation transatlantique, les priorités de l’OTAN, l’avenir du projet européen et la coopération entre l’UE et l’OTAN.



    Candidature — Le social-démocrate Mircea Drăghici a fait savoir sa décision de retirer sa candidature pour le poste de ministre des Transports au sein du cabinet de Bucarest. Sa collègue de parti, Lia Olguţa Vasilescu, avait elle aussi renoncé à sa candidature pour le poste de ministre du Développement régional et de l’Administration publique. Le président Klaus Iohannis avait rejeté la nomination de Lia Olguţa Vasilescu, mais n’avait fait aucune référence à celle de Mircea Draghici.



    Justice – A Bucarest et dans d’autres grandes villes de Roumanie ont eu lieu vendredi soir des manifestations de soutient à l’ancienne cheffe de la Direction nationale anti-corruption, Laura Codruța Kövesi. Les manifestants ont scandé des slogans contre la coalition au pouvoir et brandi les drapeaux de la Roumanie et de l’UE. Laura Codruța Kövesi, s’est présentée vendredi à la Section d’investigation des magistrats près le Parquet général de Bucarest, où elle s’est vu communiquer les accusations d’abus de fonction, pots-de-vin et faux témoignage à son encontre. Après l’audition, Mme Kövesi a déclaré qu’elle avait déposé deux requêtes de récusation du procureur qui instruit le dossier et du procureur en chef de la Section. L’ex procureure en chef anti-corruption se dit innocente et affirme que ce n’est pas une coïncidence d’être citée à comparaître juste avant de se rendre au Parlement européen, pour les entretiens des candidats au poste de procureur en chef européen, où certaines sources européennes la donnent pour favorite.



    Budget — Le Parlement roumain a adopté vendredi les projets de loi du budget de l’Etat et du budget de la sécurité sociale pour l’année en cours. La construction budgétaire repose sur une croissance économique estimée à 5,5%, sur un déficit de 2,76% et sur un Produit intérieur brut (PIB) supérieur à mille milliards de lei (soit plus de 200 milliards d’euros). La coalition au pouvoir estime que le budget adopté reflète bien la situation sociale et économique de la Roumanie d’aujourd’hui, mettant l’accent sur trois domaines prioritaires : la santé, l’éducation et les investissements. Les parlementaires d’opposition, membres du Parti national libéral, de l’Union Sauvez la Roumanie et du Parti du mouvement populaire, ont voté contre l’adoption du budget, estimant qu’il est surévalué.



    Finances — L’UE disposera bientôt d’un cadre plus solide de régelementation et de surveillance des banques, après l’approbation, vendredi, par les ambassadeurs des Etats membres d’un accord convenu par la présidence roumaine du Conseil de l’UE et le Parlement européen. Le document comporte un paquet de normes révisées censées diminuer les risques dans le secteur bancaire européen. Ces mesures permettront aux banques de disposer de suffisamment de capital pour accorder des crédits aux personnes morales et aux particuliers, dans des conditions sûres. Les contribuables seront protégés contre les éventuelles difficultés auxquelles seront confrontées les banques, a déclaré le ministre roumain des finances, Eugen Teodorovici.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine Simona Halep, principale favorite au tournoi WTA de Doha, au Qatar, rencontre aujourd’hui en finale la Belge Elise Mertens (21WTA). Halep, qui sera n°2 mondiale, à partir de lundi, a vaincu, dans les demi-finales, l’Ukrainienne Elina Stivolina, tandis qu’Elise Mertens a disposé de l’Allemande Angelique Kerber. Le palmarès de Halep est riche de 18 titres, dont un remporté à Roland Garros.



    Rugby — La sélection de rugby de Roumanie affronte ce samedi à Botosani (nord-est du pays ), l’équipe allemande, pour le deuxième match de la nouvelle édition du Championnat dEurope (Rugby Europe International Championship). Léquipe roumaine a perdu le premier match de la compétition, qui l’a opposée à la Géorgie, score 19-8, tandis que l’Allemagne s’est inclinée devant la Belgique. Le Championnat dEurope de rugby est la deuxième grande compétition continentale après le célèbre tournoi des Six nations. Dans la hiérarchie internationale, la Roumanie occupe la 18e place, alors que l’Allemagne se trouve en 27e position.



    Météo — La météo s’adoucit. Le ciel est variable, plutôt couvert sur l’est et le nord-ouest. Les températures de la journée iront de 1 à 11°. Il faisait 8° à midi, dans la capitale, Bucarest.




  • 07.02.2019 (mise à jour)

    07.02.2019 (mise à jour)

    Rencontres — La première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, a rencontré, jeudi, à Bruxelles, le premier-vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, et le président du Conseil européen, Donald Tusk, avec qui elle a abordé des dossiers importants figurant à l’agenda européen. Pendant son entretien avec Donald Tusk, la cheffe du gouvernement de Bucarest a réaffirmé que la Roumanie milite pour une Europe forte et unitaire sous tous les aspects — politique, économique et social. Se référant au Brexit, elle a déclaré que la présidence roumaine du Conseil de l’UE se penchera sur la question des droits des citoyens après la sortie du Royaume-Uni de l’Union.


    Lors de sa rencontre avec le premier-vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, première ministre roumaine a discuté entre autres de l’Etat de droit et de l’indépendance de la Justice en Roumanie. Mme Viorica Dăncilă a assuré que son cabinet allait œuvrer pour faire respecter les valeurs et les principes sur lesquels repose la construction européenne, à savoir la défense des droits et libertés des citoyens, de l’Etat de droit et de l’indépendance de la Justice, mais aussi pour que les ressortissants roumains jouissent des mêmes droits et libertés que tout autre citoyen européen.


