Tag: USR-PLUS

  • 12.12.2020 (mise à jour)

    12.12.2020 (mise à jour)

    Négociations politiques – Le Parti national libéral, l’Union sauvez la Roumanie – Plus et l’Union démocrate magyare de Roumanie ont entamé aujourd’hui des négociations officielles dans la perspective de la constitution d’un prochain gouvernement de centre-droit. Les équipes ont décidé de la structure du programme de gouvernance et les pourparlers devraient se poursuivre dimanche. Les négociations s’annoncent difficiles puisque les libéraux qui assurent la gouvernance actuellement et qui se sont classés en deuxième position au scrutin du 6 décembre, ne souhaitent pas renoncer à une série de ministères, tels les Finances, la Justice, les Transports, le Développement et les Fonds européens alors que l’USR Plus, la troisième force du prochain législatif, vise certains de ces portefeuilles. L’Union démocrate magyare de Roumanie voudrait assumer des domaines qu’elle avait gérés par le passé tels la Santé, la Culture et l’Environnement, mais le parti souhaite aussi diriger d’autres ministères. Les négociations devraient s’achever avant les consultations prévues pour ce lundi par le président Klaus Iohannis, en vue de la désignation d’un premier ministre censé former le nouveau gouvernement. Elles commenceront par le Parti social démocrate qui a obtenu le plus grand nombre de voix aux récentes élections. Un parti constitué il y a à peine une année, l’Alliance pour l’Union des Roumains, fera également partie du prochain gouvernement puisqu’il a recensé plus d’un demi-million de voix. Désormais, l’AUR est la quatrième force politique du Parlement roumain. Le législatif sera complété par les représentants des minorités nationales autres que celle magyare. Pour ce qui est des personnes proposées aux fonctions de premier ministre, le PSD a avancé le nom d’Alexandru Rafila, le représentant de la Roumanie auprès de l’OMS, alors que le PNL a désigné l’actuel ministre des finances Florin Cîtu.

    Climat
    Les effets des changements climatiques sont de plus en plus présents en
    Roumanie a averti le président Klaus Iohannis. Parmi eux des températures de
    plus en plus élevées en été, la désertification de plusieurs régions, la
    sécheresse qui ravage l’agriculture et perturbe l’accès à la nourriture. Dans
    un message publié à l’occasion du 5e anniversaire de la conclusion
    de l’Accord de Paris visant les changements climatiques, le chef de l’Etat a
    précisé qu’il était impérativement nécessaire de nous assurer que les effets ne
    s’accentuent et ne se multiplient jusqu’à affecter d’une manière dramatique la
    vie et la santé des citoyens. « C’est pourquoi à la réunion du Conseil
    européen j’ai décidé aux côtés des leaders européens de la réduction nette des
    émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% à l’horizon 2030 par rapport à
    1990 », a annoncé le président Iohannis. Il a précisé que les autorités
    devraient implémenter durant les années à venir une série de projets censés
    permettre la réduction nette des émissions de gaz à effet de serre tout en
    soutenant la croissance économique. La principale cible assumée par l’Accord de
    paix sur les changements climatiques est de limiter le réchauffement climatique
    à moins de 2 degrés Celsius et de faire des efforts pour le maintenir à 1,5
    degrés Celsius jusqu’à la fin de ce siècle.

    Etat d’alerte – En Roumanie, l’état d’alerte instituée dans le contexte de la pandémie en vigueur depuis la mi-mai sera maintenu pour au moins encore un mois à partir du 14 décembre. Durant cette période, toute une série de restrictions seront maintenues, y compris le couvre feu durant la nuit. Une seule mesure s’est ajoutée aux restrictions en place : afin d’éviter que les pistes de ski soient trop chargées, l’exécutif a imposé aux opérateurs de transport par câble de réduire la capacité des télécabines de 20 à 10 personnes seulement. Les autorités ont exhorté les Roumains à limiter les visites durant la période des fêtes d’hiver et à éviter de participer aux fêtes du Réveillon du Nouvel An qui réunissent un grand nombre de personnes. Plus de 13.200 décès associés à la Covid 19 ont été recensés en Roumanie depuis le début de la pandémie. Le bilan le plus récent fait état de 6.333 nouveaux cas de contamination en 24 heures, dont la plupart à Bucarest – soit plus de 1.100, où le taux d’incidence des infections au nouveau coronavirus a baissé sous la barre des 7 cas par mille habitants. Malgré une hausse du nombre de cas de coronavirus dans la capitale, au niveau national la situation s’est considérablement améliorée. Quelque 1.300 malades sont actuellement en soins intensifs.

    Tennis – Ce samedi à Dubaï, la joueuse roumaine de tennis, Sorana Cîrstea (86e WTA) a vaincu la Tchèque Katerina Siniakova (64e mondiale) dans la finale du tournoi ITF. Sorana Cîrstea a remporté tous les trois matchs directs contre Siniakova en 2017, au premier tous du tournoi d’Eastbourne, au premier tour de Madrid et en 2019, au premier tour de l’US Open. Suite à cette dernière étape, la Roumaine montera dans le classement des meilleures joueuses de tennis au monde jusqu’à la 71e position.

    Météo – Temps généralement morose dans les jours à venir en Roumanie. Les météorologues ont émis une alerte code jaune aux pluies importantes concernant une série de départements du sud, du sud-est et de l’ouest et valable jusqu’à dimanche matin. Des chutes de neige sont prévues en montagne qui sera couverte par une couche importante de neige. Des précipitations mixtes sont attendues sur le nord et nord-est où le verglas pourrait également se former. Les températures iront dans les jours à venir de 2 à 12 degrés.

  • 12.12.2020

    12.12.2020

    Négociations politiques – Le Parti national libéral, l’Union sauvez la Roumanie – Plus et l’Union démocrate magyare de Roumanie entament aujourd’hui des négociations officielles dans la perspective de la constitution d’un prochain gouvernement de centre-droit. Les pourparlers visent à élaborer au plus vite un programme de gouvernance, une structure du prochain cabinet ainsi qu’à partager les fonctions dans le nouveau gouvernement de Roumanie. Les négociations s’annoncent difficiles puisque les libéraux qui assurent la gouvernance et qui se sont classés en deuxième position au scrutin du 6 décembre, ne souhaitent pas renoncer à une série de ministères, tels les Finances, la Justice, les Transports, le Développement et les Fonds européens alors que l’USR Plus, la troisième force du prochain législatif, visent certains de ces portefeuilles. L’Union démocrate magyare de Roumanie voudrait assumer la Santé, la Culture et l’Environnement, des domaines que ce parti avait géré déjà par le passé, mais le parti souhaite aussi diriger d’autres ministères. Les négociations devraient s’achever avant les consultations prévues pour ce lundi par le président Klaus Iohannis, en vue de la désignation d’un premier ministre censé former le nouveau gouvernement. Elles commenceront par le Parti social démocrate qui a obtenu le plus grand nombre de voix aux récentes élections. Un parti constitué il y a à peine une année, l’Alliance pour l’Union des Roumains, fera également partie du prochain gouvernement puisqu’il a recensé plus d’un demi-million de voix. Désormais, l’AUR est la quatrième force politique du Parlement roumain. Le législatif sera complété par les représentants des minorités nationales autres que celle magyare. Pour ce qui est des personnes proposées aux fonctions de premier ministre, le PSD a avancé le nom d’Alexandru Rafila, le représentant de la Roumanie auprès de l’OMS, alors que le PNL a désigné l’actuel ministre des finances Florin Cîtu.

