Tag: PNL

  • 06.09.2021 (mise à jour)

    06.09.2021 (mise à jour)




    Politique – Les ministres de l’Union Sauvez la
    Roumanie-PLUS se retirent du cabinet dirigé par Florin Cîţu- ils déposeront
    leurs démissions mardi 7 septembre au matin – c’est l’annonce faite lundi soir
    par le coprésident d’USR-PLUS et vice-premier ministre Dan Barna. Il s’agit de
    Cristian Ghinea, ministre des Investissement et des projets européens, de Cătălin
    Drulă, ministre des Transports, de Claudiu Năsui, ministre de l’Economie, de Ciprian
    Teleman, ministre de la Recherche et d’Ioana Mihăilă, ministre de la Santé.
    Lundi dans la journée, faute de quorum, les Bureaux permanents du Parlement de
    Bucarest n’ont pas réussi à fixer le calendrier des débats et du vote de la
    motion de censure avancée vendredi par les parlementaires d’USR-PLUS et de l’Alliance
    pour l’unité des Roumains contre le cabinet du libéral Cîţu. USR-PLUS affirme
    vouloir maintenir la coalition avec le Parti national libéral et l’Union
    démocrate magyare de Roumanie, mais sans Florin Cîţu à la tête du
    gouvernement. L’Union Sauvez
    la Roumanie-PLUS reproche à M Cîtu la révocation intempestive, la semaine
    dernière, du ministre USR de la Justice Stelian Ion. Pour sa part, l’Alliance
    pour l’unité des Roumains affirme que l’actuelle motion a pour seul but la
    destitution de Florin Cîţu et rejette la possibilité d’une
    alliance avec le Parti social-démocrate, en opposition, ou avec USR-PLUS. Le
    président Klaus Iohannis avait appelé samedi l’Union Sauvez la Roumanie-PLUS à reprendre
    le dialogue avec ses partenaires de coalition et à trouver une solution viable
    et raisonnable pour débloquer la situation.




    Décès – Le grand comédien
    roumain Ion Caramitru est décédé dimanche soir, à l’âge de 79 ans. Directeur du
    Théâtre National de Bucarest et président de l’Union théâtrale de Roumanie, Ion
    Caramitru a interprété des centaines de rôles sur scène, au micro ou encore sur
    le grand écran. Metteur en scène, professeur des universités, ancien ministre
    de la Culture, il a aussi été une des figures centrales de la révolution
    anti-communiste de 1989. Son décès est intervenu quelques heures seulement
    après la mort de l’ancien céiste roumain Ivan Patzaichin, quadruple-champion
    olympique de course en ligne, décédé à 71 ans.Sept fois médaillé aux Jeux
    Olympiques, dont quatre fois d’or et trois fois d’argent, Ivan Patzaichin a
    participé à cinq éditions successives des JO, entre 1968 et 1984. « La
    Roumanie doit dire adieu à deux des Roumains les plus aimés – Ivan Patzaichin
    et Ion Caramitru » a écrit le chef de l’Etat roumain dans un post Facebook,
    en continuant « par leur disparition, les Roumains se retrouvent aujourd’hui
    appauvris, consolés seulement par le souvenir de la gloire que les deux hommes
    ont offerte à la Roumanie à travers leur énergie, leur talent et leurs efforts
    de rester les meilleurs. Mes plus sincères condoléances à leurs proches » a
    conclu le président Iohannis.






    Diplomatie – Les chefs des diplomaties moldave,
    grecque, italienne et indienne sont les invités spéciaux de l’édition 2021 de
    la Réunion annuelle de la diplomatie roumaine. L’événement démarre mardi à
    Bucarest et porte sur « Le rôle de la diplomatie au service de la résilience
    de la Roumanie ». Organisé, comme à l’accoutumé, à quelques jours de la
    Journée de la diplomatie roumaine, l’événement réunira également, en système de
    visioconférence, les chefs des missions diplomatiques et des consulats roumains
    de l’étranger. Des interventions en ligne auront aussi la vice présidente de la
    Commission européenne chargée de la démocratie et de la démographie, Dubravka
    Šuica, et la secrétaire générale de l’Organisation pour la sécurité et la
    coopération en Europe, Helga Schmid.






    Le chef de l’Etat
    roumain, Klaus Iohannis, se rendra jeudi en Suisse, sur invitation de son homologue
    Guy Parmelin. La visite marque 110 ans de relations diplomatiques bilatérales
    entre la Suisse et la Roumanie. Les deux chefs d’Etat parleront du renforcement
    de la coopération économique bilatérale, notamment en ce qui concerne les
    investissements, en sachant que la Suisse est le 10e investisseur
    étranger en Roumanie. Les pourparlers toucheront également à la politique
    internationale, notamment les enjeux de sécurité à la frontière Est de l’Union
    européenne et dans les Balkans d’Ouest, ainsi qu’à la coopération
    roumano-suisse dans le cadre des organisations internationales.






    Covid – La Roumanie a rapporté lundi 1 000 cas
    de contamination au nouveau coronavirus sur presque 18.000 testes effectués et
    25 décès des suites de l’infection enregistrés en 24 heures. 3 300 malades sont
    hospitalisés dans le pays, dont 400 dans les unités de soins intensifs. La
    plupart des nouvelles contaminations sont recensées dans la capitale, Bucarest.
    Plus de 4000 personnes se sont fait vacciner ces 24 dernières heures dont 2 700
    avec une première dose ou avec une dose
    unique. A présent, la Roumanie recense 5,1 millions de personnes entièrement vaccinées
    contre la Covid-19, soit un peu moins d’un tiers de la population en âge d’être
    vaccinée.




    Météo – Temps généralement beau en Roumanie en
    ce début de septembre, avec toutefois des matinées bien fraîches. Le ciel est
    variable, partiellement couvert en montagne, où on attend aussi quelques pluies
    éparses. Le vent est faible à modéré, avec quelques intensifications dans le
    sud-ouest du pays, en altitude et sur le littoral de la mer Noire. Les
    températures minimales iront, dans les prochaines 24 heures, de 3 à 13°C et les
    maximales de 18 à 26°C.



  • 04.09.2021 (mise à jour)

    04.09.2021 (mise à jour)

    Politique – Le président Klaus Iohannis a déclaré samedi que l’entente entre USR-PLUS, membre de la coalition gouvernementale, et le parti ultranationaliste l’Alliance pour l’unité des Roumains, était un affront infligé aux Roumains. Le président a demandé à l’Union sauvez la Roumanie-PLUS de mettre fin aux gestes politiques qu’il a qualifié d’irresponsables, de respecter ses électeurs et de reprendre le dialogue, afin de trouver une solution viable et rationnelle avec les partenaires de coalition et de débloquer la situation actuelle. Le chef de l’Etat estime qu’en s’associant avec un parti qui ne respecte pas les valeurs occidentales, USR-PLUS trahit la volonté des citoyens ayant mis leurs espoirs dans une coalition de centre droit œuvrant pour le développement de la Roumanie. La destruction de la coalition et le fait de compromettre de manière irrémédiable toutes les réformes assumées par le gouvernement actuel risquent de placer la Roumanie dans une profonde crise économique et sociale, a avertit le président. Les parlementaires de l’Union sauvez la Roumanie-PLUS et de l’Alliance pour l’unité des Roumains ont déposé vendredi une motion de censure contre le cabinet dirigé par le libéral Florin Cîţu, après le refus de ce dernier de démissionner et de celui du Parti national libéral de retirer le soutien politique au premier ministre. USR-PLUS avait réclamé le départ de Cîţu après que celui-ci avait révoqué de façon inopiné Stelian Ion, ministre de la Justice et membre de l’USR-PLUS, pour avoir bloqué la mise en œuvre d’un vaste plan d’investissements dans l’infrastructure locale. Le premier ministre a déclaré que l’actuelle formule politique était la seule solution pour diriger le pays, opinion partagée par l’Union démocrate magyare de Roumanie, le troisième membre de la coalition gouvernementale.

