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  • Visite au département e Gorj (édition concours)

    Visite au département e Gorj (édition concours)

    La zone de montagne du comté de Gorj est une destination touristique très recherchée par tous ceux qui ont envie de détente et d’aventure. Rafting, canyoning, spéléologie, descente en rappel et tyrolienne, escalade, cyclotourisme en montagne, ski, ce ne sont que quelques-unes des activités prévues dans les paquets touristiques. Les vieux monastères attirent eux aussi de nombreux visiteurs.

    La contrée de Gorj est éminemment touristique, précise Oana Paloş, porte-parole du Conseil départemental : «Puisque notre comté est situé en zone de montagne, vous y trouverez beaucoup d’opportunités de pratiquer le tourisme d’aventure à longueur d’année, l’hiver surtout. Les passionnés de sports d’hiver sont attendus à Rânca, station de montagne nationalement réputée. Elle dispose de six pistes de ski et d’un télésiège. On peut y pratiquer l’alpinisme, le parapente, le snowboard et le bob. Toutefois, c’est le rafting qui reste le sport roi, grâce aux excellentes conditions sur place. Je ne saurais oublier de mentionner Transalpina, la plus haute route de montagne de Roumanie, dont on dit qu’elle touche les nuages. Ce vieux chemin, que les bergers empruntaient lors de la transhumance, avait permis de garder des liens étroits avec la contrée de Sibiu. »

    Dans le comté de Gorj, l’activité touristique se décline donc de plusieurs façons: tourisme d’aventure, religieux, d’agrément et culturel. Quant au tourisme monacal, il est fort diversifié, grâce à la multitude de monastères datant des siècles passés, précise notre interlocutrice Oana Paloş : « Prenons l’exemple de Tismana, le monastère le plus ancien de la province historique de Valachie. Ce lieu de culte est inscrit dans un très beau circuit touristique, fort apprécié par les visiteurs roumains et non seulement, car le nombre d’hôtes étrangers va croissant chaque année. C’est dire que la contrée de Gorj commence à franchir des pas importants en matière de promotion touristique. La ville de Târgu Jiu, chef – lieu du département, s’enorgueillit de l’ensemble monumental mondialement connu, réalisé par Constantin Brancusi et baptisé « Calea Eroilor », « La voie des Héros ». Nous promouvons le concept touristique de city break aussi bien sur la ville de Târgu Jiu, que sur l’ensemble du comté. Il comporte la visite de nombre d’attractions touristiques, mais aussi des activités relevant du tourisme d’agrément. »

    L’offre en matière de tourisme culturel est elle aussi très étoffée, affirme Oana Paloş, porte-parole du Conseil départemental de Gorj : « En été, nous organisons beaucoup d’événements, dont le festival international de folklore, qui se tient chaque août et qui attire de nombreux visiteurs de l’étranger. Dans les rues de Târgu Jiu, on peut assister à des défilés de costumes traditionnels de plusieurs pays. Les mois d’août et de septembre sont les plus riches en événements. Parmi eux, le programme Chez Brancusi, qui jouit d’un grand succès. En automne, on se régale des couleurs de la nature ou l’on va au cœur de la campagne, histoire de découvrir des coutumes et traditions ancestrales, soigneusement préservées. La Fête des récoltes, qui s’étend sur plusieurs jours, est une excellente occasion de découvrir les produits du terroir, dont le vin local et le fromage de brebis de la région Transalpina. Nous avons aussi un festival consacré à la musique folk et à la littérature. Les événements culturels d’une riche diversité attirent bien du monde, depuis les académiciens jusqu’aux visiteurs en quête de détente. »

    Réputée pour ses forêts sauvages, la contrée de Gorj accueille plusieurs réserves naturelles, où l’on peut pratiquer la chasse ou la pêche. En plus, son unique station thermale est très appréciée au niveau local, même si elle ne bénéficie pas de promotion appropriée.

    Oana Paloş : « Săcelu, la seule station balnéaire du département, est l’endroit idéal pour des vacances santé et repos. La localité est attestée par des documents qui remontent aux temps de l’Empire romain, ce qui explique la présence de nombreux vestiges de thermes. Moins ou pas du tout connue hors les frontières de notre comté, Săcelu fera désormais l’objet d’une intense activité de promotion touristique, car elle n’a rien à envier à de nombreuses autres stations thermales de Roumanie. »

    Rafting, canoë – kayac, escalade, ski – autant de sports que vous aurez l’occasion de pratiquer dans la contrée de Gorj. A retrouver dans les paquets touristiques alléchants qui vous sont proposés et qui vous feront découvrir aussi l’histoire, la culture et les traditions de ce coin de pays.(Trad. : Mariana Tudose)

  • Rânca (édition concours)

    Rânca (édition concours)

    Nous vous invitons à passer quelques moments sur la route la plus haute de Roumanie: Transalpina. Nous nous arrêtons à Rânca, une petite station de montagne située à 1600 m d’altitude, un endroit aux paysages époustouflants. Mais ce n’est pas uniquement pour admirer les paysages que Ranca vaut le détour. En hiver, la station se remplit de touristes passionnés de ski, qu’ils soient de jeunes débutants ou des skieurs expérimentés. A Rânca ils ont à leur disposition 6 pistes de ski de différents degrés de difficulté. Mais avant l’hiver, les touristes qui aiment les randonnées en montagne peuvent parcourir une multitude de trajets en partant de Rânca. Parmi eux, l’un conduit au Sommet Papusa à 2508 mètres, le 8e de Roumanie en termes d’altitude. On peut également monter au sommet du Massif Mohorul, à 2337 m ou bien se rendre au lac glaciaire Gâlcescu. Ce sont des excursions de difficulté moyenne, qui durent environ 7 heures. Parmi d’autres repères touristiques de la zone, mentionnons les monastères de Polovragi, Tismana et Lainici ou bien la grotte Muierii, celle des Femmes, une des plus belles et des plus visitées de Roumanie. Considéré comme l’objectif spéléologique le plus populaire du pays, avec une longueur de 3500 mètres, la grotte des Femmes attire des dizaines de milliers de visiteurs par an.

    Les prix d’hébergement dans la région varient de 20 à 50 euros par personne en chambre double, petit déjeuner compris. Dan Florea, patron d’un gîte rural de Rânca, vous lance une invitation : «Les paysages sont magnifiques. Il y a des montagnes à perte de vue. Il y a aussi de nombreuses bergeries et une multitude de chevaux sauvages, ainsi que des sources d’eau non polluées. Nous avons accueilli une multitude de touristes étrangers : des Thaïlandais, des Mexicains, des Français, des Bulgares, des Russes. Nous sommes restés amis, nous continuons de communiquer sur Internet et ils reviennent chaque année chez nous».

    Sachez aussi que les pensions roumaines ont déjà publié leurs offres pour les fêtes de fin d’année. Alors, n’hésitez pas, réservez dès maintenant ou bien participez à notre jeu consacré au sculpteur Consantin Antonovici, un des disciples de Brancusi, et vous avez la chance de décrocher un séjour dans cette contrée magnifique. Bon succès ! (Trad. Valentina Beleavski)

  • Transalpina (édition concours)

    Transalpina (édition concours)

    Elle relie la Transylvanie
    au sud du pays. Avant 2009, la route n’était pas pavée, étant empruntée
    uniquement par le amateurs de 4×4. C’est pourquoi, bien que ce soit un endroit
    spectaculaire, Transalpina est moins connue des touristes.






    Le 2
    novembre, Transalpina a été officiellement fermée pour la saison d’hiver, pour
    être rouverte l’été prochain, affirme Sabin Cornoiu, directeur du Service
    départemental des sauveteurs en montagne de Gorj: «Tout le monde qui est passé
    par ici le dit : c’est la route la plus belle de Roumanie. Les paysages
    sont extraordinaires, avec des montagnes moins hautes mais très belles. C’est
    valable pour ses deux côtés : le trajet de reliant les villes de Sebes et
    Obârsia Lotrului en Transylvanie ou bien celui entre Obârsia Lotruui et Rânca,
    qui traverse les monts Parâng. Le côté nord de ces montagnes est très beau,
    comparable aux grandes montagnes d’Europe. Il n’y a pas si longtemps que ça,
    toutes ces beautés n’étaient accessibles qu’aux touristes qui faisaient des
    excursions à pied».







    Transalpina est fermée chaque année lors de la première
    chute de neige abondante, parce qu’à l’heure actuelle l’accès des voitures
    pendant l’hiver n’y est pas justifié. Vu qu’elle atteint de grandes altitudes,
    les couches de neige sont énormes et rendent la route impraticable. Il en va de
    même pour le Trasfagarasan, une autre route superbe qui traverse les monts
    Fagaras. Quelle est la plus belle des deux? Sabin Cornoiu répond: « Nous,
    les habitants du département de Gorj, nous estimons que tant que la Roumanie ne
    dispose que de deux routes de ce type, il n’y a pas de concurrence entre les
    deux. Elles sont tout aussi belles. Certes, cela nous réjouit beaucoup
    d’entendre les touristes dire que Transalpina a des paysages plus beaux. Et
    c’est justifié, je dirais, car le trajet a été très bien choisi : il y a
    moins de vallées et plus de sommets, d’où les paysages spectaculaires ».







    En prenant la route Transalpina, on arrive assez vite au
    sommet des monts Parâng. Après avoirs traversé le sommet, une des plus belles
    zones de lacs glaciaires s’ouvre devant les yeux des
    touristes. Sabin Cornoiu : « Je vous assure que vous trouverez des
    endroits à part au département de Gorj. La beauté des paysages vient du fait
    qu’il n’ont pas été touchés par l’homme. Et j’aimerais qu’ils restent ainsi. En
    plus, les gens sont très accueillants. Tout cela garantit des souvenirs
    inoubliables pour ceux qui nous rendent visite».








    Voilà
    donc une nouvelle invitation à découvrir la Roumanie. Et n’oubliez pas de
    participer à notre jeu concours « Constantin Antonovici, génération
    Brancusi », vous aurez la chance de décrocher un séjour au département de
    Gorj et de parcourir la route Transalpina, dont nous venons de parler. (Trad.
    Valentina Beleavski)

  • Constantin Antonovici, génération Brancusi

    Constantin Antonovici, génération Brancusi

    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau jeu avec des prix très intéressants à la clé. Cette fois-ci nous nous intéressons à l’art, notamment au célèbre sculpteur Constantin Brancusi et à un de ses disciples Constantin Antonovici (1911 – 2002), qui a fait une brillante carrière en Europe et aux Etats-Unis. Parmi tous les artistes avec lesquels Brancusi a travaillé, il a été le seul possesseur d’une recommandation écrite et signée par le grand sculpteur lui-même. Constantin Antonovici est sorti diplômé de la faculté des Beaux-Arts à Iasi, dans l’est de la Roumanie, en 1939 ; il a ensuite poursuivi sa formation pendant 3 ans à l’Académie des Beaux Arts de Vienne et pendant 2 ans au Tyrol. Il arrive à Paris en 1947, où il rencontre Brancusi, aux côtés duquel il travaille pendant 4 ans.

    A compter de 1953 Constantin Antonovici a travaillé à New York, dans un studio, au sous-sol de la cathédrale St John the Divine. Il a participé à de nombreuses expositions, étant récompensé de nombreux prix à des concours de sculpture organisés au Canada, aux Etats-Unis, en Autriche, France, Italie et Roumanie. Parmi ses créations classiques exposées dans des espaces publics, mentionnons la pierre tombale en marbre de la crypte de l’archevêque William T. Manning, une croix en pierre haute de 2 mètres placée sur la façade ouest de la cathédrale St John the Divine, ou encore le buste de l’ancien président américain Dwight Eisenhower exposé à la Maison Blanche. Par ailleurs, sachez que le motif central de l’œuvre de Constantin Antonovici a été le hibou, oiseau qu’il a représenté sous différentes formes.

