Tag: Mugur Isarescu

  • 30.01.2015 (mise à jour)

    30.01.2015 (mise à jour)

    Déclaration — La députée roumaine Elena Udrea, ancienne ministre du Développement régional et du tourisme et candidate à la présidentielle de novembre 2014 de la part du PMP (d’opposition), a annoncé vendredi avoir fait une dénonciation au Parquet national anticorruption contre le procureur en chef de cette institution, Laura Codruta Kövesi, et contre le directeur par intérim du Service roumain de renseignements, Florin Coldea. Dans un entretien accordé à un site d’infos, Udrea a affirmé avoir fait du lobby auprès du premier ministre en exercice, le social-démocrate Victor Ponta, en vue de la nomination de Laura Codruta Kövesi à la tête du Parquet national anticorruption. Udrea accuse aussi Coldea qu’avant de devenir chef par intérim du Service roumain de renseignements, il aurait demandé à son ex-époux, Dorin Cocos, 500.000 euros pour soutenir une chaîne privée de télévision, contrôlée par l’homme d’affaires et député Sebastian Ghita, démissionnaire du PSD. Les déclarations sont faites dans le contexte dans lequel à compter de jeudi, Elena Udrea est enquêtée sous contrôle judiciaire dans le dossier appelé Microsoft, dans lequel d’autres anciens ministres et hommes d’affaires sont sous enquête, y compris son ex-époux. Elle est accusée d’avoir acquis et utilisé des biens de lui — qui est déjà arrêté — et dont elle savait qu’ils provenaient d’infractions.



    Ukraine — La Roumanie est favorable à de nouvelles sanctions contre la Russie et les séparatistes de l’est de l’Ukraine, s’il n’y a pas de progrès sur le terrain et dans les formats de négociations, a déclaré vendredi le chef de la diplomatie, Bogdan Aurescu. Il avait participé, la veille, à Bruxelles, à une réunion des ministres européens des Affaires étrangères, qui ont décidé de prolonger, jusqu’en septembre, les sanctions en place contre la Russie, et d’élargir la liste de citoyens ukrainiens et russes interdits d’entrée dans l’espace communautaire. D’autre part, sur le terrain, des dizaines de personnes, des civils pour la plupart, ont perdu la vie, jeudi et vendredi, dans les combats entre les forces gouvernementales et les rebelles pro russes. Plus de 5000 personnes ont péri depuis le début du conflit, en avril 2014.



    Discussion — Le ministre roumain de la Défense, Mircea Duşa, et son homologue allemande, Ursula von der Leyen, ont eu une discussion téléphonique, vendredi, selon un communiqué du ministère de Bucarest. L’agenda de la discussion a été dominé par la situation de sécurité du flanc est de l’OTAN, sur la toile de fond du conflit armé d’Ukraine, voisine de la Roumanie, et par la réunion ministérielle de l’Alliance de l’Atlantique Nord prévue la semaine prochaine à bruxelles. Les deux interlocuteurs ont également souligné l’importance du dialogue politique et militaire au sommet entre Bucarest et Berlin, précise le communiqué du ministère de la Défense.



    OTAN — La Roumanie est un des six Etats de l’Est européen dans lesquels l’OTAN déploiera des unités de petites dimensions, a annoncé, vendredi, l’Alliance. Son secrétaire général, Jens Stoltenberg, a déclaré que ces unités, qui seront disloquées aussi en Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne et Bulgarie, auraient un rôle-clé, parce qu’elles feraient la connexion entre les forces nationales et les troupes de l’OTAN. Les pays qui fourniront les quelques milliers de militaires qui seront formés et déployés dans le flans est de l’Alliance devraient être annoncés la semaine prochaine, a précisé Stoltenberg. Rappelons que l’OTAN a décidé de créer une force d’intervention rapide dans l’est de l’Europe en réaction aux actions de la Russie en Ukraine.



    Corruption — La Haute Cour de cassation et de justice de Bucarest doit décider ce vendredi de placer ou non en détention provisoire l’ex-ministre de l’Economie, Adriean Videanu. Celui-ci a été retenu par les procureurs du Parquet national anti-corruption pour complicité à abus de fonctions, dans un dossier détaché de celui dont fait l’objet Alina Bica, ex chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme. Parmi les autres personnes arrêtées figurent aussi Alin Cocos, le fils de l’homme d’affaires Dorin Cocos, déjà arrêté, et un conseiller d’Alina Bica, accusés de corruption active et de trafic d’influence et respectivement de complicité à la prise illégale d’intérêts. Jeudi, les procureurs anti-corruption avaient décidé d’enquêter sous contrôle judiciaire la députée Elena Udrea, ex-ministre du Tourisme et l’ex-épouse de Dorin Cocos, dans le cadre de laffaire appelée Microsoft. Elena Udrea, aux côtés de plusieurs autres ex-ministres, est sous enquête pour avoir accordé illégalement des licences informatiques au ministère de l’Education nationale. La députée Udrea est accusée d’avoir reçu et utilisé des biens de Dorin Cocos, même si elle savait que ceux-ci provenaient d’infractions.



    Francs Le gouverneur de la Banque centrale roumaine, Mugur Isarescu, a déclaré ce vendredi qu’après des pourparlers avec les banques commerciales, la Banque nationale acceptera la conversion des crédits en Francs suisses en crédits en lei, au taux de change actuel. La Banque centrale souhaite que ce problème soit résolu par des solutions individuelles et non pas par une mesure générale. Ces déclarations interviennent sur la toile de fond d’un débat créé par l’appréciation historique du Franc suisse suite à la décision du 15 janvier de la Banque nationale suisse d’éliminer le taux de change plancher euro-franc. La décision a provoqué l’envolée de la monnaie helvétique par rapport à l’euro mais aussi au leu. Environ 75 mille Roumains débiteurs en Francs sont touchés par la forte appréciation de cette monnaie.



  • Nachrichten 17.01.2015

    Nachrichten 17.01.2015

    Bukarest: Der Rumänische Nachrichtendienst hat bekanntgegeben, die Zahl der Cyberangriffe in Rumänien sei in der zweiten Dezemberhälfte gestiegen. Zweck dieser war im allgemeinen die Förderung von islamistischen oder anti-israelischen Propaganda Botschaften. In Rumänien haben Cyberangriffe auf die Internetseiten einiger Universitäten, Verwaltungsinstitutionen und Firmen stattgefunden. Die Hacker haben auch die Internetseiten der Rumänischen Patriarchie angegriffen und den Inhalt mit promuslimischen und anti-französischen Botschaften ersetzt. Dem Rumänischen Nachrichtendienst zufolge seien die Angriffe meistens das Wiederspiegen der Konflikte und der Ereignisse in der Welt. Der Anfang des Jahres 2015 wurde von einem Anstieg des Terrorismus in Europa markiert, der von der islamistischen Ideologie motiviert ist.




