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  • Le budget 2018 de l’Union européenne

    Le budget 2018 de l’Union européenne

    C’est à la fin du mois passé que le Parlement européen a adopté la forme finale du budget de l’Union européenne pour 2018.D’une valeur totale de 160,1 milliards d’euros, le
    budget a été bouclé après plusieurs reprises de négociations entre les
    représentants de la Commission, du Parlement et du Conseil de l’Union
    européenne. Il faut préciser que dans ces négociations le Parlement européen a
    été représenté par le député roumain Siegfried Muresan, membre du parti populaire européen. Les députés avaient déjà adopté au
    début de l’année en cours un rapport indiquant à la Commission européenne les
    priorités politiques du Parlement européen quant à la répartition de l’argent.

    Selon le député Siegfried Mureşan : « Nous
    avons affirmé dès le début de l’année quelles étaient nos priorités :
    premièrement, la croissance économique et la création d’emplois, ensuite la
    sécurité des citoyens. Et pour atteindre justement ces objectifs, nous avons
    insisté pour que les fonds européens soient investis en priorité dans les
    domaines qui vont améliorer la compétitivité de l’économie européenne,
    c’est-à-dire l’innovation, la recherche, l’infrastructure, les PME, les bourses
    Erasmus dédiés à la mobilité des étudiants. Pour atteindre le second objectif,
    la sécurité des citoyens européens, nous avons pris pour engagement de
    renforcer les agences de l’Union européenne responsables en matières
    judiciaires et affaires intérieures, tels EUROPOL, EUROJUST ou encore le Bureau
    européen d’appui en matière d’asile (BEAMA). Ces dernières représentent les
    institutions de l’Union censées combattre le terrorisme, renforcer l’échange
    d’informations entre les Etats membres concernant notamment les personnes
    suspectées d’actes de terrorisme, le trafic d’armes, le trafic des drogues ou
    encore la traite des êtres humains… Le deuxième instrument sera dédié au
    renforcement de la Défense européenne, action proposée l’année passée par la
    Commission européenne. Plus précisément, la Commission avait affirmé : on
    veut agir, en faire plus au niveau de la Défense européenne et, pour ce faire,
    nous devrons mettre à disposition des fonds du budget de l’Union. Quant au
    troisième instrument, censé assurer le renforcement de la sécurité de nos
    concitoyens, c’est à travers l’appui consenti au voisinage immédiat de l’Union,
    car la sécurité de l’Union européenne ne peut être assurée à moins qu’elle soit
    entourée d’Etats stables et sûrs. Nous parlons donc tout spécialement à l’Est
    de trois Etats associés : la Géorgie, l’Ukraine et la république de
    Moldova, tous des Etats ayant fait le choix de l’intégration européenne. Quant
    à la frontière sud de l’Union, on vise le sud de la Méditerranée, le Moyen
    Orient où, on le voit, l’Union est confrontée à toute une série de risques de
    sécurité. »





    La Commission européenne avait avancé un premier projet
    de budget 2018 au mois de mai dernier, alors que l’étape finale des
    négociations s’est achevée le samedi 18 novembre. Le document a été adopté le
    29 novembre par le Conseil européen et voté le lendemain par le Parlement.

    Et
    les résultats de ces négociations ? C’est le représentant du Parlement à
    la table des négociations, l’eurodéputé roumain Siegfried Mureşan, qui répond: « Concernant la croissance économique, la création
    d’emplois et l’amélioration de la compétitivité, par rapport à ce qui était
    prévu dans le plan de budget présenté initialement par la Commission, nous
    avons réussi à obtenir une enveloppe supplémentaire de 70 millions d’euros pour
    le programme Horizon 2020, c’est-à-dire de l’argent investi dans la recherche,
    le développement, l’innovation. Au total il s’agit de 11,2 milliards d’euros
    destinés à la recherche et à l’innovation dans le budget européen prévus pour
    l’année prochaine. Aussi, nous avons réussi à décrocher dans la dernière ligne
    droite une enveloppe supplémentaire de 20 millions destinés aux bourses
    Erasmus. En 2018, nous aurons au total 2,3 milliards d’euros dédiés aux bourses
    Erasmus. A cela, il faudrait compter 354 millions destinés aux PME, à travers
    le programme COSME. Il s’agit de 15 millions supplémentaires, décrochés dans la
    dernière phase des négociations. Nous avons encore réussi à augmenter
    l’enveloppe destinée à financer les mesures ciblant la réduction du chômage des
    jeunes, passant de 233 millions à 350, et nous avons également obtenu
    l’engagement de la Commission et du Conseil de proposer un collectif budgétaire
    l’année prochaine, si l’entièreté des fonds mis à disposition dans ce cadre est
    dépensée par les Etats membres et si la demande pour un plus de moyens est
    toujours là. »