    Toujours jeudi, la première ministre roumaine, Viorica Dăncilă a été présente à l’ouverture de la conférence « La lutte contre lantisémitisme et la mise en place dune approche commune en matière de sécurité afin de mieux protéger les communautés et les institutions juives », organisée par la Roumanie dans le contexte de son mandat à la tête du Conseil de lUnion européenne. Elle a déclaré à cette occasion que « la Roumanie est devenue aujourd’hui un modèle régional dans la lutte contre lantisémitisme et la xénophobie et, aussi, un modèle en ce qui concerne l’éducation et les mesures pour garder vivante la mémoire de l’Holocauste. »



    Budget — La coalition au pouvoir en Roumanie, formée par le Parti social — démocrate et l’Alliance des libéraux et des démocrates, a finalisé le projet du budget de l’Etat 2019, qui devrait être examiné par l’Exécutif au cours de sa réunion de vendredi. L’annonce a été faite jeudi par le ministre des Finances , Eugen Teodorovici, à l’issue d’un nouveau round de négociations au sein de la coalition au pouvoir et avec les élus locaux. Ces derniers n’ont pas réussi à convaincre le ministre de tutelle de renoncer au transfert vers les administrations locales des dépenses de Sécurité sociale. Lors des discussions menées mercredi avec les maires, auxquelles a participé aussi le chef de file des sociaux-démocrates, Liviu Dragnea, les maires se sont vu promettre une augmentation de 27% des fonds destinés aux communautés locales. Les édiles des grandes villes affirment qu’il ne suffit pas de majorer l’enveloppe budgétaire, si le gouvernement transfère vers les administrations locales les dépenses de Sécurité sociale. Le projet de budget 2019 repose sur une croissance économique de 5,5%, un déficit de 2,5% et un taux d’inflation moyen annuel de 2,8%.



    Nomination — Le président roumain, Klaus Iohannis, a rejeté une nouvelle fois la nomination de Lia Olguţa Vasilescu pour les fonctions de ministre du Développement. Il a présenté en détail la motivation de sa décision dans une lettre adressée à la première ministre Viorica Dăncilă. Klaus Iohannis affirme entre autres que Lia Olguţa Vasilescu n’a ni la formation ni l’expérience nécessaires pour gérer le domaine complexe du Développement régional et de l’Administration publique. En réplique, le Parti social-démocrate, principale formation politique de la coalition au pouvoir, a déclaré que si l’on avait pris en compte les critères sur la base desquels Klaus Iohannis a rejeté cette nomination, il ne serait jamais été élu président. Les sociaux-démocrates rappellent qu’auparavant le chef de l’Etat avait signé le décret portant nomination de Lia Olguţa Vasilescu à la tête du ministère du Travail et qu’en cette qualité cette dernière avait réalisé les nouvelles lois, très complexes, des salaires et des pensions de retraite. Notons que c’est pour la troisième fois que le président Iohannis rejette la nomination de Lia Olguţa Vasilescu au poste de ministre du Développement. Celle-ci a fait savoir son intention de déposer une plainte pénale pour abus de fonction contre le président Klaus Iohannis. Lia Olguţa Vasilescu estime que la décision du président n’a pas de fondement légal et affirme avoir l’expérience nécessaire au poste pour lequel elle a été nominée, énumérant, ce sens, toutes les fonctions qu’elle a détenues jusqu’ici.



    Economie — Le rythme de croissance de l’économie roumaine va ralentir cette année, devant se situer à 3,8% et sera de 3,6% en 2020. C’est ce que révèlent les Prévisions économiques intermédiaires d’hiver, rendues publiques ce jeudi par la Commission européenne. Selon la même source, la consommation privée restera le principal moteur de la croissance économique. La Commission met en garde contre le fait que l’évolution des investissements dépendra de l’impact des mesures fiscales mises en place par le gouvernement l’année dernière, en raison des possibles effets négatifs sur l’octroi des crédits et sur la prédictibilité pour le milieu économique. Rappelons que le projet de budget 2019 élaboré par les autorités de Bucarest repose sur une croissance économique de 5,5% , chiffre considéré comme irréaliste par le Conseil fiscal et par l’Agence de notation Fitch.



    Grippe — En Roumanie, le nombre des victimes de la grippe est monté à 93, informe le Centre national de surveillance et de contrôle des maladies transmissibles. La grande majorité des personnes décédées nétaient pas vaccinées contre la grippe. Près de 1,3 millions de Roumains se sont fait vacciner contre la grippe cette année, et le ministère de la Santé vient dacheter 30.000 autres doses de vaccin pour les personnes des groupes à risque : malades chroniques, femmes enceintes, enfants et personnes âgées. Lépidémie de grippe a été officiellement déclarée le 30 janvier en Roumanie à cause de lintensité de transmission du virus, ainsi que du nombre importants de malades et de morts.



    Tennis – Le joueur de tennis roumain Marius Copil a été vaincu jeudi par l’Espagnol Fernando Verdasco, sur le score de 6-2, 4-6, 6-1, lors des huitièmes de finale du tournoi ATP de Sofia, en Bulgarie. Au premier tour, le Roumain avait triomphé du Suisse Stan Wawrinka.



    Météo –Dans le prochain intervalle de 24 heures, le ciel sera variable sur le nord-est et temporairement nuageux sur le reste du territoire. Les températures maximales iront de -2° à 8°.

  • A la une de la presse roumaine 07.02.2019

    A la une de la presse roumaine 07.02.2019

    L’enveloppe que le gouvernement a décidé d’attribuer à la Municipalité de Bucarest a mis en colère l’édile de la capitale, Gabriela Firea. « Ce n’est pas l’argent de Dragnea » dit-elle à la Une de la presse parue ce jeudi. Et puis, le chef de l’Etat rejette encore une fois la proposition de nommer Lia Olguta Vasilescu à la tête du Ministère du Développement, en invoquant « ses attaques personnelles virulentes, ses déclarations controversées et ses pressions sur la Justice ».

  • 21.01.2019 (mise à jour)

    21.01.2019 (mise à jour)

    Cohésion – La politique de cohésion représente une priorité de la présidence roumaine du Conseil de l’UE. C’est ce qu’a déclaré la commissaire européenne chargée de la Politique régionale, Corina Cretu, qui a participé lundi, à Bucarest, à la Conférence des Commissions parlementaires spécialisées dans les affaires européennes (COSAC). La responsable européenne a également précisé que la cohésion a été et continue d’être une des politiques les plus flexibles et innovantes, qui offre des réponses aux problèmes et aux tensions au sein de l’UE.



