Tag: grippe

  • La grippe saisonnière, de retour en Roumanie

    La grippe saisonnière, de retour en Roumanie

    Voilà plus de deux ans, depuis l’apparition du premier
    cas de covid en Roumanie, que beaucoup ont constaté la disparition des termes « rhume »,
    virose, ou grippe, du discours public. Toute notre attention s’est concentrée,
    tout au long de cette période, sur un seul phénomène : celui du virus
    Sars-Cov-2.


    La dernière épidémie de grippe saisonnière en Roumanie
    date de février 2020, juste avant le début de la pandémie. Or, après cette
    funeste parenthèse de deux ans, ces maladies de notre quotidien d’autrefois
    reviennent sur le devant de la scène avec un nombre croissant de malades. Les
    désormais célèbres « chiffres du covid » ont été remplacés par une
    avalanche de cas de « viroses ». Les hôpitaux sont débordés et les
    chambres prévues pour les gardes de nuits sont remplies de malades fiévreux,
    toussant et frissonnant.


    Le virus du Sars-CoV-2
    cohabite désormais avec tous les autres virus, expliquent les médecins. Comment
    faire la différence ? Cătălin Apostolescu, médecin au sein de l’Hôpital
    des maladies infectieuses « Matei Balş » de Bucarest nous explique :






    « Toutes les maladies provoquées par un
    virus sont nommées « viroses ». Certaines ont toutefois des
    particularités permettant de les reconnaitre. Nous connaissons déjà le Sars-CoV.
    Il y a aussi la grippe, qui peut parfois prendre des formes plus graves voire
    mortelles, les infections par le virus respiratoire syncytial qui peut prendre
    des formes particulièrement graves chez les enfants, et enfin tous les autres
    virus de la coqueluche, comme le rhinovirus ou le coronavirus indigène, comme
    nous l’appelons. Nous avons souvent à faire à des patients très vulnérables
    appartenant à des tranches d’âges plus extrêmes je dirais, c’est-à-dire très
    jeunes, très âgés ou atteints d’une maladie chronique qui peut les fragiliser
    encore davantage face au virus. Par exemple les patients ayant des maladies
    cardiaques, respiratoires, du diabète ou encore des maladies
    auto-immunes. »





    Que faire
    face à ses virus dont la capacité de nuisance est renforcée par des
    températures actuellement largement supérieures aux normales
    saisonnières ? Les autorités ont communiqué une liste de recommandations
    encourageant la population à éviter les lieux bondés ou à porter un masque dans
    les espaces couverts, à aérer les pièces, à conserver une bonne hygiène, à
    rester chez soi en cas d’infection respiratoire et à consulter un médecin
    généraliste dès les premiers symptômes. Dans les hôpitaux, le gouvernement recommande
    cette fois de quotidiennement trier les patients, de limiter les visites et
    d’encourager le port du masque et des blouses de protection pour toute personne
    entrant en contact avec un patient.


    « Nous ne souhaitons pas imposer des restrictions,
    nous voulons travailler main dans la main avec la population, afin de maintenir
    sous contrôle ce phénomène naturel et saisonnier qu’est la grippe.
    » a
    déclaré le ministre de la Santé, Alexandru Rafila:




    « Nous préférons émettre des
    recommandations plutôt que d’imposer des restrictions. Et vous savez
    pertinemment que notre expérience avec la pandémie a démontré que nous avions
    raison – les choses se sont bien mieux déroulées quand nous avons fait des
    recommandations. Les gens ont beaucoup mieux réagis que pendant la période où
    nous avions tenté d’imposer des restrictions qui ont provoqué de fortes
    tensions au sein de la société. Nous préférons travailler main dans la main
    avec nos concitoyens, plutôt que de générer des tensions, surtout dans le
    contexte économique actuel qui reste compliqué.
    »




    Les élèves ayant repris le chemin de l’école le 9
    janvier, la ministre de l’Education Ligia Deca a précisé à son tour qu’elle
    n’encourageait pas les élèves à rester chez eux. Personne ne souhaite revivre
    l’expérience de la suspension des cours ou l’organisation d’horaires partiels
    en ligne vécue pendant la pandémie. Ligia Deca s’exprime:




    « Nous n’encourageons en aucun cas les
    élèves à ne pas se rendre en cours. Nous considérons qu’après deux ans de
    pandémie, il est primordial que les élèves conservent un rythme avec un taux de
    présence élevé en cours. Pour nous, comme nous l’avons discuté avec monsieur le
    ministre de la Santé, l’accent doit être mis sur la prévention. Il existe une
    série de recommandations. Par exemple, vérifier quotidiennement que personne
    dans sa famille n’a de symptôme, et rester chez soi si tel est le cas. La même
    vérification doit être faite chaque jour lorsque les enfants arrivent à
    l’école. Il est normal qu’en cas de symptômes les parents ou représentants légaux
    soient informés. De même, nous recommandons – et ce n’est pas obligatoire – le
    port du masque pour les élèves et enseignants. Nous souhaitons que tous les
    enfants aient accès à l’enseignement, et, dans le cas où ils présenteraient des
    symptômes, nous les encourageons à rester chez eux et à récupérer les cours
    ensuite.
    »

    De quoi
    2023 sera-t-elle faite pour les Roumains ? D’un retour à la normale ou
    d’un nouvel épisode pandémique comme celui de février 2020 ? Nul ne le
    sait.


    Une chose est certaine. La Roumanie a toujours connu des
    épisodes de grippe saisonnière, même avant la pandémie. La seule différence
    réside dans le fait que le pic s’observait généralement en février. Cette année, les choses se sont
    accélérées et les cas d’infections se sont surtout multipliés au mois de
    janvier. Cette situation
    particulière est aussi imputable à la pandémie, durant laquelle la circulation
    des virus a été plus réduite en raison des mesures de restriction draconiennes imposées
    par les gouvernements, mais aussi parce que, pour la même raison, la population
    a une plus faible immunité.


    En d’autres termes, conclut le ministère de
    la Santé, la situation actuelle n’est ni inhabituelle ni dramatique.


    (Trad : Charlotte Fromenteaud)



  • Atemwegserkrankungen:  Höhepunkt der Epidemie um den 10. Februar erwartet

    Atemwegserkrankungen: Höhepunkt der Epidemie um den 10. Februar erwartet





    Rumänien befindet sich in einem epidemiologischen Alarmzustand, da es mit einer besorgniserregend hohen Anzahl von Atemwegsinfektionen konfrontiert ist. Gesundheitsminister Alexandru Rafila hat unlängst erklärt, dass er keine Epidemie ausrufen wolle, weil dies die Wiedereinführung von bestimmten Einschränkungen im öffentlichen Leben“ bedeuten würde, wie sie während der Coronavirus-Pandemie galten. Nach Angaben des Ministers war die Woche vom 26. Dezember bis zum 1. Januar die dritte Epidemiewoche. Die Zahl der Grippe-, Erkältungs- und Lungenentzündungsfälle nimmt zu, so dass immer mehr Erwachsene und Kinder mit Symptomen in die Notaufnahmen der Krankenhäuser kommen.



    Ab dieser Woche könnte die Welle der Atemwegsinfektionen ihren Höhepunkt erreichen, da sich diese Fälle rasch vermehren. Experten gehen davon aus, dass die meisten Erkrankungen bis zum 10. Februar gemeldet werden und dann abklingen könnten. Die neuesten Daten des Gesundheitsministeriums zeigen, dass in der ersten Woche dieses Jahres mehr als 100 000 Atemwegsinfektionen — Erkältungen, Grippe und Lungenentzündungen — von Ärzten festgestellt wurden. Die Zahl ist deutlich höher als jene des Vorjahres und fast doppelt so hoch wie vor der Pandemie. In den letzten Tagen wurden auch mehrere Fälle von Mehrfachinfektionen mit Influenza- und Coronaviren bestätigt, und Ärzte sagen, dass das Risiko von lebensgefährlichen Komplikationen in solchen Fällen höher sei als bei einer reinen Grippeerkrankung.