    Bukarest: Der rumänische Finanzminister Darius Vâlcov und Notenbankchef Mugur Isărescu suchen Lösungen für die Krise des Schweizer Franken. Am Freitag hatte die Währung einen neuen historischen Höhepunkt von 4,42 lei erreicht. Eine Lösung beziehe sich auf die Wiederstaffelung der Kredite für die Kreditnehmer, die niedrige Einkommen haben, so dass diese zwei Jahre lang eine kleine Rate zahlen Wenn die Teilzahlung steigt, soll der Staat einen Teil der Kosten durch die Befreiung von Einkommenssteuern übernehmen. Eine andere Lösung wäre, dass die Banken die Zinsen für die Kredite in Scheizer Franken reduzieren sollen. Rund 75 tausend Rumänen haben Kredite in Schweizer Franken. Sechs Banken in Rumänien decken 90% dieser Kredite. Der Beschluss der Schweizer Nationalbank das Minimum von 1,20 Franken für einen Euro aufzugeben, verursacht Verluste in der ganzen Welt.



    WETTER: Das Wetter in Rumänien ist wärmer als normal für diese Jahreszeit. Der Himmel ist bewölkt im Norden und Nord-Westen. In der Landesmitte, im Osten und im Süden werden Nebel und Glatteis erwartet. THT liegen zw 0 und 12 Grad. In Bukarest messen die Thermometer 0 Grad.

  • 17.01.2015

    17.01.2015

    Attaques informatiques — La fréquence des attaques cybernétiques en Roumanie s’est accrue depuis la mi-décembre, comme dans le reste du monde dernièrement, a annoncé le Service roumain des renseignements. En général, le but a été de promouvoir des messages de propagande islamiste ou anti-israélienne. En Roumanie, des attaques informatiques ont concerné les sites de certaines universités, institutions d’administration publique, mais aussi de différentes sociétés. Les pirates informatiques ont attaqué le site du Patriarcat roumain et ont remplacé le contenu par des messages pro-musulmans et contre l’Etat français. Selon le Service roumain des renseignements, les attaques reflètent bien des fois, dans l’espace virtuel, les conflits et événements du monde, et le début de cette année a été marqué par une recrudescence du terrorisme en Europe, motivée par l’idéologie islamiste.



    Franc suisse — Le ministre roumain des Finances, Darius Vâlcov, et le gouverneur de la Banque centrale, Mugur Isărescu, sont à la recherche de solutions pour la crise du franc suisse, après qu’il eut atteint, de nouveau, un maximum historique de 4,42 lei. Une de ces solutions pourrait être de ré échelonner les crédits pour les personnes aux revenus modestes, de manière à ce qu’elles paient une mensualité moindre pendant deux ans, et qu’après, quand la mensualité augmente, que l’Etat supporte une partie des coûts par des exemptions d’impôt sur le revenu. Une autre serait que les banques réduisent les taux d’intérêt pour les crédits en Francs suisses. 75.000 Roumains ont des crédits en Francs suisses et six banques de Roumanie détiennent 90% de ce type de crédit. La récente décision de la Banque nationale suisse de renoncer au seuil minimum de 1,20 Francs pour un euro provoque des pertes aux banques du monde entier.



    Justice — La Roumanie aura, pour la deuxième année de suite, un rapport de suivi positif de la part de la Commission européenne dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification (MCV). Ce rapport sera bientôt rendu public, a déclaré le ministre roumain de la Justice, Robert Cazanciuc. Selon lui, l’évaluation indique que la Roumanie dispose d’un système judiciaire indépendant et d’institutions efficientes d’application de la loi. La Roumanie est aujourd’hui un exemple de bonnes pratiques dans le domaine de la justice, a précisé Robert Cazanciuc. Et d’ajouter qu’il discuterait, lundi et mardi, à Bruxelles, avec des officiels de la Commission européenne du prochain rapport de suivi. Les efforts de lutte contre la corruption et de réforme de la justice de Roumanie sont suivis par l’intermédiaire du MCV depuis 2006.



  • 28.11.2014 (mise à jour)

    28.11.2014 (mise à jour)

    Visite — L’adhésion de la République de Moldova à l’UE est un des principaux objectifs de la politique étrangère de Bucarest, a déclaré vendredi le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, à l’issue d’une rencontre à Chisinau avec le président du parti libéral-démocrate de Moldova, Vlad Filat. Par ailleurs, Klaus Iohannis et le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti, ont plaidé en faveur de l’approfondissement des relations spéciales entre les deux Etats. La visite en République de Moldova du président élu de la Roumanie a eu lieu deux jours avant les éléctions parlementaires de dimanche, considérées comme cruciales pour l’orientation géopolitique de ce pays ex–soviétique, à population majoritairement romanophone.





    Justice — Alina Bica, l’ancienne chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie, reste en détention provisoire, après que la Haute Cour de cassation et de justice eut rejeté sa contestation vendredi. Alina Bica est accusée d’avoir approuvé, en 2011, lorsqu’elle était secrétaire d’Etat au ministère de la Justice et membre d’une commission de l’Autorité nationale pour la restitution des propriétés (ANRP), ainsi que trois autres personnes également retenues, le paiement de dédommagements surévalués pour un terrain. Selon les procureurs anticorruption, le préjudice est estimé à plus de 60 millions d’euros. L’ancienne chef de l’ANRP a également été placée en détention provisoire dans cette même affaire.



    Monnaie unique — La Roumanie remplit quasiment tous les critères pour adopter la monnaie unique européenne, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu. Il a ajouté que cette décision doit être prise uniquement lorsque la Roumanie se rapprochera des performances économiques des Etats de la zone euro. Le gouverneur a expliqué que l’économie roumaine est à présent stable, mais qu’elle a des problèmes au niveau micro, mentionnant le grand nombre de cas d’insolvabilité ces dernières années.



    1er Décembre – Les membres de lAcadémie roumaine se sont réunis ce vendredi en session scientifique solennelle pour fêter la Grande Union de 1918. Loccasion pour les représentants des principales institutions de lEtat qui ont contribué aux préparatifs et à la réalisation de lUnion – lAcadémie roumaine, lEglise, lEcole, lAssociation Astra – de remémorer leffort commun qui a rendu possible cette importante réussite du peuple roumain. Le 1er décembre 1918, à Alba Iulia (ville du centre de la Roumanie), les représentants des Roumains, population majoritaire des régions de Transylvanie, Crisana, Maramures et Banat, ont décidé de se joindre au Royaume de Roumanie. Ce geste parachevait, à la fin de la première guerre mondiale, le processus de constitution de lEtat national unitaire roumain, par lentrée sous lautorité de Bucarest de toutes les provinces à population majoritaire roumaine se trouvant dans la composition des empires multinationaux voisins. Après la révolution anticommuniste de décembre 1989, le 1er Décembre est devenu Fête nationale de la Roumanie.



    Déclaration — Même si la Roumanie a rejoint l’OTAN, en 2004, et l’UE, en 2007, les réformes adoptées pour garantir l’adhésion ne semblent pas avoir été vraiment mises en place. C’est ce qu’a déclaré l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Bucarest, Mark Gitenstein, à la célèbre publication The Wall Street Journal. Selon le diplomate américain, depuis la chute du communisme, en 1989, on assiste en Roumanie à une lutte titanesque, entre d’une part les forces du changement et de la réforme, encouragées par l’UE, le FMI, la Banque Mondiale et les diplomates occidentaux, de l’autre les oligarques et les barons politiques, qui visent un changement partiel de l’état de choses. Les réformes, la démocratie fonctionnelle et le marché libre seront durables à condition qu’ils soient pleinement adoptés par le peuple roumain, a conclu l’ancien ambassadeur américain à Bucarest.



