Tag: PNL

  • Le gouvernement de Bucarest, destitué par motion de censure.

    Le gouvernement de Bucarest, destitué par motion de censure.

    Après avoir suscité l’hostilité de trois partis sur les cinq représentées au Parlement, le gouvernement du premier ministre libéral Florin Cîtu a été destitué mardi par motion de censure. Dans le document, le PSD affirmait que l’unique solution pour que la Roumanie puisse sortir de cette crise politique, économique est sociale était le départ urgent du gouvernement Cîtu. Les sociaux-démocrates imputaient à l’Exécutif l’appauvrissement des Roumains, l’absence de mesures censées contrecarrer la hausse des factures énergétiques et la dévalorisation de la monnaie nationale, le leu, ainsi que la progression alarmante de la dette publique. S’y ajoutaient le faible taux d’absorption des fonds européens, le blocage des programmes d’appui pour les PMEs et le manque d’intérêt pour les problèmes des agriculteurs, selon les sociaux-démocrates. Ils n’oubliaient pas non plus de dénoncer ce qu’ils appelaient un désastre dans le domaine de la santé. Le gouvernement de l’alliance entre le Parti national libéral – l’Union Sauvez la Roumanie – Plus (USR-PLUS) et l’Union démocrate-magyare de Roumanie (UDMR) n’a pas lutté contre la pandémie, il n’a fait qu’empêcher le traitement des maladies chroniques, accusait le Parti social-démocrate.

    La motion du PSD n’épargnait pas non plus l’USR-PLUS, même si, justement, la sortie de ce parti de la coalition gouvernementale a transformé le gouvernement Cîtu en un cabinet minoritaire et l’a projeté dans cette situation difficile. Malgré les critiques à son encontre formulées par le PSD, l’USR a finalement voté la motion afin de renverser Florin Cîtu de son fauteuil de premier ministre, le tenant pour seul responsable du démantèlement de la coalition gouvernementale. Aucune surprise non plus de la part des nationalistes de l’AUR qui ont également voté en faveur de la motion social-démocrate. Avant le vote, Florin Cîtu a accusé d’irresponsabilité ce qu’il a appelé une nouvelle majorité PSD – USR – AUR.

    Le parcours de la motion a été implacable et elle a adoptée mardi dans l’après-midi avec un score historique : 281 voix pour, alors que seulement 234 voix étaient nécessaires pour qu’elle soit adoptée. Aucune autre motion de censure de la Roumanie postcommuniste n’avait recueilli tant de voix « pour », note la presse de Bucarest.

    Le leader des députés libéraux, Florin Roman, a déclaré après le résultat du vote que le PNL proposerait un nouveau candidat pour les fonctions de premier ministre, conformément à une décision adoptée par la direction du parti. Le Parti social-démocrate n’a qu’un seul objectif : la tenue d’élections anticipées. D’ici là les sociaux-démocrates proposent de constituer une majorité politique censée soutenir un gouvernement composé de spécialistes, selon le président du PSD, Marcel Ciolacu. Il souligne que désormais c’est le président roumain Klaus Iohannis qui doit faire le prochain pas. Il faut dépasser « ce moment d’hystérie politique » et entrer dans « un zone responsable et constitutionnelle », a encore ajouté Marcel Ciolacu, chef de file des sociaux-démocrates.

    Le nouveau président de l’Union sauvez la Roumanie, Dacian Ciolos, a exhorté le premier ministre destitué à faire preuve de « retenue », ajoutant qu’il s’attendait à une « réaction équilibrée » de la part du PNL. Dacian Ciolos s’abstiendra à d’autre commentaires jusqu’à ce qu’une proposition réaliste de coalition gouvernementale soit mise sur papier. Enfin, le député George Simion, co-président de l’AUR a affirmé que Florin Cîtu ne devrait rester à la tête du gouvernement ni même en tant que premier ministre par intérim, annonçant que son parti avait préparé une équipe de spécialistes, prête à constituer un gouvernement dont la composition serait pourtant négociée avec les autres partis politiques. La situation sur la scène politique de Bucarest ne fait que se compliquer et tous les acteurs semblent attendre une solution-miracle de la part du président Iohannis.

  • Une nouvelle direction à la tête de l’USR

    Une nouvelle direction à la tête de l’USR


    La fusion entre
    l’Union Sauvez la Roumanie et le Parti Liberté, Unité et Solidarité a eu lieu
    lors d’un congrès déroulé ce weekend. Du coup, cette troisième formation
    parlementaire sera connue désormais sous le nom de l’USR ce qui simplifiera
    aussi le travail des journalistes. Elle sera dirigée dans les deux années à
    venir par Dacian Ciolos, anciencommissaire européen à l’Agriculture et ancien premier ministre
    technocrate, installé à la tête du gouvernement suite à l’incendie éclaté en
    2015 dans la boite de nuit, Colectiv. M. Ciolos est censé rester à la tête de l’USR
    jusqu’en 2023 quand le parti décidera de sa stratégie en vue des
    présidentielles de 2024. Parmi les vice présidents de l’USR, mentionnons l’ancien
    leader du parti PLUS, Dan Barna, qui a perdu de peu les élections pour la
    direction du parti, Vlad Voiculescu, Catalin Drula ou encore Claudiu Nasui,
    anciens ministres dans le gouvernement de coalition avant la rupture avec le
    premier ministre Florin Cîtu. Dacian Ciolos s’est donné comme priorité de faire
    de l’USR le principal parti de la scène politique roumaine. Dacian Ciolos:


    Notre principal objectif est d’être
    prêts en 2024 pour devenir le principal parti de droite, de Roumanie. Cela veut
    dire qu’on doit renforcer nos structures, faire entendre notre voix et
    augmenter le nombre d’adhérents.


    Ancien leader de
    l’alliance USR-PLUS, Dan Barna a perdu la direction du parti, mais il a pris sa
    revanche en proposant l’équipe du Bureau National, qui aura la majorité. Dans
    son allocution, il a insisté sur l’idée de l’unité:


    On est une équipe qui continuera à
    avancer ensemble et qui fera de l’alliance USR-PLUS un parti puissant, qui aura
    son mot à dire dans toutes les négociations ultérieures, aussi bien dans les
    mois à venir que dans les années à venir






    Créée sur les
    bases d’une organisation non gouvernementale qui a réuni des activistes, des
    jeunes salariés dans des grandes corporations ou des hommes d’affaires, l’USR s’est
    proposé dès le départ à s’écarter du PSD et PNL par sa façon de penser et d’agir.
    Pourtant, les quelques affinités idéologiques avec les libéraux ont déterminé
    les membres de l’alliance USR-PLUS à faire alliance avec le PNL et l’UDMR pour
    diriger le pays. Mais, après la destitution du ministre de la Justice, Stelian
    Ion, issu des structures de l’USR-PLUS, ses collègues de parti ont quitté le
    gouvernement et ont avancé une motion de censure contre le premier ministre, le
    libéral Florin Cîtu, considéré comme principal coupable de la crise politique.
    A l’heure actuelle, l’USR conditionne son retour au sein de la coalition du
    départ de M. Cîtu.

    Difficile à dire à quoi ressemblerontles négociations entre le PNL et l’USR, en
    admettant qu’il y en aura, si le gouvernement minoritaire de Florin Cîtu ne
    survivra pas à la motion de censure avancée par le PSD. Sous le titre Stop à
    la pauvreté, à la hausse des prix et aux corrompus! A bas le gouvernement Cîtu!,
    la motion sera soumise au vote mardi. Selon les commentateurs, pour l’USR, il
    serait mieux de rester en opposition, dans la perspective des futures élections
    de 2024. Mais, à force d’avoir connu le goût du pouvoir, il est possible que l’USR
    soit devenu un interlocuteur plus maléable.









  • Rückblick auf die Ereignisse der Woche 27.09.–1.10.2021

    Rückblick auf die Ereignisse der Woche 27.09.–1.10.2021





    Vierte Pandemiewelle: Rekordzahl an Neuinfektionen mit Sars-CoV-2



    In Rumänien ächzen die Krankenhäuser unter den immer zahlreicher werdenden Patienten mit einer schweren Erkrankung an Covid-19. Die vierte Welle der Pandemie hat Rumänien offiziell zwar schon vor mehr als einem Monat erreicht, doch insbesondere in den letzten zwei Wochen sind die Zahlen der täglichen Neuinfektionen dramatisch nach oben gegangen. Ärzte berichten, zu aller erst werden die Intensivstationen belegt, doch die erreichen sehr schnell die Obergrenze ihrer Kapazität, so dass alle Krankenhäuser sich in einem ständigen Umdisponierungsprozess befinden, um weitere Betten für Covid-19-Patienten freizumachen. So etwa werden in Bukarest Patienten mit anderen Krankheiten entweder auf andere Hospitäler verlegt oder sogar entlassen, wenn Ärzte den weiteren Verlauf einer weniger schlimmen Erkrankung für zumutbar erachten. Hunderte Ortschaften verzeichneten in der sogenannten 14-Tage-Inzidenz mehr als 3 Neuerkrankungen pro 1000 Einwohner, etliche Gro‎ßstädte, darunter auch die Hauptstadt und die Vororte, sogar über 6.