    Afghanistan – La cellule de crise interinstitutionnelle a réussit à évacuer samedi autres 15 citoyens afghans, des collaborateurs des forces armées roumaines et des étudiants avec des bourses d’étude en Roumanie, a annoncé le ministère des Affaires étrangères de Bucarest. Samedi toujours, 45 ressortissants afghans, des magistrats et leurs familles, avaient été évacués de Kaboul, selon l’annonce du ministre Bogdan Aurescu au Forum de sécurité en mer Noire et dans les Balkans. En tout, les autorités roumaines ont contribué à l’évacuation de 76 citoyens afghans, auxquels s’ajoutent 49 ressortissants roumains et 7 ressortissants des pays partenaires. Par ailleurs, vendredi le président Klaus Iohannis a eu une conversation téléphonique avec le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg où il a affirmé que la Roumanie se tenait prête à contribuer aux efforts de l’OTAN pour aborder cette crise. « L’unité des alliés est essentielle – l’Afghanistan ne doit pas devenir à nouveau un lieu de refuge pour les terroristes » – a écrit le président roumain sur Twitter. A son tour, le secrétaire général de l’Alliance a parlé sur le même réseau social de ses discussions avec le président roumain et avec les premiers ministres des Pays-Bas et de l’Espagne par rapport à la situation en Afghanistan. « Les alliés de l’OTAN continueront à évacuer les gens en toute sécurité et nous restons décidés et unis contre le terrorisme international » a écrit Stoltenberg.

    Coronavirus – Samedi, les autorités roumaines ont rapporté 1 500 contaminations au nouveau coronavirus et 28 décès des suites de l’infection dans les dernières 24 heures. 350 malades de Covid-19 sont hospitalisés en soins intensifs. Quelques 6 600 personnes ont été vaccinées contre la Covid-19 dans les dernières 24 heures, dont 4 500 ont reçu la première dose ou un vaccin à dose unique. 5,1 millions de Roumains sont à présent entièrement vaccinés, soit un peu moins d’un tiers de la population en âge d’être vaccinée.

    Tennis – Simona Halep s’est qualifiée pour les huitièmes de finale de l’US Open de tennis, après une victoire en trois sets contre la Kazakhe Elena Rybakina. Dimanche, Halep, actuellement numéro 12 au classement WTA, rencontrera l’Ukrainienne Elina Svitolina, numéro 5 mondiale. Les deux sportives ont disputé jusqu’à présent dix rencontres directes, dont chacune en a remporté cinq. La meilleure performance de la joueuse roumaine à l’US Open est une demi-finale disputée en 2015.

    Football – L’équipe de Roumanie de football rencontrera dimanche, à Bucarest, le Liechtenstein dans les éliminatoires de la Coupe du monde de football 2022. Jeudi, les tricolores ont vaincu l’Islande et ont remporté 6 points, ce qui les place en quatrième position dans le groupe J. Le prochain match des footballeurs roumains aura lieu le 8 septembre, à Skopje, contre la Macédoine du Nord.

    Météo – Le temps reste frisquet dans l’est et le nord-est de la Roumanie. Dans le reste du pays, les températures approchent les normales de saison et iront, dans les prochaines 24 heures, de 18° à 25°C. Quelques pluies passagères sont attendues en montagne et le vent connaîtra des intensifications dans le sud et le sud-est du territoire.

  • 04.09.2021

    04.09.2021

    Politique – Politique – Le président Klaus Iohannis a déclaré samedi que l’entente entre USR-PLUS, membre de la coalition gouvernementale, et le parti ultranationaliste l’Alliance pour l’unité des Roumains, était un affront infligé aux Roumains. Le président a demandé à l’Union sauvez la Roumanie-PLUS de mettre fin aux gestes politiques qu’il a qualifié d’irresponsables, de respecter ses électeurs et de reprendre le dialogue, afin de trouver une solution viable et rationnelle avec les partenaires de coalition et de débloquer la situation actuelle. Le chef de l’Etat estime qu’en s’associant avec un parti qui ne respecte pas les valeurs occidentales, USR-PLUS trahit la volonté des citoyens ayant mis leurs espoirs dans une coalition de centre droit œuvrant pour le développement de la Roumanie. La destruction de la coalition et le fait de compromettre de manière irrémédiable toutes les réformes assumées par le gouvernement actuel risquent de placer la Roumanie dans une profonde crise économique et sociale, a avertit le président. Les parlementaires de l’Union sauvez la Roumanie-PLUS et de l’Alliance pour l’unité des Roumains ont déposé vendredi une motion de censure contre le cabinet dirigé par le libéral Florin Cîţu, après le refus de ce dernier de démissionner et de celui du Parti national libéral de retirer le soutien politique au premier ministre. USR-PLUS avait réclamé le départ de Cîţu après que celui-ci avait révoqué de façon inopiné Stelian Ion, ministre de la Justice et membre de l’USR-PLUS, pour avoir bloqué la mise en œuvre d’un vaste plan d’investissements dans l’infrastructure locale. Le premier ministre a déclaré que l’actuelle formule politique était la seule solution pour diriger le pays, opinion partagée par l’Union démocrate magyare de Roumanie, le troisième membre de la coalition.

    Coronavirus – Samedi, les autorités roumaines
    ont rapporté 1568 contaminations au nouveau coronavirus et 28 décès des suites
    de l’infection dans les dernières 24 heures. 358 malades de Covid-19 sont
    hospitalisés en soins intensifs. 5,1 millions de Roumains sont à présent
    entièrement vaccinés, soit un peu moins d’un tiers de la population éligible.

    Diplomatie – La cellule de crise interinstitutionnelle dirigée par le ministère roumain des Affaires étrangères a réussit à obtenir aujourd’hui l’évacuation de 45 citoyens afghans, des magistrats et leurs famille, a annoncé le ministre Bogdan Aurescu au Forum de sécurité en mer Noire et dans les Balkans, qui est en plein déroulement à Bucarest. Le chef de la diplomatie roumaine a précisé que les jours précédents 11 ressortissants afghans – des juges, des médecins et des journalistes – avaient été évacués de Kaboul avec le soutien de l’Etat roumain. En tout, les autorités roumaines ont contribué à l’évacuation de 61 citoyens afghans, auxquels s’ajoutent 49 ressortissants roumains et 7 ressortissants des pays partenaires. Par ailleurs, le président Klaus Iohannis s’est entretenu hier avec le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg par rapport à l’Afghanistan. « La Roumanie reste inquiète quant à la situation critique en Afghanistan et elle se tient prête à contribuer aux efforts de l’OTAN pour aborder cette crise. L’unité des alliés est essentielle – l’Afghanistan ne doit pas devenir à nouveau un lieu de refuge pour les terroristes » – a écrit le président roumain sur Twitter. A son tour, le secrétaire général de l’Alliance a parlé sur le même réseau social de ses discussions avec le président roumain et avec les premiers ministres des Pays-Bas et de l’Espagne par rapport à la situation en Afghanistan. « Les alliés de l’OTAN continueront à évacuer les gens en toute sécurité et nous restons décidés et unis contre le terrorisme international » a écrit Stoltenberg.

    Tennis – Simona Halep s’est qualifiée pour les huitièmes de finale de l’US Open de tennis, après une victoire en trois sets contre la Kazakhe Elena Rîbakina. Demain, Halep, actuellement numéro 12 au classement WTA, rencontrera l’Ukrainienne Elina Svitolina, numéro 5 mondiale. Les deux sportives ont disputé jusqu’à présent dix rencontres directes, dont chacune en a remporté cinq. La meilleure performance de la joueuse roumaine à l’US Open est une demi-finale disputée en 2015.

    Météo – Les températures, plutôt basses ce matin, repartent à la hausse en Roumanie. Dans la deuxième partie de la journée elles approcheront les normales de saison et iront de 19° à 28°C. Des pluies de courte durée sont attendues en montagne et dans le nord-est du pays, où le vent connaît aussi quelques intensifications. Ciel bleu et 23°C à midi à Bucarest.

  • Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Rumänisches Parlament nimmt Sitzungen wieder auf

    Laut Angaben der Spitzenpolitiker der Regierungskoalition (PNL-USRPLUS-UDMR) ist die Oberste Priorität auf der Agenda der Legislative die Verabschiedung eines Gesetzes zum Schutz der sogenannten vulnerablen Verbraucher. Im Senat wurde der Gesetzentwurf bereits verabschiedet, nun soll die Abgeordnetenkammer darüber beraten. Mit dem neuen Gesetz soll Familien mit geringen Einkommen geholfen werden, die seit der vollständigen Liberalisierung des Energiemarktes am 1. Juli erhöhten Strom- und Gasrechnungen zu bezahlen, da man im Winter eine regelrechte Preisexplosion erwartet. Die in der Opposition befindlichen Sozialdemokraten (PSD) fordern eine beschleunigte Verabschiedung, zudem sollte das Gesetz schon in diesem Winter wirken, und nicht erst ab nächstes Jahr, wie die Regierung plant. Die PSD möchte zudem eine Preisdeckelung, falls die Energiepreise aus dem Ruder laufen.



