Tag: Senat

  • Nachrichten 10.03.2014

    Nachrichten 10.03.2014

    Kiew: Rumäniens Aussenminister Titus Corlăţean ist am Montag min Kiew mit dem ukrainischen Interimspräsident Alexander Turtschinow und mit dem Ministerpräsidenten des Landes Arsenij Jazenjuk zusammen gekommen. Staatschef Turtschinow dankte dem rumänischen Minister für die Unterstützung Bukarests. Auch Arsenij Jazenjuk dankte Titus Corlatean für die Stellung Rumäniens und für die humanitäre Mission, mittels derer mehrere ukrainische Bürger, die bei den Protesten in Kiew verletzt wurden, in Bukarest behandelt wurden. Titus Corlăţean ist auch mit seinem ukrainischen Amtskollegen Andrej Detschtschyzja zusammen gekommen. Die beiden haben ein Sicherheitsabkommen unterzeichnet. Auch die Lage der rumänischen Minderheit in der Ukraine wurde diskutiert. Im Nachbarland leben derzeit etwa 400 Tausend Rumänen. Die Regierung in Bukarest ist der Ansicht, die Ukraine müsse europäische Normen im Bereich des Minderheitenschutzes, auch der Sprachen, annehmen. Von der Einhaltung dieser hänge auch die Stabilität und teritorielle Integrität des Landes ab.




    Bukarest: Am Montag wurde in Bukarest der ehemalige Premierminister und Ex-Liberalenchef Calin Popescu-Tariceanu zum Senatspräsidenten gewählt. Dieser hatte vor Kurzem die national-liberale Partei verlassen. Er wird von der regierenden Koalition gebildet aus der sozialdemokratischen Partei, der konservativen Partei, der Union für den Fortschritt Rumäniens und dem Ungarnverband unterstützt. Das Amt blieb vakant nachdem vorige Woche der Liberalenschef Crin Antonescu vor dem Hintergrund der Auflösung der regierenden sozialliberalen Union seinen Rücktritt bekanntgab. Die Liberalen hatten das regierende sozialliberale Bündnis verlassen und stehen derzeit infolgedessen in der Opposition. Die Regierung des sozialdemokratischen Ministerpräsidenten Victor Ponta wird am Dienstag die Verantwortung für das Programm, das letzte Woche dem Parlament vorgelegt wurde, übernehmen. Das Programm wurde von der Opposition kritisert, es biete keine reelle Lösungen für die rumänische Wirtschaft an.




    Bukarest: Die EU-Bildungskommissarin Androulla Vassiliou ist am Montag für einen zweitägigen Besuch in Bukarest eingetroffen. Im Mittelpunkt der Gespräche mit den rumänischen Behörden dürften die Bildungs-und Beschäftigungsperspektiven rumänischer Jugendlichen stehen. Die EU-Bildungskommissarin soll dabei das neue EU-Programm für allgemeine und berufliche Bildung, Jugend und Sport Erasmus Plus” vorstellen. Das EU-Programm bietet alleine in Rumänien 120 000 Auslandsstipendien an. Das Programm wird auf sieben Jahre angelegt und richtet sich nicht nur an Studenten, sondern finanziert auch Fortbildungsprojekte für Lerkräfte oder Teilnehmer an freiwilligen Aktionen. Das Budget des EU-Bildungsprogramms Erasmus Plus für den Zeitraum 2014-2020 beziffert sich auf knapp 15 Milliarden Euro und Rumänien soll 2014 im Rahmen des Programms Erasmus Plus ein Budget von über 50 Millionen Euro zugewiesen werden.




    Sport: Die rumänische Tennisspielerin Simona Halep, Weltranglistenplatz 7 hat den Einstieg ins Achtelfinale des US-Turniers Indian Wells geschafft. Das Turnier wird mit Preisen im Wert von 6 Millionen Dollar dotiert. In der dritten Runde gewann Halep mit 6-2, 4-6, 6-4 gegen die Tschechin Lucie Safarova, Nummer 28 WTA. Simona Halep soll im Achtelfinale auf Eugenie Bouchard aus Kanada, Weltranglistenplatz 19 treffen. Für die Qualifizierung ins Achtelfinale des US-Turniers soll Halep 120 Weltranglistenpunkte und einen Scheck im Wert von 52.000 Dollar erhalten.

  • 10.03.2014 (mise à jour)

    10.03.2014 (mise à jour)

    Ukraine – Le chef de la diplomatie roumaine, Titus Corlăţean, sest entretenu lundi, à Kiev, avec le président ukrainien par intérim, Olexandr Tourtchinov, et le premier ministre Arseni Iatseniouk. Les deux hommes ont remercié leur interlocuteur roumain pour lappui accordé par Bucarest à lUkraine, ces derniers temps, ainsi que pour laide humanitaire roumaine, grâce à laquelle une dizaine de citoyens ukrainiens blessés lors des affrontements du mois dernier à Kiev ont pu être hospitalisés et traités à Bucarest.


    Par ailleurs, le ministre roumain des Affaires étrangères et son homologue ukrainien, Andri Dechtchitsa, ont signé un accord par lequel les deux pays saccordent des garanties mutuelles de sécurité. LUkraine sengage ainsi à ne pas déployer darmement offensif – chars dassaut, avions ou hélicoptères de combat – sur la petite île de Serpents, située au large des côtes roumaines de la mer Noire.