    Gouvernement — La plupart des ministres du cabinet de Bucarest se trouvent à Bruxelles jusqu’à mercredi pour présenter devant les commissions spécialisées du Législatif européen le programme et les priorités de la présidence roumaine du Conseil de l’UE dans les domaines qui sont de leur ressort. Le ministre roumain des Finances, Eugen Teodorovici, a souligné qu’il était essentiel de mener à terme le projet de l’Union économique et monétaire et de promouvoir l’Union bancaire, vu la nécessité d’un secteur financier européen sûr et solide. En Commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire, le ministre roumain des Eaux et des Forêts, Ioan Denes, et la ministre de l’Environnement et du changement climatique, Gratiela Gavrilescu, ont déclaré que la lutte contre le changement climatique, la protection de la biodiversité, le développement durable et le management des eaux doivent figurer parmi les priorités de l’agenda européen.



    Nominations — La première ministre roumaine, Viorica Dăncilă, a adressé, lundi, une lettre au président Klaus Iohannis, lui demandant, pour la troisième fois, de nommer Lia-Olguţa Vasilescu pour les fonctions de ministre du Développement régional et de l’Administration publique et Mircea-Gheorghe Drăghici pour le poste de ministre des Transports. La dernière fois, le chef de l’Etat avait repoussé ces deux nominations, en arguant du fait que les casiers judiciaires ne figuraient pas dans les dossiers des candidats respectifs. Les personnes nominées ont de l’expérience, une probité incontestable et la capacité d’exercer les fonctions en question, Mme Lia Olguţa Vasilescu ayant déjà été membre du cabinet, a affirmé la cheffe de l’Exécutif. Viorica Dăncilă a également mentionné qu’en sa qualité de première ministre et en vertu du vote de confiance que le Parlement lui a accordé, elle bénéficie du droit exclusif d’apprécier et de choisir les personnes proposées pour faire partie de l’équipe gouvernementale qu’elle dirige.



    Justice – Le Tribunal de grande instance de Bucarest a démarré le jugement de l’affaire concernant l’ancienne secrétaire d’Etat au ministère du Développement, la sociale-démocrate Sevil Shhaideh, accusée d’abus de fonctions. Par ailleurs, la Haute Cour de Cassation et de Justice a reporté à nouveau, cette fois-ci au 18 février, le procès dans lequel le chef du PSD, Liviu Dragnea, est accusé de corruption. Il a déjà été condamné en première instance à 3 ans et 6 mois de prison ferme, pour instigation à l’abus de fonction. Selon les procureurs anticorruption, à l’époque où il était président du Conseil départemental de Teleorman (sud), Liviu Dragnea a décidé de l’embauche fictive de deux membres du PSD à la Direction d’Assistance Sociale et de la Protection de l’Enfance. Les deux femmes ont été payées de l’argent public, alors qu’elles ont travaillé exclusivement pour le PSD. Le leader social — démocrate insiste sur le fait qu’il est innocent et nie avoir commis les faits dont il est accusé.



    Bruxelles — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Meleşcanu, a proposé lundi, à Bruxelles, au Conseil Affaires étrangères, la tenue d’une réunion spéciale consacrée à la guerre hybride et à la désinformation en ligne. La Roumanie a promis de présenter, durant son mandat à la tête du Conseil de l’UE, une feuille de route comportant les mesures nécessaires pour que la lutte contre la désinformation ait des résultats concrets ainsi que les moyens et les ressources affectés à cette tâche, a précisé le chef de la diplomatie roumaine. Et lui d’ajouter que les démarches visent à faire de l’UE un des leaders mondiaux en matière de lutte contre les fausses nouvelles. Teodor Melescanu a présenté, lundi, à ses homologues, les principaux sujets se trouvant à l’agenda de la présidence roumaine du Conseil de l’UE, un accent particulier étant mis sur la politique étrangère et celle de sécurité.



    Météo — Dans le prochain intervalle de 24 heures, le ciel sera couvert et il neigera sur la plupart du territoire. Les températures maximales seront comprises entre — 6° et 5 °.





  • Remaniere amânată

    Remaniere amânată

    Nu va mai exista nicio schimbare de miniştri în această săptămână, iar noua propunere de remaniere a PSD va fi analizată după sărbătorile dedicate Centenarului Marii Uniri şi Zilei Naţionale de 1 Decembrie. Anunţul a fost făcut de preşedintele Klaus Iohannis, care şi-a argumentat decizia amintind că sărbătorile naţionale trebuie respectate aşa cum se cuvine.



    Declaraţia survine la doar câteva zile după ce şeful statului a acceptat şase dintre cele opt propuneri făcute de social-democraţi pentru diverse portofolii remaniate în cabinetul Viorica Dăncilă, respingând nominalizarea Liei Olguţa Vasilescu pentru Transporturi şi pe cea a lui Ilan Laufer la Ministerul Dezvoltării Regionale. Cei doi sunt nepotriviţi, a declarat fără altă explicaţie Klaus Iohannis.



    Respingerea a generat o reacţie la cald vehementă din partea lui Laufer, evreu român, care l-a acuzat pe Klaus Iohannis, despre care a precizat ca este etnic german, de “un nou act de antisemitism”. În replică, preşedintele, susţinut şi de comunitatea evreiască, a condamnat ferm folosirea unor teme deosebit de sensibile în scop politic, subliniind că referinţele la antisemitism şi nazism în disputa politică sunt iresponsabile şi denotă grave carenţe de educaţie, cultură, diplomaţie şi istorie.



    PSD a revenit cu propunerea ca Lia Olguţa Vasilescu, care a asigurat până acum portofoliul Muncii, să preia Ministerul Dezvoltării Regionale, iar Mircea Drăghici, trezorierul partidului, să meargă la Transporturi. Potrivit preşedintelui, aşa nu se poate guverna. Este imposibil să schimbi miniştri toată ziua, bună ziua. Cum să ne imaginăm că poate să funcţioneze un guvern cu două remanieri într-o săptămână? Eu nu sunt de acord să contribui la o astfel de guvernare, care seamănă mai degrabă cu un carusel. Guvernul este complet, nu are decât să lucreze”, a declarat şeful statului.