    Nous vous invitons comme d’habitude à suivre nos émissions, à consulter notre site Internet www.rri.ro, ainsi que nos profils sur Facebook, Twitter, Pinterest, Flickr et Google+. Toutes ces sources d’information vous aideront à répondre correctement, par écrit, à nos questions. Le jeu se déroule jusqu’au 15 janvier 2016, le cachet de la poste faisant foi.

    Le Grand Prix de notre jeu consiste en un séjour de 7 jours (6 nuitées) en pension complète du 15 au 30 avril 2016 au département de Gorj, la contrée d’origine de Constantin Brancusi. Cette fois-ci nous aurons 2 grands gagnants.

    Ils auront l’occasion de visiter la maison où est né Constantin Brancusi et de nombreuses autres attractions touristiques de la région, dont l’ensemble monumental La voie des héros de Targu Jiu, un hommage rendu aux soldats disparus pedant la Première guerre mondiale. Il comporte 4 sculptures: la Table du Silence, l’Allée des chaises, la Porte du baiser et la Colonne sans fin – toutes étalées sur le même axe long de 1275 mètres orienté de l’ouest à l’est. S’y ajoute l’église des Saints Pierre et Paul inaugurée le 7 janvier 1937, le même jour que la Porte du baiser.

    Outre les deux séjours, vous aurez la chance de décrocher d’autres prix et mentions consistant en objets offerts par nos partenaires.

    Ce jeu est organisé en coopération avec le Centre de recherche, de documentation et de promotion Constantin Brancusi de Targu Jiu et avec d’autres partenaires locaux. Comme d’habitude, les frais de voyage en Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants du grand prix.

    Voici maintenant les questions.

    1. Quel est le motif central de l’œuvre de Constantin Antonovici ?

    2. Qu’est-ce qui rend Constantin Antonovici unique parmi tous les disciples de Brancusi ?

    3. Quelles sont les sculptures célèbres qui forment l’ensemble monumental «la Voie des héros» de Targu Jiu ?

    4. Nous vous invitons également à nous dire la raison de votre participation et pourquoi vous écoutez les programmes de RRI.

    Nos coordonnées, vous les connaissez bien:

    – Radio Roumanie Internationale, Service Français, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte Postale 111, secteur 1, Bucarest, Roumanie, code postal 010165

    – fax : 00.40.21.319.05.62;

    – email: fran@rri.ro, service_francais_rri@yahoo.fr .

    Nous attendons vos réponses jusqu’au 15 janvier 2016, le cachet de la poste faisant foi. Les noms des gagnants seront annoncés peu après la fin du concours, pour que les grands gagnants aient le temps de préparer leur voyage en Roumanie.

    Bonne chance à tous !

  • Jeunes ambassadeurs en action contre les changements climatiques

    Jeunes ambassadeurs en action contre les changements climatiques

    Feu vert pour la cinquième édition du Concours national des « Jeunes ambassadeurs en action contre les changements climatiques ». La compétition s’ouvre à tous les élèves de gymnase préoccupés par un environnement sain et sûr. Les enfants sont invités à transmettre leur message pour une planète verte à travers différents ouvrages qu’ils imaginent : T-shirt, tableaux, dessins, affiches, etc. Leurs contributions sont attendues jusqu’au 24 octobre et pour toute information supplémentaires, les candidats sont priés de consulter le site Internet www.eschools.ro, la section concours. La remise des prix aura lieu, en novembre dans le cadre d’un gala organisé à Bucarest auquel sont attendus tous les participants et leurs coordinateurs. Les cinq meilleurs participants se verront investir « jeunes ambassadeurs » en lutte contre les changements climatiques et seront récompensés de DVD, livres, tablettes et matériaux éducatifs.

    Le concours s’inscrit dans un projet plus ample intitulé « Les jeunes ambassadeurs en action contre les changements climatiques » mis en place par la Fondation Terre du IIIème Millénaire en partenariat avec les associations « Les amis de la Terre » et le « Club d’écologie et tourisme la Fleur de la reine de Sinaia ». Madame Lavinia Andrei, présidente de la Fondation «Terre du IIIème Millénaire » espère que l’actuelle édition regroupe un nombre croissant d’élèves dont les messages parviennent aux participants de la Conférence sur les changements climatiques qui aura lieu à Paris, à partir du 30 novembre.

    Lavinia Andrei: Notre fondation déroule des activités éducationnelles à l’intention des élèves et des professeurs. L’actuel projet nous est très cher, surtout que dans les écoles roumaines, on oublie souvent de nous concentrer sur des aspects de notre quotidien. Or, il est évident que les enfants sont une des catégories les plus vulnérables aux changements climatiques, surtout en l’absence de tout conseil à ce sujet. Pourquoi sont-ils tellement vulnérables ? Parce que ce sera à eux de payer la facture de nos actions. Voilà pourquoi, notre fondation se propose de tirer la sonnette d’alarme et de soutenir une prise de conscience parmi les élèves et leurs professeurs sur les changements climatiques. C’est la principale raison pour laquelle on a lancé ce concours, qui en est à sa cinquième édition, à l’intention des élèves du gymnase. La précédente a regroupé plus de 200 ouvrages. Les enfants sont très audacieux, ils cherchent à recueillir des informations, ils ont des idées innovatrices très intéressantes. Déroulé dans un premier temps dans 16 établissements scolaires uniquement, le projet a gagné en adeptes et on envisage de lancer une campagne nationale de prise de conscience afin que les facteurs de décision réunis à Paris en novembre assument des engagements encore plus solides et susceptibles d’être mis en place.

    Le projet « Les jeunes ambassadeurs en action contre les changements climatiques » bénéficie d’un financement de près de 140.000 euros dont environ 15.000 de source propre, le reste étant versé par l’Espace économique européen dans le cadre du Fonds ONG en Roumanie. L’édition de cette année aura lieu sous le haut patronage de l’ambassadrice norvégienne en Roumanie, son Excellence Tove Bruvik Westberg. (trad. Ioana Stancescu)

  • Sur les traces de la navette de Mamie Ruta

    Sur les traces de la navette de Mamie Ruta

    Elle est de nature voyageuse – elle bougeait déjà beaucoup à lépoque où elle était en activité, mais, à présent, elle ne se contente plus de va-et-vient entre les fils de laine et fait le tour du monde. Elle est légère, bien que sa silhouette soit en bois, et elle sest déjà fait une petite renommée internationale grâce à ses voyages… Elle sappelle “la navette de Mamie Ruţă” et sest trouvée à lorigine dune compétition qui a passionné les auditeurs de RRI, aux quatre coins du monde. Le petit objet a porté chance à deux auditeurs de la Rédaction française, ce qui est plutôt rare pour le tirage au sort dun jeu-concours.



    Ce sont Mlle Jamila Bekkaï du Maroc et M. Gilbert Dupont de France qui ont décroché le gros lot – le voyage dans le sud de la Transylvanie offert par RRI, par le sponsor principal de cette aventure, Scorilo Turism, et par tous les autres partenaires du jeu. A noter aussi que ce concours a été organisé par notre station en partenariat avec lAntenne des villages, une station du bouquet RR dédiée au monde rural, qui, à son tour, a désigné deux gagnants, les épous Balaban, suite à un tirage aux sorts. Ce qui fait que nous avons un petit groupe roumano-franco-marocain de gagnants du Grand Prix, qui explorent actuellement la contrée de Făgăraş, au centre de la Roumanie, région dorigine de Mamie Ruţă et de sa fameuse navette… Impressions à mi-parcours.





    Un grand merci à Scorilo Turism, sponsor principal, et à tous les partenaires de RRI et RRAV ayant rendu possible cette aventure – les conseils départementaux de Braşov et Sibiu, les municipalités de Făgăraş et Râşnov, l’Archevêché de la Transylvanie — l’Archevêché de Sibiu, le monastère Brâncoveanu de Sâmbăta de Sus, la filiale de Sibiu de l’Union des Plasticiens, le Musée National Brukenthal, le Musée national ASTRA de Sibiu, le Centre départemental pour la conservation et la promotion de la culture traditionnelle « Cindrelul-Junii Sibiului », le Musée départemental d’histoire de Braşov, le Lycée d’art de Sibiu, S.C. Libris S.R.L., Ion Art Glass de Şelimbăr, et le sculpteur américain d’origine roumaine Gheorghe Zaharia, né dans la contrée de Făgăraş.



    Retrouvez les photos du voyage sur les profils Facebook de la Rédaction française:


    – https://www.facebook.com/RadioRomaniaInternationalFR


    – https://www.facebook.com/serviciul.francez

  • 02.09.2015 (mise à jour)

    02.09.2015 (mise à jour)

    Code fiscal — Le nouveau Code fiscal devrait être débattu mercredi par les députés membres de la Commission en charge du budget. Jeudi, il figurera à l’ordre du jour du plénum de la Chambre des députés. Les sénateurs roumains ont adopté mardi à une grande majorité le document dans la forme convenue par les partis politiques. Parmi les mesures figurant dans le nouveau Code fiscal mentionnons la réduction de la TVA à 20% à compter de janvier 2016 et à 19% à partir de 2017. La suppression de laccise supplémentaire sur les carburants et de la taxe sur les constructions spéciales sera reportée à 2017. Le nouveau Code fiscal pourrait être promulgué la semaine prochaine par le président Klaus Iohannis, qui, dans un premier temps, l’avait renvoyé pour réexamen au Parlement.



    Moldova — La priorité absolue de Bucarest, c’est la République de Moldova – a déclaré mercredi le premier ministre roumain Victor Ponta, lors de la réunion annuelle de la diplomatie roumaine. Il a demandé aux diplomates roumains de promouvoir les intérêts de l’Etat voisin, tout comme ils défendent les intérêts de la Roumanie. Rappelons-le, le premier ministre roumain s’est rendu dans la capitale moldave, Chisinau, le 27 août, à l’occasion du 24e anniversaire de l’indépendance de la République de Moldova à l’égard de Moscou. Il avait été reçu par le président Nicolae Timofti et son homologue moldave, Valeriu Strelet. Victor Ponta a réaffirmé à Chisinau le soutien de Bucarest aux aspirations européennes du pays voisin. A noter aussi que l’année dernière, la République de Moldova a conclu des accords d’association et de libre échange avec l’UE, qu’elle espère rejoindre en 2020.



    Détention provisoire — Alina Bica, l’ancienne chef de la Direction d’investigation des infractions de criminalité organisée et de terrorisme de Roumanie (DIICOT), a été placée de nouveau en détention provisoire, mercredi, pour corruption passive. Une mesure similaire a été ordonnée dans cette affaire à l’encontre de Şerban Pop, ancien chef du Fisc entre 2012 et 2013. Les deux ont été retenus par les procureurs anticorruption parce qu’ils auraient perçu 230.000 euros de pots-de-vin de la part d’un homme d’affaires. Alina Bica, dont les fonctions étaient équivalentes à celles de procureur en chef anti-mafia, a été traduite en justice pour corruption dans deux autres dossiers. L’homme d’affaires Horia Simu est, lui aussi, placé en détention provisoire dans une autre affaire de corruption.



    Concours — Les gagnants des Grands Prix du jeu concours « Voyage avec la navette de Mamie Ruţă », organisé par RRI et « LAntenne des villages », station de la Radio publique roumaine, ont commencé leur excursion à Făgăraş-Sâmbăta de Sus et à Mărginimea Sibiului (au centre de la Roumanie). Une semaine durant, les auditeurs de RRI Jamila Bekkaï, du Maroc et Gilbert Dupont, de France, accompagné par son épouse, Annie Lefèvre Dupont, ainsi que les auditeurs de « LAntenne des villages » Anca et Cristian Balaban, de Roumanie, découvriront les attractions touristiques, culturelles, historiques et religieuses les plus importantes du Pays de Fagăraş et des alentours de Sibiu. Les gagnants des Grands Prix sont accompagnés par les journalistes Simona Lazăr et Valentin Ţigău. RRI, qui a reçu 197 réponses correctes et complètes aux questions du jeu-concours, a décidé de récompenser par 60 autres prix et mentions consistant en objets les meilleures réponses et motivations.



