Tag: Pfizer-BioNTech

  • Trois vaccins pour les Roumains

    Trois vaccins pour les Roumains

    Avec
    l’arrivée de la première tranche de vaccins produits par
    AstraZeneca et Oxford, les Roumains disposent de trois vaccins contre
    le coronavirus. Il s’agit de 81 mille doses destinées aux centres
    régionaux de Cluj, Craiova, Iasi et Timisoara. Les vaccins sont
    distribués via des véhicules du ministère de la Défense dans des
    conditions de sécurité maximale, en respectant la chaîne de froid
    nécessaire. Suite aux recommandations des spécialistes roumains et
    compte tenu des précisions du producteur et des études disponibles
    jusqu’ici, le vaccin AstraZeneca a été recommandé en Roumanie aux
    personnes âgées de 18 à 55 ans, un intervalle d’âge qui pourrait
    être accru en fonction de l’apparition de nouvelles données
    scientifiques. La période de temps nécessaire entre les deux
    injections est de 8 semaines.

    La Roumanie devrait recevoir en février
    au moins 600 mille doses de ce vaccin, qui sera disponible sur la
    plate-forme de programmation dès le 10 février. Jusqu’ici, la
    Roumanie a utilisé surtout le vaccin produit par Pfizer/BioNTech,
    alors que le nombre des doses livrées par la compagnie Moderna a été
    assez faible. Il n’y a pas de limite d’âge pour ces deux produits,
    dont l’efficacité est supérieure à celui d’AstraZeneca. Ces taux
    d’utilisation sont ne conséquence de la disponibilité des deux
    vaccins et suivent en effet les proportions enregistrées à travers
    l’UE, celle qui a d’ailleurs négocié leur achat au nom des Etats
    membres.

    Entre temps, la Roumanie compte parmi les pays ayant
    immunisé le plus de personnes par rapport à la population. Le
    coordonnateur de la campagne nationale de vaccination, le médecin
    Valeriu Gheorghita, a souligné qu’à partir du 1er
    avril, tous les 750 centres de vaccination seront ouverts, ce qui
    portera la cadence de l’immunisation à 100 mille personnes par jour.
    Pour l’instant, nombre de centres ne sont pas ouverts à cause des
    calendriers incertains de livraison des vaccins. Compte tenu des
    livraisons confirmées pour le premier trimestre de cette année,
    donc y compris pour le mois de mars, tous les rendez-vous sont déjà
    pris. M Gheorghita a également déclaré qu’à partir du 15 mars, un
    nouveau système de programmation devrait entrer en vigueur. Il
    reposera sur une liste d’attente et sur un logiciel censé notifier
    automatiquement les personnes inscrites en fonction des centres
    préférés et des consignes médicales.

    Les trois vaccins que la
    Roumanie utilise désormais sont différents du point de vue
    technologie de production, stockage, utilisation et efficacité. Mais
    les spécialistes recommandent au grand public d’utiliser n’importe
    quel vaccin disponible contre le nouveau coronavirus, vu que tous les
    trois peuvent prévenir les formes sévères et même mortelles de
    Covid-19. Les produits de Pfizer/BioNTech et de Moderna, utilisés
    jusqu’ici en Roumanie, ont généré selon le ministère de la Santé
    des réactions adverses légères dans le cas de seulement 0,28% des
    sujets.

  • Trei vaccinuri la dispoziţia românilor

    Trei vaccinuri la dispoziţia românilor

    Românii pot conta acum pe trei vaccinuri anti-coronavirus, după ce, duminică, a sosit în țară prima tranşă de la AstraZeneca / Oxford. Este vorba despre 81 de mii de doze, destinate centrelor regionale de depozitare din Cluj, Craiova, Iaşi şi Timişoara. Distribuirea se face cu autospeciale ale Ministerului Apărării Naţionale, în condiţii optime de siguranţă, cu respectarea lanţului de frig necesar.


    În urma recomandărilor specialiștilor români și ținând cont de precizările producătorului și de studiile disponibile până în acest moment, vaccinul AstraZeneca a fost recomandat în România pentru grupa de vârstă 18-55 de ani, cu posibilitatea creşterii acestui interval, în funcţie de apariţia noilor date ştiinţifice. Intervalul de timp recomandat între cele două doze este de 8 săptămâni. România ar trebui să primească în luna februarie cel puţin 600.000 de doze din acest tip de vaccin, programările pentru administrarea lui urmând să înceapă din 10 februarie.


    Până în prezent, a fost administrat preponderent vaccinul produs de Pfizer/BioNTech, dar s-au folosit și un număr relativ mic de doze de la compania Moderna. Ambele nu au limită superioară de vârstă pentru utilizare și au arătat o eficacitate superioară celui de la AstraZeneca. Proporțiile au fost dictate de disponibilitatea celor două seruri și urmează graficele înregistrate la nivelul Uniunii Europene, care a contractat din timp vaccinurile în numele statelor membre. Așadar, România are în acest moment toate cele trei tipuri de preparate aprobate pentru utilizare în spațiul comunitar și chiar este una dintre țările fruntașe în procesul de imunizare a populației.


    Coordonatorul campaniei naţionale de vaccinare, medicul Valeriu Gheorghiţă, a subliniat că de la 1 aprilie vrea să fie operaţionalizate toate cele 750 de centre de vaccinare, care vor asigura o cadența de peste o sută de mii de imunizări pe zi. Nu sunt deschise toate în prezent pentru că nu există certitudinea calendarului de livrare. Valeriu Gheorghiţă a arătat că, bazându-se pe ceea ce este confirmat pentru primul trimestru al acestui an, deci inclusiv pentru luna martie, locurile pentru vaccinare sunt deja ocupate. El a mai spus că din 15 martie ar trebui să fie operaţionalizat un nou mod de programare, care presupune o listă de aşteptare din care sistemul ii va notifica automat pe cei înscriși, în funcție de opțiunile lor privind centrele de vaccinare și de indicațiile medicale.


    Între cele trei vaccinuri de care dispune acum România există diferențe de tehnologie de producție, de administrare, de stocare și utilizare și, cum am mai spus, de eficiență. Dar specialiștii le recomandă pe oricare dintre ele, spunând că toate pot preveni formele grave și letale de Covid 19. Serurile de la Pfizer/BioNTech și Moderna, folosite până acum în România, au generat, potrivit ministerului Sănătății, doar reacții adverse ușoare la 0,28% dintre pacienți.

  • 06.02.2021

    06.02.2021


    Coronavirus – Le premier ministre Florin Cîţu a reçu aujourd’hui pour sa dose de rappel du
    vaccin anti-Covid, après qu’hier le président Klaus Iohannis s’est vu
    administrer la deuxième dose. A la différence de la première piqure, les
    caméras n’étaient plus présentes, mais l’Administration présidentielle précise
    que le président se sent très bien. Les derniers chiffres font état de 2.600
    nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2 en 24 heures, sur 27.000 tests effectués
    à travers le pays. 61 personnes sont décédées dans le même intervalle des
    suites de l’infection. Côté vaccination, la Roumanie devrait recevoir 800.000
    doses du vaccin AstraZeneca avant la fin février, le vaccin en question étant
    voué uniquement aux personnes âgées de 18 à 55 ans. Jeudi a démarré
    l’administration des doses produites par la compagnie Moderna, en même temps
    que le vaccin de Pfizer-BioNTech. Environ 650.000 Roumains ont été immunisés jusqu’à
    présent.


