Tag: Florin Citu

  • 26/03/2022

    26/03/2022

    Gaz — Les leaders de l’UE ont décidé vendredi de mandater la Commission européenne à procéder à des acquisitions communes de gaz, d’après le modèle des commandes de vaccins anti-Covid, sur la toile de fond de la guerre en Ukraine qui mène à l’envolée des prix de l’énergie, notre l’AFP. Les 27 et la Commission collaboreront d’urgence en matière d’achats volontaires de gaz, gaz liquéfié et d’hydrogène, profitant du poids économique de l’UE pour bénéficier de prix plus avantageux, selon les conclusions du sommet de Bruxelles. La Commission a entamé des négociations avec les principaux pays producteurs (la Norvège, le Qatar et l’Algérie) et a annoncé vendredi un accord avec les Etats-Unis pour que ces derniers accroissent leurs livraisons de gaz liquéfié à l’UE. La plate-forme d’acquisitions en commun sera ouverte aussi aux pays des Balkans occidentaux et aux trois pays liés à l’UE par des accords d’association (République de Moldova, Ukraine, Géorgie). A la réunion, le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, a mis en exergue la nécessité de réduire les dépendances énergétiques de la Russie, de diversifier les sources et les routes d’approvisionnement en énergie, et de finaliser les interconnexions énergétiques au niveau des Etats de l’UE. Le leader de Bucarest a également soutenu que les solutions européennes d’optimisation devraient viser à découpler les tarifs de l’électricité de ceux du gaz, afin d’éviter l’effet de contagion.



    Visite — L’énergie, les finances internationales, le développement et les évolutions sécuritaires dans la région de la mer Noire comptent parmi les thèmes à l’agenda des rencontres de la délégation du Sénat roumain, dirigée par le président de cette assemblée, Florin Cîţu, qui a entamé une visite de travail aux Etats-Unis. Un des principaux objectifs, c’est l’adhésion de la Roumanie au programme Visa Waiver, pour lequel les efforts seront accélérés à l’avenir, y compris au niveau du Congrès américain, a écrit Florin Cîţu sur Facebook. Il doit aussi rencontrer des représentants du milieu des affaires et ceux de la communauté roumaine.



    Réfugiés — Le ministre roumain de la Santé, Alexandru Rafila, a déclaré samedi que le nombre de demandes d’assistance médicale de la part des personnes en provennace d’Ukraine était faible. 80 réfugiés sont hospitalisés en Roumanie, a informé Alexandru Rafila à l’issue de la réunion convoquée par le premier ministre Nicolae Ciucă, ciblée sur les mesures que la Roumanie gère suite à l’agression militaire russe d’Ukraine. A son tour, le ministre de l’Education, Sorin Cîmpeanu, a annoncé que le nombre des élèves ukrainiens qui suivent les curricula roumains dans les écoles de Roumanie serait de 1 140 au début de la semaine prochaine. Notons que suite au conflit armé d’Ukraine, 34 000 enfants sont arrivés en Roumanie. Il a ajouté que la seconde catégorie, la plus nombreuse, est celle des élèves ukrainiens qui souhaitent continuer l’école d’après les programmes ukrainiens, et à cet effet, ils ont besoin avant tout d’appui logistique de la part des écoles roumaines. Le secrétaire d’Etat au ministère du Travail et de la Solidarité sociale, Cristian Vasilcoiu, a annoncé qu’en ce moment, près de 3 300 contrats de travail de ressortissants ukrainiens sont enregistrés en Roumanie, soit 700 de plus qu’au moment où la guerre a éclaté. Plus de 8 600 ressortissants ukrainiens sont entrés vendredi en Roumanie, informe l’Inspection générale de la Police aux frontières. Leur nombre est à la baisse de 13 % par rapport à la journée précédente. Depuis le commencement de la guerre, près de 550 000 citoyens ukrainiens sont entrés en Roumanie.



    Covid — 3 100 nouveaux cas de personnes infectées au SARS-CoV-2 ont été enregistrés ces dernières 24 h, en Roumanie, soit 625 de moins que le jour précédent. 28 décès ont été rapportés chez les patients contaminés au coronavirus, dont 6 antérieurs à la période de référence. Environ 400 patients sont en soins intensifs.



    Biden — Le président américain Joe Biden va réitérer dans le discours qu’il prononcera aujourd’hui en Pologne que le monde libre s’oppose à l’invasion de l’Ukraine par la Russie et qu’il existe une unité de vues des grandes économies au sujet de la nécessité de stopper Vladimir Poutine, a fait savoir la Maison Blanche. Après 3 jours de réunions d’urgence avec les alliés au niveau du G7, du Conseil européen et de l’OTAN et une visite des troupes américaines de Pologne, Joe Biden rencontre aujourd’hui le président polonais Andrzej Duda. Par ailleurs, l’évaluation des Etats-Unis, c’est que l’armée russe a fixé désormais pour priorité dans son invasion sur l’Ukraine la zone du Donbass de l’est séparatiste prorusse du pays. Et ce dans une tentative d’accroître son pouvoir de négociation dans les pourparlers avec Kiev et d’encercler les troupes ukrainiennes sur le front est.



    Une heure pour la planète — Des institutions et compagnies de plus de 190 pays, dans plus de 8 000 villes, éteindront les lumières, pendant une heure, de 20 h 30 à 21 h 30 en Roumanie, dans le cadre de l’événement Earth Hour (Une heure pour la planète). C’est un événement mondial, organisé par WWF International (le Fonds mondial pour la nature), le dernier samedi du mois de mars, chaque année. Cette action vise à sensibiliser les consommateurs au problème des rejets de dioxyde de carbone dans l’atmosphère pour produire de l’électricité. A Bucarest, l’éclairage intérieur et extérieur du Palais du parlement sera interrompu temporairement dans la tranche horaire mentionnée, afin de marquer l’événement. La municipalité de la capitale se joint aussi à Une heure pour la planète et elle éteindra les lumières à l’Hôtel de ville et aussi dans les locaux administratifs de ses institutions et administrations.



    Heure d’été — Dans la nuit de samedi à dimanche, la Roumanie passe à l’heure d’été. Les horloges seront avancées d’une heure, et 3 h 00 deviendra 4 h 00. Ainsi, le dimanche 27 mars sera le jour le plus court de l’année. L’introduction de l’heure d’été a visé à accroître le nombre d’heures pendant lesquelles les gens bénéficiaient de la lumière naturelle. La compagnie nationale de chemin de fer, CFR Călători, a informé que le passage à l’heure d’été ne modifierait pas les horaires des trains en vigueur. La différence entre l’heure officielle de la Roumanie et le Temps Universel sera de trois heures, par rapport à deux seulement pendant l’heure d’hiver.



    Football — La sélection nationale de foot de la Roumanie a perdu le match amical disputé vendredi soir, à Bucarest, contre la Grèce, 1-0. C’était le match de début du sélectionneur Edward Iordănescu, fils du joueur et entraîneur Anghel Iordănescu, un nom auquel les principales performances de la sélection nationale des années ’90 sont liées. Les Tricolores rencontrent Israël en déplacement le 29 mars, toujours dans le cadre d’un match de préparation.



    Météo — En Roumanie, le temps est plutôt beau et se réchauffe ; les températures se situeront au-dessus des moyennes pluriannuelles. Le ciel est variable, avec des passages nuageux dans les régions du nord et du nord-est. Le vent est faible à modéré, plus intense sur le haut relief et dans le nord-est. Les maximales vont de 12 à 19°, avec du beau temps et tout au plus 18° à Bucarest.



  • Cîţu: România este pregătită pentru a primi refugiaţi

    Cîţu: România este pregătită pentru a primi refugiaţi

    Preşedintele Senatului, liberalul Florin Cîţu, a declarat vineri că România este pregătită pentru a primi refugiaţi, avansând ca variantă pentru acoperirea cheltuielilor aferente bugetul autorităţilor locale, într-o primă etapă, urmând ca acestea să fie decontate ulterior de Guvern, conform Agerpres.

    Florin Cîţu: Ştiu că Ministerul Afacerilor Interne pregăteşte documentaţia. România este pregătită. Am avut o discuţie şi în interiorul partidului. La graniţă avem şi preşedinţi de consilii judeţene, şi în Suceava, şi în Maramureş, avem şi primari. Le-am spus că trebuie să fie pregătiţi, să ofere toate condiţiile celor care vin în România, să-i cazeze, să le ofere toate condiţiile ca aceştia să nu sufere. Este un moment dificil. Preşedinţii de consilii judeţene de ieri au luat măsuri. Domnul Gheorghe Flutur (n.r. – preşedintele Consiliului Judeţean Suceava) ştiu că în dimineaţa aceasta se întâlnea iar cu primarii din zonă.


    În legatură cu taberele de refugiaţi, Cîţu a arătat că nu ştie dacă vor fi tabere.

    Deocamdată folosesc resursele pe care le au, sunt pensiuni, tot ce e nevoie, dacă numărul este mai mare. În acelaţi timp, nu trebuie sa se oprească acolo, putem să îi aducem mai jos, a declarat Florin Cîţu, el arătând că a discutat cu preşedinţii de CJ liberali pentru a identifica zonele unde aceşti refugiaţi din Ucraina pot fi transportaţi.

    Referitor la costurile pe care le implică primirea refugiaţilor, Cîţu a menţionat că există o varianta ca, la început, să fie suportate de autorităţile locale, pentru ca apoi să fie decontate de Guvern.

    Nu ştiu care va fi varianta, dar pe aceasta o văd eu ca fiind cea mai simplă în acest moment, a spus Florin Cîţu.