    Etat d’alerte – En Roumanie, l’état d’alerte instituée dans le contexte de la pandémie en vigueur depuis la mi-mai sera maintenu pour au moins encore un mois à partir du 14 décembre. Durant cette période, toute une série de restrictions seront maintenues, y compris le couvre feu durant la nuit. Une seule mesure s’est ajoutée aux restrictions en place : afin d’éviter que les pistes de ski soient trop chargées, l’exécutif a imposé aux opérateurs de transport par câble de réduire la capacité des télécabines de 20 à 10 personnes seulement. Les autorités exhortent les Roumains de limiter les visites durant la période des fêtes d’hiver et d’éviter de participer à des fêtes du Réveillon du Nouvel An réunissant un grand nombre de personnes. Plus de 13.200 décès associés à la Covid 19 ont été recensés en Roumanie depuis le début de la pandémie. Le bilan le plus récent fait état de 6.333 nouveaux cas de contamination en 24 heures, dont la plupart à Bucarest – soit plus de 1.100, où le taux d’incidence des infections au nouveau coronavirus a baissé sous la barre des 7 cas par mille habitants. Malgré une hausse du nombre de cas de coronavirus dans la capitale, au niveau national la situation s’est considérablement améliorée. Quelque 1.300 malades sont actuellement en soins intensifs.

    Climat – Les effets des changements climatiques sont de plus en plus présents en Roumanie a averti le président Klaus Iohannis. Parmi eux des températures de plus en plus élevées en été, la désertification de plusieurs régions, la sécheresse qui ravage l’agriculture et perturbe l’accès à la nourriture. Dans un message publié à l’occasion du 5e anniversaire de la conclusion de l’Accord de Paris visant les changements climatiques, le chef de l’Etat a précisé qu’il était impérativement nécessaire de nous assurer que les effets ne s’accentuent et ne se multiplient jusqu’à affecter d’une manière dramatique la vie et la santé des citoyens. C’est pourquoi à la réunion du Conseil européen j’ai décidé aux côtés des leaders européens de la réduction nette des émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% à l’horizon 2030 par rapport à 1990, a annoncé le président Iohannis. Il a précisé que les autorités devraient implémenter durant les années à venir une série de projets censés permettre la réduction nette des émissions de gaz à effet de serre tout en soutenant la croissance économique. La principale cible assumée par l’Accord de paix sur les changements climatiques est de limiter le réchauffement climatique à moins de 2 degrés Celsius et de faire des efforts pour la maintenir à 1,5 degrés Celsius jusqu’à la fin de ce siècle.

    Météo – En Roumanie, les météorologues ont émis une alerte code jaune aux pluies importantes pour une série de départements du sud, sud-est et est et une alerte code jaune aux chutes de neige et aux tempêtes de neige pour une partie de la zone de montagne du centre, valable jusqu’à dimanche matin. Aujourd’hui le ciel est morose, mais les températures sont assez élevées, notamment sur le sud-est, le centre et l’ouest. Il pleut sur l’est, le sud et le centre. Sur le nord, le nord-est et sur le relief, les précipitations sont mixtes et il y a des conditions de création du verglas. Les températures vont de 3 à 13 degrés. 3 degrés en ce moment à Bucarest.

  • Négociations pour un nouvel exécutif à Bucarest

    Négociations pour un nouvel exécutif à Bucarest

    Le
    président Klaus Iohannis a invité les représentants des partis
    politiques membres du nouveau législatif de Bucarest à des
    consultations qui devraient aboutir sur la désignation d’un
    nouveau premier ministre dont la tâche sera de former un
    gouvernement. Les élections législatives du 6 décembre ont fait
    siéger au Parlement, dans l’ordre des voix recueillies, le Parti
    social-démocrate (PSD), le Parti national libéral (PNL), l’alliance
    entre l’Union sauvez la Roumanie et PLUS (USR-PLUS), l’Alliance
    pour l’union des Roumains (AUR) et l’Union démocrate magyare de
    Roumanie (UDMR). S’y ajoutent les représentants des minorités
    nationales autres que la minorité magyare.

    Le Parti
    social-démocrate, en tant que gagnant de ces élections avec un peu
    moins de 30% des suffrages, affirme avoir la légitimité de former
    le nouvel exécutif et propose pour le poste de premier ministre le
    professeur des universités et médecin Alexandru Rafila, également
    représentant de la Roumanie auprès de l’Organisation mondiale de la
    Santé. Alexandru Rafila serait à la tête soit d’un gouvernement
    minoritaire, soit d’un gouvernement d’union nationale. Le leader
    des sociaux-démocrates, Marcel Ciolacu : « Nous
    faisons aux Roumains cette proposition tout à fait décente.
    Monsieur Rafila est reconnu tant sur le plan national,
    qu’international. Je dirais qu’il est grand temps que le
    président de la Roumanie, le Parti national libéral et l’Union
    sauvez la Roumanie reconnaissent leur défaite aux élections. »

    Entre
    temps, les responsables du Parti national libéral, de l’Union
    sauvez la Roumanie et de l’Union démocrate magyare de Roumanie se
    sont déjà rencontrés dans le cadre d’une réunion informelle avec
    le chef de l’Etat. Klaus Iohannis a d’ailleurs déclaré, le
    lendemain des élections, qu’il n’y avait pas de vainqueur clair du
    scrutin. D’ailleurs, ce sont les partis de centre droit qui
    totalisaient 50% des voix, a-t-il remarqué.

    Les
    trois partis se réuniront ce samedi pour démarrer des négociations
    officielles. L’intention annoncée est de constituer une majorité
    parlementaire et de former un gouvernement qui soit validé avant les
    fêtes de Noël, très vite après le vote d’investiture du
    Parlement. Le président des libéraux, Ludovic Orban : « Nous
    aurons plusieurs points à négocier : le programme de
    gouvernance, l’équipe politique et la structure du gouvernement
    qui devra, bien évidemment, valider le programme. Il y aura
    également des négociations à mener au niveau du Parlement, la
    représentation au bureau et dans les commissions politiques et une
    stratégie commune de notre activité au Parlement en tant que
    majorité. »


    L’alliance
    entre l’Union sauvez la Roumanie et PLUS souhaite une collaboration
    correcte qui respecte les pourcentages obtenus par chacun des trois
    partis lors des législatives : PNL
    – 25%, USR-PLUS – 15% et UDMR – 6%. L’alliance
    a tenu à assurer ses électeurs qu’elle se battrait jusqu’au
    bout pour que les reformes pour lesquelles elle a été votée soient
    au cœur du programme et de la structure des futurs gouvernement et
    parlement.

    De
    son côté, l’Union démocrate magyare de Roumanie estime que la
    proposition des libéraux pour que l’actuel ministre des Finances
    Florin Cîțu
    reprenne la tête de l’exécutif est une belle surprise. L’UDMR
    rappelle sa préférence pour un premier ministre politique, contre
    un expert ou un militaire.