    Im Senat, der Oberkammer des rumänischen Parlaments, sollen indessen die Diskussionen über die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft für Ermittlungen gegen Richter und Staatsanwälte (SIIJ) fortgeführt werden. Experten aus dem In- und Ausland sind einhellig der Meinung, dass diese von der ehemaligen PSD-Regierung auf den Weg gebrachte Behörde völlig überflüssig und nur dafür geschaffen worden sei, um ermittelnde Staatsanwälte einzuschüchtern und damit die Bekämpfung der Korruption zu unterbinden. Die Spitzenpolitiker der derzeitigen Regierungskoalition sind sich zwar auch einig, dass die Sonderstaatsanwaltschaft abgeschafft werden muss, es herrscht aber kein politischer Konsens, wie man dabei vorgehen soll.



    Die PSD möchte im Senat auch die Verabschiedung eines Gesetzes durchboxen, mit dem Politikern, gegen die strafrechtliche Verurteilungen vorliegen, der Zugang zu öffentlichen Ämtern verwehrt werden soll. Nachdem die PSD sich der korrupten Führungsriege um den kürzlich aus dem Gefängnis entlassenen Liviu Dragnea einigerma‎ßen entledigt hat, pocht sie damit nun auf ein Thema, das jahrelang im Diskurs des bürgerlichen Politikspektrums Vorrang hatte. Die Sozialdemokraten möchten ferner auch einen Misstrauensantrag gegen die Regierung des Liberalen Florin Cîţu auf den Weg bringen.



    Die PSD befindet sich laut jüngsten Umfragen in einer komfortablen Position. Nervosität und Frustration sind allgegenwärtig in der rumänischen Gesellschaft, und zwei Drittel der Bürger erachten, dass Rumänien sich in die falsche Richtung bewegt. Sollten nächsten Sonntag Wahlen stattfinden, so würden 35% der Befragten für die PSD und nur 21% für die PNL stimmen. Auf den dritten Platz in der Wahlgunst der Rumänen landet mit 15% laut Umfragen die nationalistisch-konservative Allianz für die Einheit der Rumänen (AUR). Der Juniorpartner der Koalition (USRPLUS) bewegt sich im 5%-Bereich, ebenso der Ungarnverband (UDMR), was in etwa dem Anteil der wahlberechtigten Bürger ungarischer Nationalität entspricht.



    Auch innerhalb der Regierungskoalition herrscht alles andere als Friede, Freude, Eierkuchen“. Mit den endlosen Querelen um die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft und der bislang missglückten Initiative der USR, die Bürgermeisterwahlen wieder in zwei Wahlgängen stattfinden zu lassen, haben die bürgerlichen Parteien einen Teil ihrer Stammwählerschaft verprellt. In diesem Herbst werden Liberale (PNL) und USR-PLUS ihren jeweiligen Parteitag veranstalten, bei dem eine neue Führungsspitze gewählt werden soll. Bis dahin bleibt alles in Wahlkampfmodus, was mitunter zu seltsamen Situationen und manchmal auch zu Schlägen unter der Gürtellinie führt, über die sich wiederum die Boulevardpresse freut.

  • Destitution du ministre roumain des finances

    Destitution du ministre roumain des finances

    Le libéral Alexandru Nazare s’est vu
    révoquer jeudi de ses fonctions de ministre des finances, à la demande de son
    collègue de parti et premier ministre Florin Cîţu. C’est la deuxième
    destitution d’un membre de l’actuelle équipe gouvernementale de la coalition
    PNL – USR-PLUS – UDMR, après celle dont a fait l’objet, à la mi-avril, l’ancien
    titulaire du portefeuille de la santé, Vlad Voiculescu. À l’époque, l’évincement
    de Voiculescu, demandé par la quasi-totalité du monde politique roumain, a eu
    lieu dans un contexte marqué par plusieurs incidents graves, produits dans des
    établissements hospitaliers de Roumanie, ainsi que par une communication
    défaillante, les problèmes ayant pesé davantage que les bonnes intentions de l’ancien
    ministre.




    Par contre, le départ d’Alexandru
    Nazare est d’une certaine manière intempestive et alimente les spéculations
    autour de la bataille pour la direction du Parti national libéral, qui oppose
    le premier ministre Cîţu et le patron actuel des libéraux et président de la
    Chambre des députés, Ludovic Orban. Le chef du gouvernement, Florin Cîţu, a
    expliqué sa décision par les résultats d’une analyse de l’activité du ministère
    des finances, qui a mis en évidence des retards accumulés dans la mise en œuvre
    de projets importants, liés à l’utilisation de fonds européens et à la lutte
    contre l’évasion fiscale. « Monsieur
    le ministre Nazare a eu la possibilité de présenter sa démission, mais il a
    préféré la révocation. Tous les leaders de la coalition en ont été informés dès
    mardi après-midi. »
    , a expliqué le premier ministre Florin Cîţu.




    Alexandru Nazare a une autre version
    des faits. Dans un message sur les réseaux sociaux, l’ex ministre des finances
    affirme qu’il a été destitué parce qu’il n’avait pas rejoint l’équipe qui
    soutient la candidature du premier ministre aux fonctions de président du PNL. La
    révocation n’est pas soutenue par des motifs objectifs, l’a défendu Ludovic
    Orban. Celui-ci a attiré l’attention sur le fait que la désignation d’un
    nouveau titulaire aux finances devrait avoir l’aval de la direction du PNL et
    de la coalition au pouvoir. « Il n’y
    a aucun motif réel qui soutienne ce remaniement. Normalement, un tel sujet
    aurait dû être discuté au sein du PNL et de la coalition. »
    , a affirmé
    le président sortant des libéraux, Ludovic Orban.




    L’opposition social-démocrate n’a
    pas raté le moment de lancer de
    nouvelles accusations contre le pouvoir. Le PSD considère que les changements
    opérés dans la composition du gouvernement ont pour seul but de donner satisfaction
    aux orgueils politiques de ceux qui sont au pouvoir. « Malheureusement, l’actuel premier ministre met le feu au pays,
    les prix augmentent, la population s’appauvrit. Au lieu de gouverner, il ne s’intéresse
    qu’à la campagne interne. »
    , a déclaré le porte-parole du PSD, Radu
    Oprea.




    La dispute au sein du PNL montre le
    manque total d’intérêt, de ceux qui gouvernent, pour les problèmes réels des
    citoyens, accuse le PSD. C’est-à-dire le parti qui, il y a quatre ans,
    déclenchait une crise politique, en faisant tomber son propre gouvernement par
    motion de censure. La raison de cette démarche – le premier ministre de l’époque
    montrait des signes inquiétants d’insubordination envers l’ancien leader
    suprême du parti, Liviu Dragnea, à présent incarcéré pour corruption. D’un point
    de vue constitutionnel, demander la révocation d’un membre du cabinet est une
    attribution incontestable du premier ministre. (Trad. Ileana Ţăroi)

  • Venedig-Kommission: grünes Licht zur Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft für Justizbeamte

    Venedig-Kommission: grünes Licht zur Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft für Justizbeamte

    Für deren Kritiker stellt diese Sonderstaatsanwaltschaft (SIIJ) eine Einmischung in die unabhängige Gerichtsbarkeit dar, sie gehöre daher abgeschafft. Befürworter der speziellen Gerichtsbarkeit hingegen erachten sie als ein Garant der Unabhängigkeit der Justiz und als notwendiges Instrument zum Schutz gegen Missbrauch und Korruption im Justizwesen.



    Nun hat die Venedig-Kommission, die die EU-Staaten in Sachen Rechtsstaatlichkeit berät, die Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft ausdrücklich empfohlen. Es sei an der Zeit, die Superimmunität“ der Richter und Staatsanwälte abzuschaffen, und der Oberste Rat der Richter und Staatsanwälte (CSM), die hiesige Regulierungsbehörde der hohen Justizbeamten, dürfe nicht zu einem Hemmnis in der strafrechtlichen Verfolgung von Richtern und Staatsanwälten werden. Der rumänische Justizminister Stelian Ion teilt diese Auffassung — die sogenannten Garantien“, derer sich Richter und Staatsanwälte erfreuen würden, seien eine Art Immunität“, die Zweifel“ an der Unabhängigkeit der Justiz aufkommen lie‎ßen. In seiner Auffassung gebe es keine haltbaren Argumente mehr gegen die Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft — eine entsprechende Entscheidung könnte kommende Woche im Senat, der Oberkammer des rumänischen Parlaments, getroffen werden. Zuvor hatte die Abgeordnetenkammer entschieden, dass künftig nur noch der Oberste Rat der Richter und Staatsanwälte (CSM) grünes Licht für strafrechtliche Ermittlungen gegen hohe Justizbeamte geben soll. In Frage kämen dabei sowohl gewöhnliche Delikte als auch Korruptionsvorwürfe, sagt der Justizminister:



    Wenn eine unabhängige Institution des Europäischen Rates wie die Venedig-Kommission mit ihren Experten in Verfassungsrecht uns diese Entscheidung nahelegt, sehe ich überhaupt kein Hindernis mehr, das der Abschaffung der Sonderstaatsanwaltschaft im Weg stünde, ungeachtet des innenpolitischen Tumults, der Debatten und Streitigkeiten um dieses Thema. Ich danke daher auch den Vertretern und Berichterstattern der Venedig-Kommission für die Zügigkeit, mit der sie sich dieses Themas angenommen haben“, sagt Justizminister Stelian Ion.



