Tag: viorica dancila

  • La scène politique, en ébullition

    La scène politique, en ébullition

    2019 a été une année plutôt atypique à
    Bucarest : la gauche socialiste a tout perdu, alors que la droite libérale
    a tout gagné. Pour commencer, le Parti social-démocrate (PSD), qui a dominé la
    scène politique postcommuniste en Roumanie, a été nettement vaincu par les
    libéraux lors des élections européennes de mai dernier. Le scrutin a vu les
    socialistes récolter seulement la moitié des voix obtenues trois ans auparavant
    aux élections législatives. A l’époque, ce triomphe avait marqué leur retour au
    pouvoir : le PSD avait alors constitué un gouvernement de coalition avec l’Alliance
    des libéraux et des démocrates.


    Mais retournons en 2019. Le lendemain des
    européennes, Liviu Dragnea, le président du PSD, était condamné à trois ans et
    demi de prison ferme pour des faits de corruption. En septembre dernier, les
    libéraux-démocrates quittaient la coalition avec les sociaux-démocrates,
    laissant derrière un gouvernement minoritaire dirigé par Viorica Dăncilă, la
    nouvelle cheffe du PSD. Quelques semaines plus tard, le Parti national libéral
    (PNL) arrive au pouvoir grâce à sa motion de censure qui entraine la chute du cabinet
    Dăncilă. Enfin, candidate des sociaux-démocrates aux élections présidentielles,
    Viorica Dăncilă a été vaincue au deuxième tour par le président sortant, Klaus
    Iohannis, soutenu, lui, par les libéraux. Viorica Dăncilă a d’ailleurs
    enregistré le plus faible score jamais obtenu par un candidat de la gauche dans
    le tour décisif des présidentielles, ce qui a entraîné son limogeage de la tête
    du PSD.


    Désormais, le fer de lance des
    sociaux-démocrates est Marcel Ciolacu, président par intérim du Parti
    social-démocrate et Président de la Chambre des députés depuis l’emprisonnement
    de Liviu Dragnea. Cette année, le PSD prépare sa revanche. Son premier objectif
    est de bloquer le projet de loi qui modifie l’organisation des élections
    locales. Actuellement, en Roumanie, les maires sont élus en un tour de scrutin
    et le cabinet libéral de Ludovic Orban veut engager sa responsabilité pour
    modifier cette loi. Le premier ministre déclare, de concert avec d’autres voix
    de la scène politique et de la société civile, qu’il souhaite que les maires
    soient élus en deux tours de scrutin pour leur conférer un plus de légitimité
    politique. La règle actuelle a d’ailleurs conduit à des situations curieuses. Par
    exemple, à Galaţi (sud-est), le plus grand port sur le Danube de Roumanie, l’actuel maire
    a été voté par seulement 9% des électeurs.


    Pour le moment, le Parti social-démocrate a
    bloqué le projet de loi des libéraux dans la commission parlementaire censée le
    vérifier et envisage de déposer une motion de censure contre le cabinet Orban. Le
    PSD bénéficie du soutien de l’Union démocrate magyare de Roumanie, qui veut
    conserver son emprise sur de nombreuses communes de Transylvanie. Par contre,
    la motion est combattue par l’Union sauvez la Roumanie, par le Parti du
    mouvement populaire ou encore par l’Alliance des libéraux et des démocrates,
    dont les membres plaident également pour deux tours de scrutin aux locales.




    Si la motion est adoptée par le Parlement, le
    PSD proposera la création d’un gouvernement d’union nationale en attendant les
    élections législatives d’automne. Toutefois, de l’avis des commentateurs, le
    renversement du gouvernement Orban ne ferait qu’accélérer l’organisation
    d’élections législatives anticipées, ce qui serait une première en 30 ans. Au
    demeurant, selon les sondages d’opinion, les libéraux les emporteraient haut la
    main. (Trad. Elena Diaconu)

  • 2020, année électorale

    2020, année électorale

    Les élections européennes de mai 2019 ont confirmé le déclin accentué du PSD, encore au pouvoir à cette époque-là, avant de céder la place au PNL. Conséquence de leurs propres erreurs, les sociaux-démocrates ont vu chuter leur pourcentage aux législatives. Celui-ci est passé de 45%, en 2016, à moins de 23% en 2019. Au lendemain de cette défaite électorale, le PSD perdait aussi son leader, Liviu Dragnea, condamné à prison ferme pour corruption et tenu pour principal responsable de la dégringolade de sa formation politique. Viorica Dancila, qui l’a remplacé à la tête du parti, et qui avait été investie première ministre dès janvier 2018, allait entrer dans le livre noir de l’histoire de la gauche post-communiste comme le candidat social-démocrate à avoir recueilli le plus petit nombre de voix lors d’un scrutin présidentiel.


    En novembre dernier, le président sortant, Klaus Iohannis, était reconduit dans ses fonctions, avec près de 66% des votes. Comme les libéraux avaient déjà remporté un autre succès, à savoir la gouvernance, après la destitution par motion de censure du cabinet Dăncilă, la victoire de Iohannis, prévisible d’ailleurs, a officialisé la domination politique du PNL. Pourtant, le PSD continue de détenir une majorité relative au Parlement. C’est ce qui a amené le gouvernement libéral de Ludovic Orban à recourir à la procédure, discutable mais légale, de l’engagement de la responsabilité, y compris sur la loi du budget.


    Les libéraux auront de plus en plus de mal à gouverner en l’absence d’une majorité nette, laquelle ne peut être acquise que par le biais des élections. C’est ce qui devrait se passer en cette année électorale 2020. On parle plus que jamais d’élections anticipées, souhaitables du point de vue du PNL, moins ou pas du désirables pour le PSD.


    En cas de scrutin anticipé, le PNL éviterait l’usure majeure inévitable au bout d’une année de gouvernance, tandis que le PSD aurait le répit de reprendre des forces après les coups encaissés en 2019. D’un point de vue constitutionnel, le mécanisme des élections anticipées est compliqué et difficile. Voilà pourquoi personne ne semble croire vraiment à un tel scénario. C’est aussi le cas du commentateur politique Alexandru Lăzescu: Il est bien difficile de croire que l’on arrivera à cela. Le PNL obtiendrait, certes, un score beaucoup meilleur en ce moment qu’à la fin de l’année, mais c’est compliqué. Bref, à mon avis, il s’agit plutôt d’une discussion censée faire garder l’intérêt à l’égard de ce sujet, mais il ne serait pas raisonnable de croire que cela se passera”.



    Des élections municipales sont également prévues en Roumanie en 2020, plus précisément vers le milieu de l’année. Leur enjeu est tout aussi important. A présent, les maires sont élus en un seul tour de scrutin, ce qui soulève des problèmes sérieux relatifs à la représentativité. Les grands partis, dont principalement le PSD, mais aussi le PNL, sont avantagés par ce système. En échange, les formations politiques de deuxième rang, l’USR en tête, souhaiteraient le modifier pour augmenter leurs chances de réussite. Les libéraux affirment vouloir la même chose, mais certains soupçonnent que le maintien de l’actuelle législation ne les dérangerait pas trop, car il leur permettrait de remporter facilement la victoire dans les grandes villes, notamment de Transylvanie, au centre du pays, qu’ils contrôlent politiquement. Comme à chaque fois, c’est la ville de Bucarest qui représente l‘enjeu le plus important. Solide fief de la droite, par le passé, la capitale roumaine est actuellement dirigée par des maires sociaux-démocrates. (Ştefan Stoica)


  • Jahresrückblick 2019

    Jahresrückblick 2019

    6 Monate rumänische EU-Ratspräsidentschaft



    Rumänien, das 2007 zum ersten Mal in die Gemeinschaftsstrukturen aufgenommen wurde, hat in den ersten sechs Monaten des Jahres 2019 die turnusmäßige Präsidentschaft des Rates der Europäischen Union gesichert. Bukarest schaffte es, 90 Gesetzesakten zu beenden und etwa 2500 Ereignisse zu verwalten. Als unbestreitbarer Erfolg hat der Europäische Gipfel in Sibiu über die Zukunft der Union die strategische Agenda für den Zeitraum 2019-2024 skizziert. Der damaligen Premierministerin zufolge, der Sozialdemokratin Viorica Dăncilă, dominierte das Konzept des Zusammenhalts zwischen Bürgern, Gemeinschaften, Regionen und Mitgliedstaaten die rumänische Präsidentschaft. Diese verfolgte auch, sagte sie, die soziale Dimension zu vertiefen, die Gleichstellung der Geschlechter zu fördern und Antisemitismus, Fremdenfeindlichkeit und Hassreden zu bekämpfen.



    Niederlage der Linken bei den Europawahlen



    Die Stimmen der rumänischen Wähler vom 26. Mai schickten in das Europäische Parlament Abgeordete aus sechs politischen Parteien. PNL, zu dieser Zeit die Hauptmacht der rechten Opposition, erhielt mit 27% die meisten Stimmen. Die PSD, Nummer eins in der Regierungskoalition, und die Allianz USR – PLUS folgten ein paar Prozent. Gewählt wurden je zwei Mitglieder der PRO Romania, des Demokratischen Ungarnverbandes in Rumänien und der Partei der Volksbewegung mit einer Punktzahl von 5 bis 6%. Die anderen sieben Partein, die anden Wahlen teilnahmen, einschließlich ALDE, der damalige Juniorpartner in der Regierung, lagen unter der Wahlschwelle von 5 Prozent. In der Diaspora standen die Rumänen erneut stundenlang in endlosen Warteschlangen und beschuldigten das Außenministerium der schlechten Organisierung. Mit den Europawahlen wurden die Rumänen auch zum Referendum über Justizfragen aufgerufen, das von Präsident Klaus Iohannis einberufen wurde. Über 80% der Befragten, die bei der Volksbefragung ihre Wahl getroffen haben, sagten Ja dem Kampf gegen die Korruption.




