Tag: opposition

  • Parteidisziplin greift in der Opposition ein

    Parteidisziplin greift in der Opposition ein

    Die Sozialdemokratische Partei hat die Macht verloren und ist in einer schwächeren Position in die Gerade vor den Präsidentschaftswahlen gegangen. Die Tatsache, dass es sozialdemokratische Abgeordnete gab, die für die Abwahl ihrer eigenen Regierung und für die Einsetzung einer neuen, liberalen Regierung trotz drohender Abschiebung gestimmt haben, ist ein ausreichender Hinweis auf die Stimmung in der Partei.



    Die folgenden Säuberungen werden die Dinge nicht beruhigen können, und ein möglicher Wahlverlust wird das Problem sogar noch verschärfen. Allerdings hat die Sozialdemokratische Partei schon einmal solche Turbulenzen, ja sogar Spaltungen erlebt, aber die Partei hat überlebt. Eine schwierige Situation hat auch die Pro-Rumänien-Partei, eine von Sozialdemokraten gegründete Mitte-Links-Splittergruppe, die in Konflikt mit dem ehemaligen Parteivorsitzenden Liviu Dragnea geriet, der nun eine Haftstrafe wegen Korruption verbü‎ßt.



    Pro Rumänien unter der Leitung des ehemaligen Premierministers Victor Ponta stimmte für den Misstrauensantrag gegen das Kabinett von Viorica Dancila, beschloss aber später, das liberale Kabinett aus ideologischen Gründen nicht zu unterstützen. Einige Abgeordnete dieser Partei, darunter die ehemaligen Minister Daniel Constantin und Sorin Campeanu, stimmten jedoch für das neue Kabinett und verwiesen darauf, dass das Land eine funktionierende Regierung haben müsse, die schwierige Aufgaben zu lösen hat. Pro Rumänien entschied, dass sie von ihren Ämtern als Bezirksleitern entlassen und die politische Unterstützung für alle Positionen, die sie im Parlament innehaben, zurückgezogen werden. Moralische Integrität ist einer der Werte, die alle Pro-Rumänien-Mitglieder besitzen müssen, und die Bestrafung der sieben Abgeordneten ist eine natürliche Folge des Verlustes des ihnen entgegengebrachten Vertrauens, so rechtfertigte die Parteiführung die Entscheidung.



    Daniel Constantin antwortete, indem er sagte, er werde die Gruppe verlassen. Der ehemalige Premierminister Mihai Tudose, heute Europaparlamentarier, warf Ponta vor, Menschen für ihre Ansichten zu bestrafen und autoritär zu sein, in einer Weise, die an Liviu Dragnea erinnert. Er riet Ponta, die Verantwortung für das Scheitern seiner Verhandlungen zu übernehmen und als Parteichef zurückzutreten.

  • Party discipline in the opposition

    Party discipline in the opposition

    The Social Democratic Party has lost
    power and has entered the straight line ahead of the presidential elections in
    a weaker position. The fact that there were Social Democratic MPs who voted to
    bring down their own government and for the investiture of a new, Liberal,
    government despite facing expulsion, is sufficient indication of the mood
    inside the party. The purges that will follow will not be able to calm things
    down and a possible election loss will even deepen the problem. Having said
    that, the Social Democratic Party has been through such turmoil before, even
    division, but the party has survived.




    A difficult situation is also facing
    the Pro Romania party, a centre-left
    splinter group founded by Social Democrats who went into conflict with the
    former leader of the party Liviu Dragnea, who is now serving a prison sentence
    for corruption. Pro Romania, led by the former prime minister Victor Ponta,
    voted in favour of the no-confidence motion against Viorica Dancila’s cabinet
    but later decided not to endorse the Liberal cabinet for ideological reasons.




    However, some of this party’s MPs,
    including the former ministers Daniel Constantin and Sorin Campeanu, voted in
    favour of the new cabinet, invoking the need for the country to have a
    functioning government, and are not facing severe punishment. Pro Romania
    decided to dismiss them from their positions as county coordinators and withdraw
    political support for all the positions they hold in Parliament. Moral
    integrity is one of the values all Pro Romania members must possess, and the
    punishment of the seven MPs is a natural consequence of losing the trust given
    to them, is how the party leadership justified the decision. Daniel Constantin
    responded by saying he will leave the party.




    The former prime minister Mihai
    Tudose, now a Euro MP, accused Ponta of punishing people for their opinions and
    of being authoritarian, in a manner reminiscent of Liviu Dragnea. He advised
    Ponta to take responsibility for the failure of his negotiations and to resign
    as party leader.

  • 10.10.2019 (mise à jour)

    10.10.2019 (mise à jour)

    Motion de censure – Le président Klaus Iohannis a annoncé l’organisation ce vendredi d’un premier round de consultations avec les partis parlementaires en vue de la création d’un nouveau gouvernement, après l’adoption ce jeudi d’une motion de censure contre le gouvernement de la premier ministre social-démocrate Viorica Dancila. Elle a demandé d’ailleurs au chef de l’Etat de nominer au plus vite un nouveau premier ministre, à même d’assumer la gouvernance. 238 sénateurs et députés ont voté pour la motion et six seulement contre sur les 399 élus nationaux présents. Sous le titre « Pour reconstruire la Roumanie le gouvernement Dancila doit être destitué d’urgence », la motion porte la signature de 237 Sénateurs et Députés membres du Parti national libéral, de l’Union sauvez la Roumanie, du Parti du mouvement populaire, de l’Union démocrate magyare de Roumanie, de Pro Romania et de l’Alliance des libéraux et des démocrates. Deux députés du groupe des minorités nationales, un député indépendant et même quatre élus sociaux-démocrates ont également signé la motion. Le cabinet Dancila serait le gouvernement le plus nocif des 30 dernières années, affirment les initiateurs de la motion, qui précisent qu’après sa destitution, ils comptent adopter un programme de gouvernance responsable, ciblé sur le développement et la modernisation du pays et qui vise une réelle prospérité pour chaque roumain. Par ailleurs, la cheffe du cabinet de Bucarest et les autres leaders du PSD accusent l’Opposition de ne pas proposer de solutions alternatives.

    Statistiques – L’Institut national de la statistique a révisé à la baisse de 4,6 à 4,5 % ses estimations sur la croissance du Produit intérieur brut durant le deuxième trimestre de cette année par rapport à la période similaire de l’année dernière. La Banque Mondiale a pourtant amélioré ses estimations sur l’évolution de l’économie roumaine pour les années à venir. L’institution tire la sonnette d’alarme quant au risque d’une progression des inégalités salariales. Sur la liste des priorités du gouvernement devrait figurer aussi la réduction du taux de chômage parmi les jeunes et parmi les ouvriers à faible qualification et toute une série de réformes dans l’administration publique et au sein des compagnies d’Etat.

    Holocauste – La Roumanie a fait un pas important par la création d’un musée national des Juifs et de l’Holocauste, a affirmé aujourd’hui l’ambassadeur américain à Bucarest, Hans Klemm. L’institution sera un symbole du développement constant de la Roumanie en tant que nation et société démocratique, une raison de fierté pour tous les Roumains, a ajouté le diplomate américain. Il a déploré pourtant le fait que malgré cet accomplissement historique, la rhétorique antisémite et anti-rom soit toujours présente dans le discours public. Ce qui plus est, la commémoration de figures historiques antisémites et fascistes se déroule toujours dans les villes et les villages de Roumanie, alors que les lieux sacrés des Juifs sont périodiquement vandalisés a rappelé M Klemm, soulignant pourtant que l’antisémitisme n’était pas une réalité spécifiquement roumaine. Mardi, le président roumain Klaus Iohannis a promulgué une loi portant sur la création d’un Musée national de l’histoire des Juifs et de l’Holocauste en Roumanie.