    PSD este deja la al treilea guvern în nici doi ani. Au fost schimbate enorm de multe persoane pe poziţiile de ministru – sunt 70 de politicieni care au fost sau sunt acum miniştri în aceste guverne, a mai spus Klaus Iohannis, potrivit căruia, soluţia corectă pentru România ar fi fost şi este înlocuirea întregului Guvern, care, în opinia sa, a creat foarte multe probleme ţării. Premierul Viorica Dăncilă declarase anterior, că remanierea este menită să îmbunătăţească prestaţia echipei guvernamentale, inclusiv în perspectiva preluării de către România, la 1 ianuarie 2019, a preşedinţiei rotative a Consiliului UE.

  • 20.11.2018 (mise à jour)

    20.11.2018 (mise à jour)

    Remaniement — La direction du PSD, principale force de la coalition de gouvernement en Roumanie a décidé mardi de nommer Lia Olguţa Vasilescu au ministère au Développement régional et à l’Administration publique et Mircea Drăghici aux Transports ont confirmé pour l’agence AGERPRES des sources sociales-démocrates. Cette décision fait suite au rejet du président Klaus Iohannis des propositions antérieures avancées par le PSD pour les deux ministères: Ilan Laufer au développement régional, respectivement Lia Olguţa Vasilescu aux Transports, comme étant inappropriées. Mardi toujours, les nouveaux titulaires de plusieurs portefeuilles ministériels, à savoir Education, Défense, Economie, Culture et identité nationale, Communications et société informationnelle, Jeunesse et Sports, ont prêté serment. Selonle chef de l’Etat, la solution correcte pour le pays aurait été le changement de toute l’équipe gouvernementale, qui a causé de nombreux problèmes au pays. La première ministre Viorica Dăncilă avait antérieurement déclaré que le remaniement était censé améliorer la prestation de l’équipe gouvernementale, y compris dans la perspective de la présidence roumaine du Conseil de l’UE au premier semestre de 2019. Pour sa part, l’opposition de droite soutient que l’unique critère de sélection des nouveaux ministres est la docilité envers le chef de file des sociaux-démocrates, Liviu Dragnea.



    Justice – La commissaire européenne à la Justice, aux consommateurs et à l’égalité des genres, Věra Jourova, s’est entretenue mardi à Bucarest avec le président roumain, Klaus Iohannis et avec le ministre de la Justice, Tudorel Toader. Les discussions ont été ciblées sur les priorités dans le domaine de la Justice, dans la perspective de la future présidence roumaine du Conseil de l’UE et sur les évolutions du système judiciaire en Roumanie. Il est important que Bucarest fasse les pas nécessaires afin d’assurer l’indépendance de la justice et la poursuite de la lutte contre la corruption, a déclaré Věra Jourova à l’issue de sa rencontre avec le ministre roumain de la Justice. La commissaire européenne a également participé à un évenement organisé par l’Administration présidentielle à l’occasion de la Journée internationale des Droits de l’Enfance. L’événement a été consacré notamment à la situation des enfants abandonnés suite aux conflits régionaux ou à la la migration de la main d’œuvre.



    Cour des comptes – Le président de la Cour des comptes européenne, Klaus-Heiner Lehne, qui effectue une visite officielle en Roumanie, dans le contexte de la future présidence roumaine du Conseil de lUE, a été reçu mardi par le chef de l’Etat Roumain, Klaus Iohannis. Le chef de l’Etat roumain a souligné, à cette occasion, l’importance des mécanismes de contrôle, notamment lorsqu’ils contribuent à l’amélioration des politiques publiques et de leurs effets sur l’économie et la société. En ce sens, Klaus Iohannis, a mis en exergue la nécessité de poursuivre et d’approfondir la coopération avec toutes les institutions partenaires, ainsi qu’avec le Parlement, le gouvernement et la société civile. De l’avis de Klaus-Heiner Lehne, il faut flexibiliser les besoins de financement, réduire la bureaucratie et accroître le taux d’absorption des fonds européens. Ce sont là des priorités essentielles, tant pour les institutions européennes que pour les parlements nationaux, a-t-il conclu.


    Klaus-Heiner Lehne s’est entretenu lundi avec la première ministre Viorica Dancila. Les discussions ont visé entre autres le renforcement des mécanismes européens afin de mieux gérer et utiliser les fonds européens, au bénéfice des citoyens. La cheffe du gouvernement roumain da réitéré la volonté de Bucarest de coopérer avec l’Autorité européenne d’audit pour maximiser le taux absorption de l’argent communautaire et améliorer la gestion de cet argent dans les domaines d’intérêt pour la Roumanie.



    Grève — Les syndicats du métro de Bucarest ont décidé de reporter la grève générale annoncée pour mercredi en attendant une première rencontre avec le nouveau ministre des Transports, nommé lundi lors du remaniement gouvernemental. Les employés du métro menaçaient de déclencher une grève générale illimitée à compter de demain, malgré le fait que le Tribunal de Bucarest a déclaré que leurs protestations sont illégales. Ils demandent une augmentation de salaire de 42%, alors que la direction de Metrorex, compagnie subordonnée au ministère des Transports, ne leur offre que 18% tout au plus, et précise que le revenu net de ses salariés dépasse de loin la moyenne nationale. De même, selon Metrorex, les syndicalistes sont en réalité mécontents du fait que les syndicats ne géreront plus les espaces commerciaux des stations de métro. Notons que 700.000 personnes voyagent en métro tous les jours à Bucarest.



    Visite — La ministre roumaine de l’Intérieur, Carmen Dan, a effectué mardi une visite officielle en Grèce, qui s’inscrit dans la série de démarches visant à préparer le futur mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’UE. Elle a eu des entrevues avec le ministre grec de la politique migratoire, Dimitris Vitsas et avec Mme Olga Gerovasili, ministre déléguée à la protection du citoyen. Selon un communiqué du ministère roumain de l’Intérieur, les deux parties ont abordé les priorités de la présidence roumaine dans le cadre du Conseil Justice et Affaires intérieures, avec un accent particulier sur la migration et la sécurité intérieure. Carmen Dan s’est rendue dans le camp de réfugiés de Schisto, près d’Athènes, où sont accueillies temporairement quelque 700 migrants, dont 30 mineurs non accompagnés.