    En outre, les deux responsables ont évoqué situation de la communauté roumaine vivant en Ukraine et qui recense plus de 400.000 personnes. De l’avis de Bucarest, Kiev devrait mettre en place les normes européennes de protection des droits des minorités, y compris dans le domaine linguistique, ce qui aiderait au maintien de la stabilité et de lintégrité territoriale de lUkraine.




    Exerice – Les forces navales bulgares, roumaines et étasuniennes feront mardi un exercice militaire commun dans les eaux internationales de la mer Noire, apprend-on par un communiqué du ministère bulgare de la Défense. Ces manœuvres sont censées accroître linteropérabilité entre les unités maritimes des Etats membres de lOTAN et améliorer la formation des équipages en mer. Cet exercice, ciblé sur la communication et les manœuvres tactiques, avait été programmé depuis lannée dernière et fait partie du programme de formation commune des forces navales des trois pays. Il ny a aucun lien entre la situation en Ukraine et dans le nord-est de la mer Noire et ces manœuvres, peut-on lire encore dans le communiqué de la Défense bulgare.



    Sénat – Le nouveau président du Sénat roumain – chambre haute du Parlement de Bucarest – est lex-premier ministre et leader libéral, Calin Popescu Tariceanu, qui vient de quitter le Parti national libéral. Sa candidature a été soutenue par la coalition gouvernementale Parti social-démocrate – Parti conservateur – Union nationale pour le progrès de la Roumanie — Union démocratique des Magyars de Roumanie. La semaine dernière, le leader des libéraux, Crin Antonescu, avait démissionné de ce poste sur fond de dissolution de l’USL et de passage des libéraux dans l’opposition. Par ailleurs, le nouveau gouvernement dirigé par le social-démocrate Victor Ponta engage mardi sa responsabilité au Parlement pour le programme politique remis au législatif à la fin de la semaine dernière. Le document est critiqué par lopposition quelle estime “improvisé” et sans solutions réelles pour léconomie roumaine.



    Education – Les systèmes nationaux déducation doivent être réformés de sorte que les jeunes puissent acquérir les compétences nécessaires à accéder au marché de lemploi, a déclaré lundi la commissaire européenne chargée de lEducation, de la Culture, du Multilinguisme et de la Jeunesse, Androulla Vassiliou. La responsable européenne a commencé lundi une visite de deux jours à Bucarest consacrée aux perspectives d’éducation et d’embauche des jeunes roumains. Androulla Vassiliou lancera le nouveau programme-cadre de quelque 15 milliards deuros pour léducation, la formation, la jeunesse et le sport, Erasmus +. Dans le cadre de ce programme, 120.000 Roumains se verront offrir des bourses d’étude et des stages professionnels ou de bénévolat les sept années à venir. La Roumanie se verra verser plus de 50 millions euros avant la fin de l’année dans le cadre du programme Erasmus +.

  • 05.03.2014 (mise à jour)

    05.03.2014 (mise à jour)

    Gouvernement — Les membres du nouveau gouvernement roumain ont prêté serment, mercredi soir, devant le président Traian Basescu. Ce dernier a considéré comme très fort le changement opéré par l’exécutif et s’est déclaré impressionné par le grand nombre de ministres jeunes. Le serment a été prêté après qu’en cours de journée, le président Băsescu soit arrivé à un accord avec le premier ministre social-démocrate Victor Ponta. Le chef de l’Etat a signé la nomination des nouveaux ministres. En contrepartie, le premier ministre Ponta a déclaré qu’il transmettrait au Parlement un programme politique de remise à jour du programme de gouvernance. Formé du PSD, du PC, de l’UNPR et de l’UDMR et voté, mardi, au parlement, l’exécutif ne pouvait pas fonctionner parce que le président Băsescu ne signait pas les décrets de nomination des nouveaux ministres. Le président de la République soutenait qu’avant l’investiture, le nouveau cabinet devait adopter un programme de gouvernance censé refléter les tendances politiques actuelles, dans les conditions où l’UDMR a été cooptée au gouvernement, à la place des libéraux, qui se sont retirés de l’exécutif et de l’ancienne USL.



    Sénat — Le vice-président social-démocrate du Sénat, Cristian Dumitrescu assumera les fonctions de président de cette chambre du Parlement jusqu’à l’élection d’un nouveau titulaire par le plénum. Le leader libéral Crin Antonescu avait présenté sa démission mardi lors d’une séance plénière du Législatif de Bucarest. Auparavant, Crin Antonescu avait demandé à Victor Ponta de présenter lui aussi sa démission afin d’illustrer le démantèlement de l’Union sociale-libérale. Le Parti national libéral, ex numéro deux de l’USL, a quitté le gouvernement en raison des divergences avec le Parti social-démocrate.