    Iulia Scântei, Senatorin der regierenden Nationalliberalen Partei (PNL) und Vorsitzende des parlamentarischen Justizausschusses, stimmt dem Minister zu — die Empfehlung der Venedig-Kommission habe gezeigt, dass der Vorsto‎ß der Liberalen zur Aufhebung der Superimmunität“ für Richter und Staatsanwälte korrekt gewesen sei. Durch die Auflösung der Sonderstaatsanwaltschaft würde ein beschämendes Kapitel in der rumänischen Justiz abgeschlossen sein, denn in den letzten Jahren sei die Unabhängigkeit der Richter und Staatsanwälte ständig unter Beschuss gestanden.



    Auch das Bündnis USR-PLUS, der Juniorpartner der Liberalen, findet den Schritt richtig. Die Empfehlung der Venedig-Kommission sei keine Überraschung, schlie‎ßlich haben alle europäischen Institutionen die Gründung einer Sonderstaatsanwaltschaft für strafrechtliche Ermittlungen gegen Justizbeamte einhellig kritisiert. Gegen Korruption zu ermitteln — auch im Falle von Richtern und Staatsanwälten –, liege ausschlie‎ßlich im Kompetenzbereich der Antikorruptionsstaatsanwaltschaft (DNA) und bedürfe keiner speziellen Gerichtsbarkeit.



    Die in der Opposition befindlichen Sozialdemokraten (PSD) sind nach wie vor gegen jegliche Änderungen im Justizwesen, so lange es keinen Konsens unter Richtern und Staatsanwälten gebe, wie sie gegen Druck und Missbrauch geschützt werden könnten. Mehrere Berufsverbände der Richter und Staatsanwälte seien der Meinung, dass der Vorsitzende des Selbstregulierungsgremiums der hohen Justizbeamten (CSM) infolge der Empfehlung der Venedig-Kommission zurücktreten sollte, argumentiert die PSD. Die derzeitige Regelung, laut welcher der CSM der Aufnahme von strafrechtlichen Ermittlungen gegen Richter und Staatsanwälte zustimmen muss, sei eine verfassungswidrige Hürde im Kampf gegen die Korruption und würde das öffentliche Vertrauen in die Justiz schmälern, so die Meinung mehrerer Berufsverbände im Justizwesen, auf die sich die Sozialdemokraten berufen.

  • Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Erster Misstrauensantrag gegen Kabinett Cîțu im Parlament verlesen

    Die Sozial-Demokraten werfen der Regierung vor, Ma‎ßnahmen umzusetzen, die zur Verarmung der Bevölkerung und zum freien Fall der Wirtschaft geführt hätten. Sie beziehen sich auf das Einfrieren von Renten, Gehältern und Kindergeld und kritisieren die Art und Weise, wie die Exekutive den Nationalen Aufbau- und Resilienzplan entworfen hat, nach dem, wie sie sagen, die Bevölkerung mehr zahlen soll, um von europäischen Fonds zu profitieren. Es gebe auch so gut wie keine Ma‎ßnahmen für den Wirtschafts-, Gesundheits- und Bildungssektor, wirft die sozial-demokratische Partei dem Kabinett Cîțu vor. Senator Lucian Romaşcanu: Die PNL-USR-UDMR-Regierung führt die rumänische Wirtschaft mit einer erstaunlichen Geschwindigkeit in den Abgrund. Rumänien lebt von einem Tag auf den anderen von massiven Krediten, die zu astronomischen Zinssätzen aufgenommen wurden. Die Preise sind gestiegen, die Rechnungen haben sich verdoppelt, Grundnahrungsmittel sind zum Luxus geworden, lebenswichtige Medikamente sind entweder nicht verfügbar oder sehr teuer. Der Euro-Leu-Kurs hat 5 Lei erreicht, der Liter Benzin hat 6 Lei überschritten. Es passieren einfach fantastische Sachen!”



    Die Sozial-Demokraten behaupten hingegen, dass viele Interessengruppen zum Text des Antrags beigetragen hätten, darunter Gewerkschaften, Klein-und mittlere Unternehmen und Arbeitgeberverbände. Das Dokument wurde am Mittwoch in der Plenarsitzung des Parlaments verlesen und die Debatte und die Abstimmung sind für die nächste Woche geplant, wenn die beiden Kammern wieder zusammenkommen. Die Sozial-Demokraten sind der Meinung, dass der Antrag Chancen auf Erfolg habe und sagen, dass sie derzeit mit Abgeordneten anderer Parteien verhandeln, um den Antrag zu unterstützen. Auf die Äu‎ßerungen des Parteivches der Sozial-Demokraten Marcel Ciolacu, laut dem derzeit Verhandlungen u.a. mit mehreren Parlamentariern der Regierungskoalition laufen, antwortet der Co-Vorsitzende der Allianz USR-PLUS Dan Barna, dass kein Senator oder Abgeordneter seiner Partei den Antrag unterstützen wird.



    Dan Barna: Ich bezweifle, dass Marcel Ciolacu die Hoffnung hat, dass irgendein USR-PLUS-Parlamentarier diesen Antrag unterstützen würde, au‎ßer als Scherz. Das ist die Rolle der PSD, in der Opposition zu bleiben, immer bereit, und ich stimme mit dieser Linie überein.” Die national-liberale Partei hat ihre Abgeordneten mobilisiert, bei der Abstimmung anwesend zu sein, aber sie werden ihr Stimmrecht nicht ausüben und der liberale Ministerpräsident Florin Cîţu sagt, er sei überhaupt nicht besorgt, weil der Antrag keine Chance habe, angenommen zu werden.



  • 17.06.2020

    17.06.2020

    Visite – Le président roumain Klaus Iohannis continue sa visite d’Etat en Estonie. Aujourd’hui, des pourparlers sont prévus avec le premier ministre Kaja Kallas et avec le président du parlement estonien, Jüri Ratas. Le chef de l’Etat roumain va également déposer une couronne de fleurs au Mémorial à la Guerre d’indépendance et va visiter l’hôtel de ville de Tallinn, le Centre d’information e-Estonia et le siège du start-up Unicorn Squad, qui offre des formations en robotique. Hier, Klaus Iohannis a rencontré son homologue Kersti Kaljulaid et a annoncé qu’il avait invité l’Estonie à prendre part au Centre euro-atlantique pour la résilience de Bucarest. « La Roumanie et l’Estonie partagent des visions et des intérêts communs au niveau de l’Union européenne, ce qui facilite la coopération étroite entre nos deux pays sur les priorités actuelles et futures de l’Union » – a déclaré le président Iohannis. Les discussions, a-t-il ajouté, ont visé à renforcer la coopération bilatérale dans le domaine numérique, de la cyber sécurité et de l’intelligence artificielle, étant donnée l’expérience de l’Estonie en la matière et le fait que la Roumanie accueille le nouveau cyber centre de l’Union européenne.

    Coronavirus – Le président de la campagne nationale de vaccination Valeriu Gheorghiţă a annoncé jeudi que près de 25% des Roumains étaient déjà vaccinés contra la Covid-19. Ce pourcentage s’applique à la population éligible au vaccin, c’est-à-dire les personnes âgées de plus de 12 ans et celles n’ayant pas de contre-indication à recevoir le vaccin. Les taux de couverture les plus importants sont rapportés par Bucarest, avec près de 45% de sa population éligible vaccinée, et Cluj – avec plus de 41%. Andrei Baciu, secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Santé, déclarait que la vaccination était la solution à portée de main jusqu’à la possible apparition d’un traitement efficace contre la maladie. Les autorités ont fait état de 87 nouveaux cas de contamination au Sars-Cov-2 ces dernières 24 heures. 87 décès ont également été rapportés, mais 82 datent de l’année dernière et de la première moitié de cette année et n’avaient pas été rapportés.