  • Energiepreiskrise: Koalition uneinig über Hilfsmaßnahmen

    Energiepreiskrise: Koalition uneinig über Hilfsmaßnahmen





    In Rumänien sind die Strom- und Gasrechnungen in den letzten Monaten regelrecht explodiert — viele Endverbraucher staunten nicht schlecht, als da Beträge zu lesen waren, die das Vier- bis Fünffache im Vergleich zur Zeit vor der Liberalisierung des Energiemarktes ausmachten. Die Regierung schiebt das den Energieerzeugern und -lieferanten in die Schuhe, denn — so die offizielle Erklärung — die Exekutive habe bereits im Oktober mit einem Gesetz reagiert, das die Liberalisierung über einen begrenzten Zeitraum stufenweise abmildert. Konkret wurde der Energiepreis im Zeitraum 1. November 2021 — 1. April 2022 auf umgerechnet 20 Eurocents pro kWh für Strom bzw. auf rund 7,5 Eurocents pro kWh für Gas gedeckelt. Au‎ßerdem übernimmt der Staat einen Teil der Rechnung für Endkonsumenten, vorausgesetzt der Verbrauch von Gas oder Strom hält sich in bestimmten Grenzen.



    Nun will die Regierung das entsprechende Gesetz novellieren, sagt Energieminister Virgil Popescu, so dass Energielieferanten, die das bisherige Deckelungs- und Kompensationsgesetz ignoriert haben, gezwungen werden, die überhöhten Rechnungen für Endverbraucher erneut auszustellen. Die Rede ist auch von der Erhöhung der staatlichen Kompensationen für Gasrechnungen, au‎ßerdem soll die Entkopplung der Schuldner im häuslichen Bereich von der Gaslieferung unterbunden werden. Die Ma‎ßnahmen sollen zudem auch für die Lebensmittelindustrie und die Landwirtschaft gelten, so Energieminister Virgil Popescu, der sich allerdings nicht schlüssig ist, wie das zu finanzieren ist:



    Ab 1. Februar diskutieren wir auch über ein Kompensationspaket für die Lebensmittelindustrie und die Landwirtschaft. Die Rede ist von einem zusätzlichen Preisnachlass für Gasverbrauch in diesen Wirtschaftsbranchen. Dabei könnten wir entweder das Skonto von 33% auf 50% erhöhen oder die MwSt. für Erdgas senken. Wir werden also Lösungen finden müssen, wie wir ab 1. Februar bzw. ab 1. April nach diesem Schema weiter vorgehen.“



    Die Preiskrise und die überteuerten Rechnungen für Gas und Strom sorgen auch für politischen Zündstoff in der Koalition — namentlich zwischen den Gro‎ßkoalitionären PSD und PNL. Rücktrittsforderungen gegenüber dem liberalen Energieminister oder der Leitung der einschlägigen Regulierungsbehörde wechselten sich mit Beschwichtigungen ab, man möge die Situation in Einvernehmen lösen. Die Sozialdemokraten sind gegen eine Preisdeckelung und Kompensationen durch den Staat und setzen eher auf eine MWSt.-Senkung oder zumindest Deckelung derselben. Auch eine Tagung des Obersten Verteidigungsrates (CSAT) wurde ins Gespräch gebracht. PSD-Chef Marcel Ciolacu lie‎ß dabei die Gelegenheit nicht aus, dem Koalitionspartner eins auszuwischen:



    Es liegt auf der Hand, dass wir voll in der Krise stecken. Und ich glaube, dass die Menschen von dieser Regierungskoalition, die sich einer komfortablen Mehrheit im Parlament erfreut, eine schnelle Lösung erwarten. Nicht erst ab dem 1. April, sondern jetzt.“



    PNL-Chef Florin Cîțu lie‎ß das nicht auf seine Partei sitzen und konterte, man müsse auf pragmatische Lösungen setzen, statt populistische Stellungnahmen abzugeben oder den Staatshaushalt zusätzlich zu belasten.



    Man sollte eher priorisieren. Bevorteilende Ma‎ßnahmen sind unangebracht, ebenso leere Versprechen, dass die Regierung die Rechnungen für alle übernimmt oder Gebühren abschafft. Sonst könnten wir sehr schnell aus dem Gleichgewicht kommen, das wir in den letzten Jahren in der Wirtschaft erzielt haben.“



    Gewerkschaften und Arbeitgeberverbände sind sich hingegen diesmal einig zum strittigen Thema der höheren Energiepreise und wie damit umzugehen sei: Sie fordern einstimmig eine Deckelung der Rechnungen für Strom und Gas, und zwar sowohl für Endverbraucher als auch für empfindliche Wirtschaftsakteure. Ohne systematische und einheitliche Ma‎ßnahmen würden viele Unternehmen in den Bankrott getrieben, so die Stellungnahme der Gewerkschaften und Arbeitgeber.

  • Dezacord privind certificatul verde

    Dezacord privind certificatul verde

    Introdusă, deja, în unele ţări, inclusiv din Uniunea Europeană, obligativitatea la locul de muncă a aşa-numitului certificat verde COVID a provocat în România dispute politice vehemente. Mass-media de la Bucureşti afirmă că sunt şanse tot mai mici ca o nouă lege a certificatului să apară până la sfârşitul anului şi unele şi mai mici ca acesta să devină obligatoriu la serviciu. Liderii coliţiei de guvernare PSD-PNL-UDMR au avut şi joi o întâlnire pe această temă, însă fără rezultat. Discuţiile ar urma să fie reluate săptămâna viitoare, după Crăciun. Potrivit unor surse politice, ideea ca obligativitatea certificatului verde la locul de muncă să fie eliminată i-ar aparţine preşedintelui Klaus Iohannis. Liderii coaliţiei, liberalul Florin Cîţu şi social-democratul Marcel Ciolacu, vorbesc, acum, despre riscul ca o lege ce condiţionează exercitarea profesiei de certificat să fie declarată neconstituţională. Din opoziţie, USR afirmă, în schimb, că fără obligativitatea certificatului la locul de muncă, o lege pe această temă este lipsită de conţinut.

    Într-o scrisoare deschisă adresată preşedintelui Iohannis, foştii miniştri USR ai Sănătăţii, Ioana Mihăilă şi Vlad Voiculescu, susţin că acest instrument este vital pentru combaterea infectărilor şi pentru susţinerea campaniei de vaccinare. Ezitările politicienilor survin după ce în jur de o sută de persoane care protestau față de posibila introducere a certificatului verde COVID la locul de muncă au pătruns, marți, în curtea Parlamentului de la București. Manifestația, a cărei organizare a rămas neasumată, a fost intens popularizată în ajun de AUR (opoziția naționalistă) și a reunit, potrivit autorităților, circa 1.500 de oameni, care au perturbat traficul rutier în zonă. Parlamentarilor AUR ce acuzau încălcarea unor drepturi fundamentale li s-au alăturat numeroase grupuscule antivacciniste, foarte vizibile şi vocale în spaţiul public. Ministrul de Interne, liberalul Lucian Bode, afirmă că n-a existat niciun moment riscul ca manifestanții să intre în clădirea Parlamentului, păzită de 300 de jandarmi, cărora el le-a ordonat să nu intervină în forță. Bode mai susține că parlamentarii AUR au introdus cu maşinile lor oameni în incintă şi, ulterior, i-au îndemnat pe cei care manifestau afară să intre și ei.

    De la declanșarea pandemiei, pe teritoriul României au fost înregistrate peste 1,8 milioane de cazuri de COVID-19, iar aproape 60 de mii de persoane diagnosticate cu noul coronavirus au murit. Cu alte cuvinte, notează experţii, România a pierdut, în nici doi ani, populaţia unui oraş mediu. Pe fondul psihozei anti-vaccin întreținute de o parte a media, politicieni și alte figuri publice, țara are a doua cea mai scăzută rată de imunizare dintre cei 27 de membri ai Uniunii Europene, după Bulgaria.


  • Nachrichten 13.12.2021

    Nachrichten 13.12.2021

    Pandemielage: In Rumänien sind am Montag 494 Neuinfektionen mit dem Sars-Cov-2-Virus gemeldet worden, das sind weiterhin sinkende Zahlen im Vergleich zum Vortag. Bei ca. 17.000 durchgeführten Tests entspricht das einer Inzidenzzahl von 2,91. Es wurden auch 45 Todesfälle gemeldet, in den Krankenhäusern werden derzeit etwa 4.000 Patienten behandelt, davon knapp 700 auf der Intensivstation. Die meisten Neuinfektionen wurden in Bukarest (81) und im nordwestrumänischen Landeskreis Cluj/Klausenburg (41) verzeichnet. Was den Impffortschritt anbelangt, sind etwa 7,6 Mio. Menschen in Rumänien mit der ersten Dosis geimpft und nur 1,8 Mio. sind zweifach mit einem der zugelassenen Impfstoffe immunisiert. Für Einreisende nach Rumänien gelten nach wie strenge Vorschriften: Ungeimpfte und Reisende ohne Genesungsattest aus Risiko-Ländern sowie von au‎ßerhalb der EU müssen sich nach der Einreise in eine 10-tägige Quarantäne begeben, wenn sie einen negativen PCR-Test vorweisen können. Für Ungeimpfte ohne negative PCR-Tests gilt eine 14-tägige Quarantäne nach der Einreise, ungeachtet des Herkunftslandes oder des letzten Aufenthaltes.