    Balş– Deux autres patients qui
    se trouvaient dans le pavillon de l’Institut Matei Balş de Bucarest, qui a pris
    feu la semaine dernière, sont décédés, annonce le ministère de la Santé. Le
    feu, qui s’est déclaré dans le pavillon cinq, où étaient soignés des malades de
    Covid-19, a fait cinq victimes sur place. Neuf autres décès ont été rapportés
    parmi les malades transférés après le sinistre. Le Parquet près le Tribunal de
    Bucarest a annoncé avoir finalisé, vendredi, les investigations sur les lieux
    de l’incendie. 33 personnes, membres du personnel médical et administratif,
    agents de police ayant participé à l’intervention initiale et proches des
    victimes ont été entendues jusqu’à présent. Plusieurs chambres ont brûlé et la
    fumée a envahi tout l’immeuble. Plus de 100 patient ont été évacués et ont été
    transféré dans d’autres hôpitaux. Rappelons-le, une tragédie similaire a eu
    lieu en novembre dernier, à l’hôpital des urgences de Piatra Neamţ, dans le
    nord-est du pays. 10 patients avaient alors décédés sur place et cinq autres
    sont morts dans les jours suivants.




    Diplomatie – Le leader du groupe libéral Renew Europe du Parlement européen et
    ex-premier ministre roumain Dacian Cioloş exige que le Haut représentant de
    l’Union pour les affaires étrangères Josep Borrell s’explique devant les
    eurodéputés après son humiliation par le ministre russe des Affaires étrangères,
    Sergueï Lavrov. « Les événements d’aujourd’hui sont une gifle sur la joue
    de l’Europe et doivent nous servir de leçon : dans les négociations avec
    les Russes nous pourrons nous imposer uniquement si nous restons unis dans la
    défense des valeurs sur lesquelles a été fondée l’Union européenne – le respect
    pour la dignité humaine, la liberté, la démocratie, l’égalité, l’Etat de droit
    et les droits de l’Homme » – peut-on lire sur le profil Facebook de Dacian
    Cioloş. La réaction de l’homme
    politique vient après l’annonce d’hier de Moscou d’expulser trois diplomates
    européens, un Allemand, un Polonais et un Suédois, accusés
    d’avoir participé à une récente manifestation en faveur d’Alexeï Navalny. Le
    chef de la diplomatie européenne avait admis, dès le début de cette semaine, qu’il
    n’allait pas obtenir la libération de l’adversaire le plus acerbe du président
    russe Vladimir Poutine. Lors de sa rencontre de vendredi avec Lavrov, Josep Borrell
    a réitéré son appel pour la libération de Navalny et pour le lancement d’une
    enquête impartiale sur son empoisonnement, en août dernier, avec un agent
    neurotoxique. Alexeï Navalny, condamné mardi à près de trois ans de prison
    ferme pour avoir enfreint un contrôle judiciaire datant de 2014, est de nouveau
    comparu devant les juges vendredi, cette fois-ci accusé de diffamation au sujet
    d’un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale.








    Défense – Des militaires des Forces navales et des Forces aériennes roumaines
    ont effectué vendredi, dans le bassin de la mer Noire, une mission d’instruction
    avec des militaires des Forces navales américaines. D’après le ministère de la
    Défense de Bucarest, l’exercice constituait la première activité d’instruction
    commune roumano-américaine de cette année et avait pour but de renforcer les
    mesures de sécurité de l’OTAN dans le sud-est de l’Europe et l’interopérabilité
    au sein de l’Alliance. Le partenariat stratégique avec les Etats-Unis est un
    des piliers de la défense et de la sécurité de la Roumanie, estime Bucarest.
    Dans un environnement de sécurité de plus en plus dynamique, tel celui de la
    mer Noire, la coopération entre l’Armée roumaine et les forces américaines
    disloquées en Europe participe à renforcer la capacité de réagir d’une manière
    rapide et efficace à un large spectre de menaces contre la sécurité sociale sur
    le flan Est de l’OTAN – précise encore le ministère roumain de la Défense.

    Handball – Le club vice-champion de Roumanie de handball féminin, CSM Bucarest,
    revient aujourd’hui dans la Ligue des champions, après deux matchs reportés à
    cause d’infections au coronavirus dépistées dans les lots de leurs adversaires.
    Les joueuses roumaines rencontreront à domicile l’équipe danoise Team Esbjerg.
    Après dix matchs, CSM Bucarest occupe la 5e place du groupe A, avec 11 points.
    Dimanche, les championnes de la Roumanie, SCM Râmnicu Vâlcea, affronteront en
    déplacement une autre équipe danoise, Odense. SCM Râmnicu Vâlcea est 6e dans le
    groupe B, avec seulement 4 points. Seules les deux premières équipes de chaque
    groupe iront directement dans les quarts de finale de la compétition.








    Météo – Temps particulièrement doux pour la première moitié de février, en
    Roumanie, à l’exception du nord-est du territoire, où les températures seront
    inférieures à la moyenne. Le ciel sera couvert et l’on attend des
    précipitations faibles et modérées, principalement sous forme de neige, dans le
    centre, le nord-est et le nord-ouest du pays. Le verglas sera présent
    localement. Les températures maximales iront de –3° à 17°, avec 4° à midi à Bucarest.



  • 05.02.2021

    05.02.2021

    Coronavirus -
    En Roumanie, le vaccin Astra Zeneca sera administré uniquement aux personnes
    âgées de 18 à 55 ans, comme cela a été fait dans d’autres pays européens. Le
    mois dernier, l’Agence européenne du médicament précisait qu’il n’y avait
    suffisamment de données sur l’effet de ce vaccin sur les personnes âgées de
    plus de 55 ans, mais qu’elle s’attendait que celles-ci soient protégées aussi,
    sur la base des données fournies par le producteur. Néanmoins, plusieurs Etats
    membres ont décidé ne pas administrer ce sérum à cette tranche d’âge. La
    Roumanie attend ce mois-ci une livraison de 800.000 doses de vaccin
    AstraZeneca. En attendant, 180 centres de vaccination supplémentaires seront
    ouverts à partir du 15 février, alors que la campagne nationale de vaccination
    anticovid se poursuit. Jusqu’ici plus de 620 000 Roumains se sont fait
    vacciner. Jeudi, on a démarré l’administration des doses produites par la
    compagnie Moderna, en parallèle avec le vaccin de Pfizer-BioNTech. Ce vendredi, près de
    2560 nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2 ont été rapportés en Roumanie,
    sur 31 000 tests effectués en 24h, et 73 décès. Sur les quelque 740 000
    Roumains malades de Covid-19 depuis le début de la pandémie, plus de 90% ont
    guéri.

    Voyages – Les
    autorités roumaines ont mis à jour la liste des pays à risque épidémiologique
    élevé, décidant d’imposer, à compter du 12 février l’obligation de présenter un
    test négatif au coronavirus fait au moins 72 heures avant l’entrée en Roumanie.
    De même, toute personne arrivant en Roumanie sera tenue à observer 14 jours de
    quarantaine. Y font exception les enfants âgés de moins de 3 ans, les personnes
    ayant reçu la seconde dose du vaccin contre le coronavirus et les personnes qui
    ont été dépistées positives au coronavirus les 90 jours avant l’arrivée en
    terre roumaine.




