Tag: viorica dancila

  • La semaine du 11 au 15 novembre

    La semaine du 11 au 15 novembre

    La droite et la gauche en finale à la présidentielle


    Le dimanche 10 novembre, les Roumains ont été appelés aux urnes au premier tour du scrutin présidentiel. Suite aux options exprimées par 51,19% des 18,2 millions de personnes inscrites sur les listes électorales, le 24 novembre verra la confrontation entre le candidat de la droite libérale, le président sortant, Klaus Iohannis, et la présidente du Parti social-démocrate et ex première ministre, Viorica Dăncilă. Selon les résultats finals, Klaus Iohannis a remporté 37,82% des voix, alors que Viorica Dăncilă en a recueilli 22,26%. Adversaire irréductible des sociaux-démocrates, qu’il tient pour responsables des réformes pernicieuses en matière de justice et d’économie, Klaus Iohannis a mis en garde que ces derniers n’étaient pas encore vaincus et a appelé l’électorat à voter. Klaus Iohannis : « Pour le second tour, et là je m’adresse à ceux qui ont été dans la rue avec moi pour défendre l’Etat de droit, venez voter, pour que notre lutte ne s’avère pas vaine ! A ceux qui souhaitent des hôpitaux, des écoles, des autoroutes, je dis : « venez voter, pour écarter définitivement le PSD du pouvoir et faisons tout cela ensemble ! » A ceux qui ne veulent plus voir leurs enfants et leurs petits-enfants quitter le pays, je dis : Venez voter, parce que c’est maintenant que nous pouvons changer les choses ! Et à ceux, nombreux, de la diaspora, qui sont déjà partis, je dis : Venez voter, parce que maintenant vous pouvez faire la différence ! »


    Pour sa part, la cheffe du PSD s’est déclarée confiante en la victoire. Viorica Dăncilă : « Le vote de ce jour nous aide à poursuivre la campagne électorale, une campagne pendant laquelle nous nous présenterons devant les Roumains avec les choses que nous avons accomplies, mais aussi et surtout avec ce que nous souhaitons réaliser pour eux quand nous gagnerons la présidentielle. Notre combat n’est pas contre un parti, nous ne souhaitons éliminer aucun parti politique, parce que la démocratie est ainsi faite, et chaque parti a son point de vue à affirmer. Notre combat sera, comme jusqu’ici, pour les Roumains, pour la Roumanie, pour l’équilibre et le consensus, pour l’unité, pour la représentation de la Roumanie avec dignité, tant au plan intérieur qu’au plan extérieur. »


    Dans le pays, le taux de participation au premier tour a été plutôt modeste. En revanche, les Roumains de la diaspora ont fait preuve d’une mobilisation exemplaire. Le nombre de ceux qui ont fait le déplacement aux bureaux de vote, corroboré aux 25.000 qui ont voté par correspondance, a atteint le chiffre record de 675.000.



    Stratégies pour le tour final des présidentielles


    Alors que le premier jour de la campagne électorale pour le deuxième tour des présidentielles a été arrêté au 15 novembre, la confrontation entre les deux candidats restant en lice a commencé à l’issue du premier tour. La tension est déjà à son comble pour le délice, voire l’exaspération de l’opinion publique. La décision du président Klaus Iohannis et de son staff de campagne de ne pas participer à un débat direct avec Viorica Dăncilă en a étonné plus d’un. Mardi, le chef de l’Etat a écrit sur les réseaux sociaux qu’un débat avec le candidat d’un parti qui a gouverné contre les intérêts des Roumains et qui mime la démocratie n’était tout simplement pas possible. La réplique de Viorica Dăncilă, qui durant toute la campagne pour le premier tour a souvent réclamé à Klaus Iohannis de participer à une rencontre directe, ne s’est pas fait attendre : ce face à face devrait contrecarrer toutes les attaques « misérables » à son encontre et à l’encontre du Parti social-démocrate. Dans ce duel électoral à distance, Klaus Iohannis a convoqué mercredi une conférence de presse, l’occasion pour lui de préciser: « Madame Dăncilă est la représentante d’un parti antidémocratique, non réformé, qui a gouverné contre l’intérêt des Roumains. Et voilà qu’en pleine campagne électorale elle se met à mimer le candidat démocratique et qu’elle attend à être traitée avec respect par nous tous. C’est comme si jusqu’à présent elle avait défendu la démocratie roumaine et les Roumains. »


    De son côté, Viorica Dăncilă a rejeté les accusations du président sortant : « Si majorer les salaires et les retraites, si investir dans les communautés locales, si produire la deuxième croissance économique de tous les Etats membres signifie gouvernance désastreuse, eh bien Monsieur Iohannis est soit de mauvaise foi, soit mal informé. Et ce n’est pas tout : une gouvernance désastreuse n’aurait pas pu si bien gérer la présidence tournante du Conseil de l’UE pour qu’ensuite tous les Etats membres et mêmes des pays extracommunautaires en fassent les louanges. »


    La campagne électorale se clôturera le samedi 23 novembre à 7h heure locale.



    La proposition de la Romanie pour le poste de commissaire européen a été avalisée par le Parlement européen


    Le candidat désigné par la Roumanie pour le poste de commissaire européen aux Transports, l’eurodéputée Adina Vălean, a reçu jeudi l’aval de la commission de spécialité du Législatif communautaire. Parmi ses priorités figurent le transport écologique et équitable et la réduction du nombre d’accidents de la route, chapitres auxquels la Roumanie compte parmi les pays de l’Union les plus déficitaires. La composition de la nouvelle équipe de la Commission européenne dirigée par Ursula von der Leyen devrait être soumise au vote en session plénière du Parlement européen, le 27 novembre.



    Nouvelle crise politique en République de Moldova


    Le président philo russe de la République de Moldova, Igor Dodon, a désigné mercredi un de ses conseillers, Ion Chicu, pour les fonctions de premier ministre, en vue de la formation d’un nouveau gouvernement. Cette nomination a été faite après que l’ancien Exécutif de la pro-européenne Maia Sandu eut été destitué suite à la motion de censure initiée par les socialistes de Dodon, membres de la coalition au pouvoir. Le Parlement de Chisinau a voté jeudi l’investiture de la nouvelle équipe gouvernementale qui a prêté serment devant le chef d l’Etat.




  • Nachrichten 15.11.2019

    Nachrichten 15.11.2019

    In Rumänien beginnt der Wahlkampf für die zweite Runde der Präsidentschaftswahlen, der am Samstag, den 23. November, um 7:00 Uhr endet. Der amtierende Präsident Klaus Iohannis, unterstützt von der regierenden National-Liberalen Partei PNL und die Vorsitzende der Sozialdemokratischen Partei PSD, die ehemalige Premierministerin Viorica Dăncilă, treten am Sonntag, den 24. November, gegeneinander an. In der ersten Runde erreichte Klaus Iohannis 37,82% der abgegebenen Stimmen; Viorica Dancila erhielt 22,26%, wie aus den am Donnerstag vom Zentralen Wahlbüro veröffentlichten Endergebnissen hervorgeht. In den Wahllokalen außerhalb der Landesgrenzen wird drei Tage lang abgestimmt: am Freitag von 12:00 bis 21:00 Uhr Ortszeit, und am Samstag und Sonntag zwischen 7:00 und 21:00 Uhr Ortszeit, mit der Möglichkeit, das Abstimmungsprogramm bis Mitternacht zu verlängern.



