Tag: PNL

  • 30/05/2021 (mise à jour)

    30/05/2021 (mise à jour)

    Coronavirus — Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 continue de baisser en Roumanie. A présent, Bucarest et tous les départements du pays sont en zone dite « verte », le taux d’incidence cumulé sur 14 jours étant inférieur à un cas par millier d’habitants. Dimanche, 158 nouveaux cas ont été rapportés, 29 personnes sont décédées des suites de l’infection et 443 malades sont en soins critiques. Côté chiffres, les dernières 24 heures, plus de 76 000 personnes ont été vaccinées dans le pays. Pendant tout le week-end, de nouveaux événements pour encourager la population à se faire vacciner contre la Covid-19 ont eu lieu en Roumanie, tels que des déplacements d’équipes mobiles sur les marchés ou la vaccination au volant. Depuis le début de la campagne, fin décembre dernier, près de 4,3 millions de personnes ont été immunisées, dont 3,5 millions ont reçu les deux injections. Plus d’un million de doses de vaccin Pfizer arrivent lundi en Roumanie, soit la tranche la plus conséquente. LAgence européenne des médicaments a recommandé vendredi lutilisation du vaccin anti-Covid Pfizer/BioNTech pour les 12-15 ans.



    Diaspora — « Nous avons besoin des compétences de tous les Roumains pour construire un pays prospère où ceux qui sont partis puissent revenir avec joie », affirmait le président Klaus Iohannis aujourd’hui, dans un message à l’occasion de la Journée des Roumains de la diaspora, célébrée le dernier dimanche de mai. Le chef de l’Etat les a tous remerciés pour la responsabilité dont ils ont fait preuve et pour la solidarité à l’égard de ceux qui sont restés au pays. Il a mentionné les moments difficiles qu’ils ont connu pendant la pandémie — tant les Roumains du monde que ceux restés au pays. Le président a informé les Roumains du monde que bénéficiant de fonds européens, qui faciliteront des investissements massifs dans tous les secteurs, la Roumanie connaîtrait un ample processus de développement et de réformes. « La Journée des Roumains de la diaspora est un moment pour réfléchir à l’importance de sauvegarder notre identité et nos valeurs nationales, que chaque Roumain porte au fond de son cœur », a souligné dans son message le ministre des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu. Selon lui, renforcer le dialogue et les relations avec les membres des communautés roumaines est une ligne d’action prioritaire du ministère, outre la promotion de l’héritage historique et culturel.



    Visite — Le vice-président de la Commission européenne pour les Relations interinstitutionnelles et la prospective, Maroš Šefčovič, fera, lundi, une visite en Roumanie, apprend-on par la Représentation de la Commission européenne à Bucarest. Le haut responsable européen aura des rencontres avec le premier ministre Florin Cîţu, avec Leonard Orban, conseiller présidentiel pour les affaires européennes, ainsi qu’avec les présidents des deux Chambres du Parlement, Anca Dragu et respectivement Ludovic Orban. Au cours de sa visite, le vice-président Šefčovič prononcera un discours au Forum de sécurité Atlantique — mer Noire 2021, accueilli par l’Institut Aspen de Roumanie, et prendra part à l’inauguration du Centre euro-atlantique pour la résilience.



    PNL — Le Conseil national du PNL (principal parti au pouvoir en Roumanie) a fixé, ce dimanche, la date du Congrès du parti au 25 septembre et a élu la commission chargée de son organisation. Avant le commencement du Conseil, le premier ministre Florin Cîţu a annoncé sa candidature à la présidence du parti, soulignant que le PNL avait besoin d’un nouveau souffle. Florin Cîţu, actuellement vice-président du parti, a promis à ses collègues que le PNL serait au pouvoir au moins 8 ans et qu’ensemble, ils transformeraient la Roumanie en un pays libéral dont tous les Roumains puissent bénéficier. Le président en exercice du PNL, Ludovic Orban, a affirmé que ce serait une belle compétition qui montrera aux Roumains que les libéraux disposent de ressources humaines fortes et que c’est un parti à même d’assurer la bonne gouvernance.



    Migrants — 15 ressortissants de Syrie, de Somalie et d’Irak, dont deux enfants, qui avaient traversé le Danube dans une embarcation gonflable, ont été interpellés par les policiers roumains aux frontières de Drobeta Turnu Severin (sud-ouest). Selon l’Inspection générale de la Police aux frontières, à l’enquête, les adultes ont déclaré avoir quitté le territoire de la Serbie en essayant de franchir clandestinement la frontière de la Roumanie sur le Danube, à l’aide d’une embarcation. L’enquête est en cours.



    Gymnastique — La Roumanie a conquis les médailles d’or à l’épreuve de groupe, samedi, à la 16e édition des Championnats du monde de gymnastique aérobic de Bakou, selon le site de la Fédération roumaine de gymnastique. L’équipe d’or est composée de Gabriel Bocşer, Teodora Cucu, Daniel Ţavoc, David Gavrilovici et Mihai Alin Popa. A cette édition, la Roumanie a également obtenu une médaille d’argent à l’épreuve par équipes et une de bronze à l’épreuve de trio, par Teodora Cucu, Daniel Ţavoc et David Gavrilovici. Le classement par équipes est dressé sur la base des meilleurs résultats enregistrés au trio, aux paires mixtes, au groupe, à la danse aérobic et à l’épreuve individuelle masculine ou féminine.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine Ana Bogdan (102e WTA) s’est qualifiée, ce dimanche, au deuxième tour du tournoi de Roland Garros, deuxième du Grand Chelem de l’année, après avoir vaincu l’Italienne Elisabetta Cocciaretto (113e du monde) par 6-1, 6-3. Au deuxième tour, Ana Bogdan rencontre la Japonaise Naomi Osaka, qui a éliminé ce dimanche la Roumaine Patricia Țig (63e WTA) par 6-4,7-6. Les autres Roumaines qui se sont qualifiées directement au tableau principal sont Sorana Cîrstea (61e WTA), Mihaela Buzărnescu (173e WTA), Irina Begu (74e WTA), alors qu’Irina Bara est arrivée par les qualifications. Accidentée, Simona Halep, n° 3 mondiale, qui a triomphé sur la terre battue parisienne en 2018, ne participe pas à cette édition.

  • 30/05/2021

    30/05/2021

    Coronavirus en Roumanie — De nouveaux événements pour encourager la population à se faire vacciner contre la Covid-19 ont lieu en Roumanie en cette fin de semaine. A Bucarest, par exemple, c’est la deuxième étape d’un marathon de vaccination — les personnes ayant reçu la première dose voici trois semaines y sont attendues pour recevoir le rappel avant lundi matin. Des personnes n’ayant pas reçu la première injection peuvent également se faire immuniser. A Braşov, dans le centre du pays, une caravane de la vaccination se rendra cinq jours durant sur les marchés ou à différents endroits à forte affluence de la ville. Un centre de vaccination au volant a été ouvert à Petroşani, dans la région minière de la Vallée du Jiu. Côté chiffres, les dernières 24 heures, plus de 76 000 personnes ont été vaccinées dans le pays. Depuis le début de la campagne, fin décembre dernier, près de 4,3 millions de personnes ont été immunisées, dont 3,5 millions ont reçu les deux injections. Un marathon de vaccination contre la Covid-19 sera organisé à l’intention des jeunes de 16 à 18 ans. LAgence européenne des médicaments a recommandé vendredi lutilisation du vaccin anti-Covid Pfizer/BioNTech pour les 12-15 ans. La Roumanie devrait proposer les premiers rendez-vous pour cette tranche d’âge à partir de la semaine prochaine. Plus d’un million de doses de vaccin Pfizer arrivent lundi en Roumanie, soit la tranche la plus conséquente. Entre temps, le nombre de nouveaux cas de personnes testées positives au SARS-CoV-2 continue de baisser — dimanche, il s’est chiffré à 158. 29 personnes sont décédées des suites de l’infection et 443 malades sont en soins critiques.