    Documents – A la fin septembre 280 mille ressortissants roumains avaient déposé leurs dossiers en vue de l’obtention d’un statut de résident post-Brexit au Royaume Uni, fait savoir le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest. Il s’agit d’environ 64% du nombre total de citoyens roumains qui habitent en Grande Bretagne, selon les estimations. Les Roumains seraient ainsi la deuxième communauté de ressortissants européens la plus nombreuse à déposer de telles demandes. L’exécutif de Bucarest maintient un dialogue permanent tant avec les autorités britanniques qu’avec les institutions européennes et les Etats membres pour que les droits des citoyens roumains soient respectés après le Brexit.

    Foot – La sélection nationale de foot de moins de 21 ans reçoit aujourd’hui à Ploiesti, dans le sud, la visite de l’Ukraine dans un match du 8e groupe des préliminaires de l’Euro 2021. Lundi, les roumains affrontent l’Irlande. La Roumanie s’était inclinée face au Danemark 1 but à 2. Côté séniors, la sélection nationale de foot affronte samedi les Iles Féroé et la Norvège mardi dans le groupe F des préliminaires de l’Euro 2020. La capitale roumaine accueillera d’ailleurs quatre matchs dans le cadre de cette compétition.

    Météo – Températures à la baisse à l’intérieur de l’arc des Carpates où le ciel est plutôt couvert avec quelques pluies. Ciel variable sur le reste du territoire avec quelques pluies et phénomènes orageux. Les températures vont de 15 à 26 degrés avec 20 degrés en ce moment à Bucarest.

  • 10.10.2019

    10.10.2019

    Motion de censure – A Bucarest, les sénateurs et députés roumains ont débattu et sont en train de voter la motion de censure déposée par l’opposition libérale contre le gouvernement social-démocrate de la première ministre Viorica Dancila. Le cabinet est désormais minoritaire après le passage aux rangs de l’opposition de l’Alliance des libéraux des démocrates, partenaire jusqu’au mois dernier des sociaux-démocrates, au pouvoir depuis 2016. Sous le titre « Pour reconstruire la Roumanie le gouvernement Dancila doit être destitué d’urgence », la motion porte la signature de 237 Sénateurs et Députés membres du Parti national libéral, de l’Union sauvez la Roumanie, du Parti du mouvement populaire, de l’Union démocrate magyare de Roumanie, de Pro Romania et de l’Alliance des libéraux et des démocrates. Deux députés du groupe des minorités nationales, un député indépendant et même quatre élus sociaux-démocrates ont également signé la motion. Le cabinet actuel serait le gouvernement le plus nocif des 30 dernières années, affirment les initiateurs de la motion, qui précisent qu’après sa destitution, ils comptent adopter un programme de gouvernance responsable, ciblé sur le développement et la modernisation du pays et qui vise une réelle prospérité pour chaque roumain. Par ailleurs, la cheffe du cabinet de Bucarest et les autres leaders du PSD accusent l’Opposition de ne pas proposer de solutions alternatives. Ils se disent persuadés que le cabinet survivra à la motion. D’ailleurs, pour qu’elle soit adoptée, la motion devrait recenser 233 voix.

    Statistiques – L’Institut national de la statistique a révisé à la baisse de 4,6 à 4,5 % ses estimations sur la croissance du Produit intérieur brut durant le deuxième trimestre de cette année par rapport à la période similaire de l’année dernière. La Banque Mondiale a pourtant amélioré ses estimations sur l’évolution de l’économie roumaine pour les années à venir. L’institution tire la sonnette d’alarme quant au risque d’une progression des inégalités salariales. Sur la liste des priorités du gouvernement devrait figurer aussi la réduction du taux de chômage parmi les jeunes et parmi les ouvriers à faible qualification et toute une série de réformes dans l’administration publique et au sein des compagnies d’Etat.

    Holocauste – La Roumanie a fait un pas important par la création d’un musée national des Juifs et de l’Holocauste, a affirmé aujourd’hui l’ambassadeur américain à Bucarest, Hans Klemm. L’institution sera un symbole du développement constant de la Roumanie en tant que nation et société démocratique, une raison de fierté pour tous les Roumains, a ajouté le diplomate américain. Il a déploré pourtant le fait que malgré cet accomplissement historique, la rhétorique antisémite et anti-rom soit toujours présente dans le discours public. Ce qui plus est, la commémoration de figures historiques antisémites et fascistes se déroule toujours dans les villes et les villages de Roumanie, alors que les lieux sacrés des Juifs sont périodiquement vandalisés a rappelé M Klemm, soulignant pourtant que l’antisémitisme n’était pas une réalité spécifiquement roumaine. Mardi, le président roumain Klaus Iohannis a promulgué une loi portant sur la création d’un Musée national de l’histoire des Juifs et de l’Holocauste en Roumanie.

    Documents – A la fin septembre 280 mille ressortissants roumains avaient déposé leurs dossiers en vue de l’obtention d’un statut de résident post-Brexit au Royaume Uni, fait savoir le ministère des Affaires Etrangères de Bucarest. Il s’agit d’environ 64% du nombre total de citoyens roumains qui habitent en Grande Bretagne, selon les estimations. Les Roumains seraient ainsi la deuxième communauté de ressortissants européens la plus nombreuse à déposer de telles demandes. L’exécutif de Bucarest maintient un dialogue permanent tant avec les autorités britanniques qu’avec les institutions européennes et les Etats membres pour que les droits des citoyens roumains soient respectés après le Brexit. Foot – La sélection nationale de foot de moins de 21 ans reçoit aujourd’hui à Ploiesti, dans le sud, la visite de l’Ukraine dans un match du 8e groupe des préliminaires de l’Euro 2021. Lundi, les roumains affrontent l’Irlande. La Roumanie s’était inclinée face au Danemark 1 but à 2. Côté séniors, la sélection nationale de foot affronte samedi les Iles Féroé et la Norvège mardi dans le groupe F des préliminaires de l’Euro 2020. La capitale roumaine accueillera d’ailleurs quatre matchs dans le cadre de cette compétition.

    Météo – Températures à la baisse à l’intérieur de l’arc des Carpates où le ciel est plutôt couvert avec quelques pluies. Ciel variable sur le reste du territoire avec quelques pluies et phénomènes orageux. Les températures vont de 15 à 26 degrés avec 20 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Die Opposition stellt Misstrauensantrag gegen die Regierung Dăncilă

    Die Opposition stellt Misstrauensantrag gegen die Regierung Dăncilă

    Mehr als einen Monat ist es her, dass die Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE die Regierungskoalition mit der Sozialdemokratischen Partei PSD gebrochen hat, und die Oppositionsparteien haben erst jetzt ihre Drohung in die Tat umgesetzt, einen Misstrauensantrag gegen das Regierungskabinett der PSD-Vorsitzenden Viorica Dăncilă zu stellen.