    Fachmediziner sagen jedoch, dass die Wahrscheinlichkeit einer Mehrfachinfektion recht gering sei. Ihrer Ansicht nach sollte das Hauptaugenmerk darauf liegen, die Übertragung von Viren im Allgemeinen zu begrenzen, auch von saisonalen Viren, die als weniger gefährlich gelten. Ärzte und Behörden weisen darauf hin, dass die während der Pandemie ergriffenen Schutzma‎ßnahmen die Übertragung von Atemwegsviren wirksam eindämmen; daher sei es für die Bevölkerung ratsam, an belebten Orten wieder Masken zu tragen, wenn sich das Aufsuchen solcher Orte nicht vermeiden lässt, und eine strenge Hygiene der Hände einzuhalten.



    Auch der Nationale Verband für Familienmedizin rät der Bevölkerung, im Krankheitsfall einen Arzt aufzusuchen und die Selbstmedikation zu vermeiden. Der Fachverband weist darauf hin, dass antivirale Medikamente nur auf ärztliche Verschreibung erhältlich sind und dass die Behandlung einer Krankheit auf den in einem Medikament enthaltenen Wirkstoffen und der Dosierung und nicht auf der handelsüblichen Bezeichnung einer Arznei beruht“. Die Ärzte warnen, dass die Behandlung einer Erkrankung nicht allgemeingültig“ ist, sondern auf jeden einzelnen Patienten je nach Alter, Virustyp und Begleiterkrankungen zugeschnitten werden muss. Nur die Einhaltung dieser Grundsätze könne zu einer schnellen Heilung und Genesung führen und helfen, Komplikationen zu vermeiden, so die Fachärzte für Familienmedizin.

  • Nachrichten 15.01.2023

    Nachrichten 15.01.2023

    Bukarest: Am 15. Januar begeht Rumänien den nationalen Kulturtag. Aus diesem Anla‎ß zeichnete Präsident Klaus Iohannis am Freitag Künstler, Persönlichkeiten und wichtige Kultureinrichtungen aus. Die Auszeichnungen wurden als Zeichen der Anerkennung für die geleistete Arbeit und den gro‎ßen Einfluss auf den kulturellen Raum im Land und im Ausland verliehen. In den letzten zwei Jahrhunderten haben die kulturellen Eliten die rumänische Gesellschaft dazu inspiriert, den Weg der westlichen Modernisierung und Demokratisierung zu beschreiten – so Präsident Klaus Iohannis, der hinzufügte, dass die Rumänen stolz auf Persönlichkeiten sind, deren Werke das nationale und universelle Erbe bereichert haben. Premier Nicolae Ciucă erklärte seinerseits, der 15. Januar sei ein wichtiger Tag nicht nur für die Rumänen, sondern für alle Menschen, die die rumänische Kultur lieben. Eine Reihe von Museen im Land hatten am Wochenende freien Eintritt und verlängerte Öffnungszeiten.



    Bukarest: Der griechische Minister für Migration und Asyl Notis Mitarachi wird nächste Woche Bukarest und Sofia besuchen, um den Schengen-Beitritt der beiden Länder zu unterstützen. Er sagte, Athen habe diese Entscheidung getroffen, weil die Erweiterung des Schengen-Raums durch den Beitritt Rumäniens und Bulgariens für Griechenland von unmittelbarem Nutzen sein werde, da sein Land auf dem Landweg mit anderen EU-Mitgliedstaaten verbunden sein werde. Gleichzeitig behauptet Griechenland, dass die Erweiterung des Schengen-Raums die Wirtschaft ankurbeln soll. Mitarachi plant ebenfalls Gespräche mit der schwedischen EU-Ratspräsidentschaft und der Europäischen Kommission zu diesem Thema. Der kroatische Antrag auf Schengen-Beitritt wurde am 8. Dezember letzten Jahres vom Rat für Justiz und Inneres in Brüssel angenommen, während Österreich und die Niederlande sich gegen die Abschaffung von Kontrollen an den Grenzen zu Rumänien und Bulgarien ausgesprochen haben.



    Bukarest: Die Zahl der Atemwegsinfektionen nimmt in Rumänien zu. Mindestens 15 Menschen sind bisher an Grippe gestorben und die Zahl der Grippeinfektionen ist nach Angaben des Instituts für öffentliche Gesundheit allein in einer Woche um 40 % gestiegen. Seit Beginn der Erkältungssaison wurden auch etwa 15 Fälle von Florona, einer Doppelinfektion mit Grippe und Covid, gemeldet. Die Experten sagen für die nächsten Monaten einen Rückgang der Infektionszahlen vorher. Da Kinder und ältere Menschen am stärksten gefährdet sind, wurden im ganzen Land pädiatrische Hilfszentren eingerichtet. Das Tragen von Gesichtsmasken in Krankenhäusern und überfüllten Gebieten wird dringend empfohlen.



    Kiew: Nach der Serie von Raketenangriffen der russischen Streitkräfte am Samstag hat Kiew die Angriffe auf Zivilisten scharf verurteilt und erneut den “russischen Terror” angeprangert. Bei einem Luftangriff auf einen Wohnblock in der östlichen Stadt Dnepr wurden Dutzende Menschen getötet und verletzt. Auch andere Städte wie Kiew, Charkow und Odessa wurden am Samstag bombardiert. Der ukrainische Energieminister erklärte, in den kommenden Tagen soll die Energieversorgung erneut beeinträchtigt werden, nachdem russische Raketen die Energieinfrastruktur in einer Reihe von Regionen getroffen hätten.

  • La semaine du 9 au 15 janvier 2023

    La semaine du 9 au 15 janvier 2023


    La Roumanie touchée par grippe, le coronavirus et la
    pénurie de médicaments



    Dernièrement, le système
    sanitaire roumain est impacté par une recrudescence des cas de grippe et de
    coronavirus, notamment du dernier variant signalé depuis quelques jours en
    Roumanie aussi. Les experts prévoient que le pic de la grippe sera atteint dans
    les semaines à venir avant que les infections respiratoires ne s’inscrivent sur
    une pente descendante à partir de la mi-février. La flambée des cas de grippe
    intervient dans le contexte de la reprise, le 9 janvier, des cours d’école qui
    ont rouvert leurs portes en plein état d’alerte épidémiologique. Dans le
    contexte d’une majoration de nombre de cas de grippe, de plus en plus de pharmacies
    sont en rupture de stocks de certains médicaments tels le paracétamol,
    l’ibuprofène ou les antibiotiques. A l’issue d’une série d’entrevues avec les
    producteurs et les distributeurs de médicaments, tout comme avec les
    représentants de l’industrie pharmaceutique, le ministre de la Santé, Alexandru
    Rafila, est sorti sur le devant de la scène pour rassurer la population qui,
    dit-il, ne doit pas craindre une crise des médicaments antithermiques ou
    anti-inflammatoires.


    « A la différence d’autres
    pays européens qui se confrontent dernièrement à des ruptures
    d’approvisionnement en paracétamol, la Roumanie ne traverse aucune crise, ni de
    paracétamol, ni d’ibuprofène. Cette pénurie n’existe pas chez nous, puisque
    nous avons nos propres fabriques qui produisent ces médicaments aussi bien sous
    leur forme destinée aux enfants que sous celle conçue pour les adultes
    ».


    Pour leur part, les producteurs
    de médicaments se sont engagés à continuer d’approvisionner les pharmacies. En
    revanche, la situation s’avère plus compliquée dans le cas des patients
    oncologiques. Le président de la Fédération des personnes atteintes d’un
    cancer, Cezar Irimia, a déclaré qu’aux dires des patients, sept médicaments à
    usage oncologique sont en rupture de stock depuis le début de l’année. En
    réplique, le Ministère de la Santé affirme qu’il s’agitseulement de trois médicaments qui manquent
    sur les rayonnages et dans les tiroirs des pharmacies, dont deux se trouvent
    dans les dépôts.



    Des mesures économiques et un record de déficit commercial



    Dans une tentative de ralentir
    l’inflation et de mettre un terme à la majoration des prix, la Banque centrale
    roumaine a majoré le taux directeur à 7% par an. Les experts de la BNR estiment
    que cette mesure débouchera sur une baisse de l’inflation, plutôt légère durant
    le premier trimestre de l’année en cours et plus significative ultérieurement,
    de sorte que l’indicateur ne dépasse pas les 10 pourcents d’ici l’été.
    Pourtant, la nouvelle hausse du taux d’intérêt clé entraînera, le plus probablement,
    une majoration des taux fixés par les banques commerciales, notamment dans le
    cas des crédits. N’empêche, les spécialistes affirment qu’une baisse anticipée
    de l’inflation serait un signe que la majoration des taux d’intérêt touche à sa
    fin.