    Fonds européen — La Commission européenne a approuvé vendredi le programme opérationnel présenté par Bucarest pour mettre en oeuvre le nouveau Fonds européen d’aide aux plus démunis. La Roumanie recevra plus de 440 millions d’euros pour les six années à venir. Cet argent ira aux personnes assistées socialement, aux personnes âgées qui touchent de faibles pensions de retraite et à celles dont le revenu mensuel représente moins de 45% du SMIC. Cette somme sera complétée par 75 millions d’euros provenant de ressources nationales.

  • Die rumänische Wirtschaft und der Euro

    Die rumänische Wirtschaft und der Euro

    Rumänien sollte sich nicht beeilen den Euro einzuführen, auch wenn das Land den Grossteil der Bedingungen erfüllt. Das hat vor Kurzem Rumäniens Notenbank-Chef Mugur Isarescu erklärt. Die Notenbank unterstütze die Einführung des Euros im Jahr 2019. Eine solche Entscheidung müsse aber dann getroffen werden, wenn Rumänien sich dem Entwicklungsgrad und den Wirtschaftsleistungen der Euro-Länder nähern wird. Rumänien erfüllt im Moment alle fünf Kriterien, die sogenannten Maastricht-Kriterien, für den Beitritt zum Euro-Raum. Auch 10 der 11 Kriterien der EU für die Aufsicht der makroökonomischen Ungleichgewichten werden eingehalten. Der wirtschaftliche Entwicklungsgrad ist aber viel kleiner als der der westlichen Staaten. Mugur Isărescu:




    “Unglaublich, aber wahr, alle fünf Maastricht-Kriterien sind erfüllt und scheinen jetzt nachhaltig erfüllt zu sein. Vom Schlusslicht sind wir Tabellenführer geworden, wir brauchen aber keine Euphorie. Von der Euro-Einführung werden wir auch in zwei Jahren nicht sprechen können. Wir unterstützen die Euro-Einführung als Anker, als Katalysator, aber wir können aber nicht riskieren, weil die Vorgehensweise eine andere ist und die Probleme der rumänischen Wirtschaft andere sind.”




    Die Konvergenz-Kriterien betreffen die Finanzpolitik, das Niveau und die Stabilität der Preise, der Zinsen und des Wechselkurses. Weitrer muss das Haushaltsdefizit unter 3 % vom Bruttoinlandsprodukt liegen und der Verschuldungsgrad unter 60 % vom Bruttoinlandsprodukt. Rumänien könnte dem Euro-Raum beitreten, wenn das Pro-Kopf-Bruttoinlandsprodukt 60 % des EU-Durchschnitts erreichen wird. In diesem Moment liegt er bai knapp über 50 %.




    Der IWF hat die Wirtschaftswachstum-Prognose für dieses Jahr nach oben, bis auf 2,4 %, korrigiert. Die rumänische Regierung erwartet ein Wachstum von 2,8 %. Im Jahr 2013 verzeichnete die rumänische Wirtschaft ein Wachstum von 3,5 %. Um den Euro 2019 einzuführen müsste die rumänische Wirtschaft um 5 % im Jahr wachsen. Das sei ein sehr ehrgeiziges Ziel und unerreichbar ohne angemessene Politiken, meinen Spezialisten.

  • 28.11.2014

    28.11.2014

    Visite — Le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, a déclaré aujourd’hui, à Chişinău, que l’adhésion de la République de Moldova à l’UE était un des principaux objectifs de la politique étrangère de Bucarest. Klaus Iohannis a fait cette déclaration à l’issue d’une rencontre avec le président du parti libéral-démocrate de Moldova, Vlad Filat. Le président élu de la Roumanie doit également rencontrer le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti — une entrevue non officielle. La visite a lieu deux jours avant les élections parlementaires de dimanche, considérées cruciales pour l’orientation géopolitique de la République de Moldova, ex-soviétique, à majorité roumanophone.



    Justice — Alina Bica, l’ancienne chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie, reste en détention provisoire, après que la Haute Cour de cassation et de justice eut rejeté sa contestation aujourd’hui. Alina Bica est accusée d’avoir approuvé, en 2011, lorsqu’elle était secrétaire d’Etat au ministère de la Justice et membre d’une commission de l’Autorité nationale pour la restitution des propriétés (ANRP), ainsi que trois autres personnes également retenues, le paiement de dédommagements surévalués pour un terrain. Selon les procureurs anticorruption, le préjudice est estimé à plus de 60 millions d’euros. L’ancienne chef de l’ANRP a également été placée en détention provisoire dans cette même affaire.



    Monnaie unique — La Roumanie remplit quasiment tous les critères pour adopter la monnaie unique européenne, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu. Il a ajouté que cette décision doit être prise uniquement lorsque la Roumanie se rapprochera des performances économiques des Etats de la zone euro. Le gouverneur a expliqué que l’économie roumaine est à présent stable, mais qu’elle a des problèmes au niveau micro, mentionnant le grand nombre de cas d’insolvabilité ces dernières années.



    1er Décembre – Les membres de lAcadémie roumaine se réunissent ce vendredi en session scientifique solennelle pour fêter la Grande Union de 1918. Loccasion pour les représentants des principales institutions de lEtat qui ont contribué aux préparatifs et à la réalisation de lUnion – lAcadémie roumaine, lEglise, lEcole, lAssociation Astra – de remémorer leffort commun qui a rendu possible cette importante réussite du peuple roumain. Le 1er décembre 1918, à Alba Iulia (ville du centre de la Roumanie), les représentants des Roumains, population majoritaire des régions de Transylvanie, Crisana, Maramures et Banat, ont décidé de se joindre au Royaume de Roumanie. Ce geste parachevait, à la fin de la première guerre mondiale, le processus de constitution de lEtat national unitaire roumain, par lentrée sous lautorité de Bucarest de toutes les provinces à population majoritaire roumaine se trouvant dans la composition des empires multinationaux voisins. Après la révolution anticommuniste de décembre 1989, le 1er Décembre est devenu Fête nationale de la Roumanie.



    Football — Le club champion de Roumanie au football, Steaua Bucarest, a été dépassé, jeudi, en déplacement, 0-1 (0-0), par le club champion du Danemark, Aalborg BK, au groupe J de la Ligue Europa. Au match aller, Steaua avait disposé d’Aalborg 6-0. Le club roumain conserve des chances de se qualifier à l’étape suivante, s’il réussit à dépasser Dinamo Kiev, déjà qualifiée, dans son dernier match, prévu le 11 décembre à Bucarest. Jeudi, la vice championne de Roumanie au football, Astra Giurgiu (sud), a triomphé de la championne de la Croatie, Dinamo Zagreb, 1-0, dans un match du groupe D de l’Europa League. Astra Giurgiu disputera son dernier match du groupe le 11 décembre en déplacement, contre FC Salzbourg.

  • 28.11.2014

    28.11.2014

    Visite — Le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, a déclaré aujourd’hui, à Chişinău, que l’adhésion de la République de Moldova à l’UE était un des principaux objectifs de la politique étrangère de Bucarest. Klaus Iohannis a fait cette déclaration à l’issue d’une rencontre avec le président du parti libéral-démocrate de Moldova, Vlad Filat. Le président élu de la Roumanie doit également rencontrer le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti — une entrevue non officielle. La visite a lieu deux jours avant les élections parlementaires de dimanche, considérées cruciales pour l’orientation géopolitique de la République de Moldova, ex-soviétique, à majorité roumanophone.