    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Monica Niculescu s’est qualifiée pour le deuxième tour de lUS Open, dernier Grand Chelem de l’année après avoir vaincu, mardi, la Russe Alexandra Panova. Monica (41e WTA) rencontrera au deuxième tour l’Italienne Flavia Pennetta, tête de série n° 26. Simona Halep, deuxième favorite de la compétition, s’est elle aussi qualifiée, en remportant le match contre la Néo-Zélandaise Marina Erakovic. Simona Halep devra affronter au deuxième tour l’Ukrainienne Katerina Bondarenko. Les trois autres sportives roumaines figurant dans le tableau du simple dames de l’US Open, Andreea Mitu, Alexandra Dulgheru et Irina Begu ont été éliminées dès le premier tour.




    Sport — L’équipe de Roumanie de football doit affronter vendredi la sélection hongroise, dans un match comptant pour les préliminaires du Championnat d’Europe. Lundi prochain, les Roumains rencontreront, à domicile, les Grecs. Forts des quatre victoires remportées et avec deux égalités sur six matches disputés, les Roumains sont leaders du Groupe F des préliminaires. Ils ont engrangé 14 points et sont talonnés par les Nords — Irlandais (13 points) et les Hongrois (11 points). Les matches du Groupe finiront en octobre. Les footballeurs roumains rencontreront les Féroïens en déplacement et les Finlandais à domicile. La dernière participation de la Roumanie à la finale d’un tournoi européen remonte à 2008. Selon la presse sportive bucarestoise, la consolation des supporters roumains reste la sélection nationale, car, pour la première fois depuis 12 ans, la Roumanie naura pas de représentantes dans les compétitions européennes de football interclubs.

  • Vacances dans le sud du littoral roumain de la mer Noire

    Vacances dans le sud du littoral roumain de la mer Noire


    Chers amis, RRI vous invite à participer à un nouveau jeu-concours, intitulé « Vacances d’été sur la côte roumaine de la Mer Noire ». D’ici fin avril, vous découvrirez les stations du sud du littoral roumain, à savoir Jupiter, Saturn, Venus, Neptun, Olimp et Cap Aurora, ainsi que la ville de Mangalia, qui se dresse sur l’ancien emplacement de la cité antique Callatis.



    Notre voyage commence dans la ville-station littorale de Manglia, destination idéale pour ceux qui souhaitent profiter de vacances sereines au bord de la mer Noire et des cures balnéaires, mais aussi pour les passionnés d’histoire. En matière d’attractions touristiques, la liste est longue. Parmi elles, les ruines de la cité Callatis, ancienne colonie grecque au bord du Pont Euxin, la mosquée d’Esmahan Sultan, les grottes Movile – qui est une réserve spéléologique – et Limanu, avec son labyrinthe souterrain s’étendant sur près de 4 km, ainsi que le fameux vignoble de Murfatlar, dont les vins sont primés aux concours internationaux. Il convient de mentionner aussi qu’en 1959, à Mangalia était découvert le plus ancien papyrus d’Europe, datant du IVe siècle avant Jésus-Christ. Après avoir passé un demi-siècle à Moscou, pour être restauré, il peut être de nouveau admiré au Musée d’Archéologie de Mangalia.



    Dumitru Filip, directeur du département du tourisme de la Municipalité de Mangalia, nous parle de ce chef-lieu qui gère six stations littorales aux noms de planètes: Jupiter, Saturn, Venus, Cap Aurora, Neptun et Olimp: Elles ne sont pas nombreuses les villes qui puissent s’enorgueillir d’une richesse de stations littorales aussi grande que la nôtre. Notre atout principal c’est justement le fait d’être une destination importante dans le paysage touristique roumain. Nous disposons d’une capacité d’hébergement d’environ 120.000 places dans des hôtels offrant tous les degrés de confort. Le chef-lieu de Mangalia et les stations adjacentes sont reconnus en tant que destinations balnéaires. Cela veut dire qu’en dehors du tourisme estival, nous proposons des cures thermales. Nos établissements disposent d’excellentes facilités en matière de physiothérapie. En plus, nombre d’hôtels offrent des procédures de balnéothérapie. Certains d’entre eux proposent également des cures de remises en forme et de beauté. Mangalia n’a pas un grand nombre d’habitants et puis une douce sensation de vacances éternelles flotte dans l’air de ses stations littorales. Le séjour y est d’autant plus agréable que l’on a l’embarras du choix parmi la multitude de terrasses, de restaurants gastronomiques ou traditionnels, d’aires expressément aménagées pour accueillir des activités sportives.



    Il y a de bonnes raisons pour choisir Mangalia, affirme Cristian Radu, le maire de la ville: Nous avons au total 9 kilomètres de côte. La région et également réputée pour la forêt de plus de 500 hectares, les six lacs, la boue sapropélique et les dix sources thermales. Nous avons démarré une série de projets financés par les fonds européens. Les travaux ont déjà commencé pour la construction d’un bord de mer piéton de 9 km, soit la longueur de notre segment du littoral. Une autre attraction touristique est le haras de Mangalia, vieux de plus de 90 ans, qui abrite des pur-sang arabes. Nous essayons donc d’améliorer le positionnement de nos stations sur la carte touristique du monde. Mangalia passe pour le plus ancien site d’habitat humain de Roumanie. Par ailleurs, nous sommes en train de mettre en valeur les vestiges de la cité antique de Callatis, au travers d’un projet européen. Nous souhaitons aussi avoir à nouveau à Mangalia la grande affluence de visiteurs de l’étranger qui, par le passé, venaient profiter, entre mai et fin septembre, des vertus thérapeutiques de nos sources chaudes et des soins prodigués dans nos établissements thermaux. Les tarifs de nos services sont accessibles et puis la boue sapropélique de Mangalia est unique en Europe.



    Tatiana Odobescu est directrice du complexe culturel Callatis, qui réunit la Maison de la culture, le Musée d’archéologie, la Bibliothèque municipale et la Bibliothèque française Arthur Rimbaud: Nous avons des vestiges importants, dignes de l’intérêt de nos hôtes venus de l’étranger. Le Musée d’archéologie de Mangalia leur fera découvrir l’histoire de ces parages. Plusieurs cités datant de l’antiquité grecque s’égrènent le long de la côte ouest de la mer Noire. Callatis en est une. C’est une cité dorienne vieille de plus de 2.500 ans, à l’histoire fort intéressante. Une flânerie dans les rues de Mangalia vous fera découvrir une partie des vestiges mis au jour par les fouilles archéologiques. Le projet Callatis – Histoire au bord de la mer Noire se propose justement de conserver et de mettre en valeur trois attractions touristiques situées aux environs de Mangalia. Ces vestiges ont une longue histoire. Au début du XXe siècle, les démarches visant à déplacer l’aire urbaine loin du site historique n’ayant pas abouti, ces vestiges éparpillés dans la ville moderne de nos jours constituent de véritables îlots d’antiquité. Trois d’entre eux sont facilement visibles. Il s’agit des flancs nord et est et de l’angle nord-ouest de la muraille de la cité Callatis, ainsi que des nécropoles paléochrétiennes. Les recherches sur ces vestiges désormais achevées, nous sommes parvenus à des conclusions très intéressantes, qui seront rendues publiques ultérieurement. Nous allons entamer l’étape d’étude architecturale, qui devrait déboucher sur l’identification des modalités permettant une meilleure mise en valeur de ces vestiges. Nous envisageons de créer un parc archéologique en plein air. Il en racontera l’histoire à tout visiteur du musée Callatis de Mangalia. Muni d’une carte, le touriste pourra les repérer aisément, à proximité de ce musée.



    Les hôtels situés dans le sud du littoral de la mer Noire s’adressent à toutes les catégorie de touristes. Il y en a qui pratiquent, depuis peu, le tourisme de niche, privilégiant les offres destinées aux jeunes, aux familles avec des enfants ou aux personnes désireuses de tester les bienfaits des facteurs thérapeutiques de la contrée.



    Andrei Ţigănaş, directeur des hôtels Delta et California, situés dans les stations littorales de Jupiter et respectivement Cap Aurora: Cela fait des années que nous ciblons les familles avec des enfants. Nos petits clients sont traités comme des rois. Nous avons conçu pour eux des activités à longueur de journée et leur avons réservé tout un segment de plage. A cela s’ajoute l’aire de jeu « Baby Land », les ateliers de création, le centre de danse moderne et classique, l’école de théâtre et le théâtre pour enfants. Toutes ces activités sont gratuites et constituent un complément de l’offre d’hébergement. (Trad. Mariana Tudose)


  • Les gagnants du jeu-concours « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă »

    Les gagnants du jeu-concours « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă »

    Chers amis, RRI vous a invité à participer, jusqu’au 15 juillet — le cachet de la poste faisant foi — à un nouveau jeu concours intitulé « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă », organisé aux côtés de nos collègues de lAntenne des villages, la station de la Radio publique roumaine destinée au monde rural. Un projet simple et ingénieux est né au cœur de la Roumanie, dans la contrée de Făgăraş, qui a fait parler de lui dans le monde du village de Mândra : «La Navette de Mamie Ruţă ». Nous vous avons donc proposé un jeu-concours qui vous fasse découvrir la région de Făgăraş ainsi que Mărginimea Sibiului, une contrée superbe qui lavoisine.



    Ce jeu a suscité un grand intérêt. Sur plusieurs centaines de réponses envoyées à RRI, 197 ont été correctes et complètes, étant prises zen compte pour le tirage aux sorts. Nous vous en remercions à toutes et à tous et nous attendons vos participations à nos prochains jeux-concours.



    Nous navons pas changé nos bonnes habitudes et nous avons préparé un grand prix spécialement pour vous. Il sagit de deux séjours de 8 jours, soit 7 nuitées, en pension complète, du 1er au 8 septembre 2015, dans une pension de Sâmbăta de Sus, région de Făgăraş, département de Brasov, ou bien dans un gîte de Marginimea Sibiului, au département de Sibiu. Ces prix seront partagés entre les gagnants désignés par tirage aux sorts parmi les auditeurs de RRI et de lAntenne des Villages participant à ce jeu. Comme dhabitude, les frais de voyage en Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants du grand prix.



    Le sponsor de notre jeu est SC SCORILO TURISM SRL. Le jeu vous est proposé par RRI en coopération avec ses partenaires locaux des départements de Braşov et Sibiu : les conseils départementaux de Braşov et Sibiu, les municipalités de Făgăraş et Râşnov, l’Archevêché de la Transylvanie — l’Archevêché de Sibiu, le monastère Brâncoveanu de Sâmbăta de Sus, la filiale de Sibiu de l’Union des Plasticiens, le Musée National Brukenthal, le Musée national ASTRA de Sibiu, le Centre départemental pour la conservation et la promotion de la culture traditionnelle « Cindrelul-Junii Sibiului », la Musée départemental d’histoire de Braşov, le Lycée d’art de Sibiu, S.C. Libris S.R.L., Ion Art Glass de Şelimbăr, et le sculpteur américain d’origine roumaine Gheorghe Zaharia, né dans la contrée de Făgăraş.



    En suivant nos émissions, en consultant notre site Internet www.rri.ro, ainsi que nos profils sur Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn, vous avez pu trouver les réponses correctes aux questions de ce jeu-concours.