    Ende einer Epoche in der Sozialdemokratischen Partei



    Am nächsten Tag, dem 27. Mai, wurde der starke Mann der Koalition, PSD-Chef Liviu Dragnea, inhaftiert, nachdem er vom Obersten Gerichtshof zu 3 Jahren und 6 Monaten Haft wegen Korruption verurteilt worden war. Während seiner Amtszeit als Präsident des Teleorman Kreisrates ordnete er die rechtswidrige Beibehaltung von zwei Mitarbeiterninnen der Abteilung für Sozialhilfe an, sofern diese ausschließlich am Hauptsitz der örtlichen PSD-Organisation arbeiteten. Zuvor war Dragnea beim Referendum 2012 über die Entlassung des ehemaligen Präsidenten Traian Basescu wegen Wahlbetrugs zu zwei Jahren Haft mit Bewährung verurteilt worden. Nach seiner Inhaftierung übernahm Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă die PSD-Führung und der Sozialdemokrat Marcel Ciolacu die der Abgeordnetenkammer.



    Regierungswechsel



    Zum ersten Mal seit drei Jahrzehnten postkommunistischer Demokratie hat Rumänien eine national-liberale Regierung. Am 4. November stimmte das Parlament für das von PNL-Präsident Ludovic Orban angeführte Führungsteam ab. Die Spannung hielt lange an, denn es war nicht bekannt, ob Orban in der Lage sein würde, die notwendigen 233 Stimmen zu erhalten, das bedeutete die Hälfte plus eins von der Gesamtzahl der Senatoren und Abgeordneten. Es gaben schließlich 240 befürwortende Stimmen, im Fall da der parlamentarische Anteil von PNL nur etwa 20 Prozent betrug. Das Orban-Kabinett übernahm die Regierung von dem PSD-Kabinett geleitet von Viorica Dăncilă, das am 10. Oktober durch einen ebenfalls von PNL eingeleiteten und von Parlamentariern aller politischen Farben unterzeichneten Misstrauensantrag beseitigt wurde. Sie hatten das Dancila-Team als die schädlichste Regierung der letzten 30 Jahren bezeichnet und behaupteten, dass sie nach ihrer Entlassung ein verantwortungsbewusstes Regierungsprogramm verabschieden würden, das auf die Entwicklung und Modernisierung des Landes und den tatsächlichen Wohlstand jedes Rumänen abziele.




    Rumäninen für europäische Institutionen



    Das Verkehrsportfolio in der neuen Europäischen Kommission, die am 1. Dezember ihre Befugnisse übernommen hat, wird von der PNL-EVP-Europaabgeordneten Adina Vălean besetzt. Zu ihren Prioritäten gehört ein ökologischer und gerechter Verkehr. Adina Vălean (51), ist seit 2007 Europaabgeordnete, war Vizepräsidentin der Exekutive der Gemeinschaft und leitete die Umwelt- und die Industriekommission. Im April belegte Adina Vălean in einer Studie von VoteWatch Europe den vierten Platz unter den einflussreichsten Abgeordneten der früheren Amtszeit. Sie ist die vierte EU-Kommissarin aus Rumänien nach Leonard Orban für Mehrsprachigkeit, Dacian Cioloş für Landwirtschaft und Corina Creţu für Regionalpolitik. Eine weitere Rumänin Laura Codruţa Kovesi, die frühere Leiterin der DNA, wurde zur Leiterin der künftigen Europäischen Staatsanwaltschaft ernannt, die hauptsächlich zur Bekämpfung von Betrug mit Gemeinschaftsmitteln geschaffen wurde.



    Präsidentschaftswahlen in Rumänien



    Der amtierende Staatspräsident Klaus Iohannis, der von der PNL unterstützt wurde, gewann das Finale der Präsidentschaftswahlen am 24. November. In der zweiten Runde erhielt er mehr als 66% der Stimmen, doppelt so viele im Vergleich zu seiner Gegegenkandidatin, der ehemaligen Premierministerin Viorica Dancila. Zwei Tage nach der Niederlage, der schwersten eines sozialdemokratischen Präsidenten, trat sie vom der Führung der PSD zurück. Bei der Einweihung der zweiten Amtszeit von fünf Jahren versprach Präsident Iohannis, dass er ein entschiedener Befürworter der Achtung der Grundrechte und -freiheiten der Bürger, der in der Verfassung verankerten höchsten Werte im Geiste der demokratischen Traditionen des rumänischen Volkes und der Ideale der kommunistischen Dezemberrevolution bleiben werde.

  • Retrospetiva săptămânii 01.12. – 07.12.2019

    Retrospetiva săptămânii 01.12. – 07.12.2019

    CCR a validat rezultatul alegerilor prezidenţiale de duminică


    Curtea Constituţională a
    Romaniei a validat, joi, rezultatul alegerilor prezidenţiale de duminică, în
    urma cărora presedintele
    in exercitiu, Klaus Iohannis, sustinut de PNL, la guvernare, a câştigat un al doilea mandat
    în fruntea statului. Klaus Iohannis a afirmat că votul pe care i l-au acordat
    românii reprezintă pentru el o mare responsabilitate. În acelaşi timp, seful
    statului a subliniat că primul său mandat a fost unul plin de provocări şi că,
    timp de cinci ani, a rămas conectat permanent la problemele reale ale
    societăţii, opunându-se cu fermitate tendinţelor regresive pe care le-a
    considerat un real pericol pentru democraţie. Preşedintele României a dat
    asigurări că, şi în al doilea mandat, va continua să fie un apărător ferm al
    respectării drepturilor şi libertăţilor fundamentale ale cetăţenilor. Klaus
    Iohannis Track: În virtutea rolului constituţional al
    preşedintelui României, voi acţiona pentru o mai bună funcţionare a
    autorităţilor şi instituţiilor publice, pentru ca acestea să fie cu adevărat în
    sluja românilor. Voi veghea, în continuare, la respectarea Constituţiei şi voi
    susţine, şi în viitor, cu toată hotărârea, valorile statului de drept şi
    parcursul european al României. Datele centralizate de Biroul Electoral Central arată că şeful stat ului, Klaus Iohannis, a
    obţinut 66,09% din voturi, dublu faţă de
    contracandidata sa, fostul premier social-democrat Viorica Dăncilă, care a obţinut
    33,91%. Numărul alegătorilor care s-au prezentat la urne este de 9.953.659,
    ceea ce reprezintă 54,46% din numărul total al alegătorilor înscrişi în listele
    electorale permanente. În străinătate, unde la turul al doilea al alegerilor
    prezidenţiale au votat 944.077 de alegători, preşedintele Iohannis a obţinut
    aproape 94% din voturi.



    Fostul premier al României, Viorica Dăncilă, a demisionat de la şefia PSD


    După ce a pierdut categoric al doilea tur al alegerilor
    prezidenţiale, la solicitarea colegilor din PSD fostul premier român Viorica
    Dăncilă a demisionat, marţi noapte, din funcţia de preşedinte al partidului. Ea
    a afirmat că demisia reprezintă o formă de asumare a responsabilităţii pentru
    rezultatul alegerilor Track: Am înţeles opinia colegilor mei, nu este un
    moment de slăbiciune, este un moment de demnitate şi eu consider că a trebuit
    să-mi dau demisia din funcţia de preşedinte al Partidului Social Democrat. Este
    un gest pe care l-am făcut pentru partid. Conducerea interimară a PSD este
    asigurată de presedintele Camerei Deputatilor, Marcel Ciolacu. Un congres al
    formaţiunii ar urma să aibă loc la începutul anului viitor.



    CSAT a decis ca România să-şi sporească participarea la misiuni în
    afara ţării


    Consiliul Suprem de Apărare a
    Ţării a decis, în această săptămână, ca România să-şi sporească, în 2020,
    participarea la misiuni în afara ţării. Numărul angajaţilor din Ministerul
    Apărării va creşte cu peste 200 de oameni, depăşind 2.100 de militari şi
    civili, iar de la Ministerul de Interne a fost aprobat un total de peste 790 de
    militari şi poliţişti. Membrii CSAT au adoptat şi poziţia României la summit-ul
    NATO de săptămâna viitoare care va avea loc la Londra, în cadrul căruia şeful
    statului va insista asupra importanţei regiunii Mării Negre pe Flancul estic şi
    îi va asigura pe aliaţi de continuarea alocării de către România şi anul viitor
    a două procente din PIB pentru apărare.



    Guvernul de la Bucureşti
    a aprobat a doua rectificare bugetară din acest an


    A doua rectificare bugetară din
    acest an, aprobată, joi, de guvern, majorează deficitul bugetar la 4,4% din
    Produsul Intern Brut, faţă de 4,3, cât era prevăzut în documentul iniţial supus
    dezbaterii publice. Ministrul de Finanţe, Florin Cîţu, a explicat că, în
    ultimile două zile, au fost decoperite cheltuieli pentru care guvernul
    precedent nu prevăzuse fonduri. De asemenea, el a anunţat că a fost
    suplimentată plata până la finele anului a drepturilor de asistenţă socială.
    Este vorba de pensii, de alocaţii de stat pentru copii, indemnizaţii pentru
    persoanele cu handicap şi alte asemenea plăţi. Florin Cîţu a mai spus că au
    fost alocaţi bani în plus pentru plata majorată a salariilor din unităţile
    sanitare publice şi pentru medicamente.