    An diesem Wochenende treten in Ortschaften mit über 6 Neuerkrankungen pro 1000 Einwohner erneut Einschränkungen in Kraft: Die Maskenpflicht im Freien wir wieder eingeführt, au‎ßerdem gilt die sehr umstrittene 2G-Regelung — nur noch Geimpfte und Genesene dürfen Restaurants, Bars, Terrassen und Veranstaltungen in geschlossenen Räumen betreten. Dasselbe gilt für Veranstaltungen im Freien mit gro‎ßen Menschenmengen — der Zutritt zu Konzerten und Sportereignissen wird Ungeimpften und Menschen, die nicht beweisen können, die Krankheit überstanden zu haben, verweigert.



    Indessen hat auch in Rumänien die Verabreichung der dritten, sogenannten Booster-Impfung begonnen. Die Drittimpfung soll völlig unbürokratisch und unkompliziert über die Bühne laufen — man braucht keine Anmeldung oder sonstige vorausgehende Schritte. Wenn mindestens sechs Monate seit Verabreichung der zweiten Impfdosis verstrichen sind, kann man sich mit dem Personalausweis und dem Nachweis des Impfstatus zum nächstbesten Impfzentrum begeben und sich mit der dritten Dosis immunisieren lassen. Priorität genie‎ßen zunächst Menschen im Alter von über 65 Jahren, chronisch Kranke, ungeachtet ihres Alters, sowie medizinisches Personal und Sozialhelfer.




    Misstrauensanträge: liberale Regierung um Premierminister Florin Cîţu unter Beschuss



    Der frischgewählte Parteichef der Liberalen und Premierminister Florin Cîţu hat dieser Tage kein leichtes Leben — gleich zwei Misstrauensanträge gegen sein Kabinett haben seine politischen Gegner eingereicht. Am Donnerstag haben die Sozialdemokraten (PSD) in der Vollversammlung des Parlaments ihren Misstrauensantrag gegen die Regierung unter gro‎ßem Tumult vorgetragen. Kommenden Dienstag, also am 5. Oktober, soll darüber im Parlament abgestimmt werden. Nach bisherigen Berechnungen hat die Regierung um den liberalen Premierminister Florin Cîțu kaum eine Chance, im Amt zu bleiben. Zumindest deklarativ sind sich die PSD, die nationalistische Partei AUR und die USR-Plus, der ehemalige Juniorpartner der Liberalen, einig: Diese Regierung und vor allem Premierminister Cîțu müssen weg. Sollten alle Abgeordneten der genannten Parteien wie verkündet abstimmen, würde das Votum 280 Stimmen für den Misstrauensantrag bringen — mehr als genug, um die Regierung zu stürzen, denn nach der derzeitigen Konstellation würden schon 234 Stimmen für eine Absetzung des Kabinetts reichen.



    Doch auch im unwahrscheinlichen Fall, dass der Misstrauensantrag der Sozialdemokraten kommenden Dienstag scheitert, kann der Premierminister keineswegs erleichtert aufatmen, denn gegen ihn liegt ein weiterer Misstrauensantrag vor, den die USR-Plus und die AUR eingereicht haben und dem sich die Sozialdemokraten laut eigenen Angaben anschlie‎ßen möchten. In diesem zweiten Misstrauensantrag rechnet die USR-Plus mit dem liberalen Premierminister ab. Er sei unfähig, eine Koalitionsregierung zu führen“ und einem engherzigen Parteiklüngel“ verfallen, der Allgemeinwohl und Wohlstand“ aufs Spiel setze, so im Text des Misstrauensantrags der USR-Plus.



    Nationaler Wiederaufbau- und Resilienz-Plan von EU-Kommission genehmigt



    Die Europäische Kommission hat den Nationalen Wiederaufbau- und Resilienz-Plan Rumäniens genehmigt. Rund 29,2 Mrd. Euro erhält Rumänien in Form von Zuschüssen und Darlehen für die Wiederankurbelung der Wirtschaft bis 2026. Ursula von der Leyen, die Vorsitzende der Europäischen Kommission, begab sich am Montag eigens dafür nach Bukarest, um zusammen mit dem rumänischen Präsidenten Klaus Johannis die Genehmigung anzukündigen. Der Wiederaufbau- und Resilienz-Plan sei von gro‎ßer Bedeutung für die Zukunft Rumäniens und das Ergebnis eines intensiven Dialogs, betonten beide Spitzenpolitiker. Rumänien müsse allerdings all die notwendigen Reformen priorisieren und rechtzeitig umsetzen, sagte der rumänische Präsident mit Nachdruck. Das Geld aus Brüssel soll in erster Linie für Investitionen in Infrastruktur, aber auch für die Reform des Gesundheitswesens, des Transportwesens und des Rentensystems sowie für die Erzeugung von erneuerbarer Energie und für die Digitalisierung verwendet werden. So etwa sollen 4 Mrd. Euro in die Modernisierung des Schienenverkehrs investiert werden, weitere 2,7 Mrd. Euro werden der energetischen Sanierung von Gebäuden zugewiesen und 2 Mrd. Euro sollen für die Modernisierung und den Neubau von Krankenhäusern herangezogen werden.




    Nach dem Brexit: Neue Einreisebestimmungen für EU-Bürger



    Der Brexit bringt neue Regelungen für EU-Bürger, die keine Aufenthaltstitel für Gro‎ßbritannien haben. Beginnend mit dem 1. Oktober dürfen EU-Bürger in Gro‎ßbritannien nur noch mit dem Pass einreisen, wenn sie ein Arbeits- oder Studentenvisum haben bzw. beweisen können, dass sie als Touristen kommen. Personalausweise der EU-Mitgliedsstaaten sind als Reisedokument nicht mehr zulässig. Ausgenommen davon sind rumänische und andere EU-Staatsbürger, die einen Aufenthaltstitel erhalten haben und ihre Personalausweise über das Portal UK Visas and Immigration registriert haben. In diesem Fall dürfen die EU-Personalausweise noch bis zum 31. Dezember 2025 für die Einreise in Gro‎ßbritannien verwendet werden. Laut Angaben des britischen Innenministeriums sind zurzeit etwa 850.000 Rumänen im Besitz einer Aufenthaltserlaubnis in Gro‎ßbritannien.



  • Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommenden Dienstag

    Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommenden Dienstag

    Das Minderheitskabinett in Bukarest, das nur noch aus der Liberalen Partei (PNL) und dem Ungarnverband (UDMR) besteht, zählt wohl seine letzten Tage. Am gestrigen Donnerstag haben die Sozialdemokraten (PSD) in der Vollversammlung des Parlaments ihren Misstrauensantrag gegen die Regierung unter gro‎ßem Tumult vorgetragen. Kommenden Dienstag, also am 5. Oktober, soll darüber im Parlament abgestimmt werden. Nach bisherigen Berechnungen hat das Kabinett um den liberalen Premierminister Florin Cîțu kaum eine Chance, im Amt zu bleiben. Zumindest deklarativ sind sich die PSD, die nationalistische Partei AUR und die USR-Plus, der ehemalige Juniorpartner der Liberalen, einig: Diese Regierung und vor allem Premierminister Cîțu müssen weg. Sollten alle Abgeordneten der genannten Parteien wie verkündet abstimmen, würde das Votum 280 Stimmen für den Misstrauensantrag bringen — mehr als genug, um die Regierung zu stürzen, denn nach der derzeitigen Konstellation würden schon 234 Stimmen für eine Absetzung des Kabinetts reichen.



    Eine Schlüsselrolle spielt dabei die USR-Plus, ehemaliger Juniorpartner der Liberalen, der sich aufgrund von Personalien unversöhnlich mit dem amtierenden Premierminister Florin Cîțu verkracht hat. Der Verlesung des Misstrauensantrags ihrer sozialdemokratischen Kollegen im Parlament sind die Abgeordneten der USR-Plus allerdings fern geblieben, denn das Dokument nimmt auch sie an die Kandare, und die Liberalen hoffen wohl insgeheim, dass ihr ehemaliger Koalitionspartner vielleicht doch noch einlenkt und den Sozialdemokraten einen Strich durch die Rechnung macht. Die USR-Plus macht allerdings eine Wiederauflage der Koalition nach wie vor von einem Abgang des Premierministers abhängig.



    Im vierseitigen Text ihres Misstrauensantrags liest die PSD der bisherigen Regierungskoalition schonungslos die Leviten — die Regierung habe sich allein durch Inkompetenz und Verschwendung öffentlicher Gelder ausgezeichnet. Den Text trug im Plenum des Parlaments Alfred Simonis vor, der Fraktionsvorsitzende der Sozialdemokraten:



    Jeder weitere Tag mit dieser Regierung im Amt bedeutet noch ein Tag, an dem die Verarmung der Bevölkerung zunimmt, die Entwicklung der lokalen Gemeinschaften verhindert und die Zukunft des Landes durch eine toxische Verschuldung verspielt wird, die künftige Generationen zu Leidtragenden macht.“




    Die PSD beanstandet ferner die explosionsartige Preiserhöhung auf dem Energiemarkt — 7 Mio. Menschen seien dadurch zur Armut verdammt –, die schwache Abrufung europäischer Gelder und das schlechte Management der Pandemie. Die einzige Lösung der Krise ist in der Auffassung der Sozialdemokraten eine interimistische Expertenregierung und vorgezogene Neuwahlen.