    De l’avis de l’analyste
    économique, Dragos Cabat, il est important que le taux directeur poursuive sa
    tendance à la hausse afin que l’inflation atteigne un plafond avant de
    s’inscrire sur une pente descendante. Dragos Cabat :


    « Il est important que la
    Banque continue cette tendance ascendante de son taux directeur, car c’est
    de cette manière qu’elle entraînera le plus rapidement possible, un
    ralentissement de la croissance de l’inflation. C’est ce qu’il y a de plus
    important pour l’économie roumaine, à l’heure où l’on parle ; plus
    important que la croissance économique ou les mensualités bancaires qui
    concernent quelque 600.000 Roumains affectés, bien évidemment, par cette
    majoration du taux d’intérêt.
    »


    Après deux ans de pandémie et
    une année de guerre à ses frontières, le déficit de la balance commerciale de la
    Roumanie s’est envolé, en se montant à 31 milliards d’euros durant les onze
    premiers mois de l’année dernière, soit un déséquilibre record, selon l’Institut
    national de la Statistique. L’analyste économique, Constantin Rudnitchi
    précise :


    « Nous avons un record
    unique dans l’histoire du pays, du partiellement à la période
    inflationniste qu’on traverse aussi bien en Europe que dans le monde. Donc, on
    a une valeur à la hausse des importations. Mais, en dehors de ça, la
    Roumanie se confronte à une réalité problématique, à savoir le fait que le
    niveau de ses importations reste extrêmement élevé, tandis que la production
    intérieure et les exportations ont du mal à répondre aux besoins de l’économie
    nationale ».


    Dans ce contexte, le
    Gouvernement de Bucarest cherche à s’emprunter aussi bien sur le marché interne
    qu’externe, pour combler aussi bien à un déficit budgétaire d’au moins 160
    milliards de lei, soit 32 milliards d’euros, estimé pour cette année qu’à une
    dette plus ancienne qu’il faudrait refinancer.





    Des discussions bilatérales



    Les discussions
    roumano-ukrainiennes portant sur la Loi des minorités nationales récemment
    adoptée et promulguée par Kiev se poursuivent. Les ministres des Affaires
    étrangères des deux pays, Bogdan Aurescu et Dmitro Kuleba, se sont entretenus
    par téléphone à ce sujet mercredi, après qu’un dialogue similaire a eu lieu la
    semaine dernière entre les présidents Klaus Iohannis et Volodimir Zelenski. La
    loi a suscité l’inquiétude des autorités bucarestoises, car les représentants
    de la communauté roumaine en Ukraine n’ont pas été consultés lors de la
    rédaction du document, qui a été adopté sans l’avis de la Commission de Venise.
    Fin 2022, les autorités roumaines ont fait parvenir à leurs homologues
    ukrainiens une liste de prévisions stipulées par la dite loi et qui ont un
    impact négatif sur les Roumains d’Ukraine. Cette semaine encore, le ministre
    roumain des Affaires Etrangères s’est entretenu par téléphone avec son
    homologue suédois, Tobias Billstrom au sujet de l’adhésion roumaine à
    Schengen. Selon le MAE de Bucarest, le responsable de Stockholm a réitéré
    le soutien de son pays à l’intégration de Bucarest à l’Espace de libre
    circulation. LaPrésidence suédoise est
    prête à s’impliquer activement et à tout mettre en œuvre pour aider Bucarest à
    atteindre son objectif, en identifiant des solutions concrètes, basées sur un
    dialogue constructif avec toutes les parties concernées. Pour sa part, le
    ministre Bogdan Aurescu a mis en lumière l’importance de la coordination par la
    présidence suédoise d’un dialogue entre tous les partenaires européens
    impliqués dans ce dossier. Un dossier extrêmement important pour la Roumanie,
    comme l’on a précisé lors de la cérémonie de lancement de la présidence suédoise
    de l’UE, organisée cette semaine, à Bucarest.







  • 12.01.2023 (mise à jour)

    12.01.2023 (mise à jour)

    Schengen – L’adhésion à l’Espace Schengen de libre
    circulation est une priorité pour la Roumanie, a fait savoir jeudi, le chef de
    la diplomatie roumaine, Bogdan Aurescu. Et lui de préciser que Bucarest compte
    sur le soutien en ce sens de la présidence suédoise de l’UE. Lors d’une
    conférence de presse organisée par l’Ambassade de Suède en Roumanie, le
    responsable roumain a rappelé que son pays a été « un gardien de facto de
    la sécurité européenne » dans le contexte de la guerre en Ukraine.
    L’ambassadrice suédoise à Bucarest, Therese Hyden, a déclaré à son tour que
    « le dossier Schengen figurera à l’agenda de la réunion officielle dès que
    le contexte s’avère propice », c’est-à-dire, dès que l’Autriche change de discours
    par rapport à la Roumanie et les Pays Bas, par rapport à la Bulgarie. Mercredi,
    Bogdan Aurescu s’est entretenu par téléphone avec son homologue suédois, Tobias
    Billstrom. Selon le MAE de Bucarest, celui-ci a souligné la détermination de la
    Présidence suédoise à s’impliquer activement et à tout mettre en œuvre pour
    atteindre cet objectif, en identifiant des solutions concrètes, basées sur un
    dialogue constructif avec toutes les parties concernées, ainsi qu’à soutenir
    les efforts de la Roumanie en vue de son adhésion. Rappelons que le 8 décembre,
    la Roumanie n’a pas été admise dans l’espace Schengen, en raison de
    l’opposition de l’Autriche, critiquée au plus haut niveau européen.












    Aide – Les Etats-Unis ont offert en première de l’aide
    humanitaire à l’Ukraine via le centre roumain de Suceava, a fait savoir
    l’Ambassade américaine à Bucarest. Un convoi de 30 camions transportant
    des vêtements, des chaussures, des
    produits d’hygiène, des paquets de couches, ou encore des médicaments s’est
    dirigé vers l’Ukraine. Depuis sa mise en place, le centre humanitaire de
    Suceava a collecté 40 tonnes de biens d’un montant de presqu’un million de
    dollars et 4 millions de dollars en liquide.




    Ukraine – La Roumanie et l’Ukraine entameront un processus de
    consultation sur la loi des minorités nationales en Ukraine, un document
    récemment adopté et promulgué par Kiev. Les ministres des Affaires étrangères des deux pays, Bogdan Aurescu
    et Dmitro Kuleba, se sont entretenus par téléphone à ce sujet mercredi, après
    qu’un dialogue similaire a eu lieu la semaine dernière entre les présidents
    Klaus Iohannis et Volodimir Zelenski. La loi a suscité l’inquiétude des
    autorités bucarestoises, car les représentants de la communauté roumaine en
    Ukraine n’ont pas été consultés lors de la rédaction du document, qui a été
    adopté sans l’avis de la Commission de Venise. Même si la loi représente une
    version améliorée par rapport aux précédents projets analysés par le Parlement
    de Kiev, elle ne garantit pas, entre autres, le droit de la minorité roumaine à
    l’enseignement dans sa langue maternelle, précise la diplomatie roumaine.


















    Santé – 15 décès dus à la grippe ont été enregistrés
    dernièrement en Roumanie, a fait savoir jeudi l’Institut de la santé publique.
    Durant la première semaine de l’année en cours, le nombre de viroses a dépassé
    de 40% celui enregistré pendant la semaine d’avant. Plusieurs traitements contre les virus et la grippe manquent
    encore dans les rayons des pharmacies roumaines. De
    plus, sept médicaments pour le traitement des patients atteints de cancer
    restent introuvables sur le marché depuis le début de l’année, alors qu’ils
    sont prescrits à près de la moitié des patients, déplorent certains
    représentants des personnes atteintes de cancer. Le
    ministère de la Santé assure que la Roumanie ne connaît pas une pénurie, et que
    les médicaments en question sont stockés dans des entrepôts.