    Justice — Alina Bica, l’ancienne chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie, reste en détention provisoire, après que la Haute Cour de cassation et de justice eut rejeté sa contestation aujourd’hui. Alina Bica est accusée d’avoir approuvé, en 2011, lorsqu’elle était secrétaire d’Etat au ministère de la Justice et membre d’une commission de l’Autorité nationale pour la restitution des propriétés (ANRP), ainsi que trois autres personnes également retenues, le paiement de dédommagements surévalués pour un terrain. Selon les procureurs anticorruption, le préjudice est estimé à plus de 60 millions d’euros. L’ancienne chef de l’ANRP a également été placée en détention provisoire dans cette même affaire.



    Monnaie unique — La Roumanie remplit quasiment tous les critères pour adopter la monnaie unique européenne, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu. Il a ajouté que cette décision doit être prise uniquement lorsque la Roumanie se rapprochera des performances économiques des Etats de la zone euro. Le gouverneur a expliqué que l’économie roumaine est à présent stable, mais qu’elle a des problèmes au niveau micro, mentionnant le grand nombre de cas d’insolvabilité ces dernières années.



    1er Décembre – Les membres de lAcadémie roumaine se réunissent ce vendredi en session scientifique solennelle pour fêter la Grande Union de 1918. Loccasion pour les représentants des principales institutions de lEtat qui ont contribué aux préparatifs et à la réalisation de lUnion – lAcadémie roumaine, lEglise, lEcole, lAssociation Astra – de remémorer leffort commun qui a rendu possible cette importante réussite du peuple roumain. Le 1er décembre 1918, à Alba Iulia (ville du centre de la Roumanie), les représentants des Roumains, population majoritaire des régions de Transylvanie, Crisana, Maramures et Banat, ont décidé de se joindre au Royaume de Roumanie. Ce geste parachevait, à la fin de la première guerre mondiale, le processus de constitution de lEtat national unitaire roumain, par lentrée sous lautorité de Bucarest de toutes les provinces à population majoritaire roumaine se trouvant dans la composition des empires multinationaux voisins. Après la révolution anticommuniste de décembre 1989, le 1er Décembre est devenu Fête nationale de la Roumanie.



    Football — Le club champion de Roumanie au football, Steaua Bucarest, a été dépassé, jeudi, en déplacement, 0-1 (0-0), par le club champion du Danemark, Aalborg BK, au groupe J de la Ligue Europa. Au match aller, Steaua avait disposé d’Aalborg 6-0. Le club roumain conserve des chances de se qualifier à l’étape suivante, s’il réussit à dépasser Dinamo Kiev, déjà qualifiée, dans son dernier match, prévu le 11 décembre à Bucarest. Jeudi, la vice championne de Roumanie au football, Astra Giurgiu (sud), a triomphé de la championne de la Croatie, Dinamo Zagreb, 1-0, dans un match du groupe D de l’Europa League. Astra Giurgiu disputera son dernier match du groupe le 11 décembre en déplacement, contre FC Salzbourg.

  • The Romanian Economy and the Euro

    The Romanian Economy and the Euro

    Romania should not rush into joining the eurozone, even if it meets most requirements in this respect, the Governor of the National Bank of Romania, Mugur Isarescu has recently said. He explained the central bank supports the plans to adopt the euro in 2019, but said this step should only be made when Romania has truly come close to the development level and the economic performance of the eurozone countries.



    Romania currently meets all five official requirements for joining the eurozone known as “the Maastricht criteria,” as well as ten out of the eleven criteria for identifying macroeconomic imbalances applicable across the EU. The country still has an economic development level, which is far from that in other western countries, and for this reason Romania should not rush into joining the eurozone, Mugur Isarescu argues:



    “Incredible as it may sound, all five Maastricht criteria are met, and by all indications they have been met in a sustainable manner. We have moved from the bottom to the top, but we must not be overenthusiastic about it. We can’t think about adopting the euro just yet, not even in two years’ time. We support the idea of joining the eurozone as an anchor and a target, but we cannot hasten this process, because this requires a different approach and the problems of the Romanian economy are different from those of the eurozone.”



    The convergence criteria have to do with the financial policy, the level and stability of prices, interest rates and currency exchange rates, a budget deficit below 3% of the GDP and a public debt below 60%. Economic analysts believe that, in order to avoid major imbalances, Romania may join the eurozone only after its GDP per capita has reached at least 60% of the European average, instead of slightly over 50% at present.



    The International Monetary Fund has revised its estimates concerning Romania’s GDP growth for 2014 to 2.4%, while the Romanian authorities expect a 2.8% economic growth rate. Last year the Romanian economy grew by 3.5%, which was one of the highest growth rates in Europe. Even so, the country needs a 5% annual growth rate in order to achieve convergence with the Western economies and to shift to the single currency in 2019, a goal which, according to experts, is very ambitious and impossible to reach without efficient policies.

  • 28.11.2014

    28.11.2014

    Visite — Le président élu de la Roumanie, Klaus Iohannis, a déclaré aujord’hui, à Chişinău, que l’adhésion de la République de Moldova à l’UE était un des principaux objectifs de la politique étrangère de Bucarest. Klaus Iohannis a fait cette déclaration à l’issue d’une rencontre avec le président du parti libéral-démocrate de Moldova, Vlad Filat. Le président élu de la Roumanie doit également renconttrer le président de la République de Moldova, Nicolae Timofti — une entrevue non officielle. La visite a lieu deux jours avant les élections parlementaires de dimanche, considérées cruciales pour l’orientation géopolitique de la République de Moldova, ex-soviétique, à majorité roumanophone.



    Justice — Alina Bica, l’ancienne chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie, reste en détention provisoire, après que la Haute Cour de cassation et de justice eut rejeté sa contestation aujourd’hui. Alina Bica est accusée d’avoir approuvé, en 2011, lorsqu’elle était secrétaire d’Etat au ministère de la Justice et membre d’une commission de l’Autorité nationale pour la restitution des propriétés (ANRP), ainsi que trois autres personnes également retenues, le paiement de dédommagements surévalués pour un terrain. Selon les procureurs anticorruption, le préjudice est estimé à plus de 60 millions d’euros. L’ancienne chef de l’ANRP a également été placée en détention provisoire dans cette même affaire.



    Monnaie unique — La Roumanie remplit quasiment tous les critères pour adopter la monnaie unique européenne, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale de Roumanie, Mugur Isărescu. Il a ajouté que cette décision doit être prise uniquement lorsque la Roumanie se rapprochera des performances économiques des Etats de la zone euro. Le gouverneur a expliqué que l’économie roumaine est à présent stable, mais qu’elle a des problèmes au niveau micro, mentionnant le grand nombre de cas d’insolvabilité ces dernières années.