    Der amtierende Premierminister hingegen beschuldigt seine politischen Gegner, das Schicksal der Menschen sei ihnen egal, sie würden das Land wissentlich ins Chaos stürzen, so Florin Cîţu. Er wolle sein Amt unter keinen Umständen ablegen. Doch auch im unwahrscheinlichen Fall, dass der Misstrauensantrag der Sozialdemokraten kommenden Dienstag scheitert, kann der Premierminister keineswegs erleichtert aufatmen, denn gegen ihn liegt ein weiterer Misstrauensantrag vor, den die USR-Plus und die AUR eingereicht haben und dem sich die Sozialdemokraten laut eigenen Angaben anschlie‎ßen möchten. In diesem zweiten Misstrauensantrag rechnet die USR-Plus mit dem liberalen Premierminister ab. Er sei unfähig, eine Koalitionsregierung zu führen“ und einem engherzigen Parteiklüngel“ verfallen, der Allgemeinwohl und Wohlstand“ aufs Spiel setze, so im Text des Misstrauensantrags der USR-Plus.

  • Regierungskrise: Misstrauensantrag der PSD vorgetragen, Abstimmung kommende

    Das Minderheitskabinett in Bukarest, das nur noch aus der Liberalen Partei (PNL) und dem Ungarnverband (UDMR) besteht, zählt wohl seine letzten Tage. Am gestrigen Donnerstag haben die Sozialdemokraten (PSD) in der Vollversammlung des Parlaments ihren Misstrauensantrag gegen die Regierung unter gro‎ßem Tumult vorgetragen. Kommenden Dienstag, also am 5. Oktober, soll darüber im Parlament abgestimmt werden. Nach bisherigen Berechnungen hat das Kabinett um den liberalen Premierminister Florin Cîțu kaum eine Chance, im Amt zu bleiben. Zumindest deklarativ sind sich die PSD, die nationalistische Partei AUR und die USR-Plus, der ehemalige Juniorpartner der Liberalen, einig: Diese Regierung und vor allem Premierminister Cîțu müssen weg. Sollten alle Abgeordneten der genannten Parteien wie verkündet abstimmen, würde das Votum 280 Stimmen für den Misstrauensantrag bringen — mehr als genug, um die Regierung zu stürzen, denn nach der derzeitigen Konstellation würden schon 234 Stimmen für eine Absetzung des Kabinetts reichen.



    Eine Schlüsselrolle spielt dabei die USR-Plus, ehemaliger Juniorpartner der Liberalen, der sich aufgrund von Personalien unversöhnlich mit dem amtierenden Premierminister Florin Cîțu verkracht hat. Der Verlesung des Misstrauensantrags ihrer sozialdemokratischen Kollegen im Parlament sind die Abgeordneten der USR-Plus allerdings fern geblieben, denn das Dokument nimmt auch sie an die Kandare, und die Liberalen hoffen wohl insgeheim, dass ihr ehemaliger Koalitionspartner vielleicht doch noch einlenkt und den Sozialdemokraten einen Strich durch die Rechnung macht. Die USR-Plus macht allerdings eine Wiederauflage der Koalition nach wie vor von einem Abgang des Premierministers abhängig.



    Im vierseitigen Text ihres Misstrauensantrags liest die PSD der bisherigen Regierungskoalition schonungslos die Leviten — die Regierung habe sich allein durch Inkompetenz und Verschwendung öffentlicher Gelder ausgezeichnet. Den Text trug im Plenum des Parlaments Alfred Simonis vor, der Fraktionsvorsitzende der Sozialdemokraten:



    Jeder weitere Tag mit dieser Regierung im Amt bedeutet noch ein Tag, an dem die Verarmung der Bevölkerung zunimmt, die Entwicklung der lokalen Gemeinschaften verhindert und die Zukunft des Landes durch eine toxische Verschuldung verspielt wird, die künftige Generationen zu Leidtragenden macht.“




    Die PSD beanstandet ferner die explosionsartige Preiserhöhung auf dem Energiemarkt — 7 Mio. Menschen seien dadurch zur Armut verdammt –, die schwache Abrufung europäischer Gelder und das schlechte Management der Pandemie. Die einzige Lösung der Krise ist in der Auffassung der Sozialdemokraten eine interimistische Expertenregierung und vorgezogene Neuwahlen.



    Der amtierende Premierminister hingegen beschuldigt seine politischen Gegner, das Schicksal der Menschen sei ihnen egal, sie würden das Land wissentlich ins Chaos stürzen, so Florin Cîţu. Er wolle sein Amt unter keinen Umständen ablegen. Doch auch im unwahrscheinlichen Fall, dass der Misstrauensantrag der Sozialdemokraten kommenden Dienstag scheitert, kann der Premierminister keineswegs erleichtert aufatmen, denn gegen ihn liegt ein weiterer Misstrauensantrag vor, den die USR-Plus und die AUR eingereicht haben und dem sich die Sozialdemokraten laut eigenen Angaben anschlie‎ßen möchten. In diesem zweiten Misstrauensantrag rechnet die USR-Plus mit dem liberalen Premierminister ab. Er sei unfähig, eine Koalitionsregierung zu führen“ und einem engherzigen Parteiklüngel“ verfallen, der Allgemeinwohl und Wohlstand“ aufs Spiel setze, so im Text des Misstrauensantrags der USR-Plus.

  • Două moţiuni de cenzură împotriva guvernului

    Două moţiuni de cenzură împotriva guvernului

    După parlamentarele de iarna trecută,din România,
    formațiunile de pe locurile doi, trei și cinci în opțiunile electoratului au
    format o coaliție de guvernare. Vioara întâi era Partidul Național Liberal, cu
    peste 25% din voturi, urmat de USR-Plus cu circa 16% și de Uniunea Democrată a
    Maghiarilor din România cu până în 6%. Încă din primul an în fruntea țării,
    neînțelegerile dintre PNL și USR-Plus s-au făcut simțite. Au culminat cu
    demiterea, de către premierul liberal Florin Cîțu, a miniștrilor USR-Plus al
    Sănătății, în aprilie, urmată, în septembrie, de cea a celui al Justiției. Astfel
    că paharul celor de la USR-Plus s-a umplut: toți ceilalți miniștri
    ai formațiunii au plecat prin demisie din Guvern, iar primul ministru i-a
    eliberat, la rândul său, din funcție pe secretarii de stat, prefecții și
    subprefecții acestui partid. De aici, până la următoarea mutare politică nu a
    fost decât un pas: USR-Plus s-a aliat cu formațiunea naționalistă de opoziție
    AUR și au depus, în Parlament, o moțiune de cenzură prin care îi retrag
    sprijinul politic premierului liberal. Dacă moțiunea trece – spunea USR-Plus – formațiunea
    ar fi dispusă să se așeze la masa negocierilor cu PNL și UDMR pentru a intra,
    din nou, la guvernare; dacă nu trece și Florin Cîțu rămâne premier, pleacă în
    opoziție.

    În mare, lui Florin Cîţu i se reproșează că este ʺincapabil să
    conducă un Guvern de coaliţieʺ, că ʺnu poate să iasă din logica unei gândiri
    înguste de partidʺ și că pare hotărât ʺsă sacrifice interesul general și bunăstarea
    cetăţenilor ţării.ʺ Guvernul a reclamat moțiunea de cenzură a celor de la USR-Plus
    și AUR la Curtea Constituțională, care, marți, a admis existența unui conflict
    juridic între Executiv și Legislativ, dar a decis că documentul trebuie să-şi
    continue parcursul. Deja citită în plen, moțiunea ar mai trebui dezbătută și
    votată. Doar că, în chiar ziua în care se aștepta verdictul Curții, PSD, câștigător
    al parlamentarelor, dar devenit principalul partid de opoziție, a depus în
    Parlament moțiunea sa de cenzură.

    Astfel că, la ora actuală, la adresa Executivului
    condus de Florin Cîțu există două atfel de documente. Moțiunea de cenzură a PSD
    va fi prima la vot: după cum a stabilit conducerea Parlamentului, citită în plen
    joi, ea va fi dezbătută şi supusă votului pe 5 octombrie. USR-Plus şi AUR susțin
    că o vor vota și pe aceasta. Or, cu aşa veşti rele, premierul Cîțu vede totul
    ca pe o competiţie, în Legislativ, a celor care – spune el – ar vrea să
    destabilizeze ţara în prag de iarnă și anunţă că liberalii rămân deschiși
    dialogului şi colaborării cu USR-Plus, dacă nu votează pentru căderea Cabinetului.
    Astfel că, în plină pandemie, situaţia de pe scena politică românească este
    extrem de agitată și imprevizibilă.


