Tag: emplois

  • A la Une de la presse roumaine – 04.05.2017

    A la Une de la presse roumaine – 04.05.2017

    Après des protestations de rue et la publication des titres dans la presse tels « La première victoire des pénaux du parlement » et « Basescu et Nicolae font sortir les corrompus de la taule », les sénateurs de la commission juridique semblent faire un pas en arrière et renoncent aux amendements qui prévoyaient de gracier les personnes condamnées pour des faits de corruption. Entre temps, le compté de Teleorman est le plus pauvre de Roumanie et les 14 offices touristiques de la Roumanie ont été supprimés en raison de leurs résultats médiocres.




  • Solutions pour l’intégration des jeunes sans diplôme, sans formation et sans emploi.

    Solutions pour l’intégration des jeunes sans diplôme, sans formation et sans emploi.

    Bucarest a accueilli au mois de mars une série d’événements consacrés à la situation des NEET, ces jeunes âgés de 15 à 24 ans, sans diplôme, sans formation et sans emploi. Mal insérée et avec un avenir professionnel hypothétique, cette catégorie recense un taux inquiétant par rapport à la population active de Roumanie. Contrairement au reste des pays européens où la moyenne des jeunes sans emploi et hors du système scolaire est à 12%, en Roumanie ce taux se situe à un 18% inquiétant, selon des statistiques datant de 2011. Concrètement, ils seraient entre 400 et 500 milles, un chiffre qui ne prend pourtant pas en compte les jeunes non recensés par les institutions compétentes. Dans ce contexte, le groupe de réflexion Social DOers a organisé une conférence nationale, l’occasion pour lancer la plateforme

    La coalition européenne de défense des droits des jeunes NEET. Financée par le programme européen Erasmus+ et lancée à Bruxelles en janvier dernier, cette idée met en lumière le caractère européen de la question des jeunes sans emploi et sans formation. Car tous les pays membres s’y confrontent plus ou moins, lance Veronica Stefan, présidente du groupe Social Doers : «Par cette initiative-pilote, nous nous penchons sur la situation des NEET dans six Etats dont la Roumanie. Le projet prend aussi en compte le cas de pays tels la Grande Bretagne ou l’Autriche où le taux des NEET est bien faible. S’y ajoutent le Portugal, l’Italie et la Belgique. Cela nous a permis de constater qu’il faut déployer des efforts communs pour solutionner le problème. Une plateforme nous permettrait de réunir autour d’une même table les ONG qui se battent pour ces jeunes, les partenaires sociaux et les décideurs politiques. C’est donc une initiative qui concerne aussi bien les ONG, que les syndicats, les patronats et les députés européens, puisque ce sont eux qui assurent la participation des citoyens aux décisions européennes.»

    Victor Negrescu figure parmi les députés européens préoccupés par l’avenir des jeunes, surtout des ceux inactifs. Bien que l’UE ait lancé plusieurs programmes à leur intention, le député roumain reste pourtant réservé : «Il faut préciser que la plupart de ces programmes ont un caractère global et général. Or, nous avons besoins d’un plus grand nombre d’approches ciblées sur les jeunes NEET, afin que cette catégorie de la population européenne, forte de quelque 21 millions de personnes, ressente vraiment les bénéfices qui en découlent. Lors des débats menés à Bucarest, j’ai essayé de plaider en faveur de programmes reposant sur les besoins personnalisés de ces jeunes, besoins que nous devrions mieux identifier au niveau local.»

    A l’heure où l’on parle, le nombre des jeunes roumains inactifs avoisine les 500.000. Un chiffre qui, rapporté au pourcentage des actifs, ne semble pas trop inquiétant. En fait, la situation est beaucoup plus grave. Au fur et à mesure que ces jeunes prennent de l’âge, ils restent inactifs et deviennent de plus en plus nombreux. Si le taux est de 18% dans le cas des moins de 25 ans, ce pourcentage monte à 25% pour les moins de 30 ans et se maintient autour de 20% dans le cas des personnes inactives âgées de moins de 35 ans. Nous voilà donc confrontés à toute une génération de jeunes vivant en marge de la société. Une réalité qui nous coûte cher, s’inquiète Veronica Stefan : «Une agence européenne estime qu’en 2011, la Roumanie dépensait, ou plutôt perdait environ 2 milliards d’euros, soit 1,54% de son PIB. Cela signifie que près d’un demi-million de jeunes roumains recevaient une aide sociale minimale, sans produire la moindre contribution à la richesse nationale. Autrement dit, chaque année, les jeunes de moins de 25 ans produisent une perte économique d’environ 2 milliards d’euros. »