    1er Décembre – Les membres de lAcadémie roumaine se réunissent ce vendredi en session scientifique solennelle pour fêter la Grande Union de 1918. Loccasion pour les représentants des principales institutions de lEtat qui ont contribué aux préparatifs et à la réalisation de lUnion – lAcadémie roumaine, lEglise, lEcole, lAssociation Astra – de remémorer leffort commun qui a rendu possible cette importante réussite du peuple roumain. Le 1er décembre 1918, à Alba Iulia (ville du centre de la Roumanie), les représentants des Roumains, population majoritaire des régions de Transylvanie, Crisana, Maramures et Banat, ont décidé de se joindre au Royaume de Roumanie. Ce geste parachevait, à la fin de la première guerre mondiale, le processus de constitution de lEtat national unitaire roumain, par lentrée sous lautorité de Bucarest de toutes les provinces à population majoritaire roumaine se trouvant dans la composition des empires multinationaux voisins. Après la révolution anticommuniste de décembre 1989, le 1er Décembre est devenu Fête nationale de la Roumanie.



    Football — Le club champion de Roumanie au football, Steaua Bucarest, a été dépassé, jeudi, en déplacement, 0-1 (0-0), par le club champion du Danemark, Aalborg BK, au groupe J de la Ligue Europa. Au match aller, Steaua avait disposé d’Aalborg 6-0. Le club roumain conserve des chances de se qualifier à l’étape suivante, s’il réussit à dépasser Dinamo Kiev, déjà qualifiée, dans son dernier match, prévu le 11 décembre à Bucarest. Jeudi, la vice championne de Roumanie au football, Astra Giurgiu (sud), a triomphé de la championne de la Croatie, Dinamo Zagreb, 1-0, dans un match du groupe D de l’Europa League. Astra Giurgiu disputera son dernier match du groupe le 11 décembre en déplacement, contre FC Salzbourg.


  • Retrospectiva săptămânii 2.11 – 8.11.2014

    Retrospectiva săptămânii 2.11 – 8.11.2014

    Premierul social-democrat Victor Ponta şi primarul Sibiului, liberalul Klaus Iohannis, se întâlnesc în turul doi al prezidenţialelor



    Candidatul alianţei PSD-UNPR-PC, premierul Victor Ponta, şi reprezentantul Aliantei Crestin Liberale, primarul Sibiului, Klaus Iohannis, se vor înfrunta, pe 16 noiembrie, în turul al doilea al alegerilor prezidenţiale. În primul tur, cei doi s-au plasat pe primele locuri în opţiunile românilor, care au avut de ales între 14 candidaţi. Victor Ponta a obţinut 40,44% din voturi, iar Klaus Iohannis 30,37%, în condiţiile în care prezenţa la urne a fost de 53,17%. În perspectiva turului doi, Victor Ponta a obţinut sprijinul câtorva candidaţi iesiţi din competiţie, între care fostul premier liberal Călin Popescu Tăriceanu şi doi exponenţi ai curentului populist, Corneliu Vadim Tudor şi Dan Diaconescu. Victor Ponta se bazează şi pe susţinerea fostului director al Serviciului Român de Informaţii Externe, Teodor Meleşcanu. De cealaltă parte, Klaus Iohannis va fi susţinut de candidatul independent Monica Macovei, centru-dreapta, fost ministru al Justiţiei. UDMR şi-a îndemnat susţinătorii să voteze în turul al doilea potrivit conştiinţei fiecăruia.




    Foarte mulţi români din străinătate au votat în primul tur



    În diaspora, românii s-au prezentat în număr mare la vot. Peste 161.000 de români din afara graniţelor — un număr record – au votat în primul tur al alegerilor prezidenţiale, în cele 294 de secţii deschise în străinătate. În unele dintre ele votul a fost marcat de nemulţumirea oamenilor care au fost nevoiţi să aştepte ore întregi, iar în unele cazuri chiar nu au reuşit să voteze. Sute de persoane au stat astfel la cozi în unele capitale europene. Pentru evitarea unor astfel de situaţii pe 16 noiembrie, Ministerul Român de Externe şi Biroul Electoral Central au convenit o serie de măsuri care să simplifice procesul de votare. Astfel, românii din afara graniţelor ţării pot descărca de pe site-urile bec.ro şi mae.ro formularul declaraţiei pe proprie răspundere de care au nevoie pentru a putea vota în turul doi al alegerilor prezidenţiale. Acesta poate fi completat de titular înainte de a intra la vot, dar semnarea şi datarea acestuia se vor face în faţa membrilor secţiei de votare. În plus, va fi suplimentat numărul cabinelor de vot din secţiile deja existente.




    Comisarul European pentru Politici Regionale, Corina Creţu a paticipat la Bucureşti la lansarea Acordului de Parteneriat cu România



    La Bucureşti a fost lansat Acordul de Parteneriat între România şi Comisia Europeană. Documentul reglementează modul în care vor fi folosite fondurile europene, structurale şi de investiţii în următorii ani şi a fost lansat în prezenţa Comisarului European pentru Politică Regională, românca Corina Creţu. Documentul a fost elaborat şi negociat cu experţii europeni vreme de aproape un an. Executivul european a adoptat în luna august Acordul cu România, care a fost cel de-al XI-lea stat membru al Uniunii Europene care a obţinut aprobarea acestui document. În perioada 2014 – 2020, România beneficiază de fonduri europene în valoare de aproximativ 43 de miliarde de euro, din care aproape 22 de miliarde sunt fonduri de coeziune. Banii ar urma să fie folosiţi pentru proiecte de infrastructură, în sănătate şi educaţie, dezvoltare şi modernizare a comunităţilor locale, crearea de noi locuri de muncă şi pentru a recupera decalajele de dezvoltare faţă de Uniunea Europeană.




    Banca Naţională a României a redus prognoza referitoare la rata inflaţiei pentru sfârşitul lui 2014



    Banca Naţională a României a redus prognoza pentru rata inflaţiei la sfârşitul acestui an de la 2,2 la 1,5%. Guvernatorul BNR, Mugur Isărescu, a precizat că situaţia se datorează în principal scăderii cotaţiei petrolului, stabilităţii preţului la gaze naturale, unei recolte bune în România, dar şi creşterii importurilor din statele care nu mai au relaţii comerciale cu Rusia. În opinia şefului băncii centrale, stabilizarea inflaţiei prevăzută pentru anul viitor poate crea condiţiile unei creşteri economice pe termen lung. Pe de alta parte, BNR a redus din nou şi dobânda de politică monetară, cu 0,25 puncte procentuale, la 2,75% pe an dar şi ratele rezervelor minime obligatorii pentru pasivele în valută de la 16 la 14%. Pe de altă parte, previziunile de toamnă ale Comisiei Europene arată că România a ieşit din recesiune, înregistrând o creştere de 1% a PIB în trimestrul al treilea faţă de cel anterior, după două scăderi consecutive. Potrivit prognozei, România va avea o creştere economică de 2% în 2014, în scădere însă faţă de estimarea precedentă de 2,5%. Consumul privat şi exporturile au fost principalele motoare ale creşterii, în timp ce investiţiile au continuat să contribuie negativ.