  • 27/09/2021

    27/09/2021

    Coronavirus — En Roumanie, 5 665 nouveaux cas de contamination au virus SARS-CoV-2 recensés en 24 h ont été annoncés lundi, après plus de 28 000 tests, selon le Groupe de communication stratégique. S’y sont ajoutés 109 décès pendant le même laps de temps, des suites de l’infection au coronavirus. 1 2018 patients sont en soins intensifs, dont 18 enfants. Depuis le début de la pandémie, 1 199 761 cas d’infection au nouveau coronavirus ont été recensés, et 1 098 795 patients ont guéri. A Bucarest, l’incidence des nouvelles contaminations approche les 5 cas par mille habitants, et des restrictions supplémentaires ont été mises en place. Plusieurs localités ont été placées en quarantaine le week-end, vu que le taux d’incidence y est supérieur à 6 cas par 1 000 habitants.



    Démission — L’ancien leader du PNL (au pouvoir), Ludovic Orban, a annoncé lundi que sa décision de renoncer aux fonctions de président de la Chambre des députés était irrévocable. Il a précisé que sa démission n’était pas à la disposition du nouveau chef du parti, le premier ministre Florin Cîţu, et a mentionné que si aucune décision n’est prise sous 15 jours, il la déposera personnellement au parlement. Le premier ministre a déclaré que toutes les variantes relatives à la présidence de la Chambre des députés seraient discutées à la réunion de mardi du Bureau exécutif du parti. Suite à cela, la meilleure variante sera choisie, de manière à ce que les libéraux puissent garder ces fonctions pour eux. Détails après nos infos.



    Visite — La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est attendue cet après-midi à Bucarest afin de présenter officiellement l’évaluation de Bruxelles du Plan national de relance et de résilience de la Roumanie. La Roumanie pourrait bénéficier de près de 30 milliards d’euros de fonds européens pour son développement. Le Plan roumain devrait être signé de manière symbolique aujourd’hui, par la cheffe de la Commission européenne. Son agenda comporte des rencontres avec le président roumain, Klaus Iohannis, et le premier ministre, Florin Cîtu. L’ancien ministre pour les Fonds et les Projets européens, Cristian Ghinea, qui a coordonné la réalisation et et les négociations pour le Plan de relance et de résilience, sera également présent. Le Plan prévoit que les fonds doivent être dépensés intégralement jusqu’en 2026 pour des réformes et des investissements dans six grands domaines ; transition vers une économie verte, moins polluante, numérisation, croissance économique intelligente, cohésion sociale, santé et éducation.



    Interpellation — Le parlement se penche aujourd’hui sur la hausse significative des prix du gaz et de l’électricité et les mesures envisagées par la gouvernement roumain pour aider la population. Le ministre de l’Energie, Virgil Popescu, est invité à la Chambre des députés afin de fournir des explications en la matière. Les discussions ont été ajournées depuis la semaine dernière, lorsque le ministre n’a pas pu venir parce qu’il a présenté au gouvernement un projet d’ordonnance d’urgence relatif au mécanisme de compensation de la hausse des factures, tant pour les personnes physiques que pour les PME. Environ 13 millions de Roumains avec des revenus et une consommation moyens devraient bénéficier de cet acte règlementaire qui devrait être approuvé par l’exécutif cette semaine. Il concerne les ménages qui consomment entre 30 et 200 kW par mois. Le gouvernement souhaite que le mécanisme de compensation soit simple, rapide et qu’il n’implique pas trop le consommateur.



    Roumanie-Allemagne — Les relations roumano-allemandes resteront excellentes même après les élections — a déclaré, en exclusivité pour Radio Roumanie, l’ambassadeur d’Allemagne à Bucarest, Peer Gebauer, dimanche soir, au moment de la diffusion des premiers sondages sortie des urnes. Quel que soit le parti allemand qui forme le nouveau gouvernement, quel que soit le futur chancelier, je pense que la Roumanie et l’Allemagne ont une fondation très solide pour leur amitié, a estimé l’ambassadeur.



    Festival — Tombée de rideau sur la 25e édition du Festival international George Enescu. L’Orchestre royal Concertgebouw d’Amsterdam sous la baguette du chef d’orchestre britannique Daniel Harding a clôturé, dimanche soir, l’édition 2021 du festival. Depuis le 28 août, plus de 3 500 artistes roumains et étrangers et 32 des orchestres les plus appréciés au niveau mondial, de 14 pays, ont donné des concerts sur les scènes de Bucarest et de plusieurs autres villes roumaines. Détails après nos infos.



    Rentrée universitaire — Plusieurs centres universitaires de Roumanie organisent ce lundi des festivités occasionnées par la rentrée universitaire, dans des conditions de pandémie. La plupart des facultés ont fait choix d’un format d’enseignement hybride, soit tant en ligne qu’en présentiel. Les choses peuvent changer en fonction de la situation épidémiologique, et les universités ont imposé certaines règles. Les étudiants vaccinés auront la priorité à occuper les chambres dans les campus, et leur nombre de places sera revu à la baisse. Selon le ministère de l’Education nationale, 78 % des enseignants universitaires, sot plus de 24 000, sont vaccinés.

  • Liberalii au ună nauă cumănduseari

    Liberalii au ună nauă cumănduseari

    Premierlu Florin Cîţu easti, di sâmbătă, prezidentulu a PNL, numirlu ună tru suţata guvernamentală di Bucureşti. Azvimtulu a lui easti aţelu di ma ninti lideru şi şefu di guvernu Ludovic Orban. Aţelli doi nu s-afiriă ici tru kirolu a alumtăllei ti supremaţie, iara comentatorlli suntu simfuñi că aestă competiţie asparsi multu, di itia că adusi multu arău ti vidzuta-a partidlui şi maxus ambudyiusinda practic actul guvernamentalu. Aesta, tru ora anda România s’ampuliseaşti, diznău, cu ixikea-a locurlor la terapie intensivă tră pacienţălli cu turlii greali di Covidu şi cu creaştirea dramatică a păhadzloru la energie. Năulu prezidentu liberal, Florin Cîţu, veadi tru alidzearea a lui momentul inaugural a unlui curentu cari va u alăxească văsilia.



    Florin Cîţu: “Vă tăxescu că va s’escu prezidentulu a tutulor liberalilor, cari ţi s’hibă atelu ti ălu votatu. Himu un partid adunatu stogu şi va s’ufilisimu tuti resursili contra adversarului a nostru politic, PSD. Să ştiţ că aesta nu fu maş ună campanie, fu ună minari, cari ahurheaşti cu Partidlu Naţional Liberal, şi ună minari cari va u alăxească România tră ma ghini”.



    Cara tră 60% ditu participanţii la congreslu PNL Florin Cîţu easti ceareia, tră fostul prinţipalu parteneru la guvernare, USR PLUS, el easti problema. Formaţiunea işi ditu coaliţia di dreapta după revocarea pi napandica ditu ipotisi a ministrului useristu ali Justiţie, Stelian Ion, şi spuni că va s’toarnă tru guvernu maş cara Florin Cîţu va s’tragă mănă di la căpia-a executivului. Cabinetlu, agiumtu minoritar după fudzearea USR PLUS, easti tu piriclliu s’cadă cara moţiunea di cenzură dipusă di aestă formaţiune deadunu cu AUR, opoziţia ultranaţionalistă, easti validată di Curtea Constituţională şi votată nica şi di opoziţia social-dimocrată. Easti ispetea tră cari năulu prezidentu PNL dimăndă păzărăpseri cu tuti formaţiunile politice tră s’află ună majoritate parlamentară cari să’lli ndrupască guvernul. Declarativ, PSD mindueaşti ti surparea al Cîţu. Social-democraţllii spun că dzălili a actualui guvernu suntu misurati şi că, tru situaţia tru cari moţiunea USR PLUS – AUR nu treaţi examenul la CCR, au ndreaptă a loru işiş moţiune di cenzură.



    Prezidentulu PSD, Marcel Ciolacu: “Categoric după apofasea a CCR-ului, cara nu va aibă conflict (nota redacţiei: di turlie instituţională), ună ş-ună PSD va s’voteadză aţea moţiune di cenzură. Ma s’aibă conflict, Partidul Social Dimocrat va s’dipună ntrăoară moţiunea di cenzură şi îlli căliseaşti tuţ alanţă s’u voteadză.” Cu tuti aestea, preţedentul a unui guvernu minoritar PNL – UDMR există nica ditu 2007, cându cabinetlu cumăndusitu di liberalu Călin Popescu Tăriceanu ascăpă nivătămatu până la alidzerli ditu 2008, cu andrupămintulu informal a PSD. Păhălu, fu ama, cabaia mari şi idyea poato s’hibă şi tora: trădzeareamănă di la tuti proiectili majori di reformă şi adoptarea a niscăntoru misuri populiste, nesustenabile financiaru. Tru condiţiile tru cari finanţistul di profesie Florin Cîţu tăxi, multi ori arada şi susto, că va u dănăsească hărgiuearea iresponsabilă a părălui public şi va u kiskinipsească administraţia.




