Tag: aliments

  • Le Congrès annuel de l’Association des producteurs de maïs de Roumanie (II)

    Le Congrès annuel de l’Association des producteurs de maïs de Roumanie (II)

    … par les propos de Daniel Buda, vice-président de COMAGRI, la Commission de l’agriculture et du développement rural au Parlement européen. Il a souligné que ceux qui occupent temporairement des fonctions de responsabilité souhaitent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour créer toutes les conditions aux fermiers afin qu’ils puissent assurer les aliments nécessaires aux nations, dans des conditions de sécurité et à des prix accessibles pour le consommateur.




  • Des goûts et des couleurs du monde : une histoire du tannin (I).

    Des goûts et des couleurs du monde : une histoire du tannin (I).

    Cette semaine nous allons nous pencher sur une molécule. Oui une molécule qui est au centre de la vie et de la nature. Il donne des couleurs aux plantes, donne du goût aux aliments. Il peut être bénéfique, mais toxique également. Il s’agit du tannin, dont nous allons retracer l’histoire et voir la fonction avec notre invité Marc-André Sélosse qui est professeur au Museum national d’histoire naturelle.



  • 29.04.2018

    29.04.2018

    Vétérans – La Roumanie marque ce dimanche la Journée nationale des Vétérans de guerre, l’occasion de reconnaître les mérites de tous ceux ayant défendu sur le champ de bataille l’indépendance, la souveraineté, l’intégrité territoriale et les intérêts de la Roumanie. Le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, a remercié les vétérans de guerre pour tout ce qu’ils ont fait au service de la patrie. Dans un discours, le chef de l’Etat a rappelé le prix que l’Armée a du payer au nom des générations futures. Dans cette année du centenaire de la grande union des principautés roumaines, les efforts des soldats roumains sont encore plus visibles, a-t-il dit avant d’ajouter « partout où ils se trouvent- en Afghanistan, en Irak ou dans les Balkans occidentales, les soldats roumains sont au service de la Roumanie, en défendant ses intérêts sécuritaires aux côtés de ses alliés et partenaires ». Célébrée chaque année depuis 2008, cette journée est marquée quatre jours durant dans toutes les garnisons du pays par des cérémonies militaires et religieuses, des assemblées solennelles, des spectacles et des expositions. Des manifestations à la mémoire des militaires roumains ont eu lieu aussi en République Tchèque, en République de Moldova, en Russie, en Slovaquie et en Hongrie.

    Justice – La Commission parlementaire spécialisée de Roumanie entame le 2 mai les débats autour des propositions de modifications apportées au Code pénal, au Code de procédure pénale, ainsi que du Code de procédure civile. Le but est de mettre les trois codes en concordance avec les décisions de la Cour constitutionnelle, de la Cour européenne pour les droits de l’Homme et avec les directives européennes en la matière. Sur l’ensemble des modifications envisagées rappelons la confiscation des biens utilisés à des délits commis dans l’espace communautaire, un délai d’auto dénonciation de faits frauduleux de 6 mois accordés aux coupables qui pourraient ainsi se faire pardonner par la justice ou encore des peines infligées aux fonctionnaires publics accusés de corruption et de trafic d’influence uniquement s’ils ont également agi concrètement en ce sens. La présomption d’innocence et le droit des condamnés pour des faits pénaux quant à leur présence au procès seront aussi mis en concordance avec la législation européenne. Par ailleurs, le projet de loi prévoit également une modification du régime d’exécution des peines privatives et restrictives de liberté, pour offrir la possibilité d’une libération conditionnelle à mi-peine à la place de deux tiers de la peine ou même à un tiers dans le cas des personnes de plus de 60 ans. Rappelons qu’en hiver dernier, le Parlement a adopté une série de modifications des lois de la Justice portant sur le statut des magistrats, l’organisation judiciaire et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature qui ont provoqué d’amples mouvements de protestations.

    Défense – Le ministre roumain de la défense, Mihai Fifor, se trouve en Jordanie jusqu’au 2 mai, pour participer à la réunion du Processus Aqaba. A cette occasion, le ministre roumain sera reçu par le roi Abdallah II et aura un entretien avec le général Mahmoud Freihat, président du Comité réuni des chefs d’Etats-Majors des Forces armées jordaniennes. Le Processus Aqaba est une plate-forme de dialogue stratégique lancée en 2015, en vue de la coordination des actions de la communauté internationale contre le terrorisme et l’extrémisme. Quatre réunions ont déjà eu lieu, les pays participants étant intéressés par la consolidation de la stabilité et de la sécurité, quel que soit le contexte géopolitique ou géostratégique de la région du monde où ils se trouvent.