    Diaspora — « Nous avons besoin des compétences de tous les Roumains pour construire un pays prospère où ceux qui sont partis puissent revenir avec joie », affirmait le président Klaus Iohannis aujourd’hui, dans un message à l’occasion de la Journée des Roumains de la diaspora, célébrée le dernier dimanche de mai. Le chef de l’Etat les a tous remerciés pour la responsabilité dont ils ont fait preuve et pour la solidarité à l’égard de ceux qui sont restés au pays. Il a mentionné les moments difficiles qu’ils ont connu pendant la pandémie — tant les Roumains du monde que ceux restés au pays. Le président a informé les Roumains du monde que bénéficiant de fonds européens, qui faciliteront des investissements massifs dans tous les secteurs, la Roumanie connaîtrait un ample processus de développement et de réformes. « La Journée des Roumains de la diaspora est un moment pour réfléchir à l’importance de sauvegarder notre identité et nos valeurs nationales, que chaque Roumain porte au fond de son cœur », a souligné dans son message le ministre des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu. Selon lui, renforcer le dialogue et les relations avec les membres des communautés roumaines est une ligne d’action prioritaire du ministère, outre la promotion de l’héritage historique et culturel.



    PNL — Le Conseil national du PNL (principal parti au pouvoir en Roumanie) a fixé, ce dimanche, la date du Congrès du parti au 25 septembre et a élu la commission chargée de son organisation. Avant le commencement du Conseil, le premier ministre Florin Cîţu a annoncé sa candidature à la présidence du parti, soulignant que le PNL avait besoin d’un nouveau souffle. Florin Cîţu, actuellement vice-président du parti, a promis à ses collègues que le PNL serait au pouvoir au moins 8 ans et qu’ensemble, ils transformeraient la Roumanie en un pays libéral dont tous les Roumains puissent bénéficier. Le président en exercice du PNL, Ludovic Orban, a affirmé que ce serait une belle compétition qui montrera aux Roumains que les libéraux disposent de ressources humaines fortes et que c’est un parti à même d’assurer la bonne gouvernance.



    Migrants — 15 ressortissants de Syrie, de Somalie et d’Irak, dont deux enfants, qui avaient traversé le Danube dans une embarcation gonflable, ont été interpellés par les policiers roumains aux frontières de Drobeta Turnu Severin (sud-ouest). Selon l’Insoection générale de la Police aux frontières, à l’enquête, les adultes ont déclaré avoir quitté le territoire de la Serbie en essayant de franchir clandestinement la frontière de la Roumanie sur le Danube, à l’aide d’une embarcation. L’enquête est en cours.



    Gymnastique — La Roumanie a conquis les médailles d’or à l’épreuve de groupe, samedi, à la 16e édition des Championnats du monde de gymnastique aérobic de Bakou, selon le site de la Fédération roumaine de gymnastique. L’équipe d’or est composée de Gabriel Bocşer, Teodora Cucu, Daniel Ţavoc, David Gavrilovici et Mihai Alin Popa. A cette édition, la Roumanie a également obtenu une médaille d’argent à l’épreuve par équipes et une de bronze à l’épreuve de trio, par Teodora Cucu, Daniel Ţavoc et David Gavrilovici. Le classement par équipes est dressé sur la base des meilleurs résultats enregistrés au trio, aux paires mixtes, au groupe, à la danse aérobic et à l’épreuve individuelle masculine ou féminine.



    Tennis — La joueuse de tennis roumaine Ana Bogdan (102e WTA) s’est qualifiée, ce dimanche, au deuxième tour du tournoi de Roland Garros, deuxième du Grand Chelem de l’année, après avoir vaincu l’Italienne Elisabetta Cocciaretto (113e du monde) par 6-1, 6-3. Au deuxième tour, Ana Bogdan rencontre la Japonaise Naomi Osaka, qui a éliminé ce dimanche la Roumaine Patricia Țig (63e WTA) par 6-4,7-6. Les autres Roumaines qui se sont qualifiées directement au tableau principal sont Sorana Cîrstea (61e WTA), Mihaela Buzărnescu (173e WTA), Irina Begu (74e WTA), alors qu’Irina Bara est arrivée par les qualifications. Accidentée, Simona Halep, n° 3 mondiale, qui a triomphé sur la terre battue parisienne en 2018, ne participe pas à cette édition.



    Météo — En Roumanie, temps frais pour cette période de l’année et marqué par l’instabilité. Les météorologues ont émis une information à l’instabilité atmosphérique, valable de dimanche midi à mercredi matin, pour quasiment toutes les régions. Il y aura des pluies à verse, qui pourront aussi être torrentielles, des phénomènes électriques, des intensifications du vent et par endroits des chutes de grêle. Les quantités d’eau seront de 15-20 l/m² et par endroits même de 25-50 l/m². Le vent sera faible à modéré, plus intense en montagne et sur le sud-ouest. Aujourd’hui, les maximales du jour vont de 15 à 23°, avec 20° à Bucarest.


  • 21.04.2021 (mise à jour)

    21.04.2021 (mise à jour)

    Gouvernement -
    La nouvelle ministre de la Santé, Ioana Mihăilă, a prêté serment lors d’une
    cérémonie d’investiture qui a eu lieu mercredi au Palais de Cotroceni. A cette
    occasion, le président Klaus Iohannis a souligné la difficulté de sa tâche en
    pleine pandémie et a demandé au gouvernement de la soutenir dans ses missions. Ioana
    Mihăilă a été proposée pour le fauteuil de ministre par l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS, après la révocation intempestive de Vlad Voiculescu. Médecin
    endocrinologue, elle était secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Santé depuis
    janvier 2021. Ioana Mihăilă déclare vouloir mettre en place des mesures concrètes
    afin de soutenir les hôpitaux et afin de résoudre la crise sanitaire. Elle vise
    également à dépolitiser le système roumain de santé. Mardi soir, les leaders de
    la coalition de centre-droit sont parvenus à un accord censé mettre fin à la
    mini-crise politique déclenchée par le limogeage de Vlad Voiculescu. Ils ont
    signé un acte additionnel au protocole de gouvernance qui stipule que la
    prérogative constitutionnelle permettant au chef du cabinet de révoquer un
    ministre devait être exercée après en avoir informé le parti qui avait proposé
    le ministre en question. Par ailleurs, selon le document, la vaccination contre
    la Covid-19 reste une priorité du gouvernement.

    Vaccination
    – Et justement, « la Roumanie approche l’objectif de 100.000 personnes
    vaccinées quotidiennement ». C’est une déclaration du président Klaus
    Iohannis qui assistait, ce matin, à l’inauguration d’une unité de vaccination mobile
    dans une commune près de Bucarest. Le chef de l’Etat s’est déclaré très
    satisfait du déroulement de la campagne de vaccination anti-Covid dans le pays.
    Au rythme de plus de 80.000 doses administrées chaque jour, plus de 2,7
    millions de Roumains ont reçu jusqu’ici au moins une dose de vaccin. Enfin, le Groupe de communication stratégique
    faisait état, aujourd’hui, de 3.000 nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2
    et de 175 décès des suites de l’infection
    au cours des dernières 24 heures. 1.436 patients sont hospitalisés en soins
    intensifs.






    Corruption -
    Le Sénat roumain a approuvé le lancement des poursuites pénales à l’encontre de
    l’ancien ministre social-démocrate de la Santé Florian Bodog. Lors du vote
    secret, 98 sénateurs se sont prononcés en faveur de la demande formulée par le
    Parquet roumain anticorruption, 24 ont voté contre et un sénateur ou une
    sénatrice s’est abstenu.e. Selon les procureurs anticorruption, à l’époque où
    il était ministre, Florian Bodog aurait agit pour qu’un de ses conseillers
    personnels soit rémunéré durant toute une année sans se rendre au travail et
    sans déployer aucune des activités stipulées dans son contrat. Par ailleurs, le
    premier ministre libéral Florin Cîţu a fait savoir qu’il avait accepté la
    démission de son collègue de parti Gelu Puiu de ses fonctions de secrétaire d’Etat
    auprès du ministère de l’Environnement. La
    démission vient après que la publication « Recorder » a dévoilé des
    enregistrements montrant comment plusieurs chefs de directions sylvicoles, sans
    étiquette politique, avaient été limogés à la suite d’une campagne de chantage
    coordonnée depuis le ministère. Les personnes en question ont ensuite été
    remplacées par des membres du parti, certains n’ayant aucune compétence
    professionnelle dans la sylviculture. Les enregistrements de Recorder indiquent
    l’ex-secrétaire d’Etat Gelu Puiu comme exécutant de l’opération.