    Autoru: Stefan Stoica

    Armânipsearea: Taşcu Lala

  • Liberalii au o nouă conducere

    Liberalii au o nouă conducere

    Premierul Florin
    Cîţu este, de sâmbătă, preşedintele PNL, numărul unu în coaliţia guvernamentală
    de la Bucureşti. Învinsul său este fostul lider şi şef de guvern Ludovic Orban.
    Cei doi nu s-au menajat deloc în timpul luptei pentru supremaţie, iar comentatorii
    sunt de acord că această competiţie a degenerat, făcând mult rău imaginii
    partidului şi mai ales blocând practic actul guvernamental. Aceasta, într-un
    moment în care România se confruntă, din nou, cu lipsa locurilor la terapie
    intensivă pentru pacienţii cu forme grave de Covid şi cu creşterea dramatică a
    preţurilor la energie. Noul preşedinte liberal, Florin Cîţu, vede în alegerea
    sa momentul inaugural al unui curent care va schimba ţara.

    Florin Cîţu:
    promit că voi fi preşedintele tuturor liberalilor, indiferent pentru cine aţi
    votat. Suntem un partid unit şi vom folosi toate resursele împotriva
    adversarului nostru politic, PSD. Să ştiţi că aceasta nu a fost doar o
    campanie, a fost o mişcare, care începe cu Partidul Naţional Liberal, şi o
    mişcare care va schimba România în bine.

    Dacă pentru 60% dintre
    participanţii la congresul PNL Florin Cîţu este soluţia, pentru fostul
    principal partener la guvernare, USR PLUS, el este problema. Formaţiunea a
    părăsit coaliţia de dreapta după revocarea intempestivă din funcţie a
    ministrului userist al Justiţiei, Stelian Ion, şi afirmă că nu revine în guvern
    decât dacă Florin Cîţu renunţă la şefia executivului. Cabinetul, devenit
    minoritar după plecarea USR PLUS, riscă să pice dacă moţiunea de cenzură depusă
    de această formaţiune împreună cu AUR, opoziţia ultranaţionalistă, este
    validată de Curtea Constituţională şi votată inclusiv de opoziţia
    social-democrată. Este motivul pentru care noul preşedinte PNL a anunţat
    negocieri cu toate formaţiunile politice pentru a găsi o majoritate
    parlamentară care să îi susţină guvernul. Declarativ, PSD doreşte debarcarea
    lui Cîţu. Social-democraţii spun că zilele actualului guvern sunt numărate şi
    că, în situaţia în care moţiunea USR PLUS – AUR nu trece examenul la CCR, au
    pregătită propria moţiune de cenzură.

    Preşedintele PSD, Marcel Ciolacu: Categoric
    după decizia CCR-ului, dacă nu există conflict (nota redacţiei: de
    natură instituţională), imediat PSD va vota acea moţiune de
    cenzură. Dacă există conflict, Partidul Social Democrat va depune imediat
    moţiunea de cenzură şi îi invită pe ceilalţi să o voteze.
    Totuşi,
    precedentul unui guvern minoritar PNL – UDMR există încă din 2007, când cabinetul
    condus de liberalul Călin Popescu Tăriceanu a scăpat nevătămat până la
    alegerile din 2008, cu sprijinul informal al PSD. Preţul a fost, însă, ridicat şi
    riscă să fie la fel şi acum: renunţarea la toate proiectele majore de reformă
    şi adoptarea unor măsuri populiste, nesustenabile financiar. În condiţiile în
    care finanţistul de profesie Florin Cîţu a promis, repetat şi răspicat, că va
    stopa cheltuirea iresponsabilă a banului public şi va asana administraţia.


  • Die Liberalen haben eine neue Führung gewählt

    Die Liberalen haben eine neue Führung gewählt

    Ministerpräsident Florin Cîțu ist seit Sonnabend Vorsitzender der PNL, der wichtigsten Partei in der Bukarester Regierungskoalition. Er hat den ehemaligen Ministerpräsidenten und Parteivorsitzenden Ludovic Orban herausgefordert. Die beiden schonten sich im Kampf um den Vorsitz nicht. Kommentatoren sind sich einig, dass die Streitereien dem Image der Partei gro‎ßen Schaden zugefügt und vor allem die Tätigkeit der Regierung beeinträchtigt haben. Und das während in Rumänien erneut die Corona-Intensivbetten knapp werden und die Energiepreise dramatisch gestiegen sind. Der neue Vorsitzende der Liberalen, Florin Cîțu, glaub mit seiner Wahl werde sich das Land positiv verändern. “Ich verspreche Ihnen, dass ich der Präsident aller Liberalen sein werde, unabhängig davon, wem Sie ihre Stimme gaben. Wir sind eine geeinte Partei und wir werden alle unsere Kräfte gegen unseren politischen Gegner, die PSD, einsetzen. Sie sollten wissen, dass dies nicht nur eine Kampagne war, sondern eine Bewegung, die mit der Nationalliberalen Partei beginnt und die Rumänien zum Besseren verändern wird”.




    Während Florin Cîțu für 60 % der PNL-Kongressteilnehmer die Lösung ist, so ist er für den ehemaligen Regierungspartner, die USR-PLUS, das Problem. Die Partei verlie‎ß die mitte-rechtsorientierte Koalition, nach dem Cîțu den Justizminister Stelian Ion seines Amtes enthob und erklärte, nur dann in die Regierung zurückzukehren, wenn Florin Cîțu nicht mehr Regierungschef ist.




    Das Kabinett, das nach dem Ausscheiden der USR-PLUS in der Minderheit ist, droht zu zerbrechen, wenn der von dieser Partei gestellte Misstrauensantrag im Parlament angenommen wird. Der Antrag wurde von der USR-PLUS gemeinsam mit der ultranationalistischen Oppositionspartei AUR eingereicht, wird gegenwärtig vom Verfassungsgericht geprüft und könnte mit den Stimmen der sozialdemokratischen Opposition das Parlament passieren. Um eine neue parlamentarische Mehrheit für seine Regierung zu finden, hat der neugewählte Vorsitzende der Liberalen Verhandlungen mit allen politischen Parteien angekündigt.




    Die oppositionelle PSD will erklärterma‎ßen Cîțu stürzen. Die Sozialdemokraten sagen, dass die Tage der derzeitigen Regierung gezählt seien und dass sie für den Fall, dass der Antrag der USR-PLUS und AUR vom Verfassungsgericht zurückgewiesen werde, einen eigenen Misstrauensantrag einreichen werden. Der PSD-Vorsitzende Marcel Ciolacu dazu: “Auf jeden Fall wird die PSD nach dem Urteil des Verfassungsgerichts, wenn kein Konflikt vorliegt, sofort für den Misstrauensantrag stimmen. Wenn es einen Konflikt gibt, wird die Sozialdemokratische Partei sofort einen eigenen Misstrauensantrag einreichen und andere Parteien auffordern, sich uns anzuschlie‎ßen.”




    Es gibt eine weitere Möglichkeit — eine Minderheitsregierung gebildet aus der PNL und dem Ungarn-Verband. Diese gab es bereits einmal, von 2007 bis zu den Wahlen 2008, als das Kabinett des liberalen Călin Popescu Tăriceanu mit informeller Unterstützung der PSD durchregieren konnte. Doch der Preis war hoch und droht nun derselbe zu sein: der Verzicht auf alle wichtigen Reformprojekte und die Verabschiedung populistischer, finanziell nicht tragfähiger Ma‎ßnahmen. Und das zu einer Zeit, in der der Finanzexperte Florin Cîțu wiederholt und lautstark versprochen hat, die verantwortungslose Ausgabe öffentlicher Gelder zu stoppen und die Verwaltung zu reformieren.

  • 25.09.2021

    25.09.2021

    Politique – Le Parti national libéral (PNL), le principal parti de la coalition gouvernementale en Roumanie, va élire aujourd’hui son leader pour les quatre années à venir dans un ample congrès. Des milliers de délégués envoyés par les bureaux régionaux du parti devront choisir entre leur actuel chef et président de la Chambre des députés, Ludovic Orban, et le premier ministre Florin Cîţu. Le président Klaus Iohannis, issu du même parti, sera présent lui aussi au congrès. Ludovic Orban estime qu’il représente un point d’ancrage pour son parti. Son objectif est de redorer le blason du PNL et de rétablir la confiance des citoyens dans cette formation politique. De son avis, le Parti national libéral devrait soutenir le capital roumain, réaffirmer et promouvoir les droits et les libertés individuelles. De son côté, Florin Cîţu déclare qu’il est entré dans cette compétition pour construire et unir la Parti national libéral. « Je crois avec force que seule une Roumanie libérale peut apporter du bien-être aux citoyens » considère encore Florin Cîţu. Quant à ses objectifs : la révision de la Constitution, l’entrée de la Roumanie dans l’espace Schengen, développer les investissements et soutenir les entrepreneurs. Les deux contre candidats se sont livrés à une campagne corsé, avec des attaques sans précédent. Les résultats du scrutin des libéraux ne concernant pas uniquement le parti – la composition du gouvernement en dépend aussi, tout comme l’équilibre des pouvoirs au Parlement, les fonctions de premier ministre et de président de la Chambre des députés.

    Economie – En 2020, les Roumains ont touché un salaire moyen brut de 5 123 lei (environ 1 000 euros), soit une hausse de 7,4 % par rapport à l’année précédente, fait savoir l’Institut national de la statistique. Quant au salaire moyen net, il a été de 3 217 lei en 2020 (environ 650 euros), soit plus de 7,7% rapporté à 2019. Les secteurs d’activité les plus profitables, avec des revenus supérieurs à la moyenne, sont les technologies de l’information et de la communication, le domaine financier et celui des assurances, l’administration publique ou encore la production et la distribution d’électricité. Au pôle opposé l’on retrouve l’hôtellerie et la restauration, l’agriculture, la sylviculture, la pêche et l’immobilier.