    Minorité — Le ministre roumain des Affaires Etrangères Titus Corlatean et son homologue ukrainien par intérim Andrii Dechtchitsa ont décidé de se réunir prochainement à Kiev. Le chef de la diplomatie roumaine a expliqué à son homologue que Bucarest suivait avec attention la situation de la minorité roumaine d’Ukraine, qui compte quelque 400 mille personnes. Titus Corlatean espère également qu’une nouvelle législation dans le domaine, conforme aux normes européennes, soit adoptée au plus vite. La Roumanie souhaite que l’élaboration de la nouvelle loi s’appuie sur des consultations préalables avec les minorités ethnique et avec la Commission de Venise, a également déclaré pour la radio publique roumaine, Bogdan Aurescu, secrétaire d’Etat aux Affaires stratégiques du Ministère roumain des affaires étrangères. Rappelons-le, le nouveau législatif de Kiev a décidé d’éliminer le statut de langue régionale dont bénéficiaient les langues des minorités ethniques, dont le roumain.



    Infrastructure — Plusieurs milliers de salariés des usines Dacia Renault du sud de la Roumanie ont protesté, mercredi, à l’égard de la politique des autorités au sujet de la politique concernant l’industrie automobile. Ils ont demandé au gouvernement de finaliser au plus tôt les travaux à l’autoroute Piteşti — Sibiu, qui reliera le sud au centre du pays. Les syndicalistes soutiennent que cette autoroute est vitale pour que les plates-formes industrielles Dacia Renault et Ford Craiova se maintiennent à un niveau compétitif sur le marché et qu’elles assurent la stabilité des emplois pour plus de 150.000 personnes. Les salariés de Dacia sont mécontents, en même temps, de la non-observation des engagements en ce qui concerne la modification de la législation du travail et des relations industrielles.



    Croissance — L’industrie et l’agriculture ont le plus contribué à la croissance de l’économie roumaine de 3,5% en 2013, par rapport à l’année précédente, selon les chiffres rendus publics ce mercredi par l’Institut national des statistiques. Le PIB estimé pour 2013 s’est chiffré à 140 milliards d’euros. Les contributions les plus importantes à la progression du PIB ont été celle de l’industrie ( + 2,3%), qui a compté pour 30% du PIB et l’agriculture, la sylviculture et la pêche ( + 1,1%), soit 5,6% du PIB. Les secteurs de l’information et des communications, des transactions immobilières et des activités professionnelles scientifiques et techniques ont eu eux aussi une contribution significative à l’augmentation du PIB.



    Foot — Le nouveau président de la Fédération roumaine de football, c’est Răzvan Burleanu. Il a été élu, mercredi, après deux tours de scrutin, et sa victoire est considérée une grande surprise, parce qu’il était le moins connu des 5 candidats. Il aura 30 ans cette année et il est diplômé en Sciences politiques, et docteur dans ce même domaine.

  • 05.03.2014

    05.03.2014

    Gouvernement — Le nouveau gouvernement formé par le Parti social-démocrate, l’Union nationale pour le progrès de la Roumanie, le Parti conservateur et l’Union démocratique des Magyars de Roumanie, qui a reçu mardi le vote du Parlement ne peut pas fonctionner en l’absence de la signature présidentielle des décrets de nomination des nouveaux ministres. Le chef de l’Etat, Traian Basescu, a déclaré qu’avant les procédures d’investiture, il faudrait que le nouveau cabinet adopte un programme de gouvernance censé refléter les actuelles alliances politiques. Et Traian Basescu d’ajouter qu’il pourrait attendre une décision de la Cour Constitutionnelle, vu que le PDL et le Parti du Mouvement Populaire, d’opposition, ont contesté auprès de cette Cour la légitimité du nouveau cabinet. Antérieurement, Victor Ponta avait déclaré que le nouveau cabinet poursuivrait le programme de gouvernance approuvé par le Législatif en 2012. Rappelons que l’UDMR s’est vu coopter au sein du nouveau cabinet après la décision du PDL de quitter le pouvoir et l’ancienne USL.



    Sénat — Le vice-président social-démocrate du Sénat, Cristian Dumitrescu assumera les fonctions de président de cette chambre du Parlement jusqu’à l’élection d’un nouveau titulaire par le plénum. Le leader libéral Crin Antonescu avait présenté sa démission mardi lors d’une séance plénière du Législatif de Bucarest. Auparavant, Crin Antonescu avait demandé à Victor Ponta de présenter lui aussi sa démission afin d’illustrer le démantèlement de l’Union sociale-libérale. Le Parti national libéral, ex numéro deux de l’USL, a quitté le gouvernement en raison des divergences avec le Parti social-démocrate.



    Minorité — Le ministre roumain des Affaires Etrangères Titus Corlatean et son homologue ukrainien par intérim Andrii Dechtchitsa ont décidé de se réunir prochainement à Kiev. Le chef de la diplomatie roumaine a expliqué à son homologue que Bucarest suivait avec attention la situation de la minorité roumaine d’Ukraine, qui compte quelque 400 mille personnes. Titus Corlatean espère également qu’une nouvelle législation dans le domaine, conforme aux normes européennes, soit adoptée au plus vite. La Roumanie souhaite que l’élaboration de la nouvelle loi s’appuie sur des consultations préalables avec les minorités ethnique et avec la Commission de Venise, a également déclaré pour la radio publique roumaine, Bogdan Aurescu, secrétaire d’Etat aux Affaires stratégiques du Ministère roumain des affaires étrangères. Rappelons-le, le nouveau législatif de Kiev a décidé d’éliminer le statut de langue régionale dont bénéficiaient les langues des minorités ethniques, dont le roumain.