    Justice – Un nouvel Avocat du peuple
    sera nommé par le Parlement de Bucarest mercredi prochain, selon le calendrier
    établi jeudi par la président du Parlement, a annoncé le président de la
    Chambre des Députés et leader du Parti national libéral, Ludovic Orban. Il a
    précisé que les groupes parlementaires pourront proposer leurs candidats jusqu’au
    mardi 22 juin et le vote des deux chambres réunies aura lieu le mercredi 23 juin.
    Le Parti social-démocrate, en opposition, a annoncé jeudi qu’il allait contester
    auprès de la Cour constitutionnelle de la Roumanie la révocation de Renate
    Weber de ses fonctions d’Avocat du peuple, décidé mercredi par la majorité de
    centre droit constituée par le Parti national libéral, l’Union sauvez la
    Roumanie-PLUS et l’Union démocrate magyare de Roumanie.

    Colectiv – La Cour d’appel Bucarest a fixé au 22 septembre le nouveau terme pour le dossier « Colectiv », du nom du club de Bucarest où, fin 2015, un incendie a coûté la vie à 64 personnes. En début de semaine, le dossier avait été partagé en deux dossiers distincts, d’un côté les patrons du club et les pyrotechniciens qui avaient installé le feu d’artifices qui a déclenché l’incendie et de l’autre l’ancien maire, des responsables municipaux et des sapeurs-pompiers. Les juges sont revenus sur leur décision et ont finalement décidé de juger l’affaire comme une seule et unique affaire. A l’automne prochain, trois juges vont décider s’ils changent l’accusation d’abus de pouvoir en négligence pour une partie des accusés, y compris l’ancien-maire du Secteur 4 de Bucarest. Les inculpés avaient fait appel à la sentence de décembre 2019, où tous avaient été condamnés par le Tribunal de Bucarest à des peines comprises entre 8 et 12 ans de prison ferme et à verser plus de 50 millions d’euros de dommages et intérêt aux victimes de l’incendie.

    Economie – Le gouvernement roumain a approuvé
    un mémorandum qui permettrait à la Roumanie de revaloriser sa participation au
    combinat de Krivoï Rog en Ukraine, un projet datant des années ’80 entre
    plusieurs pays socialistes de l’Europe de l’Est. La Roumanie avait payé à l’époque
    plus d’un milliard de dollars pour la construction du complexe sidérurgique et
    aurait dû recevoir de la matière première pour produire de l’acier. Mais le
    projet n’a jamais abouti, à cause de la dissolution de l’Union soviétique et de
    la Tchécoslovaquie. La gestion de l’usine a été reprise par l’Ukraine, en tant
    qu’Etat indépendant, et les seuls autres pays impliqués dans le projet à
    présent sont la Roumanie et la Slovaquie. Le site est à présent une ruine,
    selon le ministre roumain de l’Economie Claudiu Năsui, pour laquelle la Roumanie paye chaque
    année près d’un million d’euros pour la conservation et le gardiennage. De
    nombreuses tentatives de résoudre cette situation ont existé ces 30 dernières
    années, y compris des offres de reprise, mais pour le moment aucune solution n’a
    été trouvé pour permettre à la Roumanie de récupérer son investissement.

    Migrants – La Police roumaine aux frontières a arrêté 16 migrants originaires d’Irak, de Somalie, de Turquie et de Syrie qui essayaient de traverser illégalement la frontière avec la Hongrie, à l’ouest de la Roumanie, cachés à l’intérieur d’un camion chargé de meubles. Le poids lourd, conduit par un chauffeur turc, avait pour destination finale la France. Les 16 personnes arrêtées, âgées de 15 à 31 ans, étaient toutes demandeurs d’asile en Roumanie.

    Foot – Bucarest accueille tout à l’heure la rencontre entre l’Ukraine et la Macédoine du Nord, comptant pour le groupe C de l’Euro de foot 2020. Aujourd’hui encore, les Pays-Bas affrontent l’Autriche, toujours dans le groupe C, et le Danemark rencontre la Belgique, dans le groupe B. L’Italie est la première équipe qualifiée pour les huitièmes de finale de la compétition, après avoir vaincu la Suisse hier, 3 buts à 0, à Rome, dans un match du groupe A.

    Météo – Temps plutôt mauvais en Roumanie, avec des averses, des orages et localement de la grêle dans le sud, l’est et le centre du pays, et des pluies de courte durée ailleurs sur le territoire. Les températures maximales vont de 21 à 31°C dans la journée, avec 25° et de belles éclaircies à midi à Bucarest.

  • La destitution de l’avocat du peuple

    La destitution de l’avocat du peuple

    Mercredi, le Parlement de Bucarest a destitué Mme Renate Weber de ses fonctions de défenseur des droits de Roumanie, avec 247 voix « pour » et seulement 32 « contre ». Les partis de la coalition gouvernementale affirment qu’en tant qu’Avocat du peuple, Renate Weber a dépassé ses compétences et transgressé même la Loi Fondamentale. L’actuelle majorité constituée par le PNL, l’USR Plus et l’UDMR reproche à l’Avocat du peuple de n’avoir entrepris aucune action indépendante censée atteindre l’objectif du Mécanisme de coopération et de vérification et ne pas avoir déroulé d’enquêtes au sujet d’actions illégales supposées de l’administration ou de faits de corruption des fonctionnaires.

    La présidente de la Commission juridique du Senat, la libérale Iulia Scântei explique pourquoi les commissions juridiques du Législatif avaient également rejeté les rapports d’activité de l’institution : « L’Avocat du peuple n’a pas agi de manière constante dans les rapports avec le Parlement et les autres autorités afin de faire respecter le principe de la coopération loyale. En 2020 non plus, l’institution n’a pas accompli son rôle ni ses obligations légales pour ce qui est de la défense, de la protection et de la promotion des droits de l’enfance, fortement touchés par les restrictions adoptées durant la pandémie. »

    Le député de l’USR, Andrei Lupu a accusé Renate Weber d’avoir servi les intérêts de ceux qui l’avaient nommée à la tête de cette institution : « Je suis absolument convaincu que vous soyez une personne compétente. Par contre, dernièrement, vous avez montré un problème majeur. Vous avez exercé vos fonctions d’une manière individualiste, dans votre propre intérêt et dans l’intérêt de ceux qui vous ont nommée aux fonctions que vous avez temporairement occupées. »

    Du côté de l’opposition, le PSD a refusé de participer au vote du Parlement et annoncé qu’il contesterait en le résultat à la Cour Constitutionnelle. « Il n’y a aucun élément censé justifier la révocation de l’Avocat du peuple », affirment les sociaux-démocrates, qui accusent les libéraux de vouloir y installer une personne susceptible de ne plus contester les décrets gouvernementaux. Ecoutons le sénateur du PSD Titus Corlatean : « L’Avocat du peuple garantit les droits et les libertés fondamentales des citoyens et non pas ceux du gouvernement, du Pouvoir. Il s’agit clairement d’un moyen rudimentaire par le biais duquel l’actuel gouvernement de droite comprend la démocratie et agit pour subordonner une institution fondamentale et indépendante dans le cadre de toute démocratie de type occidental. »

    Enfin, le leader des sénateurs de l’AUR, Claudiu Târziu, a déclaré que la révocation de l’Avocat du Peuple ne constituait qu’une « exécution publique ». A la fin des débats au Législatif, Renate Weber avoue n’avoir rien à se reprocher durant son mandat d’Avocat du Peuple. Renate Weber : « Je crois avoir agi avec dignité dans le cadre de ces fonctions. Il est vrai que pour moi les droits et les libertés constituent des valeurs sacrosaintes ».

    La coalition gouvernementale n’a pas nommé de personne censée assumer la direction de l’institution, mais a promis d’investir un nouveau Avocat du peuple avant la fin de l’actuelle session du Législatif.

  • Rückblick 31.05.–4.06.2021

    Rückblick 31.05.–4.06.2021

    Covid-19 weiter auf dem Rückzug



    Vor dem Hintergrund des stetigen Rückgangs der Zahl der Sars-CoV-2-Infektionen ist Rumänien ab dem 1. Juni in eine neue Phase der Lockerung der Anti-Pandemie-Restriktionen eingetreten. Private Partys können organisiert werden, Sportwettkämpfe können mit Zuschauern in geschlossenen Räumen abgehalten werden, Clubs und Diskotheken, Spielplätze und Hallenbäder sind wieder geöffnet. Die Anzahl der Teilnehmer ist begrenzt, kann aber höher sein, wenn alle geimpft sind. Auch kulturelle Aktivitäten können in offenen Räumen mit bis zu tausend Personen organisiert werden. Bei der Arbeit in geschlossenen Räumen, in denen nicht mehr als 5 Personen arbeiten, kann die Schutzmaske abgenommen werden, vorausgesetzt, sie sind geimpft. Ebenfalls ab Anfang dieses Monats können Kinder über 12 Jahre in Rumänien mit dem Serum von Pfizer gegen Covid geimpft werden, allerdings nur mit vorheriger Zustimmung der Eltern oder des gesetzlichen Vormunds. Die Entscheidung kommt inmitten einer Verlangsamung der Impfungen, die für die Behörden Anlass zur Sorge ist. Die vorgeschlagene Schwelle von 5 Millionen Geimpften bis zum 1. Juni ist nicht erreicht worden.



