Tag: Ma Roumanie. Chronique d’un amateur

  • Timişoara, un hiver d’Europe centrale

    Timişoara, un hiver d’Europe centrale

    Marcher la ville comme on marche sa vie. Les façades des bâtiments montrent leurs couleurs, celles de la Mitteleuropa. Le vent dehors est bizarrement comme un vent de la mer, enveloppant, assommant, dans une ville de du Banat entre Serbie et Hongrie.


    Chaque matin, à l’aube, l’Europe s’éclaire d’abord en Roumanie. O zi buna!


    (2014)



  • Au bout du Danube, le soleil se lève

    Au bout du Danube, le soleil se lève

    De Crimée ou d’Istanbul, Sulina, la ville de l’extrême Europe reçoit chaque jour l’ombre de ces navires énormes. Le chenal, qu’un phare signale, s’ouvre en pénétrant la mer pour se protéger de ce que charrie le fleuve, accumulé tout le long de ses rencontres, qui laisse ici ses épaisseurs se glisser un peu plus avant sous les eaux salées qui les reçoivent…



    Chaque matin, à l’aube, l’Europe s’éclaire d’abord en Roumanie. O zi buna!


    (2014)



  • Dans le parc Cismigiu, les joueurs…

    Dans le parc Cismigiu, les joueurs…

    Le temps passe ainsi, presque calmement. L’après-midi bascule vers le début de soirée. Les moineaux, en regagnant leurs nids, couvrent les conversations des hommes. Les arrivants, fatigués de leur journée de travail, prennent la place des partants couverts de la poussière de leur journée de jeux…



    Chaque matin, à l’aube, l’Europe s’éclaire d’abord en Roumanie. O zi buna !


    (2014)



  • Roumanie, la douleur et la passion

    Roumanie, la douleur et la passion

    Tout n’est pas si simple. Une histoire d’amour est faite de douleur et de passion, ainsi va ma vie en Roumanie. Mais alors, me direz-vous, qu’est-ce qui me retient, ici, chez eux ? Eh bien, c’est leur talent et, de mon point de vue, le talent est supérieur à toute autre considération.



    Chaque matin, à l’aube, l’Europe s’éclaire d’abord en Roumanie. O zi buna !


    (2014)



  • Dans le Transsibérien, ce fut la première fois

    Dans le Transsibérien, ce fut la première fois

    La Roumanie m’imprègne depuis toutes ces années. Il m’aura pourtant fallu du temps pour mesurer la relation qui nous lie depuis des décennies. Et je me rends compte que ce n’est toujours pas une évidence pour mes compatriotes…



    Chaque matin, à l’aube, l’Europe s’éclaire d’abord en Roumanie. O zi buna !


    (2014)




  • “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur” – fin de série

    “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur” – fin de série

    Le moment culte de chaque samedi midi. Le rendez-vous de centaines, puis de milliers et des dizaines de milliers d’auditeurs et d’usagers des réseaux sociaux avec un état d’âme. Quatre minutes suspendues dans le quotidien pour une déclaration d’amour aussi intense que discrète, dont chaque parole semble mûrement réfléchie, avant d’être choisie dans une boîte nacrée et pesée dans une balance d’orfèvre. Un exercice d’admiration appelé « Ma Roumanie. Chronique d’un amateur ». 83 pièces d’un puzzle, dont il ne manque qu’une seule. Le dernier épisode de ce feuilleton est diffusé ce samedi, à 11H15 TU. Richard Edwards, son meneur est avec nous pour nous parler de ces 83 semaines sur RRI.


  • La 50e “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur”

    La 50e “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur”

    Un regard essentiel pour comprendre la Roumanie — c’est ce que nous disait, en début de semaine, notre auditeur français Christian Canoën, à propos d’un des produits désormais phare de RRI. « Ma Roumanie. Chronique d’un amateur » fête cette semaine son cinquantième numéro. La réussite de cette série, son créateur n’y croyait pas trop, malgré les encouragements et les assurances de la Rédaction française de RRI. Et pourtant, le succès ne s’est pas laissé attendre. Aujourd’hui, la chronique est plébiscitée par un nombre grandissant d’auditeurs dès son passage à l’antenne ou la publication sur les réseaux sociaux. Dans les coulisses de cette chronique, avec Richard Edwards.


  • Lever de rideau sur “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur”, en exclusivité sur RRI

    Lever de rideau sur “Ma Roumanie. Chronique d’un amateur”, en exclusivité sur RRI

    Cest une Roumanie qui se cache dans des détails que les gens des lieux, les Roumains eux-mêmes nobservent presque plus ou les ignorent tout simplement. Cette Roumanie surprise dans des bribes de conversations, dans les yeux gens, dans des notes de musique, dans les couleurs de certaines toiles, dans des éclats de nature sauvage et dans tant dautres éléments – cette Roumanie, donc, se livre à vous à compter de ce samedi dans une nouvelle chronique, en exclusivité sur RRI, “Ma Roumanie, chronique dun amateur”. Entretien avec Richard Edwards, concepteur et réalisateur de projets culturels…


    Davantage sur Richard Edwards – http://atlante-patrimoinevivant.eu/