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  • Carmen Dan mit Entschuldigungen und Anschuldigungen an die Öffentlichkeit

    Carmen Dan mit Entschuldigungen und Anschuldigungen an die Öffentlichkeit

    Seit mehr als einer Woche klagen die Opposition und zahlreiche Journalisten über die gewalttätige Auflösung der Antiregierung-Demonstration der Auslandsrumänen am 10. August. Nach 9 Tagen trat die rumänische Innenministerin Carmen Dan am Sonntagabend an die Öffentlichkeit mit Erklärungen über den massiven Einsatz der Gendarmen gegen die protestierenden Rumänen. Dabei präsentierte die Innenministerin Teile eines Berichtes über die Ereignisse auf dem Siegesplatz in Bukarest.



    Im Unterschied zu anderen Demonstrationen hätten sich die protestierenden Massen am Freitag, den 10. August anders verhalten, so Carmen Dan. Die friedlichen Demonstranten hätten sich von den aggressiven Demonstranten nicht distanziert, und das hätte die Aufgabe der Gendarmen, die gewalttätigen Teilnehmer zu isolieren und festzunehmen, viel schwieriger, sogar unmöglich gemacht. Die Hooligans und Randalierer hätten zur Eskalation der Gewalt stark beigetragen. Die Hooligans seien nicht in organisierten Gruppen gekommen, was die Gendarmen dazu gehindert hätte, deren Ankunft auf den Platz vor dem Regierungssitz zu blockieren.



    Laut dem Bericht der Behörden gab es die ersten Gewaltausschreitungen im Laufe des Nachmittags, als die Randalierer versucht hätten, die Gendarmenkette zu brechen, um in den Hof des Regierungsgebäudes zu gelangen. Die Vorfälle und Provokationen gingen stundenlang weiter; um 22 Uhr gab es eine letzte Warnung seitens der Behörden, dann wurde der Siegesplatz von den Ordnungskräften geräumt. Gegen Mitternacht war dann die Ordnung wieder eingetroffen, so Carmen Dan. Mindestens 450 Menschen, darunter 35 Gendarmen, wurden dabei verletzt und mussten medizinisch behandelt werden. 70 Personen, darunter 11 Gendarmen, wurden ins Krankenhaus eingeliefert. Die Innenministerin Carmen Dan:



    Von Anfang an möchte ich mich bei allen entschuldigen, die infolge der Gewaltausschreitungen von letzter Woche zu Schaden gekommen sind, sowohl Zivilisten als auch Gendarmen. In Bezug auf die Aktionen der Gendarmen, die am 10. August im Einsatz waren, hat das Innenministerium interne Ermittlungen aufgenommen. Bis heute wurden 5 Situationen mit Verdacht auf willkürliche Handlungen der Gendarmen gegen friedliche Demonstranten festgestellt.”



    Ferner sprach die Innenministerin über fake news” und Lügen” in Bezug auf die die Proteste am 10. August, die sowohl im Internet als auch in den Medien verbreitet wurden, und bestand auf eine klare Trennung zwischen Manipulation und Wahrheit.



    Dan Barna, der Vorsitzende der Oppositionspartei Union Rettet Rumänien USR forderte erneut den Rücktritt der Innenministerin Carmen Dan. Barna beschuldigte die Innenministerin, sie drücke sich vor der Verantwortung für die gewaltätigen Einsätze der Gendarmen, die gegen friedliche Demonstranten Tränengas und Schlagstöcken eingesetzt hätten. Es sei nicht akzeptabel, die Schuld für die Gewaltausschreitungen auf friedliche Demonstranten, auf die Opfer der Repression zu schieben, schrieb Dan Barna auf Facebook.



    Raluca Turcan, die Vizepräsidentin der National-Liberalen Partei PNL (von der Opposition) ist der Meinung, die Gendarmerie habe ihren guten Ruf verloren, und die gesamte politische Verantwortung liege bei der Innenministerin Carmen Dan und beim Vorsitzenden der Abgeordnetenkammer und PSD-Vorsitzenden Liviu Dragnea, dem starken Mann der Regierungskoalition PSD-ALDE.



    Etwa 300 Demonstranten haben Strafanzeige gegen die Gendarmerie gestellt. Es gibt zahlreiche Videoaufnahmen, auf denen zu sehen ist, wie sitzende Menschen, oder Menschen mit erhobenen Armen, die klarmachten, dass sie friedlich sind, von den Gendarmen brutal verprügelt wurden. Diese Aufnahmen beweisen ohne Wenn und Aber, dass der Gewalteinsatz der Ordnungskräfte am Freitag, den 10. August, extrem disproportioniert war, verglichen mit den Aktionen der Mehrheit der Demonstranten auf dem Platz vor dem Regierungssitz, klagen der Staatspräsident, Klaus Iohannis und die Oppositionsparteien. Darauf erwiderte die regierende Sozialdemokratische Partei PSD, es handelte sich dabei um einen mutma‎ßlichen Versuch, die legitime Regierung durch einen Staatsstreich zu stürzen.

  • 25.07.2018 (mise à jour)

    25.07.2018 (mise à jour)

    Visite – La
    première ministre roumaine Viorica Dăncilă, en visite officielle au Monténégro,
    a rencontré mercredi le président Milo Djukanovic. Les deux dignitaires ont
    convenu de renforcer les relations bilatérales, notamment dans les domaines de
    l’énergie, du tourisme, de l’éducation et de la culture. Selon un communiqué du
    gouvernement roumain, la première ministre roumaine a félicité le Monténégro
    pour les avancées enregistrées dernièrement dans son parcours européen et
    euro-atlantique, que la Roumanie appuit fortement. Plus tôt dans la journée, Viorica
    Dăncilă avait rencontré son homologue monténégrin, Duško Marković. Les deux officiels
    ont plaidé pour un approfondissement des relations entre les deux pays,
    notamment dans les domaines économique, des échanges commerciaux. Viorica
    Dăncilă a mis en évidence l’importance que la présidence roumaine du Conseil de
    l’UE accordera à la poursuite du processus d’adhésion des pays candidats à
    l’UE, reconfirmant, par la même occasion, le soutien appuyé de la Roumanie à la
    candidature du Monténégro. Après le Monténégro, la première ministre roumaine se
    rendra en République de Macédoine, deuxième étape de sa tournée de trois jours.



    Justice – La Cour constitutionnelle va analyser le 17 septembre la saisine déposé par le président de la Roumanie, Klaus Iohannis, concernant les modifications apportées par le parlement au Code pénal et à la loi portant prévention, poursuite et sanction des faits de corruption, ont précisé mercredi à lagence roumaine AGERPRES, des officiels de la Cour. Le président roumain, Klaus Iohannis, a saisi mercredi la Cour constitutionnelle au sujet de plusieurs modifications apportées au Code pénal par le parlement. Le chef de lEtat conteste la constitutionnalité de ces modifications ainsi que la manière dont elles avaient été adoptées, au cours dune session parlementaire extraordinaire. Parmi les articles contestés, lon retrouve la nouvelle définition de labus de pouvoir, celle de lassociation de malfaiteurs et, enfin, la diminution des délais de prescription. Le président sétait publiquement révolté, au début du mois de juillet, après ladoption par le parlement de ces nouveaux articles, quil avait considérés comme nuisibles, promettant de déployer lensemble des instruments constitutionnels dont il dispose pour empêcher leur promulgation. Les partis dopposition, dont les libéraux, lUnion Sauvez la Roumanie et le Parti du Mouvement populaire, ainsi que la Haute Cour de Cassation et de Justice de Roumanie ont emboîté le pas du président, contestant à leur tour les articles en question auprès de la Cour constitutionnelle.