    Le jeu-concours s’est achevé le 15 juillet — le cachet de la poste faisant foi. Avant de vous faire connaître les noms des gagnants, rappelons les questions auxquelles nous vous avons invités à répondre:



    1. Doù est partie en voyage la «Navette de Mamie Ruţă» ? Réponse correcte : du village de Mândra.



    2. Combien de km cette navette a-t-elle parcourus jusquici ? Réponse correcte : un million de kilomètres.



    3. Comment sappellent les deux régions que les gagnants du grand prix auront loccasion de visiter ? Réponse correcte: Făgăraş (Sâmbăta de Sus), du comté de Braşov, et Mărginimea Sibiului, du comté de Sibiu.



    4. Nommez 5 villages ou endroits inédits que la « Navette de Mamie Ruţă » a visités. Là, vous pouviez choisir parmi les dizaines de pays, de villes et d’endroits qui ont accueilli la navette et que vous avez pu découvrir sur Internet, à partir des nombreuses photos postées sur le site de RRI et sur nos profils sur les réseaux sociaux.



    Et maintenant, place aux gagnants !



    Voici tout dabord les 25 mentions : notre compatriote Delia Biţă, d’Italie, Atef Salama et Sami Ahmad Mosad, les deux d’Egypte, Liuben Rosales Arevalo, de Cuba, Christian Canoën, de France, Xue Fei, de Chine, Viktor Varzin, de Russie, Hans Verner Lollike, du Danemark, Grant Skinner et Matthew Loughlin, les deux du Royaume Uni, Ronny Forslund, de Suède, Keith Simmonds, de France, qui a écrit au Service Anglais, tout comme Jaroslaw Jedrzejczak, de Pologne, récent gagnant du jeu-concours de RRI « Vacances sur la côte de la mer Noire », Asghar Shah et Maaz Shahzad, les deux du Pakistan, Abdulkarim Alhouseini, de Libye, qui a écrit au Service Anglais, Abur Rashid Biswass, Eyamin Hosain, S.B. Sharma, Jayanta Chakrabarty, Priyanka Paul, Chitturi Venkataramana, Shivendu Paul, Syamapada Sarkar et Najim Udin, tous les 9 d’Inde.



    “Je félicite le professionnalisme de léquipe du service francophone pour le travail effectué quotidiennement sur les ondes, équipe dont on sent lattachement réel pour son pays”, nous écrivait Christian Canoën de France.



    Notre compatriote Delia Biţă, résidente en Italie, avouait: « J’écoute avec plaisir les émissions de RRI et je suis vos programmes en ligne car j’ai la certitude que vous faites la promotion des valeurs roumaines à l’étranger, ce qui fait que la Roumanie sorte un peu plus de l’anonymat ».



    Passons maintenant aux 15 troisième prix que voici: Dejan Mijatovic, de Serbie, Natalia Zabolotna, d’Ucraine, Cătălina Constantinovici, de Roumanie, Ben Chohra Ali, d’Algérie, Ziyad Ahmad Aqil, de Jordanie, Juan Antonio Morales, d’Espagne, Claude Unsinger, de France, He Xige et Zhang Xiaohua, les deux de Chine, Nikolaï Prigodici, du Bélarus, Brian Kendall, du Royaume Uni, Muhammad Shamim et Deepita Chakrabarty, les deux d’Inde, Hamad Kiani, du Pakistan, et Oscar Machuki du Kenya.



    Dejan Mijatovic, de Serbie, argumentait de manière claire et précise: « Chers amis, c’est avec un très grand plaisir que j’ai lu l’histoire concernant la navette de Mamie Ruţă. J’ai également été enchanté par le parallèle avec le nain d’un de mes films préférés, sur le destin fabuleux d’Amélie Poulain, surtout après avoir vu, en janvier dernier, le nain à 2750 m dans les Alpes françaises, où je m’étais rendu pour mes vacances. »



    Natalia Zabolotna, d’Ukraine, a écrit: « J’ai été particulièrement impressionnée par l’histoire de Mamie Ruţă, qui n’a pas réussi à accomplir son rêve de voyager à travers le monde, mais qui a souhaité que sa navette le fasse à sa place. Ce concours parle des rêves… et les rêves sont si différents ! Certains rêvent de voir des pays éloignés, d’autres de voler en ballon ou de devenir célèbres, tandis que d’autres ne rêvent que d’un peu de temps libre pour leurs hobbies ou pour se reposer. Tout le monde rêve de quelque chose et il nous semble à tous que nous manquons de quelque chose — de temps, d’argent etc. La plupart des fois, les rêves sont considérés moins importants et sont placés au second plan, mais il faut prendre conscience que les rêves font partie de la nature humaine, ils sont une projection de la vie que nous souhaitons avoir. Par conséquent, ils doivent être respectés et méritent l’effort de chacun de les réaliser. »



    Cătălina Constantinovici, de Roumanie, nous écrivait: « J’écoute avec plaisir la voix roumaine diffusée partout dans le monde, lorsque le temps me le permet. Je trouve là beaucoup de choses intéressantes que je n’ai pas entendues sur les radios commerciales. Le site est accessible, beau, il comporte beaucoup d’informations, beaucoup d’infos intéressantes en chacune des langues. C’est ainsi que je peux perfectionner la langue étrangère qui me préoccupe et que j’étudie à la faculté. Je participe au concours pour en savoir davantage et pour découvrir les beautés qui ont été léguées à notre pays. »



    Notre ami de longue date, Claude Unsinger, de France, indiquait dans son message de participation: « Je voyage régulièrement en Roumanie depuis un certain nombre dannées, mais je nai encore jamais visité la région des Monts Făgărăş. Lhistoire de cette navette me touche car cest à travers celle-ci que les Roumains essayent de présenter leur pays, la vie des paysans roumains, les traditions rurales. Je souhaiterais que cette navette puisse un jour faire le voyage à Strasbourg, capitale de lEurope. Cela est dans la droite ligne de ce je jessaie de faire en France, en présentant la Roumanie à travers dexpositions photos et de diaporamas numériques. » Merci beaucoup et bon succès!



    He Xige, de Chine, argumentait: « La navette de Mamie Ruţă et son voyage à travers le monde donnent l’occasion à tous de comprendre la beauté et la richesse de la vie dans le petit village de Mândra de la Contrée de Făgăraş, invitant tout un chacun à ouvrir grande la merveilleuse fenêtre avec vue sur la Roumanie. Ce concours n’est qu’une autre manière dont la navette de Mamie Ruţă peut faire encore une fois le tour de la Terre, et moi, cela me donne l’occasion de me sentir comme si je voyageais dans une contrée à nulle autre pareille, celle de Făgăraş. »



    Nikolaï Prigodici, du Belarus, nous avoue: « Les émissions de RRI me plaisent pour leur individualité et leur expressivité. Votre équipe fait une chose merveilleuse, facilitant un pont d’amitié et de paix entre les écouteurs de tant de pays du monde. Les émissions de RRI sont très intéressantes, instructives, différentes et véridiques, et aussi très accessibles à un public large! »



    Nous arrivons maintenant aux 10 deuxième prix: Sara Souberan, d’Italie, Beate Hansen, d’Allemagne, Miodrag Ristic, de Serbie, Ihor Gurovoi, d’Ukraine, notre compatriote Cătălina Dejois, de France, Farid Boumechaal, d’Algérie, Carlos Campos Aldana, de Cuba, Jean-Michel Aubier, de France, Ji Yuan, de Chine, Oleg Voronov, de Russie.



    Sara Souberan, dItalie, nous a envoyé la motivation suivante : « Jai travaillé dans plusieurs restaurants de Turin et ça ma permis de rencontrer un grand nombre de Roumains. Je suis restée en contact avec quelques-uns, qui mont invitée en Roumanie mais loccasion ne sest pas présentée. Jai donc gardé cette curiosité de connaître un peu votre pays. Jécoute RRI en ligne à mon travail. De temps en temps, je surfe sur votre site, où je trouve des articles de culture générale bien intéressants. »



    Beate Hansen, dAllemagne, elle-même gagnante du Grand Prix de notre jeu-concours « Govora-les-Bains, une oasis de santé », écrivait : « En fait, je navais pas lintention de refaire si vite lexpérience dun jeu-concours de RRI, après avoir gagné un magnifique prix au précédent. Mais ma curiosité et votre motto, Gagner – cest simple ont eu raison de mes hésitations. Et à la dernière raison, qui est toujours vraie, le fait que jécoute les émissions de RRI, est venue sajouter une autre : les souvenirs de mes dernières vacances en Roumanie, en juin-juillet. »



    Miodrag Ristic, de Serbie, a eu les arguments suivants : « Ce fut avec le plus grand plaisir que jai décidé de participer au jeu-concours de votre radio, dont les émissions en langue serbe sont très bonnes, concises, complexes et objectives. Je vous écoute depuis un certain temps déjà et je peux affirmer que cette qualité de lémission est caractéristique permanente de RRI en langue serbe. »



    Ihor Gurovoï, dUkraine, nous a expliqué: « Je voudrais apprendre le plus de choses sur le pays voisin le plus proche de lUkraine, la Roumanie. Nous partageons tant de choses, par exemple la foi et le désir de préserver les traditions et les coutumes. Les deux peuples ont les mêmes aspirations et souhaitent arriver au niveau de développement des pays européens avancés, en préservant leur identité et leur spécificité. La page Internet et les émissions de RRI me fournissent des informations intéressantes sur la Roumanie moderne, sur son histoire et sa culture, sur son niveau de développement et sur son expérience dintégration européenne. Le jeu-concours “Voyage avec la navette de Mamie Ruţă” témoigne du respect des Roumains pour leurs parents et leur famille. Pour réussir à répondre aux questions, jai dû traduire du roumain, une langue dont la musicalité ressemble tellement à celle de langue ukrainienne. Jai été impressionné par loriginalité de la démarche par laquelle les gens ont voulu accomplir le rêve de Mamie Ruţă. »



    Cătălina Dejois, de France, avançait les arguments suivants : « Radio Roumanie Internationale est un lieu de rencontre des Roumains de la diaspora, où les émissions culturelles, éducatives, sociales, nous rapprochent les uns des autres. Promouvoir les valeurs roumaines partout dans le monde est un objectif nécessaire. Cest un moyen dapporter plus dunion au sein de la communauté roumaine de France et dailleurs. »



    Jean-Michel Aubier, de France, a été très intéressé par la thématique de ce concours et surtout par les pistes de réflexion quil ouvre. Et il nous dit: « C’est un concours un peu inédit, cette fois, que nous propose Radio Roumanie Internationale. Je n’avais jamais entendu parler du mot, « navette », un élément du métier à tisser. C‘est donc un retour en arrière que RRI amorçait avec ce quiz. RRI propose de nombreuses émissions permettant à l’auditeur de découvrir un pays encore loin des itinéraires du voyageur lambda, lequel est souvent persuadé que la Roumanie est encore un pays sous-développé. Bien sûr, le pays souffre toujours d’un retard dans son développement, et la corruption qui la gangrène freine son essor. Mais Klaus Iohannis, héraut de la lutte anti-corruption, semble être en mesure de remettre le pays sur le bon chemin. Même si je ne suis pas aussi souvent à l’écoute que je le souhaiterais, RRI m’a fait découvrir un pays s’ouvrant sur la démocratie, malgré les embûches inhérentes à ce processus et je suis persuadé que dans une vingtaine d’années, la Roumanie sera totalement amarrée à l’Europe. Souhaitons que RRI y soit toujours présente pour nous faire partager ces moments d’histoire. »



    Ji Yuan, de Chine, avait les arguments suivants : « Je suis un passionné de Roumanie et de RRI, profondément attaché à la culture et à la civilisation roumaines. Jaimerais énormément arriver, grâce à un tel jeu-concours, à une connaissance plus profonde et plus complète de lhistoire, de la culture et de la civilisation roumaines. La navette de Mamie Ruţă est une concentration dapplication au travail du peuple roumain, une mise en lumière de son effort et de sa créativité; dans le même temps, il exprime le désir des Roumains de faire connaître au monde leur bonté, leur beauté et leur cordialité. La navette de Mamie Ruţă a emporté avec elle, dans son voyage, la patrie elle-même, celle qui vous attend, qui vous regarde, un voyage des cœurs sincères qui montrent le meilleur et le plus beau au monde entier. Partie dun petit village, la navette de Mamie Ruţă a tissé une histoire de randonnées enchantées, témoignant toutes de lamour pour la mère-patrie. »



    Nous montons maintenant sur la première marche du podium, pour retrouver les cinq gagnants du premier prix: Mohamed El-Sayed Abdel-Rahim, d’Egypte, Enric Ballester Burcet, d’Espagne, Xu Fei, de Chine, Mikhaïl Bahynov, de Russie et Gita Chakrabarty, d’Inde.