    Die National-Liberalen von der PNL, Initiatoren des Misstrauensantrags mit dem Titel Um Rumänien wieder aufzubauen, muss die Regierung Dăncilă dringend entlassen werden, erhielten 237 Unterschriften, 4 mehr als die für die Entlassung der Exekutive erforderlichen Stimmen. Den Misstrauensantrag unterzeichneten Parlamentsmitglieder aus dem gesamten politischen Spektrum – PNL, USR, PRO Romania, PMP und ALDE. Auf der Liste stehen auch Vertreter der nationalen Minderheiten, die in der Regel an der Seite der Regierung stehen, und sogar Mitglieder der Sozialdemokratischen Partei PSD.



    Der PNL-Vorsitzende Ludovic Orban erklärte, warum das Kabinett Dăncilă gehen muss:


    Wir haben derzeit keine Regierung, sondern einen Regierungsrest, der nicht über die Fähigkeit, Autorität und Kompetenz verfügt, Missstände und Herausforderungen, mit denen Rumänien konfrontiert wird, zu lösen.



    Die Sozialdemokraten ihrerseits sind zuversichtlich, dass der Misstrauensantrag im Parlament scheitern wird, weil die Oppositionsparteien kein Regierungsprogramm und keinen Premierminister vorschlagen. Die PSD behauptet, sie sei bereit, die Opposition zu stoppen. Viorica Dăncilă warnte ihre eigenen Parlamentarier, nicht in das gegnerische Lager zu gehen:



    Diejenigen, die für den Misstrauensantrag abstimmen werden, verraten die Sozialdemokratische Partei, sie verraten die Hoffnung der Bürgermeister, die ihre Projekte umsetzen wollen, sie verraten die Stabilität dieses Landes, und das kann man nicht verzeihen.



    Es ist ein heikler Moment für die Minderheitsregierung der PSD, die nach dem Ausscheiden der Liberaldemokraten von ALDE nur wegen des Zögerns der Oppositionsparteien an der Macht bleiben konnte. Die Nationalliberale Partei PNL hat sich bemüht, möglichst viele Unterschriften zu sammeln, weil sie bei früheren Versuchen, die Regierung zu entlassen gescheitert war. Die PNL hatte damals am Ehrenwort von Parlamentariern geglaubt, die versprochen hatten, für den Misstrauensantrag zu stimmen, aber dies schließlich nicht taten. Auch diesmal könnten Überraschungen auftauchen, aber nach Ansicht von politischen Kommentatoren gibt es keinen besseren Zeitpunkt, das Regierungskabinett von Viorica Dăncilă zu entlassen. Was tatsächlich passieren wird, kann niemand voraussehen.



    Noch komplizierter wird die gesamte Situation durch die bevorstehenden Präsidentschaftswahlen, deren zwei Wahlgänge für den 10. und den 24. November geplant sind. Die Variante einer vorgezogenen Parlamentstwahl wird von den wichtigsten Oppositionsparteien PNL und USR, unterstützt, die sagen, sie wollen die Regierung durch die Abstimmung des rumänischen Volkes übernehmen. In den drei Jahrzehnten der postkommunistischen Demokratie gab es jedoch in Rumänien keine Parlamentswahlen vor Ablauf der Frist. Die Parlamentswahlen sind für das nächste Jahr geplant. Es gibt auch die Variante einer politisch unterstützten Technokratenregierung. Einen Präzedenzfall gab es im Herbst 2015, ein Jahr vor der Legislaturperiode, als die damalige Exekutive unter der Leitung von Victor Ponta, der ebenfalls der PSD angehörte, zurückgetreten war und die Regierung an das Kabinett von Dacian Cioloş übertragen hatte.

  • No-confidence motion against Dancila Government

    No-confidence motion against Dancila Government

    A month since the Alliance of Liberals and Democrats left the ruling coalition it had with the Social Democratic Party, the Opposition is keeping its promise to ask Parliament for a vote of no-confidence against the Dancila Cabinet. The Liberals, who initiated the motion entitled “In order to rebuild Romania, the Dancila Government must be dismissed immediately!, gathered 237 signatures, 4 more than the number of votes required in order for the document to pass.



    MPs across the political spectrum have signed the motion, from Liberals to Save Romania Union, from Pro Romania to the Peoples Movement Party and to ALDE. The list of signatories even includes representatives of the ethnic minorities, who usually side with the Government, and even members of the ruling Social Democratic Party. The president of the National Liberal Party, Ludovic Orban, explained why this government must go:



    Ludovic Orban: “What we have now is not really a Cabinet, but rather the leftovers of a government, lacking the capacity, the authority and the competence to handle the serious challenges that Romania is faced with.



    On the other side, the Social Democrats voice confidence that the motion will not pass in Parliament, because it fails to bring a governing programme and a PM nomination, so they say they are determined to halt the Oppositions efforts. Viorica Dancila warned her fellow party members against defecting:



    Viorica Dancila: “Those who will vote in favour of the motion will betray the Social Democratic Party, the hopes of the mayors who want to implement their projects, the stability of the country, and I believe this is not something to be condoned.



    It is a delicate moment for the Social Democrats minority government, which has lasted this long after the Liberal Democrats left only due to the hesitations of the Opposition. The National Liberal Party has gone to great lengths to get so many signatures because in their previous, failed attempts at bringing down the government, they had relied on the word of various MPs who had promised to vote in favour of the motion but didnt. There is still room for surprises, but, as political observers note, there is no better time to dismiss the Dancila Government than the present.



    As for what will happen after, no one can tell. Things are further complicated by the forthcoming presidential elections, due on November 10th and 24th. The main opposition parties, the Liberals and Save Romania Union, favour the early election scenario, and say they are ready to take over power based on peoples votes. But Romania never had snap parliamentary elections in 3 decades of post-communist democracy.



    There is also the option of a cabinet of technocrats, with political support, until next autumns legislative election. In this respect, Romania does have a precedent. In the fall of 2015, also a year ahead of the regularly scheduled election, the Social Democrat PM Victor Ponta stepped down to be replaced by Dacian Ciolos.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • Talks on no-confidence motion

    Talks on no-confidence motion

    After the divorce between the Social Democratic Party and the Alliance of Liberals and Democrats, in late August, the fate of the Cabinet seemed sealed. But in spite of the declarations of war coming from the Opposition, the minority government of the Social Democrats is in no imminent danger. PM Viorica Dancila takes advantage of the hesitations of the opposition parties, and takes her time asking for a confidence vote in Parliament, as the Constitution requires whenever the configuration of the ruling alliance changes.



    The leader of the National Liberal Party in opposition, Ludovic Orban, announced that the text of the no-confidence motion has already been agreed on with the Save Romania Union, Peoples Movement Party and the Democratic Union of Ethnic Hungarians.



    Ludovic Orban: “We stand by this plan of garnering support for this motion from all the MPs in the parties that do not back the government, and our goal is to get 233 votes in favour of the no-confidence motion, so as to make sure it passes.



    The motion must be signed by 117 MPs in order to be tabled. The Save Romania Union floor group leader, Stelian Ion, urged ALDE and Pro Romania to be clear about their position regarding the Dancila Cabinet:



    Stelian Ion: “The only solution to this crisis is to table a motion of no-confidence and a vote on this motion, and those parties that claimed to have joined the Opposition must clearly define their position as to this censure motion. One cannot claim to be in opposition and still come up with all sorts of absurd conditions for signing and backing the motion. To be specific, I mean my colleagues in ALDE and Pro Romania.