    Si nous ajoutons à ce tableau le phénomène du vieillissement de la population, visible en Roumanie, mais aussi à travers l’Europe, phénomène qui s’accompagne du besoin d’avoir le plus grand nombre d’individus actifs, nous comprenons mieux à quel point la recherche de solution est importante, y compris par le biais de la plateforme La coalition européenne de défense des droits des jeunes NEET. Veronica Stefan, présidente du groupe Social Doers, explique : «Ce que nous espérons obtenir par la mise en dialogue de tous ces partenaires c’est d’abord une implication plus grande des ONG qui devraient profiter de leur rôle pour essayer de rapprocher les NEET des institutions publiques. Car, une fois arrivés en marge de la société, ces jeunes ne réussissent pas à s’en sortir tous seuls et, parfois, ils renoncent à le faire. Ensuite, on essaie de convaincre les institutions d’adopter une politique beaucoup plus flexible. Jusqu’à présent, on a surtout privilégié des projets à durée plutôt fixe et financés par des fonds structurels, et du coup, on a oublié ce qui se passe effectivement avec tous ces jeunes. Il serait important de mettre en place des programmes continus, qui proposent une approche plus personnalisée.»

    Il est donc nécessaire de commencer par identifier tous ces jeunes sans emploi et hors système scolaire pour leur offrir par la suite des solutions en fonction de leurs problèmes individuels. Parallèlement, il nous faut lancer des programmes nationaux soutenus par des politiques publiques.

  • A la Une de la presse roumaine – 10.04.2017

    A la Une de la presse roumaine – 10.04.2017

    Les quotidiens roumains décortiquent plusieurs évènements qui ont eu lieu au cours du week-end qui vient de s’achever et notamment l’attentat de Stockholm et l’accident ferroviaire de Petrosani. Alors que le gouvernement se prépare à majorer les salaires dans le secteur public, les économistes cherchent une solution au blocage que caractérise l’économie roumaine actuellement.



  • A la Une de la presse roumaine – 08.03.2017

    A la Une de la presse roumaine – 08.03.2017

    Face à l’inflexibilité des employeurs et de la société, les Roumaines doivent penduler entre famille et travail. Entre temps, alors que l’initiative citoyenne de définition de la famille comme union entre un homme et une femme poursuit son chemin, le leader social-démocrate Liviu Dragnea avoue qu’il faut trouver aussi une solution pour les personnes d’autre orientation sexuelle. Egalement dans la presse : le débat sur la religion dans les écoles roumaines et la relation entre productivité et rémunération.


  • La Roumanie et les fonds européens

    La Roumanie et les fonds européens

    La Roumanie bénéficie d’une opportunité historique qu’est la relance de l’Union européenne, après le Brexit et face à l’ascension des mouvements nationalistes, a déclaré au micro de Radio Roumanie Actualités, la commissaire européenne aux politiques régionales, Corina Cretu. Elle conseille aux autorités roumaines d’agir pour que la Roumanie soit impliquée de manière significative dans la réforme de l’Union, récemment lancée par le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui a proposé cinq scénarios pour l’avenir de l’espace communautaire.

    Par ailleurs, Corina Cretu a également mis en garde sur l’importance d’attirer et d’utiliser les fonds européens. Corina Cretu : « Je veux dire qu’en général, la Roumanie a disposé de plusieurs milliards d’euros après son adhésion à l’UE. Nous voulons constamment améliorer l’état des choses et c’est pourquoi nous sommes souvent prêts à évoquer seulement les défaillances. Et pourtant, durant le précédent exercice financier de l’Union, nous avons créé plus de 8 mille emplois et rénové des centaines d’écoles et d’hôpitaux. Certes, au chapitre transports, la situation est assez mauvaise, car la Roumanie n’a construit avec des fonds européens que 124 kilomètres d’autoroute. En échange, 900 km de routes nationales ont été construites, grâce à l’argent européen. Durant l’actuel exercice financier, nous bénéficions de plus de 23 millions d’euros du fonds européen de développement régional. Il s’agit de fonds de cohésion, utilisables dans des domaines stratégiques, vitales pour la modernisation de la société roumaine : transports, PMEs, compétitivité, recherche, infrastructure de gestion des déchets. »