    Covid-19-Zertifikat: Die Spitzenvertreter der Regierunsgkoalition in Rumänien nehmen am Montag erneut Gespräche über eine mögliche Pflicht des Covid-19-Zertifikats am Arbeitsplatz auf. Der rumänische Gesundheitsminister Alexandru Rafila hatte zuvor einen entsprechenden Entwurf zur verpflichtenden Einführung unterbreitet. Florin Cîţu, Chef der Liberalen (PNL), ist gegen kostenlose Tests für Impfverweigerer und forderte, dass Testpflichtige nach einer Frist von 45 Tagen selbst für die Kosten aufkommen. Im Gegenzug sagte Gesundheitsminister Rafila, sein Vorsto‎ß stehe vorerst zur Debatte, und der PNL-Chef Cîțu würde nur versuchen, politisches Kapital daraus zu schlagen. Mit dem Covid-19-Zertifikat würden Arbeitnehmer ihren Status als vollständig Geimpfte oder Genesene unter Beweis stellen können.



    EU: Der rumänische Au‎ßenminister Bogdan Aurescu nimmt am Montag an einer Sitzung des EU-Rates für Auswärtige Angelegenheiten teil. Es wird erwartet, dass die EU-Minister einen Meinungsaustausch über eine Reihe aktueller Themen führen werden, etwa über die jüngsten Entwicklungen in der Ukraine, die Lage in Belarus, auf Zypern und in Äthiopien. Laut einer Presseverlautbarung des Au‎ßenministeriums wird der rumänische Minister erneut seine Besorgnis über die Sicherheitslage in der Nachbarschaft der Ukraine und im Schwarzmeerraum zum Ausdruck bringen. Er werden dabei betonen, dass die EU eine angemessene Reaktion vorbereiten und eine geschlossene und entschlossene Haltung einnehmen müsse. Russlands militärische Aufrüstung nahe der Grenze zur Ukraine hat auf europäischer und transatlantischer Ebene gro‎ße Besorgnis ausgelöst. In Bezug auf Wei‎ßrussland werden die EU-Au‎ßenminister voraussichtlich über die Verschlechterung der internen Situation im Land und den Missbrauch der Migranten an der Ostgrenze der EU durch das Regime in Minsk diskutieren.



    Transnistrien/Moldaurepublik: Rumänien erkennt die Rechtmä‎ßigkeit der Wahlen vom Sonntag in der abtrünnigen pro-russischen Region Transnistrien im Osten der Republik Moldau nicht an. Dies verlautbarte das Auswärtige Amt in Bukarest am Montag. In der entsprechenden Erklärung bekräftigte Bukarest au‎ßerdem seine Unterstützung für eine umfassende, friedliche und nachhaltige Lösung des Konflikts in Transnistrien im Einklang mit dem Völkerrecht, der Achtung der Souveränität und territorialen Unversehrtheit der Republik Moldau innerhalb ihrer international anerkannten Grenzen und ohne Beeinträchtigung ihres europäischen Weges. Auch die moldauischen Behörden bezeichneten die Wahlen in Transnistrien als illegal. Transnistrien hatte sich 1992 nach einem bewaffneten Konflikt, bei dem Hunderte von Menschen getötet wurden und der erst durch das Eingreifen russischer Truppen auf der Seite der Separatisten beendet wurde, de facto von der Republik Moldau gelöst.



    Wetter: Es wird kälter in den nächsten Tagen in ganz Rumänien. Der Himmel ist überwiegend bewölkt. Die Meteorologen sagen für die meisten Teile des Landes Regen voraus. In den Bergen liegt schon vieleorts eine beachtliche Schneedecke. Der Wind weht schwach bis mä‎ßig, allein im Hochgebirge werden stärkere Windböen verzeichnet. Die Höchsttemperaturen reichen von minus 2 bis plus 6 Grad Celsius. Und für die Hauptstadt wird trübes Wetter vorhergesagt, es ist kälter als am Vortag, mit Höchstwerten von 4 Grad Celsius.

  • Neue Regierungskoalition in den Startlöchern

    Neue Regierungskoalition in den Startlöchern

    Die Koalition der Liberalen, Sozialdemokraten und des Ungarnverbands als Juniorpartner (PNL-PSD-UDMR) stützt sich auf eine bequeme Mehrheit, die die Ausgangslage nach der Parlamentswahl im vergangenen Jahr nur scheinbar auf den Kopf stellt. Das Geschacher um Spitzenpositionen im Staat läuft nämlich nicht allein um Ministerposten, sondern auch um die höchsten Funktionen im bikameralen Parlament. So wurde der PSD-Chef Marcel Ciolacu zum Vorsitzenden der Abgeordnetenkammer gewählt, während der Parteichef der Liberalen, Florin Cîţu, die Leitung des Senats übernimmt. Beide dürften ihre Ämter am kommenden Freitag übernehmen, wenn bis dahin die neue Regierung bestätigt und vereidigt wird.



    In der Abgeordnetenkammer ging das Procedere reibungslos über die Bühne, denn der Posten des Vorsitzenden war nach dem Rücktritt des abgewählten PNL-Chefs Ludovic Orban ohnehin vakant. Somit hatte es der Chef der Sozialdemokraten, Marcel Ciolacu, recht leicht — er wurde mit 217 Fürstimmen und 77 Gegenstimmen zum neuen Vorsitzenden der Abgeordnetenkammer gewählt. Cristina Prună, seine Kontrahentin von der USR, hatte aufgrund der neuen Mehrheitsverhältnisse im Parlament kaum eine Chance, sich durchzusetzen. Als Parlamentspräsident werde ich mich dafür einsetzen, dass die Ma‎ßnahmen für den Sozialschutz und gleichzeitig für die Förderung der Wirtschaft, für die die PSD einsteht, auch umgesetzt werden und dass das Regierungsprogramm im Parlament unterstützt wird“, sagte Ciolacu nach seiner Wahl.



    Nicht so reibungslos verlief die Wahl eines neuen Chefs des Senats, der Oberkammer des rumänischen Parlaments. Hier war es in der Auffassung der neuen Koalition notwendig, Anca Dragu, die amtierende Präsidentin seitens der USR, aus dem Amt zu boxen, um den Weg für den Liberalen-Chef frei zu machen. Die Gro‎ße Koalition berief sich dabei auf eine Entscheidung des Verfassungsgerichts, laut der bei einer Änderung der Mehrheitsverhältnisse im Parlament die amtierenden Präsidenten der beiden Kammern ihrer Ämter enthoben werden können. Wie zu erwarten war, will die USR nun eine Verfassungsbeschwerde gegen diese Ma‎ßnahme einreichen.



    PNL-Chef Florin Cîţu, der mit 82 Fürstimmen und 25 Gegenstimmen nun auch zum Senatspräsidenten gewählt wurde, hat es ohnehin nicht leicht, denn nicht alle in seiner Partei sind erfreut über die Koalition mit dem bisherigen Erzfeind“ PSD. Ludovic Orban, ehemaliger Parteichef und altgedientes Parteimitglied, ist nach 30 Jahren aus der PNL ausgetreten und hat gleich mehrere Parlamentsabgeordnete mit ins Boot der Abtrünnigen geholt — darunter auch zwei ehemalige Minister. Doch auch die Liberalen, die dem neuen Chef die Treue halten, monieren hinter verschlossenen Türen, dass die PSD bei den Verhandlungen über das neue Kabinett die PNL über den Tisch ziehen würde.



    Indessen sollte das neue Kabinett um den Liberalen und General a. D. Nicolae Ciucă am Donnerstag aufgestellt werden — wenn sich die Verhandlungspartner bis dahin nicht wieder verkrachen. Geplant sind 20 Ministerien und zwei Vize-Ministerpräsidenten. Die Liberalen wollen ihre bisherigen Ministerposten behalten — es handelt sich dabei um das Auswärtige Amt, das Innenministerium, das Bildungsministerium und das Energieressort — und vier weitere Ministerien für sich in Anspruch nehmen. Die Sozialdemokraten beanspruchen neun Ressorts für sich, darunter das Finanzministerium, das Verteidigungsministerium und das Wirtschaftsministerium sowie das Generalsekretariat der Regierung. Dem Ungarnverband UDMR stünden laut bisherigen Verhandlungen dieselben staatlichen Geschäftsbereiche wie bisher zu — das Ministerium für Entwicklung, das Umweltressort und das Sportministerium.



    Das Regierungsprogramm ist am Dienstag im Parlament eingereicht worden, im Text finden sich zuhauf hehre Prinzipien wie Resilienz, Stabilität, Transparenz, soziale Gerechtigkeit und Effizienz. Der designierte Premierminister versicherte ebenfalls, dass man eine Anhebung der Renten, der Sozialausgaben, des Mindestlohns und des Kindergeldes plane. Noch ist allerdings nichts entschieden — nach Donnerstag werden wir alle schlauer sein.

  • 23.11.2021

    23.11.2021

    Coronavirus en Roumanie -La Roumanie a annoncé mardi plus de
    2 700 nouveaux cas de contamination au coronavirus dépistés ces 24 dernières
    heures et 273 décès dont 30 antérieurs à la période de référence. En ce moment
    plus de 11 100 malades de Covid sont hospitalisés, dont presque 1 500 en soins
    intensifs. 10% d’entre eux étaient vaccinés contre le coronavirus. Selon une
    étude réalisée par une compagnie médicale roumaine, suite à la 3e dose
    du vaccin la personne immunisée aura 10 fois plus d’anticorps par rapport aux
    valeurs enregistrée 6 mois après le rappel, d’où une efficacité accrue face aux
    normes sévères de la maladie. L’efficacité de la 3e dose est à
    remarquer chez toutes les tranches d’âge, sans différences majeures, précise
    encore l’étude.