    Procurorii cer pedepse grele cu închisoarea în dosarul Colectiv


    Procurorii cer pedepse grele cu
    închisoarea într-un dosar deschis în urma incendiului de acum patru ani,
    din clubul Colectiv din Bucureşti, în urma căruia 64 de persoane au murit, o
    alta s-a sinucis în urma traumei, iar aproape 200 au fost rănite. Patronii clubului şi patroana
    firmei de artificii riscă 13 – 14 ani de detenţie. Acuzaţiile ce li se aduc
    sunt ucidere din culpă, vătămare corporală din culpă şi, într-un caz,
    distrugere de probe. La începutul săptămânii, procurorul DNA a solicitat 14 ani
    de închisoare pentru fostul edil Cristian Popescu Piedone, iar familiile
    victimelor au cerut de la el şi de la primărie despăgubiri de sute de milioane
    de euro. Judecătorul de la Tribunalul Bucureşti va finaliza, luni, dezbaterile în acest dosar,
    care îi vor viza pe pompierii trimişi în judecată, şi va stabili data la care
    va fi luată o decizie.



    Mirel Rădoi este noul antrenor al naţionalei de fotbal a României


    Comitetul
    Executiv al Federaţiei Române de Fotbal a aprobat, marţi, cu unanimitate de
    voturi, numirea antrenorului Mirel Rădoi în funcţia de selecţioner al echipei
    naţionale de fotbal a României. Mirel Rădoi îl înlocuieşte pe Cosmin Contra,
    care a demisionat după ratarea calificării directe la Euro 2020. Fost
    internaţional, Mirel Rădoi a ocupat funcţia de selecţioner al naţionalei de
    fotbal Under-21, pe care a reuşit să o califice la EURO 2019, unde a ajuns până
    în semifinalele competiţiei. Performanţa a însemnat calificarea la Jocurile
    Olimpice după o pauză de 56 de ani. Pe de altă parte, naţionala de fotbal a României nu a reuşit sa treacă de preliminarii, dar păstrează şanse de
    calificare prin intermediul barajului din martie al Ligii Naţiunilor, în urma
    căruia patru echipe vor ajunge, totuşi, la Euro 2020. România va întâlni, pe 26
    martie, Islanda şi, dacă, va învinge, va juca, pe 31 martie, cu învingătoarea dintre Bulgariași Ungaria.

  • Retrospectiva săptămânii 24.11 – 30.11.2019

    Retrospectiva săptămânii 24.11 – 30.11.2019


    CCR a validat rezultatul alegerilor prezidenţiale de duminică


    Curtea Constituţională a Romaniei a validat, joi, rezultatul alegerilor prezidenţiale de duminică, în urma cărora presedintele in exercitiu, Klaus Iohannis, sustinut de PNL, la guvernare, a câştigat un al doilea mandat în fruntea statului. Klaus Iohannis a afirmat că votul pe care i l-au acordat românii reprezintă pentru el o mare responsabilitate. În acelaşi timp, seful statului a subliniat că primul său mandat a fost unul plin de provocări şi că, timp de cinci ani, a rămas conectat permanent la problemele reale ale societăţii, opunându-se cu fermitate tendinţelor regresive pe care le-a considerat un real pericol pentru democraţie. Preşedintele României a dat asigurări că, şi în al doilea mandat, va continua să fie un apărător ferm al respectării drepturilor şi libertăţilor fundamentale ale cetăţenilor. Klaus Iohannis Track: “În virtutea rolului constituţional al preşedintelui României, voi acţiona pentru o mai bună funcţionare a autorităţilor şi instituţiilor publice, pentru ca acestea să fie cu adevărat în sluja românilor. Voi veghea, în continuare, la respectarea Constituţiei şi voi susţine, şi în viitor, cu toată hotărârea, valorile statului de drept şi parcursul european al României.” Datele centralizate de Biroul Electoral Central arată că şeful statului, Klaus Iohannis, a obţinut 66,09% din voturi, dublu faţă de contracandidata sa, fostul premier social-democrat Viorica Dăncilă, care a obţinut 33,91%. Numărul alegătorilor care s-au prezentat la urne este de 9.953.659, ceea ce reprezintă 54,46% din numărul total al alegătorilor înscrişi în listele electorale permanente. În străinătate, unde la turul al doilea al alegerilor prezidenţiale au votat 944.077 de alegători, preşedintele Iohannis a obţinut aproape 94% din voturi.



    Fostul premier al României, Viorica Dăncilă, a demisionat de la şefia PSD


    După ce a pierdut categoric al doilea tur al alegerilor prezidenţiale, la solicitarea colegilor din PSD fostul premier român Viorica Dăncilă a demisionat, marţi noapte, din funcţia de preşedinte al partidului. Ea a afirmat că demisia reprezintă o formă de asumare a responsabilităţii pentru rezultatul alegerilor “Am înţeles opinia colegilor mei, nu este un moment de slăbiciune, este un moment de demnitate şi eu consider că a trebuit să-mi dau demisia din funcţia de preşedinte al Partidului Social Democrat. Este un gest pe care l-am făcut pentru partid.” Conducerea interimară a PSD este asigurată de presedintele Camerei Deputatilor, Marcel Ciolacu. Un congres al formaţiunii ar urma să aibă loc la începutul anului viitor.



    CSAT a decis ca România să-şi sporească participarea la misiuni în afara ţării


    Consiliul Suprem de Apărare a Ţării a decis, în această săptămână, ca România să-şi sporească, în 2020, participarea la misiuni în afara ţării. Numărul angajaţilor din Ministerul Apărării va creşte cu peste 200 de oameni, depăşind 2.100 de militari şi civili, iar de la Ministerul de Interne a fost aprobat un total de peste 790 de militari şi poliţişti. Membrii CSAT au adoptat şi poziţia României la summit-ul NATO de săptămâna viitoare care va avea loc la Londra, în cadrul căruia şeful statului va insista asupra importanţei regiunii Mării Negre pe Flancul estic şi îi va asigura pe aliaţi de continuarea alocării de către România şi anul viitor a două procente din PIB pentru apărare.



    Guvernul de la Bucureşti a aprobat a doua rectificare bugetară din acest an


    A doua rectificare bugetară din acest an, aprobată, joi, de guvern, majorează deficitul bugetar la 4,4% din Produsul Intern Brut, faţă de 4,3, cât era prevăzut în documentul iniţial supus dezbaterii publice. Ministrul de Finanţe, Florin Cîţu, a explicat că, în ultimile două zile, au fost decoperite cheltuieli pentru care guvernul precedent nu prevăzuse fonduri. De asemenea, el a anunţat că a fost suplimentată plata până la finele anului a drepturilor de asistenţă socială. Este vorba de pensii, de alocaţii de stat pentru copii, indemnizaţii pentru persoanele cu handicap şi alte asemenea plăţi. Florin Cîţu a mai spus că au fost alocaţi bani în plus pentru plata majorată a salariilor din unităţile sanitare publice şi pentru medicamente.



    Procurorii cer pedepse grele cu închisoarea în dosarul Colectiv


    Procurorii cer pedepse grele cu închisoarea într-un dosar deschis în urma incendiului de acum patru ani, din clubul Colectiv din Bucureşti, în urma căruia 64 de persoane au murit, o alta s-a sinucis în urma traumei, iar aproape 200 au fost rănite. Patronii clubului şi patroana firmei de artificii riscă 13 – 14 ani de detenţie. Acuzaţiile ce li se aduc sunt ucidere din culpă, vătămare corporală din culpă şi, într-un caz, distrugere de probe. La începutul săptămânii, procurorul DNA a solicitat 14 ani de închisoare pentru fostul edil Cristian Popescu Piedone, iar familiile victimelor au cerut de la el şi de la primărie despăgubiri de sute de milioane de euro. Judecătorul de la Tribunalul Bucureşti va finaliza, luni, dezbaterile în acest dosar, care îi vor viza pe pompierii trimişi în judecată, şi va stabili data la care va fi luată o decizie.



    Mirel Rădoi este noul antrenor al naţionalei de fotbal a României


    Comitetul Executiv al Federaţiei Române de Fotbal a aprobat, marţi, cu unanimitate de voturi, numirea antrenorului Mirel Rădoi în funcţia de selecţioner al echipei naţionale de fotbal a României. Mirel Rădoi îl înlocuieşte pe Cosmin Contra, care a demisionat după ratarea calificării directe la Euro 2020. Fost internaţional, Mirel Rădoi a ocupat funcţia de selecţioner al naţionalei de fotbal Under-21, pe care a reuşit să o califice la EURO 2019, unde a ajuns până în semifinalele competiţiei. Performanţa a însemnat calificarea la Jocurile Olimpice după o pauză de 56 de ani. Pe de altă parte, naţionala de fotbal a României nu a reuşit sa treacă de preliminarii, dar păstrează şanse de calificare prin intermediul barajului din martie al Ligii Naţiunilor, în urma căruia patru echipe vor ajunge, totuşi, la Euro 2020. România va întâlni, pe 26 martie, Islanda şi, dacă, va învinge, va juca, pe 31 martie, cu învingătoarea dintre Bulgaria și Ungaria.