    Infrastructure — Plus de 10 mille salariés des usines Dacia Groupe Renault du sud de la Roumanie sont attendus aujourd’hui à une manifestation pour demander au gouvernement de construire l’autoroute censée relier les villes de Pitesti, dans le sud et de Sibiu, au centre du pays. De l’avis des syndicalistes, cette autoroute est vitale pour le maintien du niveau de compétitivité des usines Dacia — Renault de Pitesti et Ford de Craiova, qui emploient plus de 150 mille personnes. Les salariés de Dacia exigent également du gouvernement qu’il respecte ses engagements relatifs à la modification de la législation de l’emploi et des relations industrielles.



    Croissance — L’industrie et l’agriculture ont le plus contribué à la croissance de l’économie roumaine de 3,5% en 2013, par rapport à l’année précédente, selon les chiffres rendus publics ce mercredi par l’Institut national des statistiques. Le PIB estimé pour 2013 s’est chiffré à 140 milliards d’euros. Les contributions les plus importantes à la progression du PIB ont été celle de l’industrie ( + 2,3%), qui a compté pour 30% du PIB et l’agriculture, la sylviculture et la pêche ( + 1,1%), soit 5,6% du PIB. Les secteurs de l’information et des communications, des transactions immobilières et des activités professionnelles scientifiques et techniques ont eu eux aussi une contribution significative à l’augmentation du PIB.



    Foot — L’équipe nationale de football de Roumanie disputera ce soir à Bucarest, un match amical contre la sélection argentine, dans laquelle évoluera la star du FC Barcelone Lionel Messi, gagnant de quatre Ballons d’or. Cette rencontre amicale « de luxe », selon la presse de Bucarest, a lieu le jour où la Fédération roumaine de foot élit son président. Cinq candidats restent en lice, après la condamnation à trois ans de prison ferme pour des infractions économiques prononcées par la justice contre le grand favori, l’ancien joueur Gheorghe Popescu, dont la candidature était soutenue par l’actuel patron de la FRF.

  • Rumänischer Senat debattiert über die neue Verkehrsordnung

    Rumänischer Senat debattiert über die neue Verkehrsordnung

    Der neue Verkehrsgesetzentwurf wird besonders von den Transportunternehmern und im allgemeinen von den Autofahrern bestritten. Das Projekt wurde im Parlament von den juristischen Kommissionen für Verteidigung und Verwaltung besprochen. Verändert wurden bestimmte Regelungen hinsichtlich des Bu‎ßgeldes. Eine Geldstrafe von bis zu 1700 Lei (375 Euro) kann zum Beispiel vor Ort an den Polizisten direkt gezahlt werden. Der Fahrer kann nur die Hälfte zahlen. Das neue Gesetzprojekt schlägt eine Heraufsetzung der Geschwindigkeitsbegrenzung von 50 km/h auf 60 km/h in der Stadt und au‎ßerhalb der Ortschaften von 100 km/h auf 110 vor.




    Der Entwurf sieht ferner vor, dass das Lenken eines Fahrzeugs unter dem Einfluss von Drogen oder Betäubungsmitteln, bzw. bei einer Blutalkoholkonzentration von 0,2 g/Liter untersagt ist. Bei einer Blutalkoholkonzentration von über 0,5 g /Liter wird der Fahrer als Straftäter geahndet — ihm droht eine Haftstrafe zwischen einem und fünf Jahren. Die Regierung, die das Projekt eingeführt hat, erklärte, die Ergänzung der Verkehrsordnung sei notwendig, weil die jetzigen Regelungen gar nicht klar und imperativ dieses Verbot vorsehen. Andererseits wurde eine zuvor gebilligte Abänderung abgelehnt, die die Autofahrer, die nur seit einem Jahr den Führerschein besitzen, verpflichtete, von einer Person begleitet zu werden. Diese sollte eine Erfahrung von wenigstens fünf Jahren haben.




    Laut der neuen Verkehrsordnung steigt das Bu‎ßgeld bis auf 9.600 Lei (2.000 Euro). Es geht um die Überfahrt der Ampel bei Rot oder für die Missachtung der Verkehrsregeln an Bahnübergängen. Alles wurde für ein Mindestlohn von 800 Lei (175 Euro) und einem Durchschnittslohn von 1.600 Lei (365 Euro) berechnet. Über die neuen Geldstrafen kann man behaupten, dass sie ein europäisches Niveau erreicht haben. Was kann aber über die rumänische Infrastruktur gesagt werden? Während die Fahrer sich auf Landstra‎ßen und europäische Bahnen drängen, planen die Fachleute künftige Autobahnen auf Papier. Rumänien hat in den 23 Jahren rund 400 km Autobahn gebaut.