    Gouvernement – A Bucarest, les audiences devant les commissions
    parlementaires spécialisées des futurs ministres du gouvernement de coalition
    de Bucarest auront lieu mercredi. Le vote du Parlement aura lieu jeudi, selon
    la décision des Bureaux permanents des deux chambres du Législatif. Le premier
    ministre désigné, Nicolae Ciuca, a déposé mardi, au Parlement, son programme de
    gouvernance et la liste des ministres qui formeront le nouveau gouvernement de
    coalition entre le PNL, le PSD et l’UDMR.
    Le Parlement devra donner son vote de confiance. La décision survient
    aux consultations de lundi entre le chef de l’Etat, Klaus Iohannis, et les
    partis parlementaires et qui ont débouché sur la désignation du ministre de la
    Défense, Nicolae Ciuca, au poste de premier ministre. Celui-ci est soutenu par
    une majorité politique formée du PNL, PSD, l’UDMR et le groupe des minorités
    nationales.












    Politique – Le leader des libéraux,
    Florin Cîtu, est le nouveau président du
    Sénat roumain. Soutenu par les groupes parlementaires du PNL, du PSD et de
    l’UDMR, Cîtu a remplacé à la tête du Sénat, Anca Dragu, membre de l’USR,
    révoquée antérieurement de ses fonctions sur demande de la majorité
    parlementaire PNL-PSD-UDMR. Mardi encore, le leader
    social-démocrate, Marcel Ciolacu a été élu président de la Chambre des Députés
    de Bucarest. L’autre candidat en lice pour cette fonction était Cristina Pruna,
    de la part de l’USR. Le poste était vacant depuis le 18 octobre dernier, après
    la démission de l’ancien chef de la Chambre basse et ex-chef de file libéral,
    Ludovic Orban, qui avait perdu les élections pour la présidence du PNL. Aux
    termes du règlement, le président de la Chambre des Députés est élu pour toute
    la durée de la législature.


    Moldavie – La République de Moldavie
    jouit du soutien fort et durable de Bucarest qui se consacre au renforcement du
    Partenariat stratégique bilatéral censé permettre l’adhésion européenne de son
    voisin moldave. C’est ce qu’a déclaré à Bucarest, le président roumain, Klaus
    Iohannis, à l’issue d’une entrevue avec son homologue de Chisinau, Maia Sandu.
    La Roumanie compte rester le meilleur ami de la République de Moldavie, a
    ajouté Iohannis. A son tour, la pro-occidentale, Maia Sandu, a salué la
    finalisation des travaux du gazoduc Iasi-Ungheni, devenu opérationnel depuis le
    1 octobre dernier, en pleine crise énergétique. Autres sujets à l’agenda des
    pourparlers : la consolidation des institutions, l’encouragement des
    investissements, les projets d’infrastructure, l’éducation, la justice et la
    sécurité énergétique. Mardi encore, la cheffe de l’Etat moldave a rencontré le
    premier ministre par intérim, Florin Cîtu. Les deux responsables ont participé
    à la signature d’un accord roumano-moldave censé permettre la reconnaissance
    réciproque par les deux pays des diplômes universitaires, des certificats et des titulatures scientifiques.
    Cette première visite en Roumanie après les élections parlementaires
    anticipées du 11 juillet dernier, remportées catégoriquement par le parti
    présidentiel Action et Solidarité (PAS), se déroule dans le contexte des 30
    années écoulées depuis le début des relations diplomatiques bilatérales et
    depuis la proclamation de l’indépendance de la République de Moldavie envers
    Moscou, en 1991.

    Qualité de vie – La Roumanie remonte d’une place au classement mondial de la qualité de vie et du bienêtre social, étant 44e sur les 168 pays examinés. Elle est toutefois en queue de peloton en UE, étant devancée par ses voisins la Hongrie et la Bulgarie. Au niveau mondial, c’est toujours la Norvège qui mène le classement, suivie par la Finlande et le Danemark. A la fin du classement de la qualité de vie, l’on retrouve le Tchad, la République Centrafricaine et le Sudan du Sud.

    Météo- Le ciel demeure variable en
    Roumanie où des pluies éparses tombent sur l’ensemble du territoire. De la
    giboulée et de la neige sont signalées en altitude. Les températures maximales
    iront mercredi de 3 à 10 degrés.


  • Ma mărli evenimenti a stămănăllei ţi tricu 14.11- 20.11.2021

    Ma mărli evenimenti a stămănăllei ţi tricu 14.11- 20.11.2021

    Negocieri politiţi la București


    Dupu aproapea dauă săptâmâni di la ahurhita-a negocierilor PNL-PSD-UDMR, la București s’dimăndă că gioi, România va s’aibă un guvernu băgatu pi ipotisi. Ateali trei partidi politiţi avură ma largu şi aestă stămănă muabeţ mutrinda programul di guvernare și diblocară negocierli. După ţi social dimocraţllii exclusiră ca prezidentulu PNL, Florin Cîţu, s’hibă nominalizat tră un nou mandat di prim-ministru, liberalii apufusiră ca actualu ministru nterimar ali Apărari, Nicolae Ciucă, s’hibă pripus, diznău, premier. Ditu partea a social-dimocraţilor, pripunerea easti liderul a partidului, Marcel Ciolacu. El spusi, am, că nu s-apufusi cari va s’hibă primlu şef a Executivlui, la rotaţia a premierilor, ama că primlu partid cari va s’aibă aestu premier va s’da Ministerlu di Finanţe alăntui partid. Unăoară cu bitisearea-a programlui di guvernare, PNL, PSD şi UDMR va ss’poată să zburască pi structura şi componenţa noului executiv. Actuala criză politică di București alănci după ti Florin Cîţu, cari asiguripseaşti interimar şefia a Guvernului, fu demis, meslu ţi tricu, pritu moţiune di cenzură iniţiată di actualii parteneri di negociere şi votată di USR şi AUR. Dauă tentative nkisiti cama amanatu ti adrari a unui cabinet minoritar nu ndreapsiră ici ţiva.



    Sistemlu sanitar ditu România ahurheaşti s’adille


    Tu kirolu anda văsilii europene raportează numere record di infecții cu năulu coronavirus, iara Europa pari tru praglu di plăscăneari a unei naua dalgă a pandimiillei, tru România, emu cazurli noi di Covid, emu decesele asociati cu viruslu, scădzură și tru aestă săptămână. Lăndzidzărli, ama, armasiră di ordinlu a ñiilor, iar dicesele la aţelu a sutilor. Di aestă itie, scădzu numirlu a persoanelor internate și a aţiloru aflate tru catandisi greaua. Ma multu, sunt locuri elefteri la tearapie intensivă, iu tru kipita aliştei dalgă patru a pandemiillei numata avea niţi unu. Gioi, Institutul Național di Sănătate Publică dimăndă că pisti 89% ditu persoanele cari muriră ditu cauza Covid-19 tru România tru săptămână ditu soni eara nivaccinate. Di itia a apelurloru ună dupu alanti a autoritățlor, România năstricu cu zori, dupu aproapea 11 di meşi di la nkisita-a campaniillei di vaccinare anti-Covid, praglu di 7 miliuñi di persoane vaccinate cu schema completă.


    Alargu di media a statelor UE și di obiectivlu a autorităților ta s’aibă dzaţi miliuñi di români vaccinați până la 1 di yismăciuni! Campania di vaccinare acătă diznău bănaticu tru aesti ditu soni stămăñi și ţănu tu idyea scară tendința și dzălele tricute cându s-apruke di 100 di mii di vaccinări ndzuua. Mulți spun că frixea di lăndzidzari, ama și imposibilitatea ta s’ducă la mall şi restaurant, iu accesul easti permis maş cu certificat veardi, ălli feaţi pi mulţă români s’acaţă calea ti ţentrele di imunizare. Avu contribut la loarea silă allei şi băgarea tru Parlament a unlui nomu cari reglementează ufilisearea a certificatului verdi la locul di lucru pi urnekea a niscăntoru state europene cari ălu băgară cu zori ti niscănti categorii di lucratori I tră tuţ lucrătorlli.


    La Bucureşti, proiectul di nom easti cabaia disputat di partidile politiţi. Acă nu fu aprukeatu la Senat, Camera a Deputațlor easti cameră dicizională, ase că, car ava s’hibă votat tru andamasili aiştei di săptămâna yiniitoare, pe a curi arada di lucru easti, yini deapoa promulgarea și cama nclo publicaria tru Monitorul Oficial. După aesti jgllioati, actul normativ poati s’intră tru practico. Până atuţea, s’mindueasti că să s’facă luñina tru cazul a vaccinărilor fictive. Ma multe persoane, asistente și registratori, rețănuti di Direcţia Naţională Anticorupţie tru cazlu a eliberarillei a ñilli di certificate false di vaccinare tră ndauă sute di euro, fură arestate preventiv.



    Europa, tgăilipsită di rata ñică di vaccinare ditu România


    Aflatu gioi București tră discuții cu prezidentulu și autorități sanitare, comisarul european tră piața internă, Thierry Breton, căndăsi România s’bagă tru lucru certificatul verdi, pe cari multe state îl ufilisescu și feaţi apel la solidaritatea europeană, tră combaterea pandimiillei di COVID-19. Cu șeflu a statlui, Klaus Iohannis, comisarlu zbură, tru amprotusa, ti procesul di vaccinare contra a COVID-19. Prezidentulu pricunuscu că România lipseaşti s’ducă ma largu iruşi campania di vaccinare.


