Radio România Internațional

Tag: Jean Claude Juncker

  • Nachrichten 11.01.2019

    Nachrichten 11.01.2019

    Bukarest: Das erste Mandat der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft ist eine gute Gelegenheit für Bukarest, sein Engagement für die Konsolidierung des europäischen Projekts zu bekräftigen – sagte der rumänische Präsident Klaus Iohannis während seines Treffens mit dem Präsidenten der Europäischen Kommission Jean-Claude Juncker und mit den europäischen Kommissaren. Laut Iohannis wird dieses Mandat den Wunsch Rumäniens unterstreichen, ein erfolgreiches, ergebnisorientiertes Mandat zu haben, das die europäische Agenda unter Berücksichtigung des komplexen Hintergrunds der folgenden sechs Monate vorantreiben wird. Die rumänische EU-Ratspräsidentschaft muss, in einem schwierigen Moment für Europa, Hoffnung geben, und aus diesem Grund wird sie in mehreren Stufen unterteilt, sagte der Chef der Europäischen Kommission. Jean Claude Juncker und die Mitglieder des Europäischen Kommission, die am Donnerstag in Bukarest eingetroffen sind, werden von der Ministerpräsidentin Viorica Dancila und anderen Ministern empfangen. Ihr Besuch in Bukarest erfolgt vor dem Hintergrund, der Übernahme durch Rumänien der EU-Ratspräsidentschaft, die am Donnerstag Abend durch eine Reihe von Reden über die Bedeutung dieses Ereignisses und den Platz Rumäniens innerhalb der EU geprägt wurde.



    Bukarest: Papst Franziskus wird vom 31. Mai bis zum 2. Juni Rumänien besuchen, kündigte die Präsidialverwaltung in Bukarest an. Der Papst soll in der Hauptstadt Bukarest, den Städten Iasi und Blaj erwartet werden. Zuletzt hat Papst Johannes Paul II. im Jahre 1999 einen historischen Rumänien abgestattet. Dieser war der erste Besuch eines Papstes in einem Land mit einer orthodoxen Mehrheit nach dem Schisma von 1054. Papst dankte der rumänischen orthodoxen Kirche für seine Einladung zu einem unvergesslichen ökumenischen Besuch in einem Land, das er als Brücke zwischen West und Ost bezeichnete.



    Brüssel: Am Freitag ist eine Initiative mit dem Titel Europe Cares ins Leben gerufen worden, die in sieben europäischen Ländern (einschließlich Rumänien) zu einem Sprachrohr für Eltern mit behinderten Kindern werden soll. Durch diese Initiative fordern Eltern eine integrative Schulbildung für ihre Kinder. Derzeit sehen die Rechtsvorschriften der EU keine Schulbildung für behinderte Kinder vor, was eine Reihe von Themen wie Ausgrenzung oder Segregation fördert. In Europa leben derzeit 70 Millionen Menschen mit Behinderung.



    Brüssel: Die Transportkommission im Europäischen Parlament verzichtet darauf, eine Reihe von Maßnahmen zu erlassen, die von osteuropäischen Transportunternehmen, darunter auch rumänischen, als diskriminierend angesehen werden. Diese protestierten am Donnerstag in Brüssel gegen die Änderung der einschlägigen Gesetze vor dem Hintergrund eines wachsenden Protektionismus in westeuropäischen Staaten. Nach Ansicht der Osteuropaer würden die neuen Vorschläge die Betriebskosten erheblich beeinträchtigen und den internationalen Straßentransport innerhalb der EU einschränken. Eine Maßnahme sollte die wöchentliche Ruhezeit, die in Fahrzeugen verbracht wird, verbieten, eine weitere, die alle vier Wochen eine obligatorische Heimruhezeit diktiert. Eine weitere umstrittene Maßnahme bestand darin, Fahrzeuge bis Ende 2024 mit intelligenten Geschwindigkeitsmessern auszustatten.



    Bukarest: In Rumänien wurde in sieben Landkreisen eine gelbe Wetterwarnung herausgegeben.Der Straßenverkehr wurde auf verschiedenen Autobahnabschnitten gestört, aber laut der Generalinspektion für Notfallsituationen wurden keine Opfer gemeldet. 520 Feuerwehrleute sind bereit, im ganzen Land an Rettungsaktionen teilzunehmen. Das Wetter ist in den meisten Regionen kalt, mit moderaten Schneefällen im Zentrum und in den Bergen. Die Temperaturen liegen zwischen -7 und 3 Grad Celsius.

  • 11.01.2019

    11.01.2019

    Présidence — Le premier mandat de la Roumanie à la tête du Conseil de l’UE sera pour Bucarest une opportunité de réaffirmer son engagement en faveur du renforcement du projet européen, a déclaré vendredi le président Klaus Iohannis, lors de son entrevue avec le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker et avec les membres du Collège des commissaires. Cette présidence va également mettre en évidence le fait que la Roumanie souhaite exercer avec succès ce mandat et l’orienter vers des résultats concrets, qui contribuent à faire avancer l’agenda européen dans le contexte complexe des six mois à venir, a encore précisé le chef de l’Etat roumain. La présidence roumaine du Conseil de l’UE doit donner de l’espoir, vu le moment difficile que traverse l‘Europe, a déclaré à son tour le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui se trouve à Bucarest, accompagné des membres du Collège des commissaires. Ce vendredi sont également prévues des rencontres avec la cheffe du cabinet de Bucarest et avec ses ministres. La visite à Bucarest des membres de la Commission européenne a lieu dans le contexte de la reprise officielle par la Roumanie de la présidence du Conseil de l’UE. L’événement a été marqué, jeudi soir, à l’Athénée roumain de Bucarest, par des allocutions sur l’importance de ce moment et sur le rôle de la Roumanie au sein de l’UE.



    Visite — La première ministre roumaine Viorica Dancila a eu jeudi une entrevue avec la ministre française chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, en visite à Bucarest du 9 au 11 janvier. Les discussions ont porté sur l’étroite collaboration entre les deux pays dans différents domaines, dans le cadre du Partenariat stratégique. La cheffe de l’Exécutif de Bucarest a affirmé que la Saison culturelle France-Roumanie, récemment inaugurée, représente une excellente occasion de faire connaître des aspects relavant des différents domaines d’activité et de consolider la coopération bilatérale culturelle, scientifique et économique. Viorica Dăncilă a également rappelé la contribution de la communauté roumaine de France à l’approfondissement des rapports économiques bilatéraux et au développement des deux pays.



    Initiative — Lancement, ce vendredi, de l’Initiative civique “Europe cares” (“l’Europe s’en soucie”), par le biais de laquelle les parents d’enfants porteurs de handicap de 7 pays membres de l’UE, dont la Roumanie, ont décidé de faire entendre leur voix et de plaider en faveur du droit de ces enfants à l’éducation inclusive. L’UE ne dispose pas de législation dédiée à cette catégorie de personnes, ce qui cause nombre de problèmes, tels l’exclusion et la ségrégation. Il n’y a pas non plus de mesures censées aider les élèves de cette catégorie à intégrer l’enseignement général obligatoire. Le Centre européen pour les droits des enfants en situation de handicap a aidé, ces 8 dernières années, plus d’un millier d’enfants de Roumanie à obtenir le droit à l’éducation. A noter que plus de 70 millions de personnes atteintes d’un handicap vivent en Europe.