    Rumäniens Nationaler Plan für Wiederaufbau und Resilienz, in Brüssel angekommen



    Die Mitte-Rechts-Regierung in Bukarest präsentierte am 2. Juni öffentlich den Nationalen Plan für Wiederaufbau und Resilienz (PNRR) – 1.200 Seiten, die an die Europäische Kommission geschickt wurden, mit den Ma‎ßnahmen, auf deren Grundlage Rumänien etwas mehr als 29 Milliarden Euro erhalten würde. Das Geld, in Form von Zuschüssen und Krediten, ist Teil eines umfassenden Plans von etwa 672 Milliarden Euro, der in Brüssel für alle EU-Mitgliedsstaaten entworfen wurde, um die wirtschaftlichen Folgen der Covid-19-Pandemie zu überwinden. Von den 29 Milliarden Euro, die nach Rumänien flie‎ßen würden, wollen die Behörden unter anderem über 400 Kilometer Autobahn, hunderte von Schulen und Kindergärten bauen oder dutzende Krankenhäuser renovieren. Premierminister Florin Cîțu präzisierte, dass die Kredite, die Rumänien über PNRR erhält, nur für Investitionen verwendet werden:



    Wir brauchen Autobahnen, wir brauchen Krankenhäuser, wir brauchen Schulen, und die Kredite, die wir durch PNRR machen, sind zu einem viel, viel niedrigeren Zinssatz – wir reden über 0%, Null und etwas, der Zinssatz, zu dem Deutschland, Spanien, Italien, in der Eurozone Kredite aufnehmen. Für Rumänien ist es also ein Plus, dass wir uns zu diesen Zinsen verschulden können und wir werden in der Lage sein zu investieren.“



    Durch PNRR verpflichtet sich die Exekutive auch zu einer Reihe von Reformen, einschlie‎ßlich der Renten. Die PSD, die in der Opposition ist, sagt, dass ein Teil der Gelder, die durch den Plan zugewiesen werden, an die politische Klientel der Regierungsparteien gehen wird, während die normalen Rumänen auf Sparma‎ßnahmen, das Einfrieren der Einkommen und die Erhöhung des Rentenalters warten. Einen Tag nach der Präsentation des Nationalen Plans für Erholung und Widerstandsfähigkeit kündigte Premierminister Cîțu an, dass das Kindergeld in diesem Jahr nicht erhöht wird, wie es das Gesetz vorschreibt, und dass ein neues Rentengesetz im ersten Quartal 2023 in Kraft treten wird, mit einer möglichen schrittweisen Anhebung des Rentenalters für Frauen. Die Sozialdemokratische Partei hat erklärt, dass sie beim Verfassungsgericht Einspruch gegen das Gesetzesvorhaben einlegen wird, wonach das Kindergeld ab dem 1. Juli nicht erhöht werden soll. Die Sozialdemokraten wollen au‎ßerdem einen Misstrauensantrag gegen das derzeitige Kabinett einbringen.



    Der Schengen-Raum ist in greifbarer Nähe



    Die Europäische Kommission unterstützt den schnellen Beitritt Rumäniens, Bulgariens und Kroatiens zum Schengen-Raum, teilte Innenkommissarin Ylva Johansson am Mittwoch mit. Nach Ansicht der Kommission erfüllen die drei Länder die Bedingungen für den Zugang zur Freizügigkeit ohne Grenzkontrollen, so dass eine diesbezügliche Entscheidung bald vom Rat getroffen werden könnte. Derzeit sind 22 Mitgliedstaaten der Union Teil von Schengen, hinzu kommen Island, Liechtenstein, Norwegen und die Schweiz.



    Europäische Staatsanwaltschaft nimmt ihre Tätigkeit auf



    Die Europäische Staatsanwaltschaft, geleitet von der ehemaligen Leiterin der Antikorruptionsbehörde in Rumänien, Laura Codruţa Kovesi, hat diese Woche ihre Tätigkeit aufgenommen. Die Institution soll gegen die betrügerische Verwendung von Gemeinschaftsgeldern kämpfen, indem sie Straftäter zu Lasten des Unionshaushalts ermittelt und verfolgt. Die Taufe wird nicht einfach sein: Die neue Struktur wird die Ausgaben von Milliarden von Euro im Rahmen des Wiederaufbauplans nach der Pandemie überwachen. Die Europäische Staatsanwaltschaft hat ihren Sitz in Luxemburg. Von den 27 Ländern der Union beteiligen sich 5 nicht an der Initiative – Ungarn, Polen, Irland, Schweden und Dänemark.



    Nationalliberalen Partei, am Scheideweg



    Ministerpräsident Florin Cîţu hat seine Kandidatur für die Führung der Nationalliberalen Partei (PNL), der wichtigsten in der Regierungskoalition, angekündigt und ist damit der zweite, der nach dem derzeitigen Parteivorsitzenden Ludovic Orban ins Rennen um die internen Wahlen geht, die ab dem 25. September im Kongress stattfinden werden. Florin Cîţu sagt, dass die PNL einen neuen Atem braucht und dass er die Partei für mindestens acht Jahre an der Macht halten will. In der Tat unterstützen prominente Liberale seine Kandidatur. Ludovic Orban begrü‎ßte die Entscheidung des Premierministers, für die Führung der PNL zu kandidieren, und merkte an, dass dieser Wettbewerb keinen Einfluss auf die Tätigkeit der Partei und die Regierung haben wird:



    Ich kandidiere für eine neue Amtszeit aus einem tiefen Gefühl der Verantwortung gegenüber der Nationalliberalen Partei und unserem gemeinsamen Schicksal.“



    Ludovic Orban versicherte auch, dass es zwischen ihm und Florin Cîţu keine Risse“ geben wird, die durch den internen Kampf verursacht werden, angesichts der Ziele, die es zu erreichen gilt – das Regierungsprogramm, die Anti-Covid-Impfkampagne und der Nationale Plan für Erholung und Resilienz.

  • La semaine du 31.05 au 05.06.2021

    La semaine du 31.05 au 05.06.2021

    Le recul de la Covid-19 se poursuit en Roumanie

    Sur la toile de fond de la baisse constante du nombre de contaminations au SARS-CoV-2 depuis le 1er juin, la Roumanie est entrée dans une nouvelle étape de relâchement des restrictions anti-pandémie. Les fêtes privées sont désormais autorisées, tout comme les compétitions sportives qui peuvent avoir lieu en présence de spectateurs dans des espaces clos. Les clubs et discothèques, les aires de jeux et les piscines intérieures ont également rouvert. Le nombre des participants est limité, mais il peut croître si tous les participants sont vaccinés. Qui plus est, des activités culturelles peuvent être organisées à l’intérieur pour réunir jusqu’à mille participants. Le port du masque n’est plus obligatoire sur le lieu de travail dans des espaces clos, là où travaillent un maximum de 5 personnes, à condition que toutes soient vaccinées. Et c’est également depuis le début de ce mois que les enfants de plus de 12 ans de Roumanie peuvent se faire immuniser contre la Covid-19 avec le vaccin Pfizer, mais uniquement avec l’accord préalable des parents et des tuteurs légaux. Cette décision a été adoptée sur le fond de la baisse du taux d’immunisation à travers le pays, une situation qui préoccupe les autorités. En fait, de moins en moins de Roumains se font vacciner et c’est pourquoi la cible que les autorités de Bucarest avaient proposée, de 5 millions de personnes immunisées avant le 1er juin, n’a pas été atteinte.

    Le Plan national de relance et de résilience de Roumanie a été soumis à Bruxelles

    Le 2 juin dernier, le gouvernement de centre-droit de la Roumanie a rendu public le Plan national de relance et de résilience, soit un document de 1 200 pages envoyé à la Commission européenne, qui comprend une série de mesures grâce auxquelles la Roumanie devrait absorber un peu plus de 29 milliards d’euros. Il s’agit de subventions et de crédits disponibles par le biais d’un ample programme chiffré à 672 milliards d’euros élaboré à Bruxelles et censé aider tous les Etats membres à dépasser les conséquences économiques de la pandémie de Covid-19. L’enveloppe qui pourrait être mise à disposition de la Roumanie est de 29 milliards d’euros et sera utilisée selon les autorités de Bucarest pour construire plus de 400 km d’autoroutes, des centaines d’écoles et de crèches et pour rénover des dizaines d’hôpitaux. Reste à voir dans quelle mesure ces projets dont la Roumanie a besoin respecteront les directives de l’UE qui vise à utiliser le Plan de relance et de résilience pour financer des projets visant le numérique et l’environnement.