    Incendies – La Grèce a activé le mécanisme européen de protection civile pour demander des renforts à ses partenaires, suite aux incendies de végétation qui ravagent les alentours d’Athènes et qui ont fait jusquici au moins 80 morts et quelque 200 blessés. Plusieurs Etats ont proposé leur aide, dont la Roumanie, qui a envoyé mercredi deux avions, un Spartan C-27 J équipé contre les incendies, et un Hercules C-130, destiné à lappui logistique. Les autorités hellènes ont décrété trois jours de deuil national. Les incendies sont survenus suite à une vague de chaleur qui sest abattue sur le pays, avec des températures grimpant jusqu’à 40°. Le vent allant à plus de 75km/h a permis une progression foudroyante du feu. Les enquêteurs nécartent pas la piste criminelle, du moins en ce qui concerne certains foyers dincendie.



    Diplomatie – Le ministre roumain des Affaires étrangères, Teodor Meleşcanu, a déclaré, mercredi, se réjouir de la désignation dune personne qui détient des liens personnels et familiaux avec la Roumanie. Il se référait à lannonce de la nomination dAdrian Zuckerman en tant quambassadeur des Etats-Unis à Bucarest. M Meleşcanu a également exprimé sa conviction concernant lapprofondissement prochain du partenariat stratégique noué entre les deux pays. Né en Roumanie, M. Zuckerman a émigré aux Etats-Unis avec sa famille quand il avait 10 ans. Locuteur de roumain et partenaire dun bureau davocats de New York, spécialisé dans les transactions immobilières, Zuckerman est un proche de la famille Trump. Sil reçoit le vote du Congrès, il remplacera lactuel ambassadeur américain à Bucarest, Hans Klemm.



    Météo – Linstabilité atmosphérique prédominera pendant les prochaines 24 heures sur lensemble du territoire roumain. Des pluies abondantes, et même des épisodes orageux sont attendus dans lEst, le Sud-Est, ainsi que dans les régions collinaires et montagneuses. Des dépassements des niveaux dalerte pourraient concerner des rivières de 11 départements, situés à lEst, dans le Sud*-Est et dans le Centre du pays. Suite à cette météo inhabituelle pour la saison, une victime a été enregistrée. Les températures maximales se situeront entre 24 et 32°.


  • The Government of Romania, 6-month report

    The Government of Romania, 6-month report

    The third
    governmental team put together by the Social Democratic Party and the Alliance
    of Liberals and Democrats in roughly one and a half years reviewed its activity
    six-months into its term in office.






    Whereas the
    previous cabinets, headed by Sorin Grindeanu and Mihai Tudose respectively,
    were leaving their seats after around six months in office, Viorica Dancila’s
    team are counting their accomplishments and carrying on.






    Higher budget
    revenues, increased investments and better spending of EU funds are some of the
    achievements presented by PM Dancila on Monday. She also mentioned the Government’s
    measures to encourage employment and support farmers. Viorica Dancila explained
    that in the first 6 months of the year the state budget revenues were some 3.2
    billion euros higher than in the corresponding period of last year:






    Viorica Dancila: This translates as a 530-million euro monthly increase, which has been
    used in order to support the increase of household incomes and of public
    investments.






    Doubling the
    salaries of healthcare personnel and a 25% increase of teaching staff incomes
    were also listed as economic measures, after which the Prime Minister moved
    on to information regarding the pension system.






    Viorica Dancila: One of the most
    important social measures was the 10% increase of the pension point level on
    July 1, 2018, as stipulated in the government programme. Next year another 15%
    increase is scheduled, and the minimum guaranteed pension will go up from 520
    to 640 lei, accounting for a 23% rise.






    In the first 6
    months in office, the Government also approved 13 strategic investment
    projects, 4 of which in the transport infrastructure sector. Not least, 192 km
    of power lines were completed, which allow for inter-connection with the
    neighbouring Hungary and Serbia.






    True to their
    role as critics of the Power, the National Liberal Party, in opposition, lashed
    out at the Cabinet, which in their view managed the counter-performance of
    bringing to a halt the economic growth of the past years. The Liberal party
    president Ludovic Orban argues that the measures taken by the leftist Government
    reduced the Romanians’ purchasing power:






    Ludovic Orban. The Dancila Cabinet managed to undermine the Romanians’ purchasing
    power, both in terms of pensions and of salaries, in the first 6 months of the
    year. If I were Mrs Dancila, I would step down. But of course she is not free
    to do what she wants and she is forced to stay at Victoria Palace, although she
    clearly has nothing to do with being a prime minister.






    Ludovic Orban
    echoed in his statement the repeated requests made by President Klaus Iohannis
    with respect to Viorica Dancila’s resignation, on grounds that she cannot
    handle this office. But, the Prime Minister responded, such requests are just a
    political game, and the results of her 6 months in office encourage her to
    carry on.



  • Nachrichten 20.07.2018

    Nachrichten 20.07.2018

    Brexit-Chefunterhändler Michel Barnier hat am Freitag in Brüssel den aktuellen Stand der Austrittsverhandlungen Londons aus der EU vorgestellt. Im Mittelpunkt der Gespräche, an denen sich auch der rumänische Europaminister Victor Negrescu beteiligte, stand die Grenze zwischen Irland und dem britischen Nordirland sowie die zukünftige Beziehung zwischen London und Brüssel. Dabei sagte Victor Negrescu, Rumänien unterstütze das Verhandlungsteam der Europäischen Union. Während der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft in der ersten Hälfte des Jahres 2019 könnten die Verhandlungen für den Ausstieg Londons aus der EU zu Ende gehen. Bukarest sei auf für ein mögliches Scheitern der Austrittsverhandlungen vorbereitet, sagte Negoescu vor dem Treffen in Brüssel. Hauptziel der EU bleibe ohnehin der Schutz der Rechte europäischer Bürger, die in Großbritannien leben, sagte im Anschluß der rumänische Europaminister.



    Rumänien hat im ersten Quartal 2018 das höchste Haushaltsdefizit im Vergleich zu den letzten drei Monaten des Vorjahres verzeichnet, steht in den von Eurostat am Freitag veröffentlichen Daten. Das Haushaltsdefizit Rumäniens ist von 2,3% auf 4,2% gestiegen, und ist somit das höchste Haushaltsdefizit in Europa. Es folgen Frankreich, mit 2,5%, und Großbritannien, mit 1,9%. Die höchsten Haushaltsüberschüsse hatten Malta und die Niederlande, beide mit 2,5%, gefolgt von Bulgarien, mit 2,4%.



    Der Souveräne Fonds für Entwicklung und Investitionen soll durch Regierungsbeschluss gegründet werden, hat Finanzminister Eugen Teodorovici erklärt. Wie das Verfassungsgericht vorher mitgeteilt hatte, sei die Gründung des besagten Fonds per Gesetz nicht möglich. Am Mittwoch hatte das Gericht drei Verfassungsklagen des Präsidialamtes bzw der Opposition stattgegeben, laut denen die Gründung des besagten Fonds zu den Befugnissen der Regierung und nicht des Parlaments gehöre, ansonsten sei dies ein Verstoß gegen die Gewaltenteilung. Laut dem besagten Gesetz, sollten 33 Unternehmen an denen der Staat als Hauptaktionär gilt, zum Souveränen Fonds für Entwicklung und Investitionen gehören, dessen soziales Kapital sich auf 9 Milliarden Lei (rund 2 Milliarden Euro) beziffern soll. Laut der Regierungspartei PSD sei der besagte Fonds ein Mittel zur Entwicklung der Infrastruktur im Bereich Landwirtschaft, zur Industrialisierung Rumäniens und zur Schaffung neuer Arbeitsplätze. Die Opposition bezeichnete ihn hingegen als einen weiteren Weg zur Korruption.