  • O nouă creştere a salariului minim pe economie

    O nouă creştere a salariului minim pe economie

    De la 1 decembrie, în România va fi majorat salariul minim pe economie. Anunţul a fost făcut de
    ministrul Muncii, Lia Olguţa Vasilescu, care a nuanţat – salariul va fi
    diferenţiat în funcţie de studii: La următoarea şedinţă de Guvern vom avea
    o ordonanţă de urgenţă de modificare a Codului Muncii. În Codul Muncii, la ora
    actuală, se vorbeşte de salariul minim, dar nu se vorbeşte de salariul minim
    diferenţiat. După ce va fi modificat acest Cod al Muncii, va trebui să venim cu
    o hotărâre de Guvern. De la 1 decembrie salariul minim pe economie ar urma să fie
    2.080 de lei (n.red. echivalentul a aproximativ 452 de euro), iar salariul
    minim pentru cei cu studii superioare 2.350 de lei (n.red. circa 510 de euro)
    şi pentru cei care au minimum 15 ani vechime, la fel, 2.350 de lei.


    În
    ceea ce priveşte vechimea de 15 ani, ministrul Lia Olguţa Vasilescu a precizat
    că este vorba despre vechime în general, indiferent de locul de muncă sau dacă
    a existat, în această perioadă, şomaj ori concediu de maternitate. Majorarea şi diferenţierea salariului minim
    pe economie vin să completeze o serie de alte măsuri deja luate în baza noii
    Legi a salarizării din sectorul public românesc, parte a programului de
    guvernare al coaliţiei la putere PSD-ALDE. În vigoare de anul
    trecut, de la 1 iulie, Legea salarizării şi-a făcut simţite primele efecte
    începând cu 1 ianuarie anul acesta. Actul normativ prevede majorări salariale
    etapizate pentru personalul didactic din Învăţământ, pentru personalul din
    sistemul de Sănătate, pentru angajaţi ai sistemului de Justiţie, dar şi pentru
    alte categorii de bugetari. Scopul actului normativ a fost echilibrarea
    sistemului bugetar de salarizare, deoarece existau disfuncţionalităţi majore,
    pentru aceleaşi funcţii şi atribuţii, funcţionarii din instituţiile statului
    având salarii diferite. În plus, potrivit autorităţilor, era necesară o
    mărire considerabilă a veniturilor în special din Sănătate, pe fondul unei
    lipse acute a forţei de muncă. Or, până acum, salariile personalului medical,
    care alegea să părăsească ţara în căutarea unor locuri de muncă mai bine
    plătite, au crescut simţitor.


    Aproape în paralel cu atenţia acordată
    ajustărilor salariale bugetare, se urmăreşte şi modificarea actualei Legi a
    sistemului public de pensii, de care ar urma să beneficieze peste 5 milioane de
    pensionari. Prevăzut să intre în vigoare anul viitor, de la 1 ianuarie, şi să
    fie aplicat, în etape, pînă în 2021, proiectul adoptat de Guvern şi trimis Parlamentului
    spre aprobare propune nu doar creşterea pensiilor, ci şi eliminarea
    inechităţilor. Ar urma ca plata pensiilor să se facă numai în funcţie de
    contribuţia fiecăruia, iar pensionarii care au aceeaşi vechime, dar au ieşit la
    pensie în perioade diferite, să primească aceeaşi sumă de bani. Săptămâna
    aceasta, este de aşteptat ca proiectul de Lege a sistemului public de pensii să
    intre în dezbaterea Comisiei de muncă din Senat.

  • Jurnal românesc – 17.10.2018

    Jurnal românesc – 17.10.2018

    Preşedintele Klaus Iohannis a
    transmis marţi, la Roma, un mesaj de solidaritate celor peste 1,2 milioane de
    români din Italia, îndemnându-i să fie uniţi şi să contribuie la o mai bună
    înţelegere între cele două popoare. El a transmis mesajul la o întâlnire cu
    reprezentanţii comunităţii româneşti. Tot marti, preşedintele Klaus Iohannis
    i-a conferit doctorului Gheorghe Cerin, preşedinte al Asociaţiei Medicilor
    Români din Italia, Ordinul ‘Meritul Sanitar’ în grad de Cavaler. Distincţia i-a
    fost acordată ‘pentru contribuţia importantă avută în domeniul cercetării
    medicale, pentru consolidarea colaborării medicale româno-italiene, precum şi
    pentru activitatea depusă în vederea strângerii relaţiilor din interiorul
    comunităţii româneşti din Republica Italiană’. De asemenea, pentru contribuţia
    importantă avută în domeniul ştiinţelor exacte, impunându-se, prin dăruire şi
    profesionalism în elita cercetării internaţionale de profil, şeful statului
    român a conferit Ordinul ‘Meritul Cultural’ în grad de Cavaler, Categoria H -
    ‘Cercetarea ştiinţifică’, Danei Brânzei, cercetător la ‘Istituto FIRC di
    Oncologia Molecolare’ din Milano şi Cătălinei Oana Curceanu, fizician -
    ‘Laboratori Nazionali di Frascati dell’Istituto Nazionale di Fisica Nucleare’.