    Handball -
    L’équipe de Roumanie féminine de handball s’est qualifiée au Championnat du monde 2021 après avoir vaincu,
    mercredi soir, la Macédoine du Nord 35 à 20, à Skopje, lors du match retour des
    qualifications. Samedi dernier, lors du match aller disputé à Bucarest, les
    Roumaines avaient remporté la partie 33 à 22. La compétition finale aura lieu
    du 1er au 19 décembre, en Espagne. La Roumanie est le seul pays à
    avoir participé à toutes les 24 éditions du Championnat du monde de handball
    féminin et a remporté quatre médailles : l’or – en 1962, l’argent – en 1973 et en
    2005, et le bronze – en 2015. Lors de la précédente édition de la Coupe du
    monde, en 2019, au Japon, la Roumanie s’est classée 12e.








    Météo
    – Les températures continuent de grimper en Roumanie, mais le temps devient
    instable. On attend des pluies et localement de la grêle dans le nord et le
    nord-ouest du pays. En haute montagne, on signale des précipitations mixtes.
    Les températures maximales iront, dans les prochaines 24 heures, de 13°à 21°.

  • Die Koalition wird fortgesetzt

    Die Koalition wird fortgesetzt


    Rumäniens Mitte-Rechts-Regierungskoalition bleibt bestehen, nachdem sich die Vorsitzenden der drei Parteien (PNL, USR-PLUS und UDMR) geeinigt haben. Die erste Vertrauenskrise zwischen den Koalitionsmitgliedern ist also überstanden. Nach tagelangen gegenseitigen Anschuldigungen und Diskussionen behielt der liberale Premierminister Florin Cîțu schlie‎ßlich die Oberhand und bleibt im Amt. Der Skandal ging aus einer Meinungsverschiedenheit mit dem Gesundheitsminister Vlad Voiculescu hervor, den er ohne Rücksprache mit seinen Regierungspartnern entlie‎ß. USR-PLUS, die Partei des abgesetzten Ministers, hatte Cîțus Abgang als Bedingung für die Fortsetzung der Koalition gefordert. Dabei wurden verschiedene Modelle in Umlauf gebracht, die alte Animositäten zutage förderten.





    Erst am Dienstagabend beruhigte sich die Lage, als ein Nachtrag zur politischen Vereinbarung über die Funktionsweise der Koalition unterzeichnet wurde, der, wir zitieren: “zu einem grö‎ßeren Vertrauen zwischen den Partnern und einer verbesserten Regierungsleistung führt”. Dies sagte der Vorsitzende der PNL, Ludovic Orban am Ende der sechsstündigen Verhandlungen. Der Co-Vorsitzende seitens der USR-PLUS, Dan Barna, sagte seinerseits, dass eine heikle Situation überwunden worden sei und dass der Fortbestand und der Erfolg der Koalition von Vertrauen, Respekt und der Einhaltung der Regeln abhänge. Es gibt keine Alternative zu dieser Koalition, glaubt Kelemen Hunor, der Vorsitzende des Ungarn Verbandes, und erklärte, dass die neuen Regeln ein kohärentes Funktionieren sowohl in der Regierung als auch im Parlament sicherstellen werden. Premierminister Florin Cîțu versicherte, dass künftige Entscheidungen auf Dialog und dem Interesse der Bürger basieren werden und dass das Hauptziel die Corona-Schutz-Impfkampagne darstelle.





    Die unterzeichnete Zusatzklausel sieht vor, dass der Chef der Exekutive einen Minister nach vorheriger Information seiner Partei und nach einer Debatte in der Koalition entlassen kann, so die rumänische Presseagentur Agerpres. Der Premierminister wird auch eine angemessene Zeit einräumen, um den Übergang zwischen den Amtsinhabern zu gewährleisten. In dem Dokument wird die politische Verantwortung geteilt und wichtige Entscheidungen werden kollegial, mit der Zustimmung der Koalitionsparteien, getroffen. Die Arbeit der Minister wird auch regelmä‎ßig anhand des vom Parlament verabschiedeten Regierungsprogramms und der während der Regierung getroffenen Entscheidungen bewertet. Die Corona-Schutzimpfung sei eine Priorität für die Koalition, hei‎ßt es in dem Dokument weiter. Transparenz ist die Regel, nicht die Ausnahme, und die Minister müssen Ma‎ßnahmen ergreifen, um den Zugang zu öffentlichen Daten, die Transparenz beim Haushaltsvollzug, bei Verträgen und bei der Auftragsvergabe zu erhöhen. Die Reformen im Gesundheitswesen werden fortgesetzt. Die Reform der Spezialrenten gemä‎ß dem Beitragsprinzip, soll bis Ende des Jahres abgeschlossen sein, ebenso wie die Verabschiedung der Justizgesetze, hei‎ßt es in Nachtrag zur politischen Vereinbarung über die Funktionsweise der Koalition, der der politischen Mini-Krise in Bukarest vorerst ein Ende setzt.

  • La coalition gouvernementale va de l’avant

    La coalition gouvernementale va de l’avant

    La coalition de centre-droit au pouvoir en Roumanie reste en place, après l’accord conclu entre les leaders des trois formations : le Parti national libéral, l’Union Sauvez la Roumanie-Plus et l’Union démocrate magyare de Roumanie. La première crise de confiance entre les membres de la coalition s’est achevée après quelques jours d’accusations réciproques, mais aussi de pourparlers, dont le gagnant serait le chef du gouvernement, le libéral Florin Cîtu, qui garde son fauteuil de premier ministre.

    Le point de départ du scandale, c’était toute une série de mésententes avec l’ancien ministre de la Santé, Vlad Voiculescu, qui se sont terminés par le limogeage de ce dernier sans aucune consultation avec les autres partenaires de gouvernance. L’Union Sauvez la Roumanie – Plus, le parti du dignitaire destitué, avait demandé en réplique le départ du premier ministre Cîtu, comme condition essentielle pour continuer la collaboration. Les scénarios issus de cette situation n’ont fait que révéler d’anciennes animosités entre les alliés politiques.

    Les tensions se sont apaisées mardi en soirée suite à la signature d’une annexe de l’accord politique de fonctionnement de la coalition gouvernementale. Cela devrait « aboutir à un renforcement de la confiance entre les partenaires et à l’amélioration des performances de la gouvernance », a déclaré le leader libéral Ludovic Orban, à l’issue de six heures de négociations. Pour sa part, le co-président de l’Union Sauvez la Roumanie-Plus, Dan Barna, a déclaré qu’une situation délicate avait été dépassée et que le fonctionnement et le succès de la coalition étaient une question de confiance, de respect et de règles. Cette coalition n’a pas d’alternative, a également précisé le leader de l’Union démocrate magyare de Roumanie, Kelemen Hunor, qui a expliqué que les nouvelles règles assureraient aussi un fonctionnement cohérent tant au niveau gouvernemental qu’au sein du Parlement.

    Le premier ministre Florin Cîtu a assuré que les décisions adoptées à l’avenir reposeraient sur le dialogue et viseraient l’intérêt des citoyens. La campagne de vaccination contre le coronavirus demeure le principal objectif du gouvernement, a-t-il ajouté. L’avenant signé entre les leaders de la coalition stipule, selon Agerpres, que le chef de l’exécutif peut révoquer un ministre après en avoir préalablement informé le parti d’où celui-ci provient et après des débats dans la coalition gouvernementale. Le premier ministre accordera aussi un délai raisonnable pour assurer la transition entre les titulaires du portefeuille en question. Selon ce document, la responsabilité politique sera assumée conjointement et les décisions majeures seront adoptées de manière collégiale, avec l’accord des formations politiques membres. Enfin, la performance des ministres sera évaluée régulièrement, conformément au programme de gouvernance approuvé par le Parlement.

    La vaccination contre la Covid-19 constitue une priorité pour la coalition, lit-on dans le document. La transparence est une règle et non pas une exception, et les ministres devraient prendre des mesures pour accroître l’accès aux données publiques, rendre l’exécution budgétaire transparente, et notamment les contrats et les marchés publics, là où ils existent. Les réformes dans le secteur de la Santé devraient se poursuivre, la réforme des retraites dites « spéciales » et l’application du principe de la contribution se fera jusqu’à la fin de l’année, tout comme l’adoption des lois de la Justice, lit-on dans cet accord qui met fin à la mini-crise politique de Bucarest.