    Transporteurs — Des représentants des transporteurs roumains manifestent, ce vendredi, devant le siège du Bureau de représentation de la Commission européenne à Bucarest, contre les nouvelles réglementations européennes dans ce domaine. La protestation est organisée par l’Union nationale des transporteurs routiers, qui a précisé que sur le moyen et long terme ces mesures risquent d’engendrer des discriminations entre l’Ouest et l’Est de l’Europe. Elles entraîneraient, selon les protestataires, une croissance significative des coûts de fonctionnement et restreindraient les transports routiers internationaux dans l’espace communautaire. Cette manifestation, qui coïncide avec la visite à Bucarest du président de la Commission européenne, Jean-Claude Junker et des membres du Collèges des commissaires, se propose d’attirer l’attention des responsables européens et du gouvernement roumain sur le danger que ces nouvelles lois représentent pour les transporteurs. Suite à une protestation similaire organisée à Bruxelles par les transporteurs de pays d’Europe de l’Est, la commission spécialisée du Parlement européen a renoncé à certaines mesures considérées comme discriminatoires par les manifestants.



    Statistiques — Avec 83 médecins dentistes pour cent mille habitants, la Roumanie compte parmi les pays de l’UE à avoir recensé en 2016 le plus grand nombre de spécialistes de ce domaine, révèlent les données rendues publique ce vendredi par l’Office statistique de l’UE (Eurostat). Au pôle opposé se trouve la Pologne avec 33 chirurgiens dentistespour cent mille habitants. Par ailleurs, Malte enregistre le nombre le plus élevé de pharmaciens diplômés, soit 133 pour 100 000 habitants, alors que les Pays Bas n’en compte que 21pour cent mille habitants. En ce qui concerne les physiothérapeutes, c’est l’Allemagne qui se situe en tête du classement avec 225 spécialistes pour 100.000 habitants, alors que la Roumanie arrive en queue de peloton. Notons qu’en 2016, on recensait sur l’ensemble de l’UE 360.000 chirurgiens dentistes, 450.000 de pharmaciens et 550.000 physiothérapeutes.


  • Le semestre européen de la Roumanie

    Le semestre européen de la Roumanie

    Admise dans les structures européennes le 1er janvier 2007, la Roumanie exerce, en première, la présidence semestrielle du Conseil de l’Union européenne, qu’elle a reprise de l’Autriche et qu’elle remettra à la Finlande. En mars prochain, le Brexit deviendra officiel et devra être géré, de même que les lignes fondamentales du prochain cadre financier, 2021-2027, et une stratégie cohérente dans le domaine de la migration. Au total, 257 dossiers seront débattus en l’espace de seulement quatre mois, parce que le début de la campagne pour les élections européennes est prévu en mai.



    Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et les membres du Collège des Commissaires, le président du Parlement européen, Antonio Tajani, et celui du Conseil européen, Donald Tusk, ont fait le déplacement à Bucarest. Le cadre des festivités a été le bâtiment emblématique de la capitale roumaine, l’Athénée, grande salle de musique du centre-ville. Le moment a été marqué aussi par un concert donné par l’Orchestre de l’UE. Les allocutions des plus hauts responsables politiques roumains et communautaires ont exprimé, à l’unisson, la confiance que le semestre de la présidence roumaine serait une histoire à succès. Dans un discours mémorable, prononcé intégralement en roumain, et qui a ému toute l’assistance, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a avoué combien importante pour lui est l’œuvre des grands intellectuels ou encore les performances sportives de grands champions roumains. Donald Tusk :



    « L’épisode qui m’est resté le mieux en mémoire, c’était la finale de la Coupe des clubs champions européens de football de Séville, en 1986, quand Steaua Bucarest a vaincu le FC Barcelone. Et je voudrais faire appel à tous les Roumains de défendre, en Roumanie et en Europe, les fondements de notre civilisation politique — la liberté, l’intégrité, le respect de la vérité dans la vie publique, l’Etat de droit et la Constitution. De les défendre avec la même détermination que Helmuth Duckadam a défendu les quatre pénalités de suite », a-t-il dit, faisant référence au gardien de but légendaire de l’équipe roumaine.



    « 2019 sera une année déterminante pour la Roumanie. La présidence roumaine devra guider le Conseil de l’UE en un moment où les Européens réclament une Europe plus efficace », a rappelé le président du Parlement européen, Antonio Tajani. Tant lui que le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, ont réitéré leur conviction que la Roumanie doit faire partie de l’espace Schengen. Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a affirmé que, par la présidence du Conseil de l’UE, la Roumanie reprend un rôle de premier ordre au niveau européen, avec pour objectif principal de contribuer à consolider une Europe plus puissante :



    « En tant que partie intégrante de cette communauté européenne, il incombe maintenant à la Roumanie de faire avancer notre agenda commun. Plus d’unité et de cohésion, telle est la voie que nous proposons pour les six prochains mois et que nous devrons tous suivre avec esprit de suite. »



    A son tour, a cheffe du cabinet de Bucarest, Viorica Dăncilă, a promis :



    « Nous prouverons que la Roumanie a pleinement gagné son rôle et sa position d’Etat membre à part entière de l’UE. Nous prouverons que la Roumanie mérite le respect de la communauté européenne et le statut de partenaire égal dans la grande construction européenne. »



    Cependant, tout n’a pas été festif jeudi soir à Bucarest. Les accords classiques et les applaudissements à l’Athénée ont été doublés, dans la rue, sous la neige qui tombait sur la ville, par une protestation à l’initiative de plusieurs organisations civiques, sous la devise « Nous voulons l’Europe, pas la dictature ». Quelques centaines de personnes y ont pris part. « Nous sommes Européens, nous pensons comme les Européens, nous sommes guidés par les valeurs européennes, mais nos leaders sont encore corrompus, et les valeurs que nous apprécions ne sont rien pour eux », a affirmé l’un des protestataires. Les analystes et la presse — tant étrangère que roumaine — prévoient, d’ailleurs, que l’exercice par la Roumanie de la présidence tournante du Conseil de l’UE « ne gèlera pas la vie politique interne ». Surtout en une année aux enjeux électoraux majeurs — les élections européennes du printemps prochain et la présidentielle prévue en fin d’année.


    Trad.: Ligia

  • Priorităţi şi probleme ale UE

    Priorităţi şi probleme ale UE

    România are o misiune pe
    cât de onorantă, pe atât de dificilă: timp de şase luni, coordonează, în premieră,
    întreaga activitate a Uniunii Europene. Momentul de debut este marcat prin
    prezenţa, la Bucureşti, joi şi vineri, a preşedintelui Comisiei Europene, Jean-Claude
    Juncker    , şi a întregii sale echipe de comisari. România este pregătită şi la
    nivel politic, şi la nivel tehnic – a reiterat premierul Viorica Dăncilă, care va prezenta, săptămâna viitoare, în plenul Parlamentului European,
    priorităţile mandatului românesc: Înţelegem pe deplin oportunitatea pe
    care o avem de a fi văzuţi acţionând împreună pentru România, dar şi pentru
    Uniunea Europeană. Fiecare ministru al Cabinetului are pe masa de lucru
    dosarele la nivel european şi începând cu data de 21, luna aceasta, vor merge
    în comisiile de specialitate din cadrul Parlamentului European.