    Ecoles – Derniers
    préparatifs pour la rentrée scolaire en présentiel du 8 février. Le retour en
    classe se fera selon des normes strictes de protection sanitaire, en suivant 3
    scénarios correspondant au taux d’incidence des cas de contamination de chaque
    localité. Là où ce taux est inférieur à 1 cas par mille habitants en 14 jours,
    tous les élèves se rendront en classe, y compris à la maternelle. Dans les
    villes où le taux d’incidence est entre 1 et 3 cas par mille habitants cumulés
    en 14 jours, seuls les élèves du primaire et des années terminales de collège
    et de lycée feront des cours en présentiel, alors que le reste continuera à
    étudier en ligne. Enfin, selon le 3e scénario, là où il y a plus de
    3 cas de coronavirus confirmés par mille habitants, seules les maternelles et les
    classes du primaire pourront accueillir des élèves sur place. Pour rappel, cela
    fait presqu’une année que les élèves roumains font des cours en ligne, à
    l’exception de deux mois à la rentrée d’automne dernier, un aspect qui a
    suscité beaucoup de mécontentement dans les rangs des parents et des
    enseignants, des élèves aussi, tout comme parmi les ONG activant dans le
    domaine de l’éducation.




    Contrôle – Le
    premier ministre roumain Florin Cîțu enverra le Corps de Contrôle au ministère
    de l’Economie pour enquêter sur l’application d’une mesure visant l’octroi d’aides
    financières pour les PME. Cette décision
    a été prise suite à une discussion avec le ministre de tutelle, Claudiu Năsui,
    qui avait mis en garde antérieurement sur le fait que la mesure en question
    n’était pas efficace. Selon le ministre, cette initiative était censée aider
    les PME à financer des rachats d’appartements. Or, plus de la moitié des
    sociétés éligibles ont postulé pour faire de telles acquisitions. L’été
    dernier, le gouvernement libéral de Ludovic Orban avait approuvé un schéma de
    financement pour stimuler la relance des PME affectées par la crise engendrée
    par la pandémie, leur permettant de toucher des sommes allant de 50.000 à
    200.000 euros.






    Moldova – La
    présidente de la République de Moldova, la pro-européenne Maia Sandu, est en
    visite officielle à Paris. Jeudi, elle a rencontré son homologue français
    Emmanuel Macron, qui a exprimé son soutien pour la nouvelle présidente moldave,
    l’exhortant à faire des « réformes courageuses » afin de renforcer l’Etat de
    droit dans cette ex-république soviétique. Emmanuel Macron a également exprimé
    l’intention de Paris d’aider Chisinau à résoudre le conflit de la région
    séparatiste de Transnistrie, sise dans l’est de la République de Moldova. Par
    ailleurs, Maia Sandu a rencontré plusieurs hauts responsables français et des
    représentants du milieu des affaires français, dans une tentative d’élargir et de
    diversifier la coopération économique entre les deux pays.




    Météo – Aujourd’hui,
    en Roumanie, les températures sont trop élevées pour cette période de l’année.
    Le ciel est plutôt couvert sur le nord où l’on attend de la pluie. A la
    montagne on attend de la neige et de la giboulée. Le maxima pourraient aller
    jusqu’à 16 degrés. 10 degrés et du soleil à midi à Bucarest.

  • 29.769  de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore

    29.769 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore

    Potrivit datelor puse la dispoziția CNCAV de către INSP, prin aplicația Registrul Electronic Național al Vaccinărilor, 29.769 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore.

    Numărul de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19 Pfizer BioNTech (în ultimele 24 de ore): 29.769 din care: 12.917 persoane vaccinate cu 1 doză şi 16.852 persoane vaccinate cu 2 doze.

    La persoanele vaccinate în ultimele 24 de ore au fost înregistrate 66 reacţii comune şi minore, din care: 5 reacţii de tip local, 61 reacţii generale.

    Numărul total de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19 Pfizer BioNTech (începând cu data de 27 decembrie 2020): 721.184, la un număr de 598.135 persoane din care: 475.086 persoane vaccinate cu 1 doză şi 123.049 persoane vaccinate cu 2 doze.

    Începând din 27 decembrie 2020, la nivelul centrelor de vaccinare s-au înregistrat 1.880 de reacţii comune şi minore, din care: 461 reacţii de tip local, cu durere la locul injectării; 1.419 reacţii generale (febră, cefalee, mialgii, artralgii, astenie, alergii de tip urticarie), iar 9 reacţii adverse sunt în curs de investigare.

    Programul centrelor de vaccinare se încheie la ora 20,00, motiv pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul orar 17,00 – 20,00 va fi reflectat în raportarea din ziua următoare, informează CNCAV.

    Sursa: CNCAV

  • Nachrichten 01.02.2021

    Nachrichten 01.02.2021

    Ein gemeinsames Team aus Staatsanwälten, Kriminalpolizisten und Experten setzt die Ermittlungen über die Ursache des Brandes fort, der am Freitag im Bukarester Matei Balş -Institut für Infektionskrankheiten im COVID-Flügel ausgebrochen war. Die Ermittler vernehmen Zeugen und überprüfen auch Fragen des Brandschutzes, der Wartung der elektrischen Anlagen und des Wachdienstes im Krankenhaus. Die Staatsanwaltschaft hat ein Strafverfahren wegen fahrlässiger Tötung eröffnet. Am Montag ist inzwischen ein weiterer COVID-Patient gestorben, der nach dem Brand in ein anderes Krankenhaus verlegt wurde.



    In Bukarest protestieren Mitglieder des SANITAS-Verbandes am Montag vor dem Regierungssitz, um die Achtung der Rechte der Beschäftigten im Gesundheitswesen zu fordern. Die Gewerkschaft prangert das Desinteresse der Behörden an und demonstriert im Namen all derer, die seit mehr als einem Jahr gegen die Pandemie kämpfen. Der Verband fordert die Einhaltung der für das laufende Jahr geplanten Lohnerhöhungen, gleiche Bezahlung für das Gesundheitspersonal, einkommensgerechte Prämien für alle Beschäftigten im System und einen finanziellen Anreiz für das Sozialversicherungspersonal für die Risiken, denen es ausgesetzt ist.



    Eine neue Teilliferung des Impfstoffs von Pfizer- BioNTech ist am Montag in Rumänien eingetroffen. In ganz Europa, einschließlich Rumänien, kam es zu Lieferverzögerungen, doch der Hersteller hat sich zu mehr Nachschub verpflichtet. Die Behörden in Bukarest haben angekündigt, dass Rumänien neben dem Serum von Pfizer auch den Impfstoff von Moderna einsetzen wird. Seit dem Beginn der Impfkampagne am 27. Dezember wurden in Rumänien mehr als 670 Tausend Menschen geimpft. Die Daten vom Montag: Über 1300 neue Fälle nach fast 9000 Tests mit 67 Corona-Toten. Von den 730.000 Menschen, die sich seit Beginn der Pandemie in Rumänien infiziert haben, sind rund 18.000 an oder mit Covid-19 gestorben. Fast 1.000 Patienten sind auf der Intensivstation untergebracht.



    Am Montag startet das Parlament eine neue Legislaturperiode. Der Beginn steht ganz im Zeichen des Haushaltsgesetzes 2021. Die Mitte-rechts Regierungskoalition von PNL, USR PLUS und UDMR will weitreichende Reformen in den Bereichen Lohn und Rentenpolitik sowie Bildung und Gesundheit auf den Weg bringen. Auf der anderen Seite haben die Oppositionsparteien angekündigt, ihre eigenen Ansätze einzubringen, die sie betreits im Wahlkampf vogelegt hatten.