    Doar una din echipele româneşti de fotbal prezente în Liga Europa mai are şanse de calificare



    Campioana României la fotbal, Steaua Bucureşti, a remizat, în deplasare, scor 2-2, cu echipa portugheză Rio Ave, într-un meci din grupa J a Ligii Europa. Cu 7 puncte, steliştii ocupă locul al doilea în grupă, în urma ucrainenilor de la Dinamo Kiev, care au învins, pe teren propriu, formatia daneza Aalborg, cu 2-0. În grupa D, vicecampioana României, Astra din Giurgiu, a terminat la egalitate, 1-1, pe teren propriu, cu celebra echipa scoţiană Celtic Glasgow şi a pierdut orice şansă de calificare în primavara europeană. Din grupa Astrei, este deja calificată Red Bull Salzburg din Austria, care a trecut de Dinamo Zagreb (Croatia).

  • What Europe’s Economic Future Looks Like?

    The month of September 2014 registered its lowest with regard to people’s trust in the economy of the Eurozone and of the EU in general, and inflation estimates among households and producers have kept dropping. Data published by the European Commission show that the Economic Sentiment Indicator, designed to show how a group feels about the market, business environment or other factors, dropped down to 99.9 points in the Eurozone in September, from 100.6 points registered in August, with only services and the construction sector seeing a slight improvement of the same indicator. As for Romania, estimates regarding the business environment are flat too, and specialists say that this situation will lead to a correction of the optimistic prospects envisaged for the third quarter of this year. Four indicators are under scrutiny: the processing industry, services, retail trade and construction. Economic analyst Aurelian Dochia says that company managers have changed their view of the situation this year, after a number of EU countries have had unconvincing developments as compared to the estimates made early this year.



    In many countries, these indicators are used to correct growth estimates for the coming period. Generally speaking, in Europe, although the situation looked brighter at the beginning of the year, optimism has diminished by the month, and even in countries such as Germany, which did rather well during the crisis, these indicators, coming from companies’ managers, have stagnated, and have even diminished, which obviously jeopardizes economic growth for both the Eurozone and the EU as a whole. In Romania too there is a correlation between what happens in Europe and national indicators, because it is obvious that many of the Romanian companies working for export are influenced by what is happening in Europe.”



    nalyst Aurelian Dochia believes that, with regard to economic performance, Romania is unlikely to register any growth by the end of this year. After the first two quarters affected by the so called technical recession, we will probably see a stagnating one, so all in all we will be able to speak about a 2% growth for 2014, maybe even less than that. IMF’s estimates are a little bit more optimistic, but they have dropped too. The international financial institution has lowered Romania’s GDP growth estimate from 2.8%, as anticipated in June, to 2.4%. According to the IMF’s winter forecast published this week, economic growth for 2015 will stay at 2.5% of the GDP. A World Economic Outlook Report reflects the same dropping figures for this year and for 2015, also stressing the risk of stagnation in the rich countries, as well as of escalated geopolitical tensions in Ukraine and the Middle East.



    The IMF has also lowered economic growth estimates for the Eurozone, due to concerns over deflation and high unemployment rates. The development of world economy is behind the estimated pace, IMF General Director Christine Lagarde has warned, the main causes of this mediocre evolution being the issues confronting the Eurozone and Japan. The situation is different from one country to another, but world economies could be affected in a negative way by geopolitical threats turning into reality, Christine Lagarde also said.



    “If the crisis in Ukraine gets any worse, in every respect that will have a negative impact in the region and it could also have a negative influence on the price of the raw materials or even on international trade. Other notable risk factors have to do with the situation in the Middle East and the Ebola outbreak. If the spread of the virus is not contained, all those who are now speaking about the outbreak but do not do anything about it, are highly likely to find themselves in a very difficult situation”, the IMF official has warned. Against the backdrop of a low inflation rate and high unemployment, a decrease in consumption and investment rate leads up to economic growth building up at a slower pace, the IMF official also warned.



    As far as Romania is concerned, the country does not run the risk of inflation, neither is it certain that inflation will continue its downward trend for a longer period of time, Romania’s Central Bank governor Mugur Isarescu said in Bucharest. Isarescu went on to say the embargo Russia imposed on foodstuffs triggered lower floating prices caused by the fact that cheap foodstuffs from the European Union but also from the Republic of Moldova were available on the Russian market. Furthermore, complex developments at European level are also likely to determine a drop in inflation. Attending a conference on the financial market, Mugur Isarescu underscored that the stability of prices, especially the inflation control, makes a necessary yet not sufficient prerequisite for financial stability. In another development, the General Association of Economists from Romania shares the opinion that Bucharest has been going through a period which is favourable to economic re-launch and should also stick to the trend of reducing the dependency on foreign financing resources.





  • Evolutions économiques positives

    Evolutions économiques positives

    Avec une croissance économique de 3,5% en 2013, la Roumanie a démarré en force l’année en cours, et l’évolution positive de ces premiers mois prouve que l’économie commence à se consolider et entre dans un cycle de développement durable. C’est ce qu’a mis en évidence le gouverneur de la Banque Centrale de Roumanie, Mugur Isarescu, dans son rapport sur l’inflation. Selon le document, pour la fin de cette année, la Banque Centrale table sur une l’inflation de 3,3% au lieu de 3,5%, en raison des évolutions favorables constatées pour tous les facteurs qui influencent la dynamique des prix à la consommation.



    Mugur Isarescu : « Tous les fronts de l’inflation sont en train de se calmer en Roumanie, c’est la tendance générale. Au premier trimestre de cette année, les prix à la consommation ont augmenté de 1%. Les prix des légumes et des fruits ont continué à baisser. Nous n’avons pas de problèmes pour ce qui est du marché du travail, autrement dit, les salaires sont à la hausse, mais ils sont étroitement liés à la productivité. Bien sûr, il faut prendre en compte aussi l’année agricole: l’agriculture se porte pas mal à l’heure actuelle. Mais pour être sûrs, il faut attendre l’automne ».



    Il a également expliqué que ce niveau de 1% du taux d’inflation enregistré les trois premiers mois de l’année est dû notamment à la récolte très riche de 2013, rapportée à une année agricole très faible en 2012, ainsi qu’à la TVA diminuée pour le pain et les produits de boulangerie. S’y ajoute le fait que la cotation du brut au niveau international est de nouveau à la baisse.



    Restant prudent, Mugur Isarescu a toutefois rappelé qu’il y avait aussi des éléments qui pourraient engendrer une inflation plus élevée que prévu. Parmi eux: la dynamique des prix des matières premières sur les marchés internationaux et ceux des aliments sur le marché intérieur, les incertitudes visant la mise en oeuvre ferme des réformes structurelles dans le contexte de l’année électorale, mais aussi et surtout le contexte international, marqué plus que jamais par l’incertitude.



    Le gouverneur de la Banque Centrale de Roumanie, Mugur Isarescu, a également fait référence à l’appréciation de la monnaie nationale par rapport à l’euro et au dollar américain. A son avis, c’est une question de conjoncture, déterminée notamment par la situation régionale, plutôt que par les performances de l’économie roumaine. Enfin, Mugur Isarescu a annoncé que la Roumanie avait remboursé la plupart de son prêt de 12 milliards d’euros, reçu en 2009 de la part du FMI. Avant la fin de l’année, Bucarest doit encore rembourser moins de 10% du total de cette dette dont l’extinction est prévue pour 2015. (trad. Valentina Beleavski)

  • Rumänische Wirtschaft zeigt erste Anzeichen einer Erholung

    Rumänische Wirtschaft zeigt erste Anzeichen einer Erholung

    Laut Angaben von Notenbankchef Mugur Isărescu hat Rumänien einen Gro‎ßteil des 2009 vom IWF bezogenen Kredits zurückgezahlt. Bis Ende des Jahres sei das Darlehen in Höhe von 12 Milliarden Euro vollständig getilgt, ohne dass die Bevölkerung den Rückzahlungsaufwand gespürt hätte. Rumänien habe in den vergangenen Jahren beachtliche Fortschritte, sowohl im Steuerwesen, als auch in Sachen Handelsbilanz verzeichnet, erklärte Isărescu. Das erreichte Wirtschaftswachstum habe sich auch in den Lebensstandards widergespiegelt.