  • Parlamentsausschuss für die Verfassungsrevision billigt Entwurf

    Parlamentsausschuss für die Verfassungsrevision billigt Entwurf

    Im Rahmen ihrer letzten Sitzung haben sich die Mitglieder des Parlamentsausschusses für die Verfassungsrevision über die Endfassung des Entwurfs geeinigt. Die wichtigste politische Neuigkeit ist die Trennung der Zuständigkeiten der beiden Parlamentskammern. Die Abgeordnetenkammer würde in Zukunft legislative Aufgaben übernehmen, während der Senat sich überwiegend mit der Kontrolle und der Besetzung öffentlicher Ämter befassen soll. Über wichtige Ämter, etwa mit Bezug auf die Strategie der Nationalen Sicherheit, sollen die vereinten Kammern im Plenum beraten. Ioan Chelaru, Senator und Mitglied der mitregierenden Sozialdemokratischen Partei (PSD), kennt die Hintergründe:



    Ich denke, dass wir letzten Endes das durchsetzen, was man eine reelle Reform, auch des Parlaments, nennen würde. Die Abgeordnetenkammer würde ungefähr zu 90% die Zuständigkeiten einer legislativen Kammer bekommen, während der Senat 10% der legislativen Aufgaben als Entscheidungsgremium übernimmt, und sonst zur Kammer für Kontrolle und Ernennungen wird. (Ioan Chelaru)



    Der neue Entwurf des Grundgesetzes enthält das Konzept des konstruktiven Misstrauensvotums. Die einfache Vertrauensfrage, bzw. die Möglichkeit, den anvisierten Minister zu ersetzen, wurde abgeschafft. Mit Verfahren gegen Parlamentsmitglieder würde sich in einer ersten Phase nicht mehr der Oberste Gerichtshof befassen, sondern gewöhnliche Instanzen, wie der Vorsitzende des Revisionsausschusses, der Liberale Crin Antonescu, betont.



    Dort, wo auch über die Fälle eines jeden rumänischen Staatsbürgers geurteilt wird, dort soll auch über die Parlamentsmitglieder geurteilt werden. Das, aufgrund eines so oft hervorgehobenen Grundsatzes, vor dem Gesetz sind wir alle gleich. (Crin Antonescu)



    Laut dem neuen Grundgesetz, könnten in Zukunft der Landespräsident oder eine Gruppe von 250.000 stimmberechtigten Bürgern ohne die Zustimmung des Parlaments eine Volksbefragung veranstalten. Auch für den Justizbereich würde die neue Verfassung Neuigkeiten bedeuten: die Nutzung illegal erlangter Beweismittel zugunsten des Angeklagten könnte in Zukunft erlaubt sein. Die Mitglieder des Revionsausschusses haben zudem einen Artikel gestrichen, der Staatsanwälten das Abhören der Kommunkation für 48 Stunden ohne richterlichen Befehl ermöglichte. Nicht zuletzt würden sich Richter und Staatsanwälte bei bösgläubigem oder fahrlässigem Handeln in Zukunft materiell verantworten müssen.



    Jetzt, da der Entwurf über die Verfassungsrevision von dem zuständigen Parlamentsausschuss ausgearbeitet und gebilligt wurde, wird er zunächst der Regierung eingereicht, die ihn dem Verfassungsgericht präsentieren wird. Gleichzeitig wird der Entwurf der Venedig-Kommission vorgelegt. Die Kommission hatte Bukarest im vergangenen Jahr eine Reihe von Empfehlungen gemacht, mit Blick auf einen ersten Revisionsentwurf, der inzwischen aufgegeben wurde. In Rumänien sind sich die Politiker nach wie vor über die Notwendigkeit einer Verfassungsänderung einig, allein der Inhalt des neuen Grundgesetzes ist strittig.

  • Die Woche 16.12.-20.12.2013 im Überblick

    Die Woche 16.12.-20.12.2013 im Überblick

    Der Haushalt Rumäniens für 2014 steht



    Die Streitigkeiten zwischen Staatschef Traian Basescu und Ministerpräsident Victor Ponta drohten die Billigung des Staatshaushaltes Rumäniens zu verzögern. Die beiden sind jedoch am Mittwoch zusammengekommen und haben ein entscheidendes Gespräch über den Staatshaushalt für 2014 geführt. Grund der Auseinandersetzung war die zusätzliche Verbrauchsteuer für Kraftstoff, die die Regierung ab dem 1. Januar 2014 einführen wollte. Letzten Endes wurde ein Kompromiss gefunden. Die Regierung unter Ministerpräsident Ponta hat die Einführung der Steuer um drei Monate verschoben und der Staatschef hat dem Haushalt zugestimmt.



    Präsident Basescu erklärte, die neue Verbrauchssteuer würde eine Hürde im Weg der wirtschaftlichen Ankurbelung und eine Belastung für die Bevölkerung darstellen. Er wolle, dass die Regierung komplett darauf verzichtet. Die Annahme einer solchen Bedingung bei den Verhandlungen mit dem IWF und der EU-Kommission hat Staatschef Basescu als Fehler bezeichnet:



    Ich bin mir sicher, dass die Steuer völlig umgehen werden kann und das wird mein Ziel bei den Gesprächen mit dem IWF und der EU im Januar sein. Ich werde kein Schreiben an die Leitung des IWFs, in dem das Problem der Erhöhung der Kraftstoff-Steuern gestellt wird, genehmigen.