    Pour finir, notons que
    l’Alliance pour l’union des Roumains, soit la quatrième formation
    politique au Parlement, selon les quelque 9% des voix obtenues aux
    élections, ne souhaite former d’alliance, avec aucun des partis politiques. Ses parlementaires, qui affirment
    promouvoir la famille, la nation, la foi chrétienne et la liberté,
    seront, le plus probablement, les électrons libres du
    législatif 2020-2024. (Trad. Elena Diaconu)

  • Negocieri pentru noul Guvern

    Negocieri pentru noul Guvern

    Preşedintele
    României, Klaus Iohannis, i-a invitat, luni, la consultări pe reprezentanţii formațiunilor
    care au intrat în Parlament, în urma alegerilor legislative din 6 decembrie.
    Este vorba, în ordinea numărului de voturi obținute, de Partidul Social
    Democrat, Partidul Național Liberal, Alianța USR PLUS, Alianța pentru Unirea
    Românilor, AUR, și Uniunea Democrată a Maghiarilor din România, UDMR. Lor li se
    adaugă reprezentanții minorităților naționale, altele decât cea maghiară.
    Scopul este desemnarea unui prim-ministru care să formeze noul Guvern.


    PSD se
    consideră îndreptăţit să formeze un nou Cabinet pentru că, la
    recentele alegeri, a întrunit cele mai multe sufragii – aproape 30% și îl
    propune pe profesorul medic Alexandru Rafila, reprezentantul României la
    Oganizația Mondială a Sănătății, să conducă fie un Guvern minoritar, fie unul
    de uniune naţională.

    Liderul PSD, Marcel Ciolacu: Venim în faţa
    românilor cu o propunere decentă, recunoscută atât pe plan naţional, cât şi
    internaţional, în persoana domnului Rafila. Cred că este cazul ca preşedintele
    României, PNL şi USR să recunoască că au pierdut aceste alegeri.


    Între
    timp, PNL, Alianța USR PLUS şi UDMR au avut o întâlnire informală cu Klaus
    Iohannis, iar de sâmbătă vor începe negocierile oficiale pentru constituirea
    unei majorităţi parlamentare şi formarea unui Guvern care să fie votatpână la Crăciun, după învestirea noului
    Parlament.


    Președintele PNL, Ludovic Orban: Vom negocia pe mai
    multe paliere, programul de guvernare, echipa politică care va negocia
    chestiunile politice, structura Guvernului şi care, evident, va valida
    programul de guvernare. De asemenea, o să existe o negociere şi la nivelul
    Parlamentului, privitoare la comisii parlamentare, reprezentarea în birourile
    politice şi o strategie comună de manifestare a acestei majorităţi.


    USR
    PLUS vrea o colaborare corectă şi respectarea procentelor obţinute de fiecare partid
    la alegerile de duminică: PNL – 25%, USR PLUS – 15% și UDMR – 6%. În plus, Alianţa
    dă asigurări că va dezbate oricât este nevoie pentru a se asigura că mandatul
    reformist, dat de alegătorii săi, se va regăsi în mod semnificativ în programul
    şi structura Guvernului şi a viitorului Legislativ.


    Cât despre UDMR, aceasta crede
    că propunerea PNL ca actualul ministru al Finanţelor, Florin Cîţu, să preia
    conducerea Guvernului reprezintă o surpriză plăcută și reamintește că doreşte
    premier politic, nu unul tehnocrat sau militar.

  • Prospects for the Victoria Palace

    Prospects for the Victoria Palace

    Five parties have entered the new Parliament in Bucharest, following the legislative elections of December 6. According to the final results provided by the Central Electoral Bureau, the Social Democratic Party won the elections with around 29% of the votes both in the Senate and in the Chamber of Deputies. It is followed by the National Liberal Party, with about 25% of the votes and the Save Romania Union-PLUS Alliance – USR PLUS, with over 15%. 4th ranked is the Alliance for the Union of Romanians (AUR), recently set up and barely known, which managed, to the general surprise, to obtain about 9% of the votes. 5th ranked with almost 6% is the Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania — UDMR.



    The legislative elections of December 6 in Romania saw the lowest turnout in the last three decades, about 32%. On Sunday evening, when the polls closed, the Social Democrat leader Marcel Ciolacu and the liberal leader Ludovic Orban were both aware that their parties would not be able to govern alone. That is why PNL subsequently announced that it was starting negotiations for the formation of a parliamentary majority, and also of the future Government, proposing the current Finance Minister, Florin Cîţu, for the post of Prime Minister.



    Ludovic Orban: “A difficult period will follow when we need people that have a good knowledge of the administration, of the public finances situation. We need a prime minister who has credibility in front of the business environment, in front of the international financial institutions. I think the finance minister is a very good proposal. I hope that, through negotiations, we will be able to form a parliamentary majority.”



    PNL wants a majority in Parliament together with the USR-PLUS Alliance, UDMR and the representatives of the national minorities group, other than the Hungarian one. Negotiations are not going to be easy, though, given that the Liberals do not want to give up the Finance, Justice or Transport Ministries, which USR-PLUS would also like. On the other hand, the Social Democrats claim the position of prime minister, and want to designate medical professor Alexandru Rafila to the post, insisting that the countrys president Klaus Iohannis must appoint the prime minister proposed by PSD, 1st ranked in the December 6 elections.



    Alfred Simonis: “We are imperatively asking the president to give up backstage plotting and respect the will of the voters, to be aware that he is the head of a state in a deep crisis, that the election campaign is over, and we also remind him that he represents Romania not the National Liberal Party.”



    The Social Democrats say they will not vote in Parliament on any proposal for a Liberal prime minister and consider rejecting participation in the consultations with the head of state, if PSD is not the first party invited for consultations. (tr. L. Simion)

  • 09.12.2020 (mise à jour)

    09.12.2020 (mise à jour)

    Politique
    – Le Bureau électoral central de Roumanie a annoncé les résultats des élections
    législatives du dimanche dernier, après décompte final des suffrages, mais
    avant traitement des contestations. Le Parti social-démocrate (PSD) a remporté
    les élections avec 29,32% des voix au Sénat et 28,9% à la Chambre des députés.
    Il est suivi par le Parti national libéral (PNL), avec 25,58% des voix au Sénat
    et 25,19% à la Chambre des députés. En 3e position arrive l’alliance Union
    sauvez la Roumanie (USR)-PLUS, avec 15,86% des suffrages au Sénat et 15,37% à
    la Chambre des députés. Suivent l’Alliance pour l’union des Roumains (AUR) avec
    9,17% des voix au Sénat et 9,08% à la Chambre des députés, et l’Union démocrate
    magyare de Roumanie (UDMR) avec 5,89% des suffrages au Sénat et 5,74% à la
    Chambre des députés. Le Parti du mouvement populaire et PRO România n’ont pas
    dépassé la barre électorale des 5%.