  • 27.11.2019 (mise à jour)

    27.11.2019 (mise à jour)

    Commission européenne — La nouvelle Commission européenne, dirigée par l’Allemande Ursula von der Leyen, a été votée, mercredi, par le Parlement européen réuni en session plénière à Strasbourg. Le futur exécutif communautaire, dont le mandat commence le 1er décembre et s’achèvera le 31 octobre 2024, a été investi avec 461 voix pour, 157 contre et 89 abstentions. La commissaire européenne aux Transports, c’est la Roumaine Adina Vălean. Ursula von der Leyen a précisé que parmi les priorités de la nouvelle Commission, on compte l’assurance du respect de l’Etat de droit dans l’UE, la réforme du système d’asile, le renfoncement des frontières extérieures et la lutte contre les changements climatiques. La nouvelle Commission doit être approuvée par le Conseil européen, à la majorité qualifiée. Elle aurait dû commencer à travailler le 1er novembre dernier, mais la date a été ajournée en raison du rejet de trois commissaires européens désignés (de la part de la Hongrie, de la Roumanie et de la France). Le président en exercice, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker et les commissaires sortants maintiennent leurs fonctions jusqu’à la prise de fonctions par la nouvelle Commission.



    Visite — Le président roumain Klaus Iohannis a discuté ce mercredi, à Bucarest, avec le futur président du Conseil européen, Charles Michel, du Marché unique, de la sécurité européenne, du besoin d’une politique étrangère puissante, des changements climatiques, des politiques dans le domaine du réchauffement climatique et du budget pluriannuel de l’Union pour la période 2021-2027. Les deux responsables ont également abordé le Brexit. Le président Iohannis a déclaré que les droits des citoyens roumains seraient protégés tant en cas d’un Brexit avec accord qu’en l’absence d’un tel document. A son tour, Charles Michel a dit que la protection des droits des citoyens européens après le Brexit est une priorité. La visite de l’ancien premier ministre belge fait partie d’une tournée préparatoire de la prise de la direction du Conseil européen, le 1er décembre, par laquelle il souhaite mieux connaître les positions des leaders européens concernant les principaux sujets à l’agenda de l’UE.



    Défense — Le Conseil suprême de défense de la Roumanie (CSAT) s’est réuni ce mercredi à Bucarest, sous la direction du chef de l’Etat, Klaus Iohannis. Le président a annoncé qu’il prendrait part la semaine prochaine à la réunion de l’OTAN de Londres, où il va réitérer l’importance de la région de la mer Noire pour l’Alliance et la décision de la Roumanie d’allouer 2% du PIB à la défense. Le président a également annoncé que le nombre de militaires qui prendront part à des missions hors Roumanie en 2020 avait été approuvé par le Conseil. Selon le chef de l’Etat, il s’agit de plus de 2100 militaires et civils, soit une hausse de 200 hommes, dont plus de 800 continueront de participer à la mission en Afghanistan. Le Conseil a également discuté de l’achat pour l’armée roumaine d’encore 5 avions F-16. Le Conseil a donné un avis favorable à la nomination du général Daniel Petrescu en tant que chef de l’Etat major de la Défense. Le fauteuil du chef d’Etat major est resté vacant après le passage en réserve du général Nicolae Ciuca en vue de sa nomination à la tête du ministère de la Défense. C’est pour la première fois que le CSAT se réunit en présence du nouveau cabinet du libéral Ludovic Orban.



    Diplomatie — Le chef de la diplomatie de Bucarest, Bogdan Aurescu, a assuré mercredi les représentants de la direction du Fonds d’investissements de l’Initiative des Trois mers (FI3M) que la Roumanie respecte ses engagements par rapport aux objectifs de l’Initiative. Bogdan Aurescu a ajouté que la Roumanie continuerait de coopérer étroitement avec les autres Etats participants et avec d’autres partenaires, afin de mettre en valeur le potentiel de l’Initiative des Trois mers de stimuler la croissance dans la région. Le ministre roumain des Affaires étrangères a mentionné l’importance que le Fonds, qui fonctionnera sur des bases commerciales, accorde la priorité aux projets stratégiques d’interconnexion sur l’axe Nord-Sud de la région des Trois mers, dans les trois domaines d’intérêt — transport, énergie et numérique.



    PSD – L’ex premier ministre roumain, la sociale-démocrate Viorica Dancila, a démissionné de la tête du PSD, suite à une réunion tendue du Comité exécutif du parti. Cette séance a succédé à la défaite que Viorica Dancila a subie au deuxième tour des présidentielles de dimanche face à son contre-candidat, Klaus Iohannis. A présent, c’est le président de la Chambre des députés, Marcel Ciolacu, qui assure la direction par intérim du PSD. Un congrès du parti est prévu en début de l’année prochaine.



    Justice — Le Parquet a signalé l’ancienne cheffe de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie (DIICOT), Alina Bica. Elle a été condamnée mercredi par la Haute Cour de cassation et de justice à quatre années de prison ferme, dans une affaire où elle était accusée par le Parquet national anticorruption d’avoir favorisé l’homme d’affaires Ovidiu Tender. La décision est définitive. La formation de jugement de cinq juges a rejeté l’appel d’Alina Bica, qui a été renvoyé en jugement suite à la décision de la Cour constitutionnelle relative à la composition illégale des formations de jugement de cinq magistrats. Pratiquement, le jugement rendu en premier ressort, contesté par l’ancienne cheffe de la DIICOT, a été maintenu. Alina Bica est depuis deux ans au Costa Rica.



    Migrants — 48 citoyens irakiens, iraniens, syriens, afghans et indiens ont été dépistés par les policiers aux frontières pendant qu’ils essayaient de franchir clandestinement la frontière, dans le sens de sortie du pays par la douane de Nădlac (ouest), cachés dans la remorque d’un camion. Selon la Police aux frontières, six d’entre eux sont mineurs, trois sont des femmes et il y a 39 hommes, tous des demandeurs d’asile en Roumanie. Les policiers aux frontières mènent l’enquête pour trafic de migrants contre le chauffeur du poids lourd et de tentative de franchir illégalement la frontière d’Etat contre les 48 ressortissants étrangers. Les mesures légales qui s’imposent seront prises.



    Colectiv — Le Parquet général a requis mercredi, devant le tribunal de Bucarest, des peines de 12 ans et dix mois de prison contre les trois patrons du club Colectiv, accusés dans le dossier de l’incendie par négligence qui a eu lieu à Bucarest en 2015, et qui s’est soldé par la mort de 64 personnes. Dans le même dossier, le parquet a requis 14 ans et 6 mois de prison contre la patronne de la société d’artifices, Daniela Nita, et 12 ans et 10 mois de détention contre les deux artificiers qui ont agi à l’intérieur du club. Pour rappel, les artifices ont constitué l’élément déclencheur de la tragédie. Lundi toujours, les familles des victimes ont demandé des dommages et intérêts de plusieurs millions d’euros de l’ancien maire du 4e département de Bucarest, Cristian Popescu Piedone, alors que les procureurs ont requis 15 ans de prison contre l’ancien maire. M Piedone et trois autres fonctionnaires publics se rendent coupables d’avoir délivré des permis non conformes permettant le fonctionnement de la boîte de nuit. La tragédie du club Colectiv s’est soldée par la mort de 64 personnes et de 200 blessés.


    Les plaidoiries des avocats, des patrons du club Colectiv, de la cheffe de la société de pyrotechnie et des secouristes arrivés sur place se poursuivent aujourd’hui au Tribunal de Bucarest. Lundi, les familles des victimes ont réclamé des dédommagements matériels et moraux de dizaines de milliers d’euros au maire du 4e secteur de Bucarest, Cristian Popescu Piedone, pour lequel les procureurs anti-corruption réclament une peine de 15 ans de prison ferme. L’ancien maire et trois autres fonctionnaires sont accusés d’avoir délivré illégalement des avis de fonctionnement pour le club Colectiv, ravagé, en 2015, par un incendie qui a fait 64 morts et 200 blessés. Le procès de la tragédie a démarré en avril 2016. Après deux années de jugements reportés pour des questions de procédure, le juge auquel le dossier avait été attribué est parti à la retraite. Il a fallu une année pour que le nouveau juge auditionne des dizaines de témoins et de victimes chaque semaine. Le nouveau juge a accéléré les audiences, qui sont maintenant prévues chaque semaine.



    Séisme – Ce mercredi – journée de deuil en Albanie au lendemain dun puissant séisme de 6,4 sur l’échelle ouverte de Richter qui a fait plus de 30 morts et des centaines de blessés. Il s’est produit à proximité de la capitale, Tirana, et c’est le plus violent des dernières décennies. Entre temps, les équipes internationales de secouristes redoublaient defforts pour trouver des survivants dans les décombres. Des centaines de soldats et 2000 policiers sont mobilisés sur place pour les opérations de sauvetage. Plusieurs pays ont offert leur soutien. Les équipes de secouristes d’Italie, Grèce, France et Roumanie se sont rendus sur place. Le ministère roumain de la Défense a envoyé deux avions utilitaires avec, à bord, une cinquantaine de secouristes. Le chef de l’Etat, tout comme le ministère des Affaires étrangères, ont transmis des messages de condoléances à l’Albanie suite à cette tragédie.