    Réunion – Le ministre roumain de l’Agriculture, Petre Daea, se rendra le 30 avril, à Sofia, en Bulgarie voisine, pour y participer à une réunion de ses homologues européens sur le double standard de la qualité des denrées alimentaires dans l’UE. La Commission européenne s’apprête à lancer au mois de mai une campagne de dépistage des doubles standards de qualité à travers des testes chimiques et sensoriels impliquant au moins 16 pays communautaires. Suite à des testes similaires effectués en 2017, 9 produits de Roumanie parmi les 29 pris en compte ont affiché un standard de qualité différent par rapport à celui affiché par des produits similaires commercialisés ailleurs, dans l’UE.

    Visas – Presque un million 500 milles citoyens moldaves ont profité de la libéralisation du régime des visas mis en place par l’UE le 28 avril, 2014. Concrètement, depuis ce jour- là, tout citoyen moldave détenteur d’un passeport biométrique peut entrer et circuler sans visa dans l’espace Schengen pour une période n’excédant pas 90 jours par semestre et 180 jours par an. Selon Radio Chisinau qui cite la Police de frontière de la République de Moldova, le nombre de voyageurs moldaves s’est multiplié d’une année à l’autre, en passant de 300 milles en 2014 à 1,5 millions l’année dernière. La République de Moldova fut le premier Etat du Partenariat oriental de l’UE à s’être vu accorder ce régime de visas libéralisé.

    Week-end – Plus de 50.000 Roumains ont pris d’assaut les stations au bord de la Mer Noire pour y passer leurs vacances occasionnées par le pont du 1er Mai. L’occasion pour le Ministère des Affaires Intérieures de mobiliser quelque 700 policiers et gendarmes pour un plus de sécurité. Par ailleurs, une dizaine de milliers de vacanciers se trouvent ces jours-ci au Delta du Danube, tandis que des milliers de touristes ont déferlé dans les stations de montagne dans la Vallée de la Prahova où les hôtels affichent complet. Des rames de trains supplémentaires ont été introduites vers les stations les plus recherchées, tandis que sur les routes, 300 radars sont en fonctions et 1500 policiers surveillent le trafic.

    Météo – Il fait beau en Roumanie et particulièrement chaud pour cette fin avril. Le ciel est plutôt bleu, sauf dans l’extrême ouest et nord-ouest où des orages sont signalés. Les maxima du jour vont de 22 à 32 degrés. 22 degrés à midi, à Bucarest.

  • A la une de la presse roumaine 07.03.2018

    A la une de la presse roumaine 07.03.2018

    Des aliments de qualité inégale selon le pays- un rapport du Parlement européen en parle. Le sujet est repris par Adevarul qui en fait sa une. A son tour, le journal Gandul tire la sonnette d’alarme quant à la hausse du PIB en Roumanie, une croissance soutenue par la consommation, s’alarment les experts. Et puis, avoir accès aux fonds européens, ce n’est pas affaire facile. Du coup, les municipalités locales de Roumanie préfèrent se remettre au budget de l’Etat, titre Jurnalul National.

  • A la Une de la presse roumaine – 24.11.2017

    A la Une de la presse roumaine – 24.11.2017

    La presse nationale consacre d’amples articles à la Justice roumaine et notamment à la réforme de celle-ci. Les quotidiens la mettent en rapport aussi avec les mesures visant les institutions judiciaires en Pologne, qui ont provoqué de vives critiques de la part des leaders européens.

  • A la Une de la presse roumaine 21.11.2017

    A la Une de la presse roumaine 21.11.2017

    Une nouvelle fait le tour de la presse roumaine ce mardi : « la fortune de Liviu Dragnea (chef du Parti Social-Démocrate et président de la Chambre des députés de Bucarest) a été mise sous séquestre ». Le Conseil de la Concurrence explique la flambée des prix des aliments, alors que le PSD dresse le bilan de ses 10 mois de gouvernance, un bilan que la presse détruit carrément.