    Posibila modificare a
    modalităţii de indexare a alocaţiilor copiilor imigranţilor din Austria,
    implicit cei români, a fost subiect de discuţie între ministrul Muncii, Lia
    Olguţa Vasilescu, şi comisarul european pentru Afaceri Sociale, Marianne Thyssen, informeaza Mediafax si Agerpres. Cei doi oficiali şi-au exprimat
    îngrijorările în legătură cu o situaţie semnalată atât de cetăţeni ai unor
    state europene, cât şi de organizaţii neguvernamentale, vizavi de o posibilă
    încălcare a drepturilor copilului în Austria, ca urmare a intenţiei
    Parlamentului naţional de a indexa alocaţiile copiilor cetăţenilor rezidenţi,
    din alte state europene, care îşi desfăşoară activitatea pe teritorul statului
    austriac. Comisarul Thyssen a reiterat poziţia
    negativă a executivului european faţă de promovarea mecanismului indexării
    alocaţiilor pentru copiii lucrătorilor mobili UE.Pentru prima dată, discuţia a
    apărut în Austria la începutul anului, atunci când cancelarul Sebastian Kurz a
    decis că Guvernul de la Viena trebuie să reducă beneficiile copiilor
    rezidenţilor austrieci care trăiesc într-o ţară în care nivelul de trai este
    mai scăzut. Sistemul nu este construit corect, pentru doi copii care nu
    trăiesc în Austria, ci în România, aproape 300 de euro sunt transferaţi lunar
    în România. Este aproape cât salariul mediu de acolo, a declarat atunci Kurz.




    Ministerul Afacerilor
    Externe informează că, începând de luni, 15 octombrie, Consulatul General al
    României la Miami din Statele Unite ale Americii a fost deschis cetăţenilor
    români, solicitanţi de servicii consulare. Astfel, în prezent, România are
    operaţionalizate pe teritoriul Statelor Unite cinci reprezentanţe diplomatice
    şi consulare care oferă servicii, asistenţă şi protecţie consulară. Deschiderea
    Consulatului General al României la Miami se circumscrie procesului complex de
    extindere a reţelei consulare a României, care include şi operaţionalizarea, în
    cel mai scurt timp, a Consulatelor Generale ale României la Manchester (Marea
    Britanie) şi la Stuttgart (Germania). Începând din 15 octombrie, oficiul
    consular de la Miami primeşte şi procesează cererile de servicii, asistenţă şi
    protecţie consulară formulate de către cetăţenii români din circumscripţia
    consulară formată din statele: Alabama, Florida, Louisiana, Georgia,
    Mississippi, Texas, insulele şi teritoriile SUA din Oceanul Atlantic şi Marea
    Caraibilor (Puerto Rico şi Insulele Virgine Americane).

  • Din nou despre Legea pensiilor

    Din nou despre Legea pensiilor

    Proiectul noii legi a pensiilor a fost adoptat de guvernul
    de la București, urmând să fie trimis Parlamentului. Vârsta standard şi stagiul
    de cotizare rămân neschimbate, iar toate pensiile vor fi recalculate a anunțat
    ministrul Muncii, Lia Olguţa Vasilescu. Ea a precizat că va exista o creştere etapizată
    a punctului de pensie, până în 2021. Astfel, anul viitor acesta va fi de 1.265
    de lei (270 euro), în 2020 de 1.775 de lei (380 euro) şi de 1.875 de lei (400
    euro) în 2021. Ministrul a mai spus că după aplicarea noii legi pensiile nu vor
    scădea.

    Lia Olguţa Vasilescu: În
    proiectul de lege se precizează că nici o pensie în plată nu va scădea. În
    cazul în care în urma recalculării va rezulta o sumă mai mică decât cea aflată
    deja în plată, atunci se menţine suma în plată. Nu se modifică vârsta standard
    de pensionare, nici stagiul minim şi nici cel complet. O altă noutate este
    aceea că femeile care au realizat un stagiu minim de cotizare de 15 ani şi au
    născut şi crescut trei copii beneficiază de reducerea vârstei de pensionare cu
    şase ani.

    Conform proiectului, nu se
    modifică vârsta standard de pensionare, nici stagiul minim şi nici cel complet.
    Pentru a putea deveni pensionar, în România, este necesară o vechime de minimum
    15 ani. Persoanele care nu vor îndeplini această cerință, la data intrării în
    vigoare a legii, vor putea opta, în premieră, pentru indemnizaţia
    socială minimă, dacă aceasta este mai mare faţă de pensia pe care o primesc.

    Printre noutăţile aduse se mai numără
    introducerea masteratului şi a doctoratului ca perioade necontributive
    asimilate stagiului de cotizare, care se adaugă facultăţii, stagiului militar,
    pensiei de invaliditate, concediului medical, celui pentru creşterea copilului,
    şomajului indemnizat, deportării, prizonieratului şi detenţiei politice,
    prevăzute de legislaţia în vigoare.

    Proiectul prevede
    tot patru categorii de pensii – cea de limită de vârstă, cea anticipată, cea de
    invaliditate şi cea de urmaş -, dar unele au suferit modificări de structură.
    În plus, se menţine contractul de asigurare facultativă, care suferă,
    totuşi, câteva modificări. Astfel, dacă în actuala lege se poate plăti doar
    pentru cinci ani consecutivi retroactivi, pe viitor, persoana îşi va putea
    alege perioade diferite necontributive ca să totalizeze 5 ani. Pensia
    minimă se calculează raportat la salariul minim brut pe economie din anul
    respectiv. Persoanele cu vechime de minim 15 ani primesc 45% din salariul minim
    brut pe ţară, iar pentru fiecare an de vechime în plus se adaugă câte 1% din
    salariul minim brut pe ţară. Se valorifică toate drepturile de natură
    salarială, pentru care s-au plătit contribuţii: sporuri, acord global, al
    13-lea salariu, ore suplimentare, prime, premii şi alte bonusuri. În
    paralel, proiectul de lege prevede şi debirocratizarea şi accesul
    online la informaţiile despre propriile contribuţii.



  • The Three-Party National Council debated the public pensions system

    The Three-Party National Council debated the public pensions system

    Slated to take
    effect on January 1, 2019 and implemented in several stages until 2021, the new
    law provides not only for an increase in pensions, but the elimination of
    disparities within the very system.






    Pensions will be
    paid only according to each pensioner’s contribution. If two pensioners have
    similar periods of accumulated service but retired at different ages, they will
    have the same pension. On Thursday the Three-Party National Council, which
    brings together members of the Government, trade unions and employers’
    associations, convened to discuss the new law.






    Prime Minister
    Viorica Dancila recalled that, since the ruling coalition came to power,
    pensions saw three separate increases, the last being applied on July 1. The
    Prime Minister believes the new law would ensure the sustainability of the
    public pensions system, being designed to benefit pensioners.