  • Nachrichten 27.11.2019

    Nachrichten 27.11.2019

    Die neue Europäische Kommission unter der Leitung von Ursula von der Leyen hat am Mittwoch im Europäischen Parlament grünes Licht erhalten. Die Europäische Kommission, die am 1. Dezember ihre Arbeit aufnimmt und am 31. Oktober 2024 abschließt, wurde mit 461 Ja-Stimmen, 157 Nein-Stimmen und 89 Enthaltungen gewählt. Die Rumänin Adina Valean ist neue Verkehrskommissarin. Von Ende September bis Mitte dieses Monats haben die Parlamentsausschüsse Anhörungen mit jedem der Kandidaten durchgeführt, um ihre Eignung für das Amt zu prüfen. Ursula von der Leyen erklärte die Einhaltung der rechtstaatlichen Prinzipien, die Reform des Asylsystems, die Stärkung der Außengrenzen und die Bekämpfung des Klimawandels zu ihren Prioritäten. Die neue Europäische Kommission hätte am 1. November ihr Amt antreten sollen, aber drei Vorschläge für Kommissare wurden abgelehnt, nämlich die von Rumänien, Ungarn und Frankreich.



    Der rumänische Staatspräsident Klaus Iohannis hat am Mittwoch in Bukarest mit dem künftigen Präsidenten des Europäischen Rates Charles Michel über den Binnenmarkt, die Sicherheit der EU, die Notwendigkeit einer starken Außenpolitik, den Klimawandel, die Politik der globalen Erwärmung und den mehrjährigen Haushalt der Union für den Zeitraum 2021-2027 diskutiert. Angegangen wurde auch der Brexit. Präsident Klaus Iohannis sagte, dass die Rechte der rumänischen Bürger sowohl im Falle eines Brexit-Abkommens als auch in dessen Abwesenheit geschützt werden. Charles Michel erklärte seinerseits, der Schutz der Rechte der europäischen Bürger nach dem Brexit stelle eine Priorität dar. Der Besuch des ehemaligen belgischen Premierministers ist Teil einer Reise zur Vorbereitung auf die Übernahme der Führung des Europäischen Rates am 1. Dezember, mit der er mehr über die Positionen europäischer Staats- und Regierungschefs zu den Hauptthemen der EU-Agenda erfahren will.



    Der rumänische Außenminister Bogdan Aurescu hat am Mittwoch den Vertretern der Drei-Meere-Initiative (FI3M) versichert, dass Rumänien seine Engegements hinsichtlich der Ziele der Initiative halte. Der rumänische Außenminister fügte hinzu, Rumänien werde weiterhin mit den Teilnehmerstaaten und Partnern zusammenarbeiten, um das Wirtschaftswachstum in der Region anzuspornen. Der rumänische Außenminister wies auf die Bedeutung der Drei-Meere Initiative hin, die auf kommerzielle Basis tätig fußt, strategische Verbundprojekte auf der Nord-Süd Axe der Region in den Bereichen Verkehr, Energie und digitale Prioritäten durchzuführen.



    Der Oberste Verteidigungsrat Rumäniens unter dem Vorsitz von Präsident Klaus Iohannis ist am Mittwoch zusammengekommen, um über die Ernennung eines neuen Stabschefs der rumänischen Streitkräfte und die Ziele Rumäniens für den NATO-Gipfel, der im Dezember in London stattfinden soll, zu beraten. Außerdem wurde der Plan 2020 für Auslandseinsätze diskutiert. Dies war die erste Sitzung des Rates, an der Mitglieder des neuen Kabinetts, unter der Leitung des Liberalen Ludovic Orban teilnahmen. Das Amt des Stabschefs blieb unbesetzt, nachdem General Nicolae Ciuca zum Verteidigungsminister in der neuen Regierung wechselte. Der Rat hat auch die Vorschläge für Haushaltsanpassungen für die Verteidungsresorts geprüft.



    Die ehemalige rumänische Ministerpräsidentin Viorica Dancila ist Dienstag Abend von Vorsitz der Sozialdemokratischen Partei zurückgetreten. Sie hat erklärt, dass sie am Ende einer angespannten Sitzung des nationalen Exekutivausschusses der Partei zurücktreten musste. Diese wurde organisiert nachdem Dancila am Sonntag die Stichwahle für das Amt des Präsidenten verloren hatte. Die Interimsführung der Sozialdemokratischen Partei wird nun vom Vorsitzenden der Abgeordnetenkammer, Marcel Ciolacu, wahrgenommen. Ein Parteitag wird voraussichtlich Anfang nächsten Jahres stattfinden.



    48 Menschen aus Irak, Iran, Syrien, Afghanistan und Indien wurden, versteckt in einem LKW, von der rumänischen Grenzpolizei gefunden, als sie versuchten, die rumänische Grenze illegal über Nadlac im Westen des Landes zu passieren. Nach Angaben der Grenzpolizei sind sechs von ihnen minderjährig, drei Frauen und 39 Männer, alles Asylbewerber in Rumänien. Die Polizei führt nun Ermittlungen durch, um festzustellen, ob es sich um Migrantenschmuggel handelt.

  • 27.11.2019

    27.11.2019

    PSD- L’ex premier ministre roumain, la sociale – démocrate, Viorica Dancila, a démissionné la nuit dernière de la tête du PSD, suite à une réunion tendue du Comité exécutif du parti. Cette séance a succédé à la défaite que Viorica Dancila a subie au deuxième tour des présidentielles de dimanche face à son contre- candidat, Klaus Iohannis. A présent, c’est le président de la Chambre des députés, M. Marcel Ciolacu qui assure la direction par intérim du PSD. Un congrès du parti est prévu en début de l’année prochaine.

    Rencontre – Le président roumain, Klaus Iohannis, rencontre, ce mercredi, à Bucarest, le futur président du Conseil européen, Charles Michel, apprend-on par l’Administration présidentielle. Les deux responsables discuteront de l’Agenda stratégique de l’Union européenne pour la période 2019-2024, des négociations sur le budget de l’UE pour la période 2021-2027, du Brexit, de la migration, des relations extérieures de l’Union et de la lutte contre les effets des changements climatiques. La visite de l’ancien premier ministre belge fait partie d’une tournée préparatoire à son installation à la tête du Conseil européen, le 1er décembre, par laquelle il souhaite mieux connaître les positions des leaders européens vis-à-vis des principaux sujets à l’agenda de l’UE.

    Défense – Le Conseil suprême de défense du pays (CSAT) se réunit ce mercredi à Bucarest, sous la direction du chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis. A l’agenda des pourparlers : l’avis favorable sur la désignation d’un nouveau chef à la tête du Conseil et les objectifs que la Roumanie se donnera à l’occasion de la réunion de l’OTAN, prévue en décembre, à Londres. Par ailleurs, les discussions porteront aussi les plans de déploiement des Forces armées roumaines censées participer aux missions otaniennes de l’année prochaine, organisées en dehors des frontières nationales. C’est pour la première fois que le CSAT se réunit en présence du nouveau cabinet du libéral, Ludovic Orban. Le fauteuil du chef d”Etat major est resté vacant après le passage en réserve du général Nicolae Ciuca en vue de sa nomination ultérieure à la tête du Ministère de la Défense. Le Conseil suprême de défense du pays débattra aussi des propositions budgétaires à l’intention des institutions chargées de la défense nationale.

    Parlement européen – Réuni en séance plénière, à Strasbourg, le Parlement européen vote ce mercredi, à la mi-journée, la composition de la future Commission européenne dirigée par l’Allemande, Ursula von der Leyen. Le portefeuille des Transports européens a été confié à la Roumanie, Adina Valean. À moins d’une surprise, la présidente élue et son équipe devraient passer sans dommage cette étape de confirmation, la dernière de ce long processus qui a débuté en mai dernier, au soir des élections européennes, il y a six mois donc. La semaine dernière, les leaders des groupes politiques et le président du PE, David Sassoli, ont décidé que l’Assemblée législative européenne était prête à voter. La nouvelle Commission aurait dû être officiellement dans ses fonctions au 1 novembre, mais la date a été reportée d’un mois, après le rejet des candidatures des commissaires roumains, hongrois et français. En cas de vote favorable, le nouvel Exécutif commencera son activité le dimanche, 1 décembre.

    Colectiv – Les plaidoiries des avocats, des patrons du club Colectiv, de la cheffe de la société de pyrotechnie et des secouristes arrivés sur place se poursuivent aujourd’hui au Tribunal de Bucarest. Lundi, les familles des victimes ont réclamé des dédommagements matériels et moraux de dizaines de milliers d’euros au maire du 4e secteur de Bucarest, Cristian Popescu Piedone, pour lequel les procureurs anti-corruption réclament une peine de 15 ans de prison ferme. L’ancien maire et trois autres fonctionnaires sont accusés d’avoir délivré illégalement des avis de fonctionnement pour le club Colectiv, ravagé, en 2015, par un incendie qui a fait 64 morts et 200 blessés. Le procès de la tragédie a démarré en avril 2016. Après deux années de jugements reportés pour des questions de procédure, le juge auquel le dossier avait été attribué est parti à la retraite. Il a fallu une année pour que le nouveau juge auditionne des dizaines de témoins et de victimes chaque semaine.