    Traian Basescu erklärte, die Nichteinführung der Verbrauchssteuer mache 600 Millionen Lei (etwa 140 Millionen Euro) aus. Dieses Geld könnte man vom Entwicklungsministerium oder aus der zusätzlichen Besteuerung von Gas bekommen. Die Dämpfung der Steuerhinterziehung und der endgültige Verzicht auf die zusätzliche Besteuerung von Kraftstoff könnten die Voraussetzungen einer Herabsetzung der Sozialabgaben bilden, so der rumänische Staatschef. Eine solche Herabsetzung wurde von den Unternehmen gefordert und von der Regierung versprochen.



    Die regierenden Sozialdemokraten haben die Unterzeichnung des Haushaltes begrü‎ßt. Die Sozialliberalen aber äu‎ßerten sich kritisch dazu. Der erste Vizevorsitzende der Demokratliberalen Partei, Cătălin Predoiu, erklärte:



    Es geht um einen Haushalt, der keine Investitionen mehr ermöglicht, das ist ein Buget, das auf illusorische Einkommen fu‎ßt und die Entwicklung Rumäniens hindert. Kurz gesagt, der Haushalt spiegelt die mangelnden Kenntnisse einer Mehrheit von 70% der Rumänen wider.”



    Die zusätzliche Verbrauchssteuer hatte als Ziel die Einhaltung eines Haushalts-Defizits von 2,2%. Diese Grenze wurde mit den internationalen Finanzeinrichtungen vereinbart. Bei der Planung des Haushalts für 2014 wurde ein Wirtschaftswachstum von 2,2 % vom BIP, eine Inflationsrate von 2,4% und ein Wechselkurs Euro/Leu von 4,45 angenommen.



    Neue Ernennungen im Regierungskabinett und beim Verfassungsgericht



    Der neue rumänische Kulturminister, der Liberale Gigel-Sorinel Ştirbu, ist am Dienstag in seinem Amt vereidigt worden.Der 42-jährige Rechtsanwalt Gigel Ştirbu übernimmt das Amt des Kulturministers von Daniel Barbu. Nach dem Eklat um seine schockierende Aussage über HIV-Infizierte, denen seiner Meinung nach zu viel Haushaltsgelder zur Verfügung stehen, war Kulturminister Daniel Barbu (von der National-Liberalen Partei) am vorigen Donnerstag zurückgetreten. Bei seiner Vereidigung erklärte Gigel Sorinel Ştirbu:



    Ich bin mir sicher, dass ich das Ministerium gut kenne. Ich bin davon überzeugt, dass man einen guten Manager braucht, eine Person die alles wei‎ß, was im Ministerium passiert . Es ist eine schwere Aufgabe, bin aber überzeugt, dass ich meine Arbeit gut erledigen werde.”



    Ebenfalls am Dienstag wurde Senator Toni Greblă (von der regierenden Sozial-Demokratischen Partei), der vom Senatsplenum zum Richter des Rumänischen Verfassungsgerichtes ernannt worden war, in seinem Amt vereidigt. Toni Greblă wird die Stelle übernehmen, die nach der Ernennung von Iulia Moţoc zur Richterin von Seiten Rumäniens an dem Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte frei geworden war. Greblăs Amtszeit beim Verfassungsgericht soll bis 2019 dauern, wenn Moţocs Mandat ausläuft. Toni Greblă ist Rechtsanwalt und ehemaliger Vorsitzender des Rechtsausschusses im Senat in der vorigen Legislatur. Seit 2009 ist er Mitglied des besagten Ausschusses.



    Die Auslandseinsätze der rumänischen Soldaten für 2014



    Rumäniens Oberster Landesverteidungsrat hat am Dienstag den Auslands-Einsatzplan der rumänischen Streitkräfte für das kommende Jahr gebilligt. Darin ist unter anderem vorgesehen, dass die Armee sich mit 1311 Soldaten, und damit mit 725 Soldaten weniger als in diesem Jahr, an Auslandseinsätzen beteiligen wird. Hier sei zu erwähnen, dass der Auftrag der rumänischen Armee aus zwei wesentlichen Komponenten besteht: einerseits die Verteidigung des Landes und andererseits die Verteidigung der Alliierten durch die Teilnahme an kollektiven Abwehr-Operationen und Missionen zur Sicherung der regionalen und globalen Stabilität. Den grö‎ßten Aufwand setzt nach wie vor die Beteiligung an der Internationalen Sicherheitsunterstützungstruppe (ISAF) in Afghanistan voraus, aber auch das fortgesetzte Engagement im Einsatzgebiet auf dem Balkan.



    Gedenkveranstaltungen zum 24. Jahrestag der antikommunistischen Revolution in Rumänien



    Im westrumänischen Timişoara/Temeswar, in Bukarest und in anderen Gro‎ßstädten Rumäniens haben diese Woche Gedenkveranstaltungen zum 24. Jahrestag der rumänischen Revolution stattgefunden. Zahlreiche Rumänen, die an den Ereignissen von Dezember 1989 teilgenommen hatten, beteiligten sich an einer Prozession nach Bukarest zum Gedenken der ersten Opfer der antikommunistischen Revolution. Am 18. Dezember 1989 wurden die ersten Revolutionäre auf den Treppen der Temeswarer Kathedrale erschossen; deren Leichen wurden im Bukarester Krematorium verbrannt. Der 18. Dezember 1989 bleibt im Gedächtnis der Rumänen als der Tag, an dem in einem Temeswarer Krankenhaus die Vertreter der Macht gegen die Verletzten ermittelten und Dutzende Leichen von Revolutionsopfern heimlich aus dem Krankenhaus weggebracht wurden.