    Culture – La ville de Timișoara, dans l’ouest de
    la Roumanie, a obtenu le titre de Capitale européenne de la culture en 2023,
    aux côtés des villes d’Elefsina (Grèce) et de Veszprém (Hongrie). Ces villes rejoignent les 60 autres sélectionnées au
    cours des années précédentes, au sein de l’UE mais aussi au-delà de ses
    frontières. Tout au long de l’année, les Capitales européennes de la culture
    célèbreront la culture à travers des événements, des expositions et des
    performances. À Timișoara, le début officiel des festivités
    aura lieu du 17 au 19 février. Rappelons par ailleurs que la ville deSibiu
    (centre) a été la première ville roumaine désignée Capitale européenne de la
    culture en 2007 – l’année où la Roumanie est entrée dans l’Union européenne.






    Exportations – La Roumanie a exporté, au cours des neuf premiers mois de
    l’année 2022, des céréales et des préparations à base de céréales pour un
    montant d’environ 3,78 milliards d’euros, soit une hausse de 41,2% par rapport
    aux chiffres de la même période en 2021, selon les données centralisées par
    l’Institut national des statistiques. Les
    exportations les plus importantes ont été enregistrées en mars et se sont
    élevées à un peu plus de 619 millions de lei. En revanche, au cours de la
    période allant de janvier à septembre 2022, la Roumanie a importé des céréales
    et des préparations à base de céréales à hauteur de 1,27 milliard d’euros
    (+23,5%). Ainsi, sur les neuf premiers mois, l’excédent commercial s’est établi
    à 2,5 milliards d’euros.








    Tennis – Cinq joueuses
    roumaines se sont qualifiées à l’Open d’Australie, le premier Grand Chelem de
    l’année. Irina Begu affrontera la Chinoise Saisai Zheng, Sorana Cîrstea
    la joueuse kazakhe Iulia Putinteva, et Ana Bogdan la Hongroise Anna Bondar. Jaqueline Cristian aura l’une des adversaires les plus
    difficiles – l’Américaine Jessica Pegula et Patricia Ţig affrontera la
    Chinoise Shuai Zhang.






    Météo – Un temps morose vendredi, en Roumanie où de légères
    averses sont attendues dans le sud, le centre et l’est du pays. Les
    températures seront comprises entre 1 et 10 degrés. Vendredi, à midi, nous
    aurons entre 4 et 6 degrés dans la capitale.

  • Pénurie de médicaments en Roumanie.

    Pénurie de médicaments en Roumanie.

    Le nombre de personnes souffrant d’infections respiratoires augmente en Roumanie d’une semaine à l’autre et un nombre plus élevé de malades que normalement arrive aux urgences. Les médecins viennent de signaler aussi des cas de double infection : au coronavirus et au virus de la grippe ainsi que des cas d’infection au nouveau variant du coronavirus, le Kraken.

    Selon les spécialistes, le pic de la vague d’infections au virus de la grippe sera atteint dans les semaines à venir et une baisse du nombre d’infections n’est prévue que pour la deuxième moitié du mois prochain. Ils relancent les appels à la population de ne pas utiliser des médicaments au hasard et de demander l’avis des médecins sur la toile de fonds d’une crise provoquée par l’absence de certains médicaments des pharmacies à cause de la demande particulièrement élevée. Il s’agit notamment de médicaments pédiatriques, à base de paracétamol, ibuprofène et même de certains antibiotiques.

    Le ministre de la Santé, Alexandru Rafila souligne pourtant que sur le marché roumain il existe toutefois plein de sirops antithermiques contenant ces substances et que le problème apparait lorsque les parents cherchent spécialement les marques consacrées. Pour leur part, les malades réclament les prix très élevés des remplacements. Alexandru Rafila assure à nouveau que la Roumanie n’est pas en crise de médicaments antiinflammatoires et antithermiques parce qu’il y a des fabriques roumaines qui produisent les substances à la base de ces produits. Le responsable roumain ajoute pourtant que l’absence partielle du marché de certains médicaments a été provoquée par les délais enregistrés dans la livraison de la matière première en provenance de la Chine.

    Rappelons aussi que le ministère avait proposé à la fin de l’année dernière de suspendre temporairement la distribution à l’extérieur de la Roumanie de certains médicaments antibiotiques et antithermiques. De l’autre côté, les producteurs affirment que le prix de certains médicaments ne couvre pas les couts de production et le coût réduit des comprimés, mais aussi la majoration des tarifs énergétiques mènerait carrément à la disparition de plusieurs types de médicaments.

    La situation est d’autant plus compliquée dans le cas des médicaments utilisés pour soigner les malades de cancer. Le président de la Fédération des Associations des malades de cancer, Cezar Irimia, a déclaré que les malades avaient réclamé dès le début de l’année l’absence de sept médicaments oncologiques. Cezar Irimia: « Ces médicaments manquent depuis l’année dernière. Nous avons présenté cette situation au ministère de la Santé dont les responsables nous ont promis de résoudre ce problème. Nous avons même présenté des preuves comme quoi ces médicaments font l’objet d’exportations parallèles et aucune action n’a été entreprise en ce sens. Depuis le début de l’année, les patients ont réclamé l’absence des pharmacies de pas moins de sept médicaments » déclare Cezar Irimia. Selon le ministre de la santé, cette situation de pénurie concerne seulement trois médicaments, dont deux sont à retrouver dans les entrepôts. Alexandru Rafila: « Nous l’avons vérifié : sur les trois médicaments en question deux existent dans les entrepôts et les quantités sont suffisantes. Certes, nous, en tant que ministère de la Santé, nous ne pouvons pas remplacer les managers des hôpitaux qui n’ont pas commandé ces médicaments en grande quantité. Il n’y a qu’un seul problème dans le cas d’un produit assez ancien du point de vue de l’utilisation dans la thérapie oncologique. » a déclaré Alexandru Rafila qui a également affirmé attendre une solution de la part de la commission spécialisée du ministère de la Santé dans le cas du médicament qui ne se retrouve pas dans les pharmacies. (Daniela Budu)

  • 10.01.2023 (mise à jour)

    10.01.2023 (mise à jour)

    Banque centrale – La Banque centrale de Roumanie a décidé d’une majoration du taux d’intérêt de référence, de 6,75% à 7% par an lors de la première réunion sur 2023 de sa direction. C’est le niveau le plus élevé de ces 13 dernières années. Un taux clé encore plus grand entraîne une majoration des mensualités des crédits en lei. La hausse des taux d’intérêt est le principal outil dont la BNR se sert pour contrôler l’inflation, au bout d’une année marquée par la flambée des prix.

    Grippe – Les
    premiers cas de Kraken, le nouveau variant de coronavirus, ont été confirmés en
    Roumanie. N’empêche, les symptômes ne sont pas graves et la gestion des
    nouveaux cas de contamination ne pose pas de problèmes au système médical. Par
    ailleurs, plusieurs cas d’infection simultanée au coronavirus et à la grippe
    ont été détectés. Une femme de 74 ans, doublement infectée, est décédée.


    OTAN – Le président Klaus Iohannis a salué la signature de la troisième déclaration commune de coopération entre l’OTAN et l’UE, démontrant que la Roumanie soutenait fortement la consolidation de la sécurité et de la prospérité de l’espace euro-atlantique. Le document a été signé aussi par le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg et les présidents du Conseil européen, Charles Michel et de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, au siège de l’Alliance de l’Atlantique Nord à Bruxelles. La Roumanie continuera à avoir une contribution substantielle à la mise en place des nouvelles priorités et directions d’action que la Déclaration commune UE – OTAN signée ce mardi propose – a déclaré le ministre roumain des Affaires Etrangères, Bogdan Aurescu. Selon un communiqué de la diplomatie roumaine, la réunion des ministres des Affaires Etrangères de l’OTAN, accueillie à Bucarest, à la fin novembre a donné un coup d’accélérateur à l’adoption de cette déclaration, censée approfondir la coopération entre l’UE et l’OTAN. La Roumanie salue le message d’unité et de complémentarité des efforts que la nouvelle déclaration promeut, lit-on dans le communiqué du Ministère des Affaires Etrangères de Bucarest.