    Viorica Dancila: It’s a good project that, before anything else, rids the public
    pensions system of inequities. It will lead to substantial pensions rises. The
    pension point went up by 26% to approximately 239 euros, while the minimum
    guaranteed pension also went up to 139 euros.






    Conversely, the
    president of the National Trade Union Bloc, Dumitru Costin, has signaled a
    series of problems in the new pension law, adding however that these might be
    dealt with over the next three months of parliamentary debate. In turn, the
    leader of Cartel Alfa trade federation, Bogdan Hossu, said certain aspects
    linked to special work conditions, the unfair sanctioning of employees and the
    increase of minimum wages have been discussed, but they need to be regulated by
    means of adequate legislation.






    Bogdan Hossu: The minimum wage is bound to increase by a gross 30 euros by 2022, when
    it will stand at some 543 euros.






    The
    vice-president of the National Association of Romanian Employers, Dan Matei
    Agathon, expressed the point of view of his organization.






    Dan Matei Agaton: We support this law and believe it has been over-debated. This is all
    television stations talk about, night after night. Enough is enough! A year is
    too much for a law to be debated. The law is sound and will bring money to
    people in need, so let’s go ahead with it!


    According to
    data made public last week by the National Statistics Institute, the average
    monthly pension stood at 244 euros in the second quarter of the year, the same
    as the previous quarter, although by 10% more than the similar period of 2017.





  • Legea pensiilor, în dezbatare

    Legea pensiilor, în dezbatare

    Ministrul român al Muncii, social-democrata Lia Olguţa Vasilescu, a prezentat, în vară, proiectul noii legi a sistemului public de pensii, de care ar urma să beneficieze peste cinci milioane de pensionari. Prevăzut să intre în vigoare anul viitor, de la 1 ianuarie, şi să fie aplicat, în etape, pînă în 2021, proiectul propune nu doar creşterea pensiilor, ci şi eliminarea inechităţilor din sistem. Plata pensiilor se va face numai în funcţie de contribuţia fiecăruia, iar pensionarii care au aceeaşi vechime, dar au ieşit la pensie în perioade diferite, vor primi aceeaşi sumă de bani. Joi, a avut loc o primă întâlnire pe tema legii pensiilor a Consiliului Naţional Tripartit, ce reuneşte reprezentanţi ai Guvernului, sindicatelor şi patronatelor.



    Premierul Viorica Dăncilă a reamintit că, de la preluarea guvernării de către actuala coaliţie PSD-ALDE, pensiile au crescut în trei etape, ultima majorare aplicându-se începând cu 1 iulie. Premierul este de părere că noul proiect ar asigura sustenabilitatea sistemului de pensii şi este în beneficiul pensionarilor: “Este un proiect bun care rezolvă, în primul rând, inechităţile din sistemul public de pensii şi care va duce la creşteri substanţiale ale pensiilor. Astfel, punctul de pensie a crescut cu 26% de la 871,5 lei la 1.100 lei (n.r. aprox. 239 euro), iar pensia minimă garantată a crescut la 640 de lei (n.r. 139 euro).”



    În schimb, preşedintele Blocului Naţional Sindical, Dumitru Costin, a precizat că a semnalat o serie de probleme ale proiectului de lege a pensiilor, dar că se va putea interveni asupra acestuia în următoarele trei luni în care va fi supus dezbaterii parlamentare.



    La rândul său, Bogdan Hossu, liderul Cartel Alfa, a afirmat că au fost dezbătute aspecte ce trebuie ulterior reglate prin alte acte normative legate de condiţiile deosebite şi speciale de muncă, de penalizarea incorectă a salariatului, dar şi de creşterea salariului minim. “Salariul minim e prevăzut să crească cu 150 de lei brut, subliniez, nu net, până în 2022, când trebuie să ajungă la 2.500 de lei (n.r. 543 de euro).”



    În ceea ce priveşte poziţia Patronatului Naţional Român, vicepreşedintele acestuia, Dan Matei Agathon, a precizat: “Susţinem această lege şi credem că s-a dezbătut prea mult. În fiecare seară, la toate televiziunile, în toată media, pensiile, pensiile, pensiile. Gata! Un an de zile e mult prea mult pentru o lege. E o lege bună, aduce bani unor oameni care au nevoie, hai să îi dăm!”



    Potrivit datelor anunţate, săptămâna trecută, de Institutul Naţional de Statistică, în trimestrul al doilea, pensia medie lunară a fost de 1.122 de lei, echivalentul a 244 de euro, egală cu cea din trimestrul precedent, dar mai mare cu aproape 10% comparativ cu acelaşi trimestru al anului trecut.

  • Accord entre le gouvernement et les syndicats du secteur sanitaire

    Accord entre le gouvernement et les syndicats du secteur sanitaire

    Après les négociations entre le gouvernement et les syndicats, l’unique certitude c’est que la grève générale dans le système sanitaire, prévue pour vendredi, n’aura plus lieu. Les protestations spontanées des personnels hospitaliers, au mois d’avril et puis la grève d’avertissement de deux heures observée lundi dernier en étaient les signes avant-coureurs. Ce sont là les conséquences, pour le moins paradoxales, des réformes du système sanitaire, promues par la coalition gouvernementale Parti social-démocrate – Alliance des libéraux et des démocrates. Cette même coalition gouvernementale avait promis des salaires tellement alléchants qu’ils détermineraient les quelque 15.700 médecins roumains qui travaillent actuellement dans des cliniques à l’étranger à rentrer dans le pays. C’est vrai qu’en début d’année les rémunérations des médecins ont augmenté de manière spectaculaire, passant de l’équivalent de quelques centaines d’euros à celui de plusieurs milliers d’euros et que les salaires des infirmiers ont connu des majorations généreuses. Pourtant, la décision du ministère de la Santé de limiter les suppléments salariaux à 30 % du montant des salaires de base au niveau des ordonnateurs principaux des crédits a engendré des baisses significatives des revenus de certaines catégories de personnel, tels les brancardiers, les aides-soignants, les biologistes ou les pharmaciens.