    Bucureştiul
    – a promis şefa Executivului -va facilita consensul. Obiectivele preşedinţiei pe care o va deţine
    timp de şase luni sunt legate de Brexit, de viitorul buget al Uniunii, de
    apropiatele alegeri europarlamentare, de politica agricolă comună, dar şi de noile
    provocări legate de migraţie, terorism şi politica de azil    . În plan extern,
    Uniunea Europeană doreşte să dezvolte
    Parteneriatul Estic şi va trebui să gestioneze
    relaţiile cu Rusia, din perspectiva imixtiunii în procesele democratice, sau
    situaţia din Ucraina.


    Sunt şi provocări de ordin economic ce ţin de relaţiile
    cu Statele Unite şi China. România şi-a fixat ‘coeziunea’ ca motto al preşedinţiei
    Consiliului Uniunii, pentru că acest principiu este fundamental pentru evoluţia
    proiectului european, a mai explicat premierul Viorica Dăncilă: Toate acţiunile pe care le vom derula în următoarele 6 luni vor fi
    pentru susţinerea şi consolidarea acestui concept de coeziune, pe care se
    sprijină întreaga arhitectură europeană. Vom acţiona pentru reducerea
    diferenţelor de dezvoltare, pentru accesul egal la beneficii, pentru
    înlăturarea factorilor care generează separări sau ierarhizări între statele
    membre.


    De la Bruxelles, completări au venit din partea vicepreşedintelui Comisiei
    Europene, finlandezul Jyrki Katainen, care a adăugat că printre priorităţile
    din acest moment ale blocului comunitar figurează respectarea statului de drept
    în unele ţări europene, aici amintind Polonia, Ungaria, dar şi România    . Europa
    – a mai punctat oficialul european – se bazează pe valori solide, cum ar fi
    statul de drept, drepturile omului, demnitatea umană, independenţa sistemului
    judiciar, libertatea presei şi de expresie. Este o problemă fundamentală – a
    precizat Jyrki Katainen – dacă aceste valori sunt atacate, contestate.

  • Jurnal românesc – 10.01.2019

    Jurnal românesc – 10.01.2019

    Colegiul
    Comisarilor Europeni condus de şeful Comisiei Europene, Jean-Claude Juncker,
    preşedintele Parlamentului European, Antonio Tajani şi preşedintele Consiliului
    European, Donald Tusk se află la Bucureşti pentru a marca preluarea oficială de
    către România a preşedinţiei rotative a Consiliului Uniunii Europene. În cele
    şase luni de mandat, ţara noastră trebuie să gestioneze dosare importante,
    precum bugetul Uniunii pentru prioada 2021-2027, Brexit-ul, alegerile
    europarlamentare, politica agricolă şi de coeziune. Premierul Viorica Dăncilă a
    reiterat, pentru Radio România, că guvernul este pregătit din toate punctele de
    vedere pentru acest mandat şi îşi propune să promoveze consensul în toate
    dosarele europene. Referitor la ieşirea Marii Britanii din blocul comunitar,
    premierul a declarat că, indiferent de modul în care vor evolua negocierile,
    prioritatea UE trebuie să rămână protejarea drepturilor cetăţenilor europeni,
    inclusiv cei români, care locuiesc, muncesc sau studiază în Regatul Unit.
    În ceea ce priveşte mobilitatea, România va susţine o abordare cât mai
    ambiţioasă în cooperarea viitoare dintre Marea Britanie şi Uniunea Europeană,
    în special în ceea ce priveşte continuarea aplicării principiilor de coordonare
    a sistemelor de securitate socială, a spus prim-ministrul, care a precizat că acest
    aspect ar fi atât în beneficiul cetăţenilor europeni din Marea Britanie, cât şi
    al celor britanici stabiliţi în statele membre. Mandatul României se încheie la
    30 iunie 2019, iar de la 1 iulie şefia Consiliului UE va fi preluată de
    Finalnda.




    Ministrul pentru
    Românii de Pretutindeni, Natalia-Elena Intotero, a primit vizita ambasadorului
    Japoniei în România, Hitoshi Noda, cu care a discutat despre prioritățile și
    proiectele Ministerului, despre comunitatea românească din Japonia și
    posibilitatea unei colaborări cât mai strânse între instituţie și partea
    japoneză pe proiecte comune. Cei doi oficiali și-au exprimat disponibilitatea
    continuării dialogului sub cele mai bune auspicii. Potrivit datelor oficiale
    prezentate de autoritățile nipone în decembrie 2018, numărul cetățenilor români
    înregistrați oficial în Japonia este de 2822, în creștere față de anul
    precedent. Conaţionalii sunt, în principal, concentraţi în comunităţi din zona
    metropolitană Tokyo, din Osaka, Kanagawa, Aichi și Saitama.


    Preşedintele Klaus
    Iohannis l-a decorat pe fostul vicepremier responsabil pentru politicile de
    reintegrare în Guvernul Republicii Moldova Gheorghe Bălan cu Ordinul Naţional
    Pentru Merit în grad de Comandor. Potrivit Administraţiei Prezidenţiale
    distincţia i-a fost acordată în semn de înaltă apreciere pentru
    contribuţia importantă avută la consolidarea Parteneriatului strategic dintre
    România şi Republica Moldova, prin iniţiative menite să aprofundeze
    interconectarea societăţilor din cele două state.




    Numărul total de
    cetăţeni români cu drept de vot înscrişi în Registrul Electoral la data de 31
    decembrie 2018 era de 18.937.058, cu 5.211 mai mic decât la data de 30
    noiembrie 2018, informează Autoritatea Electorală Permanentă. Potrivit instituţiei,
    diferenţa este cauzată de radierile efectuate de primării în urma deceselor sau
    a interzicerii exercitării dreptului de a alege. Din totalul alegătorilor
    români care figurează în Registrul Electoral, 18.266.131 au domiciliul sau
    reşedinţa în ţară, iar 670.927 au domiciliul în străinătate şi sunt posesori de
    paşaport electronic. Cei mai mulţi cetăţeni români cu drept de vot din afara
    graniţelor ţării, înscrişi în Registrul Electoral, se află în Republica Moldova
    – 212.558, Germania – 99.308, Statele Unite ale Americii – 59.836, Italia -
    56.343, Canada – 42.760, Israel – 36.115 şi Spania – 35.996.

  • 09.01.2019 (mise à jour)

    09.01.2019 (mise à jour)

    Présidence – Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et le Collège des commissaires arrivent jeudi à Bucarest, pour le lancement officiel de la présidence roumaine du Conseil de l’Union européenne. Le président du Parlement européen, Antonio Tajani, et le président du Conseil européen, Donald Tusk, seront également présents à cet événement. Le moment sera marqué par un concert à l’Athénée roumain, donné par l’Orchestre de l’UE, qui jouera la Rhapsodie roumaine n° 1 de George Enescu et l’Hymne à la joie de Beethoven, devenu en 1985 l’Hymne de l’Union européenne. Des organisations civiques de Bucarest ont demandé à la municipalité d’approuver l’organisation, en parallèle, devant l’Athénée, d’une marche de protestation sous le slogan On veut l’Europe, non pas la dictature. L’occasion pour un vice maire de la capitale d’affirmer que la loi ne permet pas l’organisation de deux événements en même temps et au même endroit. Pourtant, les initiateurs de la marche affirment agir au terme des décisions de la CEDO qui protègent la liberté d’expression. Vendredi, M Juncker rencontrera le président Klaus Iohannis et la première ministre Viorica Dăncilă, ainsi que les leaders des deux Chambres du parlement. Les responsables européens ont également prévu des discussions au gouvernement avec les ministres roumains qui dirigeront pendant six mois, à Bucarest et à Bruxelles, des réunions de travail avec leurs homologues des Etats membres.