  • Pourquoi les prix ont-ils augmenté ?

    Pourquoi les prix ont-ils augmenté ?

    Depuis plusieurs années, les Roumains sont confrontés à une situation qui se répète constamment avant les fêtes d’hiver et puis avant Pâques : la majoration inexplicable du prix des produits alimentaires. Les commerçants ont été les premiers à être accusés de profiter de ces périodes, lorsque la consommation dépasse de loin la moyenne annuelle. De toute façon, à la veille des fêtes, les consommateurs sont prêts à dépenser n’importe combien pour pouvoir préparer des festins dont ils sont habitués.

    Mais cette année, les majorations de prix sont beaucoup plus sévères que d’habitude. Le prix des œufs, de la viande et des laitages et notamment du beurre a même doublé dans les étals de certains supermarchés. Dans le cas des œufs, la majoration des prix est due à une baisse de la production suite à l’arrivée de l’hiver, mais aussi à la crise du marché européen provoqué par le scandale de la contamination au Fipronil, qui a touché des fermes aux Pays-Bas, en France et en Belgique.

    Une crise européenne est également invoquée lorsqu’il s’agit de la majoration du prix du beurre. Pourtant pour ce qui est du prix de la viande, celui-ci est supérieur même si selon l’Association roumaine des éleveurs et des exportateurs, dans le cas des volailles et du porc, le prix du produit à la sortie de la ferme a baissé de 30% par rapport à l’année dernière. Même le ministre de l’agriculture de Bucarest, Petre Daea affirme que les majorations de prix sont injustifiables : « Nous avons analysé chaque produit présent dans les étals en commençant par le producteur. Nous avons constaté que les coûts de production des fermiers sont les mêmes. Nous n’avons pas identifié d’éléments objectifs qui puissent justifier un tel prix. Nous avons demandé une réponse du Conseil de la Concurrence, parce que c’est l’institution habileté pour faire ce genre de choses. Ce sont eux qui disposent de tous les instruments légaux d’identifier s’il existe d’autres facteurs perturbateurs sur le marché » a explique Petre Daea.

    Parmi les facteurs susceptibles d’influencer les coûts de production et de transport, figure aussi la majoration des tarifs énergétiques et du prix des carburants, ainsi que la dépréciation de la monnaie nationale le leu par rapport à l’Euro. Mais la totalité de ces facteurs n’aurait pas pu provoquer une majoration du simple au double du prix des produits alimentaires, déclare le président des syndicats de l’industrie alimentaire, Dragos Frumosu : « Il est difficile de pénaliser quelqu’un parce qu’en fin de compte il s’agit d’un marché libre. Le problème c’est l’attitude de mépris de ceux qui font augmenter les prix envers les consommateurs qui leur mettent quotidiennement de l’argent dans la poche », explique Dragos Frumosu. Alors que celui-ci accuse un « jeu » au niveau international au bénéfice des producteurs, le président du patronat de l’industrie alimentaire Sorin Minea ne croit pas en une théorie de la conspiration. Il affirme que les actuelles augmentations des prix ne constituent que le début d’un processus dont les effets majeurs seront visibles au cours de l’année prochaine.


    « La majoration des prix à l’avenir inclura des coûts supplémentaires : électricité, énergie, carburants, inflation, dépréciation du leu, majoration du salaire brut. Tous ces éléments contribueront à la création d’un nouveau prix » explique Sorin Minea. Selon les chiffres de l’Institut national des statistiques, durant les dix premiers mois de cette année, le prix de l’électricité a progressé de plus de 7%, le prix de l’énergie thermique a augmenté de 3% et celui du gaz de 2%. (Roxana Vasile)

  • La sécurité alimentaire, en débat

    La sécurité alimentaire, en débat

    Près de 70% des maladies affectant les Roumains sont provoquées par les aliments et par la manière de se nourrir, alors que les additifs alimentaires sont considérés la 3e cause de mortalité au niveau mondial, après la consommation de drogues et de médicaments et après les accidents de la route. L’usage des additifs n’est pas justifié lorsque la dose utilisée met en danger la santé du consommateur, diminue la valeur nutritionnelle du produit alimentaire ou masque certains défauts majeurs, cachés, des aliments. La plupart des denrées alimentaires contiennent des additifs, alors que beaucoup d’entre eux se sont avérés dangereux pour l’homme.