    Tirana – L’Albanie observe ce mercredi une journée de deuil national au lendemain d’un puissant séisme qui a fait plus de 20 morts, alors que les secouristes redoublaient d’efforts pour trouver des survivants dans les décombres. Sous l’effet du tremblement de terre de magnitude 6,4 survenu mardi avant l’aube, le plus puissant séisme à frapper ce pays des Balkans depuis plusieurs décennies, des bâtiments se sont effondrés, en piégeant les victimes. Des centaines de soldats et 2000 policiers sont mobilisés sur place pour les opérations de sauvetage. Plusieurs pays ont offert leur soutien. Les équipes de secouristes d’Italie, Grèce, France et Roumanie se sont rendus sur place. Le Ministère roumain de la Défense a envoyé deux avions utilitaires avec, à bord, une cinquantaine de secouristes. Le chef de l’Etat, tout comme le Ministère des Affaires Etrangères ont transmis leurs messages de condoléances.

    Migrants – La police roumaine de frontière a arrêté 48 citoyens originaires d’Irak, de Syrie et d’Afghanistan qui essayaient de franchir illégalement la frontière roumaine, cachés dans la remorque d’un véhicule routier. Selon les douaniers du poste frontière de Nadlac, il s’agit de 39 hommes, de six mineurs et de trois femmes qui voulaient demander asile en Roumanie. A l’heure où l’on parle, une enquête est en cours menée contre le chauffeur du poids lourd accusé de trafic illicite de migrants et tentative de passage frauduleux de la frontière.

    Météo – En Roumanie, les températures approchent la normale saisonnière. Le ciel est variable et le vent souffle plus fort sur l’ouest et sur les sommets des montagnes. Les températures maximales vont de 4 à 16 degrés. 6 degrés, à midi, à Bucarest.

  • PSD după alegerile prezidenţiale

    PSD după alegerile prezidenţiale

    2019 e un an negru pentru partidul care domină, de trei decenii, scena
    politică românească post-comunistă. În mai, PSD a pierdut clar, în beneficiul
    PNL, alegerile europarlamentare, la care a colectat doar jumătate din
    sufragiile pe care le obţinuse acum trei ani, când s-a întors la putere. A doua
    zi, Liviu Dragnea, omul forte al partidului şi al coaliţiei guvernamentale
    formate de social-democraţi cu ALDE, era condamnat şi întemniţat pentru fapte
    de corupţie. În septembrie, partenerii juniori liberal-democraţi au trecut în
    opoziţie, iar Guvernul condus de noul lider PSD, Viorica Dăncilă, a devenit
    minoritar.


    În octombrie, doamna Dăncilă şi echipa ei au pierdut şi puterea
    executivă, după ce Parlamentul a adoptat moţiunea de cenzură introdusă de fosta
    opoziţie liberală, acum instalată la Guvern. În sfârşit, candidată la alegerile
    prezidenţiale, şefa stângii a fost surclasată, duminică, în al doilea tur de
    scrutin, de preşedintele în exerciţiu, Klaus Iohannis, susţinut de liberali.


    Potrivit
    unei tradiţii imuabile şi implacabile, căreia i-au căzut anterior victime toţi
    prezidenţiabilii lor perdanţi – Adrian Năstase, Mircea Geană, Victor Ponta – social-democraţii
    şi-au detronat liderul cu cel mai
    slab scor înregistrat în turul decisiv de un candidat al stângii. Execuţia a
    avut loc la nici 48 de ore după scrutin. Marţi noaptea, rămasă fără
    susţinerea colegilor, Viorica Dăncilă a anunţat că a trebuit să-şi dea
    demisia, la capătul unei şedinţe tensionate a Comitetului Executiv Naţional. Anterior,
    demisionaseră toţi vicepreşedinţii ei, rezultatul fiind dizolvarea Biroului
    Permanent Naţional al partidului. Conducerea interimară a fost preluată de
    preşedintele Camerei Deputaţilor, Marcel Ciolacu. El va fi secondat de fostul
    vicepremier Paul Stănescu, în funcţia de secretar general, de opt
    vicepreşedinţi regionali şi de alţi cinci lideri ai filialelor PSD, cu scoruri
    bune la alegerile prezidenţiale. Fosta şefă va prelua conducerea organizaţiei
    de femei social-democrate.


    Preşedintele interimar al PSD, Marcel Ciolacu: Am ajuns la concluzia că trebuie o resetare a partidului şi nu am
    făcut un măcel sau, cum se aştepta ca până acuma, să pice capete. E o premieră
    pentru Partidul Social Democrat, fostul lider se regăseşte în echipă
    partidului, ca preşedinte la doamne.


    La rându-i, Viorica Dăncilă spune
    că demisia reprezintă o formă de asumare a responsabilităţii pentru rezultatul
    alegerilor: Am înţeles opinia colegilor mei, nu este un moment de slăbiciune, este
    un moment de demnitate şi eu consider că a tretuit să-mi dau demisia din
    funcţia de preşedinte al Partidului Social Democrat. Este un gest pe care l-am
    făcut pentru partid.


    Anul viitor, cel mai probabil în februarie, ar
    urma să fie organizat un congres pentru decantarea noii echipe de conducere,
    care să conducă PSD la următoarele teste electorale – locale şi parlamentare.

  • 26.11.2019

    26.11.2019

    Elections – Le Bureau électoral central de Roumanie annoncera le plus probablement dans le courant de ce mardi les résultats finals du second tour de scrutin des élections présidentielles de dimanche. Suite au dépouillement de la grande majorité des suffrages, les résultats indiquent que l’actuel président en exercice, Klaus Iohannis, a remporté le suffrage avec presque 66% des voix, un pourcentage deux fois plus grand que celui obtenu par sa contre- candidate, la social- démocrate, Viorica Dancila. Selon le BEC, presque 10 millions de Roumains ont exprimé leur vote, soit un taux de participation de 54,46% sur l’ensemble des électeurs figurant sur les listes permanentes. Par ailleurs, presqu’un million de ressortissants roumains ont participé au scrutin et 94% d’entre eux ont voté en faveur de Klaus Iohannis.


    PSD – Le Comité exécutif du Parti social démocrate, en opposition, examine ce mardi le score que sa candidate, Viorica Dancila, a décroché lors du second tour de scrutin des présidentielles de dimanche. Même s’il s’agit du pire résultat jamais obtenu par son parti, Viorica Dancila a déclaré ne pas démissioner. Pourtant, selon des sources politiques, 35 leaders locaux du PSD se sont réunis lundi pour solliciter au Comité exécutif la révocation de la direction de leur parti. Le PSD a perdu aussi les européennes du mai dernier quand il n’a obtenu que la moitié des 45 pourcentages décrochés lors du précédent scrutin législativ, de 2016.

    Collectif budgétaire – Le gouvernement de Bucarest présente ce mardi la forme finale de l’ordonnance d’urgence au sujet du collectif budgétaire à adopter avant la fin de cette semaine. Aux dires du premier ministre Ludovic Orban, le gouvernement assurera l’argent nécessaire au bon fonctionnement des institutions publiques, au paiement des salaires, des prestations de protection sociale ou encore aux différents postes de dépenses publiques tel l’éclairage ou le chauffage dans les écoles. Orban s’est également engagé à allouer l’argent nécessaire pour la déductibilité des frais d’arrêt maladie et pour le remboursement de la TVA vers les entreprises. Le deuxième collectif budgétaire entraînera la majoration du déficit à 4,3% du PIB. Parmi les ministères à se voir allouer une enveloppe plus consistante figurent les Ministère du Travail, de la Santé, du Développement régional, des Finances et du Milieu des Affaires. Au pôle opposé, on retrouve les Ministères de l’Education, des Affaires Intérieures et des Transports dont les budgets seront diminués. Le budget destiné aux institutions chargées de la défense nationale sera débattu demain, à l’occasion d’une réunion du Conseil suprême de défense du pays.


    Colectiv – Le procès au sujet de l’affaire Colectiv se poursuit ce mardi au Tribunal de Bucarest. Au menu : les plaidoiries des avocats, des patrons du club, de la cheffe de la société de pyrotechnie, des secouristes arrivés sur place et de tous ceux traduits en justice. Lundi, les familles des victimes ont réclamé des dégâts matériels et moraux de dizaines de milliers d’euros au maire du 4e secteur de Bucarest, Cristian Popescu Piedone, pour lequel, les procureurs anti-corruption proposent une peine de 15 ans de prison ferme. L’ancien maire et trois autres fonctionnaires sont accusés d’avoir délivré illégalement des avis de fonctionnement pour le club Colectiv, dévoré en 2015, par un incendie qui a fait 64 morts et 200 blessés. Le procès sur la tragédie a démarré en avril 2016. Après deux années de jugements reportés pour des questions de procédure, le juge auquel le dossier avait été attribué est parti à la retraite. Il a fallu une année pour que le nouveau juge auditionne des dizaines de témoins et de victimes chaque semaine.


    Séisme – Un puissant tremblement de terre de magnitude 6,4 a frappé l’Albanie ce mardi dans la nuit, en provoquant la mort d’au moins 6 personnes, et en blessant des centaines d’autres. Les dégâts sont considérables et plusieurs batîments se sont effondrés. L’épicentre de la secousse s’est situé en mer Adriatique, à 34 km au nord-ouest de Tirana, à une profondeur de 10 kilomètres, selon le Centre sismologique euro-méditerranéen. Ce tremblement de terre a été suivi quelques minutes plus tard de plusieurs répliques, notamment une de magnitude 5,3, selon le Centre sismologique euro-méditerranéen. Les Balkans sont une zone de forte activité sismique et les tremblements de terre y sont fréquents.Le Ministère roumain de la Défense a annoncé ce matin envoyer deux avions utilitaires avec, à bord, une équipe d’une cinquantaine de secouristes pour aider les autorités albanaises.