    Coronavirus – Le nombre de contaminations au coronavirus reste très élevé en Roumanie – plus de 7 000 nouveaux cas d’infection sont recensés quotidiennement depuis plusieurs jours. Près de 9 500 malades sont hospitalisés actuellement, dont plus de 1 100 sont dans les unités de soins intensifs. Au niveau national, plus de 400 communes se trouvent à présent dans le scénario rouge, c’est à dire qu’elle rapportent un taux d’incidence de plus de trois cas pour mille habitants. La capitale Bucarest est entrée elle aussi en zone rouge, ce qui implique des restrictions supplémentaires introduites par les autorités.

    Diaspora – Le ministère des Affaires étrangères de Bucarest a démarré un dialogue avec les membres de la communauté roumaine d’Italie afin d’améliorer la qualité des services consulaires qui leur sont proposés. Beaucoup de Roumains vivant à l’étranger sont mécontents de la lourdeur et de la manière peu amicale dont sont assurés ces services. Valentin Muntean, le responsable du Département consulaire du ministère des Affaires étrangères, a présenté lors d’une réunion en format hybride avec tous les consuls généraux de Roumanie en Italie et environ 40 représentants des associations de Roumains de la péninsule, les éléments d’amélioration envisagés par son ministère : moderniser et l’élargir le réseaux consulaire, simplifier les prises de rendez-vous, moderniser les systèmes informatiques et les optimiser pour les téléphones portables, la digitalisation et l’allègement de la bureaucratie. Selon le correspondant de radio Roumanie en Italie, un Consulat général de Roumanie sera créé à Rome et un nouveau consulat verra le jour, d’ici quatre ans, en Sardaigne.

    OTAN – La frégate roumaine « La reine Marie » a fini sa mission dans le cadre de l’opération « Sea Guardian » de l’OTAN déroulée dans la Méditerranée et sera de retour dans la journée au port militaire de Constanţa, dans le sud-est de la Roumanie. Durant les trois semaines où elle a dirigé le groupement de navires de l’OTAN, « La reine Marie » a vérifié plus de 800 embarcations participant au trafic maritime dans la Méditerranée. L’hélicoptère IAR Puma Naval, embarqué à bord de la frégate, a contribué à identifier les navires suspectes. Des navires, aéronefs et sous-marins de Roumanie, Croatie, Italie, Grèce, Turquie, Espagne et Allemagne ont participé à l’opération Sea Guardian, visant à renforcer la sécurité sur le flanc sud de l’Europe.

    Météo – Beau temps en Roumanie, avec des températures qui repartent légèrement à la hausse. Les maxima de la journée iront de 17 à 28 degrés. 25 degrés attendus aujourd’hui à Bucarest.

  • 24/09/2021 (mise à jour)

    24/09/2021 (mise à jour)

    Coronavirus en Roumanie — En Roumanie, vendredi a été le troisième jour consécutif avec plus de 7 000 nouveaux cas d’infection au coronavirus recensés en 24 heures, la plupart à Bucarest. 145 décès des suites de l’infection au virus SARS-CoV-2 enregistrés en 24 heures s’y sont ajoutés. Dans les unités de soins intensifs, le nombre de malades de Covid-19 a franchi le seuil de 1 100 personnes, dont 16 enfants, une situation qui n’a plus été enregistrée depuis début mai. Dans 60 villes et plus de 350 communes à travers le pays, y compris la Capitale, le taux d’infection a dépassé le seuil des 3 cas par mille habitants dépistés en 14 jours. Bucarest entre dans le scénario dit rouge, qui présuppose toute une série de restrictions. A mesure que la situation épidémiologique empire, la vaccination commence à reprendre. En tout, plus de 10 millions de doses de vaccin anti-Covid ont été administrées en Roumanie, depuis le début de la campagne de vaccination. La directrice du Centre national de suivi et de contrôle des maladies transmissibles, Adriana Pistol, a déclaré vendredi que le seul variant identifié ces deux dernières semaines par séquençage a été le variant Delta.



    Pays à risque — Sur toile de fond de la flambée des cas de contamination, la Roumanie entre sur la liste jaune des pays à risque épidémiologique, a décidé le Comité national pour les situations d’urgence. Il a aussi mis à jour la liste des pays à risque, et qui entrera en vigueur le dimanche 26 septembre. Désormais dans la zone rouge l’on retrouvera la Croatie, la Lettonie, l’Autriche, la Bosnie-Herzégovine. La Grèce, Chypre, la Norvège, le Liechtenstein, le Kazakhstan ou encore l’Azerbaïdjan passeront sur la liste jaune. La liste verte comporte, elle, des pays tels le Portugal, l’Islande et le Japon. A noter que les personnes vaccinées ne doivent pas observer de quarantaine en arrivant en Roumanie depuis des pays se trouvant sur les listes rouge ou jaune.



    Politique — En Roumanie, le Parti national libéral (PNL), le principal parti de la coalition gouvernementale, élit ce samedi son nouveau leader dans le cadre d’un ample congrès. Les candidats en lice sont Ludovic Orban, l’actuel chef du parti et président de la Chambre des députés, et Florin Cîţu, le premier ministre. Le président roumain Klaus Iohannis, issu du même parti, sera présent lui aussi au congrès pour soutenir le premier ministre. Au bout d’une campagne électorale dure au sein du parti, Ludovic Orban a déclaré être prêt à remplacer Florin Cîtu en tant que premier ministre. Ce dernier accuse l’actuel leader libéral de s’être servi de son conflit avec l’Union Sauvez la Roumanie – PLUS (USR-PLUS) dans sa lutte politique pour la direction du parti. Pour rappel, USR-PLUS a récemment quitté la coalition gouvernementale, après avoir retiré son soutien au premier ministre Florin Cîţu. La semaine prochaine, le second tour en ligne des élections est prévu lieu au sein du parti dont les membres doivent élire leur futur chef en optant soit pour Dacian Cioloş, soit pour Dan Barna, les deux co-présidents en exercice. Au premier tour, déroulé aussi en ligne, Dacian Cioloş, député européen, a réuni 46 % des voix, alors que Dan Barna, ancien vice premier ministre, a obtenu 43 % des suffrages ; un troisième candidat, Irineu Darău, a réuni 10 % des voix.



    Diplomatie — Le ministre roumain des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à réunion ministérielle de l’Alliance pour le multilatéralisme, tenue en marge de la 76e réunion de l’Assemblée générale de l’ONU. A cette occasion, le chef de la diplomatie roumaine a souligné l’importance de protéger l’environnement, notamment dans le contexte de la pandémie de coronavirus. « Les changements climatiques, la dégradation de l’environnement et de la biodiversité doivent être abordés en tant que défis interdépendants », a-t-il déclaré. Cette réunion a été aussi l’occasion de se pencher sur des sujets et des défis à relever au niveau mondial, tels la lutte contre la pandémie, les droits de l’homme et l’égalité des genres, la lutte contre les changements climatiques ou encore la prévention de la détérioration de la biodiversité. Notons aussi que la réunion ministérielle de l’Alliance pour le multilatéralisme est une initiative franco-allemande lancée en 2019. Cette année, ses hôtes ont été le ministre de lEurope et des Affaires étrangères de la République française, Jean-Yves Le Drian, et le ministre fédéral allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas.



    Rentrée universitaire — Le lundi 27 septembre, c’est la rentrée universitaire en Roumanie. Sur toile de fond de la pandémie, dans plusieurs université, telles « Babeş-Bolyai » de Cluj-Napoca (centre-ouest), l’université de l’Ouest de Timişoara ou encore « Alexandru Ioan Cuza » de Iaşi (nord-est), les cours théoriques seront dispensés en ligne, alors que les séminaires et les travaux dirigés dans les laboratoires auront lieu en présentiel. En revanche, les cours des facultés de l’Université de Bucarest seront dispensés en format hybride, soit simultanément en ligne et en présentiel. Des normes sanitaires seront imposées dans le contexte de la pandémie. Dans les campus estudiantins, les étudiants vaccinés auront la priorité et le nombre de places sera réduit. Selon les données du ministère de l’Education, à l’heure actuelle, 78 % des professeurs des universités de Roumanie, soit plus de 24 000 personnes, sont vaccinés.



    Salaires — En 2020, les Roumains ont touché un salaire moyen brut de 5 123 lei (1 000 euros environ), soit une hausse de 7,4 % par rapport à l’année précédente, fait savoir l’Institut national de la statistique. Les secteurs d’activité les plus profitables, avec des revenus supérieurs à la moyenne, sont les technologies de l’information et de la communication, le domaine financier et celui des assurances, l’administration publique ou encore la production et la distribution d’électricité. Au pôle opposé l’on retrouve l’hôtellerie et la restauration, l’agriculture, la sylviculture, la pêche et l’immobilier. A comparer avec l’année 1990, l’indice du revenu salarial réel a été de 225 % plus élevé en 2020, constate également l’Institut national de la statistique.