  • 20.04.2021

    20.04.2021


    Coronavirus – La Roumanie fait état mardi de 2.900 nouveaux cas de contamination
    au nouveau coronavirus sur 36.000 tests effectués dans le pays. Le nombre de
    malades hospitalisés est en baisse, mais le nombre de décès reste élevé :
    237 personnes dans les dernières 24 heures, un record depuis le début de la
    pandémie. Les autorités annoncent que les unités de vaccination mobiles vont
    bientôt devenir opérationnelles. Elles sont destinées à la vaccination des
    habitants des zones rurales, sur la base des listes constituées par les
    mairies. Par ailleurs, l’hôpital mobile de Leţcani, à proximité de Iaşi, dans l’est du
    pays, sera évalué pour une possible réouverture. L’unité de soin avait été
    fermée à la mi-janvier, alors que le Corps de contrôle du ministère de la Santé
    avait signalé de nombreuses irrégularités. Le 19 mars, le propriétaire de l’hôpital,
    l’Association de développement intercommunautaire Euronest, avait reçu un délai
    d’un mois pour résoudre les problèmes signalés. A présent, ils estiment l’unité
    mobile entièrement fonctionnelle. Elle pourrait accueillir en tout 104 malades
    de Covid-19, dont 48 en soins intensifs.




    Politique
    – Les leaders de la coalition de centre-droit au
    pouvoir en Roumanie reprennent les négociations, en essayant de résoudre la
    crise politique engendrée par la destitution la semaine dernière du ministre de
    la Santé Vlad Voiculescu. Leur première réunion a eu lieu hier soir, a duré
    quatre heures et n’a eu aucune issue. Les leaders de l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS restent campés sur leur position : ils ne veulent plus le libéral
    Florin Cîţu en tant que premier ministre. De l’autre côté, les libéraux et les
    membres du l’Union démocrate magyare de Roumanie s’opposent fortement à la
    destitution de Florin Cîţu. Rappelons que mercredi dernier, M. Cîţu a démis Vlad Voiculescu
    de ses fonctions de ministre de la Santé. Vendredi, lors d’une conférence de
    presse, Vlad Voiculescu a formulé des accusations graves à l’encontre du
    premier ministre, notamment concernant l’incapacité au niveau central et local à gérer la pandémie.




    Diplomatie
    – Le président roumain Klaus Iohannis reçoit aujourd’hui
    la présidente moldave Maia Sandu. La rencontre n’a pas été annoncée
    précédemment et ni la présidence roumaine, ni celle de la République de Moldova
    n’ont rendu publics les sujets de discussion des deux chefs d’Etat. Maia Sandu était
    à Strasbourg hier pour le lancement du Plan d’action du Conseil de l’Europe
    pour la République de Moldova 2021-2024. Rappelons que la Cour
    Constitutionnelle de Chişinău vient de donner son feu vert pour l’organisation des élections
    législatives anticipées souhaitées par Maia Sandu.






    Presse – Le journalisme, « le principal vaccin contre le virus de
    la désinformation », est « totalement ou partiellement bloqué »
    dans plus de 130 pays – note Reporters sans frontières dans son Classement
    mondial de la liberté de la presse 2021. Jamais la zone blanche de la carte de
    la liberté de la presse, qui indique une situation d’exercice du journalisme très
    satisfaisante, n’a été aussi réduite depuis 2013. Le travail des journalistes est
    gravement entravé dans 73 des 180 Etats du classement et restreint dans 59
    autres, soit au total 73 % des pays évalués. La Chine se retrouve à nouveau en
    bas du classement, avant le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Erythrée. Seuls
    12 pays sur 180 peuvent encore se targuer d’offrir un environnement favorable à
    l’information. La Norvège est classée au premier rang, pour la cinquième année
    consécutive, devant la Finlande et la Suède, qui retrouve sa place de
    troisième, perdue l’année dernière au profit du Danemark. Malgré le fait que l’Europe
    reste la région la plus sûre, les agressions contre les journalistes et les
    interpellations abusives se sont notamment multipliées en Allemagne (13e), en
    France (34e), en Italie (41e), en Pologne (64e), en Grèce (70e), en Serbie
    (93e) et en Bulgarie (112e). La Roumanie occupe la 48e place dans le Classement
    de Reporters sans frontières, qui note sur notre pays que « la vision qu’a
    le pouvoir du journalisme et de la liberté d’expression encourage la censure et
    l’autocensure. Durant la crise sanitaire liée à la pandémie, indique
    encore le rapport de l’ONG, l’opacité et la mauvaise communication entre les
    fonctionnaires d’État et les médias ont affecté à la fois le libre accès à
    l’information et la crédibilité des médias. »




    Immigration
    – Les recherches des procureurs roumains sont en cours
    pour essayer d’identifier les personnes ayant poignardé deux citoyens afghans
    lundi soir, dont un est décédé. L’agression a eu lieu près de la Gare de Nord
    de Timişoara,
    dans l’ouest du pays. Des sources judiciaires parlent d’une altercation entre deux
    groupes d’immigrants afghans. La plus grande ville de l’ouest de la Roumanie, Timişoara est placée sur
    la soi-disant route de l’immigration clandestine du Moyen Orient, d’Asie et d’Afrique. De nombreux migrants arrivent en Roumanie depuis
    la Serbie, en route vers les pays de l’Europe de l’Ouest.






    Football
    – La Roumanie va accueillir l’édition 2025 du Championnat
    d’Europe de football des moins de 19 ans – annonce la Fédération
    roumaine de football, faisant écho à une décision du Comité
    exécutif de l’UEFA. La compétition devait avoir lieu en Roumanie cette année,
    entre le 30 juin et le 13 juillet, mais a été annulée par l’UEFA en raison de
    la pandémie de Covid-19. La Roumanie a déjà accueilli l’Euro de foot des moins
    de 19 ans en 2011.






    Hier, douze grands clubs européens de football ont annoncé la création d’une
    nouvelle compétition – la Super Ligue, concurrente de la Ligue des champions. Parmi
    les douze clubs comptent Liverpool, Manchester City, Barcelone, Real
    Madrid, Juventus ou encore Inter Milan. Gary Neville, l’ancien joueur de l’équipe
    d’Angleterre et de Manchester United, a qualifié la démarche comme de la pure
    cupidité. Aux dires du président de l’UEFA Aleksander Ceferin, les footballeurs
    qui jouent pour les clubs à l’origine de cette démarche se verront exclure des
    compétitions internationales tels la Coupe du Monde ou le Championnat d’Europe
    où ils ne pourront plus représenter leurs équipes nationales. Cette « Super
    Ligue » a également été critiquée par le président français Emmanuel
    Macron et par le premier ministre britannique Boris Johnson.








    Météo – En Roumanie, le temps demeure frisquet, avec un ciel couvert et des
    pluies dans la plupart des régions. Les quantités d’eau dépasseront par
    endroits les 15 litres au m2. Des phénomènes orageux et de la grêle sont attendus,
    ainsi que des précipitations mixtes en altitude. Le vent soufflera fort sur le
    sud-ouest du pays. Les températures maximales iront de 10 à 17 degrés, avec
    12°C à midi dans la capitale, Bucarest.

  • 14.04.2021

    14.04.2021


    Gouvernement – Le ministre de la Santé Vlad Voiculescu et la secrétaire d’Etat
    auprès du ministère de la Santé Andreea Moldovan ont été démis de leurs
    fonctions, après plusieurs semaines de tensions croissantes sur la gestion de
    la pandémie de Covid-19 en Roumanie. Cela fait un an que la Roumanie mène une
    bataille difficile contre la pandémie de Covid-19 et pour gagner cette bataille
    nous avons besoin de pouvoir faire confiance aux institutions de l’Etat, a
    déclaré le premier ministre Florin Cîţu peu après avoir annoncé les destitutions.
    Je crois fermement dans cette coalition entre le Parti national libéral, l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie, car elle est fondée
    autour de valeurs et d’idées, et non pas autour de personnes, a-t-il ajouté. La
    destitution du ministre de la Santé a été décidée par le chef de l’exécutif
    après une discussion avec Dan Barna, vice-premier ministre et co-président de l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS, le parti de Vlad Voiculescu. Dan Barna assume à
    présent le poste de ministre de la Santé par intérim. L’autre co-président de l’USR-PLUS,
    Dacian Cioloş, a qualifié d’inacceptable le fait que le premier ministre ne s’était
    pas consulté avec les leaders des partis partenaires avant d’envoyer la demande
    de destitution au président Klaus Iohannis. Le vice-premier ministre et
    président de l’Union démocrate magyare de Roumanie, Kelemen Hunor, a quant à
    lui précisé que son parti acceptait la décision et que la coalition devait aller
    de l’avant. Du côté de l’opposition, le président du Parti Social-démocrate
    Marcel Ciolacu a déclaré que la destitution de Vlad Voiculescu de ses fonctions
    arrivait « trop tard pour beaucoup de Roumains ayant perdu la vie ou dont
    la santé est ruinée ». Suite aux annonces du chef de l’exécutif, le leader
    des députés sociaux-démocrates, Alfred Simonis, a annoncé lui aussi le retrait
    de la motion simple déposée contre Vlad Voiculescu, déclarant que la motion avait
    produit ses effets dans la démission du ministre.