    Commissaire – La Roumanie n’a pas réussi à tirer de l’argent européen sur l’ensemble des sommes allouées à l’exercice budgétaire 2014-2020 pour financer des programmes de lutte contre le chômage dans les rangs des jeunes âgés de 18 à 25 ans, a reproché dans un article paru sur Internet, la commissaire européenne à la Politique régionale, la Roumaine, Corina Cretu. Et elle de préciser, que les sommes destinées à l’Initiative pour l’emploi des jeunes lancée en 2015, auraient pu être accéder avant le 30 juin 2018. Suite aux données rendues publiques par la Commission européenne, la Roumanie aurait disposé de 329 millions d’euros de fonds, sur lesquelles, elle a bénéficié de seulement 300 milles euros. Du coup, Mme Cretu a critiqué le gouvernement PSD-ALDE. Issue des rangs des sociaux- démocrates, Mme Cretu arrivera au bout de son mandat de commissaire en 2020 et pour l’instant, le PSD ne lui a pas offert de place sur la liste des candidats aux euro-parlementaires prévues en mai.

    Leu – La monnaie nationale, le leu, a atteint mercredi un minimum historique par rapport à l’euro, a fait savoir la Banque centrale de Roumanie. Mercredi matin, un euro valait 4,672 lei, un dollar 4,08 lei et le franc suisse 4,16 lei.


    Armée– Le chef de l’Etat major de la Défense le général Nicolae Ciucă, a participé mercredi à Bruxelles, à la cérémonie qui marque le début du mandat roumain à la présidence du Conseil de l’UE au niveau du Comité militaire de l’Union. Mercredi toujours, le ministère de la Défense a annoncé que, bien qu’ayant porté plainte auprès de l’Administration présidentielle sollicitant la révocation du décret signé par le président Klaus Iohannis prolongeant le mandat du général Ciucă à la tête des Armées, le ministère de la Défense apprécie que la prorogation du mandat du général Ciuca devrait parcourir la même procédure que lors de la première nomination à ce poste, c’est-à-dire sous proposition du ministre Gabriel Leş, et avec l’aval de la première ministre Viorica Dăncilă.

    Migrants – La Roumanie est le seul Etat membre du centre et du sud de l’espace communautaire à avoir accepté de recevoir sur son sol cinq des migrants originaires du nord de l’Afrique qui ont débarqué à Malte ces derniers jours. Il s’agit de deux bateaux qui se trouvaient au large des cotes maltaises avec 49 immigrés embarqués, et dont la permission d’accoster leur avait été refusée. Selon le Ministère roumain des Affaires étrangères, l’offre roumaine se concrétisera dans le cadre législatif en vigueur et en conformité avec le Règlement Dublin II, régissant la gestion de telles situations humanitaires dans l’espace communautaire. Selon les AE, la décision se veut un geste de solidarité et un exemple de bonnes pratiques de l’Etat qui détient la présidence tournante du Conseil de l’UE, un exemple censé encourager les autres Etats membres de suivre l’exemple. Selon le premier ministre maltais Joseph Muscat, les immigrés seront répartis dans huit Etats membres de l’UE: la Roumanie, l’Allemagne, la France, le Portugal, l’Irlande, le Luxembourg, les Pays-Bas et l’Italie.

    Séisme – Un séisme de magnitude 4,3 sur l’échelle ouverte de Richter s’est produit mercredi, dans l’après-midi, dans la région sismique de Vrancea, dans l’est de la Roumanie. La secousse qui a eu lieu à 150 km en profondeur est la plus forte enregistrée en Roumanie depuis le début de l’année. Rappelons-le, le 4 mars 1977, un tremblement de terre de 7,2 sur Richter s’est produit en Roumanie, en provoquant la mort de 1570 personnes et des dégâts dépassant les deux milliards de dollars. Les experts avertissent qu’une secousse similaire à celle de 77 risquerait de provoquer l’effondrement de plusieurs centaines de bâtiments de Bucarest.

    Théâtre– La confession, une production du Théâtre national radiophonique de la Radiodiffusion roumaine est une des trois productions finalistes de la BBC Audio Drama Awards, dans la section du Meilleur drame européen. La pièce est réalisée par Ilinca Stihi et repose sur un scénario signé Doina Papp, d’après le roman Les démons de Dostoievski. Les prix BBC Audio Drama récompensent l’originalité et la qualité des spectacles radiophoniques. Le gala aura lieu le dimanche, 3 février, à Londres.


    Tennis – La paire roumaino – chinoise Monica Niculescu – Zhaoxuan Yang s’est qualifiée mercredi dans les demi-finales du tournoi WTA de Hobart (Australie), après avoir vaincu en deux sets, 6-1, 6-4, le couple roumaino-kazakh Raluca Olaru/Galina Voskoboeva. En quarts toujours, les joueuses roumaines Irina Begu et Mihaela Buzarnescu ont été battues par la Russe Anastasia Potapova et l’Ukrainienne Daiana Iastremska, 6-4, 7-6 (3). En revanche, dans l’épreuve simple dames, Begu s’est qualifiée dans les demi-finales, après avoir éliminé la Russe Ana Blinkova en trois sets. Saprochaine adversaire sera la Slovaque Anna Karolina Schmiedlova. A Sidney, la numéro un mondial Simona Halep, a été battue en huitièmes de finale par l’Australienne Ashleigh Barty, en deux sets, lors de son premier match de l’année. Le prochain tournoi de Simona Halep sera l’Australian Open, le premier Grand Chelem de l’année, où elle est arrivée en finale l’année passée.

    Météo – Le temps demeure morose, mais les températures sont en légère hausse. Des pluies sont attendues sur le sud du pays. Les températures minimales iront de -13 à 3 degrés et celles maximale de -6 à 7 degrés.

  • Jurnal românesc – 07.01.2019

    Jurnal românesc – 07.01.2019

    Ministerul pentru
    Românii de Pretutindeni anunţă că tratează cu prioritate situația românilor
    care sunt afectați de decizia prin care autoritățile de la Viena reduc
    alocațiile copiilor cetățenilor europeni care lucrează în Austria, în funcție
    de statul de rezidență al minorilor.     În cazul României este vorba de o indexare
    cu 0,484, coeficient care reprezintă diferenţa dintre nivelul preţurilor dintre
    cele două ţări calculată conform unui indicator la nivel european, scrie
    Mediafax. Concret, beneficiile primite de românii din Austria urmează să fie
    înjumătăţile, precizează agenţia de presă. Ministerul pentru Românii de
    Pretutindeni consideră că această indexare a alocațiilor nu reflectă principiul
    egalității și al nediscriminării, valorile comune pe care este fondată Uniunea
    și nici principiul Uniți în diversitate pe care s-a consolidat
    proiectul european.