    La ministre de la Santé, Sorina Pintea, a fait savoir que le gouvernement allait procéder à une nouvelle modification de la loi des salaires dans le secteur public. Ces modifications ne concerneront que la manière d’octroyer les compléments de rémunération, a déclaré la ministre de l’Emploi, Lia Olguţa Vasilescu. Elle a également précisé que le service de garde hospitalier effectué par les médecins et les infirmiers ne sera plus concerné par le plafonnement à 30% des suppléments de salaire. En plus, les postes de sage-femme et d’aide – soignant seront assimilés à celui d’infirmier. Les hôpitaux à spécialisation unique et certains services ambulanciers pourront majorer ces bonus, à condition d’y apporter des justifications solides. L’accord auquel ont abouti le gouvernement et les syndicats prévoit également que tous les employés ayant subi des coupes salariales à cause de cette loi seront dédommagés. Par ailleurs, les pourparlers sur la convention collective de travail devraient reprendre.

    Leonard Bărăscu, leader du syndicat SANITAS, le plus influent du domaine, a affirmé que si cet accord était conclu, le conflit de travail serait éteint. Toutefois, de l’avis des analystes, cet accord n’est pas à même de guérir les maladies chroniques dont souffre le système sanitaire roumain: établissements hospitaliers vieux, équipements vétustes, pénurie de médicaments parfois vitaux pour le traitement des patients, personnel médical insuffisant ou manquant d’intérêt et des fois même hostile à l’égard des patients. La perception de ces derniers est d’ailleurs révélatrice.

    Selon un rapport de la Commission européenne, près de 60% des Roumains qui se disent touchés par le phénomène de la corruption affirment que celle-ci se manifeste surtout dans le secteur de la santé publique. A son tour, Laura Codruţa Kovesi, cheffe de la Direction nationale anti-corruption, précise que les services médicaux, le budget des établissements hospitaliers et le recrutement du personnel comptent parmi les domaines de prédilection de la corruption. Laura Codruţa Kovesi a même dévoilé, à titre d’exemple, les pots-de-vin versés pour obtenir tel ou tel poste dans le système: 1.500 euros pour les aides-soignants, 2.500 euros pour les infirmiers, 1.000 euros pour les ambulanciers. Autant d’arguments servant à ceux qui soutiennent que le problème ne réside pas dans le sous – financement, mais dans la corruption qui mine ce secteur. (Trad. Mariana Tudose)

  • Acord între Guvern şi sindicatele din Sănătate

    Acord între Guvern şi sindicatele din Sănătate

    După negocierile Guvern-sindicate, singura
    certitudine e că greva generală în sistemul sanitar românesc, programată pentru
    vineri, nu va mai fi declanşată. Aceasta fusese, deja, prefaţată, în aprilie, de
    proteste spontane, izbucnite în spitale de pe tot cuprinsul ţării, şi, luni, de
    o grevă de avertisment de două ore. Sunt consecinţele, cel puţin paradoxale,
    ale reformelor în sistem, promovate de coaliţia guvernamentală PSD-ALDE.
    Aceasta a promis că majorările salariale vor fi atât de generoase, încât vor
    reuşi să-i atragă înapoi în ţară pe cei aproape 15.700 de medici români ce
    lucrează acum în clinici din străinătate.
    Şi, într-adevăr, de la începutul acestui an, salariile medicilor au crescut,
    spectaculos, în medie, de la echivalentul câtorva sute la câteva mii de euro,
    iar cele ale asistentelor au fost, de asemenea, majorate generos. Dar decizia
    ministerului de a limita sporurile la 30% din suma
    salariilor de bază la nivelul ordonatorilor principali de credite a condus la
    scăderi severe ale veniturilor obţinute de infirmieri, brancardieri, biologi
    sau farmacişti.

    Acum, ministrul Sănătăţii, Sorina Pintea, a anunţat că
    guvernul va modifica, din nou, legea salarizării bugetarilor. Modificările
    vizează strict modul de acordare a sporurilor, a adăugat ministrul Muncii, Lia
    Olguţa Vasilescu. Ea a spus că gărzile făcute de medici şi asistente vor fi
    scoase de sub plafonul de 30% prevăzut pentru sporuri. Funcţiile de moaşă şi de
    soră medicală vor fi echivalate cu cea de asistentă. Spitalele cu o specialitate
    unică şi unele servicii de ambulanţă vor putea, în condiţii bine justificate,
    să suplimenteze sporurile. Acordul dintre Guvern şi sindicate mai prevede că
    toţi angajaţii care au avut de pierdut din cauza legii salarizării vor primi
    compensaţii. Ar urma, de asemenea, să fie reluate negocierile pe tema
    contractului colectiv de muncă.

    Liderul SANITAS, cel mai influent sindicat din
    domeniu, Leonard Bărăscu, a anunţat că încheierea acestui acord va conduce la
    stingerea conflictului de muncă. Comentatorii spun, însă, că acordul nu vindecă
    bolile cronice ale sistemului: spitale vechi, cu dotări precare şi pline de
    bacterii, penurie de medicamente, adesea esenţiale pentru tratamente, personal
    medical insuficient şi încă dezinteresat, când nu de-a dreptul ostil faţă de
    pacienţi. Percepţia acestora din urmă e relevantă.

    Potrivit unui raport al
    Comisiei Europene, aproape 60 la sută dintre românii ce se consideră afectaţi
    de fenomenul corupţiei susţin că acesta se manifestă cu precădere în sistemul
    de sănătate publică. Procurorul-şef al DNA, Laura Codruţa Kovesi, spune, la
    rându-i, că printre domeniile predilecte de manifestare a corupţiei figurează serviciile
    medicale, bugetarea unităţilor spitaliceşti şi accesul personalului în sistem.
    Pentru un post de infirmier se solicită mită 1.500 euro, pentru asistent
    medical 2.500, pentru şofer de ambulanţă 1.000 – a exemplificat şefa DNA,
    oferind, astfel, argumente celor care spun că nu sistemul e subfinanţat, ci
    oamenii din sistem fură prea mult.