    Météo – Une légère hausse des températures est signalée ce mardi, par les météorologues, dans l’ouest et le centre de la Roumanie où les maximales dépassent la normale saisonnière. Le ciel demeure couvert et des pluies éparses peuvent tomber sur le reste du territoire. Le vent souffle légèrement, plus fort sur la côte roumaine à la Mer Noire et dans le Delta du Danube où les rafales peuvent atteindre les 55 km/heure. Les températures maximales vont de 3 à 15 degrés. 7 degrés à midi, à Bucarest.

  • Cum au votat românii

    Cum au votat românii

    Scorul final e implacabil: duminică, în al doilea tur
    de scrutin al prezidenţialelor, şeful statului în exerciţiu, Klaus Iohannis,
    susţinut de PNL, la guvernare, a colectat circa două treimi din sufragii,
    aproape dublu faţă de fostul premier social-democrat Viorica Dăncilă. În trei
    decenii de democraţie post-comunistă, e cel mai slab scor înregistrat în turul
    decisiv de un candidat al stângii. De asemenea, rata de participare, de numai
    puţin peste jumătate din totalul alegărtorilor înscrişi pe listă, e cea mai
    slabă pentru o finală prezidenţială. Dincolo de statisticile majore, Institutul
    Roman pentru Evaluare si Strategie (IRES), un think tank
    independent care se ocupă cu studiul unor teme de actualitate, deopotrivă în
    ţară şi în stăinătate, a încercat să radiografieze şi profilul sociologic al
    românilor care au mers duminică la urne. Datele prezentate de
    IRES arată un echilibru perfect între votanții bărbați și femei în cazul lui
    Iohannis, 50% la 50%, în timp ce Viorica Dăncilă a obținut mai multe voturi de
    la femei decât de la bărbați, 54 comparativ cu 46. Şi pe segmente de vârstă, alegătorii lui Klaus
    Iohannis sunt repartizati echilibrat, aproape jumătate (49%) având peste 45 de
    ani, iar restul fiind sub acest prag. În cazul Vioricăi Dăncilă, 78% sunt peste
    pragul de 45 de ani.


    La capitolul studii, cel mai mare procent vine, în cazul ambilor candidaţi, de
    la alegătorii cu studii medii (55-56). În schimb, 34% dintre votanţii lui
    Iohannis au studii superioare, fata de doar 17 procente în cazul Vioricăi
    Dăncilă.

    O discrepanţă mare apare la capitolul statut ocupational. Doar o treime dintre
    votanţii lui Klaus Iohannis s-au declarat pensionari sau casnici/fără ocupaţie,
    spre deosebire de alegătorii Vioricăi Dăncilă, în cazul căreia procentele au
    fost urmatoarele: pensionar (50%), angajat (32%), casnic/fără ocupatie (11%),
    liber profesionist (4%).

    Din punct de vedere al mediului de rezidenţă, cei mai mulţi votanţi ai lui
    Klaus Iohannis au provenit din urban (62%) şi doar 38% din rural, în timp ce în
    cazul Vioricăi Dăncilă raportul este mult mai echilibrat (52 la 48).


    În
    ce privește repartizarea pe regiuni, se constată un puternic dezechilibru în
    cazul votanților candidatului PSD, care a obținut 53% din voturi în sudul țării
    – Oltenia şi Muntenia, de unde e originară şi Dăncilă – faţă de 44 de procente
    pentru Iohannis. Transilvania (centru) rămâne un fief solid pentru preşedinte,
    care a obținut în regiunea lui de baştină 37% din voturi față de 25% în cazul
    Vioricăi Dăncilă. În cazul Moldovei (est), situația este mai echilibrată: 19%
    la Iohannis și 22% la Dăncilă. Toate aceste cifre indică, spun comentatorii,
    existenţa de facto a mai multor Românii, despărţite de vârstă, studii, venituri
    sau regiuni istorice. În schimb, deşi la fel de diversă sociologic, diaspora
    românească l-a plebiscitat, practic, pe preşedintele Iohannnis, votat de peste
    90% dintre cei aproape un milion de români care au fost duminică la urne în
    străinătate. (

  • Klaus Iohannis wins second term as president

    Klaus Iohannis wins second term as president

    Since Ion Iliescu onwards, no Social-Democrat candidate has managed to win the
    presidential runoff, whether we’re talking about Adrian Nastase, Mircea Geoana
    or Victor Ponta, the latter actually conceding defeat to the incumbent president
    back in 2014. At the same time, none of the aforementioned candidates suffered
    a defeat so great as the former Social-Democrat Prime Minister Viorica Dancila,
    which gives even more reason to celebrate to Klaus Iohannis, who on Sunday won
    the presidential election in Romania. Supported by the National Liberal Party, Klaus
    Iohannis said he won a modern, European and normal Romania, and the merit
    belongs to what he has termed the heroes of today, namely the voters. No
    longer having to cooperate with a Social-Democratic Government, with the recent
    investiture of the Liberal Cabinet, and energized by the legitimacy of Sunday’s
    landslide victory, the President promised he would make efforts to build a
    Parliament majority that should help modernize the country.


    This is the
    most categorical victory ever obtained against the Social-Democratic Party. I
    am happy, content, humble and hopeful about the future. Now, after this win,
    there are many things to tend to, many things to repair. I will personally get
    involved to create a new majority made up of democratic parties that would lead
    Romania towards modernization, Europeanization and normalcy.


    In turn Viorica
    Dancila believes not everything is lost, and this second defeat for the
    Social-Democrats within 6 months is the sign of mobilization for the local and legislative
    elections slated for next year.


    The
    Social-Democratic Party has regained the trust of Romanian citizens who voted
    for us in 2016. We have won back the votes we lost in the European Parliament
    elections, today standing at over 3 million. I am confident this number of
    votes will both help and compel us to do everything in our power to win the
    local and legislative elections.


    Political
    pundits believe Dancila’s excessive optimism in the face of clear defeat is a
    sign of desperation. They expect nothing less than Dancila’s demise from the
    party helm. Things are looking any easier for Klaus Iohannis either, pundits
    argue, since although he has the Liberal Cabinet at his side, he can no longer
    put the blame on political and institutional wars of attrition. In sociological
    terms, Sunday’s vote reveals Iohannis won the vote of young people, people with
    higher education degrees and those living in urban areas. Region-wise, Iohannis
    won 44% of the votes in Bucharest, in the south and southeast, 37% in the
    center and west, the more developed regions, and 19% in the underdeveloped eastern
    regions.

    In turn, Viorica Dancila won 53% of the vote in Bucharest, south and
    southeast, 25% in the center and west and 22% in the east. Voter turnout was
    close to 50%, which is below the turnout of the previous presidential runoff,
    but 2% higher than the all-time low reported in the first round. Romanians
    living in the Dispora, on the other hand, have exceeded the turnout reported in
    the first round, reaching the mark of 940 thousand voters. Thus Romanians
    living abroad have proven they care about the country’s fate, some of them possibly
    wanting to return home to change things for the better. It is also a lesson that
    any Government, not just the Social Democrats, should learn. Instead of the forceful
    repression of a peaceful protest, which happened on August 10, 2018,
    politicians should care more about giving the Diaspora a more robust
    representation in the Romanian Parliament. 4 deputies and 2 senators currently
    represent Romanians living abroad in the Romanian Parliament.

    (Translated by V. Palcu)

  • Klaus Iohannis réélu président

    Klaus Iohannis réélu président

    Depuis le patriarche de la Gauche postcommuniste, Ion Iliescu, aucun des aspirants sociaux-démocrates aux fonctions suprêmes de l’Etat n’avait réussi une telle victoire, qu’il s’agisse d’Adrian Năstase, de Mircea Geoană ou encore de Victor Ponta — le dernier ayant essuyé une défaite face au président en exercice en 2014. Dans le même temps, aucune des personnes nominées n’a subi un revers aussi catégorique que l’ancienne première ministre Viorica Dăncilă. Raison de jubiler pour le vainqueur, le président reconduit à ses fonctions, Klaus Iohannis, soutenu par le Parti national libéral (PNL), au pouvoir. C’est la Roumanie moderne, la Roumanie européenne, la Roumanie normale qui a gagné, a dit M Iohannis, et le mérite appartient à ceux qu’il a appelés les héros de ces jours, les électeurs. Suite au débarquement du PSD du pouvoir et à l’installation du PNL, il a échappé aux affres de la cohabitation, et fort de la légitimité fournie par une victoire claire, le président a promis de s’investir dans la création d’une nouvelle majorité parlementaire censée travailler à la modernisation du pays. Klaus Iohannis :



    « C’est la victoire la plus catégorique jamais obtenue contre le PSD. Je reçois cette victoire avec joie, avec satisfaction, avec modestie et confiance en la Roumanie. Maintenant, après cette victoire, il y a beaucoup de choses à faire, beaucoup de choses à réparer. Je m’investirai pour créer une nouvelle majorité, une majorité composée des partis démocratiques qui mèneront la Roumanie vers la modernisation, vers l’européanisation, vers la Roumanie normale. »