    Coronavirus – 4.000 nouveaux cas de contamination au SARS-CoV-2 ont été recensés mercredi
    en Roumanie et 164 personnes sont décédées des suites de l’infection ces dernières
    24 heures. 1.521 malades sont hospitalisés en réanimation. Par ailleurs, les
    règles de l’institution du confinement viennent d’être modifiées en Roumanie.
    Chaque commune se verra accorder un nombre de points, en fonction du taux d’incidence
    cumulé sur 14 jours, des tendances observées pour les contaminations, du nombre
    de tests effectués ou encore du degré d’occupation des lits d’hôpital. Le
    confinement sera recommandé au-delà de 60 points pour les villes de plus de
    100.000 habitants et au-delà de 70 points pour les petites villes et les
    villages. A présent, près de 50 communes roumaines sont confinées.
    Par ailleurs, l’enquête pénale sur l’accident
    de l’hôpital Victor Babeş de Bucarest est en cours. Trois malades de Covid-19 sont décédés il y
    a deux jours à cause d’un dysfonctionnement de l’installation d’oxygène de
    l’unité mobile de réanimation de l’hôpital en question.




    Protestations – Un rassemblement anti-gouvernemental aura lieu aujourd’hui devant le
    siège de l’exécutif avec, en première, la participation concomitante des cinq
    plus importantes confédérations du pays – Cartel Alfa, Le bloc national
    syndical, Fraternité, Méridien et la Confédération des syndicats démocratiques
    (Cartel Alfa, Blocul Naţional Sindical, Frăţia, Meridian şi Confederaţia
    Sindicatelor Democratice). Les protestataires se rassembleront au même moment
    devant le Palais Victoria, toute en gardant la distance entre les groupes pour
    respecter les restrictions anti-Covid-19 en place en Roumanie. Toutefois, les
    revendications des syndicats sont communes : la majoration du salaire
    minimum jusqu’à un niveau correcte, des pensions de retraite équitables, des
    services publics de qualité, la réouverture des négociations collectives, la
    taxation juste et l’application correcte des lois en vigueur. Les
    syndicalistes, mécontents des mesures prises par l’actuel gouvernement et de
    son refus constant du dialogue social, demandent la démission du cabinet Cîţu.
    La gendarmerie rappelle, dans ce contexte, que seulement 100 personnes peuvent
    participer légalement à une manifestation, et recommande aux protestataires de
    respecter les mesures sanitaires liées au port du masque et de la distanciation
    physique.






    Gymnastique – Six sportifs, trois femmes et trois hommes, représenteront la Roumanie
    aux Championnats d’Europe de gymnastique artistique qui auront lieu du 21 au 25
    avril, à Basel, en Suisse. La compétition tient un double enjeu pour les gymnastes
    roumains : la qualification de deux sportifs supplémentaires pour les Jeux
    olympiques, un homme et une femme, et, bien évidemment, les médailles aux
    épreuves individuelles et d’équipe. Jusqu’à présent, seulement deux gymnastes
    roumains sont qualifiés aux JO de Tokyo – Maria Holbură (pour le concours
    complet femmes) et Marian Drăgulescu (pour l’épreuve de saut de cheval hommes).




    Météo – Nouvelle chute des températures en Roumanie, qui se fixeront en
    dessous des normales de saison dans la plupart du pays. Le ciel est couvert et
    on signale des pluies de courte durée sur la moitié nord et des averses
    orageuses localement sur le sud. Il neige en montage au-delà de 1500 m d’altitude
    et les rafales de vent peuvent dépasser les 70 à 80 km/h. On attend des
    intensifications du vent ailleurs aussi, notamment dans le sud et le sud-est du
    pays. Les températures maximales de la journée iront de 4 à 13°C, avec 10° et
    pluie à midi à Bucarest.

  • הפרלמנט הרומני והיחס נגד גזענות, שנאת זרים ואנטישמיות

    הפרלמנט הרומני והיחס נגד גזענות, שנאת זרים ואנטישמיות

    גישה גלויה של הפרלמנט הרומני נגד גזענות, שנאת זרים ואנטישמיות היא הכרחית ואף דחופה, אמר נשיא לשכת הצירים, לודוביק אורבן, מנהיג PNL.



    לעתים קרובות נראה כי השיח הציבורי על עמיתינו רומא נשלט על ידי הסתה לשנאה ולעתים קרובות יש שקט כאשר מי שצריך להילחם בגזענות ואפליה לא עושה זאת. עלינו לשים לב אפוא לאותות האזעקה שנשלחו על ידי העמותות, לניתוחים של מכוני מחקר ומומחים בחקר תופעות חברתיות אלו, הכריז אורבן במהלך שולחן עגול שאורגן על ידי הקבוצה הפרלמנטרית למיעוטים לאומיים ועמותת רומא פרו-אירופה, לרגל ציון יום הרומים הבינלאומי ויום הרומים הרומני.



    כיום, כאשר המפלגה הליברלית הלאומית נמצאת בשלטון, יש לנו פרויקט למודרניזציה של המדינה, הכולל מאבק בכל צורות הגזענות, שנאת זרים, אנטישמיות, גינוי ללא סייג של התנהגות ושפה מפלה. אלו עמדות שלעולם לא נוכל לוותר עליהן. נשיא PNL הוסיף כי רומניה של העתיד, המשגשגת והמכובדת, היא מדינה שיכולה להסתכל קדימה לאחר קבלת הטעיות שנרשמו בהסטוריה.

  • Le feu vert du Sénat sur deux initiatives importantes

    Le feu vert du Sénat sur deux initiatives importantes

    Le Sénat roumain a adopté lundi deux initiatives importantes par lesquelles le PNL et l’USR souhaitent modifier des dispositions législatives ayant donné lieu à des controverses lors de leur adoption. La première initiative abroge une disposition mise en place par le PSD en 2018, au pouvoir à l’époque, qui autorisait la retraite anticipée des juges et des procureurs à partir de l’âge de 45 ans et au bout de 20 ans de carrière seulement. Cette disposition, se révolte le PNL, était une insulte à l’adresse des Roumains puisqu’elle allait créer une nouvelle catégorie privilégiée de jeunes retraités dans un pays où la plupart des salariés prennent leur retraite à l’âge de 65 ans. Du coup, expliquent les libéraux, par l’abrogation de cette démarche sociale- démocrate, le pays retourne à la normale, en permettant aux magistrats de prendre leur retraite à partir de l’âge de 60 ans et au bout de 25 ans de travail. Pour des critères d’ordre personnel, tels des maladies, d’autres dispositions de la loi sont en place, ont tenu à rassurer les libéraux.

    Selon eux, si l’initiative du PSD était restée en place, elle aurait bientôt débouché sur un nombre important de demandes de départ à la retraite dans les rangs des magistrats. Une situation qui aurait certainement perturbé le bon fonctionnement des tribunaux. En plus, en l’absence d’un nombre suffisant de magistrats, l’acte de justice aurait perdu de son efficacité, tandis que les délais de jugement auraient été repoussés. D’ailleurs, ce fut justement cet aspect qui a fait que la prévision législative ne soit jamais mise en place, les autorités décidant de sa prorogation année après année. Le Sénat est l’assemblée décisionnelle dans cette affaire.

    Lundi encore, le même Sénat a abrogé la disposition législative interdisant la vente, par l’Etat, des actions qu’il détient dans des compagnies et sociétés nationales, des institutions de crédit et de toute autre société d’Etat. Les sénateurs ont également annulé l’article permettant la suspension, pour une période de deux ans, de toute opération d’aliénation des actions détenues par l’Etat, en cours de réalisation.