    Tu arada a lui, Thierry Breton deadi asiguripseri că v s’ducă ma largu gaereţli la nivelul Comisiei Europene tru atea ţi mutreaşti combaterea pandemiillei şi cundille ti ufilisearea a tru una turlie uidisita di către statele membre a instrumentelor şi a mecanismelor create tru cadrul Uniunillei. Uiudisitu cu aestu, easti ananghi di curayiu politic tră implementarea a certificatlui veardi. Easti important s’hibă votat certificatul verdi. Da, easti important ca aestu s’hibă ufilisitu, căte ştim că, deadunu cu vaccinarea şi certificatul veardi, avem clleaia tra s’nă asiguripsimu bana şi, tutunăoară, s’himu parte tră aţea ţi easti important tră noi tuţ – comunitatea europeană, spusi Breton. Oficialul avu muabeti și cu autoritățile sanitare di București ti situația găilipsitoari di itia a COVID-19, lugursinda că rata scădzută di vaccinare baga tru piriclliu sănătatea românilor și easti “ună cheadica tru calea redresarille mplina a Româniillei și a Uniunillei Europene tru ansamblu”.



    Ună nauă vizită Bruxelles


    Șeflu a diplomației române, Bogdan Aurescu, lo parti, tru ahurhita aliştei stămână, la Bruxelles, la Reuniunea ministerială a Parteneriatului Estic, deadunu cu omologilli a lui ditu statele membre ale Uniunii şi ditu ateali partenere: Armenia, Azerbaidjan, Georgia, Republica Moldova şi Ucraina. Tru cadrul a discuțiilor, ministrul sumlinie intensificaria angajamentului comun tră un parteneriat ambiţios cari s’ylipsească ananghea di redresare, consolidare a rezilienţei şi di ahănduseari a reformelor tru regiune. Bogdan Aurescu cundille că easti important s’hibă pricunoscute şi andrupăti nădiili europene şi eforturile tru direcţia integrării dipuse di statele asociate. Uidisitu cu MAE, ministrul român cundille tră idintificaria di opţiuni concrete tră intensificaria cooperării sectoriale tru domeniile transportului, energiei, economiei veardi, fisea di anvărliga, comerţului şi investiţiili.



    Autoru: Daniela Budu


    Armânipsearea: Taşcu Lala






  • Retrospectiva săptămânii 14.11 – 20.11.2021

    Retrospectiva săptămânii 14.11 – 20.11.2021

    Negocieri politice la București



    ​La aproape două săptâmâni de la începerea negocierilor PNL-PSD-UDMR, la București se anunță că joi, România va avea un guvern învestit. Cele trei partide politice au continuat și în această săptămână discuţiile privind programul de guvernare și au deblocat negocierile. După ce social democraţii au exclus ca preşedintele PNL, Florin Cîţu, să fie nominalizat pentru un nou mandat de prim-ministru, liberalii au decis ca actualul ministru interimar al Apărării, Nicolae Ciucă, să fie propus, din nou, premier. Din partea social-democraţilor, propunerea este liderul partidului, Marcel Ciolacu. El a spus, însă, că nu s-a stabilit cine va fi primul şef al Executivului, la rotaţia premierilor, dar că primul partid care va avea acest premier va ceda Ministerul de Finanţe celuilalt partid. Odată cu finalizarea programului de guvernare, PNL, PSD şi UDMR vor putea discuta pe structura şi componenţa noului executiv. Actuala criză politică de la București s-a declanșat după ce Florin Cîţu, care asigură interimar şefia Guvernului, a fost demis, luna trecută, prin moţiune de cenzură iniţiată de actualii parteneri de negociere şi votată de USR şi AUR. Două tentative ulterioare de formare a unui cabinet minoritar au eşuat.



    Sistemul sanitar din România începe să respire


    În timp ce țări europene raportează numere record de infecții cu noul coronavirus, iar Europa pare în pragul izbucnirii unui nou val al pandemiei, în România, atât cazurile noi de Covid, cât și decesele asociate virusului, au scăzut și în această săptămână. Îmbolnăvirille au rămas, totuși, la ordinul miilor, iar decesele la cel al sutelor. Drept urmare, a scăzut numărul persoanelor internate și al celor aflate în stare gravă. Mai mult, sunt locuri libere la terapie intensivă, unde în vârful acestui val patru al pandemiei nu se mai găsea niciunul. Joi, Institutul Național de Sănătate Publică a anunțat că peste 89% dintre persoanele care au murit din cauza Covid-19 în România în ultima săptămână erau nevaccinate. În urma apelurilor repetate ale autorităților, România a depășit anevoios, la aproape 11 luni de la debutul campaniei de vaccinare anti-Covid, pragul de 7 milioane de persoane vaccinate cu schema completă.


    Departe de media statelor UE și de obiectivul autorităților de a avea zece milioane de români vaccinați până la 1 septembrie! Campania de vaccinare a prins din nou viață în aceste ultime săptămâni și și-a păstrat tendința și zilele trecute când s-a apropiat de 100 de mii de vaccinări pe zi. Mulți spun că teama de îmbolnăvire, dar și imposibilitatea de a mai merge la mall şi restaurant, unde accesul este permis doar cu certificat verde, i-a determinat pe mulţi români să se îndrepte spre centrele de imunizare. A contribuit la dinamizarea ei şi introducerea în Parlament a unei legi care reglementează folosirea certificatului verde la locul de muncă pe modelul unor state europene care l-au impus deja unor categorii de angajaţi sau chiar tuturor angajaţilor.


    La Bucureşti, proiectul de lege este intens disputat de partidele politice. Deși a fost respins la Senat, Camera Deputaților este cameră decizională, astfel că, dacă va fi votat în ședințele acesteia de săptămâna viitoare, pe a căror ordine de zi se află, urmează promulgarea și apoi publicarea în Monitorul Oficial. După acești pași, actul normativ ar intra în vigoare. Până atunci, se încearcă să se facă lumina în cazul vaccinărilor fictive. Mai multe persoane, asistente și registratori, reținute de Direcţia Naţională Anticorupţie în cazul eliberării a mii de certificate false de vaccinare pentru câteva sute de euro, au fost arestate preventiv.



    Europa, îngrijorată de rata mică de vaccinare din România


    Aflat joi la București pentru discuții cu președintele și autorități sanitare, comisarul european pentru piața internă, Thierry Breton, a îndemnat România să introducă certificatul verde, pe care multe state îl folosesc deja și a făcut apel la solidaritatea europeană, pentru combaterea pandemiei de COVID-19. Cu șeful statului, Klaus Iohannis, comisarul a discutat, în principal, despre procesul de vaccinare împotriva COVID-19. Președintele a recunoscut că România trebuie să continue în mod accelerat campania de vaccinare.


    La rândul său, Thierry Breton a dat asigurări că vor continua eforturile la nivelul Comisiei Europene în ceea ce priveşte combaterea pandemiei şi a pledat pentru utilizarea în mod corespunzător de către statele membre a instrumentelor şi a mecanismelor create în cadrul Uniunii. Potrivit acestuia, este nevoie de curaj politic pentru implementarea certificatului verde. Este important să fie votat certificatul verde. Da, este important ca acesta să fie utilizat, pentru că ştim că, împreună cu vaccinarea şi certificatul verde, avem cheia pentru a ne asigura supravieţuirea şi, de asemenea, să fim parte pentru ceea ce este important pentru noi toţi – comunitatea europeană, a afirmat Breton. Oficialul a discutat și cu autoritățile sanitare de la București despre situația îngrijorătoare generată de COVID-19, apreciind că rata scăzută de vaccinare pune în pericol sănătatea românilor și este “o barieră în calea redresării depline a României și a Uniunii Europene în ansamblu”.



    O nouă vizită la Bruxelles


    Șeful diplomației române, Bogdan Aurescu, a participat, la începutul acestei săptămâni, la Bruxelles, la Reuniunea ministerială a Parteneriatului Estic, alături de omologii săi din statele membre ale Uniunii şi din cele partenere: Armenia, Azerbaidjan, Georgia, Republica Moldova şi Ucraina. În cadrul discuțiilor, ministrul a subliniat intensificarea angajamentului comun pentru un parteneriat ambiţios care să reflecte necesitatea de redresare, consolidare a rezilienţei şi de aprofundare a reformelor în regiune. Bogdan Aurescu a precizat că este important să fie recunoscute şi sprijinite aspiraţiile europene şi eforturile în direcţia integrării depuse de statele asociate. Potrivit MAE, ministrul român a pledat pentru identificarea de opţiuni concrete pentru intensificarea cooperării sectoriale în domeniile transportului, energiei, economiei verzi, mediului înconjurător, comerţului şi investiţiilor.





  • Nachrichten 18.11.2021

    Nachrichten 18.11.2021

    Pandemielage: Nach ca. 45.000 durchgeführten Tests sind in den letzten 24 Stunden in Rumänien 3.076 Neuerkrankungen an Covid-19 und 332 Todesfälle infolge der Infektion gemeldet worden. Laut offiziellen Angaben waren 311 der Patienten, bei denen die Krankheit tödlich verlief, ungeimpft. Auf der Intensivtherapie liegen derzeit 1.600 Patienten. Die Inzidenz der Neuerkrankungen ist generell rückgängig, doch in vielen Gro‎ßstädten und Ballungsräumen liegt sie weiterhin bei über 6 täglichen Neuerkrankungen je 1.000 Einwohner. In der Hauptstadt Bukarest ist die Inzidenz mittlerweile auf unter 5 je 1.000 Einwohner gesunken. In Rumänien sind bislang über 7 Mio. Menschen vollständig gegen das neuartige Coronavirus geimpft.