    Die Mitglieder der Union Rettet Rumänien USR, der drittgrößten Partei im rumänischen Parlament, stimmen ab Freitag 5 Tage lang ab, ob der Parteivorsitzende Dan Barna im Amt bleibt, oder nicht. Dan Barna hat angekündigt, dass er zurücktreten wird, wenn die USR-Mitglieder ihr Vertrauen entziehen würden. Die Konsultation erfolgt nach dem ersten Wahlgang der Präsidentschaftswahlen, bei dem Dan Barna, der Kandidat der Allianz USR – PLUS, auf dem dritten Platz landete und sich damit nicht in der entscheidenden Runde qualifizieren konnte.



    Das Leiden der Helden des antikommunistischen Kampfes in Rumänien darf nicht vergessen werden. Dies betonte Premierminister Ludovic Orban in einer Botschaft anlässlich des 32. Jahrestages seit der antikommunistischen Arbeiterrevolte vom 15. November 1987 in Brasov/Kronstadt (in der Mitte Rumäniens). Wir alle, die Gesellschaft, die Institutionen, die Poltiker, wir haben die Pflicht und die Verantwortung, das Leiden unserer Helden zu ehren, so Premierminister Orban. Am 15. November 1987 protestierten die Arbeiter von einer Fabrik in Brasov gegen die Geschäftsleitung und riefen Parolen gegen den Diktator Nicolae Ceausescu. Die Repressionskäfte haben damals den Aufstand gewaltsam niedergeschlagen. In den folgenden Tagen wurden Hunderte von Menschen verhaftet, und viele von ihnen kehrten nie wieder zurück. Das Verfahren betreffend die Folterer der protestierenden Arbeiter in Brasov wurde 2018 von der Militärstaatsanwaltschaft Brasov an die Sonderabteilung zur Untersuchung der Richter und Staatsanwälte übergeben. Die Militärstaatsanwaltschaft ermittelte die Repressionen nach der antikommunistischen Arbeiterrevolte. Die Ermittlungen der Staatsanwälte im Verfahren Verbrechen des Kommunismus betreffen Verbrechen gegen die Menschlichkeit, die von Repressionsmächten systematisch gegen Demonstranten verübt wurden.



    Der frühere Finanzminister Sebastian Vlădescu von der Nationalen Antikorruptionsbehörde in einer Korruptionsakte wegen Bestechung und Einflussnahme auf die Instandsetzung einiger Eisenbahnabschnitte angeklagt worden. In der gleichen Akte wurde auch der ehemalige rumänische Abgeordnete Cristian Boureanu, dem Einflusshandel vorgeworfen wird, vor Gericht gestellt. Laut einer DNA-Mitteilung geht es in der Akte um Korruptionsdelikte, die zwischen 2005 und 2017 begangen wurden, bzw. um Zahlungen eines ausländischen Unternehmens in Höhe von rund 20 Millionen Euro als Provision an rumänische Beamte für Verträge zur Instandsetzung von Eisenbahnstrecken.



    230 Tourismusunternehmen aus 16 Ländern sind von Donnerstag bis Sonntag auf der größten Tourismusmesse Rumäniens vertreten, die in Bukarest stattfindet. Die Touristikmesse bringt Reisebüros, Reiseveranstalter sowie Tourismusgebiete zusammen, die durch Profilverbände oder Landkreisräte vertreten sind. Die Besucher können Ferienaufenthalte für den Winter 2019, aber auch für die Sommersaison 2020 buchen; die Aussteller sagten, sie werden bei bestimmten Ferienpaketen bis zu 45% Rabatt anbieten.



    In Rumänien bleibt es relativ warm für diese Jaheszeit. Der Himmel ist bewölkt und es regnet im Südwesten, Süden, in der Landesmitte und im Gebirge. Es weht ein schwacher bis mäßiger Wind, etwas stärker im Hochgebirge. Die TT liegen zw 3 und 13 Grad Celsius, die THT werden zw 13 und 22 Grad erreichen.

  • Remote duel between presidential candidates

    Remote duel between presidential candidates

    The public
    dispute over the need of organizing a debate pitting the two candidates that
    will run in the second round of the presidential election, acting President
    Klaus Iohannis, supported by the right wing and the Social-Democrat leader Viorica
    Dancila, the representative of the left wing, has become the bone of contention
    between the two candidates. Viorica Dancila has called President Iohannis to
    feature in a televised dispute, while Klaus Iohannis has firmly refused. The
    latter explained in a press conference that Viorica Dancila is a dismissed and
    compromised Prime Minister, who supported what the president has called repeated
    attempts at subordinating the judiciary, also governing against Romanians’ best
    interests.


    Mrs. Dancila is
    the representative of an anti-democratic, unreformed party, that has governed
    against Romanians’ best interests. In the current election campaign, she
    pretends to be a democratic candidate, expecting due respect from everyone, as
    if she had been defending Romanian democracy and Romanians so far.


    Viorica Dancila
    retorted, arguing her opponent refuses to appear in a public debate with her,
    because this would undo the propaganda staged against the Social-Democratic
    Party and herself, its leader.


    This is the
    real motivation behind his refusal, which he has been trying to explain in a
    ridiculous fashion, presenting fallacies as arguments. There have been other
    debates between presidential candidates, it’s our responsibility towards voting
    citizens. What is Mr. Iohannis so afraid of?


    The remote
    dialogue between Klaus Iohannis and Viorica Dancila also included references to
    each candidate’s term in office. Klaus Iohannis.


    These have been
    complicated years for Romania, and now I can say that, despite the
    Social-Democrat governance, I’ve managed to keep Romania on its Euro-Atlantic
    track, to avoid serious crises in the country. I honestly would have wanted to
    work with a Government that had Romania’s interests at heart, that would help
    Romania progress! I believe, after all this time, that, considering the
    political events of the last five years, the last three years in particular,
    I’ve done everything in my power as president, as per the provisions of the
    Constitution.


    In turn, Viorica
    Dancila said:


    Mr. Iohannis
    speaks of a disastrous governance. If a disastrous governance means increasing
    salaries and pensions, investing in local communities, making Romanian economy
    second at EU level in terms of growth, then he is either dishonest or
    misinformed. Moreover, a disastrous governance wouldn’t have attracted the
    praise of Member States and third-party states for the good handling of the
    rotating presidency of the Council of the European Union.


    The presidential
    duel will most likely continue along the same lines, making for a very
    heated election debate.

    (translated by V. Palcu)

  • Duel à distance entre les candidats aux présidentielles

    Duel à distance entre les candidats aux présidentielles

    Avec ou sans face à face entre les candidats,
    c’est le débat du moment en Roumanie. Alors que les présidentielles approchent,
    la date du deuxième tour de scrutin étant fixée au 24 novembre, le président
    sortant Klaus Iohannis et l’ex-première ministre Viorica Dăncilă n’ont toujours
    pas eu l’occasion de s’affronter en direct devant les électeurs. L’invitation
    réitérée par Viorica Dăncilă à son adversaire, Klaus Iohannis, de se rencontrer
    directement, s’est vu rejetée à chaque reprise. C’est ce qui donne en ce moment
    du grain à moudre aux médias roumains.