    D’importants fonds ont été consentis dans le domaine de
    la sécurité. Le député européen Siegfried Mureşan, membre du PPE, présent à la
    table des négociations de la part du Parlement européen, apporte des
    précisions : « Pour ce
    qui est de notre seconde priorité, c’est-à-dire la sécurité de nos concitoyens,
    nous avons renforcé les moyens des agences de l’Union européenne en charge de
    la Justice et des Affaires intérieures, dotées du budget suivant: EUROJUST a
    reçu une enveloppe de 120 millions d’euros pour l’année prochaine, alors que l’EASO a une enveloppe de 90 de millions. Nous avons également réussi
    à augmenter les fonds dédiés au voisinage oriental de l’Union européenne
    jusqu’à 602 millions d’euros, par rapport aux 548 millions de l’année passée.
    Aussi, suite à notre demande d’introduire le voisinage est de l’Union
    européenne parmi les priorités communautaires, nous avons décroché une
    enveloppe supplémentaire de 10 millions d’euros par rapport au projet de budget
    de 592 millions d’euros, prévu initialement. »






    Pas en dernier lieu, 4,9 millions d’euros seront
    utilisés pour combattre la désinformation et la propagande en provenance de la
    Fédération de Russie. Enfin, dernier élément important : les fonds de
    pré-adhésion destinés à la Turquie ont été réduits de 105 millions d’euros,
    alors qu’une enveloppe de 70 millions supplémentaires ont été mis de coté, dans
    un fonds réservé. A travers cette réduction, l’UE a voulu transmettre un
    message politique fort au pouvoir politique turc, pour sanctionner
    l’éloignement de la Turquie des normes européennes en matière de liberté
    d’expression et des droits humains. (Trad. : Ionuţ Jugureanu)

  • The 2018 budget under debate

    The 2018 budget under debate


    The 2018 state and social security bills are being debated in the joint budget and finance committees of Romania’s Parliament, with the final vote on the bills scheduled for December 21. The authorities count on revenues almost 6.6 billion Euros higher than last year, to be split between healthcare, education and investments.



    The Finance Minister Ionuţ Mişa pointed out that the budget for 2018 was based on a 5.5% economic growth rate, a 3.1% inflation rate, an average exchange rate of 4.55 lei for the Euro and an increase in the average number of employees by 4.2%.



    Ionuţ Mişa believes that the revenues taken into account in drafting the budget are realistic: “During 2017, we had an increase in revenues of 12.85 billion lei for a 10-month period as compared to 2016. If we take this revenue growth as a reference figure, I don’t think that anyone can claim that revenues are not sustainable in 2018.”



    The opposition, however, says that the budget revenues are overestimated. Florin Cîţu is a senator with the National Liberal Party: “According to my own estimates, revenues are overestimated by almost 8.6 billion lei, of which 5 billion in relation to the collection of the VAT. Apart from the VAT, there is one more budget component with overstated revenues, namely social contributions.”



    The Finance Minister says that, besides certain measures that lead to an increase in expenses such as pay rises, holidays vouchers, the rise in minimum wages, in pensions and in social benefits for pensioners, the budget also provides for measures to cap expenses. The opposition has filed almost 4 thousand amendments, but the greatest part of the budgets for ministries and the main credit release authorities have been approved by the expert’s committees in the form proposed by the Government.