    Ein Bericht der Nationalbank zeigt derweil, dass die Verbesserung der Wirtschaftstätigkeit in Rumänien nach wie vor von der positiven Entwicklung der Exporte und der günstigen Dynamik der Industrie vorangetrieben werde, sowie von der schrittweisen Festigung des Konsums. Im Au‎ßenbereich befänden sich die Leistungsbilanz und die internationalen Reserven auf einem angemessenen Niveau, vor dem Hintergrund der Rückzahlung eines Gro‎ßteils der öffentlichen Schulden. Die gute Entwicklung der rumänischen Wirtschaft kann auch an dem Appetit der Bevölkerung auf Kredite gemessen werden, aber auch an der Bereitschaft der Banken, Kredite zu vergeben. Überhaupt gibt es erste Anzeichen dafür, dass sich das Kreditgeschäft nach Jahren der Stagnation erholt.



    Dafür sei Isărescu laut eigenen Angaben unzufrieden mit den hohen Abgaben, die er selbst, in seiner Eigenschaft als Hauptaktionär eines Weinherstellers leisten müsse, so der Notenbankchef.


    Ich habe innerhalb eines Quartals umgerechnet gut 65.000 Euro an den Staat überwiesen. Ich habe das überall schon gesagt, also kann ich es auch öffentlich sagen. Ich finde, es ist zu viel. Vielleicht ist es nur meine Wahrnehmung und ich bin subjektiv. Aber so geht das nicht. Hüben wie drüben fällt sofort eine Steuer an, alles wird besteuert, mal dies, mal jenes, am Ende der Gewinn. Vielleicht werden wir jetzt wenigstens bei dem neu investierten Gewinn entlastet.” (Mugur Isărescu)



    Unterdessen hat die Regierung den angestrebten Termin für den Beitritt Rumäniens zur Eurozone festgelegt: am 1. Januar 2019 sollte das Land die gemeinschaftliche Währung einführen, gab der delegierte Haushaltsminister Liviu Voinea in Brüssel bekannt. Dort nahm er an dem Treffen der EU-Finanzminister teil. Ferner wurde das von der Regierung vorgeschlagene Konvergenzprogramm für den Zeitraum 2014-2017 vorgestellt, das der Europäischen Kommission vorgelegt werden soll. Das Dokument sieht, unter anderem, Wirtschaftswachstum und die Schaffung von neuen Arbeitsplätze durch die Steuerbefreiung von neu investierten Gewinnen und die Senkung der Sozialbeiträge ab dem 1. Juli 2014 vor.



    Die Senkung der Sozialbeiträge wird auch von Notenbankchef Isărescu befürwortet. Die Ma‎ßnahme könnte positive Auswirkungen haben, sie bedürfe allerdings eines starken politischen Konsens und einer Bewertung der möglichen Folgen, insbesondere im Bereich Preisanpassung. Laut Isărescu müssten die Verantwortlichen die Senkung der Steuern und die Erweiterung der Besteuerungsgrundlage als Lösung in Erwägung ziehen. Als die Gewinnsteuer von 40% auf 25% gedrückt wurde, haben sich die Haushaltseinnahmen bis Ende des Jahres verdoppelt, erklärte der Gouverneur der Nationalbank.

  • Die Woche 6.01.-10.01. im Überblick

    Die Woche 6.01.-10.01. im Überblick

    Rumänischer Ex-Ministerpräsident Adrian Năstase zu 4 Jahren Vollstreckungshaft verurteilt



    Der ehemalige rumänische Ministerpräsident im Zeitraum 2000-2004, Adrian Năstase, ist von der Obersten Instanz in einer Korruptionakte zu einer Vollstreckungshaftstrafe von 4 Jahren verurteilt worden. In derselben Akte wurde die Frau des Ex-Regierungschefs zu einer Bewährungshaftstrafe verurteilt. Das Oberste Gericht beschloss au‎ßerdem die Beschlagnahmung von 400.000 Euro von den beiden. Laut den Staatsanwälten der Antikorruptionsbehörde habe Adrian Năstase mittels seiner Frau unrechtmä‎ßige Vorteile im Gegenwert von 630.000 Euro gefordert und bezogen. Diesem wird vorgeworfen, er habe von Irina Jianu Bestechungsgelder erhalten, um diese auf der Stelle des Chef-Inspekteurs des Staatlichen Baubehörde zu behalten. Mit diesem Geld habe die Familie Năstase Gegenstände aus China für ihre Privatwohnung in Bukarest gekauft. Au‎ßerdem habe Adrian Năstase auch Vorteile von dem ehemaligen rumänsichen Konsul in China, Ioan Păun, unrechtmä‎ßig bezogen, damit dieser seine Stelle behält.



    Da der Ex-Premierminister auf Bewährung entlassen worden war, nachdem er neun Monate Gefängnisstrafe in einer anderen Korruptionsakte abgesessen hatte, wird er wahrscheinlich die Zusammenführung der beiden Strafen beantragen, damit die bereits abgesessene Zeit abgezogen wird. Er behauptet, er sei unschuldig und die Akte stelle eine politische Vergeltung dar. Er wird von der mitregierenden Sozial-Demokratischen Partei unterstützt, die von Ministerpräsident Victor Ponta gefürt wird. Dieser behauptet seinerseits, Năstase sei bereits seit 2005 die Zielscheibe seines Gegners Präsident Traian Basescu gewesen.




    Rumänischer Abgeordneter wegen Korruption verhaftet



    Gheorghe Coman, Abgeordneter der mitregierenden Konservativen Partei (PC), sitzt seit kurzem in Untersuchungshaft. Staatsanwälte der Antikorruptionsbehörde vermuten bei ihm Vorteilsannahme. Der Abgeordnete wird beschuldigt, seinen politischen Einfluss benutzt zu haben, um sich unrechtmä‎ßige Vorteile zu verschaffen. Seine Festnahme kommt kurz nachdem der sozialdemokratische Ex-Ministerpräsident Adrian Nastase rechtskräftig zu vier Jahren Haft verurteilt worden war.




    EU-Arbeitsmarktfreizügigkeit: “Invasion” von Rumänen und Bulgaren bleibt aus



    Der Einfall der Bulgaren und Rumänen, den einige in Westeuropa nach der Aufhebung der Einschränkungen auf dem EU-Arbeitsmarkt gefürchtet haben, fand in den ersten Tagen des Jahres nicht statt. Die Länder, die ihren Arbeitsmarkt für rumänische und bulgarische Arbeitnehmer noch nicht liberalisiert hatten, waren Deutschland, Österreich, Belgien, Spanien, Frankreich, Gro‎ßbritannien, Luxemburg, Malta und die Niederlande. Beunruhigt waren insbesondere die Briten, wo ein Teil der Presse und einige Politiker Panik erzeugt hatten. Es wurde viel über Wellen von Immigranten, die das britische Sozialhilfesystem ausbeuten werden, berichtet.