    Les
    négociations pour former un nouveau gouvernement sont toujours en cours à
    Bucarest. Les partis de centre droit tentent de sceller un accord avant les
    consultations avec le président Klaus Iohannis. Les libéraux, actuellement au
    pouvoir et arrivés en deuxième position aux élections législatives, veulent
    constituer une majorité avec l’Union Sauvez la Roumanie-PLUS et l’Union
    démocrate magyare de Roumanie. Selon les calculs politiques des libéraux, une
    majorité confortable de 244 élus nationaux peut être constituée. L’actuel
    ministre des Finances, Florin Cîţu, est la proposition des libéraux pour le
    poste de premier ministre. De l’autre côté, le Parti social-démocrate, gagnant
    des élections, souhaite également constituer un gouvernement. Les sociaux-démocrates
    ne soutiendront pas un exécutif constitué autour du Parti national libéral, car
    ils estiment que le premier ministre devrait être choisi dans leurs rangs, pour
    respecter le choix des Roumains. Ils proposent pour la fonction le professeur
    des universités et médecin Alexandru Rafila, expert de l’Organisation mondiale
    de la Santé. Le PSD a déjà annoncé qu’il négociera uniquement deux scénarios avec
    le chef de l’Etat : soit un gouvernement minoritaire social-démocrate,
    soit un gouvernement d’union nationale, constitué d’experts et coordonné par un
    premier ministre social-démocrate. Le Parlement roumain compte, par ailleurs, un
    autre parti politique, la nouvelle l’Alliance pour l’union des Roumains, d’extrême
    droite et qui est devenue, à la surprise générale, la 4e force du
    législatif de Bucarest.




    Défense
    – L’accord de coopération entre les Etats-Unis et la Roumanie pour le
    développement des projets nucléaires et énergétiques à Cernavodă, situé dans le
    sud-est de la Roumanie, a été signé mercredi à Bucarest par le ministre roumain
    de l’Economie Virgil Popescu et l’ambassadeur des Etats-Unis à Bucarest Adrian
    Zuckerman. Le premier ministre roumain par intérim Nicolae Ciucă, par ailleurs
    ministre de la Défense, était présent à la signature et il s’est également entretenu
    avec l’ambassadeur américain sur la coopération politique, militaire,
    énergétique et économique entre les deux pays. Nicolae Ciucă a aussi réitéré le
    soutien des autorités roumaines pour l’Initiative des trois mers, soulignant que
    le support américain pour les projets prioritaires d’inter connectivité en lien
    avec cette initiative peut constituer un levier important dans le redressement
    économique post-pandémie. D’après le premier ministre roumain par intérim, la
    présence économique solide des Etats-Unis en Roumanie peut constituer un fort signal
    d’encouragement et de stimulation pour d’autres investisseurs étrangers. De son
    côté, l’ambassadeur américain a remarqué le caractère spécial de la relation
    entre les deux Etats, ainsi que l’important rôle que joue la Roumanie au plan
    régional.




    Recherche
    – Le Conseil européen de la recherche a annoncé ce mercredi les gagnants de son
    plus récent appel Consolidator Grant, destiné aux jeunes chercheurs, sept à
    douze ans après l’obtention de leur thèse. Parmi les lauréats compte le Roumain
    Andrei Terian-Dan de l’Université Lucian Blaga de Sibiu, du centre de la
    Roumanie, dont le projet « Une histoire transnationale de la littérature
    roumaine » (TRANSHIROL) sera financé à hauteur de 1,45 millions d’euro. D’après
    un communiqué de la Commission européenne, le professeur Andrei Terian-Dan et
    son équipe se proposent de documenter cinq siècles de littérature roumaine et l’augmentation
    progressive de son champ d’existence. L’histoire transnationale de la
    littérature roumaine qui en résultera vise à devenir, en fin compte, une
    histoire de la littérature mondiale rédigée sous un angle roumain, précise la
    Commission. Docteur en littérature, le professeur Terian-Dan a été chercheur invité
    en Grande-Bretagne, en Espagne et en Slovénie, et travaille actuellement à
    Sibiu.




    Handball
    – L’équipe de Roumanie féminine de handball rencontrera jeudi la Croatie dans
    son premier match du tour principal de l’Euro féminin de handball 2020 au
    Danemark. Les deux autres adversaires de la Roumanie seront les championnes en
    titre, la sélection des Pays-Bas (dans un match disputé le 14 décembre) et la
    Hongrie (dans une rencontre qui aura lieu le 15 décembre). La Norvège et l’Allemagne
    font également partie de ce groupe principal. L’autre moitié du tableau principal
    compte la Russie, la France, le Danemark, la Suède, l’Espagne et le Monténégro.
    A l’issue de cette phase, les deux premières équipes accèderont aux
    demi-finales. La finale de l’Euro 2020 se disputera le 20 décembre. La Roumanie
    avait fini 4ème lors de l’Euro féminin de hand 2018.




    Météo
    – D’importantes chutes de neige sont prévues jusqu’à vendredi après midi sur
    les Carpates Méridionales et de Courbure, placées sous vigilance jaune. Le vent
    sera également au rendez-vous, avec des rafales dépassant les 90-100 km/h sur
    les crêtes. On annonce des pluies sur le centre, le sud et le sud-ouest du pays,
    avec un ciel généralement couvert et des températures à la hausse sur le reste
    du territoire. Des pluies verglaçantes sont également attendues sur l’est de la
    Roumanie et localement ailleurs dans le pays. Les températures maximales iront
    de 0 à 15 degrés.

  • A qui de former le nouveau gouvernement?

    A qui de former le nouveau gouvernement?

    Suite aux résultats des élections parlementaires de dimanche, aucun parti de Roumanie n’a remporté suffisamment de voix pour former à lui seul le gouvernement. Du coup, les formations ayant accédé au nouveau Législatif – le PSD, le PNL, l’USR-PLUS, l’UDMR et l’AUR- sont à présent obligées de mener des négociations afin de mettre en place une majorité pour appuyer la formation d’un nouvel Exécutif. Le leader libéral et premier ministre démissionnaire, Ludovic Orban, a affirmé que son objectif serait de former un gouvernement avec les partenaires partageant la même orientation politique. « Je suis convaincu que, les jours à venir, les négociations déboucheront sur la formation d’un gouvernement capable de faire progresser la Roumanie et surtout de relancer l’économie roumaine, une fois la pandémie terminée ».

    Pour sa part, le premier vice-président du PSD, Sorin Grindeanu, considère que son parti, désormais en opposition, devrait avoir le droit d’avancer en premier la proposition de chef du gouvernement et de former une majorité parlementaire. Par son résultat, le scrutin de dimanche a sévèrement sanctionné l’actuel pouvoir de Roumanie et la façon dont le gouvernement libéral a géré la crise sanitaire, opine Sorin Grindeanu :«C’est un vote de blâme pour sanctionner aussi bien la façon dont le gouvernement actuel a défié le pays tout entier, que sa gestion désastreuse de la crise sanitaire et économique. Par leur vote, les Roumains ont accordé au PSD la légitimité de proposer le premier ministre et de tenter de rassembler une majorité parlementaire ».

    Et Sorin Grindeanu de préciser que les chances du PSD de former une alliance avec l’Alliance pour l’Union des Roumains, AUR, nouvellement créée et entrée au Parlement sont presque nulles. Pourtant, une décision finale en ce sens appartient au Conseil politique national du parti. L’Alliance USR-PLUS s’est dit favorable à l’idée d’une gouvernance aux côtés du PNL et de l’UDMR. Aux dires de son co-président, Dacian Ciolos, le pays nécessite rapidement d’un plan de réformes censé offrir davantage de prédictibilité. Pour sa part, le leader de l’USR, Dan Barna a tenu à préciser que toute négociation menée afin de créer une future coalition gouvernementale se fera aux termes d’un document intitulé « La révolution de la bonne gouvernance ». « La création d’une majorité confortable réunissant l’USR PLUS, le PNL et l’UDMR sera une majorité capable de mener à terme les engagements visant le régime spécial des pensions de retraite ou l’élimination de l’immunité parlementaire ».