    Die meisten Rumänen sind eher pessimistisch, was mögliche höhere Einkommen im Jahr 2021 angeht. Laut einer Umfrage von IRSOP erwarten 54 % der Befragten, dass ihre Gehälter auf dem gleichen Niveau wie im Jahr 2020 bleiben, 17 % denken, dass sie niedriger sein werden, und 27 % erwarten eine Einkommenserhöhung. Fast zwei Drittel der Rumänen geben an, dass sie einen starken Preisanstieg bis zum Ende des Jahres befürchten, 30 % rechnen mit einem eher moderaten Preisanstieg. Trotz der Gesundheitskrise im Jahr 2020 gaben fast 33 % der Befragten an, dass sie es geschafft haben, Geld zu sparen, und 50 % hoffen, dies im Jahr 2021 zu tun.



    Die rumänische Tennisspielerin Simona Halep, die Nummer zwei der Welt, hat sich am Montag für das Achtelfinale des Gippsland Trophy Turniers in Melbourne qualifiziert. Sie besiegte dabei die Russin Anastasia Potapova. Als Favoritin des Turniers zog die rumänische Spielerin direkt in die zweite Runde ein. Am Dienstag wird die zweite in Melbourne anwesende Rumänin, Irina Begu, in der zweiten Runde gegen die Weißrussin Aleksandra Sasnovich spielen.



    Der rumänische Stürmer Dennis Man hat am Sonntag sein erstes Spiel beim italienischen Fußballverein Parma absolviert, bei dem er bis 2025 unter Vertrag steht. Die Ablösesumme für den 22-jährigen rumänischen Fußballer vom FCSB Bukarest lag laut Tutto Mercato Web bei 13 Millionen Euro. Dazu kommt ein Bonus von zwei Millionen Euro. Dennis Man is damit der teuersten rumänische Fußballer, der ins Ausland gewechselt hat. Der Torschützenkönig der 1.Liga mit 14 Toren für den Bukarester Klub wird in Italien mit zwei anderen Rumänen spielen: Valentin Mihăilă und Reinaldo Radu.

  • 31.01.2021 (mise à jour)

    31.01.2021 (mise à jour)

    Enquête — Le bilan des victimes de l’incendie qui s’est déclaré vendredi à lInstitut Matei Balş de Bucarest s’alourdit à 7 morts. Le ministère de la Santé a fait état, dimanche, d’un nouveau décès parmi les patients transférés dans un autre pavillon de l’hôpital pour fuir les flammes. Entre temps, l’enquête sur l’origine de lincendie se poursuit à lInstitut Matei Balş, principal hôpital des maladies infectieuses du pays. Les enquêteurs vérifient également les aspects liés à la sécurité incendie, à lentretien des installations électriques et au service de gardiennage de lhôpital. La police a entendu samedi six personnes, membres du personnel médical et administratif ainsi que des proches des patients qui ont péri dans les sinistre. Les procureurs ont ouvert une procédure pénale pour homicide involontaire Les médecins de lInstitut de médecine légale «Mina Minovici» ont procédé samedi à l’autopsie des six patients décédés. Toujours samedi, le ministre de la Santé, Vlad Voiculescu, a annoncé la création du Fonds national pour la sécurité des patients, qui sera cofinancé par des fonds européens et par le budget de l’Etat. Il devrait permettre aux hôpitaux de faire des investissements urgents destinés à la sécurité incendie, à la sécurité parasismique et à la prévention des infections nosocomiales. Une autre annonce faite par le ministre de la Santé concerne la mise en place dune ligne téléphonique dédiée aux proches des patients Covid hospitalisés qui souhaitent obtenir des informations sur l’état de santé de ceux-ci.



    Vaccin – Les autorités roumaines ont annoncé que la stratégie de vaccination contre la Covid-19 allait être modifiée à partir du 1er février. Ainsi, tous les nouveaux rendez-vous disponibles sur la plateforme dédiée seront réservés aux plus de 65 ans, aux malades chroniques et aux personnes en situation de handicap. Les personnes qui ont déjà pris rendez-vous seront immunisées suivant le calendrier prévu. Les travailleurs des secteurs essentiels ne pourront pas prendre de nouveaux rendez-vous en février. A partir du 1er février, le vaccin Moderna, pour lequel le rappel est effectué à 28 jours, sera lui aussi administré en Roumanie, qui n’utilise pour l’instant que le vaccin Pfizer-BioNTech. Bucarest attend l’arrivée, lundi, par voie aérienne, de près de 164 mille nouvelles doses de vaccin Pfizer-BioNTech. Plus de 670.000 personnes ont jusqu’ici été vaccinées en Roumanie. Bucarest a rapporté, dimanche, plus de 1.800 nouveaux cas d’infection par le Sars-Cov-2, sur environ 15.000 tests effectués à l’échelle nationale. 71 nouveaux décès dus à cette maladie ont également été enregistrés.



    Protestations – Les représentants de la Confédération nationale syndicale “Cartel ALFA” ont fait savoir quils allaient organiser des protestation la semaine prochaine à Bucarest et dans dautres villes du pays. Les syndicalistes réclament des hausses salariales, lapplication correcte de la législation et le déblocage du dialogue social. Selon eux, les décideurs politiques utilisent les arguments de la pandémie et de la crise mondiale pour geler les dépenses destinées aux catégories de population les plus pauvres. Dans un communiqué de presse, les syndicalistes soulignent que la plupart des pays dEurope centrale et de l’Est ont augmenté le salaire minimum national pour soutenir le pouvoir dachat de la population, alors qu’en Roumanie on applique le taux le plus élevé de l’impôt sur le salaire brut. Le blocage des négociations collectives de branche maintient à un bas niveau la grille des salaires, avec pour conséquence l’appauvrissement de la population et la migration de masse, précise encore le communiqué.



    Tennis – La joueuse de tennis roumaine Simona Halep, n°2 mondiale, a été désignée principale favorite du tournoi Yarra Valley Classic, qui a débuté dimanche à Melbourne. Halep évoluera directement au second tour, où elle aura pour adversaire la Russe Anastasia Potapova (19 ans, 101e WTA). Une autre joueuse roumaine, Irina Begu (79e WTA), sest qualifiée, dimanche, pour le deuxième tour, après la victoire obtenue devant la Chinoise Saisai Zhen (42e WTA). Les deux autres Roumaines figurant dans la compétition, Patricia Ţig, et Mihaela Buzărnescu ont été éliminées dimanche, au premier tour, par la Russe Daria Kasatkina (71e WTA) et respectivement la Hongroise Timea Babos (115e WTA).



    Météo — Dans le prochain intervalle de 24 heures, le temps sera généralement couvert en Roumanie et l’on attend des précipitations dans presque toutes les régions du pays. Les températures maximales iront de -2° à 11°, avec 9° lundi midi, à Bucarest.

  • Perturbări în calendarul de vaccinare

    Perturbări în calendarul de vaccinare

    România a primit până acum circa 785 de mii de doze de vaccin împotriva COVID-19, dintre care aproximativ 1.300 (0,29%) au fost irosite din motive care presupun abateri de la lanţul de frig, deteriorarea flacoanelor sau reconstituirea incorectă.


    Coordonatorul campaniei de vaccinare, medicul militar Valeriu Gheorghiță, a anunțat că deficitul de doze, în acest moment, în centrele de vaccinare, este de 117 mii. De aceea, autoritățile au hotărât că, începând cu 28 ianuarie, se reprogramează cu zece zile întârziere toate persoanele din categoria personalului esențial pentru doza 1, pentru a nu afecta doza de rapel și vaccinarea persoanelor vulnerabile – bolnavi cronici și persoane peste 65 de ani. Este soluția găsită de autorități după ce, săptămâna trecută, România a primit doar jumătate din dozele de vaccin programate pentru a fi livrate. Autoritățile dau, însă, asigurări că nu vor fi afectate celelalte programări, iar începând din 9 februarie se reintră în normal.