    Schengen – La Suède n’envisage pas d’initier un vote visant l’adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l’espace Schengen si un accord avec les Etats qui s’opposent à l’admission des ces deux Etats à l’espace européen de libre circulation n’est pas décidé. C’est ce qu’a déclaré le représentant permanent de la Suède auprès de l’Union européenne, Lars Danielsson, dont le pays a assumé le 1er janvier la présidence semestrielle du Conseil de l’UE. Selon lui la présidence suédoise du Conseil devra dérouler des consultations intenses sur le chemin à suivre. Rappelons-le, en décembre dernier, l’Autriche s’est opposée à l’adhésion de la Roumanie à Schengen et aux côtés des Pays-Bas à l’accès de la Bulgarie. Pour que la Roumanie puisse adhérer à l’espace Schengen de libre circulation européenne, l’unanimité parmi les Etats membres de l’UE est nécessaire.

    Déficit – Le déficit commercial de la Roumanie a battu un nouveau record durant les 11 premiers mois de l’année dernière, avec une différence entre les importations et les exportations de plus de 31 milliards d’euros. Le commerce extérieur roumain est dominé par les échanges avec les pays de l’UE. 72% des exportations de la Roumanie et 70% de ses importations se font avec les Etats européens.

    Sondage – 2022 a été une année plus satisfaisante pour les Roumains que 2021 et 2020, relève une enquête menée par Reveal Marketing Research. 54% des sondés se sont retrouvés plus optimistes et plus détendus dans le courant de l’année dernière que pendant 2021 (22%) ou 2020 (24%) deux années frappées par la pandémie et les restrictions sanitaires. Parmi les attentes pour 2023, la plupart des Roumains espèrent améliorer leur situation financière. En revanche, 46% de nos compatriotes se disent pessimistes quant à la situation économique du pays, tandis que 67% des personnes questionnées se disent persuadés que la corruption continuera à exister en Roumanie. 23% des Roumains aimeraient bien changer d’emploi en 2023 et 50% affirment vouloir garder leur job actuel. L’enquête a été menée du 28 décembre 2022 au 1er janvier 2023 sur 1005 sondés.

    Météo – En Roumanie, des alertes jaunes et oranges pour des précipitations abondantes sont émises dans la plupart des départements du sud du pays. Les températures sont en baisse par rapport à la période qui vient de s’écouler mais elles restent néanmoins supérieures aux moyennes saisonnieres. Le ciel sera nuageux avec de nombreuses précipitations dans le sud et le sud-est et plus localement dans le reste du pays. La neige se melera à la pluie pendant la nuit et sur les montagnes. Le vent soufflera doucement avec quelques intensifications dans le centre et le sud-est ou sur les sommets. Les maximales seront comprises entre 3 et 10 degrés celsius et les minimales entre moins 3 et 8 degrés.

  • Grippe- und Coronavirus-Infektionen in Rumänien

    Grippe- und Coronavirus-Infektionen in Rumänien


    Die Grippe und die weitaus bekanntere SARS-CoV-2-Infektion, die sich in Rumänien ausgebreitet hat, stellen eine ernst zu nehmende Bedrohung für die Gesundheit der Menschen dar. Die Zahl der Erkrankungen durch Viren und Grippe ist in dieser Saison deutlich höher als in den vergangenen Jahren. Experten gehen davon aus, dass der Höhepunkt der Erkrankungen in der Monatsmitte erreicht sein wird und der Rückgang erst im Februar spürbar sein wird. Der Gro‎ßteil aller Infektionen tritt bei Kindern auf, und die Formen der Infektion sind oft schwerer.




    Es ist das erste Mal, dass sich SARS-CoV-2 und Influenza kombinieren. Mehrere Fälle von Doppelinfektionen wurden bisher bestätigt. Der medizinische Leiter des nationalen Instituts für Infektionskrankheiten “Matei Balș” in Bukarest, Adrian Marinescu, erläuterte im rumänischen Rundfunk die wichtigsten Symptome der Kombination, die bereits den Namen Flurona erhalten hat. “Der beste Weg, um festzustellen, ob man Flurona hat, ist, sich einem Test zu unterziehen und einen zweiten Test durchführen zu lassen. Bei der Betrachtung von Symptomen ist es wichtig, an die Art und Weise zu denken, wie sie bei einer Grippe auftreten: Muskelschmerzen, Gelenkschmerzen und Kopfschmerzen. Die Symptome sind bei der Kombination von Grippe und SARS-CoV-2 besonders stark ausgeprägt.”




    Die Impfung gilt als wirksamste Schutzma‎ßnahme gegen Influenza oder Corona, wie Fachleute betonen. Der Leiter des Krankenhauses für Infektionskrankheiten in Iaşi, Dr. Florin Rosu: “Wir rufen die Bevölkerung weiterhin dazu auf, sich sowohl gegen die saisonale Grippe als auch gegen das Coronavirus impfen zu lassen. Bei Erkrankung wird empfohlen, sich sofort an den Hausarzt zu wenden, sich bei anhaltender Symptomatik innerhalb von 48 bis 72 Stunden bei der Triage des Krankenhauses für klinische Infektionskrankheiten vorzustellen und sich nicht selbst zu behandeln, Hygienema‎ßnahmen einzuhalten, überfüllte Räume zu meiden, eine Schutzmaske zu tragen und zu lüften.”




    Die neue Variante des Coronavirus, die unter dem Namen Kraken bekannt ist und sich bereits über den Ozean ausgebreitet hat, wurde auch in Rumänien gemeldet, wo die Zahl der Coronavirus-Infektionen zunimmt. Der Gesundheitsminister erklärt, dass die neuen SARS-CoV-2-Varianten ansteckender sind, betont aber, dass sie in Bezug auf die Krankheitsformen, die die Patienten entwickeln, nicht gefährlicher sind.


  • 10.01.2023

    10.01.2023


    Grippe – Les
    premiers cas de Kraken, le nouveau variant de coronavirus, ont été confirmés en
    Roumanie. N’empêche, les symptômes ne sont pas graves et la gestion des
    nouveaux cas de contamination ne pose pas de problèmes au système médical. Par
    ailleurs, plusieurs cas d’infection simultanée au coronavirus et à la grippe
    ont été détectés. Une femme de 74 ans, doublement infectée, est décédée.
















    BNR – La Banque centrale de Roumanie pourrait décider d’une majoration du
    taux d’intérêt de référence, lors de la première réunion sur 2023 de sa
    direction. Les analystes financiers prévoient un bond du taux clé de 6,75 à 7%,
    soit le niveau le plus élevé de ses 13 dernières années. Un taux clé encore
    plus grand entraînerait certainement une majoration des mensualités des crédits
    en lei. La hausse des taux d’intérêt est le principal outil dont la BNR se sert
    pour contrôler l’inflation, au bout d’une année marquée par la flambée des
    prix.




    Déficit – Le déficit commercial de la Roumanie a battu un
    nouveau record durant les 11 premiers mois de l’année dernière, avec une
    différence entre les importations et les exportations de plus de 31 milliards
    d’euros. Le commerce extérieur roumain est dominé par les échanges avec les
    pays de l’UE. 72% des exportations de la Roumanie et 70% de ses importations se
    font avec les Etats européens.














    Kossovo – Le ministre roumain à la Défense, Angel Tîlvar, accompagné par le chef de l’Etat major de l’Armée roumaine, le général Daniel Petrescu, se trouvent en Pologne pour des pourparlers avec le ministre polonais de la Défense, Mariusz Blaszczak et avec des représentants de la direction de l’Etat major des forces armées polonaises. Les responsables roumains rendront également visite aux soldats roumains du détachement de défense antiaérienne Sky Guardians du Groupement de combat sous l’égide de l’OTAN déployé sur la base de Bemowo Piskie. Selon le ministère roumain de la Défense, la visite des responsables roumains en Pologne prouve la collaboration étroite bilatérale et alliée. Lundi, le ministre Angel Tîlvar et le général Daniel Petrescu ont rencontré les 68 soldats roumains déployés sur la base otanienne de Pristina, au Kossovo, qui participent à l’Opération la Force pour le Kossovo (KFOR). Une occasion pour les responsables roumains de s’entretenir aussi avec le chef de la KFOR, le général italien Angelo Michele Ristuccia, de la situation sécuritaire au Kossovo et dans la région.