    The National Defense Ministry received 2% of the GDP according to the commitment Romania made to NATO. In 2018 the budget of the Healthcare Ministry will be 4.6% higher than in 2017, with the biggest increase planned for medical staff salary expenses. The budget of the Education Ministry will account for 3% of the GDP in 2018 as against 2.9% at present. The Romanian Intelligence Service will also receive 13% more funds in 2018 than in the previous year. The budgets of the Interior and the Regional Development Ministries were also approved, the latter with amendments.



    The Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania proposed an increase in the share from the income tax that is due to the local authorities, given that this tax will drop from 16% to 10% starting on January 1, 2018.

  • Débats sur le budget de l’Etat 2018

    Débats sur le budget de l’Etat 2018

    Les projets du budget de l’Etat et de la sécurité sociale sont débattus par les commissions parlementaires réunies en charge du budget et des finances, le vote final étant prévu pour le 21 décembre. Les autorités tablent sur des recettes supplémentaires de prés de 31 milliards de lei (environ 6,6 milliards d’euros). Cet argent sera destiné aux ministères de la Santé et de l’Education, ainsi qu’aux investissements. Le ministre des Finances, Ionuţ Mişa, a précisé que le budget 2018 repose sur une croissance économique de 5,5%, un taux d’inflation de 3,1%, sur un taux de change moyen de 4,55 lei pour 1 euro et sur l’augmentation de 4,2% du nombre des salariés. Selon lui, les chiffres pris en compte pour la construction budgétaire sont réalistes.

    Ionuţ Mişa: Sur les dix premiers mois de 2017, on a enregistré une croissance de 12,85 milliards de lei des revenus par rapport à la même période de l’année dernière. Ceci étant, vous ne pourrez plus dire que la situation n’est pas soutenable. Pour leur part, les représentants de l’opposition affirment que le budget est surestimé au chapitre revenus. Voici les propos du sénateur libéral Florin Cîţur: Selon mes estimations, les revenus sont surestimés de quelque 8,6 milliards de lei. Sur ce montant, 5 milliards de lei proviennent de la surestimation de la collecte de la TVA. L’autre composante du budget où les revenus sont surestimés est celle des contributions sociales.

    Le ministre des finances soutient qu’en dehors de certaines mesures qui mènent à la majoration des dépenses, telles les hausses salariales, les chèques vacances, la hausse du salaire minimum et la revalorisation du point de retraite et de l’aide sociale accordée aux retraités, le budget comporte aussi des décisions concernant le plafonnement des dépenses. L’opposition a déposé près de 4000 amendements, mais les commissions spécialisées n’ont rien changé au texte émanant de l’Exécutif pour ce qui est de la majeure partie des budgets alloués aux ministères et aux principaux ordonnateurs des crédits.
    Aux termes de l’engagement assumé par la Roumanie au sein de l’OTAN, le ministère de la Défense se verra octroyer 2% du PIB. Le ministère de la Santé devrait recevoir en 2018 une enveloppe plus conséquente, majorée de 4,6% par rapport à 2017, la plupart de cet argent étant destiné aux salaires du personnel médical. 3% du PIB, contre 2,9%, actuellement, seront distribués l’année prochaine à l’Education. Le Service roumain de renseignement bénéficiera d’une majoration de 13% des sommes qui lui sont allouées. Les budgets impartis aux ministères de l’Intérieur et du Développement régional ont eux aussi reçu un avis favorable, avec toutefois certains amendements pour ce dernier.
    L’Union démocrate magyare de Roumanie a proposé la majoration du quota de l’impôt sur le revenu qui devrait renflouer les caisses des autorités locales, étant donné qu’à partir du 1er janvier 2018 cet impôt sera diminué, passant de 16 à 10 %. (trad. Mariana Tudose)