    Klaus Iohannis a expliqué aux journalistes qu’il
    n’acceptait pas cette rencontre directe avec Viorica Dăncilă car son
    gouvernement avait été destitué et, de la sorte, compromis. Le cabinet Dăncilă a
    tenté d’assujettir la justice et a gouverné contre l’intérêt des Roumains. C’est
    en tout cas la lecture de l’actuel chef de l’Etat. Klaus Iohannis : « Madame
    Dăncilă est la représentante d’un parti antidémocratique, non réformé, qui a gouverné
    contre l’intérêt des Roumains. Et voilà qu’en pleine campagne électorale elle se
    met à mimer le candidat démocratique et qu’elle attend à être traitée avec
    respect par nous tous. C’est comme si jusqu’à présent elle avait défendu la
    démocratie roumaine et les Roumains. »


    De son côté, Viorica Dăncilă a affirmé que son
    adversaire refusait une rencontre face à face qui devrait défaire toute cette propagande
    menée contre le Parti social-démocrate et contre elle-même : « C’est probablement de là que vient ce
    refus qu’il s’est ridiculement efforcé d’expliquer sans pouvoir avancer aucun
    argument viable jusqu’ici. Des « face à face » entre candidats aux
    présidentielles ont toujours eu lieu et y participer est d’ailleurs notre devoir
    envers les électeurs. De quoi a peur Monsieur Iohannis ?
    Respectera-t-il les Roumains qui l’ont déjà voté ou ceux qui se rendront aux
    urnes ? »




    Les répliques échangées à distance entre
    Iohannis et Dăncilă ont touché aussi aux bilans de leurs mandats respectifs de
    président, voire première ministre. Klaus Iohannis : « C’était
    des années difficiles pour la Roumanie. Je crois qu’en ce moment je peux affirmer
    que j’ai réussi, tout le long de ces années et malgré la manière que j’ai déjà
    décrite de gouverner du Parti social-démocrate, j’ai réussi à garder la
    Roumanie dans le sillage euro atlantique et à éviter les crises profondes dans
    le pays. J’aurais sincèrement souhaité à travailler avec un gouvernement qui
    travaille pour les Roumains, qui fasse avancer le pays. Je crois que
    maintenant, à la fin de mon mandat, je peux affirmer que j’ai fait tout ce qu’un
    président pouvait faire, dans les limites constitutionnelles. Je parle des événements
    politiques des cinq, et notamment des trois dernières années. »


    A Viorica Dăncilă de répondre : « Il évoque une gouvernance
    désastreuse. Si majorer les salaires et les retraites, si investir dans les
    communautés locales, si produire la deuxième croissance économique de tous les
    Etats membres signifie gouvernance désastreuse, eh bien Monsieur Iohannis est
    soit de mauvaise foi, soit mal informé. Et ce n’est pas tout : une
    gouvernance désastreuse ne pourrait si bien gérer la présidence tournante du
    Conseil de l’UE pour qu’ensuite tous les Etats membres et mêmes des pays
    extracommunautaires en fassent les louanges. »




    Ce duel à distance ne s’arrêtera pas d’aussitôt,
    assurant du divertissement électoral certain aux électeurs roumains. (Trad.
    Elena Diaconu et Alex Diaconescu)

  • Duel la distanţă între prezidenţiabili

    Duel la distanţă între prezidenţiabili

    Disputa
    din spaţiul public pe marginea necesităţii unei confruntări directe între
    finaliştii cursei prezidenţiale s-a transformat, de facto, într-o dezbatere mai
    consistentă, poate, decât ar fi fost una clasică, dorită de susţinătorii – în principal
    televiziuni – ideii că o competiţie prezidenţială nu poate fi văduvită de un
    astfel de show mediatic. Practic, chemarea continuă la luptă directă a şefei
    PSD Viorica Dăncilă şi refuzul ferm al preşedintelui în funcţie, Klaus
    Iohannis, de a-i da curs, oferă suficientă materie primă.


    Klaus Iohannis a explicat,
    la o întâlnire cu ziariştii, că nu acceptă o dezbatere cu Viorica Dăncilă
    pentru că este un premier demis şi compromis, care a sprijinit ceea ce şeful
    statului a numit încercările de acaparare a justiţiei şi a guvernat împotriva
    românilor.


    Klaus Iohannis: Doamna Dăncilă este reprezentanta unui
    partid antidemocratic, nereformat, care a guvernat împotriva românilor şi acum,
    iată, în campanie electorală mimează candidatul democrat şi se aşteaptă să fie
    tratată cu mare respect de toată lumea, ca şi cum până acum ar fi apărat
    democraţia românească şi pe români.


    Viorica Dăncilă a replicat,
    spunându-le jurnaliştilor că adversarul ei refuză dezbaterea directă pentru că,
    astfel, ar fi demontată propaganda dusă împotriva PSD şi a ei, ca lider.


    Viorica Dăncilă: Probabil, de aici acest refuz pe care s-a tot chinuit să îl explice în
    mod ridicol şi cu non-argumente până în acest moment. Au existat dezbateri
    între candidaţi, este o responsabilitate pe care o avem noi faţă de cetăţenii
    care merg la vot. De ce îi e frică domnul Iohannis? Îi va respecta pe românii
    care l-au votat sau pe românii care merg la vot.


    Schimbul de replici
    la distanţă Iohannis – Dăncilă a conţinut şi rudimente de bilanţ al mandatelor
    la Preşedinţie, respectiv Guvern.


    Klaus Iohannis: Au fost ani complicaţi pentru
    România şi cred că pot, în acest moment, să spun că am reuşit în aceşti ani, cu
    toate că a guvernat PSD aşa cum am mai descris, am reuşit să ţin România pe
    linia clară euroatlantică, am evitat crize profunde în România şi, sincer,
    mi-aş fi dorit să am ocazia să lucrez împreună cu un guvern care să lucreze
    pentru români, care să ducă România înainte! Cred că acum, la final, pot să
    spun că în condiţiile în care s-au desfăşurat evenimentele politice din ultimii
    cinci ani, dar mai cu seamă din ultimii trei ani, am făcut tot ce a putut face
    un preşedinte, în condiţii constituţionale.


    Din nou, replica Vioricăi
    Dăncilă: Vorbeşte despre o guvernare dezastruoasă. Dacă se cresc salarii şi
    pensii, să investeşti în comunităţile locale, să aduci economia României la
    nivelul cel mai de sus între statele membre, locul doi creştere economică în
    Europa, înseamnă o guvernare dezastruoasă, înseamnă că dânsul ori este de rea
    credinţă, ori nu a fost informat corect. Mai mult decât atât, o guvernare
    dezastru nu înseamnă să gestionezi preşedinţia rotativă a Consiliului Uniunii
    Europene atât de bine încât să fii lăudat de toate statele membre şi de state
    terţe.