    Mohamed El-Sayed Abdel-Rahim, d’Egypte, expliquait : « J’ai participé à ce jeu-concours parce que son thème, ainsi que les informations sur le village de Mândra et la contrée de Făgăraş que j’ai accumulées en écoutant vos programmes — comme d’ailleurs l’histoire de la navette de Mamie Ruţă — je les ai trouvées très intéressantes et d’une grande valeur. Je ne vous cache d’ailleurs pas mon désir de gagner le grand prix de ce jeu-concours ou un autre prix et dans ce cas, j’aimerais que ce soit un objet d’art traditionnel. Enfin, et pas en dernier lieu, je souhaiterais rejoindre la grande famille des auditeurs de RRI, car votre radio réunit autour d’elle de nombreuses personnes de tous les coins du monde, désireuses de participer à ses activités et c’est magnifique. »



    Enric Ballester Burcet, d’Espagne, nous a écrit : « J’ai souhaité participer à ce jeu-concours car l’histoire et la culture roumaines m’intéressent et les concours nous offrent la possibilité d’en apprendre davantage sur la Roumanie. J’écoute régulièrement les programmes de RRI, car ils sont une fenêtre ouverte sur les actualités et sur les informations culturelles et touristiques concernant la Roumanie. »



    Xu Fei, de Chine, nous a envoyé le message suivant : « Pour moi, ce n’est ni la France ou le Royaume Uni, ni les Pays-Bas ou la Suède qui représentent tout ce que l’Europe a de meilleur, mais ce petit pays du sud-est du continent. J’aimerais, un soir d’été, m’asseoir dans un bistrot d’une des petites ruelles de Roumanie pour boire une tasse de café ou écouter de la musique dans un club ou bien aller tout seul, contempler le coucher du Soleil et le lever de la Lune, dans un moment de calme et de simplicité ressentir la mélancolie sud-est européenne. Je souhaite vraiment me rendre un jour en Roumanie et lors de ce voyage, passer des moments qui puissent rester gravés à jamais dans ma mémoire. »



    Mikhaïl Bahynov, de Russie, expliquait, entre autres : « J’ai décidé de participer à ce jeu-concours, car la vie à la campagne me rappelle mes grands-parents. Mes grands-parents ont gardé une touche rurale unique dont ils ont teinté toute leur vie et qui transparaît dans les contes qu’ils me racontaient dans mon enfance. J’écoute les émissions de RRI depuis 13 ans et je ne cesse de découvrir de nouvelles choses sur la Roumanie. J’aime les émissions sur ce magnifique pays, que je souhaiterais visiter avec ma bien-aimée. »



    Enfin, Gita Chakrabarty, d’Inde, nous écrivait: « Ce jeu-concours m’a séduite par le mystère tissé autour de la navette de Mamie Ruţă. Je pense que c’est un sujet inhabituel pour un concours international. RRI m’a ainsi aidée à mieux comprendre la beauté de ce genre de valeurs humaines. (…) Quel que soit leur âge, leur position sociale, l’étape de la vie qu’ils sont en train de parcourir, les gens ont porté un drapeau de la paix et de la solidarité partout où ils ont voyagé. Mamie Ruţă a prouvé au monde que sa navette est une force vivante, plus puissante que beaucoup d’autres moyens par lesquels on peut transmettre les plus belles valeurs humaines. Ecouter les programmes de RRI – soit en ondes courtes, soit en ligne – est une expérience des plus agréables. J’écoute RRI depuis assez longtemps et je tiens à exprimer mon appréciation pour votre travail. Grâce aux voix amicales de ceux que nous entendons, à la haute qualité du contenu de vos programmes et transmissions, l’expérience de l’écoute devient un véritable plaisir. »



    Juste quelques instants avant de dévoiler les gagnants du Grand Prix de ce concours, mais, pour prolonger un peu le suspense, passons en revue les cinq prix spéciaux que nous avons mis en jeu, gagnés par: Khalil Abdel–Kader, d’Algérie, Aylton José Cordeiro Gama, du Brésil, Anatoli Klepov, de Russie, Debaki Biswas, de Bankura, au Bengal Occidental, Inde, et Jahangir Alam, du Bangladesh.



    Khalil Abdel–Kader, d’Algérie: « Ce qui m’a déterminé à participer à ce jeu-concours, c’est l’envergure historique et sociale du thème proposé ainsi que le rêve de visiter la Roumanie, ce beau pays aux braves gens dont j’ai fini par m’éprendre et de rencontrer mes chers amis, membres de la Section arabe de RRI. J’écoute votre radio depuis de nombreuses années, en raison de l’objectivité et du sérieux qui la caractérise, car elle est un fidèle miroir des réalités roumaines dans tous les domaines d’activité : politique, économique, culturel, social, historique, touristique, sportif. »



    Aylton José Cordeiro Gama, du Brésil, partage avec nous ses arguments: « J’aime beaucoup écouter RRI sur Internet, car les langues et les littératures néo-latines m’intéressent tout particulièrement. Le roumain étant la langue que je connais le moins, je tâche de l’apprendre, y compris par l’intermédiaire de votre radio, car le matériel didactique est très difficile à trouver. Je souhaite visiter la Roumanie un jour et arriver à parler le roumain couramment. En écoutant les programmes de RRI, je me suis rendu compte que la Roumanie est un beau pays. J’écoute RRI en plusieurs langues, notamment en espagnol, italien, français et roumain et je lis régulièrement le matériel de RRI posté sur Facebook. »



    Voici ce qu’écrivait Debaki Biswas, d’Inde: « La principale raison qui m’a poussé à y participer a été le thème du jeu-concours. J’ai été impressionné par le fait que cette femme, qui n’a pas pu assouvir son rêve de voyager à travers le monde, l’ait légué à ses descendants. Cette histoire me rappelle en quelque sorte ma grand-mère. C’est en 1970, à l’époque de mes études universitaires, que je suis tombé amoureux de la Roumanie. J’écoutais beaucoup de stations de radio émettant en ondes courtes et Radio Roumanie était déjà ma préférée. Je me souviens de la première QSL, reçue en 1972, ensuite de la série de prix que j’ai obtenus, dont albums de musique, cartes postales, disques. J’ai eu la chance de remporter le 2e Prix aux jeux-concours ‘Radio România 85’ et ‘Festival Enescu 2013’. C’étaient des prix extraordinaires: des albums illustrés représentant des sites pittoresques de Roumanie et des CDs avec de la musique. »



    Voici maintenant l’argumentation de Jahangir Alam, du Bangladesh: « La motivation de ma participation à ce jeu – concours est toute simple. En auditeur fidèle de RRI depuis 26 ans, j’ai développé une affinité pour la Roumanie. Je nourris l’espoir qu’un jour je pourrai explorer ce pays aux innombrables valeurs culturelles et historiques et jouir de l’hospitalité du peuple roumain. C’est grâce à Internet que j’ai découvert le voyage fascinant autour du monde de la navette de Mamie Ruţă. Je trouve que c’est le plus intéressant projet de voyage et de promotion des valeurs à l’échelle internationale. C’est là un symbole des traditions et des vieux métiers de l’artisanat, ainsi qu’une excellente modalité de promouvoir les valeurs et les beautés de Roumanie. »



    Nous remercions tous ceux qui ont répondu aux questions et qui nous ont expliqué ce qui les a déterminés à se laisser tenter par ce jeu-concours.



    Et maintenant, le dénouement de ce jeu. Lors du tirage au sort, la navette de Mamie Ruţă a porté chance – chose très rare – à deux auditeurs de la Rédaction francophone de RRI. Ce sont Mlle Jamila Bekkaï du Maroc et M Gilbert Dupont de France qui remportent les Grands Prix, les séjours de 7 nuitées en pension complète dans les régions de Făgăraş (du département de Braşov) et de Mărginimea Sibiului (département de Sibiu). Toutes nos félicitations et au plaisir de vous accueillir le 1er septembre, en Roumanie. Nos deux gagnants rejoindrons deux autres auditeurs lauréats par Radio Roumanie Antena Satelor, chaîne avec laquelle ce jeu est réalisé en partenariat.



    « A travers ce genre de concours japprends toujours davantage sur la Roumanie », nous écrit Mlle Bekkaï. « A chaque fois je découvre les facettes cachées de la Roumanie, ses diverses belles régions; jai acquis tout au long de mon écoute de vos diverses, intéressantes et si enrichissantes émissions beaucoup de connaissances sur la Roumanie (politique, histoire, culture, tourisme etc….). Ces concours sont une occasion de faire mieux connaître la Roumanie et dattirer davantage dauditeurs, dont le nombre est dailleurs en augmentation dannée en année », estime Mlle Jamila Bekkaï, la gagnante du Grand Prix. Vous avez raison, le public des programmes en français connaît une hausse spectaculaire, depuis lannée dernière, et nous souhaitons saisir cette occasion pour remercier, une fois de plus et de tout cœur, tous ceux, de plus en plus nombreux, qui témoignent de leur fidélité à notre station.



    Pour sa part, M Gilbert Dupont nous félicite pour « le thème très original de ce concours. » « La Rédaction française très dynamique, joue parfaitement son rôle de vitrine de ce beau pays si accueillant et trop méconnu des Français », nous écrit notre auditeur. Merci beaucoup pour vos encouragements et vos mots chaleureux.



    Au plaisir, Mlle Bekkaï et M Dupont, de vous faire découvrir bientôt ce dont nous vous parlons sur les ondes.



    Les prix et les mentions seront envoyés par la poste dans les prochains mois. Nous vous prions de confirmer, par lettre, e-mail ou fax, l’arrivée de l’envoi postal ainsi que son contenu.



    Merci une fois de plus d’avoir tenté votre chance et d’avoir répondu correctement à ce jeu-concours de RRI consacré aux régions de Făgăraş et de Mărginimea Sibiului. Nous vous attendons nombreux à nos prochains jeux-concours !



    (Aut. : Alecu Marciuc, Roxana Iorgulescu-Bandrabur, Răzvan Emilescu, Valentin Ţigău, Eugen Cojocariu; trad: Dominique, Ligia Mihăiescu, Ileana Ţăroi, Andrei Popov)

  • Repos et cure à Ocna Sibiului

    Repos et cure à Ocna Sibiului

    Notre destination d’aujourd’hui est la ville d’eaux d’Ocna Sibiului, au comté de Sibiu, dans le centre du pays. Elle est renommée surtout grâce à la quinzaine de lacs salés de la contrée qui ont tous des proprietés curatives. Nous allons franchir le seuil du complexe balnéaire, qui fonctionne du matin et jusqu’à tard dans la soirée pour y découvrir les traitements et les cures qu’il propose. N’oublions non plus de visiter une église fortifiée moyenâgeuse où l’on peut toujours admirer des fresques datant du début du 16e siècle.