  • Abgeändertes Bergbaugesetz ablegehnt

    Abgeändertes Bergbaugesetz ablegehnt

    Der Gesetzentwurf verbietet den Einsatz von Technologien bei Gewinnung von Bodenschätzen, die sich auf die Umwelt negativ auswirken, verpflichtet dennoch zur Anwendung fortgeschrittener Abbaumethoden. Die Fraktion der National-Liberalen (die in der Sozialliberalen Union mitregieren) hat für das Gesetz gestimmt. Der Abgeordnete Răzvan Mironescu ist der Ansicht, es sei gut sowohl für die Bürger des Landes als auch für die rumänische Wirtschaft: Wir versuchen somit die illegalen, unmoralischen und gefährlichen Praktiken in der Bergbauindustrie zu entmutigen und der sicheren, wirksamen und nutzbringenden Gewinnung von Bodenschätzen durch den Einsatz neuester Technologien Vorschub zu leisten.“



    Die Opposition kritisierte hingegen die Novellierung des Bergbaugesetzes. Einer der Abgeordneten, die dagegen stimmten, ist der Liberaldemokrat Lucian Bode: Dieser Gesetzentwurf gibt der Regierung grünes Licht, Steuern auch auf Quellwasser einzuführen. Die Exekutive wird bald auch dafür eine Abgabe durchsetzen. Mit den Abänderungen zum Waldbestand sind wir auch nicht einverstanden. Das Bergbaugesetz dient nicht den Interessen unseres Landes.“ Der unabhängige Abgeordnete Vasile Oajdea bekräftigte ebenfalls, das Bergbaugesetz entspreche nicht den Interessen Rumäniens und der rumänischen Bürger: Das ist ein gefährliches Gesetz. Es vertritt nicht die Interessen des Einzelnen, es garantiert nicht das Besitzrecht, es dient hingegen den Interessen ausländischer Konzerne und deshalb soll es nicht angenommen werden.“



    Neulich berichtete die Bukarester Tageszeitung România Liberă“, dass die neuen Abänderungen des Bergbaugesetzes auch das geplante Bergbauprojekt im mittelrumänischen Roşia Montană betreffe. Selbst wenn es keinen genauen Bezug zum umstrittenen Projekt gibt, regelt der Gesetzentwurf die Gewinnung von Gold und Silber von besonderem öffentlichem Interesse“. Im besagten Gesetzentwurf werden derartige Initiativen als Projekte bezeichnet, die zur Gewinnung von mindestens 5 Tonnen Gold im Jahr“ führen. Das einzige Projekt, das in diese Kategorie eingerordnet werden könnte, ist Roşia Montană. Das kanadische Unternehmen Gold Corporation, das die Förderrechte hat, schätzt das Potential der Mine auf 15 Tonnen Gold im Jahr.



    In der Hauptstadt Bukarest und im mittelrumänischen Klausenburg blockierten Umweltaktivisten und Vertreter der Zivilgesellschaft, Gegner des abgeänderten Bergbaugesetzes den Sitz mehrerer öffentlicher Institutionen. Das besagte Gesetz gebe Bergbauprojekten wie Roşia Montană grünes Licht, sagen die Demonstranten. In Bukarest protestieren seit dem Monat September jeden Sonntag Projektgegner gegen den geplanten Einsatz von Zyanid bei der Förderung von Goldvorkommen in Roşia Montană und derartige Projekte, die mit einer Zerstörung von historischen und archäologischen Stätten, Flussumleitungen und Zwangsenteignungen zusammenhängen.

  • Senatul respinge proiectul Roşia Montana

    Senatul respinge proiectul Roşia Montana

    Atestată documentar din anul 131 şi situată pe cea mai mare cantitate de aur estimată din Europa, Roşia Montană rămâne împărţită între cei care vor ca în zonă să înceapă exploatarea cu cianuri a zăcămintelor şi cei care se opun din raţiuni ecologiste şi care, de 12 săptămâni, protestează în Bucureşti şi în alte oraşe.



    Acţiunile opozanţilor nu au rămas fără ecou, iar pe 11 noiembrie Comisia parlamentară specială a respins proiectul în forma venită de la Guvern. Senatorii români au respins, la rândul lor, proiectul de lege privind unele măsuri aferente exploatării minereurilor auro-argintifere din perimetrul Roşia Montană, în acest sens exprimându-se în plen reprezentanţii tuturor grupurilor parlamentare, cu excepţia democrat-liberalilor, din opoziţie.



    Tot în Senat, liderul grupului social-democrat, Ilie Sârbu, a anunţat că raportul comisiei speciale pentru Roşia Montană a fost trimis Parchetului General: Pentru liniştea celor implicaţi în ceea ce a însemnat acest proiect, de când s-au făcut transferurile şi până astăzi, raportul a fost trimis la Parchetul General. Dacă nu pentru mai mult, măcar pentru aceste fapte care s-au săvârşit şi care erau secretizate. Timpul trece, dar nu trec şi dosarele penale, ele rămân acolo, aşa că măcar această satisfacţie s-o avem, că am făcut lumină într-un caz.”