  • Rumänische Parlamentarier  debattieren über den Staatshaushalt 2018

    Rumänische Parlamentarier debattieren über den Staatshaushalt 2018

    Das Parlamernt in Bukarest debattiert über den Staatshaushalt 2018. Die rumänischen Abgeordneten und Senatoren wollen vier Tage vor Weihnachten den Staatshaushalt verabschieden. Der Staatshaushaltsentwurf und der Entwurf zu den sozialen Versicherungen wurden vergangene Woche den Parlamentariern eingereicht. Diese konnten Abänderungen vorschlagen, die von den Fachausschüssen besprochen werden. Es geht um tausende Abänderungen. Gefordert werden höhere Summen für die Umgehungsstraße von Bukarest, für die Konsolidierung der Gebäude mit hohem Erdbebenrisiko, die Forsetzung der Bauarbeiten bei der Bukarester U-Bahn, Programme und Veranstaltungen für die Diaspora, sowie für den Bau von Kindergärten.



    Der Staatshaushalt fußt auf einer Wirtschaftsankurbelung von 5,5% und sieht höhere Summen für Bereiche, die unterstützt werden müssen, vor. Die Gesundheit, die Bildung und die Infrastruktuir seien die Priorität, so der rumänische Ministerpräsident Mihai Tudose:



    Die Gesundheit bekommt um 17% mehr, die Bildung 16% mehr, während die Investitionen eine um 42% höhere Summe erhalten werden, verglichen zu 2017.



    Laut dem Entwurf, der vergangene Woche von der Regierung genehmigt wurde, sei die Landwirtschaft ein weiterer Bereich, der mehr Geld bekommen soll. Die Sozialdemokratische Partei behauptet, die Zuteilung sei ausgeglichen, korrekt und gut gebaut und fügt hinzu, es könnte besser sein, als vorgesehen, weil die Wirtschaftsankurbelung im Jahre 2018 die Einschätzungen überschreiten könnte.



    Die Opposition ist leider nicht sehr optimistisch. Die Umsetzung des Staatshaushaltes werde eine schwierige Aufgabe für die Regierungskoalition sein, erklärte der Abgeordneten der Partei der Volksbewegung Eugen Tomac:



    Die Rechnung, mit der sie gearbeitet haben, war falsch. Das Ergebnis ist falsch, weil in Rumänien schon Stadtverwaltungen sind, die kein Geld mehr haben, um die Löhne zahlen zu können.



    Die Opposition meint, man muss den Akzent auf die Entwicklung legen. Laut dem Gesetzentwurf, der von der Regierung genehmigt wurde, werden die Personalkosten um 11,6 Milliarden Lei (circa 2,5 Milliarden Euro) steigen. Die Löhne werden höher sein und die Kosten der Investitionen werden um 13 Milliarden Lei (circa 2,8 Milliarden Euro) steigen. Die Endform wird im Plenum des Parlaments beschlossen, wo die Debatten am 18. Dezember starten sollen.

  • 01.12.2017

    01.12.2017

    Fête nationale – Près de 3.500 militaires et spécialistes roumains des ministères de la Défense et de l’Intérieur, du Service roumain de renseignement, ainsi que plus de 350 moyens techniques, dont une cinquantaine d’aéronefs participent, ce vendredi 1er Décembre, au défilé militaire organisé à Bucarest à l’occasion de la Fête nationale de la Roumanie. 300 soldats de pays alliés ou partenaires – Bulgarie, Royaume-Uni, Canada, Etats – Unis, France, Allemagne, Grèce, Italie, République de Moldova, Pologne, Portugal, Slovaquie, Turquie et Ukraine – se sont joints aux militaires roumains pour le défilé. Toujours à Bucarest ont été prévues une cérémonie militaire et une autre religieuse. Des gerbes de fleurs ont été déposées dans la matinée sur la tombe du Soldat inconnu. La Fête nationale est célébrée partout dans le pays. Le drapeau national est arboré aux sièges des institutions militaires, tandis que le Grand pavois est hissé sur les navires maritimes et fluviaux. La Fête nationale est marquée aussi sur les théâtres d’opérations extérieurs, là où sont déployés des militaires roumains. A Kandahar, en Afghanistan, l’évènement est marqué par des cérémonies militaires et religieuses. Les Roumains de la diaspora célèbrent eux aussi la Fête nationale. Les antennes de l’Institut culturel roumain, en coopération avec les missions diplomatiques de Roumanie organisent, ce vendredi, différents événements culturels. Devenu fête officielle après la Révolution anticommuniste de 1989, le 1er Décembre marque la finalisation, en 1918, du processus de création de l’Etat national unitaire roumain, par l’entrée sous l’autorité de Bucarest de toutes les provinces à population roumaine majoritaire faisant partie jusque-là des empires multinationaux.