    Mariana Nicoleta Varodi est médecin spécialisé en récupération, médecine physique et balnéaire, dans le cadre du complexe de cure d’Ocna Sibiului, qui se trouve au cœur de la ville d’eaux, à seulement 17 km de Sibiu. On peut y trouver trois lacs appelés Horia, Closca et Crisan, connus en Roumanie et à l’étranger et utilisés à des fins thérapeutiques depuis l’année 1846. Tout comme les lacs de Sovata et d’Ocnele Mari, ces lacs sont connus à travers l’Europe grâce notamment au phénomène d’héliothermie – à savoir le réchauffement de l’eau par l’action du soleil jusqu’à 22 – 24 degrés en superficie et jusqu’à 40 – 45 degrés à des profondeurs de plus de deux mètres, affirme Varodi Mariana Nicoleta. Varodi Mariana Nicoleta: « On peut y trouver les plus importantes concentrations d’eaux chlorurés sodiques et de boue fortement minéralisée, un climat sédatif, protégé par la forêt et les collines de la région. Il existe également des facteurs naturels très bénéfiques à la régénération physique et psychique. Le complexe dispose d’une base de traitement où les patients venus de Roumanie et de l’étranger – Allemagne, Italie, Espagne et même d’Egypte, peuvent bénéficier le long de l’année de cures prophylactiques et de récupération visant de nombreuses maladies de l’appareil locomoteur, les arthroses, les affections post-traumatiques – séquelles post-fractures, entorses et luxations. Nous traitons également des affections neurologiques périphériques, telles les parésies, des maladies dermatologiques comme le psoriasis et les allergies, des maladies respiratoires : rhinites, bronchites, sinusites, asthme bronchique, ou encore des affections gynécologiques. Les eaux salés concentrées sont utilisées dans des procédures d’hydrokinésithérapie, puisqu’elles sont chauffées jusqu’à 32 – 34 degrés dans la piscine intérieure. Nous utilisons également la boue sapropélique riche en vitamines, substances émollientes et bio-stimulatrices. Nous utilisons également l’eau de la source minérale Horia sous forme d’aérosols. Tous ces éléments s’associent à des procédures d’électrothérapie, au massage, à la sauna sèche et humide et au jacuzzi, pour donner des résultats excellents. Nos patients reviennent chaque année pour les traitements que nous proposons affirmant que les eaux et la boue d’Ocna Sibiului sont vraiment miraculeuses. »

    En effet, les cures peuvent se faire tout au long de l’année à l’intérieur des facilités de traitement, mais en été les touristes peuvent aussi profiter des bains de soleil, du lac naturel et des cures à base de boue froide.

    C’est pour ces raisons que la plupart des visiteurs préfèrent s’y rendre en été, affirme Mariana Nicoleta Varodi, qui détaille aussi leurs impressions sur le séjour au complexe balnéaire: Interrogés sur leurs impressions de séjour, ils se sont déclarés très contents, mais le plus important c’est de les voir revenir dans notre complexe balnéaire, malgré l’offre fort variée en la matière aussi bien dans leurs pays d’origine qu’ailleurs en Roumanie. Ils sont revenus dans la station balnéaire d’Ocna Sibiului justement parce qu’ils s’y sont très bien sentis. En plus, ils trouvent que les eaux et la boue sapropélique de la station sont vraiment uniques par leurs vertus curatives. Dans la belle saison, lorsque la demande est considérable, il est conseillé de réserver au préalable. A mon avis, le complexe balnéaire d’Ocna Sibiului est la destination idéale pour ceux qui souhaitent joindre l’utile à l’agréable, soit la cure à la détente. Nous les attendons nombreux à n’importe quelle saison de l’année.

    Une fois arrivés à Ocna Sibiului, ne manquez pas de visiter l’église fortifiée. Le prêtre de la paroisse, Csiki-Makszem Lorand, nous a parlé de l’histoire tumultueuse de ce lieu de culte: L’église réformée d’Ocna Sibiului est une église fortifiée de style romain, à trois nerfs. Entamée en 1240, sa construction allait être interrompue pendant l’invasion des Tartares en Transylvanie. Les travaux se sont donc achevés à peine 40 ans plus tard. Le mur d’enceinte a été érigé au début des années 1300 pour protéger l’église contre la deuxième vague de Tartares. L’élément le plus ancien et le plus précieux de cette église fortifiée est le bas-relief datant du début du 13e siècle, qui surplombe l’entrée principale, sur la façade méridionale. En 1910, on a également découvert plusieurs fresques. La plus importante d’entre elles, qui se trouve sur le flanc septentrional de la nef centrale, a été réalisée en 1522, par Vincentius, peintre originaire de Sibiu. Elle illustre les derniers jours de Jésus. Romano-catholique au début, l’église allait devenir réformée en 1596, lorsque la communauté magyare s’est convertie à cette religion. C’est dans cette même église que, plusieurs siècles durant, ont été célébrés les offices divins pour les Saxons évangéliques.

    Dans la partie sud de l’église fortifiée, un petit musée attend ses visiteurs, précise le prêtre Csiki-Makszem Lorand: Le plus ancien des objets exposés est le trône du prélat, daté de 1515. Il y a aussi des calices, des plateaux, des fonts baptismaux, datant des XVIIe et XVIIIe siècles. L’église est visitable tous les jours. Une affiche collée sur la porte sud indique le numéro de téléphone de la paroisse. Les touristes bénéficient d’une visite guidée en plusieurs langues, ainsi que de dépliants en roumain, hongrois, anglais et allemand. Chaque année, nous recevons la visite de touristes venus de tous les coins de la Roumanie, mais aussi d’autres pays d’Europe, tels l’Allemagne, la Slovénie, la Hongrie, le Royaume-uni et la France. Les touristes de passage à Sibiu et dans ses environs ne sauraient manquer de faire escale à Ocna Sibiulu, pour profiter de quelques moments de détente au bord des lacs salés, mais aussi pour découvrir l’histoire de la cité. Vous serez accueillis à bras ouverts dans notre église, ce lieu de culte unique dans la contrée de Sibiu. (trad. Alex Diaconescu, Mariana Tudose)

  • Les débuts de la navette de Mamie Ruţă

    Les débuts de la navette de Mamie Ruţă

    Vous le savez déjà peut-être, un projet très ingénieux est né dans la contrée de Făgăraş, au centre de la Roumanie. Intitulé « La navette de Mamie Ruţă », son but est de faire découvrir au monde entier le village de Mândra, la région de Făgăraş et la Roumanie. Il s’agit d’une navette en bois utilisée jadis au métier à tisser, un objet authentique ayant appartenu à la Mamie Ruţă, une femme simple qui a passé toute sa vie en tissant et en rêvant de faire le tour du monde. En signe de respect pour sa vie exemplaire, les descendants de Mamie Ruţă décident d’accomplir ce rêve. Depuis plusieurs années de nombreux Roumains emportent cette navette dans leurs périples et la photographient dans différents endroits.

    L’initiative appartient à la petite fille de Mamie Ruta, l’actrice Alina Zară : «Je me rappelle la première année, lorsque nous avons commencé à réunir les enfants autour de la navette de Mamie Ruţă et à construire un musée de tissus et d’histoires, comme nous l’avons appelé. Après les premiers ateliers de contes, les enfants rentraient chez eux et ils cherchaient les navettes et les métiers à tisser de leurs grandes-mères. Certains ont réussi à en trouver, d’autres, plus nombreux, n’ont rien trouvé car ces objets n’existaient plus dans leurs foyers. Mais c’est sûr que tout enfant du village de Mândra a au moins une navette. En partant de la navette de Mamie Ruţă, nous avons commencé à refaire la tradition. Histoire de faire comprendre aux enfants pourquoi ils doivent être fiers du travail de leurs ancêtres et les déterminer à en faire de même. Dans «Le musée de tissus et d’histoires » nous avons consacré une chambre à la Navette de Mamie Ruţă pour y réunir toutes ses histoires et tout ce qui a été tissé à l’aide de cette navette. Jadis, toutes le femmes du village de Mândra se rendaient chez Mamie Ruţă qui notait leurs modèles. Et dans chaque maison du village il y a toujours quelque part un tissu réalisé par Mamie Ruţă à l’aide de sa navette. D’où les histoires: sont les histoires des gens qui ont vécu dans la communauté que Mamie Ruţă a tellement aimée, mais aussi les histoires que la navette recueille dans les voyages à travers le monde».

    Un des endroits visités par la navette de Mamie Ruta fut le mont Athos, de Grèce, interdit aux femmes. Alina Zară nous en dit davantage : «Selon la légende, une femme a réussi quand même à envoyer un de ses objets sur le mont Athos, car nous les femmes, nous sommes très curieuses de connaître cet endroit. La navette de Mamie Ruţă y a recueilli de nombreuses histoires : sur le paysage merveilleux, sur la force de la prière, sur le ciel qui est bleu clair pendant la journée et parsemé d’étoiles pendant la nuit. En plus les guides sont tellement attachés à la navette, qu’ils la cherchent à chaque fois qu’ils font un voyage».

    Les villageois de Mândra ont gardé la tradition: où qu’ils se trouvent dans le monde, ils accueillent la navette de Mamie Ruţă les bras ouverts. Alina Zară raconte : «Les jeunes du village se sont répandus partout dans le monde. Et lorsqu’ils apprennent que quelqu’un apporte la navette là où ils se sont établis, ils n’épargnent aucun effort pour accueillir l’objet et son guide. La dernière en date est Claudia, la voisine de Mamie Ruţă, qui a accueilli l’équipe de Today aux Etats-Unis. L’équipe de Today avait voyagé de New York à San Francisco, en passant une journée chez Claudia».

    La navette de Mamie Ruţă a déjà parcouru un million de km et son voyage et loin d’être terminé. Restez donc à l’écoute de RRI pour de nouveaux voyages sur les traces de cette navette pas comme les autres et pour découvrir les réponses correctes à notre jeu qui lui est consacré. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Protéger l’aigle pomarin

    Protéger l’aigle pomarin

    L’aigle pomarin est une espèce de rapace diurne qui passe l’hiver dans l’est et le sud de l’Afrique et revient chaque année au même nid. Selon des études récentes, il y a environ 2000 – 2500 couples d’aigles pomarins en Roumanie, ce qui compte pour 22% du total de leur population au niveau de l’UE et pour 10% au niveau mondial. Par conséquent, les Carpates roumaines sont une des zones de nidification les plus importantes de ces oiseaux. La Roumanie propose donc un projet de conservation de l’aigle pomarin. Son objectif est de protéger et surveiller cette espèce en voie de disparition.