    La commissaire européenne a également rappelé que trois hôpitaux régionaux seraient construits avec des fonds européens à Cluj, (dans le nord-ouest), à Iasi (dans le nord-est) et à Craiova (sud). Les autorités roumaines ont déjà décidé quel sera l’emplacement précis de ces unités hospitalières. C’est la Banque européenne d’investissements qui réalisera prochainement des études de faisabilité pour ce projet, affirme Corina Cretu. Ecoutons-là : « J’espère que la construction des trois hôpitaux régionaux commencera début 2018 au plus tard, pour que l’argent puisse être utilisé avant 2020. De tels projets d’infrastructure ne peuvent pas être réalisés du jour au lendemain. Nous avons besoin d’au moins quelques années pour réaliser ces trois hôpitaux. »

    De l’avis de Corina Cretu, hormis l’argent alloué à la construction des trois hôpitaux régionaux, il y a aussi des fonds pour la modernisation de 280 hôpitaux et cliniques à travers le pays. Elle a appelé les autorités roumaines à attirer des fonds communautaires, surtout qu’actuellement les pays aux économies puissantes plaident pour une réduction de l’aide accordée aux pays moins développés. La Roumanie a perdu entre 2007 et 2013 deux milliards d’euros de fonds communautaires, même si l’exercice budgétaire avait été prolongé dans le cas de certains projets. De nombreuses autres initiatives qui enregistraient d’importants retards ont été sauvées et seront financées avec des fonds alloués pendant la période 2013 – 2020.

  • A la Une de la presse roumaine – 07.03.2017

    A la Une de la presse roumaine – 07.03.2017

    Les sujets économiques sont bien présents au sommaire des journaux bucarestois, qui examinent les premiers effets des nouvelles mesures gouvernementales sur le marché national de l’emploi.



  • A la Une de la presse roumaine 23.02.2017

    A la Une de la presse roumaine 23.02.2017

    Plein de sujets intéressants dans la
    presse roumaine ce jeudi, touchant les sujets les plus divers. Le maire de Iasi
    (est), Mihai Chirica, le contestataire de Liviu Dragnea, perd ses
    fonctions de direction au sein du PSD. L’Europe est confrontée à la crise de
    personnel qualifié la plus sévère depuis 2006. Enfin une idée de l’Académie
    roumaine suscite l’indignation: «les diplômés des universités publiques,
    qui ont étudié gratuitement, devraient payer pour leur études s’ils décident
    d’émigrer ».



  • A la Une de la presse roumaine 21.02.2017

    A la Une de la presse roumaine 21.02.2017

    Aujourd’hui, les grands quotidiens
    roumains tournent leur attention davantage vers des sujets sans liens apparents
    avec la politique, tellement présente ces derniers temps dans l’actualité
    immédiate. Fin 2016, la Roumanie comptait plusieurs dizaines de milliers
    d’emplois vacants ; l’année dernière, trois aéroports roumains ont connu
    le taux de développement le plus élevé d’Europe ; dans les ports roumains
    sur le Danube maritime, l’activité semble en train de repartir à la
    hausse ; des crêpes en fête attendent les gourmands près de Brasov.



  • A la Une de la presse roumaine – 08.12.2016

    A la Une de la presse roumaine – 08.12.2016

    Beaucoup de sujets économiques dans
    la presse roumaine d’aujourd’hui. Les journaux se penchent sur l’évolution des
    prix des logements au cours de cette année, expliquent pourquoi les entrepreneurs
    roumains préfèrent ouvrir des sociétés en Bulgarie et font savoir aussi que les
    employés roumains sont devenus plus rentables mais aussi plus prétentieux.



  • A la Une de la presse roumaine 12.10.2016

    A la Une de la presse roumaine 12.10.2016

    C’est
    le sort des crédits en francs suisses qui intéresse aujourd’hui la presse
    roumaine, surtout qu’il est toujours incertain. Une autre question d’argent :
    le remboursement des frais de navette des enfants qui se rendent à l’école. La
    presse se penche aussi sur les emplois qui survivraient en cas d’une nouvelle
    crise économique. Enfin, saviez-vous quelle est la nourriture à laquelle les Bucarestois
    ne renoncent jamais ? Réponse.