    Centenaire – La veille du Centenaire (de la Grande Union des principautés roumaines), est une bonne occasion pour les Roumains de réfléchir à la manière dont ils souhaitent que leur pays se présente. C’est ce qu’a affirmé le président roumain, Klaus Iohannis, dans un message vidéo à l’occasion de la Fête Nationale de la Roumanie. «Unis, impliqués et déterminés, c’est la seule manière dont les Roumains réussiront à bâtir un pays fort et respecté en Europe et dans le monde », a également souligné le chef de l’Etat. A son tour, le premier ministre roumain Mihai Tudose a affirmé dans un message que le Centenaire de la Grande Union marquait l’engagement des Roumains de redéfinir leurs valeurs nationales. « Ce ne sera pas uniquement un moment de célébrer l’histoire, mais aussi et surtout un point de repère pour remettre l’identité nationale à sa place », a précisé le chef du gouvernement. « La Roumanie doit avoir un idéal, l’idéal d’un pays souverain et prospère, respecté dans le monde », a transmis dans son message, Liviu Dragnea, président de la Chambre des Députés. « Nous vivons à une époque où les droits et les libertés des citoyens sont en danger, une époque où il semble que les Roumains ne peuvent pas décider eux-mêmes de leur propre avenir », a déclaré à son tour, le président du Sénat de Bucarest, Călin Popescu Tăriceanu, qui s’est dit également persuadé que les Roumains surmonteraient toutes ces difficultés, comme ils l’ont fait ces 25 dernières années. Enfin, à l’occasion de la Fête nationale, la Famille Royale de Roumanie a souhaité « Joyeux anniversaire » à tous les Roumains se trouvant au pays, en République de Moldova voisine et partout dans le monde, rendant hommage à la nation roumaine qui, « a fait le sacrifice de son propre sang pour l’union du pays ».

    Visas – La Commission européenne a salué la décision du Canada d’éliminer à compter de ce 1er décembre les visas de voyage pour les ressortissants Roumains et Bulgares. Selon la Commission, cette décision est le résultat d’intenses efforts diplomatiques et de négociations constantes au niveau politique et technique entre l’UE, le Canada, la Roumanie et la Bulgarie. A commencer par ce vendredi, les habitants des deux pays peuvent voyager sans visa au Canada pour des séjours touristiques de 6 mois tout au plus, sur la base d’un passeport valable. Pour sa part, le ministère des AE de Bucarest rappelle que les Roumains qui souhaitent se déplacer en avion au Canada doivent obtenir une autorisation électronique de voyage (Electronic Travel Authorization – eTA), disponible sur Internet. Ceux souhaitent entrer au Canada par voie terrestre ou maritime ne doivent présenter qu’un passeport valable, sans l’autorisation mentionnée.

    UE – Le Parlement Européen a adopté jeudi à Bruxelles le budget de l’UE pour 2018, dont le rapporteur est le député européen roumain Siegfrid Muresan. La valeur totale budget communautaire est de 160 milliards d’euros. Selon M Muresan, pour la première fois, l’UE a alloué des fonds (49, milliards d’euros) à la lutte contre la désinformation et les fausses nouvelles. De même, l’UE lancera en 2018 un projet pilote financé de 12 millions d’euros et censé garantir au moins 30.000 tickets gratuits de train pour les jeunes des Etats membres qui atteindront l’âge de la majorité (18 ans) l’année prochaine et qui souhaitent visiter les autres pays communautaires. Le budget de l’Union prévoit également une majoration des fonds alloués aux investissements, à la création d’emplois pour les jeunes, à la recherche, à l’innovation, à la sécurité. Les Etats du voisinage oriental de l’Union se verront octroyer davantage d’argent, y compris la République de Moldova. La valeur totale des fonds structurels et de cohésion se chiffre à 46 milliards d’euros, soit 54% de plus par rapport aux 30 milliards d’euros alloués en 2017.