    De son côté, le premier ministre Florin Cîțu a précisé que les prêts contractés par Bucarest via le PNRR serviraient uniquement à faire des investissements : « De toute façon, il fallait souscrire des crédits pour investir en Roumanie. Nous avons besoin d’autoroutes, d’hôpitaux, d’écoles et les crédits contractés par le PNRR ont un taux d’intérêt beaucoup plus bas, à savoir 0% ou zéro et quelque, c’est-à-dire le même taux d’intérêt dont bénéficient l’Allemagne, l’Espagne ou l’Italie dans la zone euro. Donc, pour la Roumanie, pouvoir emprunter de l’argent à ces taux d’intérêt est un avantage. Cela nous permettra de faire des investissements », a affirmé Florin Cîțu. A noter que le PNRR comporte aussi plusieurs réformes, dont celle des retraites. Le PSD, d’opposition, affirme que les fonds mis à la disposition des autorités de Bucarest par le biais de ce Plan iront directement à la clientèle politique des partis au pouvoir, alors que pour le Roumain lambda, une période d’austérité, de gel des salaires et de majoration de l’âge du départ à la retraite est prévue.

    Et d’ailleurs, le lendemain de la publication du Plan national de relance et de résilience, le premier ministre Cîțu a annoncé que les allocations familiales ne seraient plus majorées cette année, comme le prévoyait la législation, et qu’une nouvelle loi des retraites pourrait entrer en vigueur au premier trimestre de 2023. La majoration graduelle de l’âge du départ à la retraite dans le cas des femmes serait aussi possible. Le PSD promis de contester à la Cour constitutionnelle le projet de loi qui suspend la majoration des allocations familiales à partir du 1er juillet. En plus, les sociaux-démocrates souhaiteraient déposer une motion de censure à l’encontre du Cabinet de Bucarest.

    L’espace Schengen, à l’horizon

    La Commission européenne soutient l’entrée rapide de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie dans l’espace Schengen, a annoncé mercredi le commissaire aux Affaires intérieures, Ylva Johansson. Selon la Commission, les trois Etats respectent les conditions d’accès à l’espace de libre circulation, sans contrôles frontaliers, et c’est pourquoi une décision à ce sujet pourrait être adoptée prochainement par le Conseil. Actuellement, 22 Etats membres de l’Union sont aussi membres de l’espace européen de libre circulation, qui inclut aussi l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse.


    Le Parquet européen a commencé son activité

    Le Parquet européen, sous la direction de l’ancienne cheffe de la Direction nationale anticorruption de Roumanie, Laura Codruţa Kövesi, a commencé son activité cette semaine. L’institution est censée lutter contre les fraudes aux fonds communautaires et se propose d’enquêter et de déférer à la Justice les auteurs d’infractions qui portent atteinte au budget de l’Union. La tâche de l’institution ne sera pas facile du tout : la nouvelle structure veillera à la dépense correcte des milliards d’euros mis à la disposition des Etats membres par le Plan de relance postpandémie. Le siège central du Parquet européen est au Luxembourg. Sur les 27, 5 Etats – Hongrie, Pologne, Irlande, Suède et Danemark – ne participent pas à cette initiative.

    Un tournant pour le Parti national libéral

    Le premier ministre roumain Florin Cîţu a annoncé son intention de se porter candidat au fauteuil de président du Parti national libéral, le principal parti de la coalition gouvernementale. Il est désormais l’adversaire de l’actuel patron libéral, Ludovic Orban, dans le cadre des élections internes prévues au Congrès du 25 septembre. Aux dires de Florin Cîțu, le PNL a besoin d’un nouveau souffle et se propose de maintenir le parti au pouvoir au moins pour les huit prochaines années. Il est d’ailleurs soutenu par plusieurs figures de proue du Parti national libéral. De son côté, Ludovic Orban a salué la décision du premier ministre de devenir son contre candidat à la direction du Parti national libéral, soulignant que cette compétition ne devrait pas influencer l’activité du parti, ni la gouvernance. Ludovic Orban : : « Je me porte candidat pour un nouveau mandat par un profond sentiment de responsabilité envers le Parti national libéral et notre destinée commune ». Ludovic Orban, qui a été premier ministre l’année dernière, a assuré qu’aucune fissure provoquée par la lutte interne n’existerait entre lui-même et Florin Cîţu, vu les objectifs à accomplir – le programme de gouvernance, la campagne de vaccination anti-Covid et le Plan national de relance et de résilience.(Roxana Vasile)

  • Doi candidaţ ti căpia-a PNL

    Doi candidaţ ti căpia-a PNL



    Andămusiţ, dumănică, tru Consiliulu Naționalu, liberalii români apufusiră ta ş-aleagă năulu prezidentu ti Congreslu ditu 25 di yismăciuni. Va s’hibă tu antriţeari atumţea liderlu di tora a partiillei, Ludovic Orban, și premierlu Florin Cîțu. Cara naetea al Orban eara cănuscută, aţea al Cîțu fu dimăndată tăşu tu tahinima-a Consiliului. Dauli eara ama aștiptati, aţelli doi politicieañi u criscură a loru vidzută publică tru kirolu ditu soni. Actualu prezidentu feaţi viziti tru filiali tra s’caftă ndrupămintu și inşi dininti la evenimenti cu primari a partidlui, kiro tu cari premierlu avu tu amprotusa campania pro-vacţinari și criscu işearea dininti tru mass-media. Florin Cîţu spuni că PNL (prota formațiuni a guvernului di ţentru-dreapta di București) ari ananghi di unu adhilleaticu nău a deapoa nica ş-pripuni să-lu tănă partidlu nai ma pţănu optu añi la cumăndusearea-a văsiliillei.



    “România s’alăxeaşti. Europa s’alăxeaşti. Lumea s’alăxeaşti. Easti ananghi şi di ună altă turlie di politicianu”, spusi primlu-ministru di tora. Ludovic Orban (ţi eara premieru anlu ţi tricu) u ghinui apofasea al Cîțu ta să-lli hibă contracandidatu la căpia a PNL, căndăsitu că aestă competiţie nu va s-aducă zñie tu lucărlu a partidlui şi niţi tu guvernari. El deadi asiguripseri că anamisa di el şi Florin Cîţu nu va s-aibă “niţi ună fisură, di itia-a alumtăllei internă, avânda tu videală obiectivili ţi voru băgari tu practico — programlu di guvernari, campania di vacținari anti COVID şi ndridzearea-a Planlui Naționalu di Redresari și Reziliență. Acă ari ună competiţie, cum easti arada, di itia că deadunu lom apofasili importanti, deadunu lomu parti la andamasili di lucru a coaliţiillei, nica spusi Orban – tru aestu kiro hiinda prezidentu la Camera-a Deputațlor.


    Tră duţearea ma largu a lucărlui tru parei vini cu minduita şi premierlu. Cu tuti aesti, după cum iasi tu videală ditu spunerli a presăllei di București, atelli doi lideri numata işiră tu publică deadunu tru kirolu ditu soni, niţi barimu la yiurtusearea 146 di añi di la thimilliusearea-a PNL. Călindarea-a acțiuñilor interni ditu partid pruveadi ti kirolu 1 di cirişaru – 15 di alunaru alidzeareaaa năiloru lideri a organizaţiiloru locali, a deapoa anamisa di 1 di alunaru și 10 di agustu alidzearea a cumănduserloru pi livelu gideţeanu. După bitisearea-a aiştoru cilăstăseri, yini un kiro di 45 di dzăli tu cari candidaţllii la ipotisea di prezidentu lipseaşti s-yină cu ună moţiuni, ţi va u părăstisească dinintea-a filialiloru, cari va s-apufusească ţi candidatu ndrupăscu. Cu tuti aesti, cara ună filială va s’llia ună apofasi ti ndrupari a unlui candidat, aestă nu nsimneadză că tuţ delegaţlli aliştei lipseaşti s’voteadză tru simfunie. Andruparea easti ma multu ună căftari statutară di itia că tra s-agiungă la căpia-a partidlui, un candidatu lipseaşti s’hibă aprukeatu di nai ma pţănu 10 filiali giudeţeani.