    Davantage de détails avec Ovidiu Bufnilă, responsable de la communication au sein de la Société ornithologique roumaine: « C’est un projet que nous n’avons pas développé seuls. Le bénéficiaire principal en a été l’Agence de Protection de l’Environnement de Sibiu, que nous avons aidée aux côtés d’un autre partenaire, le Groupe Milvus. Nous avons surveillé par satellite 22 aigles pomarins. A l’heure actuelle seuls deux oiseaux portent toujours un émetteur sur le dos: ils s’appellent Arlie et Erika. Cette année nous avons même réussi à prendre des photos d’Arlie dans son nid. Un émetteur par satellite coûte 3500 euros environ et c’est justement grâce à ces dispositifs que nous avons obtenu des données importantes pour notre projet. Les informations recueillies nous ont beaucoup aidés à étudier non seulement les routes de migration des oiseaux, mais aussi l’activité des oiseaux dans leur nid, leur nourriture préférée, l’endroit où ils procurent leur nourriture, comment mieux les protéger. Et pour cause: au moment où l’homme s’approche du nid d’un rapace, l’oiseau quitte l’endroit. De même, nous avons examiné les habitats qui devraient être protégés pour que ces oiseaux puissent se nourrir. L’aigle pomarin n’attaque pas les volailles, il mange des souris dans les champs, des insectes, des sauterelles. Par conséquent, en étudiant les zones avoisinant son nid, nous avons réussi à imposer des mesures de conservation de cette espèce. Elles sont mises en œuvre non seulement en Roumanie mais figurent également au plan européen d’action pour la protection de cette espèce. Il n’est donc pas étonnant que ce projet ait été choisi. C’est un des meilleurs projets en Europe, des spécialistes de 3 institutions y ont travaillé assidûment. »

    Grâce aux émetteurs dont parlait notre invité, il y a deux ans, les ornithologues ont appris que l’aigle Arlie avait commencé sa migration le 14 février, en Namibie. Il a volé d’abord jusqu’au Zimbabwe où il a passé quelques jours avant de partir vers le nord. Il a traversé des pays tels la Zambie, la Tanzanie, l’Ouganda, l’Ethiopie, l’Erythrée, l’Egypte, Israël, le Liban, la Turquie et la Bulgarie, pour arriver en Roumanie le 9 avril. Au total près de 10.000 km parcourus, pour regagner son nid des monts Fagaras, au centre de la Roumanie. A étudier les données complètes de la migration de l’aigle Arlie entre septembre 2013 et avril 2014, on découvre des chiffres impressionnants: 206 jours de voyage, 24.400 km parcourus, 17 pays sur trois continents traversés.

    Notons pour terminer que le nombre le plus important de couples d’aigles pomarins est à retrouver en Transylvanie, dans l’ouest de la Roumanie et sur les versants orientaux des Carpates. Une petite population vit également dans l’est, le sud et le sud-est du pays. (Trad. Valentina Beleavski)

  • Les gagnants du jeu – concours “Vacances sur la côte roumaine de la Mer Noire”

    Les gagnants du jeu – concours “Vacances sur la côte roumaine de la Mer Noire”

    Chers amis, RRI vous a invités à participer, jusquau 30 avril 2015, le cachet de la poste faisant foi, au jeu – concours de culture générale « Vacances dété sur la côte roumaine de la Mer Noire ». Le concours été consacré à un des principaux points dattraction de Roumanie, pour les touristes étrangers et roumains, avec un accent particulier sur la ville de Mangalia (la cité antique de Callatis) et le collier de 6 stations du sud du littoral roumain, à savoir Jupiter, Saturn, Venus, Neptun, Olimp et Cap Aurora.



    Notre jeu-concours a suscité votre intérêt. A preuve, les 249 réponses correctes et complètes que nous avons reçues de votre part. Merci à vous, et nous vous invitons à participer à dautres jeux-concours organisés par RRI.

    Les grands prix consisteront en deux séjours pour 2 personnes, 7 nuitées dans une chambre double, en pension complète. Le premier séjour est prévu du 12 au 19 juin, alors que le second aura lieu du 6 au 13 septembre. Tous les gagnants seront hébergés à lHôtel Delta de la station de Jupiter, dans le comté de Constanta. Comme dhabitude, les frais de transport jusquen Roumanie et de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants.



    Tout cela est possible grâce à notre sponsor, lHôtel Delta, la société Delta Aurora SA, et à nos partenaires, dont : la Mairie de Mangalia et le Musée darchéologie « Callatis » de Mangalia.



    Le concours a été sponsorisé par lHôtel Delta, la société Delta Aurora SA et organisé avec lappui de nos partenaires, dont la Mairie de Mangalia, le Musée dart de Constanţa, le Musée darchéologie « Callatis » de Mangalia, lArchevêché de Tomis, la filiale de Constanţa de lUnion des artistes plasticiens, Le Musée de la Marine roumaine de Constanţa, le Conseil du culte musulman de Roumanie, les Forces navales roumaines.

    Comme dhabitude, nous vous avons invités à suivre nos émissions, à consulter notre site Internet et nos profils Facebook, Twitter, Google+ et LinkedIn pour répondre correctement aux questions.



    Le jeu-concours a pris fin le 30 avril, le cachet de la poste faisant foi. Avant de vous dévoiler les noms des gagnants, rappelons les questions auxquelles vous deviez répondre:



    – Comment la ville de Mangalia sappelait-elle dans lantiquité? Réponse correcte: Callatis



    – Quelle grotte unique au monde se trouve non loin de Mangalia ? Réponse correcte: La grotte de Movile



    – Quel est le nom des stations du sud du littoral roumain de la Mer Noire? Réponse correcte: Mangalia, Jupiter, Saturn, Venus, Neptun, Olimp, Cap Aurora.



    – Nommez 5 attractions touristiques de Mangalia ou de ses alentours. – Là, vous pouviez choisir parmi plusieurs attractions : la Mosquée Esmahan Sultan, le Musée darchéologie « Callatis » (qui abrite lunique papyrus de Roumanie), le Monument des Héros, le Musée de la Marine, le Haras de Mangalia, la réserve naturelle de Hagieni, le port touristique, la grotte de Movile, la forêt de Comorova, la Colline de Documaci, lédifice byzantin, le lac de Mangalia, la citadelle de Callatis ou encore la grotte de Limanu.



    Voici maintenant la liste des gagnants.



    Les Mentions sont allées vers 50 de nos amis qui nous écoutent à la radio ou sur Internet: Idriss Bououdina, des Etats Unis, et El-Ihsani Bouchaïb, du Maroc, Li Hua, Wang Li, Long Dingzhong, Chu Changrong, Zhang Xiaohua et Xian Honglin, de Chine, Zhai Yizhuang, des Etats-Unis, qui a écrit à la Rédaction chinoise, Antonio Múñoz, dArgentine, Claudio Gerlach, du Brésil, Carmen Fuentes, de Cuba, Salvador Paxi, dEspagne, Miguel Ángel Bartos, du Chili, Antonnella Zappalà, Giorgio Borsier, Stefano Citterio et notre compatriote Natalia Călinescu, tous les 4 dItalie, Natalia Popenko et Natalia Zabolotna, dUkraine, Viktoria Hovard, de Bulgarie, qui a écrit à la Rédaction ukrainienne, Adervall Lima Gomez, du Brésil, qui a écrit à nos collègues de la Rédaction anglaise, Mofizur Rahman, du Bangladesh, Inger Holmberg, de Suède, Sabiha Mubeen, dOman, Brian Kendall, du Royaume-uni, Henk Poortvliet, des Pays-Bas, John et Roberta Selesky, John Rutledge, des Etats-Unis, Catherine Agboola, du Nigeria, Hafizur Rahman (Rainbow Listeners Club) du Bangladesh, Umesh Kumar Yadav, Priyanka Paul (Metali Listeners Club SB Sharma – SBS World Listener Club), Naved Raiyan (International DX Radio Listeners Club), tous dInde, Obaid Alamm; Shah Listeners Club; Jinnah DX Club, du Pakistan, Surendra Kumar, dInde, Georg Pleschberger, dAutriche, Svetlana Şpakovskaya, du Bélarus, Narendra Jangir, Chinmoy Mahato et Chitturi Venkataramana, dInde, Didarul Islam, Bangladesh, Michael Whing et Grant Skinner, tous les deux du Royaume-Uni, Shenaz Aziz, du Pakistan, Constantin Criţchi, de République de Moldova (qui a écrit à la Rédaction russe), Eugeniusz Krzemienczucki, de Pologne (lui aussi a écrit à la Rédaction russe), Alexei Gatsoura, du Bélarus.



    Alexei Gatsoura, du Bélarus: « Je participe à vos jeux – concours parce que je mintéresse depuis toujours à votre pays. Jécoute RRI, surtout les infos, les émissions dactualité ou celles qui parlent dhistoire et de culture. »



    Le Troisième Prix a été remporté par 20 de nos auditeurs ou usagers dInternet: Raïf Chaaban, du Liban, qui a écrit à la Rédaction française, Ali Alaoui, de Tunisie, Abdel Kader Hassan, dEgypte, Liu Fajian et Zhi Yanjiao, de Chine, Julio José Bravos, du Costa Rica, Juan Antonio Brea, dEspagne, Lucia Sandiano, Cristina Risso et Francesca Bernardino, tous les trois dItalie, Ihor Gurovoi, dUkraine, Jose Rivera, des Etats-Unis, Stu McLeod (Nouvelle Zélande), Shivendu Paul, Abhera Jaswal, Radhakrishna Pillai (Inde), Massoud Benaïssa, dAlgérie, qui a écrit à la Rédaction anglaise, Erik Oeffinger (Allemagne), Nikolaï Veselkov (Russie), Andreea Deea, de Roumanie.



    Raïf Chaaban, du Liban : « Je suis content de vous écrire pour exprimer ma grande joie et mon plaisir découter votre Radio avec assiduité depuis plus de 20 ans. Je vous suis en ondes courtes et en ligne car jaime être au courant de toutes les informations sur la Roumanie ».



    Voici maintenant les 20 gagnants du Deuxième Prix : Nouari Naghmouchi, (Algérie), auditeur des émissions en français de RRI, Abdel-Karim Ahmad Ali Al-Mabrouk (Libye), Gong Lei et Yu Baoguo (Chine), Pablo Ramírez, (Pérou), Franco Rodríguez (Colombie), Agide Melloni, Giovanna Bertocco, Roberto Carrus et Antonella Monti(Italie), Danny Flowers (Etats-Unis), Mohammad Shamim et Najim Uddin (Inde), Ayeni Jeremiah Adedayo (Nigeria, qui écoute nos émissions en anglais), Shahzad Shabbir et Nasir Aziz (Pakistan), Jehn Nooijen (Pays-Bas), auditeur des programmes en allemand), Vera Kuznetsova et Nikolaï Matveev (Fédération de Russie), Angela Olaru (République de Moldova).



    Nouari Naghmouchi, dAlgérie : « Jai participé à ce concours puisque je suis un fidèle auditeur de RRI. Les émissions du Service français de Radio Roumanie Internationale sont formidables, variées, très riches”.



    Voici la liste des 10 gagnants du Premier Prix : Amady Faye, du Sénégal, Emilian Teodorescu (de République Tchèque), Ana-Maria Avram, de Roumanie, qui étudie le chinois, Hugo Longhi (Argentine), Bogdan Timkiv (Ukraine), Ashik Eqbal Tokon (Bangladesh), Mitul Kinsal (Inde), Mogire Machucki (Kenya), Maxim Zabâtov (Russie), Fritz Andorf (Allemagne).



    Notre fidèle auditeur Amady Faye, du Sénégal, explique ce que RRI représente pour lui : « Je suis les émissions de RRI en ondes courtes et en ligne car cest grâce à lexcellent travail déployé au quotidien par les équipes rédactionnelles des différents services que je suis très bien informé sur la Roumanie. La radio amie est aussi la grande fenêtre ouverte sur le monde et doù viennent à chaud les actualités internationales. »



    10 Prix Spéciaux seront remis à nos auditeurs ou internautes fidèles: Gilbert Dupont, de France, Ben Amer Laïd dAlgérie, Guo Yanxin de Chine, Antonio-Ángel Morilla dEspagne, Anna Mahjar Barducci et Giovanni Sergi, les deux dItalie, notre auditeur de longue date, Hans Verner Lollike du Danemark, Hamad Kiani de Pakistan, Kamlesh Gautam dInde et Victor Varzin de Russie.