    Handball – L’Allemagne accueille à compter de ce 1er décembre le Championnat du Monde de handball féminin. La Roumanie fait partie du groupe A, aux côtés de la France, de l’Espagne, de la Slovénie, d’Angola et du Paraguay. Le 2 décembre, dans leur premier match de la compétition mondiale, les Roumains affronteront le Paraguay. Rappelons-le, en 2015, lors du précédent Championnat du monde, la Roumanie a remporté la médaille de bronze. L’équipe roumaine est la seule à avoir participé à toutes les 22 éditions de cette compétition.

    Météo – Temps morose en ce début de décembre en Roumanie. Les températures sont toutefois plus élevées que la normale saisonnière notamment dans le sud et le sud-est du pays. Il pleut sur le sud, l’est et centre et il neige sur le nord-est et sur les montagnes. Les températures maximales de ce vendredi iront de 3 à 13 degrés. Ciel couvert et 9 degrés à midi à Bucarest.

  • Winterfrequenzen 2017/2018

    Winterfrequenzen 2017/2018


    Am 29. Oktober 2017 stellt Rumänien auf Winterzeit um und wechselt damit auch die Frequenzen der Auslandsprogramme seines Öffentlich-Rechtlichen Rundfunksenders.



    In der Zeit vom 29.10.2017 bis einschlie‎ßlich 24.03.2018 können Sie die deutschsprachigen Programme von RRI auf folgenden Wellenlängen über analoge Kurzwelle und via DRM empfangen:









    Uhrzeit (UTC) Frequenz (kHz) Meterband Zielgebiet
    07.00 – 07.30 9.770 DRM

    7.345
    31

    41
    Mittel- und Westeuropa
    15.00 – 16.00 6.040

    7.330
    49

    41
    Mittel- und Westeuropa
    19.00 – 20.00 7.235 DRM

    6.180
    41

    49
    Mittel- und Westeuropa

  • WM-Qualifikation: Torloses Unentschieden gegen Dänemark

    WM-Qualifikation: Torloses Unentschieden gegen Dänemark

    Nationaltrainer Christoph Daum wusste am Sonntagabend einmal mehr zu überraschen. Nach früheren 4-3-3- und 4-2-3-1-Systemen plante er für das Spiel gegen Dänemark eine Aufstellung nach dem 3-4-1-2-Muster. Benzar und Latovlevici spielten auf den Außenbahnen, Pintilii im defensiven Mittelfeld, Marin sollte das gesamte Mittelfeld zwischen den Strafräumen beackern und Nicuşor Stanciu hinter den Spitzen Keşerü und Chipciu Nadelstiche setzen. Für Alex Chipciu vom RSC Anderlecht war es überhaupt eine Rückkehr auf die Position, die er mit überschaubarem Erfolg auch bei Steaua Bukarest ausprobiert hatte.



    Auf der anderen Seite spielten die Dänen spiegelverkehrt in der gleichen Formation, mit ebenfalls drei Manndeckern, jedoch einem etwas mobileren Mittelfeld und mit Andreas Cornelius vom FC Kopenhagen als einzige Sturmspitze im Strafraum. Christian Eriksen von Tottenham Hotspur hatte seine Freiheiten im Angriff.



    Rumänien begann die Partie in der Cluj Arena relativ vorsichtig, jedoch kam die Mannschaft gleich zum Anfang zu einigen Schussmöglichkeiten. Marin zog in der vierten Minute aus 18 Metern ab, sein Schuss war allerdings zu schwach für Schmeichel jr. im Tor der Gäste. An diesem Abend hatte Daum eine Beteiligung der Innenverteidiger am offensiven Spiel vorgesehen – Chiricheş und Toşca sollten mit genauen Pässen die Angriffsaktionen starten, was ihnen aber eigentlich nicht so gut gelingen sollte. Am Ende überwogen eher die langen Bälle in die Spitze, wobei die anschließenden Kopfball-Duelle oftmals verloren gingen. Ein mögliches Szenario waren die zurückeroberten Bälle durch Stanciu, Pintilii und Marin vor dem Strafraum.