    C’est aussi pourquoi certains pays du sud-est de l’Europe ont saisi la Commission européenne sur le double niveau de qualité de certains produits. Ils accusent certaines compagnies occidentales de fournir ici des produits équivalents d’une qualité inférieure, même s’ils portent la même marque qu’en Occident. En visite à Bucarest, le commissaire européen à la Santé et à la Sécurité alimentaire, Vytenis Andriukaitis, a affirmé qu’il était absolument inadmissible qu’il y ait des produits alimentaires à double niveau de qualité, selon le pays européen dans lequel ils sont vendus. Il a promis une méthodologie commune censée permettre aux Etats membres de procéder aux analyses nécessaires, mais aussi un cadre juridique approprié. L’officiel européen a souligné que ces denrées alimentaires à double niveau de qualité affectent la santé des consommateurs à long terme, ce qui entraîne en fin de compte des coûts plus élevés. Et ce parce qu’un contenu plus élevé de sucres consommés sur le long terme crée des problèmes importants – cancer ou maladies chroniques.

    En Roumanie, un groupe de travail a été créé, formé de représentants du ministère de l’Agriculture, de l’Autorité sanitaire-vétérinaire et de la Protection des consommateurs, en vue de dépister d’éventuels doubles niveaux de qualité dans les aliments importés d’Europe Occidentale. Les résultats d’une étude comparative réalisée l’été dernier sur des aliments susceptibles d’être de qualité inférieure ont indiqué des différences dans 9 des 29 échantillons analysés, mais les officiels roumains affirment que les produits en question ne mettent pas en danger la santé de la population.

    Le sujet a été également débattu à Bratislava, à la fin de la semaine dernière, lors d’un sommet auquel la Roumanie a été représentée aussi, dans une tentative de lutter contre la vente d’aliments de qualité inférieure dans les pays ayant accédé à l’Union européenne dernièrement. Les participants se sont mis d’accord sur une nouvelle manière de coopérer, pour identifier les produits qui pourraient présenter des paramètres de qualité différents selon le marché auquel ils sont proposés. Ainsi, les experts roumains travailleront avec les députés européens pour réglementer ce secteur. (Trad. Ligia Mihaiescu)

  • 28.07.2017

    28.07.2017

    Produits alimentaires – Le premier ministre roumain Mihai Tudose a demandé au ministre de la justice, Tudorel Toader, de collaborer avec le ministère de l’agriculture et les institutions responsables de la branche, pour élaborer une norme législative qui permette de rendre public le nom des compagnies qui considèrent la Roumanie comme un pays de « deuxième catégorie », en matière de produits alimentaires susceptibles de faire l’objet d’un double standard des marques. Ce sont des denrées, vendues en Roumanie, dont la qualité est inférieure à celle des produits similaires commercialisés dans les pays occidentaux. Selon le ministère de l’agriculture de Bucarest, 9 produits alimentaires sur les 29 analysés présentaient avaient une qualité différente. La Bulgarie, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie ont elle aussi déploré le double standard alimentaire.

    Laser – C’est la journée de la Roumanie, ce vendredi à l’Exposition mondiale d’Astana, au Kazakhstan. Une nouvelle occasion de présenter le projet du plus grand laser au monde, construit à l’Institut de Physique de Magurele, près de Bucarest. Jeudi, le laser a été présenté officiellement pour la première fois, plusieurs Universités du Kazakhstan ayant déjà exprimé leur intérêt face à ce projet. Le ministre roumain des AE est présent à l’événement. Sa visite à Astana marque aussi les 25 ans de relations diplomatiques entre les deux pays. Il s’est entretenu entre autres avec le premier ministre kazakh Bakytzhan Sagintaev, l’occasion pour les deux parties d’exprimer leur intérêt pour le développement des relations bilatérales, notamment en ce qui concerne le dialogue politique et les relations économiques. Le chef de la diplomatie de Bucarest s’est également rendu dans la région de Karaganda, où vit une importante communauté roumaine, formée des descendants des habitants de la Bessarabie et de la Bucovine du nord, déportés par les Soviétiques après l’annexion, en 1940, de ces territoires roumains.

    Discussions – L’ambassadeur de Roumanie en Italie, George Bologan, se trouve en Sicile pour examiner sur place la situation des ressortissants roumains exploités ou abusés par leurs employeurs locaux. Lors des discussions avec les pouvoirs et les responsables locaux qu’il a rencontrés dans la localité de Ragusa, le diplomate a souligné qu’il revenait à ses compatriotes de préparer leur départ, en s’informant sur les conditions de travail, et d’éviter tout compromis. La situation notamment des milliers de femmes roumaines qui travaillent dans des conditions d’esclavage et qui sont abusées sexuellement dans les fermes de Sicile a aussi fait l’objet de vifs débats au Parlement européen.

    Universiade d’été – La Roumanie sera présente, à Taipei (Taiwan), à la 29e édition de l’Université d’été, avec une délégation de 91 sportifs. Les athlètes tricolores participeront, du 19 au 30 août, aux compétitions d’haltérophilie, tennis de table, athlétisme, volley masculin, natation, basket masculin, gymnastique artistique, escrime et judo. A l’édition précédente, qui a eu lieu en 2015, en Corée du sud, la Roumanie avait occupé la 29e place au classement par nations, avec un palmarès de 7 médailles (1 d’or, 3 d’argent et 3 de bronze). Dans le passé, Bucarest a accueilli les éditions 1951 et 1981 de l’Universiade d’été, le plus grand événement sportif au monde, après les Jeux olympiques.

    Accident – Un Roumain a été légèrement blessé dans l’accident de train qui s’est produit ce matin dans une gare de Barcelone, en Espagne. Le Consulat général de Roumanie sur place a contacté les autorités locales pour obtenir des informations supplémentaires sur d’autres éventuelles victimes roumaines. Un communiqué du ministère roumain des affaires étrangères précise que le Consulat général est préparé à répondre aux sollicitations et accorder de l’assistance consulaire. Un grave accident de train a eu lieu ce matin à Barcelone, dans la gare Francia, au centre de la ville. Une cinquantaine de personne ont été blessées.

    Football – En football, deux égalités et une défaite – c’est le bilan des trois équipes roumaines présentes dans la Ligue Europa, après la soirée des matchs-aller du troisième tour de qualification. Dinamo Bucarest et Astra Giurgiu ont comptabilisé les égalités devant l’équipe espagnole Athletic Bilbao (1 partout) et respectivement le club ukrainien FK Oleksandria (score nul). De son côté, Universitatea Craiova s’est incliné (0 à 1) devant les Italiens d’AC Milan.

    Météo – Il fait moins frais aujourd’hui en Roumanie, mais les pluies continuent dans le sud-est, le nord, le nord-est, le centre et les régions de montagne. Les températures vont de 21 à 31 degrés. 19 degrés à midi à Bucarest.

  • A la Une de la presse roumaine 27.07.2017

    A la Une de la presse roumaine 27.07.2017

    Politique, économie, fraude aux diplômes et aux et aliments — tout s’enchaîne – voilà les sujets les plus amplement débattus par les journaux bucarestois en ligne.




  • A la Une de la presse roumaine 19.05.2017

    A la Une de la presse roumaine 19.05.2017

    Sujets des plus divers dans la presse
    roumaine d’aujourd’hui. Le sujet du double standard des aliments revient dans
    l’actualité. La presse nationale publie le classement des pays ayant le
    meilleur système sanitaire au monde, mais aussi le classement national de la
    mortalité dans les hôpitaux. En fin, on constate que « les lois des forêts sont
    contradictoires » et donc impossible à mettre en œuvre.

  • La semaine du 27 février au 04 mars 2017

    La semaine du 27 février au 04 mars 2017

    Réactions au scénario concernant une Europe à deux vitesses

    Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a présenté, ce mercredi, 5 possibles scénarios au sujet de l’avenir de l’Union après le Brexit. Le document – un Livre blanc – fait une analyse des éventuelles évolutions de l’UE sur les dix prochaines années, depuis l’impact des nouvelles technologies sur la vie de la société et sur les emplois aux interrogations liées à la mondialisation, à la situation sécuritaire et à la montée des populismes. Les cinq scénarios vont de limiter le marché unique européen jusqu’à une Europe fédéralisée. Parmi ces scénarios figure aussi l’option d’une Europe à plusieurs vitesses, dans laquelle certains Etats membres se développeraient de manière plus rapide, sans que le reste du bloc communautaire soit tenu de suivre le même rythme.

    L’option a déjà provoqué de l’inquiétude dans l’Est, y compris en Roumanie. Bucarest rejette une Union européenne à plusieurs vitesses – c’est le message des autorités, selon lesquelles une intégration différenciée peut approfondir les décalages économiques et sociaux entre les Etats membres. L’eurodéputé social-démocrate roumain Victor Boştinaru a demandé un débat politique au niveau national en marge du concept d’une UE à plusieurs vitesses. Le sujet a été abordé aussi par le président roumain Klaus Iohannis à la rencontre avec le premier ministre maltais, Joseph Muscat, dont le pays détient la présidence tournante de l’UE. Le chef de l’Etat roumain s’est prononcé fermement contre l’idée d’une Europe à plusieurs vitesses, affirmant que de telles formules de reconfiguration de l’Union pourraient mener au démantèlement du projet européen. Tant le président que le premier ministre roumain, Sorin Grindeanu, ont souligné dans leurs discussions avec le chef du gouvernement maltais la nécessité d’avoir une position unitaire au niveau communautaire en ce qui concerne le maintien du marché intérieur et des droits des citoyens européens en Grande Bretagne, après le Brexit. Les premiers ministres roumain et maltais se sont également penchés sur les préparatifs de la reprise par la Roumanie de la présidence tournante de l’UE, au premier semestre 2019.

    Attirer des fonds européens, priorité majeure du gouvernement Grindeanu

    La priorité majeure du gouvernement roumain, c’est d’attirer 5,2 milliards d’euros de fonds européens d’ici la fin de l’année, a fait savoir Sevil Shhaideh, ministre du Développement régional et vice-premier ministre. Bucarest a perdu 3,5 milliards d’euros, somme qu’il aurait pu utiliser entre 2007 et 2013. Par ailleurs, la Roumanie n’a absorbé jusqu’ici que 1% des près de 30 milliards d’euros qui lui sont alloués pour la période 2014-2020, alors qu’à l’échelle européenne le taux d’absorption pour le même calendrier financier est de 3%. A Varsovie, où elle a participé à la réunion des ministres responsables de la politique de cohésion des pays du Groupe de Visegrád (Pologne, République tchèque, Hongrie, Slovaquie) plus Bulgarie, Croatie, Roumanie et Slovénie, la ministre roumaine pour les Fonds européens, Rovana Plumb, a affirmé, que la politique de cohésion devait demeurer le principal pilier d’investissements au niveau de l’UE après 2020. L’officiel a ajouté qu’une politique de cohésion forte et efficace engendrerait une croissance intelligente, durable et favorable à l’inclusion dans toutes les régions d’Europe.

    Enquête sur le principe deux poids, deux mesures concernant la qualité des denrées alimentaires vendues en Europe de l’Est et en Europe Occidentale

    Les autorités roumaines vérifieront la possibilité que les produits alimentaires commercialisés en Europe de l’Est soient inférieurs du point de vue de la qualité à ceux vendus en Occident, a fait savoir le ministre roumain de l’Agriculture Petre Daea. Cette décision intervient alors que les gouvernements de plusieurs pays d’Europe de l’Est accusent les producteurs alimentaires d’utiliser dans les produits commercialisés en Europe centrale et Orientale des ingrédients moins chers, même si le prix que paie le consommateur est le même. La législation européenne n’interdit pas cette pratique, l’UE demande aux fabricants d’indiquer clairement sur l’emballage tous les ingrédients utilisés. Pour leur part, les producteurs affirment que les différences de composition sont données par les goûts locaux. Les leaders des pays du groupe de Visegrad – République Tchèque, Hongrie, Pologne et Slovaquie souhaitent que l’UE prenne des mesures contre les producteurs qui utilisent des ingrédients de qualité inférieure dans les produits vendus dans des pays plus pauvres.

    Viste du ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Meleşcanu, à Budapest

    Le ministre roumain des affaires étrangères, Teodor Melescanu, s’est entretenu, lundi, à Budapest, avec son homologue hongrois, Péter Szijjártó. Dans une conférence de presse commune, le chef de la diplomatie roumaine a déclaré que la relation entre la Roumanie et la Hongrie voisine devait devenir un modèle à suivre par d’autres Etats de la région. Teodor Melescanu a fait savoir que Bucarest et Budapest envisageaient une réunion commune de leurs deux gouvernements, qui devrait être précédée par une session de la Commission mixte de coopération. A son tour, Péter Szijjártó a précisé que la relation entre la Roumanie et la Hongrie avait besoin de dialogue et il a exprimé son espoir que des thèmes bilatéraux sensibles, tels la situation des minorités ethniques, trouvent une solution. La visite du ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Melescanu, à Budapest, a également inclus un entretien avec le premier ministre, Viktor Orban, la participation à la réunion annuelle de la diplomatie hongroise où il s’est adressé aux participants, une première pour un chef de la diplomatie roumaine et une rencontre avec des représentants de la communauté roumaine.

  • Même étiquette, deux qualités?

    Même étiquette, deux qualités?

    Un produit, y compris alimentaire, acheté dans un pays Occidental est meilleur que celui de la même marqué acheté en Roumanie, c’est un constat que font de plus en plus de consommateurs roumains. De nouveaux débats autour de ce sujet sont apparus dans l’espace public roumain à la fin de la semaine dernière, dans le contexte des enquêtes déroulées par d’autres pays de l’Europe centrale. La République Tchèque, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie déplorent les différences en termes de qualité entre les produits occidentaux et ceux qui leurs sont destinés et accusent les producteurs de mettre des ingrédients inférieurs dans les produits commercialisés dans des pays plus pauvres.

    Toute initiative de vérifier la qualité des produits est salutaire, affirme le président de la fédération des patronats de l’industrie alimentaire Romalimenta, Sorin Minea. Il rappelle, pourtant, qu’en Roumanie, la grande distribution utilise souvent le concept du prix le plus bas, ce qui ne peut pas garantir la meilleure qualité. Il affirme également qu’à l’heure actuelle, il est carrément impossible d’établir des normes communes au niveau européen. Sorin Minea : « Difficile à dire s’il y a des produits conçus spécialement pour les pays de l’est. Les producteurs vendent conformément aux demandes du marché. Au cas où un réseau de grande distribution demande un produit conforme à certains paramètres et à un certain prix, le producteur respecte ses exigences. Vu que les pays de l’est sont plus pauvres, les grandes surfaces qui y sont présentes proposent des produits moins chers. Moins chers, cela veut dire aussi une qualité inférieure. Si la composition du produit est conforme à ce qu’il est écrit sur le produit, je ne sais pas ce que l’on pourrait reprocher au producteur. »

    Et pourtant, tous les produits internationaux achetés en Roumanie ne sont pas moins chers qu’en Europe Occidentale. Souvent les prix en monnaie nationale sont équivalents à ceux des produits commercialisés en euros ou en dollars dans d’autres pays.

    En attendant les conclusions de autorités, le président de l’Association de la Protection du Consommateur, Sorin Mierlea, explique comment les Roumains peuvent bénéficiers de produits d’une meilleure qualité : « Le citoyens doivent prendre attitude en formulant des saisines. Ainsi pourrons-nous avoir une évidence concrète des cas de non – conformité et nous pourrons mettre de la pression sur les autorités pour qu’elles fassent leur devoir : pour qu’elles effectuent des études et harmonisent le contexte roumain avec celui des autres Etats-membres de l’UE », a conclu Sorin Mierlea. Pour le moment, les producteurs affirment que les différences de contenu sont dictées par les goûts autochtones… (trad. Alex Diaconescu)

  • 11.02.2017

    11.02.2017

    Ministre — La ministre par intérim de la Justice, Ana Birchall, a annoncé qu’elle aurait une première rencontre avec les représentants du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), du Parquet national anticorruption (DNA) et de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme (DIICOT) ainsi qu’avec tous ceux qui ont un mot à dire dans le domaine de la Justice. Le but, c’est de trouver les meilleures solutions dans la lutte contre la corruption, mais aussi de défendre les droits fondamentaux de l’homme. Ana Birchall a précisé qu’elle n’avait pas d’agenda caché et qu’elle était ouverte à toute solution, indiquant que la décision finale devait toutefois être donnée par le Parlement. Rappelons que Mme Birchall a repris le mandat de Florin Iordache, qui a démissionné sur la toile de fond des protestations de grande ampleur engendrées par l’adoption d’un décret d’urgence, portant modification de la loi pénale. Même si le décret a été ultérieurement abrogé par le gouvernement et le ministre Iordache a démissionné, les manifestations contre le gouvernement de la coalition PSD-ALDE ont continué à Bucarest et dans d’autres villes. Des manifestations de soutien au gouvernement Grindeanu, et contre la manière dont le président du pays, Klaus Iohannis, a assuré la médiation relative au décret d’urgence entre les institutions de l’Etat ont aussi eu lieu.



    Statistique — Les Roumains occupent la première place d’un classement européen des dépenses mensuelles destinées aux aliments, avec près de 28% de l’ensemble, soit environ le triple de la moyenne de l’Union européenne. Selon un classement de l’Eurostat, les Roumains paient pour l’alcool et le tabac 5,7%, soit 4% de plus que la moyenne européenne. En revanche, la Roumanie occupe la dernière place au classement de l’UE en matière de dépenses pour les vêtements et les chaussures, avec 3,4%, par rapport à la moyenne européenne de 5%. Les Roumains sortent très peu dans des restaurants et des cafés, se situant à la dernière place, avec 1,1%, par rapport à une moyenne de près de 7%.



    Ours — L’organisation le Fonds mondial pour la nature (WWF Roumanie) a lancé une campagne de dons pour l’Orphelinat pour oursons des Carpates Orientales, la seule institution de ce type d’Europe, qui connaît des difficultés financières. La campagne se propose de communiquer aux Roumains du monde qu’ils peuvent adopter un ourson, donc qu’ils peuvent soutenir financièrement des soins pour cet animal, en vue de sa libération dans la forêt, au bout de deux ans. Plusieurs vedettes roumaines ont déjà adopté des oursons. WWF Roumanie attend que les citoyens fassent aussi des gestes similaires.



    Tennis – L’équipe de Fed Cup de la Roumanie rencontre la Belgique, en cette fin de semaine, à Bucarest, au premier tour du Groupe mondial II. Les deux premiers matchs, ceux de simple, sont prévus aujourd’hui. Monica Niculescu (36e WTA), jouera contre la Belge Kirsten Flipkens (74e WTA), et Sorana Cîrstea (62e WTA), affrontera Yanina Wickmayer (60e WTA). Dimanche, au match de simple, Niculescu jouera contre Wickmayer, puis Cîrstea rencontrera Flipkens, alors que la partie de double opposera les paires Irina Begu (29e WTA) /Patricia Tig (106e WTA) et Elise Mertens (83e WTA)/Maryna Zanevska (123e WTA). L’équipe de la Roumanie évolue sans Simona Halep, la mieux cotée dans la hiérarchie mondiale (4e WTA). La Fed Cup est la variante féminine de la Coupe Davis.



    Rugby — La sélection nationale de rugby de la Roumanie débute, aujourd’hui contre l’Allemange, sur le stade d’Offenbach sur le Main, dans une nouvelle saison de la Coupe d’Europe de rugby. Officiellement, la campagne de qualification à la Coupe du monde 2019, au Japon, commence par ce match aussi. Cette qualification allonge la durée de la compétition européenne avec les matches aller et retour. Dans la Coupe d’Europe de rugby, la Roumanie jouera le 18 février contre l’Espagne, le 4 mars contre la Russie, rencontrera la Belgique le 11 mars et affrontera la Géorgie le 19 mars.



    Météo — Le temps est particulièrement froid aujourd’hui pour cette date dans les régions à l’extérieur des Carpates et partiellement dans le centre du pays, où les températures vont généralement de –8 à –2°. Dans le reste du territoire, les températures approchent les normales de saison et vont de 0 à 7°. A Bucarest, nous avons –5°. Le ciel est variable dans les régions à l’intérieur des Carpates, mais nuageux sur le sud et l’est, où il neige faiblement par endroits.

  • A la Une de la presse roumaine 19.12.2016

    A la Une de la presse roumaine 19.12.2016

    En attendant la convocation du
    nouveau parlement et la désignation du futur premier ministre du pays, les
    quotidiens roumains traitent des sujets des plus divers, allant du rapport
    gouvernemental sur l’intervention d’urgence pendant et après l’incendie de la
    boîte de nuit bucarestoise « Colectiv » à l’analyse des raisons de
    l’absentéisme des jeunes Roumains au scrutin parlementaire de ce décembre, en
    passant la situation des importations de produits alimentaires.