    Duelul la distanţă va continua, iar spectacolul electoral nu
    lipseşte.

  • Strategii pentru finala prezidenţialelor

    Strategii pentru finala prezidenţialelor

    Pe 24 noiembrie este al doilea tur al alegerilor prezidenţiale din România şi, în această perspectivă,
    săbiile se ascut pe zi ce trece între cei doi protagonişti care îşi dispută cea
    mai înaltă funcţie din stat, atingând cote pe alocuri paroxistice, spre
    deliciul sau, după caz, spre exasperarea opiniei publice.


    Actualul şef de
    dreapta al statului, Klaus Iohannis, pleacă în cursă cu prima şansă – în turul
    întâi din 10 noiembrie, el a întrunit circa 37% din opţiunile de vot. Se va
    confrunta cu fostul premier social-democrat, Viorica Dăncilă, al cărei Guvern a
    fost demis cu numai o săptămână înainte de primul tur prin moţiunea de cenzură
    iniţiată de PNL, formaţiunea lui Klaus Iohannis.


    Contrazicând pariurile
    privitoare la o posibilă degringoladă a PSD, Viorica Dăncilă s-a clasat a doua
    în primul act al competiţiei prezidenţiale, cu circa 23 de procente din voturi.
    O recunoaşte chiar liderul liberal, în prezent premier, Ludovic Orban: PSD-ul încă este viu şi periculos. Aşa cum
    puţină lume s-a aşteptat, candidatul PSD s-a calificat în turul doi. Bătălia
    continuă şi este importantă mobilizarea fiecărui român.


    Decizia lui Klaus Iohannis însuşi şi a staff-ului său de campanie electorală
    de a nu participa la nicio dezbatere directă cu Viorica Dăncilă este, însă, surprinzătoare
    pentru foarte mulţi. Marţi, preşedintele – care a făcut din distrugerea politică
    a PSD un obiectiv personal declarat – a scris pe o reţea de socializare că nu
    poate exista o dezbatere cu un candidat al unei formaţiuni care a guvernat
    împotriva românilor şi care mimează democraţia. Iar liberalii, reuniţi în
    şedinţă, au promis că şeful statului va fi, în schimb, în dialog cu cetăţenii
    şi va avea o comunicare prin întâlniri directe cu ei.


    Replica Vioricăi Dăncilă,
    care în campania electorală pentru primul tur, i-a cerut în repetate rânduri
    lui Klaus Iohannis să participe la o dezbatere, a venit pe Facebook: Eu
    cred că domnul Iohannis se teme de o confruntare cu mine.


    Fostul premier social-democrat a insistat pe ideea unei confruntări
    directe, pentru că – a spus ea – s-ar demonta, astfel, toate atacurile
    ‘mizerabile’ din ultimii ani la adresa ei şi a PSD. Obiectivul social-democraţilor
    este să câştige prezidenţialele şi, ca atare, reuniţi, marţi seară, în Comitet
    Executiv Naţional, au decis ca fiecare organizaţie locală să obţină cel puţin
    50% plus unu la scrutinul din 24 noiembrie.


    Viorica Dăncilă s-a arătat
    încrezătoare: Eu sunt convinsă că fiecare coleg se va
    implica pentru că aşa simte şi pentru că aşa crede că le va fi mai bine
    românilor şi va fi mai bine pentru România.


    Deşi Comitetul Executiv
    Naţional al PSD a fost convocat pentru chestiuni electorale, nu au lipsit nici
    o serie de excluderi din partid, într-o dorită mai de mult ‘curăţenie de toamnă’.

  • November 12, 2019 UPDATE

    November 12, 2019 UPDATE

    EUROPEAN PARLIAMENT – The
    European Parliament Committee on Legal Affairs has approved the candidacies of
    the commissioners designated by France, Romania and Hungary. In a special
    session on Tuesday, the Committee analyzed any potential or real conflicts of
    interest in each of the case. After getting the endorsement of the Legal
    Affairs Committee, the three candidates, Thierry Breton, Adina Valean and
    Oliver Varhelyi, will be heard by the specialized committees on Thursday. Once
    the hearings completed, the EC President Elect Ursula von der Leyen will
    present the list of designated commissioners and the program of the Commission
    during a plenary session on November 27. Also on Tuesday, Adina Valean has been
    heard by the joint European Affairs Committees of the Romanian Parliament,
    whose role is advisory. She has announced that, as a European Commissioner, she
    will keep supporting the mechanisms for interconnection, by means of which 1.24
    billion Euro have been invested in the Romanian transport infrastructure, and
    another 500 million in the energy infrastructure. The mechanism is aimed at
    interconnecting the EU’s transport, energy and telecommunication grids.




    PRESIDENTIAL ELECTION – The
    leaders of the National Liberal Party and the Social Democratic Party, whose
    candidates will run in the second round of the presidential elections in
    Romania, on November 24, met on Tuesday to discuss their campaign strategies.
    In the first round, the current president Klaus Iohannis, supported by the
    Liberals, got 37.5% of the votes, and the head of the Social Democratic Party,
    Viorica Dancila, got approximately 23%. Viorica Dancila said she wants a public
    debate head-to-head with Klaus Iohannis. The latter has dismissed the idea of a
    debate with Viorica Dancila, whom he considers the candidate of an unreformed
    party that tranmpled the rule of law and sidetracked Romania’s pro-European
    projects. At the end of Tuesday’s meeting of the Socialist Party Executive Committee, Viorica Dancila said former Justice Minister Ana Birchall and Cozmin Gusa, as well as all MPs who voted the investiture of the Orban Cabinet, have been excluded from the party ranks.




    MOLDOVA – Romania’s President
    Klaus Iohannis believes the collapse of Maia Sandu’s Cabinet in the Republic of
    Moldova at a very important time for the reform of the judiciary goes against
    the country’s medium- and long-term interests. According to a Presidency
    release, the Romanian President warned that in the current context, Romania’s
    support, including its financial assistance, will be strictly dependent on the
    continuation of key reforms for the democratic development of the Republic of
    Moldova and its European track. In turn, Prime Minister Ludovic Orban believes
    the decision to dismiss Maia Sandu’s Cabinet by means of a no-confidence motion
    raises many questions as to the subsequent evolution of this country. Prime
    Minister Orban warned that the chances of the Romanian Government cooperating
    with a Moldovan Government that offers no real guarantees in defense of a
    genuine democracy are very slim. Invested 5 months ago, Maia Sandu’s pro-western
    Government did not survive Tuesday’s no-confidence motion in Parliament, filed
    by the pro-Russian Socialist Party and the Democratic Party. The motion was
    filed last week by the Socialist Party, a junior coalition party, after the
    Government pledged to modify the procedure for appointing the prosecutor
    general. The EU High Representative for Foreign Affairs, Federica Mogherini,
    reiterated that the EU’s relations with Moldova will continue to rely on the
    observance of the rule of law and democratic standards.