    Initié par le gouvernement de centre-droit, ce projet est censé permettre la valorisation des actions afin d’éviter la dégradation des relations sociales en rapport avec la liberté économique des opérateurs au sein desquels l’Etat est actionnaire. Par ailleurs, à travers la diversification de l’actionnariat, on espère revigorer la compétitivité et la performance sur le marché. Depuis l’opposition, les sénateurs PSD et AUR ont rejeté cette initiative, en répliquant que ce n’était pas le bon moment pour que les actions des compagnies publiques soient cotées en Bourse. Ils ont reproché au Gouvernement de vouloir vendre la participation de l’Etat dans les entreprises publiques les plus importantes. Le projet de loi sera soumis au vote de la Chambre des Députés, qui a le dernier mot dans cette affaire.
    (Trad. Ioana Stncescu)

  • A first step towards eliminating special pensions

    A first step towards eliminating special pensions

    A recent survey on Romanians trust in institutions shows that the hierarchy is dominated by the Church, the Army and the Academy, ending with the Government (trusted by only 13.7% of the respondents), Parliament (9.5%) and political parties (9.1%). From the right or the left of the political spectrum, from power or from the opposition, long-lived or ephemeral in politics, there have been dozens of deputies and senators who were the protagonists of notorious criminal cases. The most famous such politicians are the former speakers of the Chamber of Deputies, the Social Democrats Adrian Năstase and Liviu Dragnea and the liberal Bogdan Olteanu, all three imprisoned on corruption charges.



    Switching political parties according to interests, nepotism, incompetence, failure to go to work are some of the sins that the press and public opinion frequently associate with MPs, which actually makes even more unpopular their privileges, namely their high salaries and special pensions that do not actually observe the contribution principle. Introduced in 2015 by the Social Democratic Party-PSD which, at the time, was led by Liviu Dragnea, a very generous person when it came to public money, the MPs’ special pensions were the first category abrogated, on Wednesday, by the Parliament formed after the December 2020 elections. At present, there are about 800 former senators and deputies who receive special pensions, which reach over 10 million Euros cumulatively per year.



    The abrogation of special pensions was initiated also by PSD, now in opposition, which, under the leadership of Marcel Ciolacu, is trying to build a new image. Parliament also adopted an amendment proposed by USR PLUS alliance (in the governing coalition), which stipulates that when the law takes effect, the payment of age-limit benefits ceases. The alliance co-president Dan Barna says that eliminating special pensions is a moral victory, the MPs thus “washing away some of their sins.”



    The leader of the National Liberal Party – PNL, the main party in the governing coalition, Ludovic Orban, also announced that the current coalition is committed to clarifying and adjusting the entire pension legislation. In an attempt to return to a fair and just system for all pensioners, as the MPs stated during the vote, all political forces, including the ultranationalist opposition party AUR- the Alliance for the Union of Romanians, voted in favor of eliminating MPs’ pensions.



    The Democratic Union of Ethnic Hungarians in Romania UDMR (in the governing coalition) abstained from voting, as they claim the move is incomplete and does not also target the other socio-professional categories whose pensions do not observe the contribution principle such as the magistrates, the military, the intelligence service officers and the police. UDMR representatives say they cannot vote superficial decisions which are apparently popular but which do not solve the problem itself. The problem per se, as experts also noticed, is that there are many Romanians who have very high pensions, of over 9 thousand lei (the equivalent of almost 2,000 Euros), many of whom have not reached the retirement age or have not paid the entire retirement contributions, while five million pensioners have pensions worth an average of only 1,500 lei, that is 300 Euros. (tr. L. Simion)

  • Nachrichten 26.01.2021

    Nachrichten 26.01.2021

    In Rumänien sind knapp 2900 Corona-Neuinfektionen bestätigt worden. In den letzten 24 Stunden waren landesweit 28.000 Tests durchgeführt worden, so die Gruppe für Strategische Kommunikation am Dienstag. Es wurden auch 97 neue Todesfälle gemeldet. Etwa 8000 infizierte Personen werden derzeit in Krankenhäusern behandelt, davon 1.002 auf Intensivstationen. Seit dem Ausbruch der Pandemie wurden auf rumänischem Boden mehr als 700.000 Menschen infiziert, von denen 90% geheilt werden konnten. Die Zahl der Personen, die sich mit dem neuartigen Stamm infiziert haben, der ursprünglich in Großbritannien identifiziert wurde, steigt unterdessen an. Einige Experten gehen davon aus, dass die neue Form des Virus im März in der Hauptstadt überwiegen wird. Die nationale Impfkampagne ist in Rumänien in vollem Gange und erlebt derzeit ihre zweite Phase.



    Die Parteiführung der Sozialdemokratischen Partei PSD hat sich am Dienstag mit den wichtigsten Gewerkschaftsführern über eine alternative Haushaltsvorlage unterhalten. Die Oppositionspartei wollte den Haushaltsplan am Mittwoch der Öffentlichkeit präsentieren. Die Sozialdemokraten behaupten, es seien genügend Finanzmittel für Investitionen und die Anhebung der Gehälter vorhanden. Das staatliche Kindergeld könnte sogar verdoppelt werden, hieß es. Die PSD kritisierte die Sparpolitik der Koalitionsregierung aus PNL, USR+ und Ungarnverband und versprach, die Ideen der Sozialpartner in die eigene Haushaltsplanung einfließen zu lassen. Der liberale Ministerpräsident Florin Cîţu erklärte indes, der zukünftige Haushalt werde das mit der Europäischen Kommission vereinbarte Defizitziel von 7% einhalten und sich auf Investitionen und das Gesundheitswesen konzentrieren. Die Regierung arbeite derweil an neuen Fassungen des Renten- und Entlohnungsgesetzes, so der Regierungschef.



    Rumänische Gewerkschafter haben ihre Proteste gegen die Sozialpolitik der aktuellen Regierung in Bukarest fortgesetzt. Mit Beginn des Jahres demonstrierten sie vor Hauptsitzen der Präsidentschaft, der Exekutive, verschiedener Ministerien, Kreispräfekturen oder politischer Parteien der Regierungskoalition. Die Gewerkschaften forderten einen angemessenen Mindestlohn, faire Renten, hochwertige öffentliche Dienstleistungen und die Freigabe von Tarifverhandlungen, faire Steuern und die korrekte Anwendung der Rechtsvorschriften. Die Proteste des Alfa-Kartells – einer der wichtigsten Gewerkschaften in Rumänien – sollen bis zum 28. Februar anhalten und umfassen neben Straßenprotesten auch Stellungnahmen, Briefe, Petitionen oder Gesprächsrunden mit Parlamentariern. Die Regierenden in Bukarest erklären derweil, dass die Forderungen im Kontext der Corona-Krise gesehen werden und dabei ein Haushaltsdefizit von 7% berücksichtigen müssen.



    Rumänien möchte Einschränkungen der Freizügigkeit in der EU durch die Ausstellung von Corona-Impfbescheinigungen vermeiden – sagte Außenminister Bogdan Aurescu am Dienstag zu Beginn der portugiesischen EU-Ratspräsidentschaft. Man müsse berücksichtigen, dass die Impfung freiwillig sei. Bogdan Aurescu wies auch darauf hin, dass derzeit keine Quarantäne für geimpfte Personen bei der Einreise nach Rumänien vorgeschrieben sei. António Costa, der portugiesische Premierminister, dessen Land jetzt die rotierende Präsidentschaft des Rates der Europäischen Union innehat, sprach sich dafür aus, dass Europäer mit Impfbescheinigungen frei reisen können. Die Idee wird von wirtschaftlich abhängigen Tourismusländern und Deutschland unterstützt.

  • Regierung in Bukarest beschließt Sparmaßnahmen

    Regierung in Bukarest beschließt Sparmaßnahmen

    Die buchhalterische Strenge des neuen Premierministers, des Liberalen Florin Cîţu, ehemaliger Finanzchef, wurde weniger als eine Woche nach seinem Amtsantritt bestätigt. Die Kolaitionsregierung PNL-USR+-UDMR beschloss am Mittwoch per Eilverordnung, dass die Gehälter im öffentlichen Sektor im nächsten Jahr nicht erhöht werden sollen. Boni, Zulagen für Essen oder besondere Leistungen bleiben ebenfalls auf dem Stand vom Dezember 2020. Die Entscheidung betrifft alle Mitarbeiter der zentralen und lokalen öffentlichen Verwaltung. Die Verordnung sieht auch vor, dass die Auszahlung der sogenannten Sonderrenten, die dem Beitragsprinzip nicht entsprechen und die Bürgermeister erhalten würden, um ein Jahr verschoben wird.