    Este o perioadă mai dificilă până pe 5 februarie, a subliniat Valeriu Gheorghiță, adăugând că putem depăși această perioadă fiind solidari.

    În acest moment, capacitatea de vaccinare este complet dependentă de numărul dozelor livrate, a adăugat președintele Comitetului național pentru coordonarea activităților privind vaccinarea împotriva COVID-19. El a mai spus că și alte țări se confruntă cu aceeași problemă, din cauza întârzierilor în livrarea dozelor de către companiile farmaceutice.


    Potrivit oficialului, în situația în care vor mai exista amânări ale livrării tranșelor de vaccin, autoritățile au pregătite mai multe scenarii care presupun amânarea vaccinării anumitor categorii de persoane. Mai trebuie menționat că aproape 68% dintre cei vaccinați până acum în etapa a doua sunt persoane cu afecțiuni cronice și cu vârsta peste 65 de ani, iar restul personal esențial. În plus, obiectivul pentru prima etapă a campaniei de vaccinare, care a vizat personalul medical, a fost atins, 90% dintre persoanele țintă în această etapă fiind în acest moment vaccinate sau programate la vaccinare, mai spune medicul Valeriu Gheorghiță.


    Pe de altă parte, autoritățile au anunțat că până la sfârşitul lunii martie, România ar urma să primească restul de până la trei milioane de doze contractate. Valeriu Gheorghiţă a menţionat că pentru trimestrul al doilea încă nu există un calendar de livrare a vaccinurilor, dar numărul acestora va fi semnificativ mai mare, ceea ce va permite o creştere a ritmului de administrare, astfel încât până în luna septembrie să fie imunizate peste 10 milioane de persoane.


    În urma contractului semnat cu Comisia Europeană, României îi revin 12,5 milioane de doze de vaccin. În plus, Bucureștiul a semnat cu CE și pentru 18 milioane de doze din două vaccinuri încă neaprobate, dar care au un potenţial semnificativ.

  • 37.840 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore / 1.411 vaccinate cu rapel

    37.840 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore / 1.411 vaccinate cu rapel

    Potrivit datelor puse la dispoziția CNCAV de către Institutul Național de Sănătate Publică, prin aplicația Registrul Electronic Național al Vaccinărilor (RENV), care ține evidența vaccinărilor, situația din ziua de 22 ianuarie a.c., ora 17.00, este următoarea:

    Numărul de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19 Pfizer BioNTech (în ultimele 24 de ore): 37.840, la un număr de 37.840 persoane din care:

    – 36.429 persoane vaccinate cu 1 doză;

    – 1.411 persoane vaccinate cu 2 doze.

    Numărul total de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19 Pfizer BioNTech (începând cu data de 27 decembrie 2020): 385.936, la un număr de 374.681 persoane din care:

    – 363.426 persoane vaccinate cu 1 doză;

    – 11.255 persoane vaccinate cu 2 doze.

    Numărul total de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (în ultimele 24 de ore): 77 reacții comune și minore, din care: 20 reacții de tip local şi 57 reacții generale.

    Numărul total de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (începând din 27 decembrie 2020): 1.064 reacții comune și minore, din care: 357 reacții de tip local cu durere la locul injectării şi 707 reacții generale.

    CNCAV menţionează că 2 reacții adverse sunt în curs de investigare:
    Precizăm că programul centrelor de vaccinare se încheie la ora 20.00, motiv pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul orar 17.00 – 20.00 va fi reflectat în raportarea din ziua următoare.

    Sursa: CNCAV

  • La fin de la pandémie serait pour quand?

    La fin de la pandémie serait pour quand?

    Si la pandémie a pris de court et a bouleversé le monde, elle a aussi posé un gros défi aux chercheurs de tous les pays, pour qu’ils trouvent le Graal sous la forme du vaccin tant espéré. Et dans une mobilisation sans précédent, à moins d’un an après le premier cas déclaré, voici la potion magique qui arrive sur le marché, sous les bannières conjointes de la compagnie américaine Pfizer et de l’allemande BioNTech. Le vaccin de Moderna suit de près le premier couple. Dorénavant, rien ne semble pouvoir gripper la machine censée mettre un terme à la pandémie qui avait endeuillé la planète, si ce n’est la réticence du public face à l’usage du vaccin, ou encore les éventuels couacs dans la chaîne d’approvisionnement, considèrent les experts. L’interrogation qui flotte dans l’air se réfère toujours au moment précis où l’on pourrait considérer avoir mis un terme à la pandémie.

    Sur Radio Roumanie, le médecin Emilian Popovici, vice-président de la Société roumaine d’épidémiologie, détaille ce que les spécialistes entendent par immunité collective. Emilian Popovici : « Les spécialistes recommandent la vaccination d’au moins 60% de la population globale, au cours de cette année, et que l’on fasse un maximum pour éviter les contacts et réduire la prévalence de l’épidémie, tout cela pour réduire au minimum les risques de mutation du virus dans l’intervalle. Car plus la transmission est importante, plus les chances de voir apparaître des variants augmentent, ainsi que l’on a récemment constaté au Royaume-Uni. Il faudrait donc poursuivre de front ces deux objectifs : 60% des gens immunisés dans les 12 prochains mois et bien contrôler la transmission pendant ce temps. Et si l’on arrivait à faire vacciner plus de 70% de la population globale, à ce moment-là, l’immunisation collective fera le reste pour mettre un terme à la pandémie. »

    Selon la prestigieuse revue Science, la recherche et le développement du vaccin contre le nouveau coronavirus, en un si bref laps de temps, représente l’événement scientifique majeur de 2020. Le docteur Marius Geantă, président du Centre pour l’innovation en médecine, mentionne quelques-uns des facteurs qui ont permis l’exploit :« Parlons tout d’abord des technologies qui ont permis la mise à jour de la séquence intégrale du génome du nouveau coronavirus. Le séquençage génomique des souches, l’analyse des données, ce sont des techniques arrivées à maturité, qui ont permis de « connaître » le virus 30 jours après la déclaration du premier cas officiel. C’est six fois plus rapide de ce que l’on était habitué en la matière. Le séquençage du génome a été publié le 10 janvier 2020. Et c’est dès cette date que la communauté scientifique mondiale s’est lancée dans la course au vaccin : concevoir le vaccin, mener tambour battant les tests cliniques, et jusqu’à sa commercialisation. Dès le mois de janvier l’on était là, à l’étape où, auparavant, l’on n’aurait été qu’au mois de juin ou de juillet. Un gain de presque six mois, arraché dès le départ donc. Pour ce qui est de la deuxième étape, celle de la mise au point du vaccin, il s’agit là aussi de l’utilisation d’une technologie qui n’est plus à un stade expérimental, d’une technologie qui n’est peut-être pas à son azimut non plus, mais qui est déjà bien maîtrisée. C’est la technologie qui fait usage de l’ARN messager, sur laquelle repose le premier vaccin mis sur le marché, et qui a reçu l’aval provisoire des autorités sanitaires de l’UE : le vaccin de Pfizer-BioNTech. Une technologie qui avait été imaginé il y a 30 ou 40 ans déjà, et qui comptait plus de mille études cliniques aux Etats-Unis, mais qui était encore et toujours balbutiante. Or, dans le contexte de l’urgence qu’imposait la crise sanitaire actuelle, l’intérêt pour cette technologie est monté en flèche. Et là, l’on peut parler d’un troisième niveau d’innovation scientifique : celle qui touche aux institutions. Parce que, voyez-vous, nous étions habitués à ce que l’enrôlement des 44 mille personnes, impliquées dans les essais cliniques de phase 3 du vaccin Pfizer – BioNTech, se déroule sur un laps de temps beaucoup plus étendu. Rallonger la période c’est diluer aussi les risques, y compris financiers. Or, là, on y est allé, les moteurs tourés à plein régime. En même temps, le nombre de gens impliqués dans les essais cliniques reste significatif. Et l’innovation vient de là : on s’est montré prêt à assumer ce risque. Les autorités de régulation et les compagnies privées ont joué le jeu, agissant de concert. Enfin, 4e élément : les autorités, qui ont agréé de laisser tomber les barrières bureaucratiques dont l’un des effets était de retarder la mise sur le marché du produit. »