    RADET – Bucharest’s heating
    supplier RADET has officially gone bankrupt, following a final ruling by the
    Bucharest Court of Appeal, but the municipality and representatives of ELCEN,
    the company that produces heat and hot water for the centralized system, has
    assured the citizens of Bucharest that they will not be affected by this
    situation. The company that provides heating in the capital has been under
    insolvency for three years, and the causes that have led to the current
    situation are many. Among them, the huge debt, of more than 840 million Euro,
    to the producer ELCEN, the state not paying the due subsidies and also the old
    installations owned by RADET.




    INFLATION – The annual rate of
    inflation in Romania dropped in October to 3.4%, from 3.5% in September,
    against the background of an increase in the prices of non-food products and
    services. The National Bank has decreased to 3.8% the inflation forecast for
    the end of this year and it estimates an inflation rate of 3.1% next year. The
    International Monetary Fund has revised upwards the forecasts regarding
    consumption prices in Romania this year, up to an average annual increase of
    4.2%, as to the 3.3% estimated in spring.


    (Translated by M. Ignatescu & V. Palcu)

  • 12.11.2019 (mise à jour)

    12.11.2019 (mise à jour)

    Commissaires – La commission des Affaires juridiques du Parlement européen a donné son feu vert aux candidats français, roumain et hongrois au poste de commissaire européen, après en avoir examiné, mardi, lors dune réunion extraordinaire « les conflits dintérêts potentiels ou réels », apprend-on de sources communautaires, citées par la correspondante de Radio Roumanie à Bruxelles. Létape suivante consistera dans les auditions des trois candidats par les commissions de spécialité, le jeudi 14 novembre. A la fin des auditions, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, présentera léquipe de commissaires et le programme de la Commission dans le cadre dune réunion du plénum communautaire, le 27 novembre. Leurodéputée libérale roumaine Adina Valean, proposée au portefeuille des Transports a été auditionnée mardi par les Commissions réunies des affaires européennes du Parlement de Bucarest, dont lavis est consultatif. Elle a rappelé quen tant que commissaire européen, elle soutiendra la poursuite du Mécanisme dinterconnexion de lEurope, par le biais duquel des investissements de 1,24 milliards deuros ont été faits dans linfrastructure de transport de Roumanie et 500 millions dans celle énergétique. Ce mécanisme dinvestissements vise à connecter les infrastructures de transport, dénergie et de télécoms des Etats membres de lUE.



    Campagne électorale -
    Les leaders du PNL et du PSD dont les candidats s’affronteront le 24 novembre, au second tour des présidentielles en Roumanie, se sont réunis pour décider
    de la stratégie à suivre dans la campagne électorale. Le président sortant,
    Klaus Iohannis, soutenu par les libéraux, a remporté 37,5% des voix lors du
    premier tour du scrutin. Il affrontera au round décisif le leader du PSD, d’opposition,
    Viorica Dancila, qui a obtenu près de 23% des voix au premier tour de la
    présidentielle. Viorica
    Dăncilă a fait savoir qu’elle souhaitait avoir au moins une confrontation
    directe avec Klaus Iohannis.Ce dernier a rejeté mardi
    l’idée d’un débat avec Viorica Dăncilă, qu’il considère comme le
    candidat d’un parti qui n’a pas su se réformer, qui a bafoué l’Etat de droit et
    a voulu écarter la Roumanie de son parcours proeuropéen.
    Par ailleurs, le
    leader social-démocrate a annoncé mardi, à l’issue de la réunion du Comité
    exécutif national du parti, que l’ancienne ministre de la Justice, Ana Birchall ainsi que Cosmin Gusa et les parlementaires qui avaient soutenu l’investiture
    du gouvernement Orban avaient été exclus du PSD.

    Chisinau – Le président roumain Klaus Iohannis estime que la destitution du gouvernement de Chisinau de la pro-européenne Maia Sandu, événement qui survient à un moment essentiel pour la réforme de la justice, est dirigé contre les intérêts, sur le moyen et long terme, de la République de Moldova et de ses citoyens. Selon un communiqué de lAdministration présidentielle de Bucarest, le chef de lEtat roumain met en garde contre le fait que, dans le contexte actuel, le soutien de la Roumanie, y compris celui financier, sera strictement conditionné par la poursuite des réformes essentielles pour le développement démocratique de la République de Moldova et pour son avancée sur la voie européenne. A son tour, le premier ministre roumain Ludovic Orban considère que la décision de destituer le gouvernement Maia Sandu par motion de censure soulève bien des points dinterrogation au sujet de lévolution ultérieure de la République de Moldova. Il a par ailleurs averti que lExécutif de Bucarest manifesterait une très faible disponibilité à coopérer avec un gouvernement moldave qui ne présente pas de garanties sérieuses pour une démocratie authentique. Investi il y a 5 ans, le cabinet de Chişinău a été destitué mardi suite au vote accordé par le Parlement moldave à une motion de censure initiée par le Parti des socialistes, prorusse. Les députés du Parti socialiste et du parti démocrate ont compté pour les 63 voix favorables à la motion, sur les 101 membres du Parlement moldave. La motion a été déposée à la fin de la semaine dernière, suite à la décision de Maia Sandu dengager la responsabilité de son cabinet sur ladoption dun projet de modification de la Loi des parquets qui accorde des droits supplémentaires au premier ministre dans le processus de sélection des candidats aux fonctions de procureur général. La porte-parole de la cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a souligné que la relation de lUE avec la République de Moldova continuerait à reposer sur le respect de lEtat de droit et des normes démocratiques.



    Musique – Le chef dorchestre roumain Cristian Măcelaru a été désigné pour prendre la direction musicale de lOrchestre national de France. A partir du 1er septembre 2021, il succédera à Emmanuel Krivine, au pupitre de lune des plus prestigieuses formations symphoniques de France. Măcelaru, 39 ans, sest fait remarquer à léchelle internationale en 2012, lorsquil est devenu directeur musical de lOrchestre symphonique de Chicago, aux Etats-Unis. A présent, il occupe les fonctions de directeur musical et de chef dorchestre du Festival de musique contemporaine de Cabrillo, en Californie et celle de chef dorchestre principal de lOrchestre symphonique de la Radiodiffusion de Cologne, en Allemagne. Né à Timisoara, dans louest de la Roumanie, il sest établi aux Etats-Unis à lâge de 17 ans. Considéré comme un des grands chefs dorchestre du monde entier, Măcelaru dirige des orchestres prestigieux des Etats-Unis et dEurope.



    Météo – Dans le prochain intervalle de 24 heures, les températures continueront à se situer en dessus de la normale de saison. Les maxima de lair sétaleront entre 15° et 24°. Le ciel sera couvert sur la plupart du territoire, notamment dans lOuest, où il pleuvra.