    Notre ami français, Gilbert Dupont de France, « Limportant, cest de participer » comme la si bien dit un certain baron français. Qui plus est si le thème est basé sur lhistoire et la géographie dune région que je ne connais pas… Cela permet de rêver un peu. Pourquoi suivre les émissions de RRI ?Eh bien, parce que les informations relatives à la Roumanie, pourtant membre de lUE, se font relativement rares en France. Radio Roumanie Internationale, dont le contenu des émissions est particulièrement diversifié, permet de combler cette importante lacune. Je suis personnellement resté fidèle à ces bonnes vieilles ondes courtes. »



    Antonio-Angel Morilla, dEspagne: « Cela fait pas mal dannées déjà que jécoute vos émissions en ondes courtes en tant que membre du Club des auditeurs de RRI. Je suis très intéressé à apprendre davantage sur la Roumanie, un pays dorigine latine, tout comme lEspagne, mais qui a sa propre spécificité. Je suis particulièrement intéressé par la région de la mer Noire, un territoire plein de contrastes que je prends plaisir à découvrir grâce à vos programmes en ondes courtes. Jaimerais bien visiter la Roumanie pour découvrir les attractions touristiques et culturelles, mais aussi pour avoir loccasion de vous rendre visite à la Radio. »



    Kamlesh Gautam dInde nous explique pourquoi elle se sent attachée aux programmes de RRI: « Je suis professeur de maths à New Delhi. Mon mari avait pris lhabitude découter les émissions de RRI. Parfois, il se voyait offrir des livres et des brochures sur la Roumanie que je feuilletais moi aussi. Cest comme cela quest né mon intérêt envers la Roumanie et le peuple roumain. Même mes enfants se plaisent à écouter de temps en temps de la musique roumaine sur Internet (…). Jai décidé de participer à ce jeu-concours pour me motiver à en apprendre davantage sur votre magnifique pays. »



    Nous remercions une fois de plus tous ceux dentre vous qui ont répondu aux questions, en faisant part de leurs motivations de participation. Bravo et félicitations à toutes et à tous!



    Et maintenant, chers amis, le moment est venu dapprendre le nom de nos deux gagnants du Grand Prix ayant décroché chacun un séjour tout compris, dune semaine, pour deux personnes, à lhôtel Delta de la station de Jupiter, dans le département de Constanta.


    Le premier séjour sera pour M. Jaroslaw Jedrzejczak de Pologne qui visitera la côte roumaine de la mer Noire du 12 au 19 juillet, tandis que le deuxième séjour a été gagné par M. Olexandr Getz dUkraine qui se rendra au bord de la mer Noire du 6 au 13 septembre. Un grand bravo et à bientôt en Roumanie!



    M. Olexandr Getz dUkraine, lun des deux grands gagnants de notre jeu-concours explique pourquoi il a décidé de participer: « Cela fait plus de 20 ans que jécoute vos émissions. Jai déjà participé à plusieurs de vos jeux- concours et il mest déjà arrivé de gagner des prix importants, mais jamais le Grand prix. En plus, je nai jamais visité la Roumanie sur laquelle jai appris des choses grâce à vos programmes et dernièrement, grâce à Internet. Jaimerais tellement visiter un beau jour votre pays. »



    Chers amis, ici prend fin ce jeu consacré au littoral roumain. Les prix seront envoyés par la poste et nous vous prions den confirmer la réception ainsi que le contenu du colis reçu. Nous vous remercions pour votre soutien et vous attendons nombreux à notre prochain concours qui démarre dans très peu de temps ! A bientôt ! (trad. : Mariana Tudose, Ioana Stancescu)

  • Voyage avec «La navette de Mamie Ruţă»

    Voyage avec «La navette de Mamie Ruţă»

    Chers amis, RRI vous invite à participer à un
    nouveau jeu concours intitulé « Voyage avec la Navette de Mamie Ruţă », organisé aux côtés de nos collègues de l’Antenne
    des villages, la station de la Radio publique roumaine destinée au monde rural.
    Vous connaissez sans doute le film «Le fabuleux destin d’Amélie Poulain» et vous vous souvenez du nain qui
    voyageait à travers le monde envoyant des photos des endroits exotiques qu’il
    découvrait. Eh bien, une idée similaire est née au cœur de la Roumanie, dans la
    contrée de Făgăraş. «La Navette de Mamie Ruţă» fait parler à travers le monde du village de
    Mândra. Il s’agit d’une navette en bois
    utilisée jadis au métier
    à tisser, un objet authentique ayant appartenu à la Mamie Ruţă, une femme simple qui a passé toute sa vie en tissant et en rêvant de
    faire le tour du monde.




    Nous vous proposons donc un concours qui vous fera découvrir le point de
    départ de la navette, le village de Mândra, la région de Făgăraş ainsi que
    Mărginimea Sibiului, une contrée superbe qui l’avoisine.




    Il y a 10 ans, une vieille femme du village de Mândra quittait ce monde
    après une vie passée au métier à tisser. Elle laissait en héritage entre autres
    une navette pas comme les autres. Et pour cause: accablée par les difficultés
    de la vie, cette vieille femme n’avait jamais réussi à voir le monde au – delà
    de sa contrée natale, celle de Fagaras, malgré le fait d’y avoir rêvé tout le
    long de son existence. En signe de respect pour sa vie exemplaire, les
    descendants de Mamie Ruţă décident de porter la
    navette à travers le pays et partout dans le monde, histoire d’accomplir ce
    rêve.




    L’initiative appartient à la petite fille de Mamie Ruţă,
    l’actrice Alina Zară. Par conséquent, depuis plusieurs années, de nombreux
    Roumains emportent cette navette dans leurs périples et la photographient à
    différents endroits. Des goulags soviétiques jusqu’en Australie, du Mont Athos
    à Pékin, du Pôle Nord à l’Equateur, la navette de Mamie Ruţă a déjà parcouru un
    million de km. Elle a même voyagé dans la boîte du Stradivarius du violoniste
    roumain Alexandru Tomescu. Le tout dans le but déclaré de transmettre un
    message de paix et de solidarité avec les valeurs les plus précieuses d’un être
    humain, mais aussi faire connaître la Roumanie, notamment la vie du village
    roumain, soit dans le cadre des ambassades roumaines à travers le monde ou
    durant d’importants événements culturels. La navette de Mamie Ruţă est devenue
    un symbole des anciens métiers et des traditions folkloriques. Son voyage
    attire l’attention de toujours plus de monde, ce qui témoigne de la force de
    son discours sur les beautés de la Roumanie.




    Nous vous invitons à suivre nos émissions, à consulter notre site Internet
    www.rri.ro, ainsi que nos profils sur Facebook, Twitter, Google+, LinkedIn et
    toutes ces sources d’information vous aideront à répondre correctement, par
    écrit, à nos questions. Le jeu se déroule jusqu’au 15 juillet 2015, le
    cachet de la poste faisant foi.




    Nous
    n’avons pas changé nos bonnes habitudes et nous avons un grand prix
    spécialement pour vous. Il s’agit de deux séjours de 8 jours, soit 7 nuitées,
    en pension complète, du 1er au 8 septembre 2015, dans une pension de Sâmbata de
    Sus, région de Făgăraş, département de Brasov, ou bien dans un gîte de
    Marginimea Sibiului, au département de Sibiu. Nous aurons deux gagnants: un
    auditeur de RRI et un auditeur de l’Antenne des Villages. Les deux pourront
    être accompagnés par une personne de leur choix.




    Comme d’habitude, les frais de voyage en Roumanie et
    de visa, si nécessaire, sont à la charge des gagnants du grand prix.




    Le sponsor de
    notre jeu est SC SCORILO TURISM SRL. Le jeu vous est proposé par RRI en
    partenariat avec ses partenaires locaux des départements de Brasov et Sibiu.




    Voici maintenant les
    questions:





    1.D’où est partie en voyage «La Navette de Mamie Ruţă» ?


    2.Combien de km cette navette a-t-elle parcouru
    jusqu’ici ?


    3.Comment s’appellent les deux régions que les
    gagnants du grand prix auront l’occasion de visiter ?


    4.Nommez 5 villages ou endroits inédits que « La
    Navette de Mamie Ruţă a
    visités.


    5.Nous vous invitons également à
    nous dire la raison de votre participation et pourquoi vous écoutez les
    programmes de RRI.




    Pour plus de détails sur «La Navette de Mamie Ruţă» et ses voyages, vous
    pouvez consulter :




    – le blog du
    projet : http://suveicachicd10.blogspot.ro/


    – le profil Facebook du projet :https://www.facebook.com/pages/Suveica-Mamei-Ru%C5%A3a-%C3%AEn-jurul-lumii/360304274111765,




    Nos coordonnées, vous les connaissez bien:


    – Radio Roumanie Internationale, Rédaction
    française, 60-64 rue du Général Berthelot, Boîte postale 111, secteur 1,
    Bucarest, Roumanie, code postal 010165


    -numéro de fax 00.40.21.319.05.62;


    -email: fran@rri.ro, service_francais_rri@yahoo.fr .




    Nous attendons vos réponses jusqu’au 15 juillet 2015,
    le cachet de la poste faisant foi. Les noms des gagnants seront annoncés peu
    après la fin du concours, pour que les grands gagnants aient le temps de
    préparer leur voyage en Roumanie.


    Bon succès !

  • Neptun, une destination phare sur la côte roumaine de la Mer Noire.

    Neptun, une destination phare sur la côte roumaine de la Mer Noire.

    Vous le savez déjà, notre jeu-concours « Vacances sur la côte roumaine de la mer Noire », vous invite à visiter différentes destinations. Aujourd’hui nous vous proposons de faire une halte à Neptun, une des stations littorales roumaines les plus connues. Elle est située dans l’extrême sud-est de la Roumanie, près de la forêt de Comorova, à 7 km au nord de la ville de Mangalia et à 38 km au sud de Constanta. La plage de Neptun est un des points forts de cette station littorale. Se segment appelé « La steaguri », « Aux drapeaux » est, de l’avis des touristes, une des meilleures plages du littoral roumain. Son sable est fin et l’entrée dans la mer est progressive et le plus important pour le vacancier, sans aucune pierre ni cailloux.



    Côté cures, à Neptun on peut soigner des maladies rhumatismales dégénératives, inflammatoires, les maladies du système neveux périphérique, dermatologiques, ainsi que les troubles respiratoires. Les facteurs de cure naturels sont le climat marin riche en aérosols salins et les radiations solaires, l’eau de mer hypotonique, au chlore naturel, au souffre, sodium, magnésium et les sources d’eaux sulfureuses à température moyenne, entre 22 et 27 degrés et la boue sapropélique extraite du lac Techirghiol.



    Le climat marin est caractérisé par des étés très chauds, pendant lesquels le soleil brille chaque jour et la température moyenne au mois de juillet peut dépasser les 22 degrés. Détails sur la station de Neptun avec Dumitru Filip, responsable de la Direction de tourisme de la municipalité de Mangalia : « C’est une destination généreuse. Nous ne pouvons pas oublier de mentionner le fait qu’hormis les hôtels, il existe toute une série de facilités censées rendre votre séjour encore plus agréable. Parmi les nombreux restaurants et terrasses à différents spécifiques, je mentionnerais le restaurant et bar à vin Neptun, le restaurant Calul Balan. S’y ajoutent les espaces spécialement aménagés pour les loisirs et les différents sports aquatiques ou terrestres, tels le tennis. »



    Ajoutons aussi à la liste proposée par M Dumitru Filip le cinéma en plein air, le théâtre d’été, la bazar, le débarcadère, les terrains polyvalents de sport, deux terrains de mini golf, le luna park et les facilités pour les sports nautiques en mer ou bien sur le lac Neptun. Les restaurants proposent une riche variété de plats traditionnels roumains et à base de poisson, le tout dans une ambiance rustique accompagnée de musique traditionnelle.



    La station littorale de Neptun peut également servir de point de départ pour les voyages vers différents sites touristiques dans le delta du Danube ou aux ruines de la cité antique de Histria, du 7e siècle avt. J.- Ch. et au monument romain de Tropaeum Traiani d’Adamclisi. A ne pas rater non plus les visites organisées aux vignobles de Murfatlar, où des dégustations des meilleurs millésimes sont également prévues.