    Fraîchement créée et à peine entrée au Parlement, l’Alliance pour l’Union des Roumains, AUR, a annoncé rester en opposition. Son co-président, George Simion, a précisé :« L’Alliance pour l’Union des Roumains n’accepte pas de faire des transactions avec les voix de ses partisans. Aucune coalition ne s’avère possible : ni avec la soit-disant gauche, ni avec la soi-disant droite ».George Simion a également affirmé que les parlementaires issus des structures de son parti se proposent notamment de changer des lois électorales, après la manière désastreuse dont s’est déroulé le vote au sein de la diaspora. Enfin, le leader de l’UDMR, Kelemen Hunor, a précisé que sa formation essayera d’équilibrer la balance au sein du futur Parlement. A ses dires, le nouveau gouvernement devrait être installé au plus vite possible pour que la loi du futur budget public soit adopté d’ici la fin de l’année. (trad. Ioana Stancescu)

  • Cine va forma Guvernul?

    Cine va forma Guvernul?

    Rezultatele alegerilor
    parlamentare de duminică din România arată că niciun partid nu a obținut un
    scor care să-i permită să formeze singur Guvernul. Astfel, formațiunile care
    vor alcătui noul Parlament
    – PSD,
    PNL, USR PLUS, UDMR şi AUR –
    sunt nevoite să poarte negocieri în vederea
    formării unei majorități pentru constituirea noului Executiv.


    Preşedintele PNL,
    Ludovic Orban, care a demisionat din funcția de premier, spune că obiectivul său este acela de a forma un
    guvern alături de partenerii cu aceeaşi orientare politică.

    Am convingerea că, în zilele care vor urma, negocierile
    vor duce cu adevărat la un guvern care să aibă capacitatea de a duce România
    înainte şi, mai ales, de a pregăti relansarea economică a României după ce vom
    trece de pandemieˮ.


    La rândul său, prim-vicepreşedintele PSD, Sorin
    Grindeanu, consideră că social-democraţii, acum în opoziție, au dreptul legitim
    de a face prima nominalizare pentru funcţia de premier şi de a forma o majoritate parlamentară. Votul de la alegerile de duminică a sancţionat conducerea ţării pentru modul în
    care a gestionat actuala criză, este de părere Sorin Grindeanu:

    Un
    vot de blam faţă de modul în care au sfidat o ţară întreagă, faţă de modul
    dezastruos în care au gestionat pandemia şi economia. Prin votul românilor, PSD
    a primit cea mai mare legitimitate de a avea premierul şi de a încerca să facă
    o majoritateˮ.


    Sorin Grindeanu a mai spus că există şanse spre zero pentru
    o înţelegere cu Alianţa pentru Unirea Românilor (AUR), surpriza acestor
    alegeri, urmând ca o decizie finală să fie luată în Consiliul Politic Naţional
    al formaţiunii.


    Alianța USR PLUS a anunțat că este gata să-şi asume guvernarea alături de PNL şi UDMR. Copreședintele
    Alianței, Dacian Cioloş, a afirmat că este nevoie de un plan de reforme care să dea predictibilitate românilor şi României, cât mai repede.
    Copreşedintele USR PLUS, Dan Barna, a menționat că orice negociere
    pentru formarea unei viitoare coaliţii de guvernare se va face
    pe baza documentului intitulat Revoluţia bunei guvernări.

    Crearea unei majorităţi
    decente din USR PLUS, PNL şi UDMR, o majoritate care să poată să ducă la
    îndeplinire aceste angajamente legate de pensiile speciale, legate de
    eliminarea imunităţilorˮ.


    Abia înființată și nou intratăîn Parlament, Alianţa pentru Unirea Românilor a anunțat că va rămâne în opoziţie. Copreședintele Alianței,
    George Simion, a precizat:

    Alianţa pentru Unirea Românilor nu
    tranzacţionează voturile susţinătorilor. Nu putem să facem o coaliţie nici cu
    aşa-zisa stângă, nici cu aşa-zisa dreaptăˮ.
    George Simion a adăgat că
    parlamentarii AUR își propun, în primul rând, să schimbe legile electorale,
    calificând drept ‘dezastruos’ modul în care a fost organizat procesul de vot în
    diaspora.


    La rîndul său, preşedintele UDMR, Kelemen Hunor, a spus că
    formaţiunea sa va încerca să asigurare un echilibru în Parlament. El este de
    părere că noul Guvern ar trebui să fie format cât mai repede, astfel
    încât, până la sfârşitul anului, să fie adoptată Legea bugetului pe anul
    viitor.



  • 07.12.2020 (mise à jour)

    07.12.2020 (mise à jour)

    Législatives – Les
    sociaux-démocrates remportent les élections législatives de Roumanie avec 30,16%
    des voix au Sénat et 29,71% des voix à la Chambre des députés, annonce le Bureau
    électoral central de Roumanie après la centralisation des résultats finaux d’un
    peu plus de 95% des bureaux de vote. Le Parti social-démocrate (PSD) est suivi
    de près par le Parti national libéral (PNL), avec 25,62% des voix au Sénat et 25,21%
    des voix à la Chambre des députés. En 3e position on trouve l’alliance Union sauvez
    la Roumanie (USR)-PLUS, avec 15,21% des suffrages au Sénat et 14,73% des voix à
    la Chambre des députés. Une surprise est l’accès en quatrième position, avec 8,69%
    des voix au Sénat et 8,6% des voix à la Chambre des députés, d’un nouveau parti
    appelé l’Alliance pour l’union des Roumains (AUR). Totalement passée sous les
    radars durant la campagne électorale, l’AUR se décrit comme nationaliste et cite
    la famille et la religion chrétienne parmi ses valeurs fondamentales. L’Union démocrate
    magyare de Roumanie (UDMR) a également dépassé le seuil électoral et entre au
    parlement avec 6,21% des suffrages au Sénat et 6,05% des voix à la Chambre des
    députés.

    « Il
    n’y a pas de vainqueur clair de ce scrutin et les partis de centre droit totalisent 50% des voix », a souligné lundi le président Klaus Iohannis.
    Le chef de l’Etat a annoncé qu’il invitera les partis parlementaires à des consultations
    pour former un nouveau gouvernement dans les jours à venir. De surcroit, le
    premier ministre Ludovic Orban vient d’annoncer sa démission. Notons un
    taux d’abstention record pour ces 30 dernières années : 73% des électeurs roumains ne se
    sont pas présentés aux urnes ce dimanche. Le Parti du
    mouvement populaire n’a pour le moment pas dépassé la barre des 5%, mais son leader,
    l’ex-président Traian Băsescu, se montre confiant en ce sens. Un
    autre perdant de ces élections est le parti PRO România, dont le président,
    l’ex-premier ministre Victor Ponta a annoncé un retrait, pour le moins temporaire,
    de la vie politique.