  • A la Une de la presse roumaine – 07.10.2016

    A la Une de la presse roumaine – 07.10.2016

    2076 lei, soit 464 euros, c’est le montant du salaire moyen net de Roumanie au mois d’août 2016, selon l’Institut national de la statistique. Dans quelques départements seulement, les femmes touchent des salaires plus élevés que les hommes. L’écart le plus grand en faveur des femmes est enregistré dans le département de Vaslui, dans l’est, où le taux de chômage est le plus élevé. Entre temps les investisseurs choisissent toujours la Transylvanie, dans l’ouest.




  • A la Une de la presse roumaine – 04.10.2016

    A la Une de la presse roumaine – 04.10.2016

    La rentrée universitaire, qui a eu lieu ce lundi, est une occasion pour les journaux de creuser un peu des sujets étroitement liés à cet événement, tels des idées lancées par le chef de l’Etat et le premier ministre concernant la relation entre le contenu de la formation des jeunes et la réalité de l’emploi. S’y ajoutent des opinions sur l’évolution de l’économie roumaine et de l’infrastructure de transport de Roumanie, un bilan de l’activité du ministère de la culture pendant les mandats des deux derniers titulaires du portefeuille, nouveaux effets du scandale de corruption qui secoue le ministère de l’intérieur.



  • La semaine du 26 septembre au 1er octobre 2016

    La semaine du 26 septembre au 1er octobre 2016

    Le coprésident du PNL, Vasile Blaga, a démissionné de ses fonctions ; il est sous enquête dans une affaire de corruption

    Poursuivi sous contrôle judiciaire dans une affaire de corruption, Vasile Blaga, le coprésident du Parti national libéral, a démissionné de ces fonctions, et aussi de celles de coordonnateur de la campagne électorale. Il ne se portera pas candidat non plus aux législatives prévues en décembre prochain. Selon les procureurs du Parquet national anticorruption, les faits qui lui sont reprochés remonteraient à la période 2009-2012, lorsque Vasile Blaga occupait les fonctions de ministre de l’Intérieur et ensuite de président du Sénat de Bucarest. Il serait intervenu pour l’attribution préférentielle de marchés publics. Vasile Blaga aurait touché en échange des commissions de 10% de la valeur de ces contrats, soit au total 700 mille euros offerts pour lui-même et aussi pour le parti dont il était le secrétaire général, au pouvoir à l’époque. Il s’agit de l’ancien Parti démocrate libéral, qui a connu une scission entre temps ; la plupart de ses membres, avec à leur tête Vasile Blaga, ont choisi la fusion avec le Parti national libéral, tandis que les autres ont suivi l’ancien président Traian Băsescu dans le Parti du mouvement populaire. Les événements du PNL, survenus moins de trois mois avant les législatives, sont considérés comme un séisme au sein de la deuxième formation politique comme poids au Parlement de Bucarest.

    Le gouvernement de Bucarest a adopté des mesures censées stimuler la création d’emplois

    Cette semaine, le gouvernement de Bucarest a approuvé des stimulants et des mesures censées conduire à la création d’emplois. Ils entreront en vigueur au 1er décembre et soutiennent les catégories vulnérables, notamment les chômeurs qui doivent changer de domicile pour se faire embaucher ou de ceux qui souhaitent rentrer au pays pour y travailler. Selon le premier ministre Dacian Cioloş, c’est pour la première fois que les fonds européens et les fonds du budget de la Roumanie sont dirigés de manière cohérente afin d’avoir un impact réel sur le marché et sur la vie des gens. Ainsi, les personnes au chômage et qui décident de changer de domicile afin de se faire embaucher toucheront une prime d’installation de 12.500 lei (soit 2800 euros). Les chômeurs qui trouvent un emploi à plus de 15 km de leur domicile pourront bénéficier d’une subvention censée leur permettre de se déplacer sur les lieux de travail.