    Tennis — Kate, la duchesse de Cambridge, a rencontré vendredi Emma Răducanu, lors d’un événement spécial destiné à fêter les nouveaux champions de tennis du Royaume-Uni. Răducanu, 18 ans, dont le père est Roumain, est maintenant célèbre après être devenue la première joueuse britannique à avoir remporté un tournoi du Grand Chelem après 44 ans. L’activité de la Fédération britannique de tennis est placée sous le patronage de la duchesse de Cambridge, qui vient souvent dans la loge royale de Wimbledon. La victoire d’Emma Răducanu à l’US Open, où la joueuse était issue des qualifications, a été saluée par la reine Elizabeth II.





  • 24.09.2021

    24.09.2021

    Coronavirus en Roumanie – L’épidémie de Covid 19 poursuit sa progression en Roumanie. Jeudi était le deuxième jour consécutif avec plus de 7 000 nouveaux cas d’infection recensés en 24 heures. Les autorités ont rapporté 7 095 nouveaux cas de Covid sur près de 54 000 tests effectués. La plupart ont été recensés à Bucarest. S’y ajoutaient 113 décès des suites de l’infection au virus SARS-CoV-2 enregistrés en 24 heures. Dans les unités de soins intensifs, le nombre de malades de Covid-19 a franchi le seuil de mille personnes, une situation qui n’a plus été enregistrée depuis début mai. Plus de 300 localités à travers le pays, y compris la Capitale sont en zone rouge, parce que le taux d’infection y a dépassé le seuil des 3 cas par mille habitants dépistés en 14 jours. A mesure que la situation épidémiologique empire, la vaccination commence à reprendre, avec quelque 18 400 doses administrées en un seul jour. Somme toute, plus de 10 millions de doses du vaccin anticovid ont été administrées en Roumanie, depuis le début de la campagne de vaccination.

    Pays à risque – Sur toile de fond de la flambée des cas de contamination, la Roumanie entre sur la liste jaune des pays à risque épidémiologique, a décidé le Comité national pour les situations d’urgence. Il a aussi mis à jour la liste des pays à risque, liste qui entrera en vigueur le dimanche 26 septembre. Désormais dans la zone rouge l’on retrouvera la Croatie, la Lettonie, l’Autriche, la Bosni-Herzégovine. Alors que sur la liste jaune passeront la Grèce, Chypre, la Norvege, le Liechtenstein, le Kazakhstan ou encore l’Azerbaïdjan. La liste verte comporte elle des pays tels le Portugal, l’Islande et le Japon. A noter que les personnes vaccinées ne doivent pas observer une quarantaine en arrivant en Roumanie depuis des pays se trouvant sur les listes rouge ou jaune.

    Politique – En Roumanie, le Parti National Libéral (PNL), le principal parti de la coalition gouvernementale, élit ce samedi son nouveau leader dans le cadre d’un ample congrès. Les candidats en lice sont Ludovic Orban, l’actuel chef du parti et président de la Chambre des députés, et Florin Cîtu, le premier ministre. Le président roumain Klaus Iohannis, issu du même parti, sera présent lui aussi au congrès pour soutenir le premier ministre. Au bout d’une campagne électorale dure au sein du parti, Ludovic Orban a déclaré être prêt pour remplacer Florin Cîtu en tant que premier ministre. Ce dernier, accuse l’actuel leader libéral de s’être servi de son conflit avec l’alliance entre l’Union Sauvez la Roumanie et le parti PLUS (USR-PLUS) dans sa lutte politique pour la direction du parti. Pour rappel, l’alliance USR- PLUS a récemment quitté la coalition gouvernementale, après avoir retiré son soutien pour le premier ministre Florin Cîtu. La semaine prochaine, le second tour en ligne des élections est prévu lieu au sein de l’alliance dont les membres doivent élire leur futur chef en optant soit pour Dacian Ciolos soit pour Dan Barna, les deux co-présidents en exercice. Au premier tour, déroulé toujours en ligne, Dacian Ciolos, député européen, a réuni 46% des voix, Dan Barna, ancien vice premier ministre, a obtenu 43% des suffrages et un troisième candidat, Irineu Darau a réuni 10% des voix.

    Salaires – L’année dernière, les Roumains ont touché un salaire moyen brut de 5 123 lei (mille euros environ), soit une croissance de 7,4% par rapport à l’année précédente, fait savoir l’Institut national de la statistique. Les secteurs d’activité les plus profitables, avec des revenus supérieurs à la moyenne économique, sont les informations et les communications, le domaine financier et celui des assurances, l’administration publique ou encore la production et la vente d’électricité. Au pôle opposé l’on retrouve, l’hôtellerie et la restauration, l’agriculture, la sylviculture, la pêche et l’immobilier. A comparer avec l’année 1990, l’indice du revenu salarial réel a été de 225% plus élevé en 2020, constate également l’Institut national de la statistique.

    Rentrée universitaire – Le lundi 27 septembre, c’est la rentrée universitaire en Roumanie. Sur toile de fond de la pandémie, dans plusieurs université, telles « Babeş-Bolyai » de Cluj-Napoca (nord-ouest), L’université de l’Ouest de de Timişoara ou encore « Alexandru Ioan Cuza » de Iaşi (nord-est), les cours théoriques seront dispensés en ligne, alors que les séminaires et les cours pratiques dans les laboratoires auront lieu en présentiel. En revanche, les cours des facultés de l’Université de Bucarest seront dispensés en format hybride, soit simultanément en ligne et en présentiel. Des normes sanitaires seront imposées dans le contexte de la pandémie. Dans les foyers estudiantins, les étudiants vaccinés auront priorité et le nombre de places sera réduit. Selon les données du ministère de l’Education, à l’heure actuelle 78% des professeurs des universités de Roumanie, soit plus de 24 000 personnes, sont vaccinés.

    Diplomatie – Le ministre roumain des Affaires étrangères, Bogdan Aurescu, a participé à réunion ministérielle de l’Alliance pour le multilatéralisme, tenue en marge de la 76e réunion de l’Assemblée générale de l’ONU. A cette occasion, le chef de la diplomatie roumaine a souligné l’importance de protéger l’environnement, notamment dans le contexte de la pandémie de coronavirus. « Les changements climatiques, la dégradation de l’environnement et de la biodiversité doivent être approchés en tant que défis interdépendants », a-t-il déclaré. Cette réunion a été aussi l’occasion de se pencher sur des sujets et des défis à relever au niveau mondial, tels la lutte contre la pandémie, les droits de l’homme et l’égalité des genres, la lutte contre les changements climatiques ou encore la prévention de la détérioration de la biodiversité. Notons aussi que la réunion ministérielle de l’Alliance pour le multilatéralisme est une initiative franco-allemande lancée en 2019. Cette année ses hôtes ont été ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française, Jean-Yves Le Drian, et le ministre fédéral allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas.

    Handball – L’équipe du club champion de handball de la Roumanie, Dinamo Bucarest, s’est incliné jeudi soir, devant les Fraçais de Paris Saint-Germain, sur le score de 30 buts à 41, dans un match du Groupe B de la Ligue des Champions. Auparavant, les Roumains avaient remporté leur premier match, à Bucarest, sur le score de 32 à 29, face aux Polonais de Lomza Vive Kielce. Au 3e round, Dinamo Bucarest doit rencontrer à domicile des Portugais de FC Porto.

    Météo – Temps toujours frisquet en Roumanie, ce vendredi, sur presque tout le territoire de la Roumanie avec des températures inférieures à la normale saisonnière. Il pleut sur le centre, le nord et l’est. Les maxima de la journée iront de 14 à 24 degrés. 16 degrés et un ciel plutôt couvert à midi à Bucarest.

  • 7.09.2021 (mise à jour)

    7.09.2021 (mise à jour)

    Coronavirus – La Roumanie a rapporté mardi 2033 cas de
    contamination au nouveau coronavirus sur plus de 45.000 testes effectués et 48
    décès des suites de l’infection enregistrés en 24 heures. 3 527 malades sont
    hospitalisés dans le pays, dont 101 mineurs. Sur ce total, 426 patients dont 6
    enfants se trouvent dans des unités de Réanimation, Soins Intensifs. Presque
    9000 personnes ont été immunisées ces 24 dernières heures dont plus de 6300
    d’une première dose ou d’une dose unique. A présent, la Roumanie recense 5,2
    millions de personnes entièrement vaccinées contre la Covid-19, soit un peu
    moins d’un tiers de la population en âge d’être vaccinée. Selon le rapport
    hebdomadaire de l’Institut national pour la santé publique, le variant Delta
    devient dominant en Roumanie aussi.