    Cela dit, la mise sur le marché accélérée du vaccin anti-Covid n’est pas synonyme de risque accru. Ce qu’il importe actuellement, c’est que la vaccination se fasse dans les plus brefs délais et que des mesures soient toujours prises pour contenir la transmission. C’est la voie suivie paraît-il en Israël, pays qui se targue de vacciner 1% de sa population tous les jours. Dragoş Ciocîrlan, correspondent de Radio Roumanie en Israël : « La population d’Israël a tôt fait de comprendre l’utilité de la vaccination rapide, déroulée en masse. Mettre un terme à la pandémie signifie pouvoir redémarrer l’économie avant les fêtes de Pâques. L’on estime qu’à peu près l’entièreté de la population israélienne soit vaccinée à la mi-mars. Il s’agit en outre d’une priorité nationale, car la santé publique demeure une priorité de la stratégie nationale d’Israël. Depuis quelques jours, les unités armées ont débuté la vaccination. J’ignore les chiffres exacts, mais, ce qui est sûr, c’est que les unités militaires doivent maintenir leurs capacités opératives. Et cela semble correspondre aux attentes. En effet, pas d’agglomération, rien. Aux centres de vaccination, tout roule, depuis le contrôle d’identité et jusqu’à l’issue du processus. » Dans l’UE, la campagne de vaccination a été officiellement lancée le 27 décembre passé, le nombre de doses étant distribuées de manière équitable, en fonction de la population de chaque Etat membre. (Trad. Ionuţ Jugureanu)

  • 39.712 de persoane au fost vaccinate împotriva COVID-19

    39.712 de persoane au fost vaccinate împotriva COVID-19

    Potrivit datelor puse la dispoziția CNCAV de către
    Institutul Național de Sănătate Publică, prin aplicația Registrul Electronic
    Național al Vaccinărilor (RENV), care ține evidența vaccinărilor, situația din
    ziua de 21 ianuarie a.c., ora 17.00, este următoarea:


    1.Număr de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19
    Pfizer BioNTech (în ultimele 24 de ore): 39.712, la un număr de 39.712 persoane
    din care: – 35.682 persoane vaccinate cu 1 doză; – 4.030 persoane vaccinate cu
    2 doze.


    2. Număr total de doze administrate de vaccin împotriva
    COVID-19 Pfizer BioNTech (începând cu data de 27 decembrie 2020): 348.096, la
    un număr de 338.252 persoane din care: – 328.408 persoane vaccinate cu 1 doză;
    – 9.844 persoane vaccinate cu 2 doze.


    3. Număr total de reacții adverse înregistrate la nivelul
    centrelor de vaccinare (în ultimele 24 de ore): 59 reacții comune și minore,
    din care: – 10 reacții de tip local; – 49 reacții generale.


    4. Număr total de reacții adverse înregistrate la nivelul
    centrelor de vaccinare (începând din 27 decembrie 2020): 987 reacții comune și
    minore, din care: – 337 reacții de tip local cu durere la locul injectării; -
    650 reacții generale (febră, cefalee, mialgii, artralgii, astenie, alergii de
    tip urticarie).


    * Menționăm că o reacție este în curs de investigare.
    Precizăm că programul centrelor de vaccinare se încheie la ora 20.00, motiv
    pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul orar 17.00 – 20.00 va
    fi reflectat în raportarea din ziua următoare

    La nivelul Comitetului Național de Coordonare
    a Activităților privind Vaccinarea împotriva COVID-19 (CNCAV) a fost aprobată Instrucțiunea potrivit
    căreia, începând de astăzi, 21 ianuarie a.c, persoanele dializate, imobilizate
    sau nedeplasabile aflate la domiciliu se pot vaccina în cadrul Etapei a II-a
    a
    Strategiei de vaccinare împotriva COVID-19.


    În conformitate cu prevederile documentului
    amintit, reprezentanții direcțiilor de asistență socială din cadrul consiliilor
    locale întocmesc listele cu persoanele de la domiciliu aflate în această
    situație și care doresc să fie vaccinate, împreună cu asistenții personali ai
    acestora (dacă au) și cu membrii de familie care locuiesc în aceeași
    gospodărie.


    Totodată, medicii de familie care au în
    îngrijire persoane imobilizate sau nedeplasabile vor colabora activ cu
    structurile de asistență socială, iar listele întocmite vor fi transmise cu
    celeritate nucleului de coordonare a campaniei de vaccinare de la nivelul
    Centrului Județean de Coordonare și Conducere a Intervenției (CJCCI), respectiv
    al Centrului Municipiului București de Coordonare și Conducere a Intervenției
    (CMBCCI), în vederea demarării procesului de vaccinare.


    Nucleul de coordonare va stabili traseele,
    logistica și personalul necesare, pentru vaccinarea persoanelor de pe liste,
    atât persoanele imobilizate sau nedeplasabile aflate la domiciliu, cât și
    membrii de familie care locuiesc în aceeași gospodărie, prin următoarele
    modalități stabilite în funcție de disponibilitatea existentă la nivelul
    fiecărui județ:


    * prin echipe de vaccinare mobile, care
    sunt parte a unor centre de vaccinare fixe;


    * prin solicitarea echipajelor de
    consultații la domiciliu ale serviciilor de ambulanță, cu suplimentarea
    acestora, fără afectarea capacității operative.


    De asemenea, potrivit Instrucțiunii,
    centrele de dializă au obligația de a facilita accesul la vaccinarea împotriva
    COVID-19 pentru pacienții aflați în tratament. Pentru îndeplinirea acestei
    obligații, centrele de dializă vor întreprinde următoarele măsuri:


    * Managerii/coordonatorii centrelor de
    dializă desemnează responsabili cu vaccinarea împotriva COVID-19 a pacienților
    aflați în tratament;


    * Personalul medical al centrelor de dializă
    va informa pacienții aflați în tratament despre beneficiile vaccinării
    împotriva COVID-l9 și despre riscurile nevaccinării, precum și de
    posibilitățile de acces la vaccinare;


    * Pentru pacienții care doresc să se
    vaccineze, personalul desemnat din centrul de dializă va realiza programarea la
    vaccinare, în centrul / centrele de vaccinare din proximitatea centrului de
    dializă la care pacienții urmează tratamentul cronic, la care sunt arondați
    prin grija DSP județean/DSPMB.