    Autoru:Eugen Coroianu


    Armânipsearea: Taşcu Lala




  • Two candidates for the presidency of the National Liberal Party

    Two candidates for the presidency of the National Liberal Party

    Romanian Liberals convened in
    Bucharest on Sunday in a National Council with a view to electing their new
    president during the Congress they are going to stage on September 25th.
    Two candidates are vying for this position, the incumbent leader Ludovic Orban
    and the country’s present Prime Minister Florin Citu. Whether Orban’s intention
    to run for the PNL presidency had been known for quite some time, Citu made
    public his intention during the aforementioned Council.




    However, the two politicians’
    intentions were predictable as they had increased their public appearance of
    late. The incumbent president has paid a series of visits to the party branches
    in an attempt to gather support and had some media appearances in the company
    of several PNL mayors. In turn the Prime Minister has focused on the vaccine
    rollout and his latest efforts have been largely covered by the media.




    According to Prime Minister Citu, the
    PNL, the main political group of the centre-to-right government in Bucharest
    needs a fresh impetus. He has also mentioned his intention to keep the party in
    power for at least 8 years. Romania is changing. Europe is changing. The world
    is changing and there is a need for another kind of politicians, the Prime
    Minister went on to say.




    Ludovic Orban, who was Romania’s
    Prime Minister last year, has hailed Citu’s decision to run for the party’s
    presidency adding that this situation is not going to affect either the party’s
    activity or its ruling abilities. He has given assurances that there is going
    to be no rift between him and his opponent caused by intestine fights as they
    have a series of common objectives such as the ruling programme, the anti-Covid
    vaccine rollout and the National Recovery and Resilience Plan.




    ‘Even if there is competition, which
    is only natural because every four years we stage elections in our party, we
    are making all decisions together and are all attending the party sessions’
    says Ludovic Orban, who is currently the president of the Chamber of Deputies.




    The Prime Minister has also mentioned
    the team work and common goals, but newspapers in Bucharest have pointed out
    the two leaders have not been seen together for quite some time now, not even
    at the 146th anniversary of their political party.




    The party is going to elect its local
    leaders over 1st June and 15th July, while elections for county
    leaders are due between 1st July and 10th August. After
    these first rounds, the two presidential candidates must submit a motion to the
    local branches, which must decide what candidate they are going to support.




    However, if a local branch makes a
    decision to support a certain candidate, it doesn’t mean that all its members must
    endorse that candidate. And in order to win the election a candidate must be
    supported by 10 county branches.


    (bill)

  • Deux candidats pour le fauteuil de président du Parti national libéral.

    Deux candidats pour le fauteuil de président du Parti national libéral.

    Réunis dimanche dans le cadre d’un Conseil national, les libéraux roumains ont décidé d’élire un nouveau président durant le Congrès du 25 septembre. L’actuel leader du parti, Ludovic Orban, affrontera le premier ministre Florin Cîtu. Si l’intention de M Orban de se porter candidat était déjà connue, celle de M Cîtu a été annoncée dimanche matin, à la veille en fait de la réunion des leaders libéraux. Les deux décisions étaient pourtant attendues et prédictibles, vu qu la visibilité des deux politiciens est de plus en plus importante depuis un certain temps. L’actuel président, Ludovic Orban a visité les filiales du parti à la recherche d’appui et s’est affiché à des événements publics aux côtés de plusieurs maires du parti, alors que le chef de l’exécutif a mis son empreinte sur la campagne de vaccination et a multiplié ses apparitions dans les médias.

    Florin Cîtu affirme que le PNL, qui est le principal parti de la coalition gouvernementale à Bucarest a besoin d’un nouveau souffle et qu’il se propose de maintenir le parti au pouvoir pour au moins huit ans. « La Roumanie change. L’Europe change, le monde change. Il faut un nouveau type d’homme politique. » a soutenu l’actuel premier ministre roumain.

    Ludovic Orban, qui a été premier ministre l’année dernière a salué la décision de M Cîtu de devenir son adversaire dans la course à la direction du PNL, déclarant que cette compétition n’allait affecter l’activité ni du parti, ni du gouvernement. Il a assuré qu’aucune fissure provoquée par la lutte interne n’existerait entre lui-même et Florin Cîtu, vu les objectifs à accomplir – le programme de gouvernance, la campagne de vaccination anti-Covid et le Plan national de relance et de résilience. Même s’il existe une compétition, ce qui est tout à fait normal, parce que nous tenons des élections tous les 4 ans, nous prenons toutes les décisions importantes ensemble, nous participons ensemble aux réunions de la coalition, a également dit M Orban, actuellement président de la Chambre des Députés.

    Le premier ministre s’est également déclaré favorable à la continuation du travail en équipe. Et pourtant, comme remarquait la presse de Bucarest, les deux leaders ne se sont plus affichés en public ensemble depuis un certain temps, ni même au cours du 146e anniversaire de la création du Parti. Le calendrier des actions internes dans lme cadre du parti prévoit durant la période 1er juin – 15 juillet d’élire de nouvelles équipes de direction au niveau départemental.

    A la fin de ces démarches, une période de 45 jours doit s’écouler, durant laquelle les candidats aux fonctions de président du parti sont tenus à présenter une motion aux filiales, qui décident du candidat à soutenir. Et pourtant, si une filiale décide de soutenir un candidat, cela ne signifie pas automatiquement que tous les délégués devraient voter pour le même candidat. L’appui accordé à un candidat est est plutôt une condition statutaire parce qu’afin de pouvoir aspirer au fauteuil de président du parti, un candidat devrait être agréé par au moins 10 filiales départementales.

  • Doi  candidaţi pentru şefia PNL

    Doi candidaţi pentru şefia PNL

    Reuniți,
    duminică, în Consiliu Național, liberalii români au decis să-și aleagă noul
    președinte la Congresul din 25 septembrie. Se vor înfrunta atunci actualul
    lider al formațiunii, Ludovic Orban, și premierul Florin Cîțu. Dacă intenția
    lui Orban era deja cunoscută, cea a lui Cîțu a a fost anunțată abia în
    dimineața Consiliului. Ambele erau însă așteptate și previzibile, cei doi
    politicieni crescându-și vizibilitatea publică în ultima perioadă. Actualul
    președinte a făcut vizite în filiale în căutare de sprijin și s-a afișat la
    evenimente cu primari ai partidului, în timp ce premierul s-a axat pe campania
    pro-vaccinare și și-a sporit aparatiile in mass-media. Florin Cîţu spune că PNL
    (principala formațiune a guvernului de centru-dreapta de la București) are
    nevoie de un suflu nou şi că îşi propune să menţină partidul cel puţin opt ani
    la conducerea țării.

    România se schimbă. Europa se schimbă. Lumea se
    schimbă. E nevoie şi de un alt tip de politician, a susținut actualul
    prim-ministru. Ludovic Orban (premierul de anul trecut) a salutat decizia lui
    Cîțu de a-i deveni contracandidat la şefia PNL, convins că această competiţie
    nu va afecta activitatea partidului şi nici guvernarea. El a dat asigurări că
    între el şi Florin Cîţu nu va exista ‘nicio fisură’, cauzată de lupta internă,
    având în vedere obiectivele de îndeplinit – programul de guvernare, campania de
    vaccinare anti COVID şi pregătirea Planului Național de Redresare și
    Reziliență. Chiar dacă există o competiţie, cum e firesc, pentru că din patru
    în patru ani avem alegeri în partid, împreună luăm toate deciziile importante,
    împreună participăm la şedinţele coaliţiei, a mai spus Orban – în prezent
    președinte al Camerei Deputaților.

    Pentru continuarea muncii în echipă s-a
    pronunțat și premierul. Totuși, după cum remarcă presa de la București, cei doi
    lideri nu au mai apărut public împreună în ultima perioadă, nici măcar la
    aniversarea a 146 de ani de la înființarea PNL. Calendarul acțiunilor interne
    din partid prevede în perioada 1 iunie – 15 iulie alegerea noilor lideri ai
    organizaţiilor locale, iar între 1 iulie și 10 august alegerea conducerilor la
    nivel judeţean. După finalizarea acestor demersuri, urmează o perioadă de 45 de
    zile în care candidaţii la funcţia de preşedinte trebuie să vină cu o moţiune,
    pe care o vor prezenta filialelor, care decid ce candidat sprijină. Totuși,
    dacă o filială ia o decizie de susţinere a unui candidat, asta nu înseamnă că
    toţi delegaţii acesteia trebuie să voteze în conformitate. Susţinerea este mai
    mult o condiţie statutară deoarece pentru a putea aspira la șefia partidului,
    un candidat trebuie să fie agreat de cel puțin 10 filiale judeţene.