    Die Regierung hat diese Entscheidungen getroffen, um die Ausgaben unter Kontrolle zu halten und die Investitionen zu erhöhen, erklärte Premier Cîţu. Für das Jahr 2021 hat sie ein Haushaltsdefizitziel von 7 % des Bruttoinlandsprodukts festgelegt und diese Notverordnung bedeutet Einsparungen von 17,6 Milliarden Lei (umgerechnet mehr als drei Milliarden Euro) für den Staatshaushalt. Diese Regelung sieht auch Ma‎ßnahmen zur Unterstützung von Unternehmen im Hotel- und Gaststättengewerbe (HoReCa) vor. Die Kurzarbeit wird weiterhin subventioniert, und 41,5 % des Lohns von Mitarbeitern, die am Arbeitsplatz bleiben, wird aus öffentlichen Mitteln getragen.



    In einem weiteren Dringlichkeitserlass verlängerte die Bukarester Exekutive den Zeitraum, in dem Kreditnehmer, die von den Auswirkungen der COVID-19-Pandemie betroffen sind, die Banken um einen Aufschub ihrer monatlichen Ratenzahlungen bitten können, um weitere drei Monate, bis zu einem Maximum von neun Monaten. Der Vorsitzende des PSD-Nationalrats aus der Opposition Vasile Dâncu ist der Meinung, dass das Kabinett Cîţu eine, wie er es nennt, “unsoziale” Regierungsführung ausübt. Alle Zusicherungen, die die regierenden Koalitionsparteien den Rumänen während des Wahlkampfes gegeben haben, seien nur leere Worte, sagte Dâncu im Anschlu‎ß.



    Die Gewerkschaften im Gesundheitsbereich sind der Ansicht, dass die von der Regierung bestimmten Lohnobergrenze sogar jene Mitarbeiter bestrafen würde, die an vorderster Front gegen die Pandemie kämpfen. Auch die Mitarbeiter des Innenministeriums sind damit unzufrieden, was die Gewerkschaftsvertreter dem zuständigen Minister Lucian Bode schnell mitteilten. Die Angestellten kündigten ihrerseits Proteste vor dem Sitz des Innenministeriums in Bukarest an. Die Unzufriedenheit der Öffentlichkeit nimmt dadurch zu, dass die die Ständige Wahlbehörde neulich ankündigte, dass die politischen Parteien die Rückerstattung der Ausgaben für die diesjährigen Parlamentswahlen beantragen werden, die sich auf etwa 167 Millionen Lei (mehr als 30 Millionen Euro) belaufen, fast viermal mehr als bei den Legislativwahen vor vier Jahren. Bei den Parlamentswahlen in diesem Monat ging jedoch nicht einmal ein Drittel der Wähler an die Urnen. Au‎ßerdem sagen nur 9% der Rumänen, dass sie den Parteien vertrauen, was ihre Legitimität zunehmend in Frage stellt.



  • Le gouvernement de Bucarest – investi

    Le gouvernement de Bucarest – investi

    La
    Roumanie a un nouveau gouvernement, aux pleins pouvoirs, résultant
    des élections du 6 décembre et soutenu par une coalition de
    centre-droit formée par le Parti national libéral, l’Alliance Union
    Sauvez la Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie.
    Mercredi, la nouvelle majorité constituée à l’issue de
    négociations dures, qui ont impliqué l’harmonisation des programmes
    de gouvernance et le partage des fonctions ministérielles et
    parlementaires, a fait un tour de force et réussi à valider les 18
    ministres et à investir le nouvel exécutif en un seul jour.

    C’est
    l’expert en finances Florin Cîtu qui est premier ministre, celui
    qui, en tant que titulaire du portefeuille des Finances de l’ancien
    cabinet libéral minoritaire, a réussi à éviter le collapsus
    budgétaire auquel s’attendaient de nombreux commentateurs,
    lorsqu’ils prévoyaient les suites de la crise économique générée
    par la pandémie.

    Les critiques accusent Florin Cîtu d’avoir
    excessivement endetté la Roumanie. Pour le nouveau premier ministre,
    les objectifs à court terme du nouveau gouvernement sont tout à
    fait clairs, tout comme le modèle de développement du pays que la
    coalition gouvernementale propose. « Tant
    moi-même que mon équipe nous ferons tout ce qui est en notre
    pouvoir pour atteindre les deux objectifs déjà énoncés et sur
    lesquels tous les partis politiques concordent : dépasser au
    plus vite et dans de bonnes conditions la crise sanitaire et remettre
    l’économie sur les rails. La crise du Covid-19 a souligné le besoin
    d’appliquer un nouveau modèle de gouvernance publique et de
    développement économique et social. Dans ce contexte, la coalition
    de centre-droit propose un programme de gouvernance qui combine les
    mesures de sortie de crise aux politiques de développement à long
    terme pour construire une Roumanie normale à laquelle tout Roumain
    aspire. Le nouveau modèle de développement économique et social a
    au premier plan les investissements en tant que moteur du
    développement économique, censé générer la croissance économique
    la plus importante de l’Union européenne durant l’intervalle
    2021-2024 »
    , a déclaré Florin Cîtu.

    Le principal acteur de
    l’opposition parlementaire sera le PSD, celui qui a d’ailleurs
    remporté le scrutin législatif, mais qui se trouve dans
    l’impossibilité de constituer une majorité vu qu’il est carrément
    politiquement isolé. Les sociaux-démocrates ont fortement critiqué
    le programme de gouvernance. Leur patron, Marcel Ciolacu, a annoncé
    que le PSD ferait une opposition totale – un avertissement qui vise
    directement son homologue libéral, Ludovic Orban.

    « Le PSD ne votera
    jamais un tel gouvernement. Les Roumains ont désormais un seul et
    unique allié au sein du Parlement roumain – le PSD ! Nous
    allons défendre leurs droits, nous allons vous combattre dans les
    commissions spécialisées du Législatif, dans le plénum, partout.
    Monsieur Orban, souvenez-vous de ce que je vous dis aujourd’hui, ici,
    devant le Parlement de la Roumanie : vous avez espéré vous
    sauver, mais c’est à peine maintenant que commence le pire cauchemar
    que vous ayez jamais eu ! »
    , a menacé Marcel Ciolacu.

    Entre
    temps, le chef de l’État, Klaus Iohannis, a averti les nouveaux
    ministres que le public attendait désormais que les réformes
    promises soient réalisées, notamment dans le domaine des grands
    systèmes publics, afin de restructurer l’État et de réduire la
    bureaucratie. Une année après le début de son second quinquennat,
    le président roumain dispose pour la première fois de l’opportunité
    d’avoir un partenariat avec un gouvernement soutenu par une majorité
    stable, constituée autour du PNL, parti dont le chef de l’État
    est d’ailleurs issu.

  • Învestirea guvernului de la Bucureşti

    Învestirea guvernului de la Bucureşti

    România are un nou guvern, cu puteri depline, rezultat în urma alegerilor din 6 decembrie şi susţinut de o coaliţie de centru-dreapta formată din PNL, USR PLUS şi UDMR. Miercuri, noua majoritate, născută după negocieri dure, care au presupus armonizarea programelor de guvernare şi împărţirea funcţiilor ministeriale şi parlamentare, a făcut un tur de forţă şi a reuşit să-i valideze pe cei 18 miniştri şi să învestească noul executiv.



    Prim-ministru este finanţistul Florin Cîţu, cel care, în calitate de şef al Finanţelor în fostul cabinet liberal minoritar, a reuşit să evite colapsul bugetar pe care nu puţini îl prevesteau, pe fondul crizei economice generate de pandemie. Criticii spun, însă, că Florin Cîţu a îndatorat excesiv România. Pentru noul premier, obiectivele pe termen scurt ale noului guvern sunt clare, la fel şi modelul de dezvoltare a ţării pe care noii guvernanţi îl propun.