  • Elezioni in Romania: schede scrutinate al 99%, ballottaggio Iohannis-Dăncilă il 24 novembre

    Elezioni in Romania: schede scrutinate al 99%, ballottaggio Iohannis-Dăncilă il 24 novembre

    Il 24 novembre, il presidente uscente, Klaus Iohannis, appoggiato da Partito Nazionale Liberale (al governo) e l’ex premier socialdemocratica, Viorica Dăncilă, andranno al ballottaggio per la massima carica nello stato. Secondo i dati annunciati dall’Ufficio Elettorale Centrale dopo lo spoglio di circa il 99% delle schede, Klaus Iohannis ha ottenuto il 37,49% dei consensi, mentre Viorica Dăncilă il 22,69%. Al terzo posto si è piazzato il leader dell’USR, Dan Barna, con il 14,73%. Gli altri 11 candidati hanno ottenuto tra lo 0,1 e circa il 9% dei voti. L’affluenza nazionale alle urne si è attestata al 47,66%. Numerosa la partecipazione tra i romeni all’estero, dove, lungo tre giorni, hanno votato oltre 675.000 cittadini.

  • 11.11.2019 (mise à jour)

    Elections – Le
    président sortant Klaus Iohannis, soutenu par le Parti national libéral, au pouvoir,
    et l’ex-première ministre sociale-démocrate, Viorica Dancila, s’affronteront le
    24 novembre au second tour des élections présidentielles de Roumanie. Selon les
    chiffres rendus publics par le Bureau électoral central après le décompte des 99%
    des voix exprimées, Klaus Iohannis a recueilli, au premier tour de scrutin, 37,
    49 % des voix, alors que Viorica Dancila le suit avec 22,69% des voix. En
    troisième position se trouve le leader de l’Union Sauvez la Roumanie, Dan
    Barna, avec 14,73% des suffrages. Les 11 autres candidats ont décroché entre
    0,1% et environ 9% des voix. La présence aux urnes s’est chiffrée à 47,66%. A
    l’extérieur de la Roumanie, où les Roumains ont pu voter pendant trois jours,
    la participation au vote s’est élevée à 675 mille personnes, un record dans
    l’histoire électorale de la Roumanie.


    Economie – Le déficit commercial de la Roumanie a dépassé les 12 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année, en hausse de 2,1 milliards par rapport à la même période de l’année dernière. Selon les données publiées aujourd’hui par l’Institut national de la statistique, les exportations pour la période janvier – septembre 2019 s’élèvent à 51,8 milliards d’euros, en hausse de 2% par rapport à 2018. Les importations se sont chiffrées à 63,8 milliards d’euros, en augmentation, elles, de 5,1%. Les biens qui pèsent dans la balance commerciale sont notamment les automobiles, les équipements de transport et autres biens manufacturés.



    Vétérans – La Journée des vétérans et des héros tombés sur les théâtres dopérations a été marquée lundi par des cérémonies militaires à Bucarest et dans les principales garnisons de Roumanie. Des actions similaires ont eu lieu dans les cimetières militaires et aux monuments consacrés aux soldats roumains. La journée des vétérans coïncide avec lentrée en vigueur le 11 novembre 1918 de larmistice entre lEntente et lAllemagne qui a mis fin à la Première Guerre mondiale. Ce fut également le 11 novembre, mais en 2003, que Iosif Silviu Fogoras est tombé sur le champ dhonneur. Iosif Silviu Fogoras, promu sous-lieutenant à titre posthume, a été le premier militaire roumain tué sur le théâtre dopérations de larmée roumaine en Afghanistan. La journée des vétérans a été instituée en 2014 en signe de reconnaissance au personnel de larmée roumaine qui a participé à des actions de combat.



    Marine – La frégate roumaine Regele Ferdinand participe jusqu’au 20 novembre à un exercice multinational de lutte anti-sous-marine, organisé en Méditerranée par les forces navales turques, fait savoir l’État-major des Forces navales roumaines. L’équipage du bâtiment de guerre roumain mènera des activités d’instruction spécifiques dans les eaux territoriales de la Turquie et dans les eaux internationales adjacentes, aux côtés de camarades de plusieurs pays : Bulgarie, Canada, Grèce, Jordanie, Italie, Mexique, Pakistan, Espagne, Etats-Unis et Turquie. Selon les Forces navales roumaines, la participation de la frégate Regele Ferdinand à cet exercice contribue à l’accroissement de l’interopérabilité entre les marins roumains et ceux des pays partenaires, ainsi qu’à promouvoir le professionnalisme de l’Armée roumaine en milieu international.



    Tennis – La paire formée par le Roumain Horia Tecău et le Néerlandais Jean-Julien Rojer sest inclinée lundi devant le duo Garros Kevin Krawietz / Andreas Mies, lors du premier match du Groupe Max Mirnyi du tournoi des champions de Londres, score 7-6, 4-6, 10-6. Horia Tecău et Jean-Julien Rojer rencontreront mercredi les Colombiens Juan Sebastian Cabal et Robert Farah, vainqueurs à Wimbledon et à lUS Open. Horia Tecău et Jean-Julien Rojer ont remporté le tournoi des champions en 2015. Le duo roumano-néerlandais a décroché cette année des titres aux compétitions de Madrid et de Bâle.



    Météo – Dans le prochain intervalle de 24 heures, les températures, plus élevées que la normale de saison, se situeront entre 15° et 24°. Le ciel sera couvert sur louest, le sud-ouest et le centre du territoire ainsi quen haute montagne, où lon attend de faibles pluies.


  • Präsidentschaftswahl in Rumänien in den internationalen Medien

    Präsidentschaftswahl in Rumänien in den internationalen Medien

    Die internationale Presse hat über das Ergebnis des ersten Wahlgangs der Präsidentschaftswahlen in Rumänien berichtet. Laut Euronews wird der Amtsinhaber Iohannis, wenn er eine zweite Amtszeit gewinnt, bei Wiederwahl die Möglichkeit haben, Generalstaatsanwälte ins Amt einzuführen, die sich für die Bekämpfung der endemischen Korruption einsetzen, unterstützt von der liberalen Minderheitsregierung von Premier Ludovic Orban. Laut Euronews sind Politikbeobachter der Meinung, dass ein Sieg für Iohannis die Chance der Liberalen Partei darstelle, nach einer im Jahr 2020 anstehenden Parlamentswahl eine Koalitionsregierung zu bilden und das Vertrauen der Investoren wiederherstellen, das durch mehrjährige politische Instabilität und fiskalische Gro‎ßzügigkeit untergraben wurde”.



    Nach Angaben der italienischen Seite von Euronews könnte die Wiederwahl von Iohannis den institutionellen Konflikt zwischen der Präsidentschaft und den sozialdemokratischen Regierungen beenden, der in den letzten Jahren ein roter Faden für die rumänische Politik war. Die britische Nachrichtenagentur Reuters betonte ebenfalls, dass eine Wiederwahl von Iohannis das Vertrauen der Investoren wiederherstellen soll, die Jahre lang von politischer Instabilität und fiskalischer Trägheit untergraben wurde”. Die “New York Times” schreibt wiederum, dass der Sieg des rumänischen amtierenden Präsidenten Klaus Iohannis, den der Westen für den Kampf gegen Korruption gelobt hat, das Vertrauen der Investoren nach vielen Jahren politischer und finanzieller Instabilität stärken könnte. Die französische Publikation Le Figaro” schreibt, dass das Ergebnis der Präsidentschaftswahlen das proeuropäische Engagement Rumäniens stärken wird.