    Moldavie – Plusieurs
    dizaines de milliers de personnes ont protesté dimanche, à Chişinău, réclamant
    la démission du gouvernement et la dissolution du Parlement moldave, contrôlé
    par une majorité pro-russe. Les protestataires répondaient à un appel lancé par
    la présidente élue, la pro-européenne Maia Sandu, après le vote du Parlement
    moldave en faveur de lois réduisant les pouvoirs présidentiels et renforçant le
    statut de la langue russe dans le pays. Les manifestants ont accusé également le
    législatif et l’exécutif de promouvoir la corruption et de permettre le
    détournement d’argent public et ont réclamé des élections anticipées.


    Coronavirus – La Roumanie a
    rapporté en 24 heures 3.660 nouveaux cas de contamination au coronavirus sur
    près de 8.800 testes effectués, soit un taux de contamination dépassant les
    41%. Depuis le début de la pandémie, la Roumanie a recensé, au total, plus de
    513.000 cas de contamination, dont la plupart ont été déclarés à Bucarest et
    dans les départements de Cluj et de Braşov. Sur le nombre total de personnes infectées
    jusqu’à présent, près de 80% ont guéri. 1.280 malades sont hospitalisés actuellement
    dans les unités de soins intensifs. 127 décès ont été également rapportés ce
    lundi, ce qui porte le bilan total des personnes décédées des suites de l’infection
    à près de 12.500. Plusieurs communes roumaines sont toujours confinées pour
    limiter la propagation du virus. Dans le département de Sibiu, le taux de
    contamination est de 5 pour mille habitants, ce qui a poussé les autorités
    locales à prolonger d’une semaine le confinement de la ville de Sibiu et de six
    autres communes du département homonyme.




    SF – Un
    mystérieux obélisque en métal a été découvert sur une plage de l’île de Wight,
    au sud de l’Angleterre, après des découvertes similaires aux Etats-Unis et en
    Roumanie, relate l’AFP. Ces découvertes sont devenues virales sur les réseaux
    sociaux, beaucoup notant des similarités avec les étranges monolithes
    extraterrestres accélérant grandement les progrès de l’humanité dans le classique
    de la science-fiction « 2001, l’Odyssée de l’espace », un film de Stanley
    Kubrick et un roman d’Arthur C. Clarke. Un prisme triangulaire découvert à la
    mi-novembre sur le sol rouge du désert de l’Utah a disparu quelques jours plus
    tard. Deux autres œuvres étincelantes sont apparues ensuite dans le nord-est de la Roumanie,
    dans la région de Neamţ, et en Californie du Sud,
    pour très vite disparaître aussi mystérieusement qu’elles étaient apparues. Un
    collectif appelé The Most Famous Artist a revendiqué la paternité du monolithe
    de l’Utah, publiant une image de l’œuvre sur Instagram et la proposant à la
    vente. Cependant, interrogé sur la structure découverte ce weekend sur l’île de
    Wight, le collectif a déclaré : « Le monolithe est hors de notre contrôle
    a ce stade. Bonne chance a tous les extraterrestres qui travaillent dur dans le
    monde entier pour propager le mythe. »




    Météo – Le temps restera
    morose en Roumanie dans les prochaines 24 heures. Dans le nord-est et
    localement dans le sud on attend des précipitations mixtes, alors que le ciel
    restera couvert ailleurs dans le pays, avec des chances de pluies. Il neigera en
    altitude et on signale des risques de verglas dans le sud et le sud-est du
    territoire. Les températures maximales iront de -3° à 9° Celsius.



  • Élections législatives en Roumanie

    Élections législatives en Roumanie

    La quatrième et dernière confrontation électorale majeure de Roumanie ces deux dernières années (après les élections européennes et la présidentielle en 2019 et les élections locales en septembre dernier) a eu lieu dimanche sous le signe de la pandémie de Covid-19, mais aussi des mécontentements et des espoirs des Roumains qui se sont rendus aux urnes. Le taux de participation a toutefois été le plus faible des trois dernières décennies : environ 32% des électeurs ont décidé d’exercer leur droit constitutionnel. Dans la diaspora, le vote a pris fin avec la fermeture des derniers bureaux de vote sur la côte Ouest des États-Unis et du Canada. A la différence de ceux qui ont voté en Roumanie, qui n’ont voté que le dimanche, les Roumains de la diaspora ont eu à leur disposition une journée supplémentaire – le samedi – pour se rendre aux urnes. À l’étranger, le processus électoral s’est déroulé pendant 59 heures, selon les différences de fuseau horaire. Au total, quelque 265 000 électeurs ont voté à l’étranger, la présence la plus importante étant enregistrée en Italie, en République de Moldova, en Espagne, au Royaume-Uni et en Irlande du Nord, en Allemagne et en France.



    Les options de tous les électeurs, de Roumanie et de l’étranger, se sont profilées tout au long de la nuit avec le dépouillement des bulletins de vote. Ainsi, lors des élections législatives du 6 décembre 2020, le Parti social-démocrate, actuellement d’opposition, a remporté la victoire tant au Sénat qu’à la Chambre des députés, avec environ 30% des voix, suivi par le Parti national libéral, au pouvoir – avec environ 25% – et par l’Alliance USR PLUS, qui décrit une évolution ascendante dans les préférences de l’électorat depuis trois ans — avec environ 15% des voix. La surprise de ce vote a été constituée par la nouvelle Alliance pour l’Union des Roumains (AUR), qui, avec environ 9% des suffrages, a accédé au Parlement, se classant quatrième. Elle a été suivie par l’Union démocrate magyare de Roumanie, qui a franchi le seuil électoral et est entrée au Parlement. Ce dernier sera composé de 465 parlementaires : 136 sénateurs et 329 députés.



    A la clôture des bureaux de vote dimanche soir, les dirigeants des formations politiques en lice ont commenté les résultats qui – contrairement aux autres années – n’ont toutefois pas été accueillis avec enthousiasme. Tant le président du PSD, Marcel Ciolacu, que le leader du PNL et premier ministre en exercice, Ludovic Orban, ont clamé la victoire, mais elle ne permet à aucun des camps de gouverner seul. Marcel Ciolacu :



    « Le pays a besoin d’un gouvernement capable, qui ait des solutions, et je remercie tout particulièrement les Roumains qui sont allés voter, parce qu’ils ont surmonté leur peur, mais ils ont compris la nécessité que ce gouvernement Orban parte. »



    Ludovic Orban a souligné quant à lui :



    « Je suis confiant en la capacité du Parti national libéral de construire une majorité parlementaire avec les forces démocratiques euro-atlantistes, qui respectent le citoyen et qui veulent développer la Roumanie, afin de former un gouvernement dans les plus brefs délais. »



    Co-président de l’Alliance USR-PLUS, Dacian Cioloş a souligné que les Roumains n’ont donné à aucun parti le mandat clair de former seul l’exécutif, dont sa formation politique souhaiterait faire partie :



    « Les années à venir, la Roumanie a besoin de modernisation, de réformes profondes. Nous devons nous appuyer sur une base solide et propre, d’honnêteté et de professionnalisme, et tel est le mandat avec lequel USR PLUS va au Parlement et négociera l’entrée au gouvernement. »



    Le président de l’UDMR Kelemen Hunor a promis que sa formation politique tenterait d’assurer un climat d’équilibre au Parlement roumain, tandis que le leader George Simion a clairement indiqué que l’AUR n’entrera dans aucune coalition gouvernementale.