    Auf der anderen Seite lauerte der Gegner auf Fehler in der rumänischen Hintermannschaft. Und es brannte gleich in der 15. Minute lichterloh im Strafraum der Gastgeber, Toşca vertendelte unaufmerksam einen Ball, den Ankersen vor das Tor flankte. Der an diesem Abend souveräne Săpunaru konnte jedoch klären. Drei Minuten später hat Rumänien die Riesenchance zum Führungstreffer nach einer Aktion am aktiveren rechten Flügel. Benzar flankt millimeter-genau in den Strafraum, jedoch scheitert Keşerü mit seinem stärkeren linken Fuß kläglich, der Ball segelt über das Tor. Dieselbe Aktion wird noch einmal in der 25. Minute eingeleitet, fast nach dem gleichen Muster, Benzar flankt, diesmal kommt Keşerü überhaupt nicht mehr an den Ball. Und beim dritten Mal kann Stanciu das Zuspiel des besten rumänischen Spielers in diesen Minuten nicht richtig nutzen. Sein Schuss fliegt am Tor vorbei.



    Die Gäste kamen nur selten in die rumänische Hälfte, jedoch strahlten sie jedes Mal Gefahr aus. Cornelius wird bei einigen guten Abnahmen noch der Ball in letzter Sekunde stiebitzt. Doch auch die Dänen kamen über die Flügel, in der 43. Minute kann Durmisi flanken und Eriksen zeigt Reue und schießt den Ball in den Klausenburger Nachthimmel.



    Rumänien beginnt die zweite Halbzeit im Schongang, Stanciu kann die Verbindung zwischen Abwehr und Angriff nicht mehr herstellen, die beiden Sturmspitzen scheinen isoliert. Auch der Ballbesitz ist ausgeglichener und die Hoffnung der bislang lauten Fans schwindet. Eriksen hat in der 47. Minute den Führungstreffer für die Gäste auf dem Fuß, sein Schuss prallt mit etwas Pech von Chiriceş ab. Vier Minuten später streift Jorgensens Schuss beinahe den Pfosten. Ein Lebenszeichen von der rumänischen Mannschaft in der 49. Minute: Stancius Freistoß geht allerdings am Tor von Schmeichel jr. vorbei.



    Das Spiel plätschert für eine Viertelstunde vor sich hin, dann hat Chipciu eine gute Möglichkeit in der 63. Minute, wird aber noch vom dänischen Schlussmann blockert. Das Publikum hegt für kurze Zeit Hoffnungen, als Steaua-Stürmer Alibec eingewechselt wird. Doch weder er noch der zweite ins Spiel gekommene Reservist Rotariu können dem Spiel einem Mehrwert geben. Das Spiel wird immer zerfahrener, die Dänen sind mit dem Unentschieden wohl zufrieden, Rumäniens Ballbesitz schwindet dahin. Und plötzlich Totenstille in Klausenburg: Verstergaard kann in der 81. Minute nach einem für den nordeuropäischen Fußball typischen Spielzug alles klar machen. Auch er vergibt die Riesenchance, allerdings ist die Schlussphase eher trist für Rumänien.



    Die Gastgeber müssen das torlose Remis auf einmal mit Mann und Maus verteidigen, als ob der magere Punkt etwas bedeuten würde. Und jetzt kann Jorgensen in der 88. Minute auch diesen Punkt aus Rumänien mitnehmen, der Ball will aber nicht ins Netz. Endlich erlöst der Schiedsrichter das geplagte rumänische Publikum. Rumänien ist Gruppenvierter, punktgleich mit Armenien. Die WM in Russland scheint in weiter Ferne, es folgen nämlich drei schwere Auswärtsspiele, gegen den Tabellenführer Polen und die Mitkonkurrenten Montenegro und Dänemark.