    Les premiers avions F-16 achetés au Portugal sont arrivés en Roumanie

    Les six premiers avions de combat F-16 des Forces aériennes roumaines sont arrivés cette semaine sur l’aérodrome militaire de Feteşti (sud-est). Ils ont été achetés aux Forces aériennes portugaises et ont été soumis à un ample programme de modernisation et pourront interagir avec tous les autres avions multirôle des Etats de l’OTAN. Pendant deux ans, les spécialistes portugais ont formé neuf pilotes et 80 techniciens roumains qui seront en charge de l’exploitation de ces appareils. L’escadrille de 12 avions F16 sera complétée en deux étapes par l’arrivée de 3 avions jusqu’à la fin de l’année en cours et de trois autres en 2017. Les spécialistes estiment que la Roumanie a besoin d’au moins 36 avions de combat, et les autorités cherchent déjà des variantes pour acquérir une deuxième escadrille. Le F-16 est l’avion multirôle avec le plus grand succès au monde, utilisé constamment dans la plupart des opérations militaires qui ont lieu sur la planète. Et c’est toujours cette semaine qu’il a été décidé au Conseil suprême de défense de la Roumanie de transformer la Brigade n° 2 d’infanterie Rovine, siégeant à Craiova (sud), en Brigade multinationale de l’OTAN. La Bulgarie et la Pologne ont déjà annoncé leur participation à la création de la Brigade multinationale.

    Le président Klaus Iohannis et le chef du Sénat de Bucarest, Călin Popescu Tăriceanu, ont assisté aux obsèques de l’ancien président israélien, Shimon Peres

    Le président Klaus Iohannis et le chef du Sénat de Bucarest, Călin Popescu Tăriceanu, ont assisté aux obsèques de l’ancien président israélien, Shimon Peres, décédé mercredi à Tel Aviv, à 93 ans. Dans un message de condoléances adressé à son homologue israélien Reuven Rivlin, le président Klaus Iohannis affirme que Shimon Peres a été un leader visionnaire et un combattant indéfectible pour une solution durable pour le processus de Paix au Moyen Orient. Le peuple roumain, affirme Klaus Iohannis, se souviendra toujours de l’amitié sincère et profonde de Shimon Peres, le premier président israélien qui a visité la Roumanie en 2010. A son tour, le chef du gouvernement de Bucarest, Dacian Ciolos, a évoqué dans son message de condoléances transmis à son homologue Benjamin Netanyahu la personnalité emblématique de Shimon Peres, promoteur de la paix, reconnu au niveau international, par l’attribution du prix Nobel de la Paix.

    Festival RadiRo

    Le Festival international RadiRo, le seul événement européen d’envergure consacré exclusivement aux orchestres de radio, organisé par la Radiodiffusion roumaine, a fait venir à Bucarest six orchestres symphoniques d’Europe et d’Asie, des chefs d’orchestre et des solistes qui tiennent la tête d’affiche de la scène musicale internationale. Présent pour la première fois à cet événement, l’Orchestre symphonique de Shenzen a été choisi pour ouvrir la série de concerts, par la Rhapsodie roumaine de George Enescu. L’orchestre chinois a été suivi par celui de la Radio de Norvège, puis par les Orchestres des Radios de Leipzig et de Vienne. Pour la fin du festival, le 1er octobre, Fête internationale de la musique, c’est le BBC Concert Orchestra qui a été programmé. Un des ouvrages les plus spectaculaires de la musique de tous les temps, la cantate Carmina Burana de Carl Orff, a été interprétée, le 26 septembre, par les représentants de la Roumanie – l’Orchestre national de Radio Roumanie, le Chœur académique et le Chœur d’enfants de la Radio sous la baguette de Cristian Măcelaru. (Trad. Ligia Mihaiescu)

  • A la Une de la presse roumaine 13.06.2016

    A la Une de la presse roumaine 13.06.2016

    A
    part les matchs de l’Euro 2016, le début du BAC et l’incident tragique à
    Orlando aux Etats-Unis, les journaux n’abondent pas en sujets en ce début de
    semaine. Côté politique « le PSD voudrait destituer le gouvernement, mais
    il a un dilemme» et une interview avec que Clotilde Armand, une Française à
    nationalité roumaine depuis une année, candidate à la mairie du premier
    arrondissement de la capitale. Côté économie, la presse se penche sur « le
    plus grand problème de la Roumanie à l’heure actuelle » et les futurs
    investissements chinois en terre roumaine. Enfin, la presse passe en revue la
    date du 13 juin dans l’histoire de la Roumanie.


  • A la une de la presse roumaine – 20.05.2016

    A la une de la presse roumaine – 20.05.2016

    Un salarié roumain sur quatre travaille dans une institution publique un employé de l’Etat sur cinq est cadre de la défense. La défense est également le mot d’ordre à Bucarest qui accueille une foire spécialisée réunissant des corporations souhaitant vendre de l’armement à la Roumanie. Enfin les quotidiens font état d’une campagne ennuyeuse, vieillotte et pâlotte.