    * Vaccinarea pacienților se va realiza fie
    înainte, fie (preferabil) imediat după efectuarea ședinței de dializă, (astfel încât
    intervalul de timp de așteptare pentru vaccinare să fie redus la minimum);
    transportul persoanelor la centrele de vaccinare va fi asigurat prin mijloacele
    proprii ale centrului de dializă;


    * Programarea pacienților se poate
    efectua conform procedurilor în vigoare, preferabil de către personalul medical
    din centrul de dializă pentru a se asigura respectarea arondării centrelor de
    dializă la centrele de vaccinare;


    * În cazul în care personalul din centrul de
    dializă nu reușește programarea prin platforma de vaccinare, va comunica direct
    cu centrul de vaccinare și va transmite lista pacienților care se vaccinează cu
    48 de ore înainte de ziua vaccinării; în această situație, pacienții dializați
    vor fi vaccinați fără programare și înregistrați direct in RENV;


    * În baza listei de pacienți dializați,
    centrul de vaccinare va solicita suplimentarea numărului de doze de vaccin.

  • 38.338 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore

    38.338 de persoane au fost imunizate în ultimele 24 de ore

    Potrivit datelor puse la dispoziția CNCAV de către
    Institutul Național de Sănătate Publică, prin aplicația Registrul Electronic
    Național al Vaccinărilor (RENV), care ține evidența vaccinărilor, situația din
    ziua de 20 ianuarie a.c., ora 17.00, este următoarea:




    1.Număr de doze administrate de vaccin împotriva COVID-19
    Pfizer BioNTech (în ultimele 24 de ore): 38.338, la un număr de 38.338 persoane
    din care: – 35.146 persoane vaccinate cu 1 doză; – 3.192 persoane vaccinate cu
    2 doze.


    2. Număr total de doze administrate de vaccin împotriva
    COVID-19 Pfizer BioNTech (începând cu data de 27 decembrie 2020): 308.384, la
    un număr de 302.570 persoane din care: – 296.756 persoane vaccinate cu 1 doză;
    – 5.814 persoane vaccinate cu 2 doze.


    3. Număr total de reacții adverse înregistrate la nivelul
    centrelor de vaccinare (în ultimele 24 de ore): 57 reacții comune și minore,
    din care: – 10 reacții de tip local; – 47 reacții generale.


    4. Număr total de reacții adverse înregistrate la nivelul
    centrelor de vaccinare (începând din 27 decembrie 2020): 928 reacții comune și
    minore, din care: – 327 reacții de tip local cu durere la locul injectării; -
    601 reacții generale (febră, cefalee, mialgii, artralgii, astenie, alergii de
    tip urticarie).


    * Menționăm că o reacție este în curs de investigare.


    Precizăm că programul centrelor de vaccinare se încheie
    la ora 20.00, motiv pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul
    orar 17.00 – 20.00 va fi reflectat în raportarea din ziua următoare, se arată în comunicatul oficial al CNCAV.






    În plus, ca urmare a interesului crescut al cetățenilor pentru
    vaccinare, în 31 de județe din țară a fost atinsă capacitatea maximă de
    programare pentru următoarele trei săptămâni, în raport cu numărul dozelor
    disponibile la acest moment și cu calendarul de livrare estimat pentru perioada
    următoare.


    Reamintim faptul că, în conformitate cu Strategia
    națională de vaccinare și cu recomandările ferme ale Agenției Europene a
    Medicamentului, repartizarea dozelor către centrele de vaccinare se face pentru
    asigurarea primei administrări și, în mod obligatoriu, a rapelului.


    Potrivit situației raportate la ora 14:00, erau în
    continuare disponibile programări în județele Alba, Bihor, Caraș-Severin,
    Covasna, Gorj, Harghita, Iași, Maramureș, Mehedinți și Suceava, conform datelor
    din Registrul Electronic Național de Vaccinări (RENV) și preluate de platforma
    informatică de programare dezvoltată de STS.


    Datele raportate sunt în dinamică și există posibilitatea
    ca, la ora difuzării comunicatului, situația să fie diferită. Având în vedere
    calendarul estimat de livrare a dozelor de vaccin, CNCAV a solicitat STS
    actualizarea platformei de programare pentru a putea permite continuarea
    programărilor persoanelor din etapele I si II, începând cu 1 martie, în
    centrele de vaccinare deja existente.


    Totodată, în scurt timp, vor fi deschise noi centre de
    vaccinare la nivelul fiecărui județ, care vor permite programări și pentru date
    mai apropiate, începând cu data de 8 februarie.


    Campania de vaccinare continuă conform planificării,
    asigurând zilnic rapelul pentru persoanele deja vaccinate cu prima doza, cât și
    vaccinarea persoanelor nou programate.


    Calendarul programărilor și suplimentarea numărului de
    locuri de programare se stabilesc în colaborare cu INSP și cu direcțiile de
    sănătate publică.

  • 8.095  de persoane – imunizate în ultimele 24 de ore/A cincea tranșă de vaccin Pfizer BioNTech

    8.095 de persoane – imunizate în ultimele 24 de ore/A cincea tranșă de vaccin Pfizer BioNTech

    UPDATE

    A cincea tranşă de vaccin anti-COVID de la Pfizer BioNTech, care constă în 87.750 de doze, va ajunge luni în România, pe cale aeriană, pe aeroporturile din Otopeni, Cluj-Napoca şi Timişoara.

    Potrivit unui comunicat al Comitetului Naţional de Coordonare a Activităţilor privind Vaccinarea împotriva COVID-19, transportul către centrele de stocare este asigurat de firma producătoare, inclusiv pe cale terestră.

    Vaccinurile sunt transportate în condiții optime de siguranță, în containere speciale, cu gheață carbonică și folie etanșă

    Procesul de vaccinare continuă atât în centrele din București, cât și din țară, fiind distribuite 87.750 de noi doze, după cum urmează:

    Centrul Regional de Distribuție București: 33.930 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Brașov: 11.700 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Cluj: 9.360 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Constanța: 8.190 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Craiova: 7.020 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Iași: 10.530 doze;

    Centrul Regional de Distribuție Timișoara: 7.020 doze.

    În centrele de vaccinare se vor utiliza atât doze recepționate de România în tranșa curentă, cât și în tranșele anterioare, pe baza solicitărilor transmise la Centrul Național și centrele regionale de depozitare, prin direcțiile de sănătate publică județene și cea a municipiului București.

    În data de 15 ianuarie a debutat Etapa a II-a a campaniei de vaccinare, destinată persoanelor cu vârsta peste 65 de ani, persoanelor cu boli cronice, indiferent de vârstă, precum și personalului-cheie care desfășoară activități în domenii esențiale.

    Sursa: CNCAV

    ———————————–

    Un număr 8.095 de persoane au fost vaccinate în ultimele 24 de ore împotriva COVID – 19 cu vaccinul Pfizer BioNTech, din care 875 persoane vaccinate cu rapel. Numărul total de persoane vaccinate a ajuns la 204.185, potrivit Comitetului Naţional de Coordonare a Activităţilor privind Vaccinarea împotriva COVID-19 (CNCAV).

    Conform datelor puse la dispozitie de CNCAV, numărul de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (în ultimele 24 de ore): 52 reacții comune și minore, din care: 9 reacții de tip local şi 43 reacții generale.

    Număr total de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (începând din 27 decembrie 2020): 764 reacții comune și minore, din care: 288 reacții de tip local cu durere la locul injectării şi 476 reacții generale (febră, cefalee, mialgii, artralgii, astenie, alergii de tip urticarie).

    CNCAV menţionează că 3 reacții adverse sunt în curs de investigare: Precizăm că programul centrelor de vaccinare se încheie la ora 20.00, motiv pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul orar 17.00 – 20.00 va fi reflectat în raportarea din ziua următoare.