    Die Presseagentur Associated Press berichtet ebenfalls: Bei der Präsidentschaftswahl in Rumänien ist der Pro EU-Kandidat Favorit. Associated Press zitiert den rumänischen Politikbeobachter Andrei Taranu laut dem, die durch die politische Krise verursachte Polarisierung für die Hauptakteure Iohannis und Dăncilă gut funktionierte. Damit blieben Klaus Iohannis und Viorica Dancila im Rampenlicht, während andere Kandidaten kaum eine Chance hatten, sich auf der politischen Bühne durchzusetzen.

  • La droite et la gauche en finale à la présidentielle

    La droite et la gauche en finale à la présidentielle

    Le premier tour de la présidentielle de Roumanie n’a pas été marqué par des surprises, donc le 24 novembre verra la confrontation entre le candidat de la droite libérale, le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, et la présidente du Parti social-démocrate, Viorica Dăncilă. La surprise aurait été la qualification en finale du candidat de l’alliance entre l’Union Sauvez la Roumanie et PLUS, Dan Barna, ce qui aurait donné lieu à une dispute à peu près sur les mêmes coordonnées idéologiques. Barna est arrivé 3e, avec un score nettement moindre par rapport à celui que l’alliance avait obtenu aux récentes élections européennes, ce qui ne restera peut-être pas sans conséquences politiques. Klaus Iohannis a fêté la victoire avec les libéraux, et souhaite la parachever dans deux semaines. Adversaire irréductible des sociaux-démocrates, qu’il tient pour responsables des réformes pernicieuses en matière de justice et d’économie, Klaus Iohannis a mis en garde que ces derniers n’étaient pas encore vaincus et a appelé l’électorat à voter. Klaus Iohannis :



    « Mes chers, la guerre contre le PSD n’est pas terminée, nous avons encore une bataille à livrer, il reste encore un pas à franchir dans deux semaines. Et pour le second tour, et là je m’adresse à ceux qui ont été dans la rue avec moi pour défendre l’Etat de droit, venez voter, pour que notre lutte ne s’avère pas vaine ! A ceux qui souhaitent des hôpitaux, des écoles, des autoroutes, je dis : « venez voter, pour écarter définitivement le PSD du pouvoir et faisons tout cela ensemble ! » A ceux qui ne veulent plus voir leurs enfants et leurs petits-enfants quitter le pays, je dis : Venez voter, parce que c’est maintenant que nous pouvons changer les choses ! Et à ceux, nombreux, de la diaspora, qui sont déjà partis, je dis : Venez voter, parce que maintenant vous pouvez faire la différence ! »



    Pour sa part, la cheffe du PSD a affirmé qu’elle ne luttait pas contre un parti, mais pour l’unité et la dignité des Roumains, et s’est déclarée confiante en la victoire. Viorica Dăncilă :



    « Merci à tous ceux qui ont voté avec leur cœur. Le vote de ce jour indique la confiance. Le vote de ce jour nous aide à poursuivre la campagne électorale, une campagne pendant laquelle nous nous présenterons devant les Roumains, tant avec les choses que nous avons accomplies, mais surtout avec ce que nous souhaitons réaliser pour eux quand nous gagnerons la présidentielle. Notre combat n’est pas contre un parti, nous ne souhaitons éliminer aucun parti politique, parce que la démocratie est ainsi faite, et chaque parti a son point de vue à affirmer. Notre combat sera, comme jusqu’ici, pour les Roumains, pour la Roumanie, pour l’équilibre et le consensus, pour l’unité, pour la représentation de la Roumanie avec dignité, tant au plan intérieur qu’au plan extérieur. »



    Les sociologues considèrent que l’électorat qui a préféré Klaus Iohannis est au milieu, entre les électeurs de Dan Barna — notamment des jeunes, avec des études niveau bac ou supérieures, salariés — et ceux qui sont attirés par Viorica Dăncilă, soit les personnes âgées, les retraités, avec des études élémentaires ou moyennes. Ainsi, le président en exercice a de son côté plus de la moitié des électeurs entre 35 et 64 ans, avec des études moyennes, et salariés. Le taux de participation au premier tour a été inférieur à 48% et c’est le moindre jamais enregistré à une présidentielle. En revanche, les Roumains de la diaspora ont fait preuve d’une mobilisation exemplaire, et le nombre de ceux qui ont fait le déplacement aux bureaux de vote, corroboré aux 25.000 qui ont voté par correspondance, a atteint le chiffre record de 675.000. Ils ont pu voter pendant trois jours, justement pour éviter les files interminables et le stress qui ont marqué le vote dans la diaspora au précédent scrutin présidentiel et aux dernières élections pour le PE. A l’étranger, la hiérarchie des candidats est différente. Klaus Iohannis est également en tête, avec plus de 50%, mais il est suivi par Dan Barna, alors que Viorica Dăncilă arrive à peine en 5e position, avec environ 3% des suffrages.


    (Trad. : Ligia)

  • Dreapta şi Stânga în finala prezidenţială

    Dreapta şi Stânga în finala prezidenţială

    Turul unu al prezidenţialelor din România a
    fost ferit de suprize, astfel că în runda decisiva, pe 24 noiembrie, se vor
    confrunta candidatul dreptei liberale, actualul preşedinte Klaus Iohannis, şi
    şefa social-democraţilor, Viorica Dăncilă. Surpriza ar fi fost calificarea în
    finală a candidatului Alianţei USR – PLUS, Dan Barna, şi o dispută ce s-ar fi
    purtat cam pe aceleaşi coordonate ideologice. Barna a ieşit, însă, pe locul al
    treilea, cu un scor mult sub cel obţinut de USR -PLUS la recentele europarlamentare,
    ceea ce nu va rămâne, probabil, fără consecinţe politice.


    Klaus Iohannis s-a
    bucurat cu liberalii de victorie, una pe care o vrea desăvârşită peste două
    săptămâni. Adversar ireductibil al social-democraţilor, pe care îi consideră
    răspunzători de reforme pernicioase în justiţie şi economie, Iohannis a
    avertizat că aceştia nu sunt încă învinşi şi a chemat electoratul la vot. Klaus
    Iohannis: Dragii mei, războiul cu PSD nu s-a încheiat, mai avem o luptă, mai avem
    un pas peste două săptămâni. Iar pentru următoarea rundă, pentru turul doi, le
    spun celor care au fost în stradă împreună cu mine ca să apere statul de drept,
    veniţi la vot, pentru ca lupta voastră să nu fi fost în zadar! Celor care îşi
    doresc spitale, şcoli, autostrăzi, le spun veniţi la vot, ca să înlăturaţi
    PSD-ul definitiv de la putere şi să facem împreună toate aceste lucruri! Celor
    celor care nu mai doresc să le plece copiii şi nepoţii din ţară, veniţi la vot,
    fiindcă acum putem să schimbăm lucrurile! Iar celor mulţi – am văzut astăzi -
    din diaspora, care sunt deja plecaţi, le spun: Veniţi la vot, fiindcă acum
    puteţi să faceţi diferenţa!