    Regierungskrise: Die Sozialdemokratische Partei (PSD) und die Nationalliberale Partei (PNL) wollen am Donnerstag die Verhandlungen über die Bildung einer gro‎ßen Koalition unter Beteiligung des Ungarnverbands (UDMR) wiederaufnehmen. Am Mittwoch waren die Koalitionsgespräche aufgrund von Auseinandersetzungen um Personalien abgebrochen worden. Zwar waren sich PSD und PNL einig, den Posten des Ministerpräsideten abwechselnd nach dem Rotationsprinzip zu besetzen, doch weitere Gespräche scheiterten an der Frage, welche der beide Parteien als erste den Premierminister aufstellt. Die PSD, die im Parlament auch die stärkste Fraktion stellt, hat ihren Parteichef Marcel Ciolacu nominiert, der sich zuversichtlich zeigte, dass Rumänien bereits nächste Woche eine neue Regierung haben werde. Die PNL besteht ihrerseits auf den kommisarisch regierenden Premierminister und Liberalenchef Florin Cîţu. Dessen Kabinett war vor mehr als einem Monat durch einen Misstrauensantrag gestürzt worden, dem ein Streit mit dem damaligen Koalitionspartner USR vorangegangen war. Zwei bisherige Versuche, eine parlamentarische Mehrheit für eine neue Regierung zu erzielen, waren gescheitert. Staatspträsident Johannis hat daraufhin verkündet, dass er ein Minderheitskabinett nicht unterstützen werde.



    Moskau: Die Moldaurepublik plädiert nach wie vor für einen Rückzug der russischen Truppen aus dem Osten des Landes. Dies hat der moldauische Au‎ßenminister Nicu Popescu bei einer gemeinsamen Pressekonferenz mit seinem russischen Amtskollegen Sergej Lawrow in Moskau erklärt. Die Anwesenheit der russischen Truppen im Osten der Moldaurepublik verletze das in der Verfassung des Landes verankerte Neutralitätsprinzip, der Rückzug dieser Truppen sei eine Priorität für seine Au‎ßenpolitik, so Popescu. Die russischen Truppen sind in der abtrünnigen Region Transnistrien stationiert, die sich seit dem bewaffneten Konflikt von 1992 der Kontrolle der staatlichen Behörden in Chișinău de facto entzieht. Bereits 1999 hatte der damalige russische Präsident Boris Jelzin beim OSZE-Gipfel in Istanbul versichert, dass Russland seine Truppen aus Transnistrien zurückziehen werde.



    WETTER — Es ist herbstlich trüb und kalt in ganz Rumänien. Im Westen, Norden, in der Landesmitte und im Gebirge werden Regenfälle verzeichnet. Tageshöchstwerte am Donnerstag zwischen 3 und 13 Grad. In Bukarest wurden gegen Mittag 12 Grad Celsius gemessen.

  • Nachrichten 08.11.2021

    Nachrichten 08.11.2021

    In Bukarest hat der Parteirat der PSD beschlossen, Verhandlungen mit der PNL, der UDMR und den Minderheiten aufzunehmen, um eine Regierung zu bilden, teilte der Erste Vizepräsident der Sozialdemokraten Sorin Grindeanu heute mit. Die PNL wird heute auch über die Verhandlungen mit USR und PSD über die Bildung der nächsten Regierung entscheiden. Am Wochenende fanden in beiden Parteien Gespräche statt, und die Sozialdemokraten arbeiteten an einem Regierungsprogramm, das von den Liberalen akzeptiert und in ein gemeinsames Programm aufgenommen werden sollte. Die USR wartet auf die Entscheidung der PNL, ob sie das Bündnis wiederherstellen oder die Verhandlungen mit der PSD fortsetzen will. Wir erinnern daran, dass die Minderheitsregierung aus PNL und UDMR von Florin Cîțu durch einen Misstrauensantrag abgesetzt wurde. Am vergangenen Donnerstag kündigte Präsident Klaus Iohannis an, er werde die Parteien erst dann zu Konsultationen einladen, wenn sich eine parlamentarische Mehrheit herauskristallisiert hat.



    Die rumänische Regierung hat den Alarmzustand ab Dienstag, 9. November, im ganzen Land um 30 Tage verlängert. Alle bisher beschlossenen Maßnahmen bleiben in Kraft, darunter die Maskenpflicht auch im Freien, Zugang zu mehr Aktivitäten auf Basis des grünen Zertifikats und ein kürzeres Programm für Geschäfte. In den letzten 24 Stunden wurden in Rumänien mehr als 4.200 COVID-19-Fälle und 241 Todesfälle gemeldet. Die Situation in den Krankenhäusern verbessert sich jedoch nicht. Inzwischen nimmt das Interesse an Impfungen wieder ab. Weniger als 25.000 Menschen erhielten innerhalb von 24 Stunden die erste Dosis eines COVID-19-Impfstoffs oder die Einzeldosis-Impfung. Dies ist der niedrigste Stand seit drei Wochen. Mehr als eine Million Rumänen haben die Auffrischungsimpfung erhalten, obwohl die Verabreichung erst Ende September begann.



    In Rumänien hat am Montag die Schule wieder mit Präsenzunterricht nur in Bildungseinrichtungen, in denen mindestens 60 % des Personals geimpft sind, begonnen. Von den 3 Millionen Schülern können nur 1,8 Millionen am Unterricht teilnehmen. Die Behörden haben beschlossen, dass die Schulen jeden Freitag ihre Impfraten bekannt geben. Die Schüler waren je nach Schulzyklus eine oder zwei Wochen zu Hause, und das Bildungsministerium hat die Struktur des Schuljahres geändert, um den Stoff nachzuholen, der in dieser Zeit gelernt werden musste. Das Ministerium hat außerdem angekündigt, dass heute mit Schulinspektionen begonnen wird, um die Einhaltung der Gesundheitsvorschriften zu überprüfen, und dass innerhalb von zwei Wochen zweimal wöchentlich nicht-invasive Tests zum Nachweis des Coronavirus an Schüler und Lehrer verteilt werden sollen.



    Die Zahl der an den rumänischen Grenzkontrollstellen registrierten ausländischen Besucher lag in den ersten neun Monaten dieses Jahres bei über 5.100.000 und damit um fast 25 % höher als im gleichen Zeitraum des Vorjahres, wie aus den vom Nationalen Institut für Statistik zentral erfassten Daten hervorgeht. Die meisten ausländischen Besucher kamen aus Ländern in Europa (95,7 %), wobei der größte Anteil auf Besucher aus Bulgarien, der Republik Moldau und der Ukraine entfiel. Andererseits lag die Zahl der Abreisen rumänischer Besucher ins Ausland in den ersten neun Monaten des Jahres 2021 bei fast 8.900.000, was einem Anstieg von etwa 13 % gegenüber dem gleichen Zeitraum im Jahr 2020 entspricht. Der Straßenverkehr wurde von ausländischen Besuchern am häufigsten für Reisen nach Rumänien genutzt und wird von Rumänen, die ins Ausland reisen, weiterhin bevorzugt.

  • La semaine du 1er au 5 novembre 2021

    La semaine du 1er au 5 novembre 2021

    Négociations pour la nomination d’un nouveau premier ministre à Bucarest


    Le président roumain, Klaus Iohannis, a annoncé jeudi qu’il ne convoquerait pas les partis à des consultations en vue de la nomination d’un nouveau premier ministre tant qu’une majorité ne serait pas atteinte, à même de proposer un gouvernement. Il s’agit de la première intervention du chef de l’Etat depuis que le général à la retraite Nicolae Ciucă a déposé son mandat de Premier ministre désigné. Il n’a pas réussi à obtenir de soutien au Parlement pour un cabinet minoritaire PNL-UDMR qui aurait dû demander le vote d’investiture mercredi à l’Assemblée législative réunie en séance plénière. Jeudi également, des discussions ont eu lieu entre les équipes de négociation du PNL et du PSD pour former un gouvernement soutenu par une majorité solide au Parlement. Une première rencontre avec les sociaux-démocrates, qualifiée de bonne par le président du PNL, le premier ministre par intérim Florin Cîţu. Il a déclaré que les discussions avaient porté sur des projets et sur l’identification de solutions urgentes pour les crises actuelles, la crise politique comprise. Florin Cîţu a déclaré qu’aucun portefeuille n’avait été négocié, mais qu’une variante pour le poste de premier ministre avait été évoquée. Pour sa part, le président du PSD, Marcel Ciolacu, a affirmé que le PSD maintenait sa décision de présenter une proposition de Premier ministre aux consultations avec le président Klaus Iohannis. Il a également annoncé que les sociaux-démocrates travailleraient, avec les spécialistes du parti, sur leur propre programme de gouvernance qui serait mis en corrélation avec celui des libéraux. Mercredi, une réunion a eu lieu entre les dirigeants du PNL et de l’USR. Le chef de file des libéraux, Florin Cîţu, et le président de l’USR, Dacian Cioloş, ont déclaré qu’ils s’étaient mis d’accord sur des principes, dont de proposer un premier ministre libéral. Le leader des libéraux, Florin Cîţu, soutient qu’il y a de fortes chances de refaire la coalition de droite. Dacian Cioloş a souligné que l’USR attendait des libéraux qu’ils décident très clairement s’ils veulent négocier la reconstruction de la coalition ou un gouvernement avec le PSD. L’UDMR présentera aussi une proposition de premier ministre aux consultations avec le chef de l’Etat, a annoncé le leader de l’Union, Kelemen Hunor. À son avis, il n’est pas déplacé que la formation la plus petite, mais la plus stable, avance une proposition de premier ministre.