    Anunţul a venit după o serie de dezvăluiri făcute în parlament de social-democrata Gabriela Firea, membră a comisiei speciale, care a afirmat că românii ar trebui să afle că licenţa de exploatare pentru acest proiect a fost acordată în 1998, iar cel care a făcut acest lucru este democrat-liberalul Radu Berceanu, ministru al industriilor în acea perioadă.



    Gabriela Firea: Pur şi simplu, s-a transferat licenţa cu titlu gratuit de la acţionarul minoritar român către acţionarul majoritar străin. De asemenea, participaţia statului, acţiunile au fost diluate de la 33% la 19%.”



    Concluziile Comisiei speciale au fost prezentate de preşedintele acesteia, Darius Vâlcov, potrivit căruia proiectul nu acoperă toate cerinţele complexe privind cadrul desfăşurării activităţii de exploatare a resurselor minerale în România. Darius Vâlcov consideră, de asemenea, că este necesară analizarea unor scenarii alternative de stabilire a redevenţelor şi a participaţiei statului în cazul exploatărilor miniere, având în vedere exemplul altor state.



    În condiţiile actuale, exploatarea minieră din Munţii Apuseni ar aduce economiei româneşti 5,2 miliarde de dolari, iar România ar deveni principalul producător de aur din Europa.

  • A la Une de la presse roumaine du 13.09.2013

    A la Une de la presse roumaine du 13.09.2013

    La revue de presse de ce vendredi essaie de troquer les deux sujets phare des dix-douze derniers jours pour un choix plus éclectique : des interviews avec le président du Sénat de la Roumanie, Crin Antonescu, et avec le ministre ukrainien des affaires étrangères, Leonid Kojara ; l’état de l’UE dressé par le président de la Commission européenne, José Barroso ; les pluies diluviennes tombées sur le département de Galati ; de nouvelles modifications du Code de la route.


  • Statutul parlamentarilor a intrat în vigoare

    Statutul parlamentarilor a intrat în vigoare

    Promulgată, săptămâna trecută, de preşedintele Traian Băsescu, legea de modificare a Statutului parlamentarilor români a intrat în vigoare. Aceasta după ce, în prealabil, actul normativ fusese adoptat de Plenul reunit al Senatului şi Camerei Deputaţilor, în acord cu decizia Curţii Constituţionale, care semnalase în mai multe rânduri că unele prevederi erau neconforme cu Legea fundamentală. Odată respectivele prevederi incriminate revizuite, legea a fost, prin urmare, adoptată şi promulgată, rămânând, acum, să fie şi respectată.



    Ce conţine ea? In principal, a fost înlăturată obligativitatea motivării cererilor Parchetului în cazul reţinerii, arestării preventive şi a percheziţiei unui parlamentar, renunţându-se, astfel, la super-imunitatea care ar fi urmat să le fie conferită senatorilor şi deputaţilor prin acest Statut. O altă modificare majoră se referă la limitarea zborurilor cu avionul şi a deplasărilor în străinătate.



    Sunt reduse, totodată, cheltuielile prin înjumătăţirea sumelor alocate pentru cazarea senatorilor şi deputaţilor care nu au domiciliul în Bucureşti. Astfel, aceştia au petrecut, miercuri, ultima noapte la hotelurile ale căror servicii erau plătite, din buget, cu aproximativ 8.000 de lei lunar, echivalentul a circa 1.800 de euro. De acum, ei sunt nevoiţi fie să îşi închirieze o locuinţă, fie să îşi negocieze, individual sau colectiv, servicii hoteliere, suma decontata reducându-se la jumătate. Deci, pentru a locui în capitală pe perioada sesiunii parlametare, suma forfetară va fi de numai 4.000 de lei lunar.



    Cât despre cheltuielile din timpul vacanţelor parlamentare, când se presupune că merg pentru a-şi rezolva problemele din teritoriu, acestea vor fi decontate din banii publici în limita a 8 zile, spre deosebire de 15 sau 16, cât era până acum. De asemenea, vor fi acordaţi 1.000 de lei pentru transport, dacă se renunţă la maşina de serviciu. Pentru Parlament, o astfel de opţiune nu ar putea fi decât salutară. Pe de o parte, pentru că, în felul acesta, nu ar mai fi rambursaţi banii daţi pe reparaţiile şi reviziile autovehiculelor. Pe de alta, pentru că nu vor mai exista critici legate de cumpărarea a sute de maşini noi, urmând să fie achiziţonate doar acelea care sunt legate de activitatea şi de demnitatea pe care o are un deputat ales, fie în funcţia de preşedinte al unei comisii, fie de membru al Biroului Permanent, aşa cum se întâmplă în toate parlamentele naţionale din Uniunea Europeană.



    In fine, noul statut al parlamentarilor prevede şi modificări privind modul de utilizare şi justificare a cheltuielilor de organizare şi funcţionare a birourilor parlamentare: parlamentarii sunt obligaţii să justifice 50% din suma forfetară, faţă 46% cât era până acum.