    De partea ei, şefa PSD a declarat că luptă
    nu împotriva unui partid, ci pentru unitatea şi demnitatea românilor, şi s-a
    declarat încrezătoare în victorie. Viorica Dăncilă: Mulţumesc tuturor celor care au
    votat cu inima. Votul dat astăzi arată încrederea acordată. Votul dat astăzi ne
    ajută să ne continuăm campania electorală, o campanie electorală în care vom
    veni în faţa românilor, atât cu ceea ce am realizat, dar, mai ales, cu ce vrem
    să facem pentru ei când vom câştiga alegerile prezidenţiale. Lupta noastră nu
    este împotriva unui partid politic, nu vrem să eliminăm niciun partid politic,
    pentru că aşa este democraţia, fiecare partid politic trebuie să îşi spună
    punctul de vedere. Lupta noastră va fi, ca şi până acum, pentru români, pentru
    România, pentru echilibru şi consens, pentru unitate, pentru reprezentarea cu
    demnitate a României, atât în plan intern, cât şi în plan extern.


    Sociologii
    spun că electoratul care l-a
    preferat pe Klaus Iohannis este situat la mijloc, între alegătorii lui Dan
    Barna – în proporție ridicată tineri, cu studii medii sau superioare, angajați
    – şi cei atraşi de Viorica Dăncilă, adică vârstnici, pensionari, cu studii
    elementare sau medii. Astfel, actualul preşedinte are peste jumătate din
    alegători între 35 și 64 de ani, cu studii medii, angajați. Prezenţa la primul tur
    a fost sub 48% şi este cea mai mică înregistrată vreodată la un scrutin
    prezidenţial.


    În schimb, românii din afara graniţelor s-au
    mobilizat exemplar, iar numărul celor care au mers la urne, cărora li se adaugă
    cei 25 de mii care au optat pentru vot prin corespondenţă, o premieră
    organizatorică, a atins cifra record de 675 de mii. Ei au putut vota pe
    parcursul a trei zile, tocmai pentru a se evita cozile interminabile şi stresul
    care au marcat procesul de votare în diaspora la precedentul scrutin
    prezidenţial şi la recentele alegeri europarlamentare. În străinatate, ierarhia
    candidaţilor arată diferit. Klaus Iohannis este câştigător şi aici, cu peste
    50%, dar e urmat de Dan Barna, în vreme ce Viorica Dăncilă e abia a cincea, cu circa
    3%.

  • Les élections présidentielles de Roumanie font la une des publications internationales

    Les élections présidentielles de Roumanie font la une des publications internationales

    Déroulé dimanche, le premier tour de scrutin des présidentielles roumaines a suscité lintérêt des médias internationaux. Si lactuel président roumain, Klaus Iohannis, est reconduit à la tête du pays, “il aura la chance, avec lappui du gouvernement minoritaire du libéral, Ludovic Orban, de mettre en place des procureurs en chef intéressés à combattre la corruption” écrit lundi matin le site Euronews.



    Selon la même source, “à en croire les observateurs, en cas de victoire de Iohannis, le PNL verra accroître ses chances de former un gouvernement de coalition aux élections générales de 2020, en restaurant ainsi la confiance des investisseurs, érodée par les années dinstabilité politique et de générosité fiscale”. Sur sa page en italien, la même publication affirme quune victoire de Iohannis “mettrait un terme au conflit institutionnel entre la présidence et les gouvernements sociaux- démocrates qui perdure depuis des années”. Alors que lagence britannique Reuters renforce les propos dEuronews, en précisant quune possible réélection de Iohannis “redonnerait la confiance des investisseurs”, le New York Times écrit que la victoire de lactuel chef dEtat, libéral, félicité par lOccident pour son combat anti-corruption, pourrait renforcer la position de son parti et, implicitement, les chances de former un cabinet de coalition.



    Le libéral Klaus Iohannis “serait arrivé largement en tête au premier tour de lélection présidentielle dimanche confortant lancrage pro-européen de la Roumanie et devrait affronter au second tour lex-Première ministre sociale-démocrate Viorica Dancila, selon deux sondages sortie des urnes”, écrit à son tour Le Figaro. Un point de vue partagé par Associated Press qui marque en ce lundi : “Le candidat pro-européen reste au sommet des préférences électorales”.



    Lagence reprend les propos de lanalyste Andrei Taranu selon lequel “la polarisation déterminée par la crise politique roumaine a privilégié les candidats les deux premiers classés. Un contexte qui a mis sous le feu des projecteurs Iohannis et Dancila, puisque les autres candidats nont pas eu la chance davancer sur le devant de la scène politique roumaine”. (trad: Ioana Stancescu)


  • Elezioni in Romania: risultati provvisori, Iohannis vince primo turno, urne chiuse anche all’estero

    Elezioni in Romania: risultati provvisori, Iohannis vince primo turno, urne chiuse anche all’estero

    18.744 seggi scrutinati in Romania dopo le elezioni svoltesi ieri, riconfermano al primo posto, con il 36,66% dei consensi, il presidente uscente Klaus Iohannis, in rappresentanza del Partito Nazionale Liberale. Secondo i dati resi noti dall’Autorità Elettorale Permanente, degli 8.543.297 voti validi, il candidato liberale ha ottenuto 3.131.591. Al secondo posto si piazza la candidata socialdemocratica Viorica Dăncilă, con il 23,80% (2.033.106 voti), seguita da Dan Barna (Unione Salvate Romania USR-PLUS) – 13,99% (1.195.475 voti), Mircea Diaconu (Alleanza UN OM – UN UOMO) – 9,26% (790.685 voti), Theodor Paleologu (PMP – Partito del Movimento Popolare) – 5,66% (483.870 voti).

    Intanto, la votazione si è conclusa con la chiusura degli ultimi seggi sulla costa occidentale degli Stati Uniti e del Canada, alle 21:00 locali (le 7:00 in Romania). All’estero hanno votato oltre 650.000 cittadini, con la maggiore affluenza in Italia (circa 130.000 elettori) e Gran Bretagna (oltre 119.000), come indicato dalla piattaforma online dell’Ufficio Elettorale Centrale. Alta affluenza anche in Germania (quasi 102.000), Spagna (più di 89.000) e nella confinante Moldova (oltre 43.000).

    A 705 seggi scrutinati all’estero, al primo posto si riconferma sempre il candidato liberale, il presidente Klaus Iohannis, con il 53,83% dei consensi, seguito dal rappresentante dell’Alleanza USR-PLUS, Dan Barna – 26,42%.

    Secondo i dati forniti dall’AEP, delle 486.688 schede valide nei 705 seggi all’estero scrutinati, Klaus Iohannis ha raccolto 261.961 voti, seguito da Dan Barna, con 128.606. Theodor Paleologu (PMP) ha ottenuto il 6,33% (30.821 voti), Mircea Diaconu (Alleanza UN OM) – 3,67% (17.841 voti) e Viorica Dăncilă (PSD) – 2,88% (14.009 voti).

    Il 24 novembre, i romeni andranno nuovamente alle urne per il ballottaggio tra il candidato liberale, il presidente Klaus Iohannis, e la socialdemocratica Viorica Dăncilă. (traduzione di Iuliana Anghel)