    COVID en Roumanie — état des lieux


    Bien que cette semaine les cas de COVID-19 aient diminué en Roumanie pour atteindre moins de 9 000 jeudi, il y a eu un nouveau record de patients en soins intensifs — plus de 1 900. Un autre bilan négatif, celui des décès associés au nouveau coronavirus, avait été annoncé mardi – près de 600, des personnes non vaccinées pour la plupart. Par ailleurs, le coordinateur de la campagne de vaccination, Valeriu Gheorghiță, estime que le nombre de décès continuera d’être élevé au cours de la période à venir, car il existe un écart de deux semaines entre la diminution du nombre de personnes infectées par le COVID-19 et la baisse du nombre de personnes qui en meurent. Le médecin a précisé qu’en Roumanie, il meurt plus de personnes que dans d’autres pays européens, où le taux d’immunisation est élevé. L’Organisation mondiale de la santé s’inquiète de la dégradation de la situation sanitaire en Europe, où le nombre de nouvelles infections au Covid-19 signalées quotidiennement augmente plus que dans d’autres régions du monde. Selon les données officielles au niveau européen, la Roumanie est 3e dans un classement tragique des décès enregistrés la semaine dernière. L’aide sanitaire extérieure continue d’arriver en Roumanie. Mardi, dix concentrateurs d’oxygène ont été reçus de la part d’Israël, les premiers d’une série de 40. Par ailleurs, des patients infectés au SARS-CoV-2, dans un état critique, ont été transférés vers des établissements médicaux d’Allemagne pour y être soignés. Pendant ce temps, les données officielles indiquent qu’après une brève période de revirement, l’intérêt des Roumains pour la vaccination a de nouveau diminué. Actuellement, seulement 36,5 % de la population du pays est entièrement vaccinée.



    Le président roumain, Klaus Iohannis, au sommet de Glasgow sur le climat


    La Roumanie sera le premier pays au monde où les États-Unis déploieront la technologie des petits réacteurs nucléaires modulaires. Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, et le représentant spécial du président américain pour le climat, John Kerry, ont établi mardi, lors du sommet sur le climat qui s’est tenu à Glasgow, en Écosse, que d’ici 2028, la Roumanie inclurait ce type de réacteur dans le système national de production d’énergie. Un communiqué de la Maison Blanche fait état du fait que cette collaboration conduira à la création de jusqu’à 30 000 emplois dans les deux pays. Klaus Iohannis a expliqué que ce type de collaboration élargie avec les États-Unis, c’est-à-dire le développement de technologies, la production, les services de soutien à l’exploitation, devait être élargie à d’autres domaines, notamment les énergies renouvelables et la mobilité verte. À Glasgow, plus de 40 États ont convenu de réduire progressivement leur dépendance au charbon, l’un des plus grands polluants. Toutefois, pami eux, on ne compte pas d’économies fortes comme celles de la Chine, des États-Unis ou de l’Australie. Les pays signataires s’engagent à ne plus avoir de centrales au charbon en service d’ici la fin des années 2030. Les pays pauvres signataires doivent abandonner le charbon une décennie plus tard.



    La BERD a amélioré ses estimations concernant l’évolution économique de la Roumanie en 2021


    La Banque européenne pour la reconstruction et le développement a considérablement amélioré ses estimations relatives à l’évolution économique de la Roumanie en 2021. L’institution avertit toutefois, dans son rapport publié jeudi, que l’évolution de la pandémie et les prix élevés du gaz, du pétrole et d’autres produits de base pourraient affecter cette reprise. La croissance prévue de l’économie roumaine est maintenant supérieure à 7 %, contre une avancée de 6 % prévue en juin dernier. Pour 2022, les fonds européens alloués par le Programme national de relance et de résilience devraient engendrer une hausse des investissements et une amélioration des exportations. Avec la consolidation fiscale prévue et le ralentissement de la consommation privée, cela pourrait se traduire par une croissance du Produit intérieur brut supérieure à 4 %.


    (Trad. : Ligia)

  • Regierungskrise in Bukarest: Kommt es zu Neuauflage der Großen Koalition PSD-PNL?

    Regierungskrise in Bukarest: Kommt es zu Neuauflage der Großen Koalition PSD-PNL?

    Die Karten werden nun neu aufgemischt, nachdem der designierte Premierminister Nicolae Ciucă (PNL) mit seinem Auftrag vom Staatspräsidenten Klaus Johannis, ein neues Kabinett zu bilden, gescheitert ist. Ciucă legte mit Zustimmung seiner Partei das Mandat nieder, nachdem er im Parlament keine Unterstützung für eine Minderheitsregierung der PNL und des Ungarnverbands UDMR finden konnte.



    Nun liegt der Ball wieder beim Staatspräsidenten Johannis, der laut Verfassung eine neue Konsultationsrunde mit allen parlamentarischen Parteien veranlassen muss, um einen neuen potentiellen Premierminister zu finden. Florin Cîțu, PNL-Chef und interimistischer Premierminister, spricht inzwischen von einer Flexibilisierung der Position seiner Partei und sagte, die Liberalen seien für Verhandlungen mit allen demokratischen Kräften im Parlament offen, um eine mehrheitsfähige Regierung aufstellen zu können.



    Der inzwischen zurückgetretene Nicolae Ciucă (54) ist auch Reservegeneral der rumänischen Streitkräfte mit einer beachtlichen militärischen Karriere. Hätte er die notwendige politische Unterstützung gefunden, wäre er der erste hochrangige Offizier gewesen, der eine rumänische Regierung der Nachwendezeit geführt hätte. Viele fragen sich nun, warum der Staatspräsident einen Staatsbürger in Uniform zum Premierminister designiert hatte, wenn doch absehbar war, dass er keinen Rückhalt vom politischen Establishment bekommen würde. Manche Beobachter sind der Auffassung, der Präsident habe sich nach einer unlängst durchgeführten Umfrage gerichtet, laut der die Streitkräfte und die Kirche immer noch weit vorne in der Vertrauensgunst der Rumänen rangieren. 87% der Befragten sagten, sie würden der Armee gro‎ßes Vertrauen schenken, 70% halten die Kirche für vertrauenswürdig und 67% setzen auf den Nachrichtendienst und die Rumänische Akademie. Derselben Studie zufolge erachten 40% der Befragten die Korruption und die Inkompetenz der politischen Klasse als die schwerwiegendste Bedrohung für Rumänien.



    Die Medien spekulieren nun, dass eine gro‎ße Koalition der PSD und der PNL immer plausibler wird, zumal sie auch eine komfortable Mehrheit im Parlament hätte. Bei den Wahlen vom Dezember 2020 hatten die Sozialdemokraten 157 Mandate im Senat und in der Abgeordnetenkammer errungen, die Liberalen 134 Mandate, die USR 80, die nationalistische AUR 47 und das Parteienbündnis der ungarischen Minderheit UDMR hat 30 Volksvertreter ins Parlament geschickt. Zwar haben 15 liberale Abgeordnete, die dem abgewählten PNL-Chef Ludovic Orban die Treue halten, die parlamentarische Fraktion ihrer Partei verlassen, doch auch so kämen PSD und PNL zusammen auf eine mehr als bequeme Mehrheit. Die beiden Parteien hatten zuletzt nach den Wahlen von 2012 koaliert, die Sozial-Liberale Union, wie die Koalition damals genannt wurde, regierte mit einer Zweidrittel-Mehrheit.



    Die derzeitige Regierungskrise kommt nicht von ungefähr — sie ist Ausdruck einer chronischen Instabilität des Politikbetriebs in Bukarest. Seit dem Beitritt Rumäniens zur EU am 1. Januar 2007 hat Rumänien zehn Premierminister unterschiedlicher politischer Orientierung gehabt; ihre Amtszeit war mal länger, mal kürzer, sie hatten jedoch die Legitimität vorausgegangener Wahlen und genossen zumindest zeitweilig die Unterstützung des jeweiligen Parlaments. Hinzu kommen fünf kommissarisch regierende Ministerpräsidenten, die nach dem Rücktritt bzw. der Absetzung der jeweiligen Regierungschefs zum Zuge kamen.



    Das politische Establishment hat auf jeden Fall sein Vertrauen bei den Bürgern verspielt — seit Jahren liegen Parlament und politische Parteien mit nur 10% weit unten auf der Vertrauensskala der Rumänen. Und auch Staatspräsident Johannis genie‎ßt Vertrauen bei nur noch 14% der Wähler, so die Ergebnisse einer weiteren Umfrage, die von der PSD in Auftrag gegeben worden war. Seine politische Gegner werfen ihn vor, dass er seine von der Verfassung vorgeschriebene Rolle des Vermittlers nicht wahrnehme und eher ein Teil des Problems als eine Lösung sei. Grund genug für die nationalistische Allianz für die Einheit der Rumänen (AUR), gleich mitzumischen — die Partei kündigte an, ein Verfahren für die Amtsenthebung des Präsidenten einleiten zu wollen.

  • Nachrichten 02.11.2021

    Nachrichten 02.11.2021

    Rumänien hat am Dienstag einen neuen Rekord von Todesfällen bei mit COVID-19 infizierten Patienten registriert, der binnen 24 Stunden gemeldet wurde – 586, zu denen fünf ältere Fälle hinzukommen. Im gleichen Zeitraum wurden 11.073 Neuinfektionen gemeldet. Nach Angaben der Gruppe für Strategische Kommunikation wurden in Rumänien seit Ausbruch der Pandemie 1.666.097 Fälle von mit dem neuen Coronavirus infizierten Personen bestätigt. 1.429.157 Patienten wurden für geheilt erklärt. Insgesamt starben in Rumänien 48.664 Menschen, bei denen COVID-19 diagnostiziert wurde. Auch im benachbarten Bulgarien wurde am Dienstag ein neuer Schwarzrekord aufgestellt. Bei einer Bevölkerung, die fast dreimal kleiner ist als die Rumäniens, gab es innerhalb von 24 Stunden 310 Todesfälle. Laut dem Korrespondenten von Radio Romania in Sofia waren 94 % der Toten nicht gegen COVID-19 geimpft. Bulgarien und Rumänien haben seit Sommer die niedrigste Durchimpfungsrate gegen das neue Coronavirus unter allen 27 EU-Mitgliedstaaten – nach einer Berechnung internationaler Nachrichtenagenturen auf Basis von Daten nationaler Behörden.



    Mehr als 100 Länder auf der ganzen Welt haben sich am Dienstag verpflichtet, die Entwaldung bis 2030 zu stoppen, um die globale Erwärmung einzudämmen. Auf der sogenannten COP26 im schottischen Glasgow, dem UN-Gipfel zur Bekämpfung des Klimawandels, haben die Staats- und Regierungschefs versprochen, Wälder zu schützen, die als Lunge des Planeten gelten, weil sie einen Großteil der Milliarden Tonnen neutralisieren von Treibhausgasen, die durch menschliche Aktivitäten in die Atmosphäre freigesetzt werden. Ebenfalls am Dienstag haben sich 80 der teilnehmenden Staaten verpflichtet, die Methanemissionen, eines der Treibhausgase, im nächsten Jahrzehnt um 30 % zu reduzieren. Der auf dem Gipfel von Glasgow anwesende Präsident Klaus Iohannis sagte, Rumänien habe seine Treibhausgasemissionen zwischen 1989 und 2019 um 64 % reduziert. 40 % des in Rumänien produzierten Stroms stammen aus erneuerbaren Quellen – sagte das Staatsoberhaupt .



    In Bukarest hat der designierte Ministerpräsident, der liberale Nicolae Ciuca, ein General der Reserve, am Dienstag sein Mandat abgegeben, nachdem er bei dem Versuch gescheitert war, die parlamentarische Unterstützung für eine Minderheitsregierung aus PNL und UDMR zu erhalten. Die liberale Führung beschließt, ebenfalls am Dienstag, ein neues Verhandlungsmandat, das die Bildung einer Mehrheit ermöglichen würde. Der Vorsitzende der PNL, Interimspremierminister Florin Cîţu, erklärte gestern, dass die Partei mit allen demokratischen Kräften im Parlament verhandeln werde. Außerdem entscheiden die Liberalen am Dienstag, wer für das Amt des Ministerpräsidenten nominiert wird. Die USR, der frühere Partner von PNL und UDMR, kündigte ihre Bereitschaft an, die Rechtskoalition, die sie im September aufgrund des Konflikts mit Ministerpräsident Florin Citu verlassen hatte, wiederherzustellen. Andererseits gibt es in der PSD Stimmen, die sagen, dass die Partei an die Macht kommen sollte. Die von Florin Citu geführte Minderheitsregierung aus PNL und UDMR wurde durch einen Misstrauensantrag abgesetzt. Nicolae Ciuca ist nach dem USR-Vorsitzenden Dacian Ciolos, der das Vertrauen der Legislative nicht gewinnen konnte, die zweite Nominierung des Präsidenten für das Amt des Ministerpräsidenten. Andererseits hat der Sozialdemokrat Sorin Grindeanu am Dienstag den Interimsvorsitz der Abgeordnetenkammer übernommen und den Liberalen Florin Roman abgelöst. Der frühere Vorsitzende der Liberalen, Ludovic Orban, war nach der Niederlage bei der Wahl zum Parteivorsitzenden zurückgetreten, und das Ständige Präsidium hatte vor zwei Wochen beschlossen, dass Florin Roman die Interimsleitung der Institution übernehmen sollte. Später trat Ludovic Orban auch aus der PNL-Fraktion zurück.



    Fast 1.000 rumänische und ausländische Soldaten mit etwa 100 technischen Land-, Luft- und Seekräften nehmen bis zum 12. November gemeinsam an Stützpunkten in Rumänien an der Übung Junction Strike 21 teil. Den Anfang machte die 164. Seestreitkräfte-Division in Mangalia (Südosten), wo rumänische und portugiesische Soldaten auf der Grundlage eines fiktiven Szenarios im Zusammenhang mit dem hybriden Krieg trainierten. An der Übung nehmen auch Soldaten von Spezialeinheiten aus Georgien, Griechenland, Großbritannien, der Republik Moldau, Polen und den USA teil. Am Montag fand auf dem 57. Luftwaffenstützpunkt Mihail Kogălniceanu (Südosten) eine Demonstrationsübung der verstärkten Luftpolizei des rumänischen und kanadischen Militärs statt. Die von der NATO geführte verstärkte Luftpolizei ist eine kollektive Verteidigungsmission in Friedenszeiten, die die Integrität des Luftraums des Bündnisses schützt, indem sie Flugzeuge abfängt, die aus verschiedenen Gründen unerlaubt in das nationale Hoheitsgebiet eindringen.

  • 30.10.2021

    30.10.2021

    Politique – Le premier ministre roumain désigné et général en réserve Nicolae Ciucă a déposé au Parlement son programme de gouvernance et la liste des ministres validée hier par le Parti national libéral. Le vote de confiance est prévu la semaine prochaine. D’après M. Ciucă, malgré le fait que son cabinet composé de ministres libéraux et de l’Union démocrate magyare de Roumanie a peu de chances d’être voté, des négociations sont en cours avec chaque parlementaire et elles se poursuivront jusqu’au dernier moment. De son côté, le premier ministre par intérim et leader du Parti national libéral, Florin Cîţu, se dit sûr que le nouveau cabinet recevra le nombre de voix nécessaires à l’investiture. A l’opposé, Kelemen Hunor, le président de l’Union démocrate magyare, le parti partenaire des libéraux, trouve que ce gouvernement minoritaire n’a aucune chance d’être voté et plaide pour refaire la coallition avec l’Union sauvez la Roumanie. Le libéral Nicolae Ciucă, ancien ministre de la Défense, est le deuxième premier ministre désigné pour constituer un gouvernement, après la tentative échouée du leader de l’Union Sauvez la Roumanie, Dacian Cioloş.

    Heure d’hiver – La Roumanie change d’heure ce weekend – dans la nuit de samedi 30 à dimanche 31 octobre, le pays passe à l’heure d’hiver. Les montres seront reculées d’une heure, 4h devenant 3h. Ainsi, le 31 octobre sera le jour le plus long de l’année, avec 25 heures. Pendant l’heure d’hiver, la différence entre l’heure officielle de la Roumanie et le Temps Universel est de deux heures. L’introduction de l’heure d’été a été adoptée par les pays d’Europe au siècle dernier, pour économiser de l’énergie, surtout pendant les deux guerres mondiales ou durant les chocs pétroliers des années 1970. Toutefois, les médecins sont d’avis que le changement d’heure a un impact sur le corps, surtout sur les personnes âgées et les enfants. Il faudrait pas moins de deux semaines pour qu’une personne s’adapte à la nouvelle heure. Cette année pourrait bien être la dernière où les pays européens changent d’heure – le Parlement européen a voté dès 2019 l’arrêt du passage vers l’heure d’été. Mais avec la pandémie de Covid-19, les Etats membres ne se sont toujours pas mis d’accord sur la fin du dispositif. La Roumanie n’a pas pris de décision officielle à ce sujet.

    Coronavirus – Samedi, la Roumanie a rapporté 12 000 nouveaux cas de contamination au coronavirus et 413 décès des suites de l’infection. Une équipe médicale allemande se trouve en ce moment dans le pays pour évaluer les malades de Covid-19 qui pourraient être transférés afin d’être soignés en Allemagne. Lundi prochain, un aéronef sera affrété par les forces aériennes allemandes pour transférer les patients roumains. La Roumanie devrait aussi recevoir, en début de semaine prochaine, 10 000 doses d’anticorps monoclonaux, contractées par la Commission européenne auprès du producteur, a annoncé le secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Santé Andrei Baciu.

    Handball – L’équipe championne de Roumanie de handball féminin, CSM Bucarest, rencontre ce soir, à domicile, les Françaises de Brest Bretagne Handball, dans un match du groupe A de la Ligue des champions. Ca sera le quatrième match que les sportives roumaines jouent sans spectateurs, en raison des mesures anti-Covid-19 en vigueur en Roumanie. Il y a une semaine, CSM Bucarest a gagné 30 à 22 devant Budućnost Podgorica de Monténégro. Les handballeuses roumaines occupent la quatrième place du groupe, avec 6 points, après Rostov-Don de Russie (8 points), FTC Budapest de Hongrie (8 points) et Team Esbjerg de Danemark (7 points).

    Tennis – La joueuse roumaine de tennis Simona Halep joue aujourd’hui dans les demi-finales du Transylvania Open, qui se déroule à Cluj, dans le nord-ouest de la Roumanie. Elle affrontera Marta Kostiuk d’Ukraine, qui a remporté une nette victoire, 6-2, 6-1, contre Emma Răducanu, la jeune Britannique d’origine roumaine qui avait récemment remporté l’US Open. Sur le tableau de double dames, le duo roumain Irina Begu – Andreea Mitu affrontera Irina Bara de Roumanie et Ekaterina Gorgodze de Géorgie.

    Météo – En Roumanie, le temps est généralement beau pour cette période de l’année, avec un ciel dégagé sur la plupart du pays. Les températures en légère baisse par rapport aux jours précédents, avec des maximales qui iront aujourd’hui de 12 à 19°C. 10° et ciel couvert à midi à Bucarest.