    Sursa: CNCAV

  • 305.562 programări la vaccinare în Etapa a II-a/12.421 de persoane – imunizate în ultimele 24 de ore

    305.562 programări la vaccinare în Etapa a II-a/12.421 de persoane – imunizate în ultimele 24 de ore

    UPDATE:

    Un număr 12.421 de persoane au fost vaccinate în ultimele 24 de ore împotriva COVID – 19 cu vaccinul Pfizer BioNTech, iar numărul total de persoane vaccinate a ajuns la 196.090, potrivit Comitetului Naţional de Coordonare a Activităţilor privind Vaccinarea împotriva COVID-19 (CNCAV).

    Conform datelor puse la dispozitie de CNCAV, numărul de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (în ultimele 24 de ore): 51 reacții comune și minore, dintre care: 20 reacții de tip local şi 31 reacții generale.

    Numărul de reacții adverse înregistrate la nivelul centrelor de vaccinare (începând din 27 decembrie 2020): 712 comune și minore, dintre care: 279 reacții locale cu durere la locul injectării şi 433 reacții generale (febră, cefalee, mialgii, artralgii, astenie, alergii de tip urticarie).

    CNCAV mentionează că 1 reacție este în curs de investigare. Precizăm că programul centrelor de vaccinare se încheie la ora 20.00, motiv pentru care numărul vaccinărilor realizate în intervalul orar 17.00 – 20.00 va fi reflectat în raportarea din ziua următoare.

    Sursa: CNCAV

    —————-

    Comitetul National de coordonare a activităţilor privind vaccinarea împotriva COVID-19 (CNCAV) anunţă că, în cea de-a două etapă a campaniei de vaccinare anti-COVID 19, s-au înregistrat, la nivel naţional, 305.562 programări pentru perioada 18 ianuarie – 6 februarie, în Bucureşti fiind ocupate integral cele 62.182 locuri.

    Cea de-a doua etapă a campaniei de vaccinare anti-COVID 19 a debutat vineri, la ora 15.00, fiind vizate persoanele în vârstă de peste 65 de ani, persoanele cu boli cronice, indiferent de vârstă, precum şi personalului-cheie care desfăşoară activităţi în domenii esenţiale.

    Pentru următoarele 20 de zile de programare la vaccinare, respectiv perioada 18 ianuarie – 6 februarie, la nivel național s-au realizat 305.562 programări la vaccinare, din cele 364.800 sloturi disponibile. Numai în București au fost programate 62.182 locuri de vaccinare, gradul de ocupare fiind în proporție de 100%.

    Odată cu deschiderea activităților de vaccinare pentru Etapa a II-a, care se derulează concomitent cu vaccinarea persoanelor din prima etapă, s-au înregistrat 37.750 apeluri în Call Center (19.770 apeluri preluate), iar pe platformă (vaccinare-covid.gov.ro), au fost înregistrate 2,6 milioane de accesări, cu 107.000 utilizatori unici., mentionează CNCAV.

    Platforma de vaccinare a avut câteva disfuncționalități pe o perioadă de aproximativ 3 ore din cauza transferului datelor înregistrate în aplicația folosită în Etapa I de vaccinare în aplicația folosită în Etapa a II-a de vaccinare, dar situația este sub control iar specialiștii STS asigură suportul necesar pentru buna funcționare a acesteia.

    În comunicat se mentionează că volumul cererilor a depășit posibilitatea alocării vaccinurilor din acest moment, aspect care a generat disconfort în rândul beneficiarilor. Reamintim, cu acest prilej, că programările la vaccinare sunt condiționate atât de numărul dozelor de vaccin aflate în stoc la momentul efectuării operațiunii, cât și de dinamica solicitărilor de înscriere la momentul respectiv.

    Cetățenii din București se pot programa la vaccinare și în judetul Ilfov


    În București, sunt deschise publicului pentru programare 7 centre de vaccinare având disponibile 25 de cabinete și o capacitate zilnică de vaccinare a 1.500 de persoane cu prima doză și cu rapel.

    La nivel național, sunt disponibile 192 de centre de vaccinare, cu 304 cabinete și o capacitate zilnică de vaccinare de 18.240 de persoane cu prima doză dar și cu rapel.

    Suplimentar, 60 de centre, cu 84 de puncte de vaccinare sunt organizate de Ministerul Apărării Naționale (MApN), iar 39 de centre, cu 45 de puncte de vaccinare, de Ministerul Afacerilor Interne (MAI). Acestea asigură vaccinarea personalului din rețeaua proprie, conform Etapei a II-a din Strategia națională privind vaccinarea împotriva COVID-19 în România.

    Cetățenii din București au posibilitatea să se programeze la vaccinare și în centrele de vaccinare disponibile la nivelul județului Ilfov, unde sunt disponibile 7.397 locuri libere; 9.300 locuri de vaccinare au fost deja ocupate din cursul zilei de ieri.

    În România, alocarea dozelor de vaccin se realizează conform calendarului de livrare pus la dispoziție de firma producatoare, sens în care, săptămânal, țara noastră primește tranșele de vaccin necesare imunizării populației. Pe măsură ce acestea ajung în România, aplicația se actualizează și permite continuarea procesului de programare pentru categoriile populaționale aflate în etapa curentă.

    Totodată, pentru gestionarea în condiții optime de siguranță a procesului de vaccinare, numărul centrelor de vaccinare active alocate populației va fi suplimentat, gradual și eficace, în concordanță cu volumul solicitărilor populației eligibile.

    Sursa Comitetul National de coordonare a activităţilor privind vaccinarea împotriva COVID-19 (CNCAV)

  • Second vaccination stage

    Second vaccination stage

    Romania has entered the second stage of coronavirus vaccination, for the high-risk population and workers in key, essential areas. The first category includes adults over the age of 65, as well as people with chronic diseases, regardless of age, depending on the indications of the vaccines used. The chronic diseases category includes diseases such as: diabetes, obesity and other metabolic diseases, cardiovascular, kidney, lung or liver diseases, oncological, neurological and autoimmune diseases, severe immunosuppression, patients undergoing biological or long-term therapies with corticosteroids, HIV / AIDS patients.



    The second category includes the key personnel for the functioning of state institutions (Presidential Administration, Parliament, Government, ministries and institutions subordinated to them); personnel in the field of defence, public order, national security and the judiciary; staff in vital economic sectors: processing, distribution and marketing of staple foods; water distribution plants, water treatment plants, transportation and distribution; production, transport and distribution of electricity, gas, liquid and solid fuels, medicines and sanitary materials; transport of persons and goods; railway hubs, civil and military airports, essential ports; communications (National Telecommunications Service, National Radio and Television); school and nursery staff; postal and courier staff; the staff of religious denominations, media personnel engaged in activities with an increased risk of exposure to SARS-CoV-2 infection; sanitation and waste disposal personnel.



    Those who want to register for vaccination can use several means, including a special online platform. The first stage, which ended on Thursday, covered employees in the medical and social fields. More than 160,000 people were immunised, with nearly six hundred common and minor side effects reported. Romania mainly uses the vaccine produced by Pfizer-BioNTech but a first instalment from Moderna arrived in the country on Wednesday.Both vaccines are authorised, contracted and delivered by the European Union.



    “Mass vaccination is the only solution to get back to normal as soon as possible and to resume safely all the activities we have greatly missed in the last year,” President Klaus Iohannis said in a press conference on Tuesday. He also said that the success of the vaccination campaign is essential for both the recovery of the economy and the avoidance of severe crises, the effects of which can leave deep scars in society. (M. Ignatescu)