    The Alliance of Liberals and Democrats risks falling apart after having left the ruling coalition—a move that not all its members had agreed with. For this party, the immediate priority is therefore to prevent an implosion. On the other hand, PRO Romania MPs promise that they will back the no-confidence motion unless the PM comes up with a reshuffled Cabinet. Pro Romania leader Victor Ponta:



    Victor Ponta: “We are waiting for PM Dancila to come up on Wednesday with a government reshuffle. If she doesnt do that, and keeping in mind that on Wednesday or Thursday we will very likely no longer have an education minister, in addition to not having an environment minister, a minister liaising with Parliament, an interior minister and an energy minister, then obviously we will have no choice. We have done everything in our power to find a reasonable solution so all Pro Romania MPs will vote in favour of the no-confidence motion that the Liberal Party and Save Romania hopefully will introduce.



    The Chamber of Deputies Speaker, the Social Democrat Marcel Ciolacu, voiced confidence that the Cabinet will survive any scenario, whether a censure motion or a confidence vote:



    Marcel Ciolacu: “I firmly believe that the no-confidence motion will not get 233 votes, and I also believe that we will have the half plus one of the votes required in order to change the political makeup of the Government.



    The leaders of the Social Democratic Party also expect a helping hand from the Constitutional Court. On Wednesday, the Court is to rule on the conflict between the Government and the President, who will not appoint interim ministers for the vacancies left behind by the Liberal Democrats.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • August 27, 2019 UPDATE

    August 27, 2019 UPDATE

    GOVERNMENT Three Liberal Democratic members of the Government Tuesday resigned from office, after on Monday night the Alliance of Liberals and Democrats decided to break their alliance with the Social Democratic Party and move into the opposition. They are the environment minister Graţiela Gavrilescu, the energy minister Anton Anton and Viorel Ilie, liaising with Parliament. The party leader Calin Popescu-Traiceanu also announced he would step down as Senate Speaker. PM Viorica Dancila said the Social Democratic Party would stay in power in order to further implement the governing programme that won the 2016 parliamentary election. She added that Social Democratic ministers will temporarily fill the vacancies, and that Foreign Minister Ramona Mănescu, nominated into the Government by ALDE, would stay in office, in spite of Tariceanus call for her resignation.



    DIPLOMACY President Klaus Iohannis said at the Annual Meeting of Romanian Diplomacy on Tuesday that joining the Schengen area and the Euro zone remain Romanias priorities, and called on Romanian diplomats to take advantage of the confidence the country has won during its presidency of the Council of the European Union. As for the relationship with the USA, the head of state explained that the strategic partnership with the US remains a core pillar of Romanias foreign policy, and that bilateral relations are at their best after the 2 visits to the White House in 2017 and August 2019. Klaus Iohannis also told Romanian ambassadors that protecting the interests of the Romanians living abroad must be their top priority. The annual meeting of Romanian diplomats takes place in Bucharest until Thursday and is organised by the Foreign Ministry. The main topics approached include the future of the EU and its role in the world, trans-Atlantic relations, Romanias relations with its eastern neighbours, European affairs, Romanias political and economic relations with the countries in Asia-Pacific, the Middle East, Africa and South America, humanitarian aid and development, global peace and security.



    PARLIAMENT The judicial committee in the Chamber of Deputies unanimously rejected a bill on amnesty and pardons for certain offences. The committees negative report is to be discussed and voted on by the Chamber on Wednesday. Also on Tuesday, the committee postponed talks on the bill regarding compensatory appeals. In turn, the budget-finances committee postponed on Tuesday its report on a bill endorsing Government Emergency Order 114 on fiscal and budgetary measures and on public investments. The Social Democratic Party in power criticised the Opposition, and mentioned that the Ordinance stipulated a rise in pensions as of September 1 and introduced a cap on natural gas and electricity prices for households. The Chamber of Deputies is holding a special session this week at the request of the Opposition.



    DEFENCE The Romanian Defence Minister Gabriel Leş takes part in an informal meeting of EU defence ministers held in Helsinki, Finland on Wednesday and Thursday. According to the Romanian Defence Ministry, the meeting will be chaired by the EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy, Federica Mogherini. Also attending will be the NATO Secretary General Jens Stoltenberg, and the UN under-secretary general for peace operations, Jean-Pierre Lacroix. The participants will discuss coordinated maritime presence, artificial intelligence and new technologies, as well as the impact of climate change and the environment on security and defence. On Thursday, a joint meeting with the EU foreign ministers will be held, focusing on the topic of hybrid threats.



    GENDARMES Another Romanian Gendarme unit Tuesday left on a six-month NATO mission in Afghanistan. The 16 officers and NCOs will provide training and assistance to the Afghan security forces and institutions. Attending the departure ceremony, inspector general Constantin Florea said that Romanian gendarme units have taken part in specific missions in Afghanistan since 2011, and their achievements prompted international organisations to request Romanias participation in the training and counselling of the local security forces. So far, Romanian gendarmes have taken part in the training of over 17,000 Afghan military and police troops.


    (translated by: Ana-Maria Popescu)

  • The Alliance of Liberals and Democrats parts with the government coalition

    The Alliance of Liberals and Democrats parts with the government coalition

    The Alliance of Liberals and Democrats ALDE on Monday announced its parting with the governing coalition and going in opposition, and expressed its readiness to vote for a possible censure motion against the cabinet headed by the Social Democratic leader Viorica Dancila. The break up of the coalition occurred after the Social Democratic Party’s (PSD) refusal to accept ALDE’s requests related to a government restructuring and the improvement of the governing program, ALDE leader Călin Popescu-Tăriceanu explained. He added that ALDE could no longer endorse faulty budgets or measures such as those provided in the famous emergency decree that overtaxed banks, energy and telecommunications companies. Why did the coalition break up now?



    Călin Popescu-Tăriceanu explains: “We have tried for a long time to endorse this government because we have considered that we need political stability and I don’t usually have opposing viewpoints inside the government. That is why I think it is fair to part in a civilized manner today, and we wish the PSD and the PM to carry on their mission easily.”



    After almost 3 years of collaboration with the PSD, ALDE changes partners and is now counting on an alliance with the PRO Romania party, set up by the former Social Democratic PM and leader Victor Ponta. The PSD has now been left alone in the government, and it is determined to carry on with its governing program.



    The announcement was made by the party leader and PM Viorica Dăncilă: “My colleagues say we have to continue to govern, we have a responsibility towards those who gave us their vote in 2016, we have the responsibility to implement the governing program, a responsibility that we have assumed together with ALDE, but now we, the Social Democratic Party, have to carry on alone.”



    The opposition has so far failed in its repeated attempts to topple the government through a censure motion. ALDE’s leaving the coalition changes the power balance and the leader of the opposition National Liberal Party Ludovic Orban says he supports the idea of a censure motion if the PSD does not give up governing, in spite of losing the majority. He explained that Parliament’s rejecting a restructured cabinet meant the dismissal of the government.



    A censure emotion might be supported by the Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania whose votes would be decisive in a possible parliamentary face-off between the PSD and the opposition. However, the Union does not agree with early elections, which, they claim, are illegal less than 6 months ahead of the presidential election due in November. The leaders of the alliance made up of the Save Romania Union and PLUS parties, Dan Barna and Dacian Cioloş, favor the idea of early elections, as they claim a simple change of government is not enough. The next legislative elections are due in one year’s time. (translation by L. Simion)

  • L’opposition culturelle anticommuniste de Bessarabie

    L’opposition culturelle anticommuniste de Bessarabie

    Intégrée à l’Union soviétique en 1944, à l’issue de la deuxième guerre mondiale, la Bessarabie, région roumaine historique, représentant la moitié orientale de la principauté de Moldavie, verra naître des formes inédites, aux accents nationaux, de ce que l’on pourrait appeler la résistance anticommuniste. Victimes de l’oppression à la fois idéologique et nationale, n’étant pas en mesure de s’ériger ouvertement contre le régime stalinien moscovite, les Roumains de Bessarabie feront naître une forme particulière d’opposition par la culture, en développant des pratiques culturelles subversives, censées tromper la toute puissante censure, tout en faisant fi du canon officiel. Ce sont bien les écrivains qui vont constituer le fer de lance de cette opposition culturelle qui se développe progressivement en Bessarabie, appelée à l’époque la République socialiste soviétique de Moldova.

    Andrei Cușco, professeur à la faculté d’histoire de l’Université d’Etat de Chișinău, nous explique que des tensions surgiront dans le petit monde des écrivains de Bessarabie seulement après la mort de Staline : « C’était pendant la période du dégel qui avait suivi le changement de cap opéré par Nikita Khrouchtchev. Une période caractérisée par l’apparition de certains espaces d’autonomie, une autonomie, certes, toute relative, mais qui s’exprimait dans les milieux intellectuels, aussi bien au niveau institutionnel qu’au niveau privé. Ces espaces d’autonomie s’élargissent à mesure que la dynamique du régime change. En effet, après la mort de Staline, le régime semblait abandonner petit à petit les formes extrêmes de répression qui avaient caractérisé l’époque stalinienne, pour les remplacer par des formes moins apparentes, et plus insidieuses. Mais les mêmes acteurs campent sur les mêmes positions. Il y a d’un côté une résistance au régime, qui commence à s’organiser, et de l’autre la répression ».

    L’Union des écrivains, ayant subie une refonte totale en 1945, avait vu disparaître de ses rangs tous les représentants de la culture roumaine. Après la mort de Staline, l’on voit naître deux pôles de pouvoir.

    Andrei Cușco détaille : « A partir de la seconde moitié des années 1940, les rapports de pouvoir qui s’établissaient au sein de l’Union des écrivains de la République socialiste soviétique de Moldova étaient teintés des connotations politiques très marquées. Il y avait d’un côté le clivage, historiquement explicable, entre les écrivains de la Moldova roumaine, occupée par Staline, et ceux originaires de la Transnistrie, région située sur la rive gauche du Dniepr, qui faisait partie de l’Union soviétique bien avant, et qui avait été abusivement intitulée, par le même Staline, la République socialiste soviétique autonome de Moldova. Et ce n’est qu’après l’occupation de la Bessarabie que ces deux régions vont donner naissance à cette nouvelle république soviétique moldave. Mais le clivage entre les habitants des deux régions demeure. Puis, de l’autre côté, l’on remarque la présence d’un clivage plus classique, commun dans tout le Bloc de l’Est, entre les écrivains adhérents du parti, et les autres ».

    Ces groupes distincts étaient bien marqués. L’opposition anticommuniste naissante au sein de l’Union des écrivains s’est construite par l’alliance entre deux générations d’écrivains roumanophones.

    Andrei Cușco : « L’Union des écrivains moldaves était dominée par deux générations, qui se sont disputé le pouvoir tout au long des années 1970. Il y avait, d’une part, l’ancienne génération, celle constituée par les écrivains de la génération des années 1920, des gens avec une culture et des repères solides, des écrivains formés dans les universités roumaines, au moment où la Bessarabie était partie intégrante de la Roumanie. Puis, d’autre part, la génération récente, qui s’est affirmée après la mort de Staline. Des gens nés à la fin des années 20 et dans la première moitié des années 30, et formés dans les institutions soviétiques. Les deux groupes se livraient des batailles rangées, par exemple sur des sujets en lien avec l’esthétisme littéraire ou encore sur la définition du réalisme socialiste. Mais ces deux groupes issus de deux générations différentes se liguaient contre le groupe des écrivains de Transnistrie. Ce dernier avait détenu une position privilégiée au sein de cette Union, grâce à leur position politique et idéologique dans le parti. Les écrivains de Bessarabie en revanche, même ceux appartenant à la génération des années 60, qui, au fond, avaient été formés par leurs pairs plus âgés, ces écrivains, donc, se revendiquaient tous de la culture roumaine, bénéficiant d’un capital symbolique autrement plus important, même si c’était à un autre niveau. Ces écrivains des années 60 de Bessarabie n’avaient assimilé les slogans soviétiques que de façon superficielle. En revanche, ils avaient développé un certain sens de la réflexion critique. »

    L’opposition culturelle se développe en Bessarabie dans la seconde moitié des années 60, suite à un événement qui a marqué les mémoires.

    Andrei Cușco : « Le point d’inflexion a été marqué par le 3e Congrès des écrivains moldaves, qui a eu lieu en 1965. Ce congrès marque une évolution perceptible et un changement dans la dynamique du pouvoir, dans le rapport des forces au sein de l’Union. Ce congrès a été considéré le point d’orgue de l’expression antisystème de l’intellectualité locale. Il consacra aussi le nouvelle vague littéraire, celle des écrivains qui ont commencé à publier dans les années 60. Ils avaient commencé à écrire et à publier dans la langue roumaine littéraire, même s’ils utilisaient encore l’alphabète cyrillique. Puis, la qualité littéraire de leurs œuvres n’avait rien à envier aux autres, alors que leurs styles résonnaient au vent aux relents libéraux, qui commençait à souffler dans toute l’Union soviétique. Cette génération a été marquée par quelques personnages remarquables, tels Grigore Vieru, Ion Druță, Aureliu Busuioc, Pavel Boțu et bien d’autres. Ce 3e congrès de l’Union des écrivains de Moldova a mis sur le devant de la scène un agenda national, étant la première manifestation de ce type qui se déroulait en roumain. »

    L’opposition culturelle qui se manifesta en Bessarabie contre l’occupation soviétique s’était manifestée par la lutte tenace menée par cette poignée de poètes et d’écrivains pour la sauvegarde de l’esprit, de la langue et de la culture roumaine dans les frontières de ce morceau de Moldavie, occupée par les Soviets. Après la chute de l’Union soviétique en 1991, on ne manqua pas de remarquer la vivacité de l’héritage sauvegardé de la culture roumaine de Bessarabie, même s’il reste encore beaucoup à faire pour fermer la longue et douloureuse parenthèse de ces 46 années d’occupation soviétique de la Bessarabie. (Trad. Ionut Jugureanu)

  • Änderungen des Strafgesetzes für verfassungswidrig erklärt

    Änderungen des Strafgesetzes für verfassungswidrig erklärt

    Das Verfassungsgericht hat seinen Beschlu‎ß dadurch begründet, dass das Parlament seiner Verpflichtung, diese Änderungen mit früheren Urteilen des Verfassungsgerichts in Einklang zu bringen, nicht nachgekommen sei. Ein Urteil in diesem Fall hatte das Verfassungsgericht allerdings sieben Mal verschoben. Die fraglichen Änderungen beziehen sich unter anderem auf eine erhebliche Verkürzung der Verjährungsfristen für als sozial besonders gefährlich eingestuften Straftaten bei gleichzeitiger Verkürzung der Sonderverjährungsfristen auf die Hälfte. Halbiert wurden auch die Strafen für Veruntreuung und Amtsmissbrauch, wenn Täter den Schaden decken, bevor eine endgültige Entscheidung getroffen wird.



    Was die Strafprozessordnung betrifft, so betrafen die Änderungen unter anderem die Erkenntnisse aus den Haftbefehlen der nationalen Sicherheit, die von den Gerichten der allgemeinen Gerichtsbarkeit auch in Korruptions-, Vergewaltigungs- oder Mordfällen nicht mehr genutzt werden sollten. Weitere Änderungen sollten es den Staatsanwälten verbieten, bei einer Durchsuchung Beweismittel zu sammeln, wenn es sich um eine andere als die Straftat handelt, für die der Durchsuchungsbefehl erlassen wurde. Eine andere Änderung machte Berichte an die Behörden über einen Täter ungültig, wenn die Straftat älter als ein Jahr ist.



    Präsident Klaus Iohannis, die National-Liberalen und die Union Rettet Rumänien hatten die besagten Änderungen vor dem Verfassungsgericht angefochten. Durch die von der parlamentarischen Mehrheit aus der sozial-demokratischen Partei PSD und der Allianz der Liberalen und Demokraten ALDE verabschiedeten Gesetze seien mehr als 300 schädliche Änderungen am rumänischen Strafrecht vorgenommen worden, so die Opposition. Klaus Iohannis begrü‎ßte die Entscheidung des Verfassungsgerichts und forderte das Parlament auf, alle Initiativen zur Änderung von Vorschriften des Strafrechts abzulehnen und die bereits durchgeführten Änderungen an den Justizgesetzen aufzuheben. Der Vorsitzende der liberalen Partei Ludovic Orban fordert das Parlament wiederum auf, die neuen Strafgesetzbücher als Ganzes abzulehnen und gegebenenfalls nach Anhörung und Debatte der Öffentlichkeit weitere Anpassungen durch einen neuen Gesetzentwurf vorzunehmen. Die Union Rettet Rumänien fordert ihreseits, dass Polizeichefs aufgrund ihrer Verdienste ernannt werden.



    Unterdessen kündigte die Regierungskoalition an, dass sie an einer Regierungsnotverordnung zur Verbesserung des rechtlichen Rahmens arbeiten würde. PSD und ALDE entschieden des Weiteres, eine Sondersitzung des Parlaments einzuberufen. Über das Urteil des rumänischen Verfassungsgerichts gegen die Änderung des Strafgesetzes haben auch die internationalen Medien berichtet. Die sozialdemokratische Regierung habe seit dem Amtsantritt im Jahr 2016 eine Reihe von Gesetzesänderungen vorgenommen, die die Unabhängigkeit der Justiz bedrohen und sowohl in Brüssel als auch in Bukarest Besorgnis auslösen, schreibt Reuters. Auch die Venedig-Kommission habe die Aufhebung dieser Änderungen beantragt, erinnert die Presseagentur.







  • Neues Verwaltungsgesetz durch Eilverordnung verabschiedet

    Neues Verwaltungsgesetz durch Eilverordnung verabschiedet

    Das neue Verwaltungsgesetz komme den Bürgern entgegen, die auf Mängel verschiedener Verwaltungsabläufe sto‎ßen — das erklärte am Dienstag der stellvertretende Ministerpräsident Daniel Suciu, kurz nachdem die Regierung das neue Verwaltungsgesetz per Eilverordnung verabschiedete. Das Gesetz würde die Regeln und Bestimmungen der öffentlichen Verwaltung vereinfachen, so der Amtsträger. Darüber hinaus lie‎ße es Mechanismen entstehen, die möglichen Blockaden zwischen den öffentlichen Institutionen vorbeugen würden, verdeutlichte Suciu. Das Gesetz sei nicht perfekt, könnte aber noch bei der Aussprache im Parlament verbessert werden, meinte der stellvertretende Ministerpräsident. Das neue Verwaltungsgesetz sei dringend notwendig gewesen. Diejenigen, die sich kritisch im Hinblick auf den Beschluss der Regierung äu‎ßern, würden sich blo‎ß gegen die Verabschiedung des Gesetzes stemmen, obwohl es zur Modernisierung der lokalen und zentralen öffentlichen Verwaltung führe, so der Vizepremierminister Daniel Suciu:



    Das Gesetz wurde 6–7 Monate im Parlament besprochen. Es wurde sogar vor dem Verfassungsgericht angefochten und danach zur Debatte ins Parlament zurückgeschickt. Wir planen zusammen mit der Europäischen Kommission schon das nächste Haushaltsjahr. Vor diesem Hintergrund müssen wir mindestens unsere Verpflichtungen in Bezug auf die öffentliche Verwaltung erfüllen. Denn wir stehen dafür ein. Wir verzeichnen diesbezüglich schon gro‎ße Rückstände, von einem, sogar zwei Jahren.“




    Das novellierte Verwaltungsgesetz umfasst mehrere umstrittene Bestimmungen, unter anderem die Bestimmungen im Hinblick auf die Sonderrenten lokaler Mandatsträger. Umstritten ist auch die Bestimmung, die eine Verkürzung der Frist zur Ernennung der Minister durch den Staatspräsidenten vorsieht. Das neue Verwaltungsgesetz umfasst Verfahren und Fristen in Bezug auf die Ernennung der Regierungsmitglieder nach einer Umbildung der Regierung, oder falls ein Amt frei wird. In so einem Fall hat der Ministerpräsident 5 Tage zur Verfügung, um Vorschläge zu unterbreiten. Das Staatsoberhaupt müsste laut dem abgeänderten Gesetz innerhalb von 10 Tagen auf den Vorschlag reagieren. Der Staatspräsident darf den Vorschlag zur Ernennung eines Regierungsmitglieds nur ein einziges Mal ablehnen.



    Die bisherige Gesetzgebung sah überhaupt keine Fristen vor. Darüber hinaus übernahm bis jetzt niemand die Verantwortung für eine sich verlängernde provisorische Lage — das betonte der stellvertretende Ministerpräsident Suciu. Das neue Verwaltungsgesetz umfasst auch Bestimmungen und Verfahren zur Gültigkeitserklärung der Mandate der Lokalvertreter. Diese Gültigkeitserklärung soll ab jetzt durch Gerichtsbeschluss erfolgen, und nicht mehr wie früher durch einen Validierungsausschuss. Au‎ßerdem sollen die Beschlüsse der Stadt- und Kreisräte von der Hälfte plus eins der amtierenden Lokalvertreter angenommen werden können.



    Staatspräsident Klaus Johannis betrachtet das Gesetz als einen gravierenden Angriff auf das gesamte Verwaltungssystem. Das Gesetz hätte nur nach einer Aussprache im Parlament und infolge eines weitgehenden gesellschaftlichen Dialogs verabschiedet werden, verdeutlichte Johannis. Auch die Opposition bestreitet das im Eilverfahren verabschiedete Gesetz. Laut USR (der Union Rettet Rumänien) umfasse das Gesetz umstrittene Bestimmungen, die die amtierenden lokalen Mandatsträger favorisieren würden. Das neue Verwaltungsgesetz sei den PSD-Baronen“ gewidmet und stelle einen landesweiten Raub“ dar, meinen auch die Liberalen. Darüber hinaus ersuchen sie den Bürgerbeauftragten, das Verfassungsgericht mit dem Thema zu befassen. Der Vorsitzende der Landesunion der Kreisräte, der Sozialdemokrat Marian Oprişan, begrü‎ßt dagegen die Verabschiedung des Gesetzes. Es bringe Klarheit in mehrerer Hinsicht und würde die Tätigkeit der Verwaltung, vor allem was die Beziehung zu den Bürgern betrifft, effizienter machen.

  • Kabinett Dăncilă übersteht Misstrauensvotum

    Kabinett Dăncilă übersteht Misstrauensvotum

    Die linksgerichtete Regierung in Bukarest hat am Dienstag den Misstrauensantrag der Opposition überstanden.



    Indes haben sich einige Sozialdemokraten der neu gegründeten Pro-Rumänien-Partei angeschlossen, die von ihrem ehemaligen Parteichef Victor Ponta geleitet wird. Dennoch bleibt die Regierung unter der Interimsführung der Premierministerin Viorica Dăncilă an der Macht. Der Misstrauensantrag erhielt nur 200 von 233 Stimmen, die für die Verabschiedung notwendig waren. Die Initiatoren des Antrags, die National-Liberale Partei (PNL), die Union Rettet Rumänien (USR), die Partei der Volksbewegung (PMP) und die Demokratische Union der Ungarn in Rumänien (UDMR) werfen dem Kabinett Dăncilă vor, einen unerbittlichen Angriff auf die Justiz zu unternehmen und die Wirtschaft zu destabilisieren. Regierungsvertreter äu‎ßerten hingegen ihren Zweifel an der Bereitschaft der Opposition, die Regierung zu diesem Zeitpunkt zu übernehmen.



    Die Vorsitzende der Abgeordnetenkammer, die Liberale Raluca Turcan, sagt, dass die Opposition die Fähigkeit hat, die Macht zu übernehmen, und dass die Misstrauensvoten das Ergebnis der Abstimmung vom 26. Mai widerspiegeln: Wir können eine Regierung organisieren, die rechtlich Machbarkeitsstudien durchführen und mit dem Bau von Autobahnen beginnen sollte. Wir könnten auch die Briefwahl für Rumänen in der Diaspora einführen und die Gesetzgebung in der Justiz korrigieren”. Die Premierministerin Viorica Dăncilă bekräftigte wiederum ihre Entschlossenheit, ihr Mandat durchzusetzen, und fügte hinzu, die Wirtschaftsindikatoren seien deutliche Beweise für die wirksame Politik der Regierung: Es ist offensichtlich, dass es keine Alternative zur Regierung gibt. Wollen Sie diese Regierung wirklich vor den bevorstehenden Wahlen stürzen? Sie haben keine konkrete Lösung für das Funktionieren der Wirtschaft im Interesse der Bürger gefunden”.



    Politikbeobachter erklären wiederum, dass es aus verschiedenen Gründen wenige Chancen gibt, dass die Opposition zu diesem Zeitpunkt die Macht übernimmt. Die übermä‎ßig gro‎ßzügige Sozialpolitik der Linken werde bald Auswirkungen haben, die korrigiert werden müssen. Auf der anderen Seite sei die öffentliche Verwaltung nun mit Mitarbeitern der Regierungskoalition besetzt, die drohen, eine andere Regierung zu sabotieren. Experten sind sich jedoch einig, dass die politischen Parteien ihre Auseinandersetzung im Herbst vor den Präsidentschaftswahlen wieder aufnehmen werden.

  • 18.06.2019

    18.06.2019

    Motion – Le plénum réunit du Parlement de Bucarest se prépare à voter ce mardi la motion de censure déposée par l’opposition contre le gouvernement de coalition formée du Parti Social-Démocrate (PSD) et de l’Alliance des libéraux et des démorates (ALDE). Selon le texte, la Roumanie a besoin d’urgence d’un gouvernement doté d’une vision pro-européenne et concentré sur les priorités de développement du pays, à savoir l’éducation, la santé, les investissements publics et l’utilisation des fonds européens. Les partis signataires de la motion – le Parti national libéral (PNL), l’Union Sauvez la Roumanie (USR), le Parti du Mouvement populaire (PMP) et l’Union démocrate des Magyars de Roumanie (UDMR) – affirment que l’Exécutif dirigé par la première ministre Viorica Dăncilă doit être démis à cause de la manière dont il a organisé les élections européennes dans la diaspora, mais aussi à cause de ses tentatives répétées de changer les lois de la justice par décrets d’urgence. Pour que la motion passe, elle doit être votée par au moins 233 sénateurs et députés. Or, les partis à l’origine du document ont aussi besoin du soutien du Parti ProRomânia, de l’ancien premier ministre social-démocrate Victor Ponta, de celui des minorités nationales et mêmes de voix de la majorité parlementaire. Dans l’autre camp, la première ministre Viorica Dăncilă, qui assure aussi la direction par intérim des sociaux-démocrates, a demandé aux élus de son parti d’être présents dans l’Hémicycle, pour assurer le quorum, mais de s’abstenir au moment du vote.

    Visite – En visite à Bucarest, le procureur général des Etats-Unis, William Bar, est reçu ce mardi par le chef de l’Etat, Klaus Iohannis et aura un entretien avec la première ministre, Viorica Dancila. Le responsable américain rencontrera aussi Vera Jourova, commissaire européenne chargée de la Justice, présente à son tour en Roumanie pour participer à la réunion ministérielle Etats-Unis – UE sur la Justice et les Affaires Intérieures prévue le mercredi. Les débats porteront sur la coopération judiciaire dans le cyber espace et sur la résiliation des systèmes électoraux.

    Racisme – La présidence roumaine du Conseil de l’UE s’est fait de la lute contre le racisme, l’intolérance, la xénophobie, le populisme, l’antisémitisme et le discours incitant à la haine sont principal objectif, a déclaré ce lundi la première ministre roumaine, Viorica Dancila, en ouverture d’une réunion au sommet portant sur la prévention et la lutte contre le racisme, la radicalisation et l’antisémitisme. La cheffe du cabinet de Bucarest a précisé que la présidence roumaine a également proposé des mesures de lutte contre les infox et la désinformation en ligne.

    Protestations – Quelques 300 chauffeurs de taxi protestant ce mardi, à Bucarest, contre le projet d’ordonnance d’urgence censé réglementer le fonctionnement des compagnies de transport de personnes telles Uber, Bolt ou Clever. Aux dires des protestataires, adoptée sous sa forme actuelle, la future loi permettrait une forme masquée de concurrence non loyale. Les chauffeurs de taxi déplorent leur obligation de changer de voiture tous les dix ans, tandis que les chauffeurs de VTC peuvent garder leur véhicule 15 ans tout au plus. Par ailleurs, les courses en taxi ont un tarif fixe, tandis que les autres pratiquent un tarif dynamique.

    FITS– La 26ème édition du Festival International du Théâtre de Sibiu, ayant comme thème « L’art d’offrir » se poursuit jusqu’au 23 juin. A l’affiche en ce mardi : le spectacle « Le flamenco comme destinée » avec Jesus Carmona, sacré meilleur danseur du genre en 2018. Dimanche, le dramaturge franco- roumain, Matei Visniec, a été en dialogue avec le dramaturge et metteur en scène français, Jean- Michel Ribes. Selon les organisateurs, plus de 500 chefs d’œuvre issus des plus prestigieuses collections d’art de France seront présentés à Sibiu dans le cadre d’une exposition virtuelle accueillie par le premier musée numérique de Roumanie. Le Festival international de théâtre de Sibiu est l’événement du genre le plus grand et le plus complexe de Roumanie, voire d’Europe. Radio Roumanie figure parmi les coproducteurs.

    Football – La sélection roumaine joue ce mardi contre la Croatie dans le cadre du Championnat européen de football des Moins de 21 ans qui a lieu en Italie et à Saint Marin. La Roumanie fait partie du Groupe C, aux côtés de l’Angleterre, la France et la Croatie. La phase des groupes a commencé dimanche avec les matchs Pologne-Belgique, 3 à 2 et Italie-Espagne, 3 à 1. C’est la deuxième participation de l’équipe roumaine des Moins de 21 ans, après celle de 1998. La finale aura lieu le 30 juin.

    Météo – Les météorologues ont replacé presque tout le territoire de la Roumanie en vigilance jaune aux pluies torrentielles, aux phénomènes orageux et à la grêle. L’alerte est en vigueur jusqu’à ce soir. Les quantités d’eau pourraient dépasser les 25 litres sur mètre carrée et même les 40 à 60 litres. La météo instable se prolongera jusqu’à jeudi. Les températures resteront élevées sur la plupart du territoire, notamment dans le sud, l’est et par endroits dans le centre. Les températures maximales iront de 27 à 31 degrés. 27 degrés à midi, à Bucarest.

  • Die Woche 10.06.-14.06.2019 im Überblick

    Die Woche 10.06.-14.06.2019 im Überblick

    Opposition reicht Missrauensantrag gegen die rumänische Regierung



    Die mitte-rechts orientierte rumänische Opposition hat am Mittwoch einen weiteren Misstrauensantrag gegen die Regierung der Sozialdemokratischen Partei (PSD) und der Allianz der Liberalen und Demokraten (ALDE) eingereicht. Die Regierung Dancila braucht 233 Stimmen, um verdrängt zu werden, so dass die Opposition aus der Nationalen Liberalen Partei (PNL), der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegung (PMP) auch die Unterstützung der Pro-Rumänien-Partei unter der Führung des ehemaligen sozialdemokratischen Premierministers Victor Ponta, der Abgeordneten der Demokratischen Union der ethnischen Ungarn in Rumänien (UDMR), der anderen nationalen Minderheiten und sogar der Regierungskoalition benötigt. Andererseits hat die Premierministerin Dancila die sozialdemokratischen Abgeordneten gebeten, an der Sitzung teilzunehmen, um das Quorum zu sichern, aber nicht abzustimmen. Die Abstimmung findet nächste Woche statt.



    Einfacher Anntrag gegen Außenminister abgelehnt



    Der von der Opposition PNL, USR und PMP eingeleitete einfache Antrag gegen den rumänischen Außenminister Teodor Melescanu ist am Dienstag im Plenum des Senats abgelehnt worden. Der Antrag befasste sich mit den in der Diaspora erschienenen Problemen bei den Wahlen vom 26. Mai. Die Einleiter des Antrags behaupteten im Antrag, aber auch im Plenum, Teodor Melescanu habe das Außenministerium sowie die Europawahlen und das Referendum zu Justizfragen verantwortungslos organisiert. Am Montag bat der Außenminister die Rumänen im Ausland erneut, ihm zu verzeihen, sagte aber, dass das Ministerium seinen gesetzlichen Verpflichtungen nachgekommen sei. Melescanu hat angekündigt, dass Beratungen in den Botschaften stattfinden sollen, in denen es Probleme bei der Wahl gab, um die Schuldigen zu finden und dafür zu sorgen, dass sich die Situation nicht wiederholt.



    Nationales Politisches Abkommen für die Stärkung der europäischen Ausrichtung Rumäniens unterzeichnet



    Die Unterzeichnung des Nationalen Politischen Abkommens für die Stärkung der europäischen Ausrichtung Rumäniens hat am Donnerstag im Rahmen einer Zeremonie stattgefunden. Präsident Iohannis, der Urheber des Abkommens, erhob dabei erneut schwere Vorwürfe gegen die regierende PSD. Die Partei habe Rumänien äußerst schwer geschadet, die PSD habe die Entwicklung des Landes bis heute behindert, sagte er. Das Grundgesetz und die einschlägige Gesetzgebung müssten geändert werden, so Iohannis noch. Bei der Zeremonie zugegen waren die Führungsmitglieder der Opposition. Die Vertreter der PSD und der mitregierenden ALDE sowie des früheren Regierungspartners, des Ungarnverbandes, gehörten nicht zu den Unterzeichnenden. Das Abkommen war von Präsident Klaus Iohannis allen Fraktionen vorgeschlagen worden, die an der Beratungsrunde über das Justiz-Referendum vom 26. Mai teilgenommen hatten.




    26. Internationales Theaterfestival in Sibiu



    In Sibiu hat am Freitag die 26. Ausgabe des Internationalen Theaterfestivals begonnen. Dabei handelt es sich um eine der größten diesartigen Veranstaltungen in Europa mit 540 Aufführungen an 75 Standorten, an denen 3.300 Künstler und Gäste aus 73 Ländern mitwirken. Das Festival dauert bis zum 23. Juni, Radio Rumänien ist einer der Partner.



    Unwetter in Rumänien



    In Rumänien gibt es weiterhin Überschwemmungen, starke Regenfälle, Hagel und Stürme. Unwetterwarnungen gibt es seit Woche im ganzen Land und scheinbar ist kein Ende in Sicht. Warnungen wurden für viele Flüsse im fast ganzen Land herausgegeben, für Sturzfluten und steigende Wasserpegel mit Überschwemmungsgefahr. Auch der Donauwasserpegel steigt ständig, wobei für die nächsten Tage mehrere Warnungen ausgesprochen werden. Die Frage ist, ob alle Dämme halten werden. Zuständige Behörden versicherten, dass die Situation vorerst unter Kontrolle ist. Die Behörden empfehlen der Bevölkerung in den Risikogebieten, keine Flüsse durch Wasser zu überqueren und sich von den Ufern fernzuhalten. Darüber hinaus werden die Menschen aufgerufen, die Rinnen neben ihren Häusern zu reinigen, um den Wasserabfluss nicht zu behindern und Stauwasser in den Höfen zu vermeiden. In manchen Gegenden wurden Brücken, Häuser, Nebengebäude, Gärten und Keller überflutet. Hunderte von Menschen mussten von Feuerwehrleuten evakuiert werden. Landwirtschaftlichen Kulturen wurden zerstört. In den meisten Fällen haben die Landwirte keine Versicherung für diese Art von Schäden. Leider wurden Hunderte von Tieren von den Wassermassen mitgerissen. Der Straßenverkehr wurde empfindlich gestört, Landkreis und Nationalstraßen sowie Europastraßen wurden zeitweilig durch Sturzfluten blockiert.