    Zehn Migranten aus Pakistan und Indien, die illegal in Rumänien einreisen wollten, wurden an der nord-östlichen Grenze, Landkreis Botoşani von der Grenzpolizei aufgehalten. Die zehn Migranten gingen zu Fuß und hatten keine gültigen Pässe. Laut der Grenzpolizei hätten sie versucht, über Rumänien, ein Schengenland zu erreichen. Für weitere Untersuchungen wurden sie von den ukrainischen Behörden aufgrund eines Rückübernahmeabkommens übernommen.



    Im nordwestrumänischen Bonţida, Landkreis Cluj findet bei einem der schönsten Barockschlössern Rumäniens, dem Schloss Banffy, das Festival Electric Castle statt. Auf die neun Bühnen treten bis Sonntag dutzende Bands und Sänger aus Rumänien und der ganzen Welt auf. Die Organisatoren rechnen dieses Jahr mit rund 135.000 Gästen und haben sich vorgenommen, den ganzen Abfall nach Festivalabschluss zu verwerten. Das diesjährige Festival steht zudem unter dem Motto Null Toleranz bei Gewalt.

  • Nachrichten 15.07.2018

    Nachrichten 15.07.2018

    Die Botschafterin Frankreichs in Bukarest, Michele Ramis, hat am Samstag bei dem Empfang zum Nationalfeiertag der Französischen Republik, Frankreich brauche ein Europa, das seine Bürger scghützt, und Rumänien sei ein wichtiger Partner in dieser Hinsicht. Dieses Jahr werden auch 10 Jahre seit dem Unterzeichnen des strategischen Partnerschaft zwischen Rumänien und Frankreich gefeiert, so Michele Ramis. Die französische Diplomatin würdigte den europäischen Geist des rumänischen Volkes und die Tatsache, dass die Rumänien den nationalistichen Trndenzen und dem Euroskeptizismus auf dem alten Kontinent standgehalten haben. Michele Ramis sprach über den Erfolg der rumänischen EU-Ratspräsidentschaft nächstes Jahr in Richtung eines Europa der Konvergenz, eines schützenden, stärkeren Europa, das auf gemeinsamen Werten basiert. Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, sagte bei dem Empfang der Botschaft Frankreichs in Bukarest, er werde Ende November zusammen mit dem französischen Staatspräsidenten, Emmanuel Macron in Paris die Saison Frankreich-Rumänien eröffnen.



    Die Französische Handels-, Industrie- und Landwirtschaftskammer in Bukarest hat am Samstag bekanntgegeben, dass der Handelsaustausch zwischen Frankreich und Rumänien im Jahr 2017 im Vergleich zum Vorjahr um 4,4% gestiegen sei, und 7,8 Milliarden Euro erreicht habe. In Rumänien funktioinieren fast 3.000 französischen Unternehmen, mit einem Investitionsgesamtwert von 4,2 Milliarden Euro. Die Französische Handels-, Industrie- und Landwirtschaftskammer in Bukarest vereint mehr als 500 französische und rumänische Unternehmen, mit Investitionen in Wert von 18 Milliarden Euro und mwehr als 125.000 Arbeitsplätzen.



    Der rumänische Staatspräsident, Klaus Iohannis, ist der Ansicht, der vorläufige Bericht der Venedig-Kommission über die Änderungen der Justizgesetze sei ein besonders besorgniserregendes Signal betreffend die Unabhängigkeit der Justiz in Rumänien und fordert das Parlament auf, diese Empfehlungen nicht zu ignorieren. Laut dem Präsidialamt bestätige die Venedig-Kommission die Meinungen, die von der Zivilgesellschaft, vom Obersten Rat der Richter und Staatsanwälte, von den Richtern und Staatsanwälten in Rumänien und vom rumänischen Staatspräsidenten geäußert wurden, einschließlich durch die Klagen wegen Verfassungswidrigkeit gegen die geänderten Justizgesetze. Die sogenannte Venedig-Kommission des Europarates hat am Freitag in einem vorläufigen Bericht nahegelegt, dass Rumänien das Verfahren zur Ernennung des Generalstaatsanwalts und der Behördenleiter der wichtigen Schwerpunktsstaatsanwaltschaften überdenken sollte. Auch durch die Änderung der einsachlägigen Verfassungsgrundlage solle ein neutrales Verfahren gewährleistet werden. Eine weiterhin starke Rolle des Präsidenten und des Richterrates würde die hervorragende Position des Justizministeriums im Verfahren ausgleichen, hieß es. Präsident Klaus Johannis hatte die Kommission um ein Gutachten zur in Rumänien heftig kritisierten Justizreform ersucht. Die Experten regen des weiteren an, Vorschriften abzuändern, nach denen vorgesetzte Staatsanwälte die Lösungansätze der Sachdezernenten entkräften. Auch die Begrenzung der Meinungsfreiheit für Richter und Staatsanwälte sollte beseitigt werden. Ein abschließender Bericht soll im Oktober vorgekegt werden. Die National-Liberale Partei Rumäniens, von der Opposition, hat das Verfassungsgericht aufgefordert, den vorläufigen Bericht der Venedig-Kommission über die Justizgesetze in Betracht zu ziehen. Der sozialdemokratisxche Abgeordnete Eugen Nicolicea, von der Regierungspartei PSD, Vorsitzende des rechtsausschüsses der Abgeordentenkammer sagte, der besagte vorläufige Bericht der Venedig-Kommission widerspreche einem vorigen Bericht derselben Venedig-Kommission in Bezug auf die EU-Standards betreffend die Unabhängigkeit des Justizsystems.



    Die Agentur für die Finanzierung von landwirtschaftlichen Investitionen AFIR wird in der Zeit von Juli bis September 2018 mehrere Sessionen für das Einreichen von landwirtschaftlichen Projekten organisieren. Insgesamt werden etwa 846 Millionen Euro für Projekte in der Landwirtschaft zu Verfügung gestellt, so die Internetseite des rumänischen Ministeriums für Landwirtschaft und ländliche Entwicklung. Bis jetzt wurden bei der AFIR für die Zeitspanne 2014-2020 Anträge über Finanzierung in Wert von 7,2 Milliarden Euro. Es wurden mehr als 49.000 Finanzierungsverträge abgeschlossen und etwa 3,85 Milliarden Euro zugewiesen. Durch das nationale Programm für ländliche Entwicklung 2014-2020 werden nicht rückzahlbare Fonds von der Europäischen Union und von der rumänischen Regierung für die wirtschaftliche und soziale Entwicklung der ländlichen Regionen zugewiesen.