    (Trad. : Ligia)

  • December 6, 2020 UPDATE

    December 6, 2020 UPDATE

    Elections update — The Social Democratic Party – PSD is likely to have won Sunday’s parliamentary elections in Romania. According to an exit poll published at 9 p.m. local time, PSD obtained around 30.5% of the votes. The National Liberal Party got almost 29% followed by the Alliance Save Romania Union PLUS (USR-PLUS) with almost 16%. Other parties that might enter Parliament are UDMR — the Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania, Pro Romania and PMP People’s Movement Party, all credited with 5% of the votes. A surprise in these elections is the possible entry in Parliament of the Alliance for Romanians’ Union AUR. The voter turnout was almost 32%.

  • PSD a obţinut circa 30,5% din voturi, conform exit-poll-ului CURS-Avangarde

    PSD a obţinut circa 30,5% din voturi, conform exit-poll-ului CURS-Avangarde

    PSD a obţinut, la Senat, 30,6% dintre voturile exprimate la alegerile parlamentare de duminică, la nivel naţional, iar la Camera Deputaţilor – 30,5%, PNL a obţinut, la Senat, 29,1%, iar la Camera Deputaţilor – 29%, potrivit rezultatelor exit-poll-ului realizat de CURS – Avangarde, la comanda Antena 3, pentru ora 19,00.



    Pe locul al treilea se situează Alianţa USR PLUS care a obţinut 16,4% la Senat şi 15,9% la Camera Deputaţilor.



    Ar mai putea intra în Parlament UDMR 5,7%, Alianţa pentru Unirea Românilor (AUR) 5,2%, Pro România 5,0% şi Partidul Mişcarea Populară (PMP) 5,0%.



    Prezenţa la vot a fost de 31,84%.



    Preşedintele PSD, Marcel Ciolacu, a declarat că prin votul de duminică românii au arătat că este nevoie de o schimbare. Prin votul de astăzi românii au arătat că este nevoie de o schimbare. Aş dori să le mulţumesc tuturor românilor care au avut încredere în noi şi au votat PSD şi au sancţionat această batjocură la adresa lor în ce priveşte gestionarea pandemiei, a spus Ciolacu, după închiderea urnelor.



    Liderul liberalilor, premierul Ludovic Orban, a declarat că PNL este atât câştigătorul moral, cât şi la finalizarea procesului de numărare a voturilor exprimate de români pentru alegerile parlamentare. Ce vedem la televizor sunt rezultatele unui exit-poll sau unui sondaj de opinie. Decizia au luat-o românii prin prezenţa la vot şi rezultatul îl vom cunoaşte după procesul de numărare a voturilor.



    Dacian Cioloş, copreşedinte USR PLUS, a declarat duminică, după închiderea urnelor, că alianţa a demonstrat că este o forţă politică matură, care poate rezista şi poate creşte în competiţiile cu vechile partide. El a menţionat că Alianţa USR PLUS este pregătită să poarte negocieri în vederea guvernării, dar a exclus o colaborare cu PSD.



    Rezultatul alegerilor parlamentare de duminică transmite că nu se va putea face reformă în România fără USR-PLUS, a declarat copreşedintele alianţei, Dan Barna, după anunţarea exit-poll-urilor. Barna a apreciat că rezultatul este unul istoric.



    Preşedintele Pro România, Victor Ponta, consideră că formaţiunea politică pe care o conduce se va regăsi în viitorul legislativ, dacă voturile vor fi păzite, pentru că partidele mici pierd voturi la numărătoare.



    Preşedintele UDMR, Kelemen Hunor, a declarat duminică, la ieşirea de la urne, că aşteaptă de la viitorul Parlament “stabilitate politică, predictibilitate şi mai puţine certuri inutile”. Am votat pentru o reprezentare puternică pentru comunitatea noastră, a spus liderul UDMR.



    Fostul preşedinte Traian Băsescu a salutat rezultatul exit-poll-ului care cotează PMP cu 5% dar a notat că repartiția voturilor și prezența slabă vor genera mari probleme de menținere a legitimității” și un guvern cu o susținere foarte fragmentată”.



    Copreşedintele Alianţei pentru Unirea Românilor (AUR), George Simion, a declarat, duminică seara, după anunţarea rezultatelor exit-poll-ului de la alegerile parlamentare, că formaţiunea pe care o reprezintă a avut un rezultat bun şi nu va dori să intre în nicio coaliţie de guvernare.

  • Vor den anstehenden Wahlen: Liberalen hoffen auf Veränderung der Machtverteilung im Parlament

    Vor den anstehenden Wahlen: Liberalen hoffen auf Veränderung der Machtverteilung im Parlament

    Die Wahlberechtigten in Rumänen werden am Sonntag erneut an die Urnen gerufen, diesmal um die Parlamentsmitglieder zu wählen. Über 7.000 Kandidaten, fast 10% mehr als bei den letzten Wahlen, treten für einen der 136 Senatssitze und 329 Abgeordnetenmandate an. Laut dem Rumänischen Expertenforum seien die meisten Kandidaten auf den Wahllisten, nämlich 641, Vertzreter der Partei der Volksbewegung (PMP), die vom ehemaligen Präsidenten Traian Băsescu angeführt wird. Nach der Anzahl der Kandidaten folgen die Nationalliberale Partei (PNL) mit 640, die Partei Pro Rumänien des ehemaligen Premiers Victor Ponta mit 639 und die Sozialdemokratische Partei (PSD), die grö‎ßte Partei der Opposition, mit 631 Sitzen. USR-PLUS, das einzige Bündnis, das bei diesen Wahlen antritt, hat 616 Kandidaten. Zur Wahl stehen ebenfalls Vertreter der Allianz für die rumänische Einheit (AUR), einer relativ neuen Partei auf der politischen Szene, der Ökologischen Partei, der Demokratischen Union der ethnischen Ungarn in Rumänien (UDMR) und 43 unabhängige Kandidaten.



    Dies ist nach den Kommunalwahlen vom 27. September das zweite Mal in diesem Jahr, dass die Rumänen an die Urnen gerufen werden. Wie bereits im September gibt es vor dem Hintergrund der Coronavirus-Krise eine Reihe von Regeln für den Ablauf des Wahlkampfes und die Stimmabgabe selbst. Das Internet ist unter den aktuellen Umständen zum wichtigsten Instrument für die Übermittlung von Wahlbotschaften geworden. Bei Aktionen auf der Stra‎ße wurde die Anzahl der Personen auf Gruppen von 6 begrenzt, während bei Aktionen von Tür zu Tür nur Zweierteams zugelassen sind. Das Ergebnis war ein recht untypischer Wahlkampf.



    Die Liberalen, die seit über einem Jahr an der Macht sind, hoffen, dass diese Wahlen die Machtverteilung im Parlament verändern es ihnen ermöglichen werden, die Mehrheit zu bilden. Auch die Sozial-Demokraten, die gro‎ßen Gewinner der vorherigen Parlamentswahl, hoffen auf ein gutes Ergebnis, nachdem sie im vergangenen Jahr nach einem Misstrauensvotum die Macht verloren hatten. Auch das Bündnis USR-PLUS wiederum hat angesichts des ermutigenden Ergebnisses bei den jüngsten Kommunalwahlen gro‎ße Hoffnungen. Die rumänische Diaspora wird im Parlament durch 4 Abgeordnete und 2 Senatoren vertreten sein. Mehr als 39.000 Rumänen im Ausland haben sich bei den Wahlen vom 6. Dezember zur Briefwahl angemeldet, die meisten von ihnen in Gro‎ßbritannien, Deutschland, Italien, Spanien und Frankreich. Die Rumänen im Ausland haben zwei Tage Zeit, um ihre Stimme abzugeben, nämlich den 5. und 6. Dezember. Im Land sind die Wahllokale nur am Sonntag, dem 6. Dezember, geöffnet.