    Florin Cîţu: Atât eu, cât şi echipa mea vom face tot ce ne stă în putinţă pentru realizarea celor două obiective pe care le-am enunţat deja şi cu care sunt sigur că toate partidele politice sunt de acord: să trecem cât mai repede şi cât mai bine peste criza din sănătate şi să repunem economia pe picioare. Criza COVID-19 a evidenţiat necesitatea aplicării unui nou model de guvernare publică şi dezvoltare economică şi socială. În acest context, coaliţia de centru-dreapta propune un program de guvernare care îmbină măsurile de ieşire din criză cu politicile de dezvoltare pe termen lung pentru a construi România normală, la care aspiră fiecare român. Noul model de dezvoltare economică şi socială are în prim-plan investiţiile ca motor al dezvoltării economice, care să genereze cea mai mare creştere din Uniunea Europeană în intervalul 2021- 2024.”



    Principalul actor al opoziţiei parlamentare va fi PSD, câştigător al scrutinului legislativ, dar izolat politic. Social-democraţii au criticat aspru programul de guvernare. Şeful lor, Marcel Ciolacu, a anunţat că PSD va face o opoziţie totală, avertisment care aproape că îl viza direct pe omologul lui liberal, Ludovic Orban.



    Preşedintele PSD, Marcel Ciolacu: PSD nu va vota niciodată un astfel de guvern. Românii mai au un singur aliat în Parlamentul României – PSD! Le vom apăra drepturile, ne vom bate cu voi în comisii, în plen, pe tot terenul. Domnule Orban, ţineţi minte ce vă zic astăzi aici în Parlamentul României: aţi sperat să vă salvaţi, dar de abia acum începe cel mai negru coşmar pe care l-aţi avut vreodată!”



    Preşedintele Klaus Iohannis le-a atras atenţia noilor miniştri că oamenii aşteaptă acum concretizarea reformelor promise, care vizează marile sisteme publice, restructurarea statului, reducerea birocraţiei. În funcţie din 2014 şi aflat la al doilea mandat, preşedintelui i se oferă, în premieră, şansa unui parteneriat cu un guvern susţinut de o majoritate stabilă, construită în jurul PNL, partidul din care provine.

  • 22.12.2020

    22.12.2020

    Négociations politiques – Le chef de lEtat roumain, Klaus Iohannis a invité aujourdhui les présidents des partis et des formations politiques représentées au nouveau Parlement à un deuxième round de consultations en vue de la nomination dun candidat aux fonctions de premier ministre. Cette invitation survient après que les leaders du PNL, de lalliance USR-plus et de lUDMR eurent signé lundi un accord de gouvernance pour les quatre prochaines années. Dans ce document ces partis proposent aux fonctions de premier ministre lactuel titulaire du portefeuille des Finances, le libéral Florin Cîtu. Les signataires de laccord sengagent à ne pas coopter des sénateurs et des députés appartenant à dautres partis et à décourager le népotisme et le clientélisme politique. Les leaders des trois partis ont décidé de constituer un gouvernement formé de 18 ministères. Les représentants du PSD, parti qui a obtenu dailleurs le plus grand nombre de voix aux élections législatives ont également été invités aux consultations avec le président, tout comme les représentants de lAlliance pour lUnion des Roumains (la 4e force politique parlementaire) et une délégation des minorités nationales. Le leader du PSD Marcel Ciolacu a annoncé que les sociaux-démocrates ne se présenteront pas aux consultations. Après les élections, ceux-ci ont souligné à plusieurs reprises que la solution correcte serait la constitution dun gouvernement dunion nationale dirigé par le médecin Alexandru Rafila, le représentant de la Roumanie auprès de lOMS. Marcel Ciolacu a déclaré que son parti refusait toujours de voter un gouvernement de lalliance PNL, USR Plus et UDMR qui ne ferait que maintenir la Roumanie en crise. Après la désignation dun premier ministre par le chef de lEtat, ce dernier dispose selon la Constitution de dix jours pour constituer un cabinet et pour présenter un programme de gouvernance.



    Parlement – Les sénateurs et députés roumains se réunissent aujourdhui dans le cadre de séances séparées afin dachever les procédures liées à loccupation de fonctions de direction des deux chambres et à la constitution des commissions spécialisées. Lundi, les deux Chambres du nouveau Parlement issu des élections du 6 décembre ont été légalement constituées après bien plus de 12 heures de débats acharnés, interrompus à plusieurs reprises pour des négociations au sujet du partage de certains postes. Lex-premier ministre libéral Ludovic Orban a été élu président de la Chambre des Députés alors que dans le cas du Sénat cest pour la première fois quune femme a été élue présidente de cette chambre. Il sagit dAnca Dragu, proposée par lUSR – Plus et soutenue par le Parti national libéral et par lUnion démocrate magyare de Roumanie.



    Vaccination – LAgence européenne des médicaments a approuvé hier la mise sur le marché du vaccin anti-Covid développé par Pfizer-BioNTech, alors que ce vaccin est déjà utilisé au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada et en Israël. Lautorisation de lAgence européenne est valable pour les 27 Etats membres de lUE et offre un fondement scientifique solide pour dérouler les campagnes de vaccination, tout comme un cadre de surveillance et de contrôle continuels, a déclaré Emer Cooke, le directrice exécutive de LAgence européenne des médicaments. Plusieurs Etat européens vont commencé la vaccination anti-Covid le 27 décembre, date qua également avancé la Roumanie. Un premier lot symbolique de 10 000 doses devrait arriver en Roumanie le 26 décembre. Ces premières doses vont servir à immuniser le personnel médical des hôpitaux des maladies infectieuses.



    Coronavirus – Coronavirus – 5009 nouveaux cas de Covid ont été rapportés mardi en Roumanie, a fait savoir le Groupe de Communication Stratégique. Le bilan total des cas enregistrés depuis la fin février et jusquici, frôle les 600 mille. 155 personnes infectées au nouveau coronavirus sont décédées durant les dernières 24 heures, portant le bilan mortel à 14.636 décédés. Le nombre de malades en soins intensifs est demeure assez élevé, soit 1.252. Plus de 84% des personnes dépistées positives au Covid 19 depuis le début de la pandémie ont guéri. A létranger, plus de 7 mille roumains ont été dépistés positifs au SARS-Cov 2, dont la plupart en Italie et en Espagne, alors que 128 sont décédés.



    Commémoration – « La Justice devrait faire son devoir dans le cas des personnes coupables de la répression sanglante des protestations anticommunistes en décembre 1989 », a déclaré le président Klaus Iohannis ce mardi à loccasion de la Journée de la Victoire de la Révolution roumaine et de la liberté. A Bucarest et dans dautres villes roumaines, les Roumains commémorent les héros tombés durant la révolution anticommuniste roumaine de décembre 1989, 31 années après la chute du régime communiste en Roumanie. Une messe a eu lieu aujourdhui dans la Capitale à la mémoire de ceux qui ont perdu la vie dans leur tentative de libérer la Roumanie du dictateur communiste Nicolae Ceausescu. Des cérémonies similaires ont eu lieu aussi dans dautres endroits phare de la Révolution de 1989, soit devant les sièges de la radio et de la télévision publiques, ainsi quauprès des monuments consacrées aux héros de ces événements. Toutes les cérémonies se sont déroulées en respectant strictement les règles de prévention et de lutte contre la pandémie de Covid 19. Rappelons-le, la révolte anticommuniste a éclaté à Timisoara, dans louest le 16 décembre 1989 pour se répandre ensuite le 21 décembre à Bucarest et dans dautres villes roumaines. La Roumanie est lunique pays de lEurope de lest où le changement de régime sest réalisé par la violence et qui a fait exécuter ses ex-dirigeants communistes. Plus de mille personnes sont décédées et quelque 3 mille ont été blessées lors des combats de rue déroulés en décembre 1989.




    Chômage – Le taux de chômage a été de 5,2% au troisième trimestre de lannée, en baisse de 0,2% par rapport au trimestre précédent, fait savoir lInstitut national de la statistique. Pour la période en question, le taux de chômage chez les hommes est plus élevé que celui des femmes : 5,4% dhommes se retrouvent sans travail, contre 5% des femmes. Le taux de chômage le plus élevé senregistre parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans : 19,2% dentre eux nont pas demploi. Selon lInstitut national de la statistique, la population active de la Roumanie était denviron 9 millions de personnes au troisième trimestre 2020, dont environ 8,5 millions de personnes travaillent.



    Météo – Le ciel demeure couvert en Roumanie avec des pluies et quelques flocons de neige sur louest, le nord-ouest et le centre du pays. Il neige actuellement en haute montagne. Des pluies sont signalées sur le reste du territoire. Les températures vont de 0 à 8 degrés. 4 degrés sous un ciel de plomb actuellement à Bucarest.