    Britische Journalisten haben auf dem Luton-Flughafen in der Nähe von London auf die Millionen rumänischen Arbeitslosen gewartet. Gro‎ß war die Überraschung, als nur wenige Rumänen auf der Suche nach Arbeit auf dem Londoner Flughafen landeten. Keiner der EU-Mitgliedsstaaten hat bislang Anzeichen einer sogenannten Invasion von rumänischen und bulgarischen Arbeitnehmern gemeldet, gab die Europäische Union bekannt. Eventuell anfallende Probleme könnten mit Hilfe der Instrumente behoben werden, die die Exekutive der Union zur Verfügung stellt, darunter der Europäische Sozialfonds im Wert von 10 Milliarden Euro, so die Europäische Kommission. In der aktuellen Haushaltsperiode sind die Mitgliedsstaaten verpflichtet, mindestens 20% der zugewiesenen Fördermittel für die soziale Inklusion auszugeben.




    Griechenland übernimmt die EU-Ratspräsidentschaft



    Griechenland hat am 1. Januar für ein halbes Jahr die EU-Ratspräsidentschaft — den Vorsitz im Rat der Europäischen Union — übernommen. Der EU-Rat billigt zusammen mit dem EU-Parlament Gesetze und koordiniert die Politiken der EU. Griechenland hat zum fünften Mal die EU-Ratspräsidentschaft inne. Für Griechenland stellt die EU-Ratspräsidentschaft eine gute Gelegenheit dar, sein Image zu verbessern. Die EU hat ihrerseits die Chance, der Regierung in Athen zu helfen. Diese hat wegen der Sparma‎ßnahmen mit internen Problemen zu kämpfen. Griechenland möchte während seiner Präsidentschaft die Kosten reduzieren. Die Prioritäten seien die Bankenunion, die Förderung der Kredite für Klein- und Mittelunternehmen und die Unterstützung der jungen Leute, die in benachteiligten Regionen arbeiten möchten.



    Anlässlich der Vorstellung des Programms der griechischen Ratspräsidentschaft in Bukarest versicherte Rumäniens Au‎ßenminister Titus Corlăţean, Griechenland könne auf die volle Unterstützung Rumäniens zählen. Der rumänische Chefdiplomat erklärte weiter, Bukarest werde nicht tatenlos bleiben, bis die politischen Schengen-Beitrittskriterien erfüllt werden. Er erinnerte daran, dass die rumänische Regierung alle technischen Kriterien erfüllt hat.




    Rumäniens Notenbank beschlie‎ßt Herabsetzung des Leitzinses von 4% auf ein Rekordtief von 3,75%



    Im Rahmen ihrer ersten Sitzung in diesem Jahr hat die Nationalbank Rumäniens die Senkung der obligatorischen Mindestreserven in der Landeswährung Leu und in Devisen beschlossen. Damit soll der Markt langfristig über die für die Finanzierung der Wirtschaft notwendigen Liquiditäten verfügen. Und damit setzt die Zentralbank nach wie vor auf ihre Politik einer schrittweisen Herabsetzung des Leitzinses, der zum fünften Mal in Folge nach unten korrigiert wurde. Die Aktion entspricht einem neuen Versuch, die Kreditvergabe anzukurbeln.



    Der aktuelle Wert des Leitzinses von 3,75% bedeutet ein neues historisches Rekordtief. Die Entscheidung konnte dank der kontinuierlichen Abnahme der Inflation getroffen werden, erklärte Notenbankchef Mugur Isărescu. Laut seinen Angaben könnte diese Kennzahl in der ersten Jahreshälfte sogar bis in die Nähe der 1%-Grenze fallen. Die Mindestreserven in der Landeswährung Lei wurden von 15% auf 12% und die Mindestreserven in Devisen von 20% auf 18% gekürzt. Das sind die Mindestsummen, die Handelsbanken bei der Notenbank hinterlegen müssen.



    Unter diesen Voraussetzungen werden die Banken auf mehr Liquiditäten zurückgreifen können, was die Kreditvergabe fördern wird, verspricht Mugur Isărescu.

  • Politica BNR

    Politica BNR

    Banca Naţională a României a decis chiar din prima şedinţă din acest an să reducă rezervele minime obligatorii la lei şi valută şi să lase în piaţă o lichiditate mai mare pe termen lung, necesară finanţării economiei. Banca centrală îşi continuă astfel politica de reducere a dobânzii de referinţă, măsură la care recurge pentru a cincea oară consecutiv, într-o nouă încercare de a relansa creditarea.



    Valoarea stabilită în urma diminuării cu un sfert de punct procentual, de 3,75% pe an, reprezintă un nou minim istoric, iar decizia a fost posibilă în condiţiile reducerii continue a inflaţiei, a declarat guvernatorul BNR, Mugur Isărescu. Potrivit acestuia, în prima jumătate a acestui an sunt posibile chiar valori apropiate de 1% pentru acest indicator.



    Totodată, au fost reduse şi ratele rezervelor minime obligatorii la lei, de la 15 la 12%, şi ratele rezervelor minime obligatorii la valută de la 20 la 18%. Acestea reprezintă sumele minime pe care băncile comerciale sunt obligate să le păstreze la banca centrală. În aceste condiţii, cantitatea mai mare de lichiditate aflată la dispoziţia băncilor va contribui, potrivit lui Mugur Isărescu, la sprijinirea procesului de creditare. Ce vor face băncile? Mugur Isărescu: Unele se vor antrena mai mult în creditare, altele vor gândi mai mult asupra condiţiilor de creditare şi probabil că vor majora ritmul, pasul cu care vor acorda credite, vor regândi şi situaţia clienţilor lor, altele, care au datorii de plătit, îşi vor face calcule şi vor plăti datoriile. Nu v-aş da o linie directoare. Per total, cred că este o măsură în direcţia stimulării creditării.”



    Încă de la începutul lunii decembrie a anului trecut, Mugur Isărescu declara că, pentru susţinerea creditării, banca centrală este pregătită să reducă rezervele minime obligatorii în 2014 – care însumează circa 6 miliarde de euro la valută şi 3-4 miliarde de euro la lei -, chiar dacă în piaţa monetară se înregistrează un exces de lichiditate estimat la circa 2 miliarde de euro. Prin reducerea rezervelor la valută, băncile vor rămâne cu aproximativ 500 de milioane de euro pe care, dacă nu îi trimit băncilor mamă, îi vor arunca în piaţă, ceea ce va pune presiune în sensul aprecierii monedei naţionale, a mai spus Isărescu.



    Pe de altă parte, nici sumele eliberate prin reducerea rezervelor la lei nu vor pune presiune pe deprecierea leului, a mai subliniat Mugur Isărescu. Guvernatorul şi-a exprimat, pe de altă parte, speranţa că decizia conducerii BNR de a reduce rata dobânzii de politică monetară nu va determina băncile comerciale să diminueze dobânzile la depozitele în lei.