    Vaincue, Viorica Dăncilă estime que tout n’est pas perdu et que cette seconde défaite électorale du PSD en l’espace de seulement 6 mois serait le signal d’une mobilisation pour les élections municipales et législatives prévues l’année prochaine. Viorica Dăncilă :



    « Le PSD a reconquis la confiance des citoyens roumains qui ont voté pour nous en 2016. Nous avons récupéré les voix que nous avions perdues aux élections européennes, et nous avons aujourd’hui plus de 3 millions de voix. Je suis convaincue que le nombre de voix nous aide, il nous oblige et à cet effet, nous ferons tout le possible pour gagner les élections municipales et les législatives. »



    Les commentateurs considèrent que l’interprétation pour le moins forcée que Mme Dăncilă a donnée à une défaite cuisante fait suite au désespoir et prévoient l’exécution politique imminente de la cheffe du PSD. Ce ne sera pas facile non plus pour Klaus Iohannis, selon les analystes, vu que maintenant qu’il a un partenaire en le PNL, il ne pourra pas invoquer l’excuse des guerres politiques et institutionnelles d’usure. Du point de vue sociologique, la présidentielle se présente comme suit : Klaus Iohannis a été voté davantage pour ses qualités que sa rivale, il a attiré plus de personnes de moins de 44 ans, et a été préféré par les personnes ayant des études supérieures et par les habitants des villes. Par régions, Klaus Iohannis a été crédité de 44% des voix à Bucarest, dans le sud et le sud-est, par 37% dans le centre et l’ouest, les régions les plus prospères, et par 19% des voix dans l’est moins développé. Pour sa part, Viorica Dăncilă a remporté 53% des voix à Bucarest, le sud et le sud-est, 25% dans le centre et 22% dans le reste du pays.



    En Roumanie, le taux de participation a été de près de 50%, moindre qu’aux tours décisifs des présidentielles antérieures, mais supérieur de 2% au minimum historique enregistré au premier tour. En revanche, les Roumains de la diaspora ont dépassé le taux de participation historique enregistré voici deux semaines, lorsque 675.000 d’entre eux ont voté, y compris par correspondance, imposant un nouveau record supérieur à 940.000. Nos compatriotes vivant à l’étranger ont prouvé qu’ils s’intéressent au pays, et certains souhaitent même rentrer si les choses se passent mieux. Ils ont en même temps donné une leçon au PSD, dont le gouvernement a eu recours à la force de manière injustifiée contre les manifestants pacifiques présents au meeting de la diaspora du 10 août 2018. Selon les observateurs et les politiciens, leur implication civique mériterait d’être récompensée par une représentation plus étoffée au parlement roumain, supérieure aux quatre députés et deux sénateurs qui reviennent à la diaspora actuellement.


    (Trad. : Ligia)

  • Réactions internationales aux élections présidentielles en Roumanie

    Réactions internationales aux élections présidentielles en Roumanie

    « Le président roumain sortant, Klaus Iohannis, a remporté haut la main le second tour de lélection présidentielle» notait l’agence Reuters, tôt après la fermeture des bureaux de vote, tandis que l’AFP titre :« Le pro-européen Iohannis a été réélu ».


    A son tour, le quotidien parisien de droite Le Figaro écrit: « Le libéral Klaus Iohannis a été largement réélu, face à la candidate social-démocrate Viorica Dancila, lors du deuxième tour de scrutin, ce qui confirme lancrage européen du pays. Il a infligé la défaite la plus sévère à un candidat du principal parti de gauche depuis la chute du régime communiste il y a trente ans». Un autre quotidien parisien, mais de gauche, Le Monde constate qu’ « en Roumaine, la société civile s’est imposée aux politiques», se référant aux « années de mobilisations exceptionnelles contre la corruption».


    L’agence de presse américaine Bloomberg pense que le slogan « Pour une Roumanie normale » utilisée par Iohannis dans sa campagne électorale était un engagement censé assurer la réélection du président dans un pays qui a connu une des plus graves instabilités politiques au sein de l’UE. La publication rappelle que Iohannis « a soutenu les protestations les plus amples jamais organisées depuis la chute du communisme et s’est opposé aux tentatives du gouvernement de dépénaliser les faits de corruption ».


    Pour la publication Frankfurter Rundschau, le président roumain réélu, issu de la minorité allemande, est un contrepoids au premier ministre hongrois Viktor Orban et au parti polonais nationaliste, au pouvoir.


    Le quotidien italien La Repubblica note :« Klaus Iohannis représente en fait les élites et les électeurs décidés à renforcer l’engagement de la Roumanie devant l’UE, à moderniser le pays, à combattre le fléau de la corruption ».


    Bref, les électeurs de Roumanie ont « repoussé les années de scandales et de chaos» conclut New York Times, se référant aux anciens gouvernements sociaux-démocrates de Bucarest.


  • Klaus Iohannis, reales preşedinte

    Klaus Iohannis, reales preşedinte

    De
    la patriarhul Stângii postcomuniste, Ion Iliescu, nicinul dintre aspiranţii
    social-democraţi la funcţia supremă în statul român nu a reuşit victoria, fie
    că a fost vorba de Adrian Năstase, Mircea Geoană sau Victor Ponta, ultimul,
    învins chiar de actualul preşedinte în 2014. În acelaşi timp, însă, niciunul
    dintre nominalizaţi nu a suferit o înfrângere atât de drastică precum fostul
    premier PSD Viorica Dăncilă, motiv de jubilaţie pentru învingător, preşedintele
    în funcţie Klaus Iohannis, susţinut de PNL, la guvernare. A câştigat România
    modernă, România europeană, România normală, a spus Iohannis, iar meritul le
    aparţine celor pe care i-a numit eroii acestor zile, alegătorii. Scăpat, odată
    cu debarcarea PSD de la putere şi instalarea PNL, de chinul coabitării, şi
    reîncărcat cu legitimitatea oferită de o victorie clară, preşedintele a promis că
    se va implica în crearea unei noi
    majorităţi parlamentare care să lucreze la modernizarea ţării.

    Klaus Iohannis: Este
    cea mai categorică victorie obţinută vreodată împotriva PSD. Primesc acestă
    victorie cu bucurie, cu mulţumire, cu modestie şi cu încredere în România.
    Acum, după această victorie, sunt multe lucruri de făcut, sunt multe lucruri de
    reparat. Mă voi implica pentru a crea o nouă majoritate, o majoritate compusă
    din partidele democratice care vor duce România spre modernizare, spre
    europenizare, spre România normală.
    Învinsa, Viorica Dăncilă,
    consideră că nu e totul pierdut şi că această a doua înfrângere electorală a
    PSD în doar 6 luni ar fi dat semnalul unei mobilizări pentru localele şi
    parlamentarele de anul viitor. Viorica Dăncilă: Partidul Social Democrat a
    recâştigat încrederea cetăţenilor români care ne-au votat în 2016. Am recuperat
    voturile pe care le-am pierdut la alegerile europarlamentare, iar astăzi avem
    peste 3 milioane de voturi. Am toată convingerea că numărul de voturi ne ajută,
    ne obligă şi în acest sens vom face tot ce este posibil să câştigăm alegerile
    locale şi alegerile parlamentare
    .

    Comentatorii consideră că
    interpretarea cel puţin forţată pe care doamna Dăncilă a dat-o unei înfrîngeri
    usturăroare vine din disperare şi prognozează iminenta execuţie politică a
    şefei PSD. Nici pentru Klaus Iohannis nu va fi uşor, anticipează analiştii,
    deoarece acum, când are în guvernul PNL un partener, nu va putea invoca scuza
    războaielor politice şi instituţionale de uzură. Sociologic, scrutinul prezidenţial
    arată astfel: Klaus Iohannis a fost votat în proporţie mai mare pentru
    calităţile sale decât rivala lui, a atras mai mulţi tineri până în 44 de ani şi
    a fost preferatul celor cu studii superioare şi al orăşenilor. Pe regiuni,
    Iohannis a luat 44% din voturi în Bucureşti, sud şi sud-est, 37% în centru şi
    vest, zonele cele mai prospere, şi 19% în estul mult mai puţin dezvoltat.

    De
    partea ei, Viorica Dăncilă a luat 53% din voturi în Bucureşti, sud şi sud-est,
    25% în centru şi vest şi 22 de procente în est. Prezenţa la urne, în ţară, a
    fost de aproape 50%, mai mică decât la precedentele runde decisive ale
    alegerilor prezidenţiale, dar mai mare cu 2 procente faţă de minimul istoric
    înregistrat în primul tur. În schimb, românii din diaspora au depăşit rata istorică
    de participare înregistrată în urmă cu două săptămâni, când au votat, inclusiv
    prin corespondenţă, 675 de mii de alegători, impunând un nou record, peste 940 de
    mii de votanţi. Conaţionalii din afara graniţelor au demonstrat că le pasă de
    ţară, unii din ei că doresc chiar să revină dacă lucrurile se schimbă în bine.
    Ei au dat, în acelaşi timp, o lecţie PSD, al cărui guvern a recurs nejustificat
    la forţă împotriva demonstranţilor paşnici veniţi la mitingul diasporei din 10
    august 2018. Implicarea lor civică ar merita ca răsplată – o spun observatori
    şi politicieni – o reprezentare mai solidă în Parlamentul României, peste cei patru
    deputaţi şi doi senatori care revin diasporei în prezent.