    Vorbim despre o lege care îi afectează nu doar pe
    români, ci și pe cetățenii altor state din Uniune. Așadar, este o problemă la
    nivel european ce trebuie abordată la nivel european și, în acest sens, avem
    încredere în instituțiile și mecanismele Uniunii Europene    , a declarat
    ministrul Natalia-Elena Intotero. Românii au același obligații ca
    cetățenii din statele unde muncesc. Merită să aibă și aceleași drepturi,
    a precizat demnitarul. Şi Ministerul Afacerilor Externe a reacţionat după
    decizia Vienei. Reprezentanţii MAE apreciază că legea privind ajutarea
    nivelului alocaţiilor pentru copiii nerezidenţi ai muncitorilor din Austria
    este o decizie care contravine legislaţiei Uniunii Europene şi creează o
    situaţie discriminatorie. Românii care locuiesc în Austria plătesc
    impozite şi taxe ca orice alt cetăţean. Ei contribuie la bugetul statului
    respectiv. Luăm în considerare posibilitatea să ne adresăm Curţii Europene de
    Justiţie pe această temă,     a declarat ministrul de externe Teodor
    Meleşcanu.










    Ministerul
    Afacerilor Externe anunţă că a lansat site-ul oficial al Preşedinţiei României
    la Consiliul Uniunii Europene, mandat pe care România l-a preluat la 1 ianuarie
    2019.     Pagina web, disponibilă la adresa www.romania2019.eu în limbile română,
    engleză și franceză, conţine calendarul de evenimente pentru prima jumătate a
    anului 2019, Programul Trio-ului România-Finlanda-Croația și detalii privind
    arhitectura instituțională a Uniunii Europene. După data de 15 ianuarie 2019,
    pe pagina web va fi afişat şi Programul Preşedinţiei României la Consiliul UE.
    România va exercita până la 30 iunie 2019 Președinția Consiliului Uniunii
    Europene. Mandatul se asigură prin rotație între statele membre ale Uniunii
    Europene la fiecare șase luni.




    Ceremonia oficială
    de lansare a preşedinţiei române a Consiliului Uniunii Europene are loc
    săptămâna aceasta la Bucureşti.     Momentul va fi marcat de vizita de lucru a
    Colegiului Comisarilor, în frunte cu preşedintele executivului european,
    Jean-Claude Juncker şi de o reuniune la nivel de directori politici din
    ministerele de externe ale statelor membre. Şeful Comisiei Europene,
    Jean-Claude Juncker, are programate întâlniri cu preşedintele Klaus Iohannis şi
    cu prim-ministrul Viorica Dăncilă. România şi-a fixat coeziunea ca motto al mandatului
    şi are ca prioritate a primelor trei luni finalizarea dosarelor legislative
    care depind de colaborarea cu Parlamentul European, a anunţat ministrul delegat
    pentru afaceri europene, George Ciamba. El a precizat că ţara noastră are de
    administrat şi un eventual Brexit fără acord cu Uniunea Europeană. Ministrul
    George Ciamba a mai spus că a doua parte a preşedinţiei române a Consiliului UE
    va fi dedicată summitului de la Sibiu pentru viitorul Europei.

  • România preia preşedinţia Consiliului UE

    România preia preşedinţia Consiliului UE

    Admisă în structurile comunitare pe 1 ianuarie 2007, România va exercita, în premieră, de marţi, Preşedinţia semestrială a Consiliului Uniunii Europene, pe care o preia de la Austria şi o va preda Finlandei. Şeful Executivului comunitar, Jean-Claude Juncker, a amintit că, în acest interval, va trebui gestionată oficializarea Brexitului, programată în martie. Trebuie, de asemenea, stabilite liniile de bază ale cadrului financiar viitor, 2021-2027, şi o strategie coerentă pe tema migraţiei. În total, 257 de dosare vor fi dezbătute în doar patru luni, fiindcă în mai începe campania electorală pentru europarlamentare.



    Unul dintre personajele cheie ale dosarului Preşedinţiei, ministrul delegat pentru Afaceri Europene, George Ciamba, a explicat, la Radio România, că Bucureştiul vrea să realizeze un cadru de negociere a bugetului: Practic, la momentul acesta, ceea ce primim de la preşedinţia austriacă este doar o inventariere a tuturor problemelor şi conexiunilor care pot apărea sau pe care ţările membre le vor între diverse seturi de politici şi, inclusiv, în ceea ce priveşte setul de alocări.”



    La rândul său, ministrul de Externe, Teodor Meleşcanu, a anunţat, în exclusivitate pentru Radio România, că vrea să obţină calificarea Mării Negre drept zonă prioritară şi pentru Uniunea Europeană, aşa cum este acum pentru NATO. Teodor Meleşcanu: Una din preocupările pe care le vom avea în timpul preşedinţiei este să venim cu propuneri referitoare la dezvoltarea colaborării în Marea Neagră, în general, creşterea unor măsuri de încredere între statele membre, promovarea turismului, a interconectivităţii în materie de energie şi, în acelaşi timp, de colaborare directă a UE cu structurile regionale. Noi dorim ca UE să fie mult mai implicată şi în aceste formate regionale.”



    A fost, deja, lansat şi site-ul oficial al preşedinţiei României la Consiliul Uniunii. Pagina, disponibilă la adresa romania2019.eu, în limbile română, engleză şi franceză, conţine informaţii utile pentru jurnalişti, publicul larg şi experţi în afaceri europene. După 15 ianuarie, pe site va fi afişat programul preşedinţiei româneşti.



    Sâmbătă, într-o declaraţie comună, miniştrii Meleşcanu şi Ciamba au afirmat că exercitarea acesteia nu reprezintă un instrument de luptă politică internă, ci un proiect de ţară şi european major. Declaraţia survine după vehemente dezbateri publice, provocate de recenta mărturisire a preşedintelui Juncker că se îndoieşte că guvernul de stânga de la Bucureşti înţelege pe deplin ce înseamnă să conducă blocul comunitar. El a precizat că, din punct de vedere tehnic, România e foarte bine pregătită pentru această misiune, dar că disputa politică internă face să nu pară o entitate unită pe scena europeană. Urmează şase luni în care clasa politică de la Bucureşti are şansa de a dovedi contrariul.

  • Întărirea rolului monedei euro la nivel mondial

    Întărirea rolului monedei euro la nivel mondial

    În discursul privind starea
    Uniunii, pe care l-a susținut în luna septembrie, președintele Jean-Claude Juncker a subliniat
    importanța strategică a monedei euro și necesitatea asigurării faptului că
    moneda unică își poate îndeplini pe deplin rolul pe scena internațională    .


    În
    contextul în care va beneficia de sprijinul deciziilor viitoare de consolidare
    a uniunii economice și monetare a Europei, de finalizarea uniunii bancare și de
    înregistrarea de progrese în ceea ce privește uniunea piețelor de capital,
    moneda euro trebuie să își dezvolte rolul la nivel mondial și să reflecte pe
    deplin ponderea politică, economică și financiară a zonei euro. În acest scop,
    Comisia evidențiază beneficiile unui astfel de rol internațional consolidat al
    monedei euro pentru UE și pentru sistemul financiar internațional și propune
    inițiative menite să stimuleze credibilitatea și atractivitatea monedei unice.
    În cadrul acestui demers, Executivul european a adoptat o recomandare privind
    rolul internațional al monedei euro în domeniul energiei, promovând o utilizare
    pe scară mai largă a monedei euro în acest sector strategic.


    O
    utilizare pe scară mai largă a monedei euro în economia mondială oferă un
    potențial important pentru o mai bună protecție a cetățenilor europeni și a
    întreprinderilor europene împotriva șocurilor externe și pentru sporirea
    rezilienței sistemului financiar și monetar international, afirmă     Pierre Moscovici,
    comisarul pentru
    afaceri economice și financiare, impozitare și vamă. În opinia sa,     realizarea
    de progrese în ceea ce privește finalizarea uniunii economice și monetare este
    necesară nu numai pentru promovarea creșterii și a stabilității pe plan intern,
    ci reprezintă totodată și un proiect important care să susțină autonomia
    europeană într-o lume globalizată.


    Pierre Moscovici
    a vorbit despre importanța monedei euro la nivel mondial: Nu putem trata acest
    subiect doar din punct de vedere statistic. Nu știu toate cifrele
    pe de rost, dar dacă vă gândiţi la ce pondere au Statele Unite în PIB-ul
    mondial, o să vedeți că situația e destul de similară cu cea a UE. Suntem
    aproape la egalitate, suntem prima şi a doua putere mondială în acest moment.
    Însă dacă luaţi în considerare rolul dolarului și rolul monedei euro, veţi
    observa o diferență flagrantă. În concluzie, rolul nostru politic, economic,
    strategic, forța monedei noastre și capacitatea acesteia ne îndreptăţesc să
    jucăm un rol mult mai important decât unul strict statistic legat de ponderea
    la PIB-ul mondial. Stiți că UE e membră a grupului G20, mai multe ţări europene
    fac parte din acest grup, și cred că este absolut necesar ca rolul nostru
    geopolitic să fie dublat de un rol mai important în plan internaţional al
    monedei euro. Avem potenţial și trebuie să acţionăm în acest sens.


    Aproximativ 340 de milioane de cetățeni
    europeni utilizează bancnotele și monedele euro în fiecare zi în cele 19 state
    membre ale zonei euro    . Circa 60 de țări din întreaga lume utilizează sau vor
    utiliza euro ori și-au legat propria monedă de euro.

  • Romania’s Interior Minister, in Brussels

    Romania’s Interior Minister, in Brussels

    Migration, border management and strengthening the security of the
    Union are the home affairs priorities Romania has set for its presidency of the
    Council of the European Union, between January 1 and June 30, 2019. The
    interior minister Carmen Dan went to Brussels to present them on Thursday, at
    the last meeting of the Justice and Home Affairs Council under Austrian
    presidency.


    The visit was preceded on Wednesday by a joint meeting of Viorica
    Dancila’s Cabinet and the European Commission, whose president Jean-Claude
    Juncker voiced his confidence that Romania is able to hold the rotating
    presidency successfully.


    According to a news release issued by the Interior Ministry, a
    central element in the field of migration and border management is the
    strengthening of the European border agency, Frontex, by means of enhanced
    personnel and logistical capabilities provided by the member states. Other
    aspects on which the Romanian Interior Ministry will focus include fighting
    online content that promotes terrorism and developing the concept of Community
    Policing across the EU.


    Community Policing is an initiative of the Romanian Interior
    Ministry designed to facilitate relations between police and expat communities
    in EU member countries. According to the news release, Romania has considerable
    experience in the field, and is already conducting missions in countries like
    Italy, Spain, France and Bulgaria. Such operations have been quite successful
    in terms of preventing and fighting offences with Romanian victims or
    perpetrators living in the respective states.


    On the sidelines of the JHA Council, Minister Dan also had bilateral
    meetings with her counterparts from Bulgaria, Germany and the UK. Key topics
    included the rights of the Romanian citizens in Britain and of the British
    citizens living in Romania after Brexit, which is scheduled to take effect
    during Bucharest’s presidency of the EU Council. In turn, Romania and Bulgaria
    undertook to work together on sensitive issues such as migration. The two
    interior ministers also agreed to deploy Romanian police forces this month on a
    new mission in Bulgarian resorts, where many Romanian tourists are expected to
    spend their winter holidays.


    The next informal meeting of the Justice and Home Affairs Council is
    due to take place in Bucharest on February 6-8, 2019. In the first 6 months of
    next year, Romania is also set to host tens of other high-level events in the
    field of home affairs, including the EU – US Justice and Home Affairs
    Ministerial Meeting.

  • Guvernul României, pregătit pentru președinția Consiliului UE

    Guvernul României, pregătit pentru președinția Consiliului UE


    Pe fondul unei situații politice tensionate în țară, guvernul României condus de Viorica Dăncilă s-a aflta miercuri la Bruxelles, pentru reuniunea comună cu reprezentanții Comisiei Europene, legată de iminentul mandat al României la președnția rotativă a Consiliului UE.



    La finalul întâlnirii președintele Comisiei Europene, Jean-Claude Juncker a susnițut o declarație de presă comună, la care au participat premierul României, Viorica Dăncilă, și comisarul european pentru Politică regională, Corina Crețu. Juncker a spus că își amintește cu emoţie de ziua din aprilie 2005 când, în calitate de preşedinte al Consiliului UE de atunci, a semnat acordul de admitere a României în UE, zi pe care a descris-o drept una “a reconcilierii între istorie şi geografie”.



    Evenimente cruciale pentru UE în mandatul României



    Oficialul european și-a exprimat convingerea că Executivul de la București este pregătit să preia pentru președinția Consililului UE, la 1 iaunarie 2019, amintind de unul dintre evenimentele majore din mandatul țării noastre: “În timpul președinției române, la 29 martie, Marea Britanie va părăsi Uniunea Europeană, o dată tristă, dar România va trebui să gestioneze urmările Brexit-ului cât mai bine.”


    Președintele Comisiei Europene nu a uitat summitul de la Sibiu, unde cele 27 de state europene vor conveni viitorul cadru financiar multianual al UE pentru perioada 2021-2027, dar și crucialele alegeri europarlamentare de la finalul lunii mai a anului viitor.



    Încredere și optimism din partea guvernului român



    La rândul său, șefa Executivului de la București și-a mainifestat “optimismul” în privința preluării mandatului de președinte al Coniliului UE:


    “Eu sunt optimistă după discuţiile de astăzi. Sunt convinsă că vom gestiona cu bine multe dintre probleme, sunt convinsă că ceea ce ce ne-am propus vom reuşi în mare măsură să ducem la capăt şi chiar le spuneam colegilor, comisarilor, că văd această abordare ambiţioasă, dar şi realistă. Ambiţioasă pentru că la momentul actual sunt 257 de dosare – nu putem să rezolvăm atâtea dosare, le vom prioritiza (…) – dar în acelaşi timp realistă, pentru că noi va trebui să avem o abordare de mediator imparţial, facilitator de echilibru şi consens”, a declarat Viorica Dăncilă.



    Comisarul european Corina Crețu a urat succes autorităților de la București, considerând de bun augur prriortizarea politicii de coeziune în ceșe șase luni de președinție română a Consiliului: “În calitatea mea de comisar pentru politică regională, e foarte bine că Politica de coeziune e în centrul priorităţilor Preşedinţiei române. Aş dori să vă urez mult noroc şi să vă asigur că Comisia, domnul preşedinte, noi toţi, ne-am mobilizat la toate nivelurile să susţinem autorităţile române în asigurarea succesului preşedinţiei.”



    Juncker: Nu vreau să îmi închei mandatul fără România în spațiul Schengen



    Reuniunea de la Bruxelles a fost un prilej de a pune pe masă subiecte de mare interes pentru România precum Mecanismul de Cooperare și verificare și intrarea în spațiul Schengen.


    “Se întâlnesc în multe puncte programul comisiei şi guvernului român. Mai sunt puncte cum ar fi statul de drept, dar acest lucru nu privește preşedinţia Consiliului UE. […] Intenţia mea e ca România să ajungă membru al Spaţiului Schengen. Am atras atenţia asupra unor puncte, am lucrat împreună, nu aş vrea să îmi închei mandatul fără ca România să fi devenit membru, dar mai sunt lucruri de făcut “

  • Bucarest se dit prêt pour la présidence de l’UE

    Bucarest se dit prêt pour la présidence de l’UE

    Admise au sein des structures communautaires le 1 janvier 2007, la Roumanie assumera, en première, la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne. Tout cela, au bout d’une période marquée par des doutes quant à ses capacités de mener à bon terme une tâche d’une telle ampleur. En moins d’un an, la coalition au pouvoir PSD- ALDE a changé trois fois d’équipe gouvernementale. La persévérance dont elle a fait la preuve pour obtenir la modification des lois de la justice et des codes pénaux a été perçue comme une tentative censée subordonner les magistrats et stopper la lutte anticorruption.

    Cela fait un bon moment qu’une bataille politique se livre ouvertement entre l’homme fort de Cotroceni, Klaus Iohannis et l’homme fort du PSD, Liviu Dragnea. Rien que le mois dernier, le ministre des Affaires Européennes, Victor Negrescu, personnage clé dans le dossier de la future présidence européenne de la Roumanie, a décidé de démissionner suite à des disputes éclatées au sein du gouvernement. La Commission et le Parlement européen ont critiqué à l’unisson, sans ménagement aucun, la prestation du pouvoir de Bucarest. Une attitude qui a forcé la première ministre roumaine, Viorica Dancila, à se rendre à Bruxelles afin de calmer les esprits et rassurer les responsables communautaires quant aux capacités de Bucarest d’exercer un mandat à succès.

    Lors de la réunion commune de mercredi, du gouvernement roumain avec la Commission européenne, le chef de l’Exécutif communautaire, Jean- Claude Juncker, a rappelé que la présidence roumaine aura lieu à un moment crucial pour le devenir de l’Union européenne, car, en pleine présidence roumaine, le Royaume-Uni va quitter au 30 mars de l’année prochaine l’UE. La Roumanie aura devant elle des devoirs d’une extraordinaire difficulté parce que nous devrons nous mettre d’accord, sur notre chemin vers le sommet européen de Sibiu, sur les lignes de base du futur accord financier pluriannuel a encore ajouté M. Juncker, avant de rappeler que l’Union aura à sa disposition 4 mois seulement pour examiner 257 dossiers avant que la campagne électorale pour les euro-parlementaires ne commence. Jean- Claude Juncker: On a eu l’occasion de voir que le gouvernement roumain est bien préparé pour la présidence de l’Union européenne. La Roumanie aura devant elle des devoirs d’une extraordinaire difficulté parce que nous devrons nous mettre d’accord sur les lignes de base du futur accord financier pluriannuel. Il est vrai, a ajouté le chef de la Commission européenne, qu’il y a des divergences de temps à autres sur l’évolution de l’Etat de droit, mais ce n’est pas une question qui concerne d’abord la présidence, mais plutôt les relations bilatérales entre la Roumanie et la Commission européenne, voire l’Union européenne.

    A son tour, la première ministre roumaine, Viorica Dancila, a précisé que : La Roumanie souhaite mener une présidence ambitieuse, tout en restant réaliste. Elle souhaite résoudre le plus de dossiers possibles, obtenir au moins un accord politique sur le futur accord financier pluriannuel, tout en assumant son rôle de médiateur impartial, capable de préserver l’équilibre au sein de l’Union et de bénéficier du consensus des autres Etats membres sur les questions importantes. Ce n’est pas une tâche facile, vu les actuelles divisions au sein de l’Europe.

    Durant son mandat à la tête du Conseil de l’UE, la Roumanie continuera à promouvoir son objectif stratégique national, à savoir obtenir l’intégration à l’Espace Schengen de libre circulation. Un souhait que Jean Claude Juncker espère voir se concrétiser avant l’automne 2019. (Ioana Stancescu)

  • Bucureştiul, pregătit pentru Preşedinţia Consiliului UE

    Bucureştiul, pregătit pentru Preşedinţia Consiliului UE


    Admisă în structurile comunitare pe 1 ianuarie 2007, România va exercita, în premieră, Preşedinţia rotativă a Consiliului Uniunii Europene. Mult timp au planat, însă, dubii asupra capacităţii Bucureştiului oficial de a se achita de această sarcină. Majoritatea guvernamentală PSD-ALDE a schimbat trei echipe executive în doar un an. Perseverenţa cu care stânga şi-a dorit modificarea legilor de funcţionare a justiţiei şi a codurilor penale a fost percepută drept o încercare de a-şi subordona magistraţii şi de a stopa lupta anticorupţie.



    Între preşedintele Klaus Iohannis şi omul forte al coaliţiei, liderul social-democrat Liviu Dragnea, se poartă, de multă vreme, un război politic deschis. Luna trecută, unul dintre personajele cheie ale dosarului preşedinţiei, ministrul pentru Afaceri Europene, Victor Negrescu, a demisionat, la capătul unor dispute cu colegii de cabinet. Atât Comisia, cât şi Parlamentul European au criticat, fără manajamente, prestaţia Puterii de la Bucureşti. A fost, prin urmare, nevoie ca premierul Viorica Dăncilă să mergă la Bruxelles, pentru a-i asigura pe responsabilii comunitari că România va putea exercita o preşedinţie de succes.



    După reuniunea comună de miercuri a Guvernului de la Bucureşti şi Comisiei Europene, şeful acesteia, Jean-Claude Juncker, a amintit că, în martie, România va trebui să gestioneze oficializarea Brexitului. Trebuie, de asemenea, stabilite liniile de bază ale cadrului financiar viitor. În total, 257 de dosare vor fi dezbătute în doar patru luni, fiindcă în mai începe campania electorală pentru europarlamentare.



    Jean-Claude Juncker: “Noi toţi am constatat că guvernul român este bine pregătit pentru preşedinţie. România are în faţă atribuţii extraordinar de dificile, trebuie să cădem de acord asupra liniilor de bază ale viitorului acord financiar.” Între Executivul român și Comisie mai există divergențe în privința statului de drept, a recunoscut Juncker, care a adăugat, însă, că acestea nu au legătură cu preşedinţia, ci cu relaţia bilaterală.



    Premierul Viorica Dăncilă afirmă că: “România îşi doreşte o preşedinţie ambiţioasă, dar şi realistă. Ambiţioasă în sensul de a duce la bun sfârşit cât mai multe dosare aflate pe masa de lucru a preşedinţiei deţinute de către România, a avea măcar acord politic pe cadru financiar multianual, realistă, pentru că ştim că România va avea rolul de mediator imparţial, facilitator de echilibru şi consens şi trebuie să obţinem un consens în rândul statelor membre pe dosare importante. Europa este divizată din acest punct de vedere şi nu va fi uşor să obţinem acest lucru.”



    România, a mai spus şefa Guvernului, va continua să-şi promoveze, în cursul preşedinţiei, şi obiectivul strategic naţional: libera circulaţie pentru cetăţenii săi. Şi preşedintele Juncker şi-a reiterat dorinţa ca, până la finalul mandatului echipei sale, în toamna anului viitor, România să fie admisă în spaţiul Schengen.




  • 05.12.2018 (mise à jour)

    05.12.2018 (mise à jour)

    UE – La Roumanie peut exercer avec succès la présidence du Conseil de l’UE, a déclaré à Bruxelles, la première ministre roumaine, Viorica Dancila, à l’issue d’une réunion commune de son gouvernement avec le Collège des commissaires européens. Cette réunion est organisée traditionnellement avant qu’un Etat membre n’assume la présidence de l’UE. A Bruxelles, Mme Dancila et les membres de son cabinet ont présenté l’agenda de Bucarest et les priorités de sa future présidence. A son tour, le président de la CE, Jean Claude Juncker, a affirmé que le gouvernement roumain était prêt à assumer la présidence du Conseil, malgré les divergences sur l’Etat de droit existantes entre les deux Exécutifs. Et Juncker de rappeler qu’en tant que présidente de l’UE, la Roumanie devra relever plusieurs défis tels le Brexit, la campagne pour les élections euro-parlementaires ou encore 257 dossiers à examiner en 4 mois seulement. Le chef de la Commission européenne a exprimé son espoir que Bucarest rejoigne l’espace Schengen avant octobre 2019 quand ce sera la fin du mandat de l’actuelle Commission.


    OTAN – Le ministre roumain des Affaires Etrangères, Teodor Melescanu a participé mercredi à Bruxelles à la réunion des chefs des diplomaties des Etats membres de l’OTAN. La rencontre a débuté avec une session de travail consacrée à la problématique des Balkans de l’Ouest, en présence de la Haute représentante européenne, Federica Mogherini. L’occasion pour l’officiel roumain de mettre en lumière l’importance que la Roumanie accordera en tant que future présidente du Conseil de l’Union au message unitaire et à l’étroite collaboration entre l’UE et l’OTAN dans la région. La session finale de la réunion a porté sur la situation en Afghanistan. Du coup, le chef de la diplomatie roumaine a précisé que Bucarest maintiendra sa présence militaire sur les théâtres d’opérations de l’Alliance, en 2019 aussi. Mercredi encore, Teodor Melescanu a eu un entretien avec l’assistant au secrétaire américain d’Etat aux Affaires européennes et euro-asiatiques, Wess Mitchell. Leurs discussions ont porté sur les relations bilatérales, les évolutions dans la région de la Mer Noire et les moyens à mettre en place pour une meilleure gestion des défis dans la région.



    Education – Les résultats du projet « La Roumanie éduquée », une initiative du président Klaus Iohannis, ont été lancés mercredi au débat public. Selon l’administration présidentielle, il s’agit de la plus ample consultation publique jamais réalisée en Roumanie dans le domaine des politiques publiques de l’éducation ; plus de 10.000 personnes y ont participé. Parmi les domaines visés par ce projet lancé en 2016 mentionnons : la carrière didactique, le management dans l’éducation, l’équité, l’enseignement professionnel et technique, l’enseignement supérieur, l’évaluation des élèves et des étudiants et l’éducation précoce. Les résultats sont désormais disponibles sur le site du projet, qui permet aussi aux internautes d’exprimer leurs opinions et de formuler des suggestions.


    Météo – Les météorologues annoncent une baisse des températures dans les 24 heures à venir. Le ciel demeure plutôt bleu à l’extérieur de l’arc carpatique, tandis que le brouillard s’emparera du reste du territoire. Le vent souffle surtout sur le sud-est et en altitude. Les températures maximales vont de -2 à 6 degrés.

  • Nachrichten 05.12.2018

    Nachrichten 05.12.2018

    Bukarest: Die rumänische Wettbewerbsbehörde hat neun Versicherungsunternehmen wegen Preisabsprachen bei Haftpflichtversicherungen abgestraft. Insgesamt müssen sie rund 53 Millionen Euro Strafe zahlen. Mit einer Geldbuße wurde auch der Verband der rumänischen Versicherer und Rückversicherer belegt. Einige der Firmen wollen jetzt gegen die Strafe vor Gericht klagen. Das ist unser erstes Thema nach den Meldungen.



    Brüssel: Die rumänische Premierministerin Viorica Dăncilă hat am Mittwoch in Brüssel nach dem gemeinsamen Treffen der rumänischen Regirung und der Europäischen Kommission erklärt, die Mitglieder der europäischen Exekutive seien überzeugt, dass Rumänien mit Erfolg die EU-Ratspräsidentschaft ausüben kann. Dancila fügte hinzu, Rumänien wünsche sich eine Amtszeit mit ehrgeizigen Zielen. Die rumänische Premierministerin hat zusammen mit den Mitgliedern des Kabinetts die Agenda und die Prioritäten Bukarests an der Spitze der Union vorgestellt. Der Präsident der Europäischen Kommission Jean Claude Juncker sagte seinerseits, die rumänische Regierung sei bereit, die EU-Ratspräsidentschaft zu übernehmen. Andererseits erklärte er, es geben noch Divergenzen zwischen der rumänischen Exekutive und der Kommission hinsichtlich des Rechtsstaates, doch das beeinflusse nicht die Übernahme der Ratspräsidentschaft. Es handele sich dabei um die bilaterale Beziehung. Jean Claude Juncker erinnerte daran, dass Rumänien ein bedeutendes Ereignis verwalten muss, und zwar den EU-Austritt Großbritanniens am 29. März 2019. Gleichzeitig müssen die Grundlinien des künftigen Finanzrahmens festgelegt werden. 2019 werden auch EU-Wahlen stattfinden. Jean Claude Juncker drückte weiterhin seine Hoffnung aus, dass Rumänien bis Ende der Amtszeit der amtierenden Kommission in den Schengen-Raum aufgenommen werde.



    Bukarest: Die Ergebnisse eines von Staatspräsident Klaus Iohannis angestoßenen Projekts zur bildungspolitischen Lage in Rumänien stehen ab Mittwoch zur Diskussion auf einer eigenständigen Internetseite. Das Projekt sei nach Angaben der Präsidialverwaltung das bisher breiteste und langfristigste Konsultationsprojekt, an dem über 10.000 Personen beteiligt waren. Das 2016 begonnene Projekt befasst sich mit Themen wie die Lehrerlaufbahn, Fairness, berufliche Ausbildung, Hochschulbildung oder Bewertung von Schülern.



    Chisinau: Mehr als die Hälfte der Bürger der Moldaurepublik wünschen sich eine neue Landesführung und die Bekämpfung der Korruption, um die Lage ihres Landes zu verbessern. Fast 73% der befragten Moldauer gaben in einer repräsentativen Umfrage an, dass das Land ihrer Ansicht nach eine falsche Richtung eingeschlagen hat. Um Preise, Armut und die Zukunft ihrer Kinder machen sich die meisten Sorgen, während 60% nicht mit der ökonomischen Lage zufrieden sind. 70% der Befragten vertrauen der Kirche, 40% der jeweiligen Kommunalverwaltung.