  • Verschiebungen auf der politischen Landkarte nach den Kommunalwahlen

    Verschiebungen auf der politischen Landkarte nach den Kommunalwahlen




    Zwei Tage nach den Kommunalwahlen in Rumänien beanspruchen die regierenden Liberalen als auch die oppositionellen Sozialdemokraten den Sieg für sich. Mit welchen Argumenten rechtfertigt die PSD und die PNL ihren jeweiligen Anspruch? Bestärkt durch das ausgezeichnete Ergebnis bei den Europa- und Präsidentschaftswahlen von 2019 sind die Liberalen Ende letzten Jahres durch einen Misstrauensantrag und mit breiter Unterstützung der Bevölkerung an die Macht gekommen. Sie haben es sich auf die Fahne geschrieben bei den Kommunalwahlen, aber auch bei den für Ende des Jahres geplanten Parlamentswahlen zu gewinnen. Weil die Liberalen bei den Kommunalwahlen den Sozialdemokraten wichtige Bürgermeisterämter und Ämter der Landkreisvorsitzende abrangen und ein politisches Ergebnis von mehr als 30 % erreichten, begrü‎ßten sie es als das historisch Ergebnis der letzten 3 Jahrzehnte.




    Selbst Landespräsident Klaus Iohannis trat auf die politische Bühne, um den Sieg der Mitte-Rechten und die gestärkte Position der PNL zu begrü‎ßen, die nach Aussagen des Staatsoberhauptes, die bedeutendste Partei Rumäniens geworden ist. Er beglückwünschte auch die junge, reformorientierte Allianz USR-PLUS, deren Wähler, mit der Leistung der traditionellen Parteien unzufrieden, massenhaft zu den Urnen gingen und wichtige Rathäuser, wie die der westrumänischen Stadt Timișoara, der in der Landesmitte gelegenen Stadt Brasov (dts. Kronstadt) oder der östlichen Stadt Bacau gewannen. Klaus Iohannis sagte, dass die Rumänen für eine neue Richtung gestimmt haben — eine Richtung des gesunden Menschenverstandes, des Respekts für den Bürger und die Demokratie. Die Menschen wollen kompetente Führungspersönlichkeiten an der Spitze ihrer Gemeinschaften sehen, die ihre Versprechen halten und ihre Verantwortung unter allen Umständen wahrnehmen. Die lokale öffentliche Verwaltung muss so umgebaut werden, dass sie auf Grundpfeilern wie Transparenz, Integrität und Professionalität ruht, die einem wichtigen Prinzip dienen, nämlich dem des öffentlichen Interesses, forderte er.




    Auf der anderen Seite fügten die Wahlen vom 27. September den Sozialdemokraten gro‎ße Verluste zu, das Bürgermeisteramt der Hauptstadt Bukarest ist nur eines davon. Unter dem Schlussstrich ist das Endergebnis der PSD aber gar nicht so schlecht: Die Sozialdemokraten gewannen 20 der 41 Landkreistage und fast 1.500 Rathäuser von insgesamt 3.200. Ein Ergebnis, für das der Vorsitzende der PSD, Marcel Ciolacu seinen Kollegen zu gratulierte. Er sagte, dass die PSD die wichtigste Partei Rumäniens bleibe, dass der Wiederaufbau der PSD Früchte getragen habe. Weiterhin forderte er die Modernisierung der Partei und sagte, dass die Rumänen alle bestraft hätten, die zu lange im Amt geblieben sind — ob sie nun Mitglieder der PSD oder der PNL seien. Die Rumänen haben immer recht”, schloss Ciolacu.




    Die Abstimmung am Sonntag gilt als ein Test für die am 6. Dezember geplanten Parlamentswahlen. Erst dann werden die Verschiebungen auf der politischen Landkarte Rumäniens deutlich zu sehen sein.

  • Changement sur la carte électorale

    Changement sur la carte électorale

    Deux jours après les élections locales de Roumanie et au lendemain des résultats définitifs, la victoire est revendiquée aussi bien par le pouvoir que par l’opposition. Avec quels arguments le PSD et le PNL justifient-ils un tel geste ? Réconforté par un score excellent obtenu lors des élections européennes et de la présidentielle de 2019 et installé à la tête du pays, à la fin de l’année dernière, par motion de censure, le PNL clame la victoire en fanfare des élections locales, mais aussi des législatives prévues en fin d’année. Voilà pourquoi, en « subtilisant » au PSD des mairies importantes et des postes de présidents de conseils départementaux, le PNL, avec un score politique supérieur à 30% aux élections de dimanche, a salué un résultat considéré comme historique ces trois dernières décennies.

    Le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, est sorti sur le devant de la scène politique pour saluer la victoire majeure de la droite et la position renforcée d’un PNL devenu le plus grand parti de Roumanie, selon le chef de l’Etat. Et lui de féliciter également la jeune alliance USR-PLUS dont l’électorat, mécontent des performances des partis traditionnels, est sorti en masse aux urnes, lui attribuant ainsi des mairies importantes telles celle de Timisoara, Brasov ou encore Bacau. Klaus Iohannis :« Les Roumains ont voté en faveur d’une nouvelle direction, une direction du bon sens, du respect envers le citoyen et de la démocratie. Les gens souhaitent voir à la tête de leurs communautés des leaders compétents qui tiennent leurs promesses et assument leurs responsabilités quelles que soient les circonstances. L’administration publique locale doit être reconstruite de manière à reposer sur des piliers fondamentaux tels la transparence, l’intégrité, le professionnalisme, qui soient au service d’un principe majeur, à savoir l’intérêt public. »

    De l’autre côté de la barricade part, le scrutin du 27 septembre a provoqué des pertes majeures au PSD, notamment la mairie de la capitale, Bucarest. Pourtant, si on calcule, les résultats finals ne sont pas si mauvais : les sociaux-démocrates ont remporté 20 des 41 conseils départementaux et presque 1 500 mairies sur un total de 3 200. Un score qui a poussé le leader de la formation, Marcel Ciolacu, à féliciter ses confrères :
    « Le PSD reste la formation la plus importante de Roumanie. Le processus de reconstruction opéré au sein du PSD a porté ses fruits. Le PSD doit se moderniser. Les Roumains ont sanctionné tous ceux restés en place depuis trop longtemps à occuper certaines fonctions publiques – soient-ils membres du PSD ou du PNL. Les Roumains ont toujours raison », a conclu Marcel Ciolacu.

    Pourtant, le scrutin de dimanche est considéré plutôt un test avant les législatives prévues le 6 décembre. Ce n’est qu’à ce moment-là que chaque parti donnera la mesure du rôle qu’il occupe sur l’échiquier politique de Roumanie.(trad. Ioana Stancescu)