    Sondage – 2022 a
    été une année plus satisfaisante pour les Roumains que 2021 et 2020, relève une
    enquête menée par Reveal Marketing Research. 54% des sondés se sont retrouvés
    plus optimistes et plus détendus dans le courant de l’année dernière que
    pendant 2021 (22%) ou 2020 (24%) deux années frappées par la pandémie et les
    restrictions sanitaires. Parmi les attentes pour 2023, la plupart des Roumains
    espèrent améliorer leur situation financière. En revanche, 46% de nos
    compatriotes se disent pessimistes quant à la situation économique du pays,
    tandis que 67% des personnes questionnées se disent persuadés que la corruption
    continuera à exister en Roumanie. 23% des Roumains aimeraient bien changer
    d’emploi en 2023 et 50% affirment vouloir garder leur job actuel. L’enquête a
    été menée du 28 décembre 2022 au 1er janvier 2023 sur 1005 sondés.






    Minorités – Le premier ministre roumain,
    Nicolae Ciuca, a rencontré à Bucarest, les ambassadeurs tchèque et slovaque en
    Roumanie, tout comme le représentant des deux minorités auprès du Parlement
    roumain. Les discussions ont porté sur une représentation séparée de ces deux
    minorités sous la forme de deux entités distinctes, dotées de leur propre
    statut de fonctionnement. Les procédures en ce sens devraient être accélérées
    afin de permettre aux deux minorités de participer séparément aux prochaines
    élections locales et parlementaires. La rencontre s’est avérée aussi une bonne
    occasion de passer en revue le stade des relations bilatérales de la Roumanie
    avec la République Tchèque et la Slovaquie.


    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Irina Begu, s’est
    retirée du tournoi australien WTA 500 d’Adelaïde, suite à un accident. 28e
    dans le classement mondial, Begu aurait dû rencontrer l’Australienne, Storm
    Hunter, 227e mondiale. Une autre joueuse roumaine, Sorana Cîrstea,
    43e, s’est inclinée devant la Brésilienne, Beatriz Haddad Maia.
    Quant à la joueuse Ana Bogdan, 56e mondiale, elle a raté sa qualification
    au tableau principal, après une défaite face à Katerina Siniakova, 49e
    dans le classement WTA.
















    Météo – Plusieurs départements du sud de la Roumanie seront concernés à
    partir de cet après-midi par des vigilances jaune et orange aux précipitations
    abondantes, en vigueur jusqu’à mercredi soir. En ce
    moment, il fait morose en Roumanie, le ciel est couvert et il pleut sur la
    moitié sud où les hydrologues prévoient des quantités d’eau de plus de 20
    litres par mètre carré. Des précipitations mixtes tombent sur les régions de
    montagne et il neige à plus de 1600 mètres d’altitude. Les températures
    maximales de la journée iront de 3 à 13 degrés. 7 degrés à midi, à Bucarest.

  • Double épidémie de grippe et de COVID en Roumanie

    Double épidémie de grippe et de COVID en Roumanie


    Tant dans les situations où ils se manifestent séparément, que lorsqu’ils cumulent
    ou multiplient leurs effets, la grippe et le virus Sars-Cov-2 causent des
    problèmes à la fois à la population, et au système de santé en Roumanie.


    Cet hiver, la vague de viroses et de grippes est arrivée plus tôt que d’habitude
    et s’est manifestée beaucoup plus intensément par rapport aux années
    précédentes. Les experts estiment que le pic de l’épidémie de grippe sera
    atteint après la mi-janvier et le nombre de cas commencera à diminuer en février
    à peine. Il faut préciser que presque trois quarts des cas d’infection
    surviennent chez les enfants et, souvent, les formes qu’ils développent sont assez
    graves.


    Qui plus est, les premiers cas de cette saison froide où le virus
    Sars-Cov-2 combiné au virus de la grippe ont déjà été enregistrés. Cette double
    infection s’appelle Flurona. Le directeur médical de l’Institut national des
    maladies infectieuses « Matei Balş » de Bucarest, Adrian Marinescu, a
    expliqué, pour Radio Roumanie, quels étaient les symptômes les plus courants de
    Flurona.


    Adrian Marinescu : « Le double test, pour la grippe et le
    SRAS-CoV-2, est le moyen le plus sûr de confirmer une infection du type
    Flurona. Les symptômes sont similaires à ceux de la grippe (courbatures, douleurs articulaires et maux de tête). Quand même, la présence du virus
    SARS-CoV-2 accentue l’intensité et la sévérité des symptômes.
    »


    Les spécialistes réitèrent à cette occasion que la vaccination est la mesure
    principale de protection contre la grippe ou le COVID. Le directeur de l’hôpital
    des maladies infectieuses de Iași (nord-est de la Roumanie), le docteur Florin
    Roşu, explique :


    « Nous encourageons toujours la population à se faire vacciner, à la fois
    contre la grippe saisonnière, et le coronavirus. Nous conseillons à la
    population de contacter le médecin traitant dans les 24 premières heures
    suivant les premières manifestations de la maladie. Si les symptômes
    persistent, nous conseillons à tous de se rendre au salon de triage des cliniques
    de maladies infectieuses dans les 48 à 72 heures et ne surtout pas recourir à
    l’automédication. Il faut respecter les normes d’hygiène, éviter les espaces
    encombrés, porter un masque de protection et aérer l’espace où l’on habite ou on
    déroule son activité professionnelle.
    »


    Déjà en cours de propagation accélérée aux États-Unis,
    la nouvelle souche SARS-CoV-2, appelée Kraken, a également été signalée en
    Roumanie, où le nombre d’infections au coronavirus augmente. Selon le ministre
    de la Santé, Alexandru Rafila, les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2 sont plus
    contagieuses. Cependant, elles ne sont pas plus dangereuses en ce qui concerne les
    formes de la maladie que les patients développent. (trad. Andra Juganaru)

  • Rentrée scolaire après les vacances d’hiver en pleine épidémie de grippe.

    Rentrée scolaire après les vacances d’hiver en pleine épidémie de grippe.

    Les vacances de Noël sont terminées et les enfants ont repris ce matin le chemin de l’école. Suite à la réforme de l’éducation, cette année scolaire est organisée en cinq modules d’apprentissages et autant de vacances. Concernant la semaine de vacances d’hiver, ce sont les inspecteurs de chaque département qui doivent en établir les dates sur la période allant du 6 au 26 février. En plus des aspects strictement scolaires, ils doivent prendre en compte la situation épidémiologique spécifique à cette période de l’année.

    La semaine dernière, le ministère de la Santé a émis une alerte d’épidémie de grippe saisonnière et a élaboré, en collaboration avec le ministère de l’Education, une série de recommandations visant à protéger les enfants et les personnels encadrants. Les enseignants de maternelle, du primaire, du collège et du lycée sont désormais tenus de transmettre aux parents et représentants légaux des enfants des informations permettant de les aider à identifier des symptômes de la grippe ou d’autres infections respiratoires afin qu’un tri soit déjà effectué à domicile, avant l’arrivée des enfant en collectivité. Les parents sont priés de ne pas envoyer les enfants à l’école s’ils présentent des symptômes de maladie et de demander l’aide d’un pédiatre ou du médecin de famille.

    Un tri quotidien aura également lieu au sein des établissements scolaires à la première heure de cours. Dans les écoles où il n’y a pas de personnel médical, ce tri se fera au jugé. S’il y a des personnels médicaux, ils pourront être sollicités pour effectuer ce tri. De plus, du matériel de désinfection pour les mains et les surfaces va être mis à disposition et les enseignants devront assurer l’aération régulière des salles et apprendre aux élèves à se comporter en cas de toux ou d’éternuement. Par ailleurs le port du masque est conseillé tant pour les personnels que pour les enfants. Le ministère de l’Education a demandé aux inspecteurs scolaires de soutenir les établissements afin que les cours puissent se poursuivre dans des conditions normales et que l’accent soit mis sur la prévention.

    La ministre, Ligia Deca a déclaré qu’en aucun cas l’absentéisme n’était encouragé. Elle a ajouté qu’après deux ans de pandémie il était très important de préserver le rythme scolaire et d’avoir un taux de présence élevé. C’est l’occasion de rappeler qu’en Roumanie, l’expérience de l’école en ligne n’a pas été une réussite, bien au contraire! C’est pourquoi, malgré le nombre de cas de grippe et autres infections respiratoires, l’accent est aujourd’hui mis sur la poursuite de la scolarité de tous les jeunes. Et dans le cas où les enfants présentent des symptômes, l’option mise en avant est qu’ils restent en isolement chez eux le moins longtemps possible et que les cours ratés soient récupérés par la suite.

  • Nachrichten 06.01.2023

    Nachrichten 06.01.2023

    Das Nationale Zentrum für Überwachung und Kontrolle übertragbarer Krankheiten des nationalen Instituts für öffentliche Gesundheit meldete am Donnerstag, dass zwei Menschen an der Grippe gestorben sind. Zuvor hatte Gesundheitsminister Alexandru Rafila auf einer Pressekonferenz die Bilanz der in der vergangenen Woche diagnostizierten Fälle von Atemwegsinfektionen und die landesweite Situation vorgestellt. Die Behörden haben entschieden, keine Grippe-Epidemie auszurufen, da die Zahl der Fälle auch bei einem Anstieg noch nicht dramatisch ist. Alexandru Rafila erklärte, dass sich die Grippesaison um einige Wochen verzögert hat, dass die Grippe- Positivitätsrate derzeit bei 37 Prozent liegt und dass die Zahl der Atemwegserkrankungen, einschließlich der Grippe, zurückgehen wird. Laut Bildungsministerium wird ab Montag wieder normaler Unterricht aufgenommen, wenn nach der Winterpause ein neuer Abschnitt des Schuljahres beginnt. Maske hat nur Empfehlungswert. Die Schüler werden beim Eintritt in die Klassen einem Screening- Verfahren unterzogen.



    Der neue Vorsitzende des rumänischen Obersten Rates der Magistratur, Richter Daniel Grădinaru, bekräftigte seinen Wunsch nach einheitlichen Positionen innerhalb des Gremiums und nach einer loyalen Zusammenarbeit mit anderen staatlichen Institutionen. Der neue Vizevorsitzende, Staatsanwalt Daniel Horodniceanu, ehemaliger Leiter der Staatsanwaltschaft für Mafia- und Terrorismusbekämpfung (DIICOT), rief ebenfalls zur Einigkeit im neuen Rat auf, einer Institution, die die Laufbahn von Richtern und Staatsanwälten verwaltet und die in den letzten Jahren in ihren Stellungnahmen und Ansichten zu wichtigen Justizfragen gespalten war. Die neue Leitung des Obersten Rates der Richter und Staatsanwälte wurde einstimmig gewählt, und die beiden Leiter werden für eine nicht verlängerbare Amtszeit von einem Jahr eingesetzt. Der Oberste Rat der Magistratur besteht aus neun Richtern und fünf Staatsanwälten, die von den Vollversammlungen der Gerichte und Staatsanwaltschaften gewählt werden, zwei vom Senat gewählten Vertretern der Zivilgesellschaft und drei Mitgliedern von Amts wegen: dem Justizminister, dem Präsidenten des Obersten Kassations- und Gerichtshofs und dem Generalstaatsanwalt Rumäniens. Die Amtszeit der Mitglieder beträgt sechs Jahre, eine Wiederernennung ist nicht möglich.



    Heute ist der Tag, an dem die orthodoxen Christen in Rumänien die Taufe Christi feiern. Die Priester vollziehen die Wasserweihe vor den Kirchen. Die christlichen Theologen gehen davon aus, dass Jesus Christus, der Sohn Gottes, nach 30 Jahren der Anonymität seine Mission an den Ufern des Jordan begann, wo der Prophet Johannes diejenigen taufte, die ihre Sünden bereuten. Die Gläubigen werden heute nach der Messe in einem besonderen Gottesdienst vor den Kirchen oder am Flussufer mit Weihwasser begossen.



    Die rumänische Tennisspielerin Irina Begu qualifizierte sich am Freitag für das Halbfinale des mit über 800.000 Dollar dotierten Adelaide International 1 (WTA 500) Turniers in Australien, nachdem sie die Russin Veronika Kudermetova mit 7:5, 6:4 besiegte. Begu (32, 34 WTA) setzte sich nach mehr als zwei Stunden (2 h 09 min) gegen ihre Gegnerin (25, 9 WTA) durch und trifft im Halbfinale auf die Weißrussin Arina Sabalenka, die sich mit 6:3, 7:5 gegen Marketa Vondrousova aus Tschechien durchsetzte. Das einzige direkte Aufeinandertreffen zwischen Begu und Sabalenka endete mit einem 6:4, 6:4-Sieg der Rumänin in der zweiten Runde der Miami Open im vergangenen Jahr.



    Die am Freitag von der Rumänischen Nationalbank bekannt gegebenen Wechselkurse der rumänischen Landeswährung Leu lauten wie folgt: 1 Euro 4,9293 Lei, 1 US-Dollar 4,6894 Lei, ein Schweizer Franken 4,9914 Lei 1 Pfund Sterling 5,5610 Lei – In Rumänien hat sich das Wetter im Norden, im Zentrum und im Nordosten sowie in den Bergen abgekühlt, aber die Temperaturen sind immer noch höher als normal für diesen Zeitraum. In der Nordhälfte des Landes werden leichte Niederschläge gemeldet – Schnee in den Bergen und vor allem Regen in den tieferen Lagen. Es gibt eine Warnung vor starkem Wind. In den Bergen gibt es eine Warnung vor Schneestürmen. Die Höchsttemperaturen werden zwischen 2 und 13 Grad Celsius liegen. In Bukarest wurden zur Mittagszeit 12 Grad gemessen.

  • L’alerte épidémiologique en Roumanie

    L’alerte épidémiologique en Roumanie


    Confrontées à une multiplication
    des cas d’infections respiratoires, les autorités sanitaires de Roumanie ont
    décidé de déclarer l’état d’alerte épidémiologique. En une semaine, le taux de
    positivité pour la grippe a grimpé de 32 à 37%. Du coup, on se demande pourquoi
    les responsables politiques ont choisi d’instaurer un état d’alerte au lieu de
    déclarer l’épidémie de grippe. Le ministre de la Santé, Alexandru Rafila, a
    expliqué que dans le cas d’une épidémie, le pays devrait remettre en place les
    mesures de confinement ce qui n’est pas souhaitable. Pourtant, une série de
    recommandations ont été faites à la population afin qu’elle se protège de la
    grippe : éviter les agglomérations, porter le masque dans les espaces
    clos, se laver les mains, prendre rendez-vous auprès du médecin traitant dès
    que les moindres symptômes de grippe se déclenchent et se faire vacciner. Les
    taux historiques de contamination ont été surclassés trois semaines d’affilées
    sans que le pic soit encore atteint. Celui-ci est prévu vers la mi-février, prévoit
    Alexandru Rafila selon lequel, l’épidémie a éclaté dans le contexte d’une
    faible immunisation contre la grippe saisonnière d’une population en proie deux
    ans durant à la pandémie de SarsCov2. Alexandru Rafila :


    « Il est possible que l’actuelle
    épidémie atteigne son pic entre le 15 janvier et le 10 février. Je vous prie de
    bien retenir ce créneau, car par la suite, on assistera à une baisse du nombre
    des cas d’infections respiratoires, y compris de grippe. Cette situation
    particulière découle notamment de ce qui s’est passé entre 2021 et 2022 quand
    la circulation des virus de grippe a été ralentie ce qui a diminué le taux
    d’immunité de la population qui est, du coup, plus vulnérable face aux virus
    responsables de produire des infections respiratoires. Normalement, une
    épidémie de ce type dure entre deux et quatre semaines.»


    Dans ce contexte inquiétant, les élèves
    s’apprêtent à reprendre les cours après les vacances d’hiver. Il est hors de
    question que les écoles restent fermées, comme ce fut le cas pendant la
    pandémie de coronavirus. La ministre de l’Education nationale, Ligia Deca,
    affirme :


    « Au bout de deux ans de
    pandémie, nous considérons nécessaire de préserver le rythme des activités
    pédagogiques et d’avoir un taux important de participation des élèves aux
    cours. Pour cela, il faudrait respecter une série de mesures recommandées,
    telles trier chaque jour les enfants avant leur entrée en classe et prévenir la
    famille aux moindres symptômes. On recommande le port du masque aussi bien dans
    les rangs des professeurs que des élèves
    ».


    Par ailleurs, le respect des
    mesures d’hygiène reste très important, a précisé la ministre. Il s’agit
    notamment de bien laver ses mains, aérer les salles et désinfecter les
    surfaces. Si dans une classe le nombre d’enfants malades augmente, l’activité
    pédagogique risque d’être suspendue dans la classe respective.





  • 05.01.2023 (mise à jour)

    05.01.2023 (mise à jour)

    Fonds
    européens
    – La Roumanie a absorbé en 2022, 11,3 milliards d’euros de fonds
    structurels, soit le niveau le plus élevé jamais atteint par la Roumanie, a
    annoncé le premier ministre roumain Nicolae Ciuca. Pour l’année 2023, le
    gouvernement compte maintenir le même niveau, voir même le dépasser et pour
    cela, il a besoin de solidarité, d’un bon dialogue avec les partenaires
    sociaux, d’une meilleure coordination entre les ministères et de la stabilité
    politique.














    Grippe – La grippe a tué deux personnes en Roumanie, a
    fait savoir jeudi, le Centre national pour la surveillance et le contrôle des
    maladies transmissibles. Antérieurement, le ministre roumain de la Santé,
    Alexandru Rafila a dressé lors d’un point de presse, le bilan des cas d’infections
    respiratoires déclarés dans le courant de la semaine dernière, au niveau
    national. Malgré les cas à la hausse, la Roumanie ne se confronte pas encore à
    une épidémie, ont fait savoir les autorités. Selon le responsable de la Santé,
    en ce moment, le taux de positivité est de 37% et le pic est attendu entre le
    15 janvier et le 10 février, après quoi, le nombre des cas diminuera. Le
    Ministère de l’Education a précisé que malgré la recrudescence des cas de
    grippe, les cours reprendront à partir du 9 janvier, comme prévu.


    CSM
    – Le chef de l’Etat roumain a participé jeudi à la réunion de constitution du
    Conseil supérieur de la Magistrature. «Je vous encourage à prendre attitude à
    chaque fois que l’indépendance de la justice est mise en danger suite à des immixtions
    politiques » a transmis Klaus Iohannis aux nouveaux membres du
    Conseil. La société roumaine a besoin « de transparence, d’intégrité et de
    professionnalisme » de la part des magistrats, a précisé le président
    roumain. Dans son discours, M. Iohannis a parlé de la levée du Mécanisme de
    coopération et de vérification, comme d’un véritable « succès pour la
    Roumanie, mais aussi comme d’une motivation pour que le pays poursuive les
    réformes afin de se doter d’une justice performante et indépendante ». Le Conseil
    Supérieur de la Magistrature réunit 9 juges et 5 procureurs élus par les
    magistrats, 2 représentants de la société civile élus par le Sénat auxquels
    s’ajoutent le ministre de la Justice, le président de la Haute Cour de
    Cassation et de Justice et le procureur général de la Roumanie. Le mandat des
    membres du CSM est de 6 ans, sans aucune possibilité de prolongement.





































    Tennis – La joueuse roumaine de tennis, Irina Begu, s’est
    qualifiée jeudi dans les quarts de finale du tournoi d’Adelaïde d’Australie,
    suite à une victoire contre la Lettone, Jelena Ostapenko. Le prochain match,
    Begu le disputera contre la Russe, Veronika Kudermetova. Jeudi encore, une
    autre roumaine, Sorana Cîrstea, a perdu dans les quarts de finale face à la
    Tunisienne, Ons Jabeur, favorite du tournoi.
















    Météo
    – Les températures chuteront dans les 24 prochaines heures, notamment dans le
    nord, le centre et le nord-est de la Roumanie, tout en continuant à se situer
    au-delà de la moyenne de température saisonnière. Quelques flocons de neige
    tomberont sur les sommets des Carpates, tandis que les pluies toucheront les
    régions de plaine. Une alerte jaune au vent très fort et aux tempêtes de neige
    est en vigueur jusqu’à vendredi, à midi, notamment en altitude, à plus de 1700
    mètres. Les températures iront vendredi de 2 à 13 degrés.

  • 05.01.2023

    05.01.2023

    Fonds européens – C’est à 11,3 milliards d’euros que s’est chiffrée l’absorption des fonds structurels l’année dernière, affirme le premier ministre roumain Nicolae Ciuca. Il précise que c’est le niveau le plus élevé atteint depuis que la Roumanie a accédé aux financements européens et pour l’année 2023, el le gouvernement compte maintenir le même niveau et même le dépasser. Selon le premier ministre roumain, afin de réaliser des cibles proposées il faut de la solidarité, du dialogue avec les partenaires sociaux, de la coordination entre les ministères et pas dernièrement de la stabilité politique.

    Roumanie – Moldova – La relation entre la République de Moldova et la Roumanie n’est pas conditionnée par les bonnes ou les mauvaises relations avec la Russie mais par la manière dont nous regardons vers l’avenir et nous apprécions les valeurs qui nous unissent, a dit l’ambassadeur moldave de Bucarest, Victor Chirila. « La Roumanie est l’Etat qui aidera et qui sera aux côtés de la République de Moldova en toute situation, d’une manière inconditionnelle. » a déclaré le diplomate dans le cadre d’une émission à la radio. Il a également souligné que les relations entre Chisinau et Bucarest enregistraient une évolution ascendante. « Nous avons vu au cours de l’année dernière combien importante est la Roumanie pour nous. Mais pas uniquement au cours de l’année dernière, mais aussi durant la pandémie, la Roumanie a été à nos côtés et nous a offert tout leur soutien pour faire face à la pandémie. » a dit le responsable moldave. Victor Chirilă a évoqué aussi l’aide accordée par la Roumanie durant les derniers mois de l’année 2022, lorsque la République de Moldova s’est confrontée à une crise énergétique. Pour sa part, l’ambassadeur de la Roumanie à Chisinau, Cristian-Leon Țurcanu, a réaffirmé que les deux Etats « partagent une relations spéciale reposant sur la communauté de langue, histoire et culture. » Il a rappelé aussi l’initiative des ministres des Affaires Etrangères de la Roumanie, de l’Allemagne et de la France qui ont lancé la plate-forme d’appui à la République de Moldova et a promis que Bucarest continuerait à s’impliquer activement au niveau européen et international pour la mobilisation d’assistance robuste – financière, technique et politique ay bénéfice de la République de Moldova.

    Santé – Les autorités sanitaires pourraient déclarer aujourd’hui l’épidémie de grippe en Roumanie, si le bilan des trois dernières semaines indique la nécessité de cette mesure. Le ministre de la Santé, Alexandru Rafila, a affirme que même si l’épidémie est déclarée des restrictions ne seraient pas introduites, mais que des mesures seront adoptées au niveau des établissements de santé, telles la limitation des visites des malades hospitalisés durant cet état d’épidémie. Les mesures liées au respect des mesures de protection du personnel et des malades dans les hôpitaux s’intensifient également, y compris par le port du masque et par le tri épidémiologique, afin d’éviter que les personnes souffrant de viroses respiratoires se rendent au travail.

    Ukraine – Le nombre et la virulence des critiques s’intensifient en Russie après les frappes ukrainiennes de la nuit du Nouvel An contre les militaires russes hébergés dans une caserne à Makiivka dans l’est occupé de l’Ukraine qui auraient fait au moins 89 morts. L’état major ukrainien a confirmé que ses forces avaient fait ces frappes à l’aide de systèmes de missiles américains HIMARS et affirme avoir fait 400 morts et 300 blessés. Les Etats Unis, qui depuis le déclenchement de l’invasion russe le 24 février épaulent politiquement, logistiquement et financièrement l’Ukraine n’ont pas commenté ces chiffres, mais le porte parole du Conseil national de Sécurité, John Kirby, a dit qu’il n’avait « aucun regret de la part de l’administration américaine ». «C’est la guerre. Les Ukrainiens ont été envahis et ils ripostent » a souligné M Kirbyu ajoutant que « les soldats russes se trouvant sur leur territoire étaient une cible légitime ».

    Météo – Températures à la baisse sur un fond d’instabilité en Roumanie. Il pleut sur le nord et des précipitations mixtes pluie-neige sont attendues sur le centre du pays. Il neige enfin en montagne. Les maxima iront de 6 à 14 degrés avec une maxima qui tourne autour des 10 degrés à Bucarest.