    Motion – Le
    président de la Chambre des députés de Bucarest, le leader libéral Ludovic
    Orban, a déclaré mardi qu’il avait l’obligation de respecter la Constitution et
    donc, il était censé respecter le déroulement du calendrier de la motion de
    censure déposée contre le premier ministre Florin Cîtu par USR-PLUS et le parti
    nationaliste, AUR. La déclaration survient après que les bureaux permanents du
    Sénat et de la Chambre des députés ont manqué, pour la quatrième journée de
    suite, de quorum pour décider du calendrier de la motion et du vote. Seuls
    neufs des 26 sénateurs et députés à la direction du Parlement ont été présents
    à la réunion. Les représentants du PSD, en opposition et du PNL se sont
    absentés. Réuni en urgence pour fixer sa stratégie, le PSD a fait savoir par la
    voix de son premier vice président, Sorin Grindeanu, qu’il voterait en faveur
    de la motion, si c’est le cas d’exprimer son vote. Mardi encore, le chef de
    l’Etat, Klaus Iohannis, a rencontré le co-président de l’Alliance USR-PLUS, Dan
    Barna, après que tous les ministres USR ont déposé lundi, leurs démissions.

    Collectif
    budgétaire
    – Malgré la démission en masse des ministres issus de l’alliance
    USR-PLUS, le premier ministre Florin Cîtu a annoncé que le gouvernement a
    adopté mardi le premier collectif budgétaire de l’année. Du coup, des
    enveloppes plus consistantes seront allouées aux ministères de la Santé, des
    Finances et du Développement et des Investissements. En revanche, le Ministère
    du Travail, le Sénat et la Cour des Comptes se verront diminuer le budget.

    Diplomatie – Le chef de l’Etat roumain, Klaus Iohannis, a appelé mardi
    les diplomates roumains à poursuivre leurs démarches pour répondre aux engagements
    européens de Bucarest, tels l’adhésion à l’Espace Schengen. A l’occasion de la
    Réunion annuelle de la diplomatie roumaine qui a débuté mardi, à Bucarest,
    Iohannis a demandé aux chefs des missions diplomatiques et des consulats
    roumains de l’étranger à s’impliquer dans les négociations au sujet d’un
    nouveau Concept stratégique de l’OTAN. Les diplomates roumains devraient, selon
    le président roumain, soutenir une série de priorités telles le renforcement du
    rôle de l’Alliance sur le Flanc Est et dans la région de la Mer Noire, un
    soutien consolidé accordé aux partenaires orientaux et le développement de
    leurs capacités de défense. Aux dires du ministre roumain des Affaires
    étrangères, Bogdan Aurescu, l’actuelle crise politique de Roumanie ne porte pas
    atteinte à la politique étrangère menée par le pays. La résilience est le thème
    principal de cette édition 2021, un concept qui gagne en importance dans le
    contexte de la crise sanitaire. D’autres thématiques retiendront l’attention du
    corps diplomatique roumain : le changement climatique, la transition
    numérique, le rôle croissant des nouvelles technologies et la cybersécurité.




    PIB – La Roumanie a connu au deuxième
    semestre de l’année en cours une croissance économique en dessous de la moyenne
    européenne, mais de 1,8% de plus par rapport au semestre précédent, selon des
    données fournies mardi par Eurostat. Par rapport à la même période de l’année
    2020, le PIB de la Roumanie a enregistré une avancée de 13%.


































    Consommateur – La Chambre des députés de
    Bucarest a adopté mardi en qualité de chambre décisionnelle, le projet de la
    Loi du consommateur vulnérable qui entrera en vigueur à partir du 1 novembre
    prochain. Le projet soutient les familles démunies à payer leurs factures de
    gaz et d’électricité. Pour bénéficier de cette aide, il faut que les membres
    d’une famille gagnent moins de 280 euros par personne ou moins de 493 euros
    dans le cas des ceux vivant seuls.



    Tennis – Les joueuses roumaines de tennis Monica Niculescu
    et Gabriela Ruse se sont qualifiées pour les quarts de finale de l’épreuve de
    double dames de l’US Open, après une victoire en trois sets contre Leylah
    Fernandez de Canada et Erin Routliff de Nouvelle Zélande. Les Roumaines
    rencontreront mercredi le duoAlexa Guarachi de
    Chili – Desirae Krawczyk des Etats-Unis.






    Football – L’équipe de Roumanie de football rencontre jeudi, à Skopje,
    la Macédoine du Nord, dans les matchs préliminaires au sein du groupe J comptant
    pour la Coupe du monde de football 2022. Les Tricolores ont grimpé en troisième
    position après une victoire contre la sélection du Liechtenstein. Ce fut la
    deuxième victoire consécutive de l’équipe roumaine après celle de jeudi dernier
    contre l’Islande. A l’heure actuelle, c’est l’Allemagne qui domine le groupe,
    suivi par l’Arménie.










    Météo – Il fera frisquet mercredi, en Roumanie,
    notamment dans les régions septentrionales et centrales. Le ciel sera variable,
    plutôt couvert dans le sud. Le vent soufflera légèrement sur l’ensemble du
    territoire et plus fort sur la côte roumaine à la Mer Noire. Le brouillard fera
    son apparition dans le nord et le centre du territoire. Les températures
    maximales de la journée de mercredi iront de 20 à 26 degrés.



  • 07.09.2021

    07.09.2021




    Politique – Le vice-premier ministre
    Dan Barna et les ministres de l’Union sauvez la Roumanie-PLUS ont démissionné ce
    matin du gouvernement de coalition dirigé par le libéral Florin Cîţu. USR-PLUS
    considère que le premier ministre a « dynamité » la coalition
    gouvernementale par la révocation intempestive, la semaine dernière, du
    ministre de la Justice Stelian Ion. Les représentants du parti ont été convoqués
    à des consultations cet après-midi par le président Klaus Iohannis. Vendredi
    dernier, l’Union sauvez la Roumanie-PLUS et le parti ultranationaliste l’Alliance pour l’unité des
    Roumains ont déposé une motion de censure contre le cabinet Cîţu. Les
    bureaux réunis des deux chambres du Parlement se réunissent aujourd’hui dans
    une nouvelle tentative pour fixer le calendrier des débats et du vote de la motion.
    Davantage d’infos à ce sujet après le journal.




    Gouvernement – Malgré la démission des
    ministres USR-PLUS, le premier ministre Florin Cîţu a programmé pour aujourd’hui
    une réunion gouvernementale dans le but d’adopter une loi de finances
    rectificative. Le chef de l’exécutif annonçait hier soir que le collectif budgétaire
    serait approuvé quoi qu’il en soit, en présence ou absence des ministres de l’Union
    sauvez la Roumanie-PLUS. Le texte de loi prévoit une réaffectation de fonds aux
    ministères de la Santé, des Finances et du Développement et des
    investissements. A l’opposé, le ministère du Travail, le Sénat et la Cour des
    comptes se verront diminuer leurs enveloppes budgétaires.








    Diplomatie – La Réunion annuelle de la diplomatie roumaine, qui réunit les
    chefs des missions diplomatiques et des consulats roumains de l’étranger, démarre
    aujourd’hui à Bucarest. Les travaux seront dirigés par Bogdan Aurescu, ministre
    des Affaires étrangères. La résilience est le thème principal de cette édition
    2021, un concept qui gagne en importance dans le contexte de la crise
    sanitaire. D’autres thématiques retiendront l’attention du corps diplomatique
    roumain : le changement climatique, la transition numérique, le rôle croissant
    des nouvelles technologies et la cybersécurité. Bogdan Aurescu rencontrera dans
    la journée son homologue moldave, Nicolae Popescu, un des invités spéciaux de l’événement.
    Les discussions bilatérales chercheront à renforcer le soutien de la Roumanie
    au processus de réformes déroulé par le nouvel exécutif de Chişinău et au
    parcours européen de la République de Moldova.




    OTAN – La base 57 Mihail Kogălniceanu de Constanţa, dans le
    sud-est de la Roumanie, accueille aujourd’hui la cérémonie de certification
    OTAN du détachement de l’Aviation royale canadienne, qui démarre sa mission renforcée
    de police du ciel en Roumanie. Les quelques 140 canadiens, pilotes et personnel
    technique, et leurs six aéronefs Hornet resteront durant trois mois sur la base
    57, aux côtés des militaires roumains dotés d’avions F-16 et MIG-21 Lancer. Les
    militaires canadiens ont déjà effectué quatre missions à Mihail Kogălniceanu et
    une mission à la base de Câmpia Turzii, dans le centre de la Roumanie.




    Tennis – Les joueuses roumaines de tennis Monica Niculescu et Gabriela
    Ruse se sont qualifiées pour les quarts de finale de l’épreuve de double dames
    de l’US Open, après une victoire en trois sets contre Leylah Fernandez de
    Canada et Erin Routliff de Nouvelle Zélande. Les Roumaines rencontreront demain
    le duoAlexa Guarachi de Chili – Desirae Krawczyk des Etats-Unis.
    Quant au tableau de double messieurs, le roumain Horia Tecău et l’allemand
    Kevin Krawietz, tête de série numéro six à l’US Open, joueront aujourd’hui dans
    les quarts de finale. Ils affronteront les Américains Steve Johnson – Sam Querrey.






    Météo – Il fait beau, mais encore un peu frisquet le matin en
    Roumanie. Le ciel est variable, partiellement couvert en montagne, où on attend
    aussi quelques pluies éparses. Le vent est faible à modéré, avec quelques
    intensifications en altitude et sur le littoral de la mer Noire. Les
    températures maximales iront, dans la journée, de 18 à 28°C. 22° et plein
    soleil à midi à Bucarest.