  • Die Woche 25.-29.06.2018 im Überblick

    Die Woche 25.-29.06.2018 im Überblick

    Kabinett Dancila hat Misstrauensantrag überstanden



    Die linksgerichtete Regierung in Bukarest hat unter Ministerpräsidentin Viorica Dancila eine neue Feuerprobe bestanden: Die Koalition aus Sozialdemokraten und ALDE überstand die Vertrauensfrage der Opposition im Parlament. Den Misstrauensantrag hatte die nationalliberale PNL eingebracht, die Initiative wurde von den zwei anderen Oppositionsparteien, der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegung (PMP) unterstützt. Der Antrag stützte sich vor allem auf die schwerwiegende Verschlechterung des makroökonomischen Umfeldes, die laut den Autoren auf die Tätigkeit der Regierung zurückzuführen sei. Belegbar sei dies durch die steile Erhöhung des Bankzinsenberechnungsindex ROBOR, durch die galoppierende Inflation, die Abwertung der Landeswährung im Verhältnis zum Euro, die chaotische, immer wieder abgeänderte Steuergesetzgebung und durch fehlende Investitionen im Infrastrukturbereich. Die Regierung der Sozialdemokratin Dăncilă sei zudem nur ein Marionettenkabinett des Parteichefs und Drahtziehers Liviu Dragnea, der sich sämtliche Institutionen des Staates hörig machen und der unabhängigen Justiz einen Knebel in den Mund stecken wolle, so die Opposition: Seit Beginn des Jahres, seitdem sie in das Amt an der Spitze der Regierung eingeführt wurden, ist es ihnen lediglich gelungen, die Wirtschaft des Landes noch tiefer sinken zu lassen, für Panik und Misstrauen zu sorgen, die Fremdinvestoren aus dem Land zu vertreiben und die aktuelle negative Entwicklung der Wirtschaft weiter zu verschärfen” Radu Mihail, Senator von der Union Rettet Rumänien.



    Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă behauptete im Gegenzug, dass der Misstrauensantrag falsche Behauptungen enthalte, nicht vernünftig begründet sei und lediglich ein politisches Spiel der bürgerlichen Opposition darstelle: Ich hätte es nicht erwartet, dass der gesamte Misstrauensantrag aus einer Reihe von falschen Behauptungen besteht, irgendwie die böswillige Darstellung einer anderen Realität. Alles was die Machthaber tun, ist schlecht, und alles, was sie tun, ist richtig. Sie lehnen es sogar ab, die offensichtlichen positiven Entwicklungen einzuräumen, die sich während dieser Regierungszeit ereignet haben.




    ​Internationale Reaktionen auf die umstrittene Justizreform



    Die umstrittene Justizreform war bisher eine eher interne politische Angelegenheit – jetzt meldeten sich auch Rumäniens Verbündete und Partner zu Wort. Ihr Urteil fällt verheerend aus. Die Regierungskoalition hat bisher jegliche Kritik abgelehnt und sagt, dass die neuen Gesetze, auch das StGB und die StPO die Vorschriften an Urteile des Verfassunsggerichts und des EGMR anpassen und zur besseren Wahrung der Grundrechte beitragen. Gegner der Änderungen werfen der Koalition vor, zugunsten von Straftätern Recht setzen, die Justiz politisieren und der Korruptionsbekämpfung ein Ende bereiten zu wollen.



    Am Donnerstag haben 12 Länder – die USA, Kanada sowie mehrere europäische Länder, darunter Frankreich, Deutschland, Holland und die Schweiz – als Verbündete und Partner Rumäniens vor solchen Veränderungen an Strafgesetzbuch und Strafprozessordnung gewarnt, die die Rechtsstaatlichkeit oder die Fähigkeit Rumäniens zur Bekämpfung von Kriminalität oder Korruption schwächen würden. In einer von der US-Botschaft veröffentlichten gemeinsamen Stellungnahme hie‎ß es, dass bestimmte geplante Änderungen die internationale Strafverfolgungszusammenarbeit behindern und die Bekämpfung von Gewaltverbrechen, grenzüberschreitender organisierter Kriminalität, Finanzkriminalität sowie Drogen- und Menschenhandel gefährden könnten. Präsident Klaus Iohannis, seinerseits ein Kritiker der Regierung, gibt den westlichen Verbündeten Recht – die Kritik sei begründet, findet er. Der Chef des parlamentarischen Sonderausschusses, der sich mit den neuen Gesetzen befasst hat, winkt ab – die abgeänderten Vorschriften in StGB und StPO erfüllen sämtliche Verfahrensvoraussetzungen, sagt Florin Iordache, der früher auch Justizminister war.




    Präsident Iohannis beim EU-Sommergipfel



    Rumänien engagiert sich derzeit stark und erfolgreich im Umgang Europas mit den Flüchtlingsströmen. Dies hat am Freitag Präsident Klaus Iohannis auf dem EU-Gipfel in Brüssel erklärt. Rumänien sei zwar kein Zielland für Flüchtlinge, sondern ein Transitland, die Zahl der Flüchtlinge, die über Rumänien Westeuropa erreichen möchten sei nicht gro‎ß und könne unter Kontrolle gehalten werden, fügte Klaus Iohannis hinzu. Im Streit um die europäische Asylpolitik haben sich die Staats-und Regierungschefs der EU nach zehnstündigen Verhandlungen darauf geeinigt, dass Flüchtlings-Sammellager au‎ßerhalb der Eu entstehen sollten. Die EU-Länder am Mittelmeer wie Italien und Griechenland könnten zudem freiwillig geschlossene Aufnahmelager schaffen. Au‎ßerdem könnte es künftig klare Richtlinien für private Rettungsschiffe geben, die im Mittelmeer Flüchtlinge bergen. Darüber hinaus, haben sich die EU-Staats-und Regierungschefs darauf geeinigt, die nach der Annexion der Krim verhängten Sanktionen gegen Russland zu verlängern.




    Ziele Rumäniens beim NATO-Gipfel



    Der Oberste Verteidigungsrat des Landes hat am Mittwoch in Bukarest unter der Führung von Präsident Klaus Iohannis getagt. Auf der Tagesordnung standen die rumänischen Ziele für den NATO-Gipfel in Brüssel am 11. und 12 Juli und die Festlegung der Anzahl von rumänischen Streitkräften, die 2019 für die Teilnahme an Auslandseinsätzen zur Verfügung gestellt werden können. Das Kontingent ist um 305 auf fast 2100 Soldaten aufgestockt worden.

  • Koalition besteht Feuerprobe: Misstrauen der Opposition scheitert

    Koalition besteht Feuerprobe: Misstrauen der Opposition scheitert

    Den Misstrauensantrag hatte die nationalliberale PNL eingebracht, die Initiative wurde von den zwei anderen Oppositionsparteien, der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegung (PMP) unterstützt. Der Antrag stützte sich vor allem auf die schwerwiegende Verschlechterung des makroökonomischen Umfeldes, die laut den Autoren auf die Tätigkeit der Regierung zurückzuführen sei. Da seien zum einen der rapide Anstieg des Zinsindizes ROBOR, nach dem die Bankzinsen berechnet werden, oder der rasende Inflationsanstieg. Zudem habe das neue Steuergesetzbuch Chaos verursacht, die Investitionen in die Infrastruktur seien mangelhaft und die Versuche der Regierung, die privaten Pfeiler des Rentensystems zu verstaatlichen, katastrophal.



    Laut den Unterzeichnern würde ferner die aktuelle Regierung, wie die letzten zwei Kabinette der Koalition PSD-ALDE, unter den Ministerpräsidenten Sorin Grindeanu und Mihai Tudose, lediglich formell von der Amtsinhaberin gelenkt. Schalten und walten würde de facto nach wie vor der PSD-Chef Liviu Dragnea, derzeit Vorsitzender der Abgeordnetenkammer, glaubt auch Radu Mihail, Senator von der Union Rettet Rumänien.



    Es ist heute zu einer Debatte gekommen, über einen Misstrauensantrag gegen die dritte Regierung, für die Herr Dragnea garantiert, weil die Regierung Dăncilă durch ihre Minister das Privateigentum von sieben Millionen Steuerzahlern bedroht, im Rahmen des zweiten Rentenpfeilers. Es gibt überhaupt keine Garantien dafür, dass die Regierung von Frau Dăncilă den aktuellen Angestellten Gelder für ihre Renten bereitstellt. Seit Beginn des Jahres, seitdem sie in das Amt an der Spitze der Regierung eingeführt wurden, ist es ihnen lediglich gelungen, die Wirtschaft des Landes noch tiefer sinken zu lassen, für Panik und Misstrauen zu sorgen, die Fremdinvestoren aus dem Land zu vertreiben und die aktuelle negative Entwicklung der Wirtschaft weiter zu verschärfen.



    Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă behauptete im Gegenzug, dass der Misstrauensantrag falsche Behauptungen enthalte, nicht vernünftig begründet sei und lediglich ein politisches Spiel der bürgerlichen Opposition darstelle.



    Ich hätte es nicht erwartet, dass der gesamte Misstrauensantrag aus einer Reihe von falschen Behauptungen besteht, irgendwie die böswillige Darstellung einer anderen Realität. Alles was die Machthaber tun, ist schlecht, und alles, was sie tun, ist richtig. Sie lehnen es sogar ab, die offensichtlichen positiven Entwicklungen einzuräumen, die sich während dieser Regierungszeit ereignet haben. Die erste falsche Information ist auch die schwerwiegendste, die Idee, dass es kein Geld mehr für die Renten gäbe, als Paketangebot mit der sogenannten Verstaatlichung des zweiten Rentenpfeilers.



    Im Plenum des Bukarester Parlaments ist der Misstrauensantrag gegen die Regierung anschließend abgelehnt worden. 166 Abgeordneten stimmten dafür, die Fraktionen der Koalition nahmen an der Abstimmung nicht teil. 233 Stimmen wären notwendig gewesen, um die Regierung zu stürzen. Die Parlamentarier des Ungarnverbandes verließen den Saal ohne abzustimmen. Der Verband gehört nicht der Regierungskoalition an, hat sich jedoch per Protokoll zu einer parlamentarischen Zusammenarbeit mit den führenden Parteien verpflichtet.



    Nach Verkündung des Ergebnisses beglückwünschten sich die Sozialdemokraten gegenseitig und bestanden auf der Idee, dass die Beibehaltung der aktuellen Regierung die Stabilität des Landes gewährleisten werde. Aus den Reihen der Liberalen verlautete es indes, dass das Abstimmungsergebnis einer verantwortungslosen Haltung gegenüber dem Schicksal des Landes gleichzusetzen sei. Auch aus der außerparlamentarischen Opposition wurden Stimmen laut, wonach Neuwahlen notwendig seien, da die aktuelle Mehrheit ihre Legitimität unter der Führung des vorbestraften Liviu Dragnea verloren hätte.

  • Aussichtloser Misstrauensantrag scheitert

    Aussichtloser Misstrauensantrag scheitert

    Die seit Januar regierende sozial-liberale Koalition der Sozialdemokraten (PSD) und Liberaldemokraten (ALDE) hat es wahrlich nicht leicht: Die unabhängigen Medien kritisiert sie täglich, die bürgerliche Opposition geht hart ins Gericht mit beinahe allen Ministern des Kabinetts, die Zivilgesellschaft lässt auch kaum ein gutes Haar am Kabinett der Ministerpräsidentin Viorica Dăncilă und obendrein protestieren täglich — mal mehr, mal weniger — Menschen vor dem Regierungsgebäude oder vor dem Parlament gegen die umstrittene Justizreform. Nun muss die Regierung den ersten Härtetest bestehen — am heutigen Mittwoch wird im Parlament über einen Misstrauensantrag der Opposition debattiert und abgestimmt. Insgesamt 152 Abgeordnete beider Parlamentskammern von der Nationalliberalen Partei (PNL), der Union Rettet Rumänien (USR) und der Volksbewegungspartei (PMP) haben das Misstrauensvotum initiiert. Die Opposition wirft dem Kabinett vor, mit der Inkompetenz seiner Minister eine Verschlechterung des Wirtschaftsklimas verursacht zu haben. Belegbar sei dies durch die steile Erhöhung des Bankzinsenberechnungsindex ROBOR, durch die galoppierende Inflation, die Abwertung der Landeswährung im Verhältnis zum Euro, die chaotische, immer wieder abgeänderte Steuergesetzgebung und durch fehlende Investitionen im Infrastrukturbereich. Die Regierung der Sozialdemokratin Dăncilă sei zudem nur ein Marionettenkabinett des Parteichefs und Drahtziehers Liviu Dragnea, der sich sämtliche Institutionen des Staates hörig machen und der unabhängigen Justiz einen Knebel in den Mund stecken wolle, so die Opposition.



    Für einen erfolgreichen Misstrauensantrag braucht die Opposition 233 Stimmen. Rein mathematisch hat die Opposition allerdings wenig Chancen, mit dem Vorsto‎ß durchzukommen. Die Regierungskoalition PSD-ALDE verfügt über insgesamt 249 Parlamentarier, die Oppositionsparteien haben zusammen nur 154 Stimmen. Die Ungarnpartei UDMR hat 30 Abgeordnete und Senatoren, ist allerdings durch ein Kooperationsprotokoll an die Mehrheitsfraktion gebunden und hat schon angekündigt, der Abstimmung fernbleiben zu wollen. Weitere 17 Abgeordnete, die die restlichen ethnischen Minderheiten im Parlament vertreten, stimmen traditionsgemä‎ß immer an Seite der jeweils Regierenden, und die restlichen 15 unabhängigen Parlamentarier, die zwar allesamt gegen die Regierung und den mächtigen Chef der PSD sind, fallen kaum ins Gewicht.



    Liviu Dragnea selbst zeigte sich bereits vergangene Woche sicher, dass der Misstrauensantrag ihm nichts anhaben kann. Da mag er wohl nicht falsch liegen, meinen die Politikbeobachter, schlie‎ßlich sei er der einzige, der dazu fähig sei, die eigene Regierung zu stürzen — mokieren sich einige Kommentatoren. Dem ist auch so: Vor genau einem Jahr hat die regierende PSD den eigenen Ministerpräsidenten Sorin Grindeanu per Misstrauensvotum im Parlament zur Ordnung gepfiffen — dieser lag im unversöhnlichen Clinch mit seinem Parteichef Dragnea. Eine Mehrheitskoalition, die das eigene Kabinett zum Fallen bringt, um es dann — bis auf den in Ungnade gefallenen Regierungschef — wieder ins Amt zu bringen — das war in der Tat eine Premiere in den 30 Jahren postkommunistischer Demokratie in Rumänien. Dabei blieb es nicht: Ein halbes Jahr später musste Mihai Tudose, der Nachfolger Grindeanus als Ministerpräsident, ebenfalls seinen Hut nehmen — diesmal ohne viel Tamtam, er beugte sich einem Parteikonklave, das über sein Schicksal entschied. Auch er sei mit seinen Unabhängigkeitsallüren dem Parteichef nicht willfährig genug gewesen, so die Kommentatoren.



    Journalisten und andere Politikbeobachter sind sich einig: Die Regierung bleibt fest im Sattel, die Opposition hat kaum Erfolgschancen mit dem Misstrauensantrag. Angeschlagen bleibt allerdings das Image dieser Regierungskoalition und des PSD-Chefs Liviu Dragnea. Der Oberste Gerichtshof hat Dragnea vergangene Woche in einem Strafprozess wegen Korruption zu dreieinhalb Jahren Haft ohne Bewährung verurteilt. Das Urteil ist allerdings nicht rechtskräftig, es kann noch angefochten werden, da nicht alle Rechtsmittel erschöpft sind. Und 2016 war Dragnea von einem anderen Gericht in einer weiteren Strafsache zu zwei Jahren Haft verurteilt worden. In diesem Verfahren war Dragnea des versuchten Wahlbetrugs für schuldig befunden worden, die Strafe wurde allerdings zur Bewährung ausgesetzt.

  • June 24, 2018

    June 24, 2018

    Motion — The censure motion tabled by the Romanian opposition parties will be read out on Monday in Parliament plenum and Wednesday it will be debated and voted on. The initiators of the motion called “Ousting the Dragnea-Dancila government, a national emergency” claim that the current cabinet, through the measures taken, destroyed the economy and the justice system. On Saturday thousands of people protested in Bucharest and other cities of Romania against the Social Democratic government and the Social Democrat leader Liviu Dragnea, asking for his and the government’s resignation. Also on Saturday, the Romanian President Klaus Iohannis, announced that he would run for a new term in office as president of Romania in 2019, saying that his decision was motivated by the troubled political environment in Romania. He said he had to clarify his position on the matter given that 80% of the population was discontented with and no longer trusted the political class. According to President Iohannis the PSD leader Liviu Dragnea should withdraw completely from Romania’s political life. On Friday the Social Democrats announced they would continue to support Dragnea in all the offices he is currently holding although he received a first instance sentence of 3 and a half years in prison for instigation to abuse of office. Dragnea said he would not resign so as to be able to implement his goals, among which the governing program.



    Chisinau — A protest rally will take place Sunday in Chisinau to contest the court decision that invalidates the election as mayor of Chisinau of the pro-European opposition leader Andrei Nastase. The police announced on Saturday that they started criminal prosecution in the case of the rally, based on suspicions related to possible violent actions to take place at the rally. The US Department of State, the EU as well as diplomatic missions accredited to Chisinau conveyed messages in which they express concern with the developments in this case.



    Brussels — Leaders from 17 EU states are today meeting in Brussels to discuss differences over migration in the run up to the EU summit scheduled for the coming weekend. The German chancellor Angela Merkel wants to obtain certain concessions that should allow her to maintain the governing coalition. The French president Emmanuel Macron is pleading for financial sanctions to be imposed on those EU members that turn away migrants with proven asylum status. He referred to Hungary, Poland and the Czech Republic, countries that are opposed to the asylum-seeker relocation program. The Bulgarian Prime Minister, Boiko Borisov, whose country is holding the rotating presidency of the Council of the European Union until June 30, announced he would propose the immediate closure of the EU’s external borders for migrants and the setting up of centers for war refugees outside the community space, Reuters reports.



    Turkey elections — Turkey is seeing Sunday early presidential and parliamentary elections. The presidential election is considered the most important challenge for the current president Recep Tayyip Erdogan who has been ruling the country for 15 years. If he gets another 5-year term in office Erdogan intends to remove the prime minister position, a measure which the opposition claims will erode democracy in Turkey. His main challenger is Muharrem Ince representing the most powerful opposition party, the Republican People’s Party. If none of the candidates gets more than 50% of the votes on Sunday, a second round will be held on July 8. Also on Sunday Turks are called to the polls to elect 600 MPs for a 5-year term in office, the elections taking place in the context of a state of emergency imposed by president Erdogan himself in 2016 after the failed coup d’etat against him.



    Romanian Blouse — The Universal Day of the Romanian Blouse is marked each year on June 24. The traditional Romanian blouse is the staple element of the national traditional dress and an international symbol of Romanian culture. On January 21, 2013 the online community “La Blouse Roumaine” proposed June 24 as the day devoted to the Romanian Blouse. In the same year the community “La Blouse Roumaine” organized the first Universal Day of the Romanian Blouse, which has become a global event marked in more than 50 countries. (news translated by Lacramioara Simion)

  • Prison sentence for the Social-Democrat leader Liviu Dragnea

    Prison sentence for the Social-Democrat leader Liviu Dragnea

    News of the prison sentence passed for the Social-Democrat strongman Liviu Dragnea has shaken the whole political scene. Dragnea was sentenced to three and a half years imprisonment for instigation to abuse of office. The ruling is not final. The High Court of Cassation and Justice, the court of first instance in this matter, gave credit to the accusations of the National Anticorruption Directorate, which claims that Dragnea ordered the fictitious hiring of two party members at the Social Assistance and Child Protection Directorate while head of the Teleorman County Council. The two were paid from public money, although they worked exclusively for the Social Democratic Party. If confirmed, this will be the second time Dragnea is handed a prison sentence, after in 2016 he got a 2-year suspended sentence for electoral fraud for his involvement in the 2012 referendum on the impeachment of the then president Traian Basescu.



    Despite the sentence, Liviu Dragnea led his party to the most resounding victory in the legislative elections in the last 20 years. Prominent party leaders, including Prime Minister Viorica Dancila, have expressed their support for Dragnea, invoking the presumption of innocence which Dragnea should be given before a final sentence is passed.



    Others claim Dragnea is the target of a political vendetta, which they claim to be the work of the so-called “parallel state”, which allegedly includes the National Anticorruption Directorate and other services. The leader of the Alliance of Liberals and Democrats Calin Popescu-Tariceanu in turn shared this view.



    Conversely, the right-wing opposition wants Dragnea to step down from all public offices. Liberal leader Ludovic Orban has urged the members of the ruling coalition to distance themselves from the Social-Democrat president and vote for their censure motion. In turn, the Save Romania Union says it is unacceptable for Romania to have a “twice-convicted” Chamber of Deputies speaker.



    People protesting in Bucharest and other large cities of Romania against the Social-Democratic Party and its leader have welcomed the news of the sentence. People are not just calling on Dragnea to resign, but on the whole Government. They want the Parliament dissolved for snap elections to be held. Liviu Dragnea’s position is uncertain, with the whole party and ruling coalition showing signs of a breakdown. The first test thereof will be next Wednesday, when Parliament will vote on the Liberals’ censure motion. Dragnea’s leading the party with an iron-hand has prompted many Social-Democrats to leave the party. His critics accuse him of trying to radically change and subordinate the justice system, a plan which Thursday’s ruling has apparently foiled.

  • June 21, 2018 UPDATE

    June 21, 2018 UPDATE

    Sentence – The High Court of Cassation and Justice in Bucharest on Thursday sentenced the speaker of the Chamber of Deputies and leader of the Social Democratic Party Liviu Dragnea to 3 and a half years in prison for abuse of office. In the same case he was acquitted for intellectual forgery. The decision is not definitive and can be appealed. Last month, the prosecutors of the National Anti-Corruption Directorate asked for a sentence of 7 years and 5 months imprisonment for abuse of office and of 2 and a half years for intellectual forgery. They accuse Dragnea that in his capacity as president of the Teleorman County Council he ordered the fictitious employment of two Social Democratic Party members with the Directorate for Social Assistance and Child Protection. They were paid from public money although they worked exclusively for the PSD. Liviu Dragnea denied the accusations. In 2016 Dragnea received a definitive 2-year suspended sentence for attempted electoral fraud. The Court cancelled, through Thursday’s decision, the sentence he had previously received in the Referendum case as sentences cannot be cumulated.



    Motion — The censure motion filed by the opposition parties in Romania will be read on Monday in the plenum of Parliament and on Wednesday it will be debated and voted on, according to the decision of the joint permanent bureaus of Parliament’s two chambers. The initiators of the motion claim that the current government destroyed the Romanian economy and the judiciary through the measures they took.



    Cyber threat — 9 EU members including Romania will set up rapid reaction teams to respond to potential cyber threats, the Lithuanian officials announced on Thursday, as Lithuania is leading this project. The Lithuanian foreign minister Raimundas Karoblis said that his counterparts from Croatia, Estonia, the Netherlands and Romania would to Luxemburg on Monday to sign this agreement, while Finland, Poland and Spain will do that later this year. The rotating teams of experts will be ready to assist national authorities in case of a cyber attack, Raimundas Karoblis also added. Cyber force is among the first projects implemented as part of the European Defense pact signed last year, in a context created by the doubts of the American President over the role of NATO and by Brexit, France Press reports.



    Chisinau — The invalidation of the elections in Chisinau was one of the issues on Thursday’s agenda of the European Parliament’s Committee on Foreign Affairs. According to a communiqué of the EP, the Committee shows deep concern with the decision of the court in Chisinau, that decided not to confirm the legality of the recent local elections for the mayor of Chisinau, invoking dubious and non-transparent reasons. The communiqué also shows that political interference in the judicial system and the elections runs counter to the European standards which the Republic of Moldova decided to adopt as part of the EU-Moldova Association Agreement. The court in Chisinau declared the elections for mayor null. They were won by one of the leaders of the pro-European opposition, Andrei Nastase. Previously he had been found guilty of having broken the electoral code, as he allegedly urged the citizens to go to the polls on the very day of the vote. The mayor elect labeled the decision arbitrary and said he would contest it in Court.



    London — NATO will survive despite current tension between the US and Europe, said Thursday, in London, the NATO Secretary General Jens Stoltenberg. According to him, the bridge between Europe and the US will survive despite any differences over trade, climate change and the Iranian nuclear deal. He added that it was more important than ever before that NATO should maintain its unity.



    Tennis — The Romanian tennis player Mihaela Buzarnescu, 30 WTA, will take on the Ukrainian Elina Svitolina (5WTA) on Friday in the quarter finals of the Birmingham tournament which has total prizes worth 850 thousand dollars. Buzarnescu has already won a 25 thousand dollar check and 100 WTA points. In their latest match, in the 3rd round of this year’s edition of Roland Garros, Buzarnescu defeated Elena Svitolina 2-0 in the sets. (news translated and updated by Lacramioara Simion)

  • Nachrichten 21.06.2018

    Nachrichten 21.06.2018

    Bukarest: Mehrere Tausend Menschen haben am Mittwochabend in Bukarest, Sibiu (Hermannstadt), Cluj-Napoca (Klausenburg) und anderen Gro‎ßstädten gegen die Änderungen an der Strafprozessordnung protestiert. Die Demonstranten riefen Parolen gegen die Koalitionsregierung aus PSD und ALDE, forderten deren Rücktritt und Neuwahlen. Mehr als 6.000 Menschen haben in der Hauptstadt Bukarest vor dem Regierungssitz protestiert, der Verkehr wurde infolgedessen gesperrt. An der Protestkundgebung in Sibiu nahmen rund 4.000 Menschen teil, in Cluj-Napoca 2.000. In Bukarest hat die Polizei 6 Demonstranten festgenommen. Die Generalstaatsanwaltschaft hatte sich zuvor besorgt über die Art und Weise geäu‎ßert, in der das Bukarester Parlament eine Reihe von Änderungen an der Strafprozessordnung angenommen hat. Nach Angaben der Staatsanwaltschaft wurden die Beobachtungen und Vorschläge des Obersten Richterrates und der Berufsverbände der Richter nicht berücksichtigt. Die Änderungen der Strafprozessordnung wurden am Montag von der Abgeordnetenkammer in Bukarest als Beschlusskammer nach der Billigung des Senats durchgeboxt. Es gab 175 Stimmen dafür und 78 dagegen. Die Oppositionsparteien PNL und USR kündigten bereits an, gegen den Entwurf eine Verfassungsklage zu erheben. Die Vertreter der Parlamentsmehrheit behaupteten hingegen, man wolle durch die Änderung der Strafprozessordnung lediglich Beschlüssen des Verfassunggerichts und europäischen Richtlinien zur Unschuldsvermutung sowie Standpunkten der Berufsverbände Rechnung tragen.




  • 20.06.2018 (mise à jour)

    20.06.2018 (mise à jour)

    Justice – La Haute Cour de Cassation et de Justice pourrait rendre jeudi le verdict dans le procès du leader PSD et président de la Chambre des députés, Liviu Dragnea, accusé de corruption. Le mois passé, les procureurs de la DNA ont demandé 7 ans et 5 mois de prison ferme pour abus de fonction et faux intellectuel et pour d’autres chefs d’accusation dans une affaire d’emplois fictifs au Département de la Protection de l’Enfance dirigé par l’ancienne épouse de M Dragnea. Par ailleurs, mercredi, Dan Sova, ancien sénateur, a été condamné par la Haute Cour de Cassation et de Justice à trois ans de prison ferme pour des malversations portant sur un prétendu contrat d’assistance juridique d’une valeur de cent mille euros, conclu entre une société d’Etat et sa société d’avocats.


    Motion – En Roumanie, l’opposition de droite formée du PNL, l’USR et le PMP, a avancée mercredi, au Parlement, une motion de censure contre le gouvernement de gauche de la coalition PSD- ALDE. Les signataires du document lui reprochent entre autres la majoration de l’indice ROBOR en fonction duquel on calcule les taux d’intérêts bancaires, la hausse de l’inflation, les modifications apportées au Code fiscal et les retards enregistrés dans l’infrastructure routière. Par ailleurs, l’opposition dénonce le fait que la Justice et les institutions publiques ne représentent que des outils politiques entre les mains de ce gouvernement fantoche contrôlé par le chef du PSD, Liviu Dragnea, à la tête de la Chambre des députés. Si la motion passe, le gouvernement sera démis. CCR – La Cour Constitutionnelle de Roumanie a annoncé mercredi son intention de saisir le Conseil de l’Europe et la Commission de Venise au sujet d’une nouvelle action à son encontre. La CCR soutient qu’un de ses juges, M. Petre Lazaroiu, aurait été victime de pressions de la part de la conseillère présidentielle, Elena- Simina Tanasescu lors d’un entretien qu’il a eu avec elle. Selon l’Administration présidentielle, celle-ci aurait démissionné mercredi de ses fonctions, quoique les accusations à son encontre soient totalement infondées. L’Opposition de droite, soutenue par de nombreuses voix de la société civile, accuse dernièrement la politisation de la Cour Constitutionnelle.

    Présidence – Le premier ministre roumain, Mme Viorica Dancila, a présenté mercredi devant le plénum du Parlement de Bucarest l’état des préparatifs en vue de la présidence roumaine du conseil de l’Union européenne qui commence au mois de janvier 2019. L’une des priorités de la présidence roumaine sera le Partenariat oriental, avec un accent particulier sur les aspirations européennes de la République de Moldova, a affirmé Mme Dancila. A son avis, la Roumanie aura l’occasion de démontrer sa capacité de contribuer d’une manière significative par une vision politique forte et une capacité administrative importante à la relance du projet européen. La Roumanie est prête à assumer à partir du 1er janvier la présidence du Conseil de l’Union européenne – c’est le message qu’a transmis ce mardi à Bruxelles le ministre en charge des Affaires Européennes, Victor Negrescu.

    Foot -. L’équipe roumaine de foot Viitorul Constanta va rencontrer au premier tour des préliminaires d’Europa League l’équipe Racing FC Union Luxembourg, a décidé mercredi le tirage au sort organisé par la UEFA dans la ville de Nyon, en Suisse. Par ailleurs, la championne roumaine FCSB (l’ancienne Steaua) pourrait jouer au deuxième tour l’équipe slovène NK Rudar Velenje qui va rencontrer au premier tour le vainqueur entre les équipes Tre Fiori de San Marin et Bala Town du Pays de Galles. Enfin, la détentrice de la coupe de Roumanie, CSU Craiova va jouer directement au troisième tour préliminaire, alors que la nouvelle équipe sacrée championne de Roumanie CFR Cluj va jouer au deuxième tour préliminaire de la Ligue des Champions avec le vainqueur entre Malmo FF et la gagnante de la tournée de qualification de la compétition.

    Météo – Le temps est plutôt instable en Roumanie, notamment dans l’ouest, le nord-ouest et dans les régions de montagne où des orages sont attendus. Les minima chuteront jusqu’à 13 degrés et les maxima grimperont jusqu’à 34 degrés.

  • Nachrichten 19.06.2018

    Nachrichten 19.06.2018


    Bukarest: Die Generalstaatsanwaltschaft hat sich am Dienstag besorgt über die Art und Weise geäu‎ßert, in der das Bukarester Parlament eine Reihe von Änderungen an der Strafprozessordnung angenommen hat. Nach Angaben der Staatsanwaltschaft wurden die Beobachtungen und Vorschläge des Obersten Richterrates und der Berufsverbände der Richter nicht berücksichtigt. Die Änderungen der Strafprozessordnung wurden am Montag von der Abgeordnetenkammer in Bukarest als Beschlusskammer nach Verabschiedung des Senats durchgeboxt. Es gab 175 Stimmen dafür und 78 dagegen. Die Oppositionsparteien PNL und USR haben bereits angekündigt, gegen den Entwurf eine Verfassungsklage zu erheben.



    Bukarest: Die Vize-Ministerpräsidentin Ana Birchall hat sich am Dienstag mit Wess Mitchell, dem stellvertretenden US-Staatssekretär für Europa und Eurasien, getroffen. Birchall, die für strategische Partnerschaften verantwortlich ist, nahm an einem bilateralen Gipfeltreffen für strategischen Dialog zwischen Rumänien und den USA teil. Dabei betonte die Amsträgerin das Interesse der rumänischen Seite an der Identifizierung und Durchführung gemeinsamer Projekte, die zur Erweiterung und Vertiefung der Strategischen Partnerschaft mit den USA führen könnten. In diesem Zusammenhang verwies sie auf das Potential im Energiebereich, der Digitalwirtschaft und der Filmindustrie. Zusätzlich bat Birchall die amerikanische Seite um Unterstützung bei der Aufnahme Rumäniens ins Visa Waiver-Programm und bedankte sich bei den USA für die bisherige Betreuung bei der Kandidatur Rumäniens für den Beitritt zur Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung. Wess Mitchell behauptete in seiner Ansprache in der Universität Bukarest, dass Rumänien Fortschritte bei der Stärkung seines Justizwesens gemacht habe und keine Rückschritte mehr zulassen dürfe. Für die USA seien die wirtschaftliche und energetische Resistenz wichtig, jedoch auch die Wertesysteme der Staaten am Schwarzen Meer, so der stellvertretende Staatssekretär. Mitchell warnte abschlie‎ßend vor der Gefahr durch russischen und chinesischen Einfluss in der Region.




    Der mögliche Gegner des rumänischen Fu‎ßballmeisters CFR Cluj steht nach der Auslosung der zweiten Qualifikationsrunde der Champions League in der schweizerischen Stadt Nyon fest. Es handelt sich um den Gewinner der Partie zwischen den Schweden von Malmö FF und dem Gewinner des Qualifikationsturniers. Am Mittwoch sollen auch die Gegner der Mannschaften feststehen, die Rumänien in Europe League vertreten: der Vizemeister FCSB (Ehemaliger Fu‎ßballclub Steaua Bukarest) und Viitorul Constanta


  • Nachrichten 18.06.2018

    Nachrichten 18.06.2018

    Bukarest: Im Plenum des Senats ist am Montag der Antrag der Opposition gegen den Wirtschaftsminister Daniel Andruşcă gescheitert. Im Antrag forderten die nationalliberale Partei PNL und die Union Rettet Rumänien USR aus der Opposition den Rücktritt des Wirtschaftsministers, dessen Tätigkeit als katastrophal eingestuft werden könne. Die Opposition wirft dem Wirtschaftsminister vor, die Gesetze über die Lizenzgebühren für Bergbau und Mineralwasser seien blockiert worden, auch wenn diese im Regierungsprogramm vorgesehen sind. Die Liberalen kündigten zudem an, sie werden Ende dieser Woche einen Misstrauensantrag gegen die Koalitionsregierung von PSD und ALDE unter der Leitung von Viorica Dăncilă einbringen.



    Bukarest: Der rumänische Staatschef Klaus Iohannis kommt am Dienstag in Bukarest mit den Botschaftern der EU-Staaten zu Gesprächen zusammen. Das Treffen findet bei der bulgarischen Botschaft statt. Bulgarien hat derzeit den EU-Ratsvorstz inne. Einen Themenschwerpunkt dürfte dabei die Konsolidierung der Demokratie und des Rechtsstaates als Voraussetzung für die Zukunft Rumäniens bilden, laut einer Mitteilung des Präsidialamtes. Auf der Gesprächsagenda stehen demnach auch Themen, die bei der Tagung des Europäischen Rates am 28.und 29. Juni besprochen werden sollen, wie die Migration, die Sicherheit der EU, der Binnenmarkt, der mehrjährige Finanzrahmen 2021-2027 und die Au‎ßenbeziehungen der Union. Die Teilnehmer werden au‎ßerdem über den kommenden EU-Ratsvorsitz Rumäniens ab Januar 2019 diskutieren.



    Bukarest: Rumänien ist ein Sinnbild für Freiheit in Osteuropa, was noch einen Beweis für die Entwicklung des Landes darstellt. Rumänien habe zudem deutlich an geopolitische Bedeutung gewonnen, hat am Montag in Bukarest der stellvertretende US-Au‎ßenminister für Europa und Eurasien, Wess Mitchell in einer Rede an der Bukarester Universität erklärt. Im Anschlu‎ß sagte Mitchell, die rumänische Justiz habe erhebliche Fortschritte verzeichnet und sollte jetzt keinen Schritt zurück machen. Laut dem US-Au‎ßenministerium hat Wess Mitchell in Rumänien Treffen mit hohen Beamten und unabhängigen Analysten über regionale Sicherheit und wirtschaftliche Zusammenarbeit. Er wird die Delegation seines Landes auf der sechsten Sitzung des Strategischen Partnerschaftsdialogs zwischen den USA und Rumänien leiten. Bukarest ist die erste Etappe der europäischen Reise von Wess Mitchell, im Anschlu‎ß wird er in Zagreb, Prag und Brüssel erwartet.