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  • Ungarisches Staatstheater in Klausenburg: Das Minderheitentheater mit internationalem Renomee

    Ungarisches Staatstheater in Klausenburg: Das Minderheitentheater mit internationalem Renomee

    Das Ungarische Staatstheater in Cluj/Klausenburg hat im Laufe der Jahre sein Publikum mit wertvollen, preisgekrönten Aufführungen verwöhnt und während der letzten Spielzeiten wurde es als eines der besten Theater in Rumänien eingestuft. Neulich gab die Leitung des Ungarischen Staatstheaters die sieben Premieren bekannt, die für die Spielzeit 2015-2016 einstudiert wurden. Dazu der künstlerische Leiter András Visky:



    Das Ungarische Staatstheater hat eine Zuschauergemeinde, die eine gro‎ße Vielfalt an Aufführungen erwartet, von zeitgenössischen Projekten bis zu klassischen Stücken. Deshalb planen wir sorgfältig jede Spielzeit, um die verschiedensten Zuschauer zufrieden zu stellen. Wir versuchen auch die Kinder fürs Theater zu gewinnen, mit Projekten, die speziell für sie gedacht sind.“




    Die erste Premiere, am 9. Oktober, ist Julius Cäsar” von William Shakespeare, in der Regie von Silviu Purcărete. András Visky ist für die Dramaturgie der Aufführung verantwortlich:



    »Julius Cäsar« ist leider ein sehr aktuelles Theaterstück. Es ist ein politisches Stück, und es scheint, dass diese politische Dimension gerade die Übergangszeit, die wir erleben, aus einer universellen Perspektive darstellt. Dabei beziehe ich mich nicht auf Rumänien, sondern auf die Europäische Union. Die Art und Weise, wie Silviu Purcărete dieses Werk Shakespeares angeht, trägt einerseits das Markenzeichen Purcărete, aber andererseits enthält das Stück auch den shakespeareschen Pessimismus, der in unserer Zeit einen speziellen Wert hat. Die historischen Dramen Shakespeares enden fast immer apokalyptisch, alle Hauptfiguren verschwinden von der Bühne, es kommt eine neue Generation, die aber keine tiefgehende Versöhnung mit der Vergangenheit verspricht. Wenn wir keine selbstreflektierende, kathartische Beziehung zur Vergangenheit aufbauen, dann bleibt diese Vergangenheit in uns bestehen. Die Hauptmetapher in dieser Aufführung ist der Leichnam Cäsars, der auf der Bühne bleibt und zum Protagonisten des Geschehens wird, auch wenn Cäsar bereits ermordet wurde. Shakespeare zu inszenieren, bedeutet immer, den Text zu hinterfragen und zu entscheiden, welche Register wir ziehen. Silviu Purcărete bat mich um einen poetischen, aber auch zeitgemä‎ßen Text.“




    Die nächste Produktion dieser Spielzeit ist eine Aufführung über Migration, eine Bühnenbearbeitung nach dem Roman Amerika“ von Franz Kafka. Die Regie führte der Direktor des Nationaltheaters Prag, Michal Dočekal. Und der Regisseur László Béres inszenierte das Musical für Kinder Der ungeschickte Zauberer“ von Pál Békés. Im Februar 2016 wird der Regisseur Felix Alexa mit dem Text Der Pelikan“ von August Strindberg im Ungarischen Staatstheater Cluj präsent sein. Einen Monat später inszeniert der französische Regisseur Dominique Serrand, der zwei Tony-Awards gewonnen hat, eine experimentelle Musikshow, basierend auf den Requiems der klassischen Musik. In Mai 2016 findet die Uraufführung des Stückes Die Galoschen“ von György Dragomán statt. Der Autor stammt aus der siebenbürgischen Stadt Târgu Mureş (Neumarkt am Mieresch); die Inszenierung machte der Filmregisseur János Szász. Und Mihaela Panaite führt Regie bei einer Bühnenbearbeitung des Versepos Buch der Alten“ von Domokos Szilágyi, dem vielleicht wichtigsten ungarischen Dichter der 1960er und 1970er Jahre in Siebenbürgen.



    Das Ungarische Staatstheater Cluj soll vor allem dem Publikum, der gesamten, nicht nur ungarischsprachigen Gemeinschaft dienen, meint der künstlerische Leiter András Visky:



    In unserem Theater beschäftigte ich mich intensiv mit der Kommunikation. Ein Hauptanliegen war dabei, das Image eines ‚Stadttheaters‘ zu schaffen und das Image des ‚Minderheitentheaters‘ in den Hintergrund zu treiben. In einer globalen Kultur sind wir alle Minderheiten. Der Ausdruck ‚Minderheit‘ hat für mich keine negative Konnotation, weil die Kultur, die Kunst, die Literatur in unserem Alltag Minderheiten sind. Von diesem Gesichtspunkt der Minderheit betrachtet empfinde ich mich als Agent der Kulturinhalte. Daher sind wir ein Stadttheater, ein Theater unserer Stadt. Unsere Aufführungen haben rumänische Übertitel, und die Anzahl der rumänischsprachigen Zuschauer steigt. Sie beteiligen sich auch an vielen Gesprächsrunden, an Regionalprogrammen, und man spürt schon, dass unser Theater zum Theater unserer Stadt, zum Theater unserer Region geworden ist. Wir sind auch überall in Rumänien präsent, wir beteiligen uns an allen wichtigen Theaterfestivals. Gleichzeitig sind wir Mitglieder der Europäischen Theatervereinigung und wir nehmen regelmä‎ßig und selbstverständlich am europäischen Theatergeschehen teil. Wir beteiligen uns an vielen europäischen Theaterfestivals und das ist sowohl für unsere Schauspieler als auch für die ausländischen Kollegen, die bei uns Aufführungen inszenieren, besonders wichtig. Es bedeutet uns sehr viel, Teil des europäischen und universellen kulturellen Dialogs zu sein.“

  • Le Theâtre magyar de Cluj

    Le Theâtre magyar de Cluj

    Compte tenu de son prestige, il était normal quil prépare pour la saison théâtrale 2015-2016 une liste de plusieurs premières que le manager Andras Visky passera en revue au micro de RRI: Les attentes de notre public sont des plus grandes. Il souhaite des spectacles divers allant de la dramaturgie contemporaine jusquaux classiques. En plus, chaque saison théâtrale est structurée de sorte à attirer non seulement les adultes, mais aussi les enfants, avec au moins un spectacle qui leur soit consacré. Pendant lactuelle saison, six nouveaux spectacles seront à laffiche de notre théâtre.”



    Le premier vient davoir sa première. Il sagit de la pièce “Jules César” de William Shakespeare dont la mise en scène est signée par Silviu Purcarete et ladaptation par Andras Visky lui-même: “Jules César” est une pièce toujours dactualité. Malheureusement. Il sagit dun texte à caractère politique, qui regarde lactuelle période de transition sur la base dun point de vue universel. Et je ne pense pas à la Roumanie, mais à lUE dans son ensemble. La mise en scène de Silviu Purcarete impressionne aussi bien par lempreinte reconnaissable du cinéaste, que par le pessimisme shakespearien qui sen dégage et dont la valeur reste spéciale de nos jours encore. Les pièces historiques de Shakespeare débouchent toujours sur un dénouement apocalyptique. Pratiquement, les personnages disparaissent tous de la scène pour laisser la place à la nouvelle génération qui échoue souvent à réconcilier le passé et le présent. Or, si nous ne réussissons pas à établir un rapport cathartique dautoréflexion avec notre passé, nous narriverons jamais à nous en détacher. Le spectacle exploite la métaphore du corps déjà inanimé de Jules César qui continue de jouer un rôle important sur scène. La mise en scène dun texte de Shakespeare est toujours un véritable défi. Silviu Purcarete a voulu un texte poétique, mais contemporain.”



    La deuxième première à laffiche du Théâtre magyar de Cluj est un spectacle sur la migration, daprès “LAmérique” de Franz Kafka. La mise en scène appartient au directeur du Théâtre national de Prague, Michal Dočekal. Le spectacle musical “Le sorcier maladroit”, de Pal Bekes sera la surprise que le Théâtre magyar de Cluj et le metteur en scène Laszlo Beres feront au jeune public. Vers le début de lannée prochaine, plus précisément en février, ce sera le tour du metteur en scène Felix Alexa de se déplacer à Cluj pour une mise en scène du “Pélican” dAugust Strindberg, un texte moins connu qui na jamais été joué en hongrois. Et puis, en mars, le metteur en scène français Dominique Serrand dont le palmarès comporte déjà deux Tony, fera un projet musical inspiré des requiems les plus célèbres de lhistoire de la musique classique. Et nous voilà arrivés au mois de mai 2016 quand le public sera invité à la première du spectacle “Les Galoches” portant la signature du dramaturge György Dragomán, originaire de la ville de Târgu Mures, et du réalisateur János Szász.



    Enfin, le dernier projet prévu pour lannée prochaine se rattache au nom de Mihaela Panainte, qui se prépare à monter un spectacle daprès le poème “Le livre des anciens” de Domokos Szilágyi, peut-être le plus important poème magyar transylvain des années 60- 70, selon le manager Andras Visky. Selon le directeur artistique du Théâtre magyare dEtat de Cluj, cette institution se met au service des spectateurs, de la communauté. Andras Visky : «Puisquau sein du théâtre jassure la communication, jai beaucoup travaillé sur limage du « théâtre de la ville ». Nous nous sommes éloignés, peu à peu, de limage du théâtre minoritaire, car, dans une culture globale, nous sommes tous minoritaires. Pour moi, cette expression na pas de connotation négative, car la culture, lart, la littérature représentent un aspect minoritaire de notre vie quotidienne. De ce point de vue, de la position minoritaire, je me considère comme porteur de lessence de la culture. Nous nous trouvons donc dans un théâtre de la ville. Cest pourquoi nous offrons des spectacles sous-titrés et, par conséquent, le nombre de spectateurs dexpression roumaine va en augmentant. Ils prennent part au dialogues, ils sengagent dans différents projets régionaux et on sent déjà que ce théâtre est un théâtre de la ville, un théâtre de la région et que nous faisons, tout naturellement, partie du paysage théâtral roumain. Nous sommes présents aux plus importants festivals. Et, en même temps, en tant que membre de lUnion des théâtres dEurope, nous faisons également partie du mouvement théâtral européen. Nous participons à de nombreux festivals, ce qui est important aussi bien pour nos acteurs que pour les créateurs qui viennent monter des spectacles chez nous. Il est important pour nous de participer à ce dialogue culturel européen et universel. »


  • Internationales Theaterfestival in Klausenburg angelaufen

    Internationales Theaterfestival in Klausenburg angelaufen

    Das fünfte Festival Internationale Theatertreffen“ im mittelrumänischen Klausenburg wird vom Klausenburger Staatstheater organisiert. Wie jedes Jahr setzen sich die Veranstalter auch 2015 für die Förderung des Dialogs durch Theater ein. Der Intendant des Klausenburger Staatstheaters, Mihai Măniuţiu, kommt zu Wort mit Einzelheiten über die diesjährigen Festspiele:



    Das Festival ist von der ersten bis zur aktuellen Auflage zweifellos gewachsen. Zuerst habe ich mich dafür eingesetzt, das Klausenburger Staatstheater anderen Theaterintendanten und Regisseuren bekanntzumachen, denn nur so konnten wir mit Theaterleuten überall in Europa und der Welt in Verbindung kommen. Derzeit versuchen wir ein wenn möglich stabiles Netzwerk zu entwickeln, das in den kommenden Jahren einen Austausch und Koproduktionen zwischen rumänischen und ausländischen Theater erleichtern soll. Wir hoffen, dass sich dadurch ausländische Regisseure unseren Projekten anschlie‎ßen werden und dass wir uns an internationalen Theaterfestspielen beteiligen können. Es handelt sich hauptsächlich um die Aufführungen des Klausenburger Staatstheaters und einige Gastspiele anderer Theater im Land, die wir auch im Ausland präsentieren möchten.“




    Das diesjährige Festival geht am 11. Oktober zu Ende und bringt Gäste aus Italien, Portugal, Spanien, Israel, Deutschland und aus der Türkei nach Klausenburg zusammen. Den Aufführungen und Rundtischgesprächen, die dieses Jahr auf dem Programm der Veranstaltung stehen, wohnen zahlreiche internationale Gäste und rumänische Kulturleute bei. Die diesjährigen Aufführungen stehen unter dem Zeichen der kulturellen Vielfalt. Präsentiert werden experimentale Aufführungen wie Emigranţii“ (Die Auswanderer“) und În trafic” (Im Stau“), in der Regie von Tudor Lucanu sowie Ultima noapte de dragoste, întâia noapte de război” (Letzte Liebesnacht, erste Kriegsnacht“) der Regisseurin Ada Lupu nach dem gleichnamigen Romanklassiker aus der Zwischenkriegszeit von Camil Petrescu. Diese Inszenierung hat allerdings die Internationalen Theatertreffen eröffnet.



    Das fünfte Festival im mittelrumänischen Klausenburg schlägt zudem das Thema Europa Noastră“ (Unser Europa“) vor und lädt somit zu Debatten zum Thema Gemeinsames kulturelles Erbe Europas, Identität und Multikulturalität“ ein. Eines der Rundtischgespräche, Theaterfestivals im aktuellen internationalen Kontext“, wird vom italienischen Theaterregisseur Roberto Bacci moderiert, künstlerischer Leiter von 15 internationalen Theaterfestivals.



    Wir haben den Theaterintendanten Mihai Măniuţiu gefragt, in welche Richtung seiner Ansicht nach das Klausenburger Staatstheater in den kommenden Jahren gehen wird:



    Im gro‎ßen Saal des Theaters wollen wir Aufführungen auf die Bühne bringen, die zwischen Tradition und Innovation pendeln. Der Saal zählt rund 1.000 Sitze und sie müssen von Zuschauern besetzt werden, die tatsächlich Spa‎ß an den Aufführungen haben und die das Verhältnis zwischen Tradition und Innovation gut verstehen.“




    Die diesjährigen Theatertreffen laden die Zuschauer dazu ein, die Vielfalt des Theaters unter dem Zeichen unseres gemeinsamen Europas zu entdecken. Wie sieht der Regisseur Mihai Măniuţiu Europa des Jahres 2015? Dazu unser Gesprächspartner:



    Derzeit beschäftigt mich, wie jeden Europäer, die Flüchtlingskrise und ich hoffe, dass die politischen Entscheidungsträger europaweit die besten Lösungen dafür finden, damit wir die europäischen Werte beachten und gleichzeitig unsere Identität bewahren. Ich möchte von Europa mit meinem Herzen, und nicht aus politischer Sicht sprechen… Ich liebe Griechenland, Sardinien, Korsika — diese Orte liegen mir so nah am Herzen, dazu gehört selbstverständlich auch Paris. Ich fühle mich eigentlich sehr wohl, wie zu Hause überall in Europa.“




    Jedes Jahr verleiht das Klausenburger Staatstheater beim internationalen Festival mehrere Preise: den Preis Mona Marian für junge Theaterleute, den Preis Aureliu Manea für den besten Regisseur, zudem werden die beste Aufführung, die beste Darstellerin in einer Hauptrolle bzw. in einer Nebenrolle, der beste Tontechniker ausgezeichnet. Nicht zuletzt wird dabei auch der Preis des Publikums verliehen.

  • Revivre l’histoire

    Revivre l’histoire

    Si une leçon d’histoire vivante vous dit ou si vous êtes curieux de savoir comment vivaient et luttaient nos ancêtres, sachez que des « reconstitutions historiques » sont organisées en Roumanie depuis le printemps jusqu’en automne. Les reconstitutions historiques gagnent du terrain sur le plan international.



    Andrei Pogăciaş, vice-président de l’Association Terra Dacica Aeterna de Cluj-Napoca : « L’idée est très ancienne. Les premiers à avoir réalisé une reconstitution historique ont été les Romains, pendant la période de l’Empire Romain. Ils reconstituaient, dans les amphithéâtres — au Colisée, par exemple — des batailles de l’histoire romaine. La reconstitution professionnelle a débuté au 20-e siècle, lorsque différentes organisations et associations ont commencé a se doter de costumes pour différentes périodes historiques et différentes régions du monde. C’est vers la fin du 20-e siècle que la reconstitution a pénétré en Roumanie. Ce n’est donc pas notre idée, ce fut plutôt pour nous une expérience réalisée par des passionnés de l’Empire Romain ou des Daces ou par des historiens. C’est ainsi que Terra Dacica Aeterna est apparue, en 2007. Elle comportait, au début, une troupe de Romains. Pourtant, une troupe de Romains, ça ne suffisait pas, il nous fallait aussi des Daces. Nos frères Sicules nous ont rejoints peu après, pour constituer une troupe de Sarmates. A présent nous disposons donc de 3 armées : des Daces, des Romains et des Sarmates. »



    Ces armées s’entraînent lors des ateliers organisés à Cluj ou bien à l’occasion des festivals. Des batailles très connues de l’histoire peuvent se dérouler sous vos yeux. Une démarche récupératrice et une expérience inédite où vous pouvez voir des personnages historiques agir. Quels sont les festivals parmi lesquels vous pouvez choisir ?



    Andrei Pogăciaş: « Plusieurs festivals assez importants sont organisés à travers le pays. Parmi eux, je mentionnerais le festival des cités daces, qui se tient dans le comté d’Alba et que je tiens pour l’événement le plus ample en son genre. La ville d’Alba Iulia, chef – lieu de ce comté, situé au centre de la Roumanie, accueille le Festival Romain, d’habitude au printemps. On retrouve également sur la liste le Festival de Zalău et celui de Porolissum, accueilli par le département de Sălaj (nord-ouest), puis le Festival antique Tomis, de Constanţa (la plus grande ville — port du pays, située dans l’est), le Festival Dacfest, organisé par notre association, Terra Dacica Aeterna, dans le département de Hunedoara (centre-ouest). La première édition de Dacfest a eu lieu l’année dernière à Simeria, près de Gura Uroiului. Cet endroit idéal pour la tenue de ce festival est situé au pied d’un énorme rocher, appelé Măgura Uroiului et dont la forme ressemble au bonnet dace. Le tapis de verdure qui s’étale en bas du rocher permet d’y installer le camp et les ateliers. Il peut se transformer aisément en champ de bataille et accueillir un public assez nombreux. L’année dernière nous avons eu beaucoup de spectateurs. Nous ambitionnons d’inclure au programme de cette année davantage d’activités et de troupes et d’attirer encore plus de spectateurs, de sorte à transformer ce festival en un événement traditionnel pour la contrée de Hunedoara, ancien noyaux du royaume dace. Notre souhaitons donc perpétuer la mémoire de ces lieux par le biais d’activités de ce type. »



    D’ordinaire, un festival s’étend sur trois journées, à compter du vendredi. On commence par monter les tentes, aménager les ateliers et identifier les meilleurs endroits pour allumer le feu, précise notre interlocuteur : « On sort tous les équipements. Certains sont placés dans les râteliers, d’autres sont remis aux participants. Le programme des samedi et dimanche, quand le festival bat son plein, comporte, dans la matinée des ateliers destinés au public. L’après-midi est réservé aux activités les plus prisées des spectateurs, à savoir les batailles, qui durent environ trois heures, suivant le scénario. Les rôles sont très bien définis: il y a les Daces, les Romains et les Sarmates. A l’intérieur des troupes, la hiérarchie est rigoureusement établie : commandant, noble, maître artisan, archer. Pendant la lutte, chacun occupe telle ou telle place, connaît à fond son rôle et son devoir d’obéir aux ordres du commandant sur le terrain. Même si cela a l’air d’un jeu, il n’est pas facile de supporter le bruit infernal de la bataille, car on utilise des vraies armes métalliques et des boucliers en bois avec bordure en métal. Le vacarme est tel qu’à un moment donné on n’entend plus les ordres du commandant. Alors, on se laisse aller, on entre dans la peau de son personnage ».



    Une fois achevé le combat, le public pénètre dans le camp pour voir les costumes, les armes, demander des explications ou participer à des ateliers civils. Les spectateurs peuvent essayer les armures daces ou romaines, voir comment fonctionnent les armes fidèlement reconstituées d’après leurs modèles historiques authentiques. On leur interdit de participer aux batailles, pour éviter les accidents, mais les petits bénéficient d’instruction et de brèves simulations de combats aux armes en bois. N’oubliez pas, c’est Hunedoara qui accueillera l’édition 2015 du Festival romain, le premier de la série des festivals de reconstitutions historiques de Roumanie. (Trad. Dominique, Mariana Tudose )


  • Altertumsgeschichte „live“ erlebt – Reenactments in Rumänien

    Altertumsgeschichte „live“ erlebt – Reenactments in Rumänien

    Reenactment (das ist das englische Wort für Wiederaufführung“ oder Nachstellung“) nennt man die Neuinszenierung konkreter geschichtlicher Ereignisse in möglichst authentischer Weise. Über den Weg der historischen Wiedererlebbarkeit soll Geschichte verständlich und erlebbar gemacht werden. Das historische Reenactment ist der zentrale Teil der von dem britischen Philosophen und Historiker Robin George Collingwood aufgestellten Theorie der Historiographie. Die Nachstellung von historischen oder sagenhaften Ereignissen geht allerdings bis in die Antike zurück.



    Andrei Pogăciaş ist Vizepräsident des Verbands Terra Dacica Aeterna aus Cluj (Klausenburg) und organisiert sogenannte Reenactments oder Neuinszenierungen von historischen Schlachten an verschiedenen Orten in Rumänien:



    Die Reenactment-Idee ist sehr alt; die ersten, die Nachstellungen von historischen Ereignissen veranstaltet haben, waren die alten Römer. Während des Römischen Reiches wurden Schlachten aus der römischen Geschichte in Amphitheatern, z. B. im Kolosseum, wiederaufgeführt. Das professionelle Reenactment begann im 20. Jh. und entwickelte sich insbesondere in der zweiten Hälfte des 20. Jh., als verschiedene Organisationen und Verbände anfingen, Kostüme aus gewissen Epochen und geographischen Zonen anzufertigen und historische Ereignisse nachzustellen. Ende des 20. Jh. fanden auch in Rumänien die ersten Reenactments statt, und die ersten rumänischen Reenactment-Verbände entstanden an der Schwelle zwischen dem 20. und dem 21. Jh. Alles begann wie ein Experiment einiger Geschichtsfans und Historiker, die sich vor allem für die Zeit der Eroberungskriege des Römischen Reiches in Dakien interessierten. 2007 wurde der Verband Terra Dacica Aeterna gegründet; anfangs war es eine Römer-Truppe, weil die Verbandsmitglieder Römer-Truppen bei anderen Veranstaltungen im Ausland gesehen hatten. Die Römer konnten aber nicht ewig allein in Rumänien bleiben, und daher bildeten wir auch eine Daker-Truppe. So entstand der Reenactment-Verband Terra Dacica Aeterna, zunächst mit Römern und Dakern. Später schlossen sich auch unsere Szekler-Freunde als Sarmaten an, und nun haben wir drei Reenactment-Armeen: Daker, Römer und Sarmaten.“




    Die drei Armeen trainieren in speziell dazu eingerichteten Werkstätten, in ihrer Heimatstadt Cluj oder bei verschiedenen Geschichtsfestivals. An den angekündigten Orten und Zeiten können die Interessenten historische Schlachten live“ beobachten, die sie sonst nur aus den Geschichtsbüchern kennen. In Rumänien gibt es mehrere Festivals, auf denen Reenactments veranstaltet werden; mehr dazu von Andrei Pogăciaş:



    Ein wichtiges Geschichtsfestival, vielleicht das grö‎ßte in Rumänien, ist das Festival der dakischen Burgen im Landkreis Alba. Ebenfalls im zentralrumänischen Kreis Alba, in der Stadt Alba Iulia, wird jeden Frühling das Römische Festival veranstaltet — es ist praktisch die Eröffnung der jährlichen ‚Schlachtzeit‘. Dann gibt es die Festivals in Zalău und in Porolissum, im Kreis Sălaj (im Nordwesten Rumäniens) das antike Festival Tomis in Constanţa (dem grö‎ßten rumänischen Schwarzmeerhafen im Osten des Landes) und das Festival Dacfest, das von uns, Terra Dacica Aeterna, im Kreis Hunedoara (Mitte-Westen) organisiert wird. Letztes Jahr wurde zum ersten Mal ein Festival in Simeria, in der Nähe der Ortschaft Gura Uroiului organisiert. Das war ein exzellenter Standort, der beste Standort für ein Geschichtsfestival zum Thema Altertum. Es ist eine Wiese unter einem riesigen Fels, der wie eine Daker-Mütze aussieht. Da bauen wir unsere Lager und unsere Werkstätte auf, wir haben auch genug Platz für die Schlacht und für die Zuschauer, die uns umgeben. Letztes Jahren waren erstaunlich viele Leute gekommen, und dieses Jahr versuchen wir, ein grö‎ßeres Festival zu organisieren, mit mehreren Aktivitäten und mehreren Truppen. Wir hoffen, dass noch mehr Besucher kommen, und dass wir eine Festivaltradition im Kreis Hunedoara bilden. Hunedoara war das Zentrum des dakischen Königreiches, und mit solchen Aktivitäten halten wir die Erinnerung an Dakien wach.“




    Ein Festival dauert in der Regel drei Tage. Am Freitag werden die verschiedenen Lager, die Werkstätte und die Feuerstätte aufgebaut. Wie es weiter geht, erzählt Andrei Pogăciaş:



    Am Freitag holen wir die gesamte Ausrüstung heraus und bauen unsere Lager auf. Am Samstag und Sonntag haben wir am Vormittag verschiedene Aktivitäten mit den Besuchern, vor allem in den Werkstätten, und am Mittag beginnt die richtige Action, die von allen erwartet wird: die Schlacht, die etwa drei Stunden dauert, je nachdem wie das Szenario aussieht. Die Rollen sind klar aufgeteilt, die einen sind Daker, die anderen Römer und die dritte Gruppe stellt Sarmaten dar. Innerhalb einer Armee wei‎ß jeder genau, was er zu tun hat: Einer ist Kommandant, ein anderer ist Adliger, ein anderer ist Handwerker oder Schütze, jeder kennt seine Stellung auf dem Kampffeld, und am wichtigsten ist, auf die Befehle seines Kommandanten zu hören. Auf den ersten Blick scheint das Ganze ein Spiel zu sein, an dem 30- bis 40-jährige Kinder ihren Spa‎ß haben, aber im Feuer des Gefechts ist es nicht leicht zu hören, was der Kommandant schreit. Unsere Kämpfe sind echt, wir haben Waffen aus Metall und Schilder aus Holz mit Metallumrahmung, überall kracht es, das Adrenalin steigt, man hört kaum noch etwas, man wird in den Kampf hineingezogen, der Feind attackiert von allen Seiten, es gibt Momente, wenn man die Gegenwart vergisst und wirklich zum Daker oder zum Römer wird.“




    Nach der Schlacht kommen die Besucher ins Lager, sie stellen Fragen, probieren Kostüme und Waffen aus und beteiligen sich an Aktivitäten in den Werkstätten. Die Ausrüstungen und die Waffen sind historischen Modellen genau nachgebildet und perfekt funktionsfähig. Um Unfälle vorzubeugen wird aber dem Publikum nicht erlaubt, an den Schlachten teilzunehmen. Für Kinder gibt es immerhin leichte Kampfübungen und kurze Schlachten mit Holzwaffen. Anfang Mai findet das erste Geschichtsfestival des Jahres 2015 in Hunedoara (Eisenmarkt) statt. Sie sind alle herzlich eingeladen, das Reenactment einer historischen Schlacht zwischen Daken, Römern und Sarmaten live zu erleben.

  • 30.07.2015 (mise à jour)

    30.07.2015 (mise à jour)

    Défense — Le Conseil suprême de défense du pays s’est réuni jeudi à Bucarest, sous la direction du président de la Roumanie, Klaus Iohannis. Selon un communiqué de l’Administration présidentielle, les membres du Conseil ont examiné les évolutions sécuritaires à proximité du flanc oriental de l’OTAN, leur impact sur la région et sur la Roumanie, ainsi que les préoccupations au niveau des alliés relatives au risque d’une escalade de la situation dans le voisinage sud de l’Alliance. Autres sujets des débats: les risques et les vulnérabilités auxquels est exposé le patrimoine forestier national, en raison des déforestations illégales, à fort impact sur le climat des affaires et sur le budget de l’Etat.



    Investiture – Le ministère roumain des Affaires étrangères se félicite de l’investiture du nouveau gouvernement pro-européen de la République de Moldova. Il se dit confiant que le nouvel Exécutif de Chisinau poursuivra la mise en place de l’Accord d’association avec l’UE, l’approfondissement des réformes démocratiques et le renforcement de la stabilité macro-économique. Le chef de la diplomatie de Bucarest, Bogdan Aurescu, affirme que la Roumanie appuiera fermement et inconditionnellement le parcours européen de la République de Moldova. Le Parlement moldave a accordé jeudi son vote de confiance au cabinet du libéral – démocrate Valeriu Streleţ. Le nouvel Exécutif de Chisinau a été voté par tous les 52 députés de l’Alliance pour l’Intégration Européenne, créée, la semaine dernière, par les trois partis pro-occidentaux représentés dans le Législatif: les partis Libéral-démocrate, Démocrate et Libéral. Après la démission du cabinet minoritaire de Chiril Gaburici, la République de Moldova a été dirigée, un mois et demi, par un gouvernement intérimaire. Durant cette période, la situation économique et sociale du pays s’est continuellement détériorée.



    Enquête – Onze des plus importantes sociétés de distribution des produits pharmaceutiques en Roumanie, parmi lesquelles les plus grands producteurs de médicaments du monde sont visées par une enquête du Parquet anti-corruption (DNA) pour des faits commis entre 2012 et 2015. Les procureurs ont effectué une série de perquisitions à Bucarest et dans plusieurs départements du pays. Des médecins spécialistes, chefs de cliniques et de services, coordinateurs et responsables du sous-programme doncologie au sein du Programme national de santé sont visés par les procureurs. De lavis de ces derniers, certains médecins membres des commissions chargées des acquisitions de médicaments sont coupables de prises illégales dintérêts après avoir prétendu toute sorte davantages aux distributeurs de médicaments pour consentir à prescrire aux patients des produits plus chers produits et distribués par les compagnies respectives. De telles pratiques sont largement répandues dans le monde médical roumain, selon des sources judiciaires.



    Festival – Plus de 250 milles personnes sont attendues à Cluj où se déroule jusquà dimanche le Festival UNTOLD, principal projet du programme Cluj 2015 – Capitale européenne de la jeunesse. A laffiche de lévénement, 4 des plus grands noms de la musique électro-dance actuelle AVICII, ARMIN van BUUREN, DAVID GUETTA et DIMITRI VEGAS&LIKE MIKE. Plus de 170 artistes roumains et internationaux monteront sur les 8 scènes aménagées à Cluj, à cette occasion. Rappelons que cette ville du nord-ouest de la Roumanie est Capitale européenne de la Jeunesse tout au long de lannée 2015. Depuis 2009, ce titre est annuellement accordé à une ville européenne qui se voit ainsi offrir la chance de présenter à travers un programme complexe tous les aspects importants de sa vie sociale, culturelle et économique, en insistant sur la promotion de la jeunesse.



    Médailles — Le Roumain Răzvan Ciolan a décroché l’argent dans la catégorie des 73 kg, au concours de judo organisé dans le cadre du Festival Olympique de la Jeunesse Européenne (FOTE), à Tbilisi, en Géorgie. Le palmarès des sportifs roumains participants à ces compétitions comporte jusqu’ici deux médailles d’or, remportées par la nageuse Maria Claudia Gâdea (au 400 m mixte) et par l’athlète Georgiana Iuliana Aniţei (au triple saut) et une médaille d’argent, décrochée par l’athlète Bogdan Ioan Sitoianu (saut en longueur). Les sportifs roumains sont présents dans six des neuf sports inscrits au programme de la compétition — athlétisme, judo, gymnastique, natation, handball féminin et tennis. Plus de 3800 sportifs de 50 pays sont en lice.

  • Cluj

    Cluj

    Cluj, une ville avec une riche histoire et un patrimoine touristique impressionnant, vous attend. Places anciennes mais neuves aussi, rues coquettes, musées avec des collections impressionnantes, parcs et bâtiments qui cachent des mystères oubliés depuis des siècles, voilà quelques repères d’une des villes les plus grandes de Roumanie, connue aussi comme un important centre universitaire.



    Au-delà de tous les objectifs historiques et culturels que Cluj peut offrir à ceux qui choisissent de la visiter, cette année, 2015, la ville est aussi Capitale européenne de la jeunesse, rappelle Oana Buzatu, porte-parole de la Mairie de Cluj : « Par conséquent, tous les efforts que notre communauté faits vont dans le sens de créer différents événements par lesquels quiconque puisse sentir que cette ville est un pôle de la jeunesse. Chaque touriste qui nous rend visite cette année assistera à un événement qui mettra en exergue ce statut de Capitale européenne de la jeunesse. Au-delà des événements, il y a les objectifs historiques classiques, que tout le monde connaît et pour lesquels beaucoup de gens choisissent de venir ici, à commencer par le Musée de spéléologie jusqu’à celui de la pharmacie. Ce sont des objectifs touristiques uniques. Nous avons un musée d’ethnographie avec des pièces historiques d’une très grande valeur. Il est également possible de visiter le Musée d’art ou encore le Musée d’histoire de la Transylvanie. Tous accueillent des collections inestimables. Nous avons eu cette année des expositions de gravure de Dürer, l’année dernière une exposition Rembrandt. Quel que soit le moment de votre venue à Cluj, si vous aimez la culture, l’histoire et les traditions, il vous sera impossible de vous y ennuyer. »



    Cette année, les touristes doivent visiter Cluj notamment pour les événements spéciaux conçus à leur intention. Ils ont commencé en force avec des fêtes de rue et des spectacles dans la première partie de l’année. Ils ont continué avec le Festival de film Transilvania, TIFF, déjà bien connu, arrivé cette année à sa 14e édition.



    Et un des événements les plus importants va suivre, dit Oana Buzatu, porte-parole de la Mairie de Cluj : « Il reste très peu de jours jusqu’au plus grand festival que Cluj ait jamais accueilli : le Festival Untold, principal événement de la Capitale européenne de la jeunesse. Plus de 100.000 personnes ont annoncé leur participation. Espérons que leur expérience sera inoubliable et qu’ils vont revenir. Dans la stratégie sur le long terme pour notre ville, nous avons une devise : « Cluj Napoca est la ville où vous souhaitez vivre, étudier, vous épanouir, élever vos enfants et vieillir. » Nous faisons donc tout pour être aussi accueillants que possible avec ceux qui souhaitent s’établir ici. D’ailleurs, dans le sondage Eurostat publié l’année dernière, Cluj a été considéré la ville européenne la plus amicale avec les étrangers. Nous sommes fiers de ce titre, de cette position en tête de peloton pour ce qui est de la tolérance, de l’amour et de l’acceptation. Nous recevons joyeusement tous ceux qui choisissent de vivre dans notre communauté. »



    Si vous souhaitez visiter Cluj, n’oubliez pas de consulter le site cluj.com. Vous pouvez y acquérir la city-card qui vous assure un accès gratuit aux musées et aux spectacles ainsi que des réductions auprès de différents partenaires commerciaux des pouvoirs publics.

  • Wohltätigkeit: Schräge Aktionen für gute Zwecke

    Wohltätigkeit: Schräge Aktionen für gute Zwecke

    Gro‎ßangelegte Spendenkampagnen werden in Rumänien durch das soziale Engagement und den einfühlsamen Geist von Freiwilligen möglich, die sich zum Ziel setzen, den Bedürftigen zu helfen. Die Initiativen der Stiftungen Beard Brothers“ und Free Mioriţa“ stie‎ßen auf ein gro‎ßes Interesse und ihre Mitglieder machen auf nonkonformistische Weise die anderen darauf aufmerksam.



    Spenden, die die medizinische Behandlung von Krebskranken möglich machen, öffentliche Sammelaktionen zur Ausstattung von Schulen mit Büchern und Rechnern sowie von Krankenhäusern mit Geräten der neuesten Generation — all dies wurde in den letzten Jahren mithilfe von Spendenkampagnen unter Privatpersonen möglich. Junge und engagierte Menschen mit einem starken Wunsch nach Änderungen, die gleichzeitig keine Geduld mehr haben, um von den Behörden Unterstützung zu erwarten, leisten ehrenamtliche Arbeit bei Wohltätigkeitsstiftungen. Viele davon wurden von ihnen selbst gegründet. Diese Stiftungen werden, wie erwartet, von der Persönlichkeit ihrer Gründer stark geprägt. So zum Beispiel die Stiftung Beard Brothers“ aus im mittelrumänischen Cluj (Klausenburg). Gegründet wurde die Stiftung von einer Gruppe bärtiger und tätowierter Motorradfahrer, die aus ihrem Image ein Markenzeichen gemacht haben. Eines der Mitglieder der Gruppe, Cornel Hoza, kommt zu Wort mit Einzelheiten:



    Wir haben die Stiftung im November 2013 gegründet. Wir haben ambitionierte Pläne, wir wollen uns möglichst viel in der Gesellschaft engagieren und möglichst vielen Mitmenschen helfen. Wir haben bislang sieben gro‎ßangelegte Spendenkampagnen, begleitet von verschiedenen Veranstaltungen, organisiert. Wir engagieren uns in jeder Art von Wohltätigkeitsaktionen, wir folgen keinem Muster. Unser soziales Engagement wird einfach von Gefühlen ausgelöst. Wir haben Spenden für ein krebskrankes Kind gesammelt, wir haben einem Kindergarten für Kinder mit Behinderungen einen Bus besorgt.“




    Bei anderen Projekten hat die engagierte Gruppe Müll gesammelt und durch Spendenkampagnen bedürftigen Menschen geholfen. Inwieweit hat ihr Nonkonformismus zum Erfolg der Kampagnen beigetragen? Auf diese Frage antwortet unser Gesprächspartner Cornel Hoza:







    Das hat mit Sicherheit eine wichtige Rolle dabei gespielt. Ich kann mir nur vorstellen, wie man einen gro‎ßen und bärtigen Mann betrachtet, der im Park von Cluj Kuchen verkauft… Das muss bestimmt stark wirken. Wir haben zudem auch Kampagnen angesto‎ßen, wobei wir uns selber die Haare im Stadtzentrum abrasierten, damit wir die Passanten auf uns und unsere Initiative aufmerksam machen. Man kann bestimmt sagen, dass wir die Sachen anders machen. Alles hat mit neun Freunden angefangen, aber mit der Zeit ist unsere Gruppe gewachsen und die Initiative stie‎ß auf immer grö‎ßeres Interesse. Viele Menschen unterschiedlicher Berufe haben sich unserem Verband angeschlossen. Uns bringt aber ein gemeinsamer Wunsch zusammen: etwas für unsere Mitmenschen zu tun. Wir arbeiten rein ehrenamtlich, niemand verdient etwas dabei.“ src=http://devrri.freshlemon.ro/wp-content/uploads/2023/10/foto.jpg

    Bärtige Motorradfahrer mit gro‎ßem Herz:


    die Beard Brothers aus Klausenburg


    (Foto: facebook.com/beardbrotherscluj)



    Die Bärte, die Tattoos, die Motorräder und vor allem ihr einfühlsamer Geist haben die Beard Brothers“ zu einer immer grö‎ßer werdenden Gruppe gemacht. Die Stiftung zählt jetzt 29 bärtige Männer, denen sich auch 30 Frauen anschlossen, die nun die Sparte Sisterhood“ bilden.




    Dank ihres Umweltbewusstseins und des Interesses für Reisen haben die Mitglieder des Verbands Free Mioriţa“ ihre Hobbys und den Wunsch, anderen in nonkonformistischer Weise Gutes zukommen zu lassen, auf einen gemeinsamen Nenner gebracht. Wie die Initiative entstand, erläutert Iulian Angheluţă:



    Am Anfang haben wir Strände gereinigt und Kleider für Bedürftige gesammelt. Einer besonderen Popularität hat sich unsere Aktion »Unterwegs mit dem rumänischen Dacia-Auto bis in die Mongolei« erfreut. Das war im Sommer 2012, das Jahr, in dem wir den Verband gründeten. Es handelte sich um eine humanitäre Rallye. Es war eine echte Herausforderung, bis in die Mongolei mit dem Dacia zu fahren, dann haben wir das Auto am Zielort, genau wie alle Teilnehmer, einer Nichtregierungsorganisation gespendet. Die Organisation hat dann alle Autos der Teilnehmer versteigert. Ziel des Projektes war es, den mongolischen Nomadenkindern Tablets oder jede Art von digitalen Geräten anzubieten, die ihnen den Zugang zur Ausbildung ermöglichen.“




    Das engagierte Team wollte sich an der Rallye mit einem rumänischen Auto beteiligen. Nicht zufällig gaben sie dem Auto den Namen einer berühmten rumänischen Volksballade: Mioriţa“ (zu dt. Das Schäflein“). Nach der Rückkehr aus der Mongolei stie‎ßen Iulian Angheluţă und seine Freunde eine neue Initiative an: Rumänische Dörfer, die noch nicht elektrisch beleuchtet waren, mit Strom zu versorgen. Der Mangel an elektrischer Beleuchtung betrifft zahlreiche Familien. Iulian Angheluţă kommt erneut zu Wort mit Einzelheiten:






    Nach der Volkszählung aus dem Jahr 2011 stellte sich heraus, dass es in Rumänien 284.000 Haushalte gibt, die am Stromnetz nicht angeschlossen sind. Das ist die offizielle Zahl.







    Es kann wohl sein, dass viele davon nicht bewohnt sind, kann auch sein, dass nur 100.000 davon bewohnt sind, als durchaus wichtig erweist sich dennoch die Zahl der Menschen, die dort wohnen. Es handelt sich um bedürftige Menschen, die zu fünft oder sogar zu zehnt in einem Haushalt ohne Strom leben.“ src=/files/Panoramice/RO

    Bringt Licht ins Dunkel:


    Iulian Angheluţă vom Verein “Free Mioriţa”


    Foto: Codruţa Angelescu, facebook.com/freemiorita



    Diese Kampagne fand ihren Startpunkt im westrumänischen Dorf Ursici, Landkreis Hunedoara, später wurde sie auch in den Landkreisen Suceava, Maramureş, Caraş-Severin und Braşov (Kronstadt) organisiert. Mioriţa-Mitglieder haben dort mobile Solaranlagen eingebaut. Das machten ebenfalls zahlreiche Spenden der Unternehmen und Privatpersonen möglich. Ihr Transport erfolgte auch unter den bestehenden Bedingungen, die nicht immer mild sind: In der Winterzeit haben die Freiwilligen die isolierten Dörfer mit dem Schlitten, in der Sommerzeit mit dem Pferdewagen erreicht. Der Einbau der Photovoltaikanlagen auf dem Dach der Dorfschulen hat den Stromanschluss möglich gemacht. Iulian Angheluţă dazu:



    Als wir den Veband gründeten, setzten wir uns zum Ziel, unseren Mitmenschen zu helfen und zugleich durch unsere Aktionen umweltfreundlich zu bleiben. Wir wollen von diesem Weg nicht abweichen. Das hat zahlreiche Vorteile: Wir geben weniger Geld aus, wir haben keine Bäume gefällt, die Sonne ist immer noch kostenfrei. Für die Wartung dieser Einrichtungen muss man nicht viel bezahlen. Im Frühjahr haben wir bei vier Schulen für die elektrische Versorgung gesorgt und das Bildungsministerium hatte keine Ahnung davon. Wir haben uns vor Ort erkundigt, wieviele Haushalte und Dörfer es noch gibt, die sich mit dieser Situation konfrontieren. Wir müssen Sponsoren überreden, aber viel schwieriger ist der Kampf gegen die Trägheit der Behörden. Der Staat hat Verpflichtungen gegenüber der EU und eine moralische Verpflichtung gegenüber seinen Bürgern. Meinen Schätzungen zufolge gibt es über ein dutzend tausend Menschen in Rumänien, die im Dunkeln leben. Und es gibt tausende Familien, die somit auch keinen Zugang zur Information haben. Das hei‎ßt, ihre Kinder haben keinen Zugang zur hochwertigen Ausbildung. Nicht zuletzt kommen infolgedessen auch Gesundheitsprobleme vor, denn die Kinder schreiben ihre Hausaufgaben im Licht einer Gaslampe oder einer Kerze. Sie haben daher richtige Augenprobleme.“




    Die Familien, die in solchen Dörfern leben, könnten sich weder leisten, ihre Haushalte an die bereits existierenden Stromnetze anzuschlie‎ßen, noch die monatlichen Stromkosten zu bezahlen. Für ihr Engagement erwarten Iulian Angheluţă und die Freiwilligen des Verbands Free Mioriţa“ keine Belohnung. Sie hoffen nur darauf, dass sie auch künftig genug Energie haben werden, um mehr bedürftigen Menschen zu helfen.

  • A la Une de la presse roumaine 02.07.2015

    A la Une de la presse roumaine 02.07.2015

    Plein de choses se passent ce jeudi en
    Roumanie et presque tout se rapporte à la Grèce. Le ministre roumain des
    Finances qui a signé le premier accord avec le FMI à l’époque communiste se
    souvient des trois moments où la Roumanie a connu la «faillite
    technique», l’échec de la Grèce rendra plus difficile l’adhésion de la
    Roumanie à l’euro, la Roumanie sera bientôt connectée au réseau européen
    d’autoroutes, le premier parc photovoltaïque de Roumanie sera inauguré vendredi
    et la ville transylvaine de Cluj est «un point d’attraction
    pour les compagnies francophones».



  • El mercado inmobiliario

    El mercado inmobiliario




    La compañía de asesoría y auditoría
    PricewaterhouseCoopers
    Rumanía espera este año inversiones significativas en
    el sector inmobiliario en nuestro país así como en la reanudación de las
    construcciones nuevas sobre todo en Bucarest, Timisoara y Cluj-Napoca. También
    en Rumanía se pudo notar, en 2014, un aumento del apetito de los inversores por
    el sector inmobiliario, registrándose a lo largo del año una serie de
    transacciones con propiedades, tanto en el segmento de oficinas como en el
    comercial. Esperamos asistir en 2015 a una serie de inversiones significativas
    en este sector, ha declarado en un comunicado la representante de
    PricewaterhouseCoopers, Francesca Postolache. En Rumanía, el valor de las
    transacciones inmobiliarias aumentó el año pasado hasta 1.200 millones de
    euros, de 300 millones de euros en 2013. Conforme a DTZ Echinox, un 45% del
    total de estas transacciones representa adquisiciones de proyectos
    de comercios, un 30% de oficinas, mientras que el segmento industrial
    atrajó un 15% y las adquisiciones de terrenos, un 10%. La compañía estima que
    el avance del mercado de inversiones continuará por un período de algunos años.


    El presidente de la Asociación de Brokers
    Inmobiliarios
    de Rumanía, Dragos Vlasceanu :





    En 2014, registramos el
    mayor número de transacciones inmobiliarias de la historia. Casi 850.000
    transacciones en comparación con el año 2007 cuando se registraron 700.000 ,
    aunque el 2007 es considerado el mejor
    año desde el punto de vista inmobiliario.


    En el mercado han empezado a registrarse leves subidas de precios. Nuevamente ante los micrófonos
    de RRI, Dragos Vlasceanu :





    No hay ningún parámetro
    que pueda influir en los precios que nos sugiera el hecho de que dichos precios
    podrían bajar. Por el contrario, la demanda continúa su ritmo
    de crecimiento
    porque la mayoría de la gente retira su dinero de los bancos
    y compra propiedades, la inversión más beneficiosa en este momento. Por lo
    tanto las inversiones en propiedades inmobiliarias siguen siendo determinadas
    por la situación económica y financiera
    del país. Incluso el Gobierno promueve la compra de viviendas a través del
    programa Primera Casa que se
    desarrolla también este año y para el cual ha aprobado el mayor número de
    fondos debido al gran número de solicitudes en este sentido.


    Dragos Vlasceanu también nos ha hablado sobre la
    situación de la construcción de casas de vacaciones :





    Todavía no podemos decir
    que mucha gente se puede permitir comprar también una casa de vacaciones. Su
    número es bastante reducido y el mercado sigue bloqueado. En cambio, el alquiler va muy bien. En general no se alquilan
    viviendas en zonas periféricas debido a la distancia
    que puede afectar el presupuesto. La gente busca zonas
    más pobladas, que comuniquen con los medios de transporte público,
    sobre todo con el metro. Cabe precisar a la vez que las ventas van muy bien
    dado que el precio por metro cuadrado ha bajado hasta alrededor de unos 700
    euros.


    Según la página web www.imobiliare.ro, a nivel nacional,
    el precio promedio solicitado por un apartamento el pasado mes de mayo, fue de
    928 euros por metro cuadrado, un 0,8% más frente al mismo período del año
    pasado. En Bucarest, los precios de los pisos han bajado en el mismo período en
    un 2,3%, hasta 1.056 euros por metro cuadrado. En cambio han aumentado en un
    0,7% los precios de los pisos antiguos, hasta 1.031 euros por metro cuadrado.
    En Brasov, los precios promedios registraron el pasado mes de mayo un
    incremento de un 6,1%, hasta 855 euros por metro cuadrado. En Cluj Napoca, el precio promedio solicitado
    por los propietarios ha aumentado de 863 a 1.011 euros por metro cuadrado. En
    Constanza, un metro cuadrado vale 900 euros, un 4,2% más en comparación con el
    mes de mayo de 2014 mientras que en Timisoara un metro cuadrado vale 875 euros,
    un 8,2% más que el año pasado.





    La Agencia Mediafax ha
    transmitido recientemente que Joseph Houlihan, el presidente del Comité
    de Dirección de
    European
    Property Federation, una organización con sede en Bruselas que reúne a los inversores del
    sector inmobiliario
    , ha afirmado que el mercado inmobiliario
    de Rumanía está en aumento, suscitando cada vez más el interés de los
    inversores gracias a los rendimientos ofrecidos. El
    mercado inmobiliario de Rumanía ofrece en el presente los mayores rendimientos para las inversiones de Europa Central y
    Oriental, alrededor de un 8%, mientras que las propiedades de tipo A de
    Varsovia
    y Praga ofrecen rendimientos de un 6,5% o incluso menores, afirma
    Joseph Houlihan.


    En Bucarest, varios edificios de
    oficinas
    se están construyendo, siendo destinados este año para este tipo
    de construcción, unos 120.000 metros cuadrados y otros 500.000 metros cuadrados
    para el próximo año, según los datos ofrecidos por el diario Ziarul Financiar.

  • El mercado inmobiliario

    El mercado inmobiliario




    La compañía de asesoría y auditoría
    PricewaterhouseCoopers
    Rumanía espera este año inversiones significativas en
    el sector inmobiliario en nuestro país así como en la reanudación de las
    construcciones nuevas sobre todo en Bucarest, Timisoara y Cluj-Napoca. También
    en Rumanía se pudo notar, en 2014, un aumento del apetito de los inversores por
    el sector inmobiliario, registrándose a lo largo del año una serie de
    transacciones con propiedades, tanto en el segmento de oficinas como en el
    comercial. Esperamos asistir en 2015 a una serie de inversiones significativas
    en este sector, ha declarado en un comunicado la representante de
    PricewaterhouseCoopers, Francesca Postolache. En Rumanía, el valor de las
    transacciones inmobiliarias aumentó el año pasado hasta 1.200 millones de
    euros, de 300 millones de euros en 2013. Conforme a DTZ Echinox, un 45% del
    total de estas transacciones representa adquisiciones de proyectos
    de comercios, un 30% de oficinas, mientras que el segmento industrial
    atrajó un 15% y las adquisiciones de terrenos, un 10%. La compañía estima que
    el avance del mercado de inversiones continuará por un período de algunos años.


    El presidente de la Asociación de Brokers
    Inmobiliarios
    de Rumanía, Dragos Vlasceanu :





    En 2014, registramos el
    mayor número de transacciones inmobiliarias de la historia. Casi 850.000
    transacciones en comparación con el año 2007 cuando se registraron 700.000 ,
    aunque el 2007 es considerado el mejor
    año desde el punto de vista inmobiliario.


    En el mercado han empezado a registrarse leves subidas de precios. Nuevamente ante los micrófonos
    de RRI, Dragos Vlasceanu :





    No hay ningún parámetro
    que pueda influir en los precios que nos sugiera el hecho de que dichos precios
    podrían bajar. Por el contrario, la demanda continúa su ritmo
    de crecimiento
    porque la mayoría de la gente retira su dinero de los bancos
    y compra propiedades, la inversión más beneficiosa en este momento. Por lo
    tanto las inversiones en propiedades inmobiliarias siguen siendo determinadas
    por la situación económica y financiera
    del país. Incluso el Gobierno promueve la compra de viviendas a través del
    programa Primera Casa que se
    desarrolla también este año y para el cual ha aprobado el mayor número de
    fondos debido al gran número de solicitudes en este sentido.


    Dragos Vlasceanu también nos ha hablado sobre la
    situación de la construcción de casas de vacaciones :





    Todavía no podemos decir
    que mucha gente se puede permitir comprar también una casa de vacaciones. Su
    número es bastante reducido y el mercado sigue bloqueado. En cambio, el alquiler va muy bien. En general no se alquilan
    viviendas en zonas periféricas debido a la distancia
    que puede afectar el presupuesto. La gente busca zonas
    más pobladas, que comuniquen con los medios de transporte público,
    sobre todo con el metro. Cabe precisar a la vez que las ventas van muy bien
    dado que el precio por metro cuadrado ha bajado hasta alrededor de unos 700
    euros.


    Según la página web www.imobiliare.ro, a nivel nacional,
    el precio promedio solicitado por un apartamento el pasado mes de mayo, fue de
    928 euros por metro cuadrado, un 0,8% más frente al mismo período del año
    pasado. En Bucarest, los precios de los pisos han bajado en el mismo período en
    un 2,3%, hasta 1.056 euros por metro cuadrado. En cambio han aumentado en un
    0,7% los precios de los pisos antiguos, hasta 1.031 euros por metro cuadrado.
    En Brasov, los precios promedios registraron el pasado mes de mayo un
    incremento de un 6,1%, hasta 855 euros por metro cuadrado. En Cluj Napoca, el precio promedio solicitado
    por los propietarios ha aumentado de 863 a 1.011 euros por metro cuadrado. En
    Constanza, un metro cuadrado vale 900 euros, un 4,2% más en comparación con el
    mes de mayo de 2014 mientras que en Timisoara un metro cuadrado vale 875 euros,
    un 8,2% más que el año pasado.





    La Agencia Mediafax ha
    transmitido recientemente que Joseph Houlihan, el presidente del Comité
    de Dirección de
    European
    Property Federation, una organización con sede en Bruselas que reúne a los inversores del
    sector inmobiliario
    , ha afirmado que el mercado inmobiliario
    de Rumanía está en aumento, suscitando cada vez más el interés de los
    inversores gracias a los rendimientos ofrecidos. El
    mercado inmobiliario de Rumanía ofrece en el presente los mayores rendimientos para las inversiones de Europa Central y
    Oriental, alrededor de un 8%, mientras que las propiedades de tipo A de
    Varsovia
    y Praga ofrecen rendimientos de un 6,5% o incluso menores, afirma
    Joseph Houlihan.


    En Bucarest, varios edificios de
    oficinas
    se están construyendo, siendo destinados este año para este tipo
    de construcción, unos 120.000 metros cuadrados y otros 500.000 metros cuadrados
    para el próximo año, según los datos ofrecidos por el diario Ziarul Financiar.

  • Festival international des étudiants francophones

    Festival international des étudiants francophones

    Quelques jours après la fin du mois de la francophonie, celle-ci revient dans lactualité grâce à un événement international, estudiantin, en cours tout au long de cette semaine dans la capitale européenne de la jeunesse 2015 – la ville de Cluj, au centre-ouest de la Roumanie. Le Festival international des étudiants francophones a attiré des foules. Sa coordinatrice, Roxana Ţurcanu, du Bureau régional de lAUF à Bucarest, nous en parle.


  • Psychologische Studie: Oberflächen- und Tiefenprofil der Rumänen im Vergleich

    Psychologische Studie: Oberflächen- und Tiefenprofil der Rumänen im Vergleich

    In 2005 hat das amerikanische Wissenschafts-Magazin Science“ eine Vergleichsuntersuchung über 49 Kulturen der Welt veröffentlicht. Die Studie untersuchte, wie sich die unterschiedlichen Völker selbst wahrnehmen und wie diese in Realität sind. Die Rumänen wurden damals nicht unter die Lupe genommen. Das gab den Forschern von der Abteilung für klinische Psychologie und Psychotherapie von der Babeş-Bolyai-Universität in Cluj/Klausenburg den Ansporn, ihre eigene Untersuchung zu starten.



    Es folgte eine ausführliche Untersuchung, die 10 Jahre lang dauerte. Dabei wurde die Methodologie, die bei der amerikanischen Studie eingesetzt wurde, benutzt. Rumänische Studien und weitere Tests, die speziell für diese Untersuchung entwickelt wurden, haben die Forscher auch benutzt. Das Ergebnis wurde dieses Jahr bekannt gegeben und stellt ein generelles psychologisches Profil der Rumänen dar. Die Studie hat sich unter anderem vorgenommen, zwei andere Studien, die 1907 und 1937 erschienen, zu ergänzen. 1907 war die Studie von Dumitru Drăghicescu und 1937 Die Psychologie des rumänischen Volkes“ von Constantin Rădulescu-Motru erschienen.



    Die Schlussfolgerungen der vergangenen Untersuchungen wurden zum Gro‎ßteil von der aktuellen Studie bestätigt. Interessant und überraschend sind die Unterschiede zwischen dem sogenannten Oberflächen-Profil“ der Rumänen und dem tiefen Profil“. Das erste bezieht sich auf das aktuelle Verhalten und Denken und das zweite auf die potentiellen Merkmale, die unter bestimmten Bedingungen zum Vorschein kommen könnten. Professor Daniel David von der Babes-Bolyai-Universität in Cluj spricht über diese Unterschiede:



    Was das tiefe psychologische Profil anbelangt, das sich auf das Potential im Bereich der kognitiven Intelligenz, der Kreativität, des Lernstils, der emotionalen Intelligenz bezieht, haben wir erfahren, dass sich die Rumänen nicht von anderen Völkern im modernen Europa unterscheiden. Wenn wir uns aber das Oberflächen-Profil anschauen — unser eigentliches Handeln — bemerken wir, dass dieses Potential nicht völlig ausgenutzt wird. Wenn wir zum Beispiel unsere Ergebnisse bei unterschiedlichen Bildungs-Tests vergleichen, sehen wir, dass unsere Leistungen nicht allzu hoch sind. Wenn wir uns auch die Ergebnisse in der Kategorie Innovation anschauen, sehen wir, dass die Innovations-Indikatoren nicht gro‎ß sind, auch wenn das Kreativitäts-Potential vergleichbar mit dem der Amerikaner oder Briten ist. Es gibt eine gro‎ße Kluft zwischen dem, was mir machen könnten, und dem, das wir gemacht haben.“




    Ein weiteres Merkmal der Rumänen hebt auch die grundsätzlichen Unterschiede zwischen ihnen und anderen Völkern hervor. Daniel David dazu:



    Ein gro‎ßes Problem, das wir bewältigen müssen, ist das Misstrauen gegenüber anderen Menschen. Das Misstrauen gegenüber anderen Menschen ist im Falle der Rumänen stark. Das haben wir in einer anderen Studie, die bald zu Ende gehen wird, untersucht. In dieser haben wir die soziale Distanz in 53 Kulturen der Welt analysiert, wir haben zum Beispiel die Rumänen mit den Amerikanern und den Briten verglichen. Ein Amerikaner oder ein Brite akzeptiert den Fremden in seiner persönlichen Sphäre: Er betrachtet ihn von Anfang an, ohne ihn zu kennen, als Freund und schenkt ihm sein Vertrauen. Wenn die Rumänen einen Fremden treffen, kommt dieser zuerst in die soziale Sphäre. Er muss unser Vertrauen gewinnen, bevor er die persönliche Sphäre betreten darf.“




    Die persönliche Sphäre und die Familie sind für die Rumänen sehr wichtig. Deswegen beschäftigen sie sich auch weniger mit Begriffen wie Gemeinwohl“. Charakteristisch sei ein egoistischer Individualismus, der aber sich vom Individualismus als Grundstein der modernen westlichen Zivilisation unterscheidet, meint Professor Daniel David:



    Der Individualismus ist ein Konzept, laut dem autonome Individuen sich freiwillig solidarisieren und dadurch gro‎ßzügige und starke Gemeinden gründen. Individualismus ist nicht Egoismus. Es ist das grundlegende Prinzip der EU-Völker, mit den Ausnahmen Portugal, Griechenland, Bulgarien und Rumänien. Wenn wir aber über Rumänen sprechen und den Begriff des Individualismus benutzen, kann man in die Irre geführt werden. Unser Individualismus ist kein westlicher, sondern ein egoistischer, alleinherrschender, das bemerkte auch Rădulescu-Motru. Und das hilft uns nicht, uns zu solidarisieren, es hilft uns nicht, Vertrauen ineinander zu haben und folglich können wir keine starken Gemeinschaften gründen. Unser Kollektivismus schlie‎ßt nicht die Nachbarn oder die Kollegen ein. Es beschränkt sich auf unsere Familie. Es gibt Vertrauen nur unter den Familienmitgliedern. Auch die Freunde müssen einen Vertrauenstest bestehen, um in den intimen Kreis akzeptiert zu werden. Die Familie gilt als Sicherheits- und Schutz-Element.“




    Unter diesen Bedingungen fragt man sich, wo sich die Gastfreundlichkeit“, von der die Rumänen glauben, sie wäre eines ihrer Charakterzüge, wiederfindet. Wir betrachten uns selbst als gastfreundlich, zugleich geben wir aber zu, kein Vertrauen zu haben. Wie kann man sich das erklären? Daniel David erläutert:



    Das Problem mit der Gastfreundlichkeit ist etwas komplizierter. Wir müssen wieder unterscheiden zwischen dem, was wir glauben, zu sein, und dem, was wir wirklich sind. Die Rumänen, wie auch andere Völker, benutzen ein selbstbewunderndes Klischee. Was das bedeutet? Die betrachten sich selbst als warmherzige und kompetente Personen. Aber ich wiederhole: Alle Völker denken das von sich. Wir bewerten uns selbst als eher freundlich, als vertrauenswürdig. Also wird das Problem des Vertrauens auch subjektiv, nicht nur objektiv bewertet. Das gleiche gilt für die Kompetenz. Die Kompetenz hat zwei Komponenten: Disziplin und Effizienz. Wir betrachten uns als effizient, aber als weniger diszipliniert.“




    Um die berufliche Kompetenz der Rumänen zu messen, müssen wir die Einstellung zur Arbeit untersuchen. Auch hier kommen die Unterschiede zwischen dem Oberflächen- und dem Tiefen-Profil zum Vorschein, wei‎ß Professor Daniel David.



    Die Arbeit scheint für die Rumänen ein Mittel zur sozialen Emanzipation zu sein. Wenn die Arbeit das nötige Einkommen bringt und einem hilft, sozial aufzusteigen, sich zu emanzipieren, dann sind die Rumänen sehr beharrlich und flei‎ßig. Wenn aber das Einkommen niedrig ist und dem Menschen nicht hilft, weiter zu kommen, dann kommt dieser Spruch: ‚Ich arbeite, wie ich bezahlt werde, es geht doch auch so‘. In der Provinz, wo die Einkommen klein sind, wird man unflei‎ßig. Wenn aber derselbe Rumäne, der in der Heimat nicht flei‎ßig war, ins Ausland geht und einen gut bezahlten Job bekommt und das Geld ihm hilft, sich sozial zu emanzipieren, wird er zu einem sehr flei‎ßigen Gesellen.“




    Mit anderen Worten können das Tiefen-Profil eines Volkes und das damit verbundene Potential nur dann ans Licht kommen, wenn die sozialen Institutionen die notwendigen Bedingungen dafür schaffen.

  • Anton-Pann-Theater in Râmnicu Vâlcea: Mehr als nur lokaler Erfolg

    Anton-Pann-Theater in Râmnicu Vâlcea: Mehr als nur lokaler Erfolg

    Das Anton-Pann-Theater in Râmnicu Vâlcea sorgt für den Fortbestand der über 100-jährigen Theatertradition in der Region. Das Theater wurde im Mai 1990 als professionelle Institution gegründet. Sein Vorgänger war das Volkstheater, in den 1960-80er Jahren eines der anspruchsvollsten des Landes in seiner Sparte. Hier arbeiteten bekannte Regisseure wie Dan Micu, Silviu Purcărete oder Alexandru Dabija.



    Seit mehr als 10 Jahren lenkt der Regisseur Adrian Roman die Geschicke des Anton-Pann-Theaters. Die Verjüngung des Ensembles war seine Vision: Er lie‎ß 10 Absolventen der Klausenburger Theaterschule einstellen. Sicherlich würden viele junge Schauspieler gerne zu der inzwischen landesweit bekannten Truppe gehören. Deshalb fragten wir Adrian Roman nach dem Auswahlverfahren.



    Es ist nicht leicht, in das Ensemble des Anton-Pann-Theaters aufgenommen zu werden. Wer sich das wünscht, muss wissen, dass er oder sie nicht in erster Linie des Geldes wegen nach Râmnicu Vâlcea kommen wird, sondern um Teil einer erfolgreichen Künstlertruppe zu sein. Ich habe die künstlerische Entwicklung der meisten Schauspieler seit ihrer Studienzeit selbst verfolgt. Damit meine ich die Schauspieler aus Klausenburg. Ein Schauspieler tritt dem Ensemble von Anton Pann als Besetzung einer bestimmten Rolle in einer Aufführung bei. Man wird von einem Regisseur für eine Aufführung gebraucht, man kommt nicht einfach hierher, um etwas Geld abzuholen. Das hei‎ßt, die Schauspieler werden nicht nur von mir ausgewählt, sondern auch von den Regisseuren, die Stücke am Anton-Pann-Theater inszenieren. Und, wie ich bereits sagte, werden sie für mindestens ein Jahr beobachtet. Die Schauspieler kommen nicht nur anhand eines Lebenslaufes hierher. Sie müssen sich auch den Leistungsansprüchen anpassen, die wir als Philosophie des Anton-Pann-Theaters fördern.“




    Und selbstverständlich auch die Sache mit positiver Energie und Begeisterung angehen. Au‎ßer der Förderung junger Schauspieler nimmt sich das Anton-Pann-Theater gleicherma‎ßen die Förderung junger Theatermacher vor. Einer von ihnen ist der Regisseur Bálint Botos, der ebenfalls in Klausenburg studiert hat. Für den Direktor Adrian Roman hatte das vergangene Jahr einen ganz klaren Höhepunkt: Die Aufführung der Belgrader Trilogie“ von Biljana Srbljanović unter der Regie von Cristi Juncu wurde zur Teilnahme am Nationalen Theater-Festival in Bukarest eingeladen. Ende März bis Anfang April dieses Jahres wird das Anton-Pann-Theater im Rahmen einer Partnerschaft mit dem Rumänischen Kulturinstitut auf Tournee durch die ukrainische Region Odessa gehen. Dabei wird die Puppen-Theatertruppe vor rumänischsprachigen Kindern aus der Ukraine auftreten. Eine weitere Partnerschaft, die mit dem Bukarester Nottara-Theater vereinbart wurde, soll im März ihren Anfang nehmen, erzählt Adrian Roman:



    Die Partnerschaft entstand, als Frau Marinela Ţepuş, die Leiterin des Nottara-Theaters, einige unserer Aufführungen sah. Wir hatten davor eine Inszenierung am Nottara-Theater gehabt, und zwar »Halt ebenso, Maine«, unter der Regie von Cristi Juncu. Beim Studiotheater-Festival in Piteşti vergangenen Herbst sa‎ß Marinela Ţepuş in der Jury. Und wir gewannen mit unserer Aufführung »Viskovitz, du bist ein Tier!« von Alessandro Boffa, unter der Regie von Tudor Lucanu, den Hauptpreis. Es war irgendwie lustig, weil es die letzte Aufführung des Festivals war und die Würfel bereits gefallen waren… Aber wir haben mit unserem Stück ihre Pläne auf den Kopf gestellt und den Gro‎ßen Preis gewonnen, aber auch viel Applaus geerntet und das ist für uns sehr wichtig. Und angesichts dieses unschlagbaren Arguments hat Marinela Ţepuş vor den Zuschauern diese öffentliche Einladung an uns gerichtet, die ein Jahr lang gelten wird. Wir haben bereits die ersten Termine unserer Aufführungen am Nottara-Theater festgelegt. Als erstes werden wir das Stück inszenieren, mit dem wir den Hauptpreis in Pitești gewonnen haben. Es ist eine Aufführung der ganz besonderen Art. Wir hoffen, damit auch am Nottara-Theater den gleichen Erfolg zu landen. Wir sind gerade bemüht, unseren eigenen Weg auf diesem Boulevard des rumänischen Theaters zu bahnen und das Publikum mit unseren Aufführungen zu gewinnen, weil unsere junge Schauspielertruppe wirklich herausragend ist. Das ist meine Ansicht. Viele Leute erzählen schon von dem Ensemble und ich hoffe, dass wir auch Bukarest erobern, dass wir das Publikum dort erobern. Leider haben die Aufführungen in Râmnicu Vâlcea, einer kleineren Stadt also, ein kurzes Leben. Und hoffentlich wird unsere Präsenz am Nottara-Theater das Leben einiger Aufführungen verlängern, die es unserer Meinung nach auch verdient hätten.“




    Unlängst haben am Anton-Pann-Theater die Proben für die neue Aufführung von Hirsche und Hennen“ begonnen. Vlad Massacis Inszenierung des zeitgenössischen Stücks von Willy Russell wird Anfang April die Premiere feiern. Bis dahin wird die Jury des Theaterverbandes UNITER am 28. Februar und 1. März zu Gast in Râmnicu Vâlcea sein. Dabei sollen zwei vom Theater selbst für die UNITER-Preise vorgeschlagene Aufführungen besucht werden: Supergute Tage“ unter der Regie desselben Vlad Massaci und Viskovitz, du bist ein Tier!“ unter der Regie von Tudor Lucanu.

  • Nachrichten 01.01.2015

    Nachrichten 01.01.2015

    BUKAREST: Rumäniens Präsident Klaus Iohannis hat in seiner Neujahrsansprache an die Rumänen im In- und Ausland auf seinen Wahlkampfslogan hingewiesen. Er hoffe, dass 2015 die Geburtsstunde der Normalität in Rumänien sein werde, so der Staatschef. Iohannis appellierte an die Bürger, die Gründe für Meinungsverschiedenheiten beiseite zu lassen und an den Dingen festzuhalten, die sie zusammen bringen. Auch Premierminister Victor Ponta schrieb eine kurze Neujahrsbotschaft auf Facebook, in der er allen Rumänen ein glückliches neues Jahr wünscht, und sich davon überzeugt zeigt, dass 2015 ein gutes Jahr wird. Der ehemalige König von Rumänien, Michael I. und seine Ehegattin, Königin Ana, wünschten den Rumänen ein gutes neues Jahr 2015, mit viel Gesundheit, Freude, Glück und Erfolg.



    RIGA: Lettland hat am Donnerstag von Italien die EU-Ratspräsidentschaft übernommen. Das kleine baltische Land im Nordosten Europas führt damit in den kommenden sechs Monaten die Geschäfte der 28 EU-Mitgliedstaaten. Dies wird die erste lettische EU-Ratspräsidentschaft sein, deshalb werden wir sie mit grö‎ßter Verantwortung angehen. Unsere oberste Priorität sind Arbeitsplätze und Wirtschaftswachstum“, betonte Ministerpräsidentin Laimdota Straujuma. Lettland will für ein wettbewerbsfähiges, digitales und engagiertes Europa“ eintreten – so das offizielle Motto. Durch Taten und Gespräche mit anderen Ländern werde Lettland seine Vision eines modernen, wirtschaftlich aktiven und menschenfreundlichen Europas fördern, kündigte Straujuma in ihrer Neujahrsansprache an. Hauptaufgabe der Regierung in Riga wird sein, den milliardenschweren Wachstumsplan von EU-Kommissionschef Jean-Claude Juncker voranzubringen. Bestimmt werden dürfte der EU-Vorsitz der ehemaligen Sowjetrepublik mit starker russischer Minderheit aber auch von der Ukraine-Krise und dem Umgang mit Russland. Lettland will sich zudem für eine engere Zusammenarbeit zwischen der EU und ihren östlichen Nachbarn einsetzen – dazu ist im Mai ein Gipfel in Riga geplant. (dpa)



    BELGRAD: Serbien hat am Donnerstag von der Schweiz die Präsidentschaft der Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (OSZE) übernommen. Im Zuge der Ukraine-Krise hatte die Organisation in jüngster Zeit erhöhte Bedeutung erhalten. Ihr gehören 57 Staaten an, darunter auch die USA und Russland. Seit Beginn der Ukraine-Krise im Frühjahr entsandte die OSZE hunderte Beobachter in den Osten des Landes. Sie beteiligte sich auch an den Verhandlungen um eine Waffenruhe. Ein jüngstes Treffen an Weihnachten hatte zu einem Gefangenenaustausch zwischen prorussischen Rebellen und Kiew geführt. Der serbische Au‎ßenminister Ivica Dacic will am 15. Januar das Programm seiner OSZE-Präsidentschaft vorlegen. (AFP)



    BUKAREST: Die rumänische Stadt Cluj/Klausenburg ist Europäische Jugendhauptstadt 2015. Das ganze Jahr über werden in Cluj/Klausenburg mehr als 1.500 Kulturveranstaltungen stattfinden, darunter ein Computerspiele-Festival und eine europäische Orientierungslauf-Meisterschaft für die Jugend. Trotz der bitteren Kälte feierten die Klausenburger auf dem Zentralplatz ihrer Stadt die neue europäische Jugendhauptstadt.



    BUKAREST: Das neue Jahr 2015 bringt den Rumänen Lohn- und Rentenerhöhungen, aber auch höhere Preise, sowohl für dei BevOlkerung, als auch für die Unternehmen. Ab 1. Januar 2015 werden die Renten um 5% erhöht — die Mindestrente wird demnach 400 Lei (umg. etwa 90 Euro) betragen. Ebenfalls ab 1. Januar 2015 wird der Mindestlohn in Rumänien von 900 Lei (umg etwa 200 Euro) auf 975 Lei (umg etwa 220 Euro) erhöht. Etwa 1,5 Millionen Angestellten werden diese Lohnerhöhungen genie‎ßen. Die Gehälter des Krankenhauspersonals werden um 100 Lei (etwa 20 Euro) aufgestockt. Ab 1. Januar wird auch der Erdgas-Markt für kleine und mittlere Unternehmen liberalisiert, und der Strompreis steigt um 0,26%. Für die touristischen Dienstleistungen all-inclusive gilt ab 1. Januar 2015 eine niederigere Mehrwertsteuer: 9% anststatt der bisherigen 24%, und die Sonderbau-Steuer sinkt auch vom 1,5% auf 1%.



    WETTER: Es bleibt weiterhin frostig in Rumänien, insbesondere im Süden, Südwesten und in der Landesmitte. Im Norden, Nordosten und im Gebirge schneit es vereinzelt. Die THT liegen zw –13 und –3 Grad. In Bukarest wurden am Mittag –12 Grad C gemessen. Der tiefste Wert dieses Winters, -32 Grad C, wurde in der Nacht vom 31. Dezember 2014 zum 1. Januar 2015 in der Ortschaft Intorsura Buzaului, Landkreis Covasna, gemessen. In Miercurea Ciuc und in Brasov sanken die Thermometer auf –29 Grad. Somit war die Nacht zum Donnrstag, den 1. Januar 2015, die kälteste Silvesternacht der letzten 53 Jahre in Rumänien. Temperaturen Das Wetteramt hat vor niedrigen Temperaturen weit unter dem Gefrierpunkt gewarnt. Die Warnung bleibt bis zum 2. Januar aufrecht.