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  • Inventions d’or roumaines

    Inventions d’or roumaines

    Les chercheurs roumains ont une fois de plus été distingués de prix lors de la 44e édition du Salon international de Genève, qui sest déroulée sous le haut patronage du gouvernement fédéral suisse et de lOrganisation mondiale de la propriété intellectuelle. Cette année, ils ont engrangé pas moins de 20 médailles dor. En 2015, ils en rapportaient 28 médailles, dont 18 dor, 7 dargent et 3 de bronze. Cette année, le Salon de Genève a réuni plus de 700 exposants. Beaucoup des concepts originaux présentés à cette occasion ont eu trait à la santé et au suivi de lorganisme humain, depuis une application pour la protection des somnambules jusquau dispositif qui, après avoir détecté combien de sang a perdu un blessé, enclenche automatiquement la transfusion sanguine.



    Marioara Avram, chercheuse à lInstitut national de recherche – développement en micro – technologies de Bucarest, sest retrouvée à nouveau parmi les médaillés dor. Aux côtés dune équipe de jeunes chercheurs, Marioara Avram a mis au point, en 2015, un réactif composé de nanoparticules dor qui permet une détermination très fine des limites de la cible tumorale, en surface et en profondeur. Cette invention aidera les médecins à mieux cerner létendue dune tumeur et à déterminer les dimensions de lablation. Primé en 2015 à Genève, ce réactif a servi de point de départ pour une autre invention, elle aussi distinguée par la médaille dor.



    Invitée au micro de Radio Roumanie, Marioara Avram explique: « Cette année, je me suis penchée toujours sur les mélanomes. Je me suis proposé de réaliser un dispositif capable de mesurer la constante diélectrique et lindice de réfraction des tumeurs, afin de séparer les cellules tumorales des cellules saines. On peut donc identifier la cellule tumorale à laide dune méthode non invasive. Bref, plus besoin de procéder à la biopsie, car les cellules tumorales seront détectées dans le sang, daprès la constante diélectrique ou lindice de réfraction. Lidée mest venue en travaillant à linvention de lannée dernière, lorsque jai utilisé un marqueur à base dor colloïdal. En étudiant les mélanomes au microscope, jai constaté que la longueur donde de la résonance plasmonique des cellules tumorales nétait pas celle à laquelle je mattendais. Je me suis donc demandé pourquoi les nanoparticules avaient réagi de la sorte. Jai dû réaliser un dispositif à même détablir avec exactitude les propriétés de ces cellules tumorales, propriétés que les ouvrages spécialisés ne décrivaient pas. Cela représente un nouveau pas vers la construction dun autre appareil auquel je travaille. Je souhaiterais pouvoir déceler les cellules tumorales circulantes dans le sang, ce qui serait une méthode révolutionnaire à léchelle mondiale. »



    Daniel Ghiculescu, professeur à lUniversité de Bucarest, a lui aussi été primé lors du Salon international des inventions de Genève. Se référant aux inventions qui lui ont valu des médailles, il a précisé quelles reposent sur le mélange de technologies et de procédés non conventionnels, un accent particulier étant mis sur les micro – et les nanotechnologies: « Jai participé avec deux inventions. Toutes les deux ont été récompensées de la médaille dor et des prix spéciaux du jury. Elles reposent sur la combinaison de technologies non conventionnelles, appelée combinaison hybride. Dans ce cas, nous avons combiné électroérosion et ultrasons dune part, électrochimie et ultrasons de lautre. Le grand atout de la combinaison est la synergie, qui valorise les avantages de chaque procédé. Il s‘agit, en fait, de la miniaturisation poussée à lextrême, un défi à relever dans bien des domaines, dont les technologies de linformation, les télécommunications, lélectronique, lélectro – optique. »



    Le vrai problème cest le transfert de technologie des laboratoires vers les différents segments de marché, avec pour ultime but la commercialisation, précise encore le professeur des universités Daniel Ghiculescu: « Le Salon international de Genève est un excellent moyen de promotion. Il offre à nos inventions une meilleure visibilité à létranger, dans les pays où les industries du domaine sont plus développées, ce qui augmente les chances de leur mise en pratique. Je suis persuadé que si les résultats sont prometteurs, les investisseurs ne tarderont pas à sy intéresser. Pourtant, je crois quil existe un décalage entre lEurope, un peu plus conservatrice, et loutre – Atlantique ou encore lAsie, où le transfert de technologie sopère plus vite. »



    Selon les données officielles, l’Office d’État pour les inventions et les marques de Bucarest, seulement 400 des quelque 1100 demandes de brevet déposées annuellement reçoivent une réponse positive. (trad.: Mariana Tudose)

  • 19 April, 2016

    19 April, 2016

    MINISTER — In Bucharest today, the newly appointed labor minister, Dragos Paslaru, takes up his term under difficult circumstances, with trade unions protesting the planned emergency executive order on state wages. On Monday, 200 teachers protested outside the government building, demanding a 35% raise.



    VISIT — Spanish Minister of Justice Rafael Catala is on an official visit to Romania on Tuesday and Wednesday. He is scheduled to hold talks with Romanian Foreign Minister Lazar Comanescu, his counterpart Raluca Pruna, and head of anti-corruption, Laura Kovesi. These meetings are part of the intense cooperation between the two countries, considering the huge Romanian community in Spain, and the common interest displayed by the two countries in creating an international court for prosecuting terrorism. Spain has the largest community of Romanians living abroad, amounting to around one million.



    CUSTOMS CODE — Romanian goods will gain access to the entirety of the EU starting on May 1, 2016, when the Union Customs Code comes into effect. The document sets common procedures, harmonized across the EU, facilitating trade.



    INVENTION — Romania got 19 gold medals, 14 silver medals, two bronze medals, and 30 special prizes at the Geneva International Invention Salon. Romanian teams submitted 30 inventions, including a method to recycle safety glass and a device to pinpoint cancer cells. Over 1,000 inventions from 40 countries competed in the event, half of them from Asia, predominantly from China. Last year, Romania got 28 medals. Two years ago, the Grand Prize was won by a Swiss company for technology created by a team of Romanian researchers.



    CINEMA — The 12th edition of the Bucharest International Film Festival, running from Monday to Sunday, opened with the film Soy Nero, submitted by Iranian director Rafi Pitts. It tells the story of a deported Mexican who manages to enlist in the US armed forces in order to gain citizenship. The festival consists of 15 movie screenings for films from Spain, France, the US, Iran, Romania, Belgium, Bosnia-Herzegovina, Argentina and Bulgaria.



    EARTHQUAKE – The Ecuadorian government announced that 400 people are known to be dead and around 2,500 injured after the 7.8 Richter scale quake on the Pacific coast of the country. The search for survivors continues, while reconstruction costs are estimated to reach billions of dollars. President Rafael Correa said this is the worst tragedy in the last 70 years for his country. On Monday, officials with USAID announced it would join UN rescue teams, sending teams of experts to Ecuador to support recovery after the earthquake.



    BOMBING — Around 30 people were killed and over 300 injured in a suicide bombing in Afghan capital Kabul, according to police sources. The attack was claimed by the Taliban, and targeted a government building housing security personnel.



    PULITZER — The winners of the Pulitzer Prize were announced in New York. The Associated Press won the prize for a public service. Reuters and the New York Times won the prize for breaking news photojournalism in relation to the refugee crisis. The Los Angeles Times won the prize for breaking news reporting on the San Bernardino massacre, while the Tampa Bay Times and the Sarasota Herald Tribune won prizes for investigative journalism.


  • Despre biciclete, biciclişti şi alte bucurii pe două roţi

    Despre biciclete, biciclişti şi alte bucurii pe două roţi

    La sfârşit de
    martie iubitori ai pedalatului s-au reunit la Salonul bicicletei 2016.
    Bikepolo, urban trail sau maraton de indoor cycling au fost doar câteva dintre
    tentaţiile târgului.


    Valentin Ionescu, director executiv al Asociaţiei comercianţilor de
    biciclete din România şi organizatorul evenimentului, ne-a prezentat ediţia din
    acest an: A fost a doua ediţie, Salonul bicicletei
    reprezintă expoziţia anuală de biciclete. Este singurul eveniment destinat sută
    la sută oamenilor din industrie, pasionaţilor de biciclete şi tot ce înseamnă
    comunităţi de biciclişti. Am încercat să facem să fie cât mai atractiv pentru
    vizitatori; pe lângă expoziţia în sine, pe 8 mii de metri pătraţi, în care
    toate mărcile importante de biciclete din România şi-au expus noile modele, am
    pregătit şi multe activităţi. Practic fiecare vizitator, în cele trei zile de
    expoziţie, putea să testeze în premieră bicicletele noi, modelele din 2016, fie
    cursiere, fie mountainbike-uri, fie biciclete de copii, orice tip de bicicletă
    era prezent la salon. În paralel, am invitat comunităţile de biciclişti, din
    Bucureşti şi am construit un traseu indoor. Nu aveai cum să te plictiseşti
    acolo: au fost meciuri de bikepolo, am făcut un concurs pentru copii, împreună
    cu poliţia română, cu care am încercat puţin să explicăm ce înseamnă educaţie
    rutieră şi ce trebuie să faci când eşti pe bicicletă în trafic, am făcut ore de
    spinning, împreună cu WorldClass şi multe alte mici activităţi.



    Foarte incitant, mi-am zis! Şi l-am rugat pe Valentin Ionescu să ne
    spună cum se desfăşoară un meci de Bikepolo: La Bikepolo, băieţii
    au construit o arenă, practic un spaţiu foarte mare, 500-600 de metri pătraţi
    şi, jocul este la fel precum polo cu caii, doar că folosim bicicletele şi
    crosele, atacând la cele două porţi. E
    un sport foarte intens şi chiar periculos, de aceea noi am pregătit pe lângă
    meciurile demonstrative posibilitatea de a intra să te joci pentru prima dată
    în această arenă, să înveţi, să vezi dacă îţi place, să vezi ce înseamnă acest
    sport. A fost ceva nou şi pentru salon, pentru că în România este destul de
    puţin dezvoltat acest fenomen de Bikepolo şi ne-am zis să-i ajutăm şi pe ei să
    fie cunoscuţi prin această colaborare.



    Nici copiii prezenţi la eveniment nu au fost uitaţi: Vine cu detalii
    Valentin Ionescu: Copiii au putut testa biciclete pentru
    copii, pe diverse mărimi, pe categorie de vârstă, iar acolo doi colegi ai mei
    de la salon le puneau diverse întrebări: ce lumină trebuie să ai în spate, ce
    lumină trebuie să ai în faţă, ce trebuie să respecţi când vezi un anumit semn,
    ce distanţă să laşi, cum să te asiguri. Ideea e să fie pregătiţi de mici, să
    ştie ce e important.
    O colaborare salutară cu Poliţia română, prin care
    copiii care vor să pedaleze prin oraş să o facă în siguranţă.


    Mersul pe bicicletă a devenit un hobby în creştere, odată cu extinderea
    reţelei de drumuri special marcate pentru biciclete în oraşele mari. Iar asta
    s-a observat şi prin creşterea numărului de participanţi la Salonul bicicletei,
    după cum ne-a spus interlocutorul nostru: Evenimentul a crescut. Până anul
    trecut nu exista un eveniment de sine stătător doar pentru biciclete. Faptul că
    anul trecut am avut o primă ediţie a fost un lucru foarte impotant pentru noi.
    Faptul că anul acesta a avut o amploare pe care nimeni nu o aştepta: 8400 de
    metri pătraţi, 65 de expozanţi, peste 16 mii de vizitatori. Amploarea
    evenimentului arată cât de mare este piaţa, cât de important este pentru români
    şi acest segment, există oameni interesaţi de acest domeniu.



    Şi odată numărate succesele, încep pregătirile pentru Salonul de
    anul viitor, dar şi pentru un Târg de biciclete care urmează să fie organizat
    în toamnă, unde toate magazinele de biciclete vor aduce bicicletele pe care le
    au pe stoc, pentru a le oferi la un preţ redus.. L-am întrebat pe Valentin
    Ionescu ce biciclete se caută: Aici depinde de nevoia fiecăruia: sunt
    biciclişti care doar vor să se plimbe de 10-20 de ori pe an, şi atunci îţi iei
    o bicicletă cu care să poţi să mergi fie în oraş, fie să mergi îm pădure, fie
    să mergi o dată la un concurs de amatori. Sunt biciclişti mai pasionaţi, care
    merg la concursuri, care au nevoie de biciclete care să facă faţă
    performanţelor unui concurs şi sunt şi biciclişti de tură, care au nevoie de
    biciclete cu care să meargă mulţi kilometri, să se ducă în plimbări, în
    pădurile de lângă Bucureşti. Practic în fiecare weekend, comunităţile de
    biciclişti organizează cel puţin zece evenimente, pentru orice tip de
    biciclist.



    Vă lansăm astfel o invitaţie la pedalat, alături de comunitatea
    bicicliştilor, care, după cum am aflat, din primăvară până în toamnă,
    organizează felurite evenimente.

  • Indagra 2015

    Indagra 2015

    Nous parlons aujourd’hui d’un événement qui a gagné en importance au fil des ans, devenant le rendez-vous thématique régional le plus attendu. Indagra est, chaque année, un rendez-vous animé, coloré, plein de vitalité. Beaucoup le trouvent très intéressant et plus que cela – loccasion de démarrer nombre de projets…


  • 18.01.2015

    18.01.2015

    Vote — La solution pour que le vote des Roumains se déroule tout aussi bien dans la diaspora que dans le pays est que ce processus soit entièrement organisé par l’Autorité électorale permanente, en charge des scrutins à l’intérieur des frontières roumaines, et non par le gouvernement, a estimé le premier ministre Victor Ponta. Il a reconnu que son Cabinet avait mal organisé les dernières élections présidentielles dans la diaspora, « non par mauvaise foi, mais par un mauvais calcul », a dit encore Victor Ponta. Selon lui, le changement des règles du processus n’était pas possible entre les deux tours de scrutin des élections présidentielles, affirmant que le nombre de Roumains de l’étranger présents aux urnes s’est plus que doublé au second tour, par rapport aux 160 mille personnes ayant exprimé leur choix électoral au premier tour.



    Justice — Le ministre roumain de la Justice, Robert Cazanciuc, se rend, ces lundi et mardi, à Bruxelles, où il doit rencontrer des responsables de la Commission européenne au sujet du prochain rapport du Mécanisme de coopération et de vérification pour la Roumanie. La Roumanie aura, pour la deuxième année de suite, un rapport de suivi positif de la part de la Commission européenne dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification (MCV), avait affirmé Robert Cazanciuc dans un entretien à Radio Roumanie. Selon lui, l’évaluation indique que le pays dispose d’un système judiciaire indépendant et d’institutions efficientes d’application de la loi. La Roumanie est aujourd’hui un exemple de bonnes pratiques dans le domaine de la justice, a encore précisé le ministre roumain de la Justice. Notons que les efforts de lutte contre la corruption et de réforme de la justice de Roumanie sont suivis par l’intermédiaire du MCV depuis 2006.



    Diplomatie — Le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, et ses homologues des 27 Etats autres membres de l’UE se réunissent lundi à Bruxelles au sein du Conseil Affaires étrangères. La menace terroriste, après les derniers attentats de Paris, sera la dominante de cette rencontre. Les ministres communautaires des Affaires étrangères doivent s’entretenir dans ce contexte avec le Secrétaire de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, avec lequel ils doivent évoquer les défis sécuritaires auxquels se voient confronter les pays du sud de la Méditerranée, notamment la Syrie et l’Irak, ainsi que le derniers développements intervenus dans le Processus de paix au Proche Orient. En marge du Conseil Affaires étrangères, le chef de la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu, doit s’entretenir avec des eurodéputés roumains ainsi qu’avec les commissaires européens chargés de la politique de voisinage, Johannes Hahn, et respectivement de la Politique régionale, Corina Creţu.



    Franc suisse — Les autorités roumaines ont annoncé plusieurs solutions à envisager par les 75 mille Roumains affectés par la forte perte de terrain du leu, la monnaie nationale, par rapport au franc suisse. Une de ces solutions est de ré échelonner les crédits pour les personnes aux revenus modestes, de manière à ce qu’elles paient une mensualité moindre pendant deux ans, et qu’après, quand la mensualité augmente, l’Etat supporte une partie des coûts par des exemptions d’impôt sur le revenu. Une autre serait que les banques réduisent les taux d’intérêt pour les crédits en Francs suisses. 75.000 Roumains ont des crédits en Francs suisses et six banques de Roumanie détiennent 90% de ce type de crédit. Le ministre roumain des Finances, Darius Vâlcov a fait savoir que les représentants du fisc et des banques doivent se rencontrer dans les prochains jours afin d’étudier d’autres issues possibles de cette crise. La récente décision de la Banque nationale suisse de renoncer au seuil minimum de 1,20 Francs pour un euro provoque des pertes aux banques du monde entier.



    Extradition — Un Britannique et un Irlandais accusés d’escroquerie en Roumanie ont été arrêtés en Argentine et extradés vers Bucarest. Appartenant à un vaste réseau de malfaiteurs, ils sont enquêtés pour avoir trompé plusieurs sociétés de voirie. Utilisant notamment une vidéo de présentation factice, les deux hommes avaient réussi à convaincre ces compagnies de signer des contrats de travaux avec eux, à des tarifs largement en dessous du prix du marché mais pour un résultat escompté similaire avec les images de la vidéo pour ce qui est de la qualité. Les deux louaient par la suite des équipements, procédaient à des travaux superficielles et, après avoir empoché l’argent, abandonnaient les outillages et disparaissaient.



    Christianisme — Lancement lundi, à Bucarest, d’une nouvelle Semaine de prière pour l’unité chrétienne. Chaque troisième semaine du mois de janvier, des représentants des clergés ainsi que des fidèles de tous les cultes chrétiens se réunissent pour prier ensemble, tous les jours dans une église différente. A Bucarest, la Semaine de prière commence à la cathédrale du Patriarcat, au cœur de la ville et se poursuivra dans les églises réformée, calviniste, catholique de rite oriental, luthérienne, arménienne, pour aboutir à la cathédrale catholique Saint Joseph, à proximité de la Maison de Radio Roumanie.



    Foire – Les produits roumains figurent parmi les vedettes de la « Semaine verte », le salon des fabricants de produits du terroir, organisé à Berlin. Une trentaine de producteurs roumains y proposent leurs meilleures créations gastronomiques, depuis le miel et les confitures jusqu’aux fromages et aux charcuteries. La « Semaine verte » est le salon alimentaire et agricole le plus important d’Europe. Jusqu’à dimanche prochain, il accueille des fabricants venus d’une soixante-dizaine de pays.

  • La Francophonie s’invite au Salon Gaudeamus

    La Francophonie s’invite au Salon Gaudeamus

    Le plus important événement de la rentrée et de lautomne littéraire roumain, le Salon du livre Gaudeamus 2014, une rencontre organisée, comme à laccoutumée, par Radio Roumanie, est arrivé à la 21e édition. Cette année, ce salon a préparé, en quelque sorte, à Bucarest, le Sommet de la francophonie qui se tient cette semaine à Dakar, au Sénégal. Tout une série de rencontres, de conférences et dateliers musicaux ont été organisés en ce sens. Et aussi une conférence de presse qui a dévoilé les conclusions dun rapport sur létat de la langue française dans le monde. Ileana Taroi y a été présente.


  • Le 21e Salon du livre “Gaudeamus”

    Le 21e Salon du livre “Gaudeamus”

    Le Salon International du livre “Gaudeamus — livres d’apprentissage”, vient d’ouvrir ses portes mercredi à Bucarest. Organisé par la Société Roumaine de Radiodiffusion, Gaudeamus est l’événement du genre le plus important de Roumanie. Pour davantage de détails nous avons invité au micro, Mme Anca Badea, chargée de l’organisation du salon du livre.


  • Le Salon de l’Automobile de Bucarest 2014

    Le Salon de l’Automobile de Bucarest 2014

    Le salon Auto Bucarest & Accessoires a pour motto « SABrampe de lancement des automobiles «. Ses quatre premières éditions ont été organisées de 1993 à 1996. Depuis 1997, toutes les deux années, le Salon a été présenté sous la houlette de l’Association des Producteurs et Importateurs d’Automobiles (APIA) faisant partie jusqu’en 2007 du calendrier international de l’Organisation Internationale des Constructeurs d’Automobiles (OICA) sous le nom de Salon International Auto Bucarest.



    2011 a pourtant signifié le retour à SAB & Accessoires , édition nationale. 10 journées durant, le Salon actuel présente plus de 200 modèles de voitures, certaines en première mondiale, ainsi que des modèles déjà présents dans l’offre des importateurs. Absence notable du constructeur national DACIA qui vient de lancer au Salon International de Paris les versions Steppway des modèles Dokker et Lodgy. Une exposition de voitures classiques et autres moments spéciaux ont le rôle d’accroître l’attractivité de l’événement.



    Lors de SAB & Accessoires se déroulera, cette année aussi, le projet social « De Zéro à Zorro » lors duquel on va intégralement démonté , puis rassemblé et mis en fonction , un véhicule, les montants collectés de la vente de ce véhicule étant donnés afin de construire des foyers pour enfants orphelins.



    Les organisateurs comptent sur 80 000 visiteurs. De la liste des marques exposantes remarquons les américains de FORD qui produisent des voitures à Craiova (dans le sud) ou les constructeurs allemands OPEL et VOLKSWAGEN qui ont les meilleures chiffres de vente en matière de voitures d’occasion en Roumanie. Les producteurs d’accessoires et équipements, segment important et en ascension sur le marché mondial sont , eux aussi, présents au Salon car ils représentent un des moteurs de l‘économie roumaine à travers les plus de 600 compagnies qui fournissent, avec la production de voitures, 11% du PIB et un quart des exportations roumaines.



    Cette hausse a lieu sur la toile de fond de l’intérêt accru des Roumains vis-à-vis du secteur auto concrétisé par le total des livraisons de voitures qui a enregistré pendant les 9 premiers mois de l’année 2014 une hausse de 27% vis-à-vis de la même période de l’année précédente ce qui place la Roumanie sur une 4-ème position en Europe. A l’échelon européen, aussi, on remarque une évolution positive puisque les pays principaux ont eu une croissance qui confirme la tendance ascendante en 2014 : +2,1% en France, +2,9% en Allemagne, +3,6% en Italie, +17,2% en Espagne et +9,1% en Grande Bretagne.

  • Nachrichten 04.10.2014

    Nachrichten 04.10.2014

    BUKAREST: Das Bukarester Aussenministerium hat am Samstag die brutale Ermordung des britischen Staatsbürgers Alan Henning durch die terroristische Organisation Islamischer Staat (SI) hart verurteilt und hervorgehoben, dass die Schuldigen vor Gericht gebracht und bestraft werden müssen. Die Extremisten veröffentlichten ein Video, das die Enthauptung des Briten Alan Henning zeigt, wie zunächst das auf die Überwachung islamistischer Internetseiten spezialisierte US-Unternehmen Site berichtete. Der britische Premierminister David Cameron bestätigte den “brutalen Mord” wenig später und kündigte einen anhaltend harten Kampf gegen den IS an. US-Präsident Barack Obama verurteilte die Tat als “brutalen Mord”. Die USA wollten die Verantwortlichen zur Rechenschaft ziehen, erklärte er in Washington. Zusammen mit den internationalen Partnern werde Washington “entschiedene Ma‎ßnahmen ergreifen, um den IS zu schwächen und endgültig zu zerstören”. Der UN-Sicherheitsrat erklärte, das Video sei “eine tragische Erinnerung an die zunehmenden täglichen Gefahren für humanitäre Helfer in Syrien”. Die IS-Extremisten hatten zuvor bereits zwei US-Journalisten und einen Briten vor laufender Kamera getötet. Auch ein französischer Staatsbürger wurde in Algerien von einer IS nahestehender Organisation enthauptet. Die Terrororganisation Islamischer Staat drohte mit der Ermordung einer weiteren US-Geisel. Das Wei‎ße Haus hat bestätigt, dass der 24-jährige ehemalige US-Soldat Peter Kassig von dem IS als Geisel gehalten wird.



    BUKAREST: In Rumänien hat der offizielle Wahlkampf für die Präsidentschaftswahlen begonnen. Einen Monat lang werden die 14 Präsidentschaftskandidaten um die Stimmen von über 18 Millionen wahlberechtigten Rumänen kämpfen. Der erste Wahlgang findet am 2. November statt und eine mögliche Stichwahl wird für den 16. November geplant. In Rumänien werden 18.550 Wahllokale eingerichtet; im Ausland 294. Die meisten Wahllokale für die im Ausland lebenden Rumänen werden in Italien eröffnet — 51. In Spanien gibt es 38, in den Vereinigten Staaten 22, in der Republik Moldawien 21, in Gro‎ßbritannien 11 und in Frankreich 9 Wahllokale. Die Wahllokale befinden sich an den Sitzen der diplomatischen Vertretungen, Konsularabteilungen und Kulturinstituten Rumäniens, sowie an den militärischen Stützpunkten in Afghanistan, wo rumänische Soldaten stationiert sind.



    SOFIA: Am Sonntag wird in Bulgarien ein neues Parlament gewählt. Umfragen zufolge gilt ein Wahlsieg von GERB (Bürger für eine europäische Entwicklung Bulgariens), der bürgerlich-konservativen Partei des ehemaligen Ministerpräsidenten Boyko Borissow als wahrscheinlich. Die sozialistische “Koalition für Bulgarien” unter Führung der bulgarischen sozialistischen Partei, die die letzte Regierung anführte, wird ebenso im Parlament erwartet wie die Bewegung für Rechte und Freiheiten (DSP), der Partei der türkischen Minderheit, Juniorpartner in der im Sommer zurückgetretenen Regierungskoalition. Fraglich ist freilich, ob Borissows Gerb tatsächlich die ersehnte Stabilität für das angeschlagene Balkanland bringen kann. Einmal ist sie schon gescheitert. Bulgarien, das ärmste Land der Europäischen Union, liegt im Vergleich mit anderen osteuropäischen Staaten weit zurück, weil die verschiedenen Regierungen in Sofia die Korruption und das organisierte Verbrechen nich bekämpfen konnte.



    BUKAREST: Die 9. Auflage des internationalen Zeichentrickfilm-Festivals Anim’Est, das zwischen dem 3. und dem 12 Oktober in Bukarest stattfindet, wurde am Freitag mit dem Streifen Boxtroli“ der US-amerikanischen Regisseure Anthony Stacchi und Graham Ann eröffnet. 1.260 Zeichentrickfilme aus 60 Ländern treten dieses Jahr in Wettbewerb des Filmfestivals an, eine Rekordzahl, die die Erwartungen der Veranstalter weit überschreitet. Dazu gehören 18 rumänische Filmproduktionen. Über 55 Streifen werden im internationalen Wettbewerb um die Trophäe kämpfen. Ehrengast des Anim’Est Festivals 2014 ist Dänemark, ein Land mit einer der besten Zeichentrickfilm-Schulen.



    PARIS: Am Samstag ist in Paris der Salon Mondial de l’Automobile für das Publikum eröffnet worden. An der gro‎ßangelegten Veranstaltung beteiligen sich über 70 Autohersteller. Die rumänische Marke Dacia, die den Franzosen von Renault gehört, lanciert dieses Jahr die Versionen Stepway der Modelle Lodgy und Docker, sowie zwei Premieren, Duster Air und Sandero Black Touch. Renault präsentiert auch die 5. Generation von Espace. Deutschland setzt weitgehend auf Nischenmodelle: Genannt wurden beispielsweise der Mercedes AMG GT, Audis neuer TT Roadster sowie der überarbeitete X6 und das 2er Cabrio von BMW. Opel enthüllt den neuen Corsa, und Volkswagen präsentiert den neuen Passat.

  • Salonul de carte Bookfest 2014

    Salonul de carte Bookfest 2014

    Aproape un milion de volume, între care câteva mii de titluri noi, a constituit oferta celei de a 9-a ediţii a Salonului Internaţional de Carte Bookfest”, organizat la sfârşitul lunii mai, la Bucureşti. Pe lângă oferta literară variată, pe tot parcursul Salonului Bookfest” au avut loc aproximativ trei sute de evenimente culturale. În afară de lansări de carte, bibliofilii au putut lua parte la dezbateri şi colocvii, proiecţii cinematografice şi evenimente interactive pentru adulţi şi copii, cele mai aşteptate fiind sesiunile de întrebări şi răspunsuri cu autori celebri.



    Unul din punctele de interes pentru publicul iubitor de artă a fost reîntâlnirea cu autori deosebit de importanţi pentru literatura română, totuşi prea adesea — şi pe nedrept — excluşi din peisajul cultural contemporan. Poeta, romanciera şi traducătoarea Nora Iuga: Am rămas — cred — singura din această societate a scriitorilor care le-a cunoscut personal pe unele poete care nu mai sunt printre noi. Acum are loc centenarul Mariei Banuş, fiindcă acesta a fost motivul pentru care am tot fost invitată la tot soiul de evenimente să vorbesc despre ea. Nina Cassian urma imediat ca vârstă după Maria Banuş. La Târgul de Carte, a venit la mine Sanda Golopenţia, care mi-a dăruit cartea Viaţa noastră”, în care vorbeşte despre mama ei, Ştefania Golopenţia, profesoara mea de la Iulia Haşdeu”, pe care am iubit-o foarte mult şi datorită căreia, în parte, am devenit poetă.



    Maria Banuş a debutat în 1937, cu volumul de versuri Ţara fetelor”. Cartea a atras imediat atenţia criticilor, inclusiv pe cea a lui George Călinescu, care a şi înregistrat-o în Istoria literaturii române de la origini până în prezent” din 1941. Nora Iuga: Pe Maria Banuş am cunoscut-o într-o perioadă în care era înlăturată — şi nu este prea greu cuvântul pe care îl rostesc, chiar prezintă adevărul. Nimeni nu mai voia să vorbească cu ea, cu toţii îi întorceau spatele. Era perioada anilor 1971-1972, imediat după revoluţia culturală”. Fiii ei plecaseră în Occident, în nişte ani în care nici nu puteai visa la aşa ceva, iar Maria Banuş a suferit mult din această pricină. Totul se întâmpla în comunism, în aceeaşi perioadă în care, cu aproape un deceniu în urmă, Maria Banuş fusese, fără exagerare, Everestul literaturii române. Întotdeauna m-am gândit că trebuie să fie îngrozitor să cazi de la o asemenea adâncime în cea mai adâncă prăpastie. Cred că a trecut printr-o suferinţă cumplită, suferinţă care a devenit pe zi ce trece mai atroce. Atunci când a împlinit 75 de ani, se afla în ţară, iar eu am scris un articol în România Literară, în care spuneam că singura poetă care ar merita sintagma marea doamnă a poeziei române” să fie Maria Banuş. Mie mi s-a reproşat că am ridicat-o pe acest piedestal.



    Invitatul de onoare al celei de-a noua ediţii a Salonului Internaţional de Carte Bookfest” a fost Polonia. Sub sloganul Quo vadis Polonia? Spre următorul Nobel”, Institutul Polonez a pregătit pentru Bookfest” 2014 o serie de evenimente menite să promoveze literatura polonă şi să sporească interesul publicului român pentru autorii contemporani, dar şi pentru clasicii polonezi. Ciprian Măceşaru, poet şi prozator: La Bookfest, am participat la două lansări de carte. Prima a fost lansarea unei antologii Wisława Szymborska, la Institutul Polonez. Cea de-a doua a fost lansarea romanului unui autor polonez, pe care ne-am bucurat să-l întâlnim la târg. Este vorba de Janusz Wiśniewski, cu romanul Singurătate pe net”. Despre această poetă foarte cunoscută, Wisława Szymborska, nu sunt foarte multe de spus, fiind câştigătoarea Premiului Nobel în 1996. Elementul de noutate al acestei antologii este că sunt şi poeme din ultimele volume ale autoarei, volume care arată puterea de înnoire a limbajului pe care a avut-o poeta poloneză. Dacă liniile de forţă rămân aceleaşi, ea reuşeşte să vorbească despre aceleaşi teme universale, aplecându-se mult mai concret către probleme uşor de identificat în contemporaneitate. Există o poezie extraordinară despre momentul 11 septembrie 2001. Există o poezie în care se tratează problema rasismului. Există poezii despre ceea ce avem, despre ceea ce ni s-a dat, despre lucrurile cu care trebuie să ne împăcăm. La Szymborska există întotdeauna paralela dintre fragilitatea omului şi Universul infinit, impenetrabil, mereu tăcut. Un cu totul alt fel de carte a făcut obiectul celei de-a doua lansări. Autorul vine din zona ştiinţei. Wiśniewski realizează programe de computer, urmărind progrese în domeniul chimiei. A început să scrie destul de târziu, Singurătate pe net” fiind primul lui roman. Cu toate acestea, această carte a înregistrat un succes incredibil. Dacă am încerca să găsim în România ceva similar, nu am reuşit. Doar în Rusia, cartea aceasta a apărut într-un milion de exemplare, fiind deja la a 11-a ediţie, fiind de asemenea pusă în scenă. În Polonia, romanul a fost ecranizat.



    Pe toată perioada Salonului, vizitatorii au beneficiat de acces gratuit la cinematograful de artă Bookfest”, în cadrul căruia au rulat filme premiate la festivaluri internaţionale, oferite de Institutul Maghiar din Bucureşti, de Ambasada Norvegiei, de Institutul Francez din Bucureşti şi de Institutul Polonez.

  • Salonul internaţional de carte Bookfest

    Salonul internaţional de carte Bookfest

    Aproape un milion de volume, între care câteva mii de titluri noi, a constituit oferta celei de a 9-a ediţii a Salonului Internaţional de Carte Bookfest”, organizat la sfârşitul lunii mai, la Bucureşti. Pe lângă oferta literară variată, pe tot parcursul Salonului Bookfest” au avut loc aproximativ trei sute de evenimente culturale. În afară de lansări de carte, bibliofilii au putut lua parte la dezbateri şi colocvii, proiecţii cinematografice şi evenimente interactive pentru adulţi şi copii, cele mai aşteptate fiind sesiunile de întrebări şi răspunsuri cu autori celebri.



    Unul din punctele de interes pentru publicul iubitor de artă a fost reîntâlnirea cu autori deosebit de importanţi pentru literatura română, totuşi prea adesea — şi pe nedrept — excluşi din peisajul cultural contemporan. Poeta, romanciera şi traducătoarea Nora Iuga: Am rămas — cred — singura din această societate a scriitorilor care le-a cunoscut personal pe unele poete care nu mai sunt printre noi. Acum are loc centenarul Mariei Banuş, fiindcă acesta a fost motivul pentru care am tot fost invitată la tot soiul de evenimente să vorbesc despre ea. Nina Cassian urma imediat ca vârstă după Maria Banuş. La Târgul de Carte, a venit la mine Sanda Golopenţia, care mi-a dăruit cartea Viaţa noastră”, în care vorbeşte despre mama ei, Ştefania Golopenţia, profesoara mea de la Iulia Haşdeu”, pe care am iubit-o foarte mult şi datorită căreia, în parte, am devenit poetă.



    Maria Banuş a debutat în 1937, cu volumul de versuri Ţara fetelor”. Cartea a atras imediat atenţia criticilor, inclusiv pe cea a lui George Călinescu, care a şi înregistrat-o în Istoria literaturii române de la origini până în prezent” din 1941. Nora Iuga: Pe Maria Banuş am cunoscut-o într-o perioadă în care era înlăturată — şi nu este prea greu cuvântul pe care îl rostesc, chiar prezintă adevărul. Nimeni nu mai voia să vorbească cu ea, cu toţii îi întorceau spatele. Era perioada anilor 1971-1972, imediat după revoluţia culturală”. Fiii ei plecaseră în Occident, în nişte ani în care nici nu puteai visa la aşa ceva, iar Maria Banuş a suferit mult din această pricină. Totul se întâmpla în comunism, în aceeaşi perioadă în care, cu aproape un deceniu în urmă, Maria Banuş fusese, fără exagerare, Everestul literaturii române. Întotdeauna m-am gândit că trebuie să fie îngrozitor să cazi de la o asemenea adâncime în cea mai adâncă prăpastie. Cred că a trecut printr-o suferinţă cumplită, suferinţă care a devenit pe zi ce trece mai atroce. Atunci când a împlinit 75 de ani, se afla în ţară, iar eu am scris un articol în România Literară, în care spuneam că singura poetă care ar merita sintagma marea doamnă a poeziei române” să fie Maria Banuş. Mie mi s-a reproşat că am ridicat-o pe acest piedestal.



    Invitatul de onoare al celei de-a noua ediţii a Salonului Internaţional de Carte Bookfest” a fost Polonia. Sub sloganul Quo vadis Polonia? Spre următorul Nobel”, Institutul Polonez a pregătit pentru Bookfest” 2014 o serie de evenimente menite să promoveze literatura polonă şi să sporească interesul publicului român pentru autorii contemporani, dar şi pentru clasicii polonezi. Ciprian Măceşaru, poet şi prozator: La Bookfest, am participat la două lansări de carte. Prima a fost lansarea unei antologii Wisława Szymborska, la Institutul Polonez. Cea de-a doua a fost lansarea romanului unui autor polonez, pe care ne-am bucurat să-l întâlnim la târg. Este vorba de Janusz Wiśniewski, cu romanul Singurătate pe net”. Despre această poetă foarte cunoscută, Wisława Szymborska, nu sunt foarte multe de spus, fiind câştigătoarea Premiului Nobel în 1996. Elementul de noutate al acestei antologii este că sunt şi poeme din ultimele volume ale autoarei, volume care arată puterea de înnoire a limbajului pe care a avut-o poeta poloneză. Dacă liniile de forţă rămân aceleaşi, ea reuşeşte să vorbească despre aceleaşi teme universale, aplecându-se mult mai concret către probleme uşor de identificat în contemporaneitate. Există o poezie extraordinară despre momentul 11 septembrie 2001. Există o poezie în care se tratează problema rasismului. Există poezii despre ceea ce avem, despre ceea ce ni s-a dat, despre lucrurile cu care trebuie să ne împăcăm. La Szymborska există întotdeauna paralela dintre fragilitatea omului şi Universul infinit, impenetrabil, mereu tăcut. Un cu totul alt fel de carte a făcut obiectul celei de-a doua lansări. Autorul vine din zona ştiinţei. Wiśniewski realizează programe de computer, urmărind progrese în domeniul chimiei. A început să scrie destul de târziu, Singurătate pe net” fiind primul lui roman. Cu toate acestea, această carte a înregistrat un succes incredibil. Dacă am încerca să găsim în România ceva similar, nu am reuşit. Doar în Rusia, cartea aceasta a apărut într-un milion de exemplare, fiind deja la a 11-a ediţie, fiind de asemenea pusă în scenă. În Polonia, romanul a fost ecranizat.



    Pe toată perioada Salonului, vizitatorii au beneficiat de acces gratuit la cinematograful de artă Bookfest”, în cadrul căruia au rulat filme premiate la festivaluri internaţionale, oferite de Institutul Maghiar din Bucureşti, de Ambasada Norvegiei, de Institutul Francez din Bucureşti şi de Institutul Polonez.

  • A la Une de la presse roumaine

    A la Une de la presse roumaine

    En ce mercredi matin, la presse roumaine consacre d’ample articles à l’enquête déclenchée contre l’édile de la ville roumaine de Constanta, Radu Mazare mais fait aussi le point sur une annonce visant l’exploration des gaz de schiste dans la localité roumaine de Pungesti. Egalement dans la presse : une étude des spécialistes roumaine dresse le profil psychologique du peuple roumain. Enfin, les Roumains se sont faits remarquer au Salon International des inventions de Genève et à l’Olympiade des Sciences de l’UE.


  • La Roumanie au Salon du livre de Paris

    La Roumanie au Salon du livre de Paris

    “La littérature roumaine a gagné en visibilité sur le marché français des belles lettres grâce à sa participation à la 34e édition du Salon du livre de Paris”, a déclaré Lilian Zamfiroiu, président de l’Institut Culturel Roumain (ICR), l’organisateur des événements roumains. Le programme, intitulé Des livres à venir, lavenir des livres”, a comporté débats, lancements de livres et rencontres avec pour participants éditeurs, écrivains, traducteurs et journalistes.



    George Arion, Sylvain Audet, George Banu, Jean-Pierre Brach, Roxana Bauduin, Linda Maria Baros, Michel Carrassou, Alexandru Călinescu, Corina Ciocarlie, Cosmin Ciotloş, Florica Ciodaru Courriol, Benoit-Joseph Courvoisier, Augustin Cupşa, Mark Despot, Reginald Gaillard, Michel Gavaza, Dinu Flamând, Dominique Ilea, Nicolae Manolescu, Mircea Martin, Bujor Nedelcovici et Matei Vişniec sont quelques-uns des écrivains invités du 21 au 24 mars, à la 34e édition du Salon international du livre de Paris. Au stand de la Roumanie on a donc organisé entre autres des débats incitants, tels “Avant-garde et modernité”, “Esotérisme et sacralité aujourd’hui”, “Les livres à venir, lavenir des livres”, “Livres français, lecteurs roumains, lecteurs français” , “Réalité et fiction dans les sports. Une autre écriture ? ” ou encore “Présences de la peinture contemporaine roumaine en France”.



    Présente à l’événement, la journaliste et écrivaine Adela Greceanu trouve que le programme mis en page au stand roumain a été animé et très divers et qu’il a éveillé l’intérêt des lecteurs et journalistes étrangers. Voici ce qu’elle a déclaré à propos de l’édition 2014 du Salon du livre de Paris. « Ces cinq ou six dernières années, le Salon est redevenu un des événements majeurs du marché spécialisé d’Europe. Cette année, en tant qu’invité d’honneur, l’Argentine s’est présentée avec un stand tout à fait impressionnant, dominé par l’exposition Julio Cortazar, dont on a célébré le 100 e anniversaire de la naissance. Ça a été pour moi un véritable cadeaux, car j’ai pu voir des photos inédites avec Cortazar et surtout découvrir un Cahier de notes pour “La Marelle ”, placé derrière une vitrine au milieu de l’exposition. Un cahier que l’on pouvait feuilleter en variante numérique. En ce qui concerne la participation de la Roumanie, j’estime très important le fait que les livres roumains étaient présents pas que sur le stand roumain. A mon avis, la littérature roumaine est de plus en plus connue. Par exemple, les livres de Gabriela Adameşteanu je les ai vus sur les étagères de la maison d’édition Gallimard, le roman de Răzvan Rădulescu, “La vie et les agissements d’Ilie Cazane”, se vendait chez Zulma, tandis que sur le stand des éditions Actes Sud j’ai remarqué le roman d’Alexandru Vona, “Les fenêtres murées”. »



    Un débat qui a réuni un public nombreux a été celui sur les “Perspectives de l’intégration européenne de la République de Moldavie. Y ont participé Oleg Serebrian, l’ambassadeur de Chisinau à Paris, Gheorghe Erizanu, écrivain et directeur des éditions Cartier de Chişinău, l’historien Matei Cazacu et l’écrivain Emilian Galaicu Păun. Oleg Serebrian a parlé des actions visant à l’intégration de son pays dans l’UE. “A commencer par 2009, on est passé à une vitesse supérieure et réalisé pas mal de choses, dont la signature de l’accord de libre échange, un pas important pour l’économie moldave. Dans quelques années on va en ressentir les effets bénéfiques”, a précisé Oleg Serebrian.



    Voici les propos de l’écrivaine et journaliste d’Adela Greceanu, sur ce débat. « Après le débat, j’ai réalisé une interview avec Emilian Galaicu-Păun au sujet de l’intégration européenne de la République de Moldova. Il a souligné l’importance de la présence des écrivains de langue roumaine de son pays sur le stand de la Roumanie au Salon international du livre de Paris. Aux yeux des Moldaves, cela équivaut en quelque sorte à la reconnaissance de leur appartenance aussi bien à la littérature roumaine qu’à celle de l’espace européen. »



    Florica Ciodaru Courriol a présenté, à l’occasion du Salon du livre de Paris, la version française qu’elle a donnée au roman de Marta Petreu, « Notre maison dans la plaine de lArmageddon » ( paru chez Polirom, en 2011). La maison d’édition « LÂge dHomme », qui a publié le roman traduit par Florica Ciodaru Courriol, n’est pas à sa première rencontre avec la littérature roumaine, car elle a fait paraître aussi des oeuvres de Mateiu Caragiale, Lucian Blaga, Vintila Horia et Ion Caraion. Florica Ciodaru Courriol nous a parlé du roman de Marta Petreu. « J’aime beaucoup ce roman parsemé de notes autobiographiques, où l’on retrouve des épisodes affreux tels l’autopsie du père. En bref, c’est l’histoire d’une famille de paysans de Transylvanie. Parallèlement à cette histoire qui s’étale sur un siècle, nous assistons à la formation de la jeune narratrice, qui a bien des ressemblances avec l’écrivaine Marta Petreu. Je pense que les Occidentaux doivent trouver intéressant d’apprendre comment a évolué une région de la Roumanie avant la Seconde Guerre Mondiale. On y décrit le passage des Russes par Cluj, la désertion du père de l’armée, la collectivisation, l’éducation marxiste, les problèmes religieux en Transylvanie. Marta Petreu poursuit le fil de l’histoire jusqu’à nos jours, pour déplorer la dégringolade de l’économie et la destruction de l’environnement. Le roman étant structuré sur plusieurs paliers, on peut également avoir plusieurs niveaux de lecture. Dans l’avant-propos que j’ai écrit pour la version française, je l’ai nommé roman métaphysique. »



    Florica Ciodaru Courriol nous a également fait partager ses impressions sur l’édition 2014 du Salon du livre de Paris. « Les événements organisés au stand roumain ont vraiment été à la hauteur des attentes, vu que l’année dernière, lorsque la Roumanie, invité d’honneur du Salon, avait bénéficié d’un accueil fastueux. Une attention particulière a été prêtée à la poésie. Je pense que c’est une bonne chose, car la poésie est souvent mise à l’écart, tant en Roumanie qu’en France. Quant à l’accueil de la littérature roumaine en France, nous en attendons toujours les échos. »



    Le Salon international du livre de Paris s’adresse aussi bien aux professionnels du domaine éditorial, qu’au grand public, bénéficiant d’une forte visibilité dans la presse française. Après avoir été l’invitée d’honneur de l’édition 2013, la littérature roumaine est entrée sur le marché français avec plus de 20 nouveaux titres, signés par des auteurs tels Gabriela Adameşteanu, Radu Aldulescu, Ana Blandiana, Lucian Boia, Norman Manea, Lucian Dan Teodorovici, Adina Rosetti, Răzvan Radulescu, Varujan Vosganian. ( trad. Mariana Tudose)

  • România la Salonul Cărţii de la Paris

    România la Salonul Cărţii de la Paris

    “Literatura română a mai câştigat vizibilitate pe piaţa literară franceză după participarea României la cea de-a 34-a ediţie a Salon du Livre de la Paris”, a declarat Lilian Zamfiroiu, preşedintele Institutului Cultural Român (ICR), instituţie care s-a ocupat de organizarea evenimentelor româneşti. Având ca temă Des livres a venir, lavenir des livres”/(”Cărţile viitorului, viitorul cărţii”), programul românesc a inclus dezbateri, lansări şi întâlniri la care au participat editori, scriitori, traducători, jurnalişti. George Arion, Sylvain Audet, George Banu, Jean-Pierre Brach, Roxana Bauduin, Linda Maria Baros, Michel Carrassou, Alexandru Călinescu, Corina Ciocarlie, Cosmin Ciotloş, Florica Ciodaru Courriol, Benoit-Joseph Courvoisier, Augustin Cupşa, Mark Despot, Reginald Gaillard, Michel Gavaza, Dinu Flamând, Dominique Ilea, Nicolae Manolescu, Mircea Martin, Bujor Nedelcovici şi Matei Vişniec s-au numărat printre scriitorii care au participat, în perioada 21 – 24 martie, la cea de-a 34-a ediţie a Salonului Internaţional de Carte de la Paris. La standul României au avut loc, aşa cum spuneam, şi dezbateri incitante, ca “Avangardă şi modernitate”, “Ezoterism şi sacralitate în lumea de azi”, “Les livres à venir, lavenir des livres” (Cărţile viitorului, viitorul cărţii), “Livres français, lecteurs roumains/ Livres roumains, lecteurs français” (Cărţi franceze, cititori români/ Cărţi româneşti, cititori francezi), “Realitate şi ficţiune în sport. O altă scriitură?” şi “Présences de la peinture contemporaine roumaine en France” (Pictori contemporani români în Franţa).



    Jurnalista şi scriitoarea Adela Greceanu a fost prezentă la eveniment şi consideră că programul desfăşurat la standul României a fost unul animat şi divers, suscitând interesul cititorilor şi jurnaliştilor străini. Adela Greceanu, despre ediţia din acest an a Salonului de Carte de la Paris: ”În ultimii cinci, şase ani, Salonul a redevenit unul din evenimentele majore ale pieţei de carte din Europa. Anul acesta, invitată de onoare a fost Argentina, cu un stand absolut impresionant şi dominat de expoziţia Julio Cortazar, de la a cărui naştere se împlinesc 100 de ani. Pentru mine a fost un cadou extraordinar faptul că Argentina a fost invitată de onoare şi am putut să văd fotografii inedite cu Julio Cortazar şi, mai ales, un Caiet de însemnări pentru “Şotron”, expus într-o vitrină în mijlocul expoziţiei, caiet care putea fi răsfoit digital. În ceea ce priveşte prezenţa României, mi se pare foarte important că am văzut cărţi româneşti nu numai la standul României. Impresia mea este că literatura română a început să fie tot mai cunoscută. De pildă, cărţile Gabrielei Adameşteanu erau în rafturile editurii Gallimard, romanul lui Răzvan Rădulescu, “Viaţa şi faptele lui Ilie Cazane”, se vindea la editura Zulma, iar la standul editurii Actes Sud am văzut romanul lui Alexandru Vona, “Ferestrele zidite”. “



    O dezbatere care a adunat public numeros a fost “Perspectivele integrării europene a Republicii Moldova”, la care au participat Oleg Serebrian, ambasadorul Republicii Moldova în Franţa, Gheorghe Erizanu, scriitor şi director al editurii Cartier din Chişinău, istoricul Matei Cazacu şi scriitorul Emilian Galaicu Păun. Oleg Serebrian a vorbit despre acţiunile privind integrarea ţării sale în Uniunea Europeană. “Începând cu 2009 viteza a fost destul de mare. S-au reuşit foarte multe lucruri, semnarea acordului de liber schimb, care a fost un pas important pentru economia moldovenească. Efectele se vor resimţi poate în câţiva ani şi vor fi efecte benefice”, a spus Oleg Serebrian. Adela Greceanu, scriitoare şi jurnalistă: ”După dezbatere, am stat de vorbă cu Emilian Galaicu-Păun, am făcut un interviu despre integrarea europeană a Republicii Moldova, şi mi-a spus că pentru ei este foarte important că scriitorii de literatură română din Republica Moldova au fost anul acesta la standul României în cadrul Salonului de Carte de la Paris. Pentru ei, este un fel de recunoaştere a faptului că fac deja parte atât din literatura română, cât şi din Uniunea Europeană.”



    Florica Ciodaru Courriol a prezentat în cadrul Salonului de Carte de la Paris versiunea franceză a romanului semnat de Marta Petreu, “Acasă, pe Cîmpia Armaghedonului”(Polirom, 2011). Editura lÂge dHomme, care a publicat romanul tradus de Florica Ciodaru Courriol sub titlul de “Notre maison dans la pleine de lArmageddon”, nu este la prima întâlnire cu literatura română, Mateiu Caragiale, Lucian Blaga, Vintila Horia, Ion Caraion fiind deja publicaţi de editura respectivă. Florica Ciodaru Courriol despre romanul Martei Petreu, proaspăt apărut pe piaţa franceză: ”Îmi place foarte mult romanul. Este un roman cu note autobiografice în care există pasaje înfiorătoare, cum ar fi autopsia tatălui. Pe scurt, este povestea unei familii de ţărani din Transilvania, poveste care se întinde pe durata unui secol. În paralel cu această poveste, asistăm la formarea tinerei naratoare, care are multe asemănări cu scriitoarea Marta Petreu. Mi se pare interesant pentru occidentali să vadă cum a evoluat o regiune din România dinaintea celui de-al doilea război mondial, sunt descrise în roman trecerea ruşilor prin Cluj, dezertarea tatălui din armată, colectivizarea, educaţia marxistă de la şcoală, problemele religioase din Transilvania. De fapt, Marta Petreu aduce naraţiunea până în zilele noastre, unde deplânge şi decăderea economiei, şi distrugerea mediului înconjurător. Romanul are multe straturi, aşa că poate fi analizat din multe puncte de vedere. Eu, în prefaţa ediţiei franceze, l-am numit roman metafizic.”



    Florica Ciodaru Courriol ne spune şi cu ce impresii a rămas după această ediţie a Salonului Cărţii de la Paris: ”Manifestările româneşti au fost la înălţime, mai ales că urmau după ediţia de anul trecut a Salonului, când România a fost invitata de onoare, primită cu fast. S-a acordat multă atenţie poeziei, şi eu cred că asta este bine, pentru că poezia este de multe ori lăsată deoparte, atât în România cât şi în Franţa. În ceea ce priveşte receptarea literaturii române în Franţa, aşteptăm în continuare ecouri.”



    Salonul Internaţional de Carte de la Paris este dedicat atât profesioniştilor din domeniul editorial, cât şi publicului larg, bucurându-se de o maximă vizibilitate în presa franceză. După ce în 2013 a fost invitată de onoare, literatura română a pătruns pe piaţa franceză cu peste 20 de titluri noi, printre care Gabriela Adameşteanu, Radu Aldulescu, Ana Blandiana, Lucian Boia, Norman Manea, Lucian Dan Teodorovici, Adina Rosetti, Răzvan Radulescu, Varujan Vosganian.



  • 02.04.2014 (mise à jour)

    02.04.2014 (mise à jour)

    Sommet — Le président roumain, Traian Basescu, participe à partir d’aujourd’hui à Bruxelles au 4e sommet UE-Afrique, intitulé « Investir dans les personnes, pour la prospérité et pour la paix ». Selon le chef de l’Etat, le sommet vise à renforcer la coopération politique et économique entre l’UE et les pays africains. L’occasion aussi d’adopter le Plan d’action commune pour la période 2014-2017.



    Evaluation — Une équipe d’experts de la Commission européenne procèdera jeudi à Bucarest à une évaluation des progrès enregistrés par la réforme de la justice et la lutte contre la corruption en Roumanie, dans le cadre du Mécanisme de coopération et de vérification (MCV). Mercredi, au cours des discussions avec les représentants de l’Agence nationale d’intégrité, les experts européens ont exprimé leur inquiétude au sujet du non respect de décisions de justice définitives concernant des élus en situation d’incompatibilité. Les experts ont également souligné la nécessité de l’équilibre entre la liberté de la presse et l’indépendance de la justice. Cette mission d’évaluation s’inscrit dans la préparation du rapport MCV à être rendu public fin 2014 ou début 2015.



    Accise — Le gouvernement roumain a approuvé mercredi la mesure permettant à l’Etat de reverser aux transporteurs quatre des sept centimes d’euro de majoration de l’accise par litre de carburant, en vigueur depuis le 1er avril. Selon le premier ministre roumain, Victor Ponta, grâce à cette mesure, les sociétés de transport resteront compétitives et l’impact de l’introduction de l’accise supplémentaire sera diminué. Les recettes au budget suite à l’introduction de la nouvelle taxe seront utilisées pour le financement des projets d’infrastructure, notamment pour la construction d’autoroutes. La mesure est contestée par le président, Traian Basescu. Lequel a déclaré que la politique fiscale et budgétaire mise en place par le gouvernement Ponta avec le FMI était erronée. De son côté, la chef de la mission du FMI en Roumanie, Andrea Schaechter, estime que le programme économique agréé avec la Roumanie est sur la bonne voie.



    Conférence — Le gaspillage de produits alimentaires peut être réduit de jusqu’à 60% par l’éducation et la technologie, a déclaré mercredi à Bucarest le ministre roumain de l’agriculture, Daniel Constantin, dans son intervention à la Conférence régionale des NU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour l’Europe et l’Asie Centrale. Selon les données FAO, plus d’un milliard 300 millions de tonnes de produits alimentaires sont gaspillées dans le monde annuellement, ce qui représente un tiers de la production mondiale et 750 milliards de dollars de coûts.



    Grève — Le trafic aérien sur l’Aéroport International Henri Coanda de Bucarest est touché par la grève déclenchée aujourd’hui par les pilotes des compagnies allemandes Lufthansa et German Wings. Selon la direction de l’aéroport, une vingtaine de vols reliant Bucarest à Francfort et à Munich risquent d’être annulés. Sur la toile de fond de la grève dont la fin est prévue le 4 avril, le ministère roumain des Affaires étrangères recommande aux citoyens roumains de vérifier les horaires des deux compagnies aériennes.



    Salon — La Roumanie participe ces jours-ci au Salon International des Inventions de Genève, l’événement spécialisé le plus connu au monde. Selon un communiqué du ministère roumain de l’Education, la Roumanie y prend part avec plus d’une vingtaine d’inventions. De même, la Roumanie a trois représentants dans le jury international de la compétition, apprend-on par le communiqué. La Roumanie a été le grand gagnant de l’édition précédente du Salon de Genève, pour un système de scannage des avions, afin dy trouver entre autres des matériaux ou objets transportés illicitement.



    Festival – Le long-métrage « Al doilea joc », « Le deuxième jeu » du réalisateur roumain Corneliu Porumboiu sera projeté dans le cadre du Festival International du Film indépendant qui s’ouvre mercredi à Buenos Aires. L’événement qui fermera ses portes le 13 avril réunit 450 productions. Présenté en première mondiale au Festival International de Berlin, « Al doilea joc » suit un match de foot entre les clubs bucarestois